Animal

QUEL SCANDALE? Une nouvelle saison de chasse aux phoques vient tout juste de commencer dans le golfe du Saint-Laurent. Encore une fois, cette activité est décriée un peu partout dans le monde par les animalistes et les groupes de pression qui voient dans cette pratique un geste barbare. Pourtant, j’ai séjourné l’hiver dernier aux Iles-de-la-Madeleine (où la chasse aux phoques est une activité plutôt commune) et je n’y ai rencontré que des gens civilisés. Je ne suis pas végétarien et encore moins végétalien. Toutefois, je n’arrive pas à comprendre pourquoi des gens dénoncent la chasse aux phoques pour ensuite, à l’heure du repas, se régaler devant un beau steak ou une cuisse de poulet bien dodue. Je ne veux surtout dénoncer ceux et celles qui mangent de la viande. Non plus les abattoirs où les animaux sont tués selon des normes strictes approuvées par le ministère de l’Agriculture. suite: http://www.agencequebecpresse.com/quelscandale/index.php

La chasse aux phoques est ouverte à Terre-Neuve-et-Labrador 2008-04-11 12:53:00 SAINT-JEAN, T.-N.L. - La chasse aux phoques a débuté vendredi dans le golfe du Saint-Laurent, pour la partie occidentale de la province de Terre-Neuve-et-Labrador, et elle s'ouvrira samedi dans la principale zone de chasse. LA PRESSE CANADIENNE Des milliers de navires détiennent les permis nécessaires pour y participer. Le député libéral Todd Russell, qui représente la circonscription de Labrador à la Chambre des communes, a indiqué qu'il se joindra aux chasseurs pour leur témoigner sa solidarité et participer lui-même à la chasse. M. Russell, un autochtone originaire du Labrador, prévoit chasser avec des membres de sa famille près du village de Williams Harbour. Il a déclaré que la chasse aux phoques est non seulement "légale" mais aussi "renouvelable", et qu'il s'agit d'une activité ancrée dans la "préservation (des ressources) et la tradition". M. Russell a dit s'attendre à ce que sa participation génère une certaine opposition. Des groupes écologistes ont déjà indiqué qu'ils entendent surveiller la chasse. http://nouvelles.sympatico.msn.ca

Qu'est-ce que j'te disais terrienne.... ! AMIANTE, PHOQUES ET ANIMALISTES À chaque printemps depuis plusieurs années des groupes de protection des animaux viennent dans l'Est du Canada manifester contre la chasse aux phoques. Ces gens "bien intentionnés" proviennent surtout de l'Europe mais aussi des Etats-Unis et, à un degré moindre, du Canada. Ce n'est pas d'hier qu'une frange des groupes animalistes tente d'imposer au Canada et à d'autres sa vision anti-chasse aux phoques. Ces gens ont droit à leur opinion et ne se gênent pas pour l'exprimer en associant des vedettes du cinéma, de la musique, des médias, à leur cause qu'ils considèrent des plus nobles. Par contre, un documentaire intitulé "Phoques, le film" du cinéaste Raoul Jomphe et diffusé fin mars sur le Réseau de l'information (RDI) de la Société Radio-Canada nous montre l'envers de la médaille. Un argumentaire scientifique rigoureux et des images chocs permettent de rétablir les faits sur cette activité traditionnelle pratiquée maintenant de manière plus humaine au Canada. Les techniques de manipulation de l'information par certains groupes animalistes y sont illustrées avec éloquence. Il est plausible d'anticiper que les effets pervers de la lutte des animalistes seront de : Rompre l'équilibre écologique et de provoquer, si le Canada se rendait à leurs arguments , une explosion de la population de phoques avec des conséquences néfastes sur les animaux et sur la chaîne alimentaire; Rendre impossible l'utilisation de la viande de phoque à des fins de consommation (à cause des boycotts) et thérapeutiques (viande riche en collagène et en oméga 3). Les citoyens et citoyennes du Canada qui subissent depuis près de 25 ans un lessivage des cerveaux par les groupes anti-amiante (venus surtout d'Europe) dans les médias feront sans doute un rapprochement entre ces deux dossiers litigieux. "A beau mentir qui vient de loin" dit le vieux dicton mais la vérité sur les véritables enjeux dans cet acharnement quasi-religieux finira un jour par émerger. Des motivations d'ordre commercial ne sont certainement pas étrangères à ce combat qui est aux antipodes des principes du développement durable. L'usage sécuritaire de produits non friables à base d'amiante chrysotile tout comme la chasse aux phoques pratiquée de manière responsable sont des réalités contemporaines. Nier ces évidences serait une attitude irresponsable et rétrograde. Le 10 avril 2007 http://www.proamiante.com/utilisation-chrysotile/opinions.cfm

http://www.jminforme.ca/national/article/256780;national http://www.jminforme.ca/ Un quotidien en Atlantique

http://bleudeterre.wordpress.com/2008/04/04/183/ http://bleudeterre.wordpress.com/

9 avril 2008, 4:51 Par: Steve Proulx Montrer le méchant Avec son documentaire Bacon, le film (2001), Hugo Latulippe donnait à l'industrie porcine ce que Richard Desjardins avait donné deux ans plus tôt à l'industrie forestière: une bonne taloche derrière la tête. L'élément le plus remuant du documentaire d'Hugo Latulippe, celui qui a largement contribué à son impact, se nommait Bernard Paquette. La moustache. Le chapeau de cow-boy. Le pick-up. Dans Bacon, Bernard Paquette représentait l'archétype du "méchant" mégaporcheriste. Celui qui met "du beurre sur son pain" en détruisant l'environnement. À lui seul, le témoignage de ce gros producteur a mieux servi la cause anti-agriculture industrielle que n'importe quel discours écologiste. suite: http://www.voir.ca/blogs/steve_proulx/default.aspx

elle serait plus belle si elle ne faisait pas la promotion du foie gras, de la chasse au phoque, etc...

C'était une surprise !!!!!!!!!!!!!!!!!!

http://www.imageecoterre.com/

Hugo Latulippe Pour la suite du monde ARTICLE - 10 avril 2008 Marie-Claude Marsolais photo: P. Dionne Le cinéaste Hugo Latulippe revient sur la place publique. Cette fois-ci, il nous propose un nouveau projet de société avec la série documentaire Manifestes en série. La série, qui sera diffusée par Canal D, comprend huit épisodes. Chacun d'eux traite d'un thème spécifique: l'agriculture, le transport, la culture, l'éducation, la santé, l'alimentation, l'économie et les ressources. Des thèmes certes nécessaires pour brosser le portrait d'une société. Mais ce qui compte réellement, selon le cinéaste, c'est qu'à la base de chacun des sujets traités est campé un modèle à combattre. Celui composé de la croissance économique à outrance, d'un "think big" ambiant et de l'efficacité sans limites. Face à ce standard, une inquiétude: que lèguera-t-on comme société à nos enfants? Rien de beau, selon Hugo Latulippe. Du coup, pourquoi ne pas faire de Manifestes en série un projet de société? suite: http://www.voir.ca/publishing/article.aspx?zone=1&section=11&article=57628

Des animalistes se réjouissent de la mort de chasseurs de phoques Opinion du citadin Ricardo Codina ON PEUT COMMENTER (Il n'y a qu'un seul commentaire) LA VIE RURALE – QUÉBEC – 31 Mars 2008 Samedi 29 mars 2008, au large de la Nouvelle-Écosse trois chasseurs de phoques des Îles-de-la-Madeleine sont morts noyés et un autre est porté manquant. Leur bateau, L’Acadien, en perdition, était remorqué par les gardes-côtes canadiens. Mais la manœuvre a mal tournée et le bateau a coulé. Tout l’archipel est en deuil après la pire tragédie maritime depuis des décennies. Une controverse fait rage à propos de la manière dont s’est déroulé le sauvetage. La garde-côtière est blâmée par les Madelinots. Les propos d’un des deux survivants est troublant : « Il a foncé dans un morceau de glace, alors que le brise-glace continuait à accélérer », a déclaré à Radio-Canada Bruno-Pierre Bourque chasseur de phoques. Mais là n’est pas le propos de mon article, d’autres se chargeront du rôle adéquat ou pas des gardes-côtes. Ce qui me choque, c’est que dans des forums, européens surtout, des animalistes se réjouissent de la mort de chasseurs de phoques. Entre autres, sur le seul site d’un quotidien belge : http://forums.lesoir.be/index.php?showtopic=8867&st=20 il s’en trouve pour se réjouir de mort d’homme ! Quelques propos haineux qui devraient être censurés et interdits par la loi car c’est appel à la haine : Un certain devogelaere-rudy affirme : Les 3 morts doivent servir !!! Il faut donner leurs peaux aux phoques. Tonton Beber (bravo, cachez-vous derrière des pseudonymes) va plus loin en souhaitant miner la région : Eh non il ne faut pas s'appitoyer sur le sort de ces 3 assassins. Personne ne les a obligés à monter dans ce bateau. Et puis de toute façon leur mort n'est que le résultat de la sélection naturelle.Vivement que l'on place des mines dans cette région . WWIII va même jusqu’à se réjouir : Super ! Heureux d'appendre le décès de ces salauds !Champagne ! Tonton Beber en rajoute : Et j'ajoute que si je passais par là avec mon superbe bateau harponneur je n'hésiterais pas tirer sur les chasseurs... après tout c'est vrai, c'est un joli sport !WWIII je t'accompagne pour le champagne ... une petit victoire certes mais c'est toujours cela de racaille en moins. 1nl65n affirme : Heureusement que ces chasseurs sont morts, j'espère que bcp d'autres mourront avant de tuer des phoques. Murphysmets dit : enfin il y a une justice bien fait pour cette bande massacreur. Ces joyeux internautes anonymes devraient être poursuivis pour incitation à la haine. Que l’on soit d’accord ou non avec la chasse aux phoques ne justifie en aucun cas de tels propos. N’y a-t-il pas de modérateurs sur ce site? Certains animalistes ont perdu tout sens de la mesure en se réjouissant de mort d’homme ou souhaiter la mort d’autrui. Trop c’est trop. Il y a des lois en ce bas monde. Une incitation à la haine est passible d’une peine de prison à ce que je sache. Que cette haine soit tournée vers les Juifs, Rwandais ou Madelinots, c’est la même justice qui doit s’appliquer. Mais voilà, il est de bon ton de dénoncer la chasse aux phoques et d’en dire le plus de mal possible. Le lobby animaliste est aussi très puissant et riche, qui osera s’élever, en Europe, contre de tels propos? Je pense aux familles et aux proches des victimes du naufrage et je me dis une chose : J’espère qu’ils ne penseront pas que tous les animalistes pensent ainsi. J’espère que cela ne fera pas monter la tension et la violence entre les Madelinots et les animalistes qui viennent filmer la chasse aux phoques, entre animalistes et chasseurs etc. Et après de tels propos, est-ce que certains animalistes extrémistes ne seront pas tentés, comme prochaine étape, à passer à l’action violente? Tout cela va trop loin et je crois qu’il faut désormais interdire l’accès aux sites de chasse à toute organisation animaliste et même à toute personne qui n’a pas d’affaire là. On interdit bien aux gens ordinaires d’aller dans les abattoirs. Pourquoi tolérer leur présence sur la banquise en période de chasse? Les animalistes ont assez d’images de cadavres de phoques pour dénoncer la chasse. Tant que la chasse dure, c’est la même chose, la même méthode. Que l’on soit d’accord ou pas avec la chasse aux phoques, on se doit d’être en désaccord complet avec de tels propos. Les organisations animalistes devraient se dissocier des propos ci-haut mentionnés et des errances que l’on retrouve sur d’autres forums, elles doivent dénoncer cela, c’est une question de crédibilité. Elles se doivent de réagir, de s’éloigner de tout propos haineux envers l’être humain. J’ai bien hâte de voir si elles le feront. http://www.la-vie-rurale.ca/contenu/17585

c'est de pire en pire au Québec !

Non pas encore... mais on peut lire les commentaires de David et d'autres tout aussi intéressants ...

Le vendredi 11 avril 2008 Chien heurté par les policiers: le propriétaire veut des réponses S'il a perdu Bahia, mardi, Jean-Claude Gravel peut toujours compter sur Cody, lui aussi de la famille des lévriers. Photo: Sylvain Mayer Éric Lallier Le Nouvelliste Trois-Rivières Le propriétaire du chien heurté volontairement par un véhicule policier, mardi, ne digère tout simplement pas la façon de faire des autorités. «Je suis déçu de la réaction des policiers, c'est une grosse déception... J'ai des questions et je veux des réponses», clame maintenant Jean-Claude Gravel. L'homme agit d'ailleurs à titre de famille d'accueil pour l'organisme SOS lévrier, qui reçoit à domicile les canins de partout aux États-Unis, une fois leur carrière dans le monde des courses de chiens terminée. Bahia, décédée mardi, venait tout juste de lui être remis. Mais l'animal, que son propriétaire estime d'une valeur de 5000 $, lui a fait faux bond et a quitté le domicile mardi matin, pour se rendre jusqu'à l'autoroute 40 et y circuler librement, à contresens. Face aux risques imminents d'accidents, les policiers de la Sécurité publique de Trois-Rivières ont choisi de la happer intentionnellement pour arrêter sa course. «Frapper un chien comme ça, c'est trop facile, dénonce M. Gravel, qualifiant le geste de barbare. Qu'est-ce qui est plus dangereux? Un chien sur l'autoroute ou dix chars de police qui partent après?» Dans les faits, il reproche aux forces policières de ne pas avoir pris les mesures nécessaires pour sauver le chien, dont il dit avoir signalé la disparition et qu'il prétend avoir enregistré en bonne et due forme auprès de la Ville de Trois-Rivières. «Ils n'ont pas de filet ou de corde dans leur véhicule. Ils n'ont rien», dit-il. Et il va plus loin dans ses reproches, écorchant au passage la Société protectrice des animaux de la Mauricie (SPAM), qui n'a pu se rendre à temps sur les lieux de l'événement. «Pourquoi ont-ils seulement un patrouilleur ? À quoi ça sert d'acheter une médaille pour les chiens alors?», questionne Jean-Claude Gravel, tout en soulignant qu'on lui avait réclamé 35 $ pour l'enfouissement de son chien. Ainsi, il entend questionner les autorités municipales pour obtenir réponse à toutes ses interrogations. Déjà, des démarches en ce sens ont été entreprises, selon le propriétaire.• http://www.cyberpresse.ca/article/20080411/CPNOUVELLISTE/804110487/5409/CPNOUVELLISTE

Ébauche de document de politique pour discussion Réglementation des drêches de distillerie issues de la production d’éthanol Fournir vos commentaires sur ce document 1.0 Portée Le présent document de discussion présente la politique proposée par l’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA) sur l’utilisation des drêches de distillerie, un sous-produit de la fabrication de carburant à l’éthanol, comme aliment du bétail ou comme ingrédients dans les aliments du bétail (pour une définition des termes employés, voir la section 6.0 du présent document). 2.0 Réglementation des ingrédients utilisés dans les aliments du bétail En vertu de la Loi relative aux aliments du bétail et de son règlement d’application, l’ACIA administre un programme national sur les aliments du bétail. La Loi et son règlement régissent la fabrication, l’importation et la vente des aliments du bétail au Canada. Tous les aliments du bétail doivent être sûrs pour les animaux, pour l’environnement et pour les humains qui travaillent dans cette industrie ou qui sont exposés aux produits de façon fortuite, aussi à cause du transfert possible de résidus dans l’alimentation humaine, p. ex. la viande, le lait et les oeufs. Les aliments du bétail doivent également démontrer leur efficacité pour l’utilisation que l’on prévoit en faire. Les évaluations des aliments nouveaux du bétail sont effectuées au cas par cas. Une fois approuvés, les ingrédients des aliments du bétail sont inscrits aux annexes IV et V du Règlement sur les aliments du bétail, dans lesquelles on énonce les garanties, les normes et les exigences en matière d’étiquetage. Dans le cadre de la Loi relative aux aliments du bétail, il incombe aux fabricants d’aliments du bétail et aux éleveurs d’assurer l’innocuité des aliments du bétail pour les humains et les animaux. À cette fin, le paragraphe 3(3) de la Loi relative aux aliments du bétail stipule : “Sont interdites la fabrication, la vente ou l’importation au Canada, en contravention avec les règlements, d’aliments susceptibles de nuire à la santé de l’homme ou des animaux”. 3.0 Drêches de distillerie - Contexte Entre 1985 et 1990, différents types de drêches de distillerie, dont celles issues de la transformation de l’orge, du maïs, du seigle, du sorgho et du blé, ont été inscrits sur la liste des aliments du bétail approuvés dans la section 5.5, Résidus de brasserie et de distillerie, de l’annexe IV, Partie I, du Règlement sur les aliments du bétail. On a rédigé ces définitions afin de distinguer les différents types de drêches produites par les distilleries de boissons alcoolisées, selon les processus de fabrication à base de matières de qualité alimentaire. Ces dernières années, la production canadienne d’éthanol comme carburant a augmenté considérablement. Par conséquent, de grandes quantités de grains servent maintenant à la production de carburant. L’industrie des aliments pour bétail représente ainsi un débouché économique pour les quantités importantes de drêches de distillerie. Depuis 2004, le personnel du Programme des aliments du bétail de l’ACIA collabore avec l’industrie de l’éthanol pour informer les intervenants des exigences réglementaires concernant les drêches de distillerie issues de la production d’éthanol qui entreront dans la chaîne alimentaire du bétail. Plusieurs usines d’éthanol ont déposé une demande d’approbation comme ingrédient dans les aliments du bétail pour les drêches de distillerie produites dans leur établissement. Les évaluations d’innocuité se poursuivent à mesure que l’on recueille les renseignements nécessaires auprès des fabricants d’éthanol. L’ACIA collabore également avec la Direction des médicaments vétérinaires de Santé Canada (SC), la Section de la biotechnologie d’Environnement Canada (EC), et la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis, afin de répondre aux préoccupations en matière d’innocuité et aux problèmes réglementaires que suscite l’utilisation des drêches de distillerie provenant de l’industrie du carburant à l’éthanol dans les aliments du bétail. L’ACIA a mené des inspections dans des usines d’éthanol afin d’obtenir un aperçu du processus de fabrication et des ingrédients utilisés. À la lumière de ces inspections et de communications avec l’industrie, il a été déterminé que certains ingrédients utilisés dans le processus de fabrication de l’éthanol n’avaient pas fait l’objet d’une évaluation d’innocuité et qu’ils devaient être approuvés. On a donc conclu que les drêches de distillerie de l’industrie de l’éthanol sont différentes de celles issues des distilleries qui produisent de l’alcool pour la consommation humaine. Ainsi, l’ACIA considère que les drêches de distillerie provenant de la production d’éthanol ne correspondent pas à celles définies à l’annexe IV, Partie I, du Règlement sur les aliments du bétail. 4.0 Éléments à considérer lors de l’évaluation Tous les aliments du bétail doivent être sûrs pour les animaux, pour l’environnement et pour les humains qui travaillent dans cette industrie ou qui sont exposés aux produits de façon fortuite, aussi à cause du transfert possible de résidus dans l’alimentation humaine, p. ex. la viande, le lait et les oeufs. De plus, on doit avoir fait la preuve que les aliments du bétail sont efficaces pour l’usage qu’on prévoit en faire. L’évaluation des aliments nouveaux est effectuée au cas par cas. La disponibilité grandissante des drêches de distillerie a insisté les éleveurs à en utiliser davantage que dans le passé dans les aliments du bétail. Certains ingrédients comme les enzymes, les microorganismes, les auxiliaires de transformation, les médicaments antimicrobiens et tous les métabolites toxiques (p. ex., mycotoxines) présents dans la matière première, peuvent être concentrés dans les sous-produits pendant la fabrication de l’éthanol et poser un risque pour la santé des animaux et éventuellement des humains (par le transfert des résidus dans la viande, le lait et les oeufs). Les critères d’évaluation de l’innocuité tiennent compte des taux d’inclusion les plus élevés et de l’exposition dans le régime alimentaire. suite: http://www.inspection.gc.ca/francais/anima/feebet/consult/distillersf.shtml

Épouvantable !

je crois que c'est lui qui a remplacé John Efford: celui qui avait dit que ça ne le dérangerait pas si tous les phoques étaient éliminés... celui qui se promenait avec un manteau en peau de phoques sur le dos... !

Oui, y'a pas d'autres mots ! Écoeurement total !

Pourquoi donc l'ablation systématique des griffes ?

Qu'est-ce qu'ils attendent pour l'enfermer ?

11 avril 2008- Pour montrer sa solidarité envers l'industrie de la chasse, le ministre du Labrador, Todd Russell et des membres de sa famille, participeront à la chasse au phoque. La chasse «au front» débutera demain samedi. Des milliers de bateaux sont en place. Todd Russell http://webinfo.parl.gc.ca/MembersOfParliament/ProfileMP.aspx?Key=78975&SubSubject=1002&Language=E --------------------------------------------------------------------- ST. JOHN'S, N.L. — As the seal hunt gets underway for Newfoundland and Labrador, an MP from the province says he'll take part in the harvest in a show of support for the sealing industry. The hunt opened in the Gulf of St. Lawrence on Friday for western Newfoundland, while the main hunt in the area known as the Front begins on Saturday. Thousands of vessels are licensed to take part. Labrador MP Todd Russell said he will show solidarity with the sealing industry and personally take part in the traditional spring hunt. Russell, a Labradorian and an aboriginal, intends to hunt with family members near his home community of Williams Harbour. "I'm doing it to send a message to all of those who disparage our people who participate in this valid hunt," said Russell. "That there are other voices, voices from the House of Commons, from Parliament, people who sit as MPs, and in this particular case, myself, that this is a valid hunt, a sustainable hunt, one based on conservation and tradition." Added Russell: "It's important to our culture and we're going to continue it." The MP adds that he expects to face opposition for taking part in the hunt. Animal rights activists also plan on monitoring the hunt. http://canadianpress.google.com/article/ALeqM5iOSOjWCgZyf18mfZSp9QxYmYDK2Q

à quel journal a-t-elle écrit ?

Encore un autre qui mélange tout !

Téléthon 2007: 102,3 millions d'euros de dons ont été récoltés AP - PARIS - La 21e édition du Téléthon, organisée les 7 et 8 décembre derniers, a permis de récolter 102.315.233 euros, a annoncé jeudi l'Association française contre les myopathies (AFM). Lors de l'édition précédente, 106,7 millions d'euros avaient été collectés. ... Concernant l'argent récolté, elle a observé que cela allait permettre de "poursuivre les essais cliniques". "Les coûts sont bien plus importants en développement clinique qu'en recherche fondamentale", a-t-elle précisé. ... Cette année, l'événement était parrainé par la chanteuse Liane Foly et le comédien Kad Merad. L'emblème du Téléthon était une fillette de neuf ans, Julie, clouée dans un fauteuil roulant par une amyotrophie spinale qui ôte leur force à ses muscles. AP http://fr.news.yahoo.com/ap/20080410/thl-medecine-telethon2007-aa61a25.html