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Le mardi 18 mars 2008 Incendie à Yamachiche: troupeau de vaches décimé Les 70 vaches qui se trouvaient à l’intérieur de l’étable n’ont eu aucune chance lorsque le feu a débuté. Un tracteur a toutefois pu être sauvé. Photo: Stéphane Lessard Josiane Gagnon Le Nouvelliste Yamachiche Une ferme laitière située sur le chemin Grande-Rivière Sud à Yamachiche a vu son troupeau de vaches décimé par les flammes sur l'heure du souper hier soir. Taille du texte Imprimer Envoyer À consulter aussi Lisez d'autres articles sur ces sujets : Incendie (100%) Fernand Lord (100%) À consulter aussi Partager facebook digg del.icio.us Google À leur arrivée, les pompiers n'ont rien pu faire pour sauver les 70 bêtes, qui avaient déjà été intoxiquées par la fumée. Un tracteur a toutefois pu être sorti de la bâtisse. Une trentaine de sapeurs des services d'incendie de Yamachiche, de Saint-Barnabé, de Louiseville et de Saint-Léon-le-Grand ont pris part à l'opération. Ceux-ci ont dû employer des camions-citernes pour transporter l'eau. Photo: Stéphane Lessard «Nous avons aussi installé deux pompes dans la rivière», explique le chef des pompiers de Yamachiche, Denis Villemure. Propriété de Louis Lord, la ferme a été fondée il y a une soixantaine d'années par le père de celui-ci, Fernand. Ce dernier lui a vendu sa terre il y a environ dix ans. Même s'il n'en était plus propriétaire, il s'en occupait encore quotidiennement. Habitant à quelques dizaines de mètres du brasier, Fernand Lord cachait mal sa peine hier soir. «Je n'ai pas de mots... C'est très dur. C'était un très beau troupeau avec de gros pis. C'est effrayant», laisse-t-il tomber. Encore à 14 h 30 hier après-midi, l'homme était dans l'étable pour faire le train. Il a quitté vers 16 h 15 pour se rendre chez lui. Peu après, autour de 17 h, son fils y aurait déchargé des balles de foin, puis aurait démarré son hache-paille au gaz. «Il y a eu une étincelle et le feu a pris dans la paille. Il a juste eu le temps de sortir», raconte-t-il. Photo: Stéphane Lessard À l'intérieur, les 70 bêtes n'ont eu aucune chance. M. Lord ne s'attendait pas non plus à revoir en vie la douzaine de chats qui s'abritaient dans la ferme. Le bâtiment rasé par le feu était divisé en deux parties: la première était plus âgée, mais l'autre avait été bâtie il y a quelques années seulement. Au total, sa superficie était d'environ 660 mètres carrés. Retraité, Fernand Lord était encore très attaché à la ferme, même si c'était son fils qui en était maintenant propriétaire. «Ça m'intéressait comme si c'était à moi. C'est ça qui me tenait en vie et me donnait la santé. J'aimais mieux faire ça que de rester assis à regarder le cimetière.» De son côté, Louis Lord semblait trop ébranlé pour répondre aux questions du Nouvelliste, hier. Son père se dit toutefois convaincu qu'il a l'intention de reconstruire. Parmi les bêtes, 36 étaient des vaches à lait Holstein, et les autres servaient à la reproduction.• http://www.cyberpresse.ca/article/20080318/CPNOUVELLISTE/803180593/6785/CPNOUVELLISTE
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Incendie à Yamachiche: troupeau de vaches décimé 18 mars 2008 Les 70 vaches qui se trouvaient à l’intérieur de l’étable n’ont eu aucune chance lorsque le feu a débuté. Un tracteur a toutefois pu être sauvé. Photo: Stéphane Lessard Josiane Gagnon Le Nouvelliste Yamachiche Une ferme laitière située sur le chemin Grande-Rivière Sud à Yamachiche a vu son troupeau de vaches décimé par les flammes sur l'heure du souper hier soir. À leur arrivée, les pompiers n'ont rien pu faire pour sauver les 70 bêtes, qui avaient déjà été intoxiquées par la fumée. Un tracteur a toutefois pu être sorti de la bâtisse. Une trentaine de sapeurs des services d'incendie de Yamachiche, de Saint-Barnabé, de Louiseville et de Saint-Léon-le-Grand ont pris part à l'opération. Ceux-ci ont dû employer des camions-citernes pour transporter l'eau. Photo: Stéphane Lessard «Nous avons aussi installé deux pompes dans la rivière», explique le chef des pompiers de Yamachiche, Denis Villemure. http://www.cyberpresse.ca/article/20080318/CPNOUVELLISTE/803180593/6785/CPNOUVELLISTE
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Deux cargaisons totalisant 23 tonnes de carcasses de pangolins capturés en Indonésie ont été récemment saisies au Vietnam, ce qui illustre la poursuite de ce trafic illégal, a annoncé mardi une ONG. La première prise des douaniers vietnamiens a été effectuée le 29 février dans le port d'Hai Phong. Elle se composait de 2.460 carcasses de pangolins et de 900 kg d'écailles, pour un poids de sept tonnes, a précisé dans un communiqué Traffic, une organisation qui surveille l'impact du commerce sur la vie animale sauvage. La seconde prise, le 6 mars également à Hai Phong, consistait en 16 tonnes de pangolins. Les cargaisons étaient enregistrées comme cargaisons de poisson par une société d'import-export basée au nord du Vietnam. Bien que la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction (CITES) interdise le commerce international du mammifère, les pangolins "continuent d'être vendus pour leur viande et les médecines traditionnelles dans beaucoup de pays asiatiques", a souligné Traffic. Le pangolin est un petit mammifère insectivore pesant en moyenne 2,5 kilos, au corps recouvert d'écailles. C'est devenu l'une des prises favorites des contrebandiers, qui les capturent dans les forêts malaisiennes ou indonésiennes, pour les acheminer vers le nord et surtout la Chine. La viande de pangolin est très recherchée dans toute l'Asie et la peau de cette espèce sert à la fabrication d'articles de cuir, principalement des bottes, tandis que les écailles se retrouvent dans la pharmacopée chinoise. UN TRAFIC DE PANGOLINS DÉMANTELÉ ENTRE L'INDONÉSIE ET LE VIETNAM - 18/03/08 www.tele-animaux.com/fil-info,lecture,un-trafic-de-pangolins-demantele-entre-l-indonesie-et-le-vietnam:32224.html
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selon eux, ça serait de la fourrure de lapin-chèvre-mouton ! Ridicule! Il y a de grosses chances que ça soit de la fourrure de chien ou de chat. Je crois que c'est la HSUS qui demandait aux gens de leur envoyer des échantillons de fourrure suspectes, avec le nom des magasins où ces items auraient été achetés (?)
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JOURNÉE INTERNATIONALE CONTRE LA CHASSE AU PHOQUE
Animal a répondu à un(e) sujet de Animal dans Événements
Action à Halifax (Canada) contre la chasse au phoque 15 mars 2008 Halifax protesters rally against seal hunt The Canadian Press March 15, 2008 at 3:29 PM EDT HALIFAX — Seal hunt opponents in Nova Scotia say the federal Fisheries Department is lying when it says the annual practice is humane and sustainable. ... http://www.google.com/search?hl=en&q=Halifax+against+seal+hunt&btnG=Search http://www.planetark.org/envpicstory.cfm/newsid/47528 -
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31/01/2008 N°1846 Le Point Portrait - Le pirate de l'Antarctique Comme chaque hiver, Paul Watson traque les baleiniers japonais dans l'Antarctique pour les éperonner. Depuis trente ans, le patron de Sea Shepherd multiplie les actes de piraterie sur toutes les mers du globe. Et, dès cet été, en Méditerranée. Frédéric Lewino Imprimez Réagissez Classez Autrefois, le cruel Barbe-Noire terrorisait les navires de Sa Gracieuse Majesté dans les Caraïbes. Aujourd'hui, le terrible Captain Paul Watson écume les eaux de l'Antarctique pour éperonner les baleiniers japonais. Si le premier ne pensait qu'au butin, le second ne jure que par la protection des cétacés. Mais tous deux sont des pirates de la pire espèce. Même connaissance intime de la mer, même témérité au combat et même absence de scrupules. A 38 ans, Barbe-Noire fut tué sabre à la main sur le pont de son navire ; à 57 ans, Paul Watson poursuit inlassablement sa lutte pour que cesse l'actuel Pearl Harbor des baleines. « J'accepte d'être traité de pirate, mais un pirate de la compassion aux trousses des pirates avides de profits ! répond-il au Point depuis son navire, le "Steve Irwin". Néanmoins, j'agis conformément à la charte des Nations unies pour la nature qui autorise les individus et les groupes à intervenir contre les activités illégales. » Autant dire que son interprétation n'est pas partagée par tous ! Ce Canadien, membre fondateur de Greenpeace puis de Sea Shepherd, pose volontiers en uniforme de capitaine largement galonné. Un brin mégalo, certainement parano, à la fois despote et philosophe, mais aussi violent et poète, ses combats homériques l'ont rendu légendaire. Le biologiste Carlos Perez, de l'association Oceana, qui embarque parfois sous ses ordres, explique pourquoi il fascine : « Le monde a désespérément besoin d'hommes comme lui. Il nous rappelle que les crimes environnementaux se déroulent devant nos yeux et que nous ne pouvons pas juste rester à en parler, attendant que tout soit perdu. Il nous fait nous sentir suffisamment braves pour nous lever et nous opposer aux crimes contre la nature. » Même s'il arbore désormais une tignasse d'écume et une bedaine de cétacé, Captain Paul Watson, tel Nemo, dirige d'une poigne de fer un équipage de 34 volontaires, hommes et femmes. « Sa stratégie est celle de Ben Hur », confie Mathieu Mauvernay, 33 ans, créateur du bureau français de l'organisation (www.seashepherd.fr). Il a installé un éperon télescopique appelé l'ouvre-boîte, avec lequel il perce les coques ennemies. La voie d'eau oblige les baleiniers à rentrer au port. » Le 9 janvier 2006, Mauvernay était à bord du « Farley Mowat », l'un des trois navires de Paul Watson, quand celui-ci tenta d'éperonner l'« Oriental Bluebird ». Mais l'ouvre-boîte fut endommagé durant la bataille. Plus tard, Watson dut rompre la joute pour partir à la recherche d'un de ses dinghys égaré. Cet hiver, le capitaine Paul Watson a trouvé son premier baleinier japonais le samedi 12 janvier, après plusieurs semaines de recherche. Branle-bas de combat ! Fini les parties de cartes et les discussions philosophiques. Mais, avant de commander l'abordage, le rusé pirate a l'idée d'envoyer deux émissaires à bord du vaisseau ennemi, pour remettre à son commandant un message dans lequel il lui demande de cesser de violer la loi internationale qui interdit la chasse aux espèces menacées dans un sanctuaire marin. A peine montés à bord, les deux écologistes sont assaillis et enchaînés par les marins japonais. Les idiots ! Watson n'attendait que cela pour envoyer son hélico photographier la scène et dénoncer une prise d'otages illégale. Quand les baleiniers l'appellent par radio pour l'inviter à récupérer ses hommes, il refuse de les écouter. « Je ne négocie pas avec des terroristes », répond-il avec délectation. Au bout de quarante-huit heures, les Japonais finissent par remettre les deux écologistes aux gardes-côtes australiens. En venant récupérer ses hommes, Watson perd de vue la flotte nippone. Qu'importe, il pense pouvoir compter sur l'« Esperanza », le navire de Greenpeace resté au contact de l'armada ennemie, pour le renseigner. Mais celle-ci refuse de lui fournir sa position. C'est que les deux organisations écologiques entretiennent un lourd contentieux. Greenpeace condamne les méthodes brutales de son ex-fondateur qui ne feraient, selon elle, que braquer les japonais contre les écologistes, les renforçant ainsi dans leur volonté de manger de la baleine. En présence de la flottille nippone, la stratégie de l'« Esperanza » se borne à envoyer des dinghys entre le baleinier et l'animal traqué, et à déployer des banderoles s'adressant à l'opinion japonaise pour la convaincre du mal qu'il y a à tuer et à manger de la baleine. Qui, de Greenpeace ou de Sea Shepherd, a raison ? En tout cas, la méthode expéditive et efficace du capitaine Paul Watson plaît de plus en plus. « Depuis que nous arborons le pavillon des pirates, du monde entier des mômes nous écrivent pour nous soutenir », écrit-il. A Hollywood, il a séduit Martin Sheen, Pierce Brosnan, Sean Penn et le groupe de rock Red Hot Chili Peppers, qui figurent parmi ses plus ardents supporters et mécènes. Jusqu'au dalaï-lama qui lui a remis un certificat de soutien ! Aussi, le vieux pirate n'a pas l'intention de jeter l'ancre définitivement. En tout cas, pas avant « la création d'une police maritime internationale chargée de faire respecter les lois de conservation en haute mer. Le jour où un tel corps existera, Sea Shepherd se sabordera ». Ce n'est pas demain la veille. Comme Barbe-Noire, le Captain Paul Watson peut s'attendre à mourir les armes à la main. Il en est capable, le bougre ! http://www.lepoint.fr/actualites-sciences-sante/le-pirate-de-l-antarctique/1055/0/221553
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Signez la pétition et faire suivre au plus grand nombre de personnes possible... Cela pourrait vous donner la possibilité de gagner un t-shirt signé par le photographe Nigel Barker. Le concours se termine le 1er avril 2008 https://community.hsus.org/campaign/protectseals_pledge_challenge/explanation#
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Revoilà le pr. Hwang Woo-suk et ses clones
Animal a répondu à un(e) sujet de hop dans ANIMAUX - Europe et autres continents
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Lapins: conditions d'élevage dénoncées (vidéo)
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Lapins: conditions d'élevage dénoncées (vidéo)
Animal a posté un sujet dans ANIMAUX - Europe et autres continents
Lapins: conditions d'élevage dénoncées Des cages minuscules, des lapins ne pouvant pas bouger, c'est ce qu'ont découvert des journalistes alémaniques [TSR] 14.03.2008 16:47 L'émission suisse-alémanique «Kassensturz» dénonce les conditions déplorables dans lesquelles certains lapins sont élevés. Manor retire de ses rayons la viande en question. L'homologue alémanique d' «A bon entendeur», a visité un élevage de lapin à Navara, dans le Piémont. Son constat est sans appel: les animaux sont engraissés dans des conditions déplorables. sur ce sujet "Kassensturz" - élevage de lapins (en allemand) [08:35 min.] Dans ce lieu, les lapins sont élevés, puis abattus, avant d'être parés. Les animaux vivent dans des cages minuscules, parfois par deux durant 12 semaines, comme le montrent le reportage. Des images qui ont choqué Nadia Brodmann, responsable de Kagfreiland, une association de défense des consommateurs, interrogée par Kassensturz. «Les conditions dans lesquelles vivent ces animaux, sur trois étages, assis dans leur cage de manière apathique, sans activité autre que celle de ronger leur grillage, sont inadmissibles et intolérables.» Manor suspend ses importations Depuis plusieurs années, Manor se fournit dans cet élevage. Depuis la diffusion du reportage, sa direction a décidé de retirer des rayons cette viande d'origine italienne. Dans un communiqué diffusé mercredi, Manor explique avoir effectué des visites dans cette exploitation. Ses inspecteurs disent s'être vu présenter «d'autres clapiers que ceux vus dans le reportage». L'élevage de lapin peut se faire dans d'autres conditions. En Hongrie, près de Budapest par exemple, l'entreprise Delimpex engraisse des lapins, qu'elle livre à la Migros et à la Coop. Depuis 9 ans de gros efforts ont été entrepris par la Migros pour améliorer les conditions de vie de ces animaux en collaboration avec le producteur. Ils vivent dans des espaces suffisants, à plusieurs. Leurs boxes sont ouverts. vd/tsrinfo http://www.tsr.ch/tsr/index.html?siteSect=200001&sid=8856662 -
http://www.petitiononline.com/01marina/petition.html Nous avons besoin d'un million de signatures ! Merci d'indiquer votre pays. We need one million of signatures ! Thank you to mention your country. Simonne A.D.A. Asbl (Association de Défense Animale) N° entreprise Moniteur belge: 8611001860 Compte 068/2337371-86 http://www.my-itworld.net/ADA
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Chasse aux phoques : le Canada augmente son quota ! La Fondation Brigitte Bardot continuera son combat 11 mars 2008 Nous venons d'être informés du quota 2008 pour la chasse aux phoques du Groenland au Canada. Mais quand cela cessera t'il ? 275 000 phoques vont être abattus cette année contre 270 000 en 2007. Rien n'a donc changé, pire le quota a augmenté ! On en reste perplexe... Le Gouvernement Canadien a mis en avant les conseils d'un groupe de vétérinaires international préconisant une méthode d'abattage en 3 étapes censée être sans cruauté : - frapper au gourdin l'animal ou lui tirer une balle dans la tête - palper le crâne de l'animal ou vérifier l'existence d'un reflexe de cornée - saigner l'animal dans le cas contraire avant de l'ecorcher N'est-il pas paradoxal d'entendre un discours canadien officiel affirmant que cette chasse se pratique sans cruauté alors qu'un groupe international de vétérinaires préconise une nouvelle méthode "sans cruauté en trois étapes" ? En effet, si nouvelle méthode sans cruauté il y a … cela signifie bien que les méthodes précédentes étaient cruelles, ce que l'ensemble des associations de protection animale dénoncent depuis bien trop longtemps ! Cette méthode est elle donc acceptable ? Pas plus ! Limiter la souffrance, la cruauté ne signifie pas les bannir ! Nous sommes circonspects de l'application de ces nouvelles consignes. Qui veillera au respect de ces pratiques ? L'expérience nous montre que sur la banquise les chasseurs tuent un maximum de phoques dans un minimum de temps rendant impossible la mise en œuvre de ces " bonnes " pratiques. Nous poursuivrons notre combat afin que l'Union Européenne prenne des mesures pour refuser l'importation de tous produits issus de cette chasse et qu'elle ne soit pas bluffée par cette méthode en 3 étapes " sans cruauté ". Nous ne pourrons pas empêcher ce massacre cette année. Tous ces phoques seront malheureusement abattus. Mais nous devons continuer à montrer au Canada l'ampleur de la désapprobation et de l'écœurement international ! Signez notre pétition, signez celle de PETA en anglais, écrivez à l'ambassade du Canada (Ambassade du Canada 35, avenue Montaigne 75008 Paris FRANCE). Soutenez nous, sauvons les ! http://www.fondationbrigittebardot.fr/site/actu.php?id=40149
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Bardot monte à nouveau au créneau Germain Gillet, le vendredi 14 mars 2008 Fidèle à ses convictions, Brigitte Bardot s’insurge contre la chasse au phoque et implore le président de la République de mettre en place un embargo européen sur tous les produits dérivés de l’animal. En termes de protection des animaux, l’engagement de Brigitte Bardot est resté intact. L’ex « pin-up » du cinéma français a vivement réagi à l’annonce du gouvernement canadien, qui prévoit un quota de 275.000 phoques du Groenland pouvant être abattus cette année. Au-delà du quota qu’elle juge « scandaleusement élevé », elle condamne surtout les méthodes d’abattage supposées « sans cruauté ». « Selon la réglementation canadienne, les chasseurs doivent préalablement s’assurer de la mort clinique de l’animal avant de le dépecer. Comment parler d’éthique si l’on sait que ces contrôles sur place sont effectués par des chasseurs et que ces derniers sont soumis au rendement ? », s’est interrogée Brigitte Bardot dans un entretien accordé cette semaine à l’Associated Press. « Une grande hypocrisie » Dans un courrier, le chef de file de la protection des animaux s’est adressé au président de la République, l’exhortant à tenir ses engagements. En septembre dernier, Nicolas Sarkozy avait déclaré au sujet de la chasse au phoque que « la France ne resterait pas complice de ce massacre qui écœure le monde ». « Tout cela n’est qu’une vaste fumisterie, une grande hypocrisie », rétorque-t-elle en commentant la déclaration du chef de l’Etat, empreinte de démagogie. B.B. plaide pour un embargo national tout en suppliant M. Sarkozy « d’user de la prochaine présidence française de l’Union européenne pour accélérer le processus et mettre à l’ordre du jour ce projet de règlement qui interdira l’importation et la commercialisation dans tous les Etats membres » de tous les produits dérivés du phoque. Le chef de l’Etat a beaucoup de promesses à tenir, surtout en cette période électorale. Pas sûr qu’il tienne celle-là. Edition France Soir du vendredi 14 mars 2008 n°19746 page 11 http://www.francesoir.fr