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Tout ce qui a été posté par Animal

  1. Le dimanche 09 mars 2008 La production d'éthanol menace le Golfe du Mexique Agence France-Presse Vancouver La production croissante d'éthanol à partir du maïs aux États-Unis menace l'écosystème du Golfe du Mexique, en y créant une «zone morte» qui s'agrandit, avertit une étude canado-américaine rendue publique lundi. ... Chaque été, le déversement de nitrates crée dans le Golfe du Mexique une «zone morte», étendue d'eau dépourvue d'oxygène, observée pour la première fois il y a une trentaine d'années, et atteignant aujourd'hui quelque 20 000 km2. Ce phénomène d'eutrophisation rend l'eau impropre à la vie aquatique. «Les organismes des fonds marins qui ne peuvent pas bouger vont probablement mourir, tandis que les poissons vont s'enfuir», explique M. Donner à l'AFP. Cette situation affecte aussi la pêche, mais cette activité «n'a pas la même valeur économique que la production de maïs» pour les États-Unis, regrette-t-il. ... http://www.cyberpresse.ca/article/20080309/CPENVIRONNEMENT/80309050/6108/CPENVIRONNEMENT
  2. Nourrissage urgent pour les chevreuils et les trappeurs de coyotes Opinion du lecteur - 6 mars 2008 Photo: Courtoisie La prise du coyote favorise les cerfs de Virginie en Gaspésie Tout d'abord, le nourrissage est nécessaire cet hiver. En effet, la hauteur des bancs de neige est exceptionnelle et les précipitations sont abondantes. Donc, le déplacement du chevreuil est restreint. Effectivement, ils ont de la difficulté à battre leurs sentiers et ils s'en écartent. Pour certains s'en suit la mort. Les trappeurs nous aident énormément et en voici un exemple. Depuis de nombreuses années, Denis Lavergne et Gilles Deslauriers trappent le coyote afin de sauver des centaines de chevreuils par hiver. De ce fait, les chasseurs s'en trouvent gagnant au bout de la ligne et devraient dire merci à ces trappeurs (photo à l'appui). Je demande à nos élus politiques de sortir quelques dollars de leur fond de tiroir pour ces trappeurs, car je connais le montant offert pour une saison. Si cela continue, les trappeurs vont se décourager et ils cesseront leurs activités. Le ministère de l'Environnement et de la Faune perdra beaucoup d'argent dans la zone 01 s'il ne bouge pas. Est-ce que la chasse fermera comme dans les années précédentes ? Pour conclure cet article, au nom de tous les chasseurs de la Gaspésie, je voudrais remercier le gouvernement pour son nourrissage d'urgence pour le chevreuil et bravo aux trappeurs. Bonne chasse 2008 François Landry, Carleton (Québec) http://lechodelabaie.canoe.ca/
  3. Ottawa may sue anti-seal hunt groups Feb 22, 2008 01:41 PM THE CANADIAN PRESS ST. ANTHONY, Nfld.–The Department of Fisheries and Oceans is considering taking animal rights groups to court for using false information in their campaigns against the seal hunt. Spokesman Phil Jenkins said today they are looking into the competition act to see if they can reduce the amount of misinformation that is circulating. Jenkins said false information spread by animal welfare groups is hurting a legal industry and has even been used by a European Union commission in requesting a ban on the hunt. He pointed to statements by the Humane Society of the United States that claim veterinarians found that in 42 per cent of the cases they studied, the seals had likely been skinned alive. DFO said that the "independent veterinary report" was commissioned in 2001 by the International Fund for Animal Welfare. Jenkins said that while the report was recently refuted in a study by the European Food Safety Authority, it wasn't before the IFAW report was quoted in the original written declaration by the European Parliament to the European Commission requesting a ban on seal imports. http://www.thestar.com/News/Canada/article/306082
  4. http://tinyurl.com/24f4hd By David Ljunggren Mar 9, 2008 OTTAWA (Reuters) - Canada's government, heavily criticized for allowing hunters to shoot and club to death hundreds of thousands of seals each year, says it is imposing new rules to ensure the animals are killed more humanely. Pictures of burly men smashing the skulls of young seals on ice floes off Canada's Atlantic coast are a huge black eye for Ottawa and a boon for animal rights campaigners, who say the seals often suffer a prolonged, painful death. Hunters are usually permitted to kill around 325,000 harp seals in March and April. The furs are made into coats and other clothes and there is a growing market for seal oil, which is high in omega 3 fatty acids. Although hunters are obliged to ensure the seals die quickly, officials acknowledge this does not always happen. From now on, hunters will have to follow a three-step process recommended by an independent panel of veterinarians. After clubbing or shooting the seal, a hunter must check its eyes to ensure it is dead and if not, the animal's main arteries have to be cut. "They (the vets) think the three-step process provides more certainty around humaneness ... We do really need to move ahead with this," said Kevin Stringer of the federal department of fisheries and oceans. Current regulations say that if the hunter discovers a seal is still alive, he has to hit it again on the head, an act that in some cases might not ensure death. Cutting the animal's arteries leaves nothing up to chance. "One (method) ensures unconsciousness and one ensures a quick death," Stringer told Reuters. Official estimates say there are just under 6 million harp seals (tiens, on vient tout-à-coup d'augmenter le nombre d'un demi-million) off Canada's east coast, almost triple the number in the 1970s. This does not dissuade protesters -- supported by rock star Paul McCartney and former French actress Brigitte Bardot -- who say killing the animals is barbaric. Animal rights protesters said the new rules would make little difference since there were not enough inspectors monitoring the hunt and conditions could be difficult. "You often have very broken-up ice, people shooting at seals from distances of 50 or 60 meters (yards)," said Rebecca Aldworth of the Humane Society of the United States. "There is a huge time lag between actually striking the animal with the bullet and then getting the boat into place to test for unconsciousness," she told Reuters. Protest groups in the United States have tried in the past to persuade major restaurant chains to boycott Canadian seafood until the seal hunt is scrapped. They are also confident the European Union will ban the import of seal furs and oil. One major hunters' group, no friend of the activists, said it backed the new three-step process. "It's very good. As for the question of suffering, it really ensures the animal is dead and people won't be able to question that any more," said Jean-Claude Lapierre, head of the seal hunters' association on the Magdalen Islands off Quebec. Ottawa is due to announce by the end of March how many seals can be killed this year. Last year's quota was cut to 270,000 from 335,000 in 2006 because of poor ice but both Aldworth and Lapierre said conditions this year were better. mais si je me souviens bien, l'an dernier, les quotas avaient été dépassés.... donc, normalement, ils devraient être à la baisse cette année ! Sans compter qu'ils ont tué 110,000 phoques Gris (sinon +) au début du mois
  5. Le vendredi 07 mars 2008 Îles-de-la-Madeleine: un incendie fait 3 millions $ de dommages Merielle Ouellet et Gilles Gagné Le Soleil Collaboration spéciale Fatima Un incendie a complètement rasé le fumoir de Pêcheries Gros-Cap jeudi soir, à Fatima, aux Îles-de-la-Made­leine. Le sinistre a détruit du même coup l’usine de transformation de produits du loup marin de la firme Tamasu, qui y avait aménagé ses installations après l’incendie de l’usine Madelipêche en janvier 2007. L’incendie s’est déclaré un peu avant 21h. L’équipe du service d’incendie des Îles a travaillé pendant près de cinq heures pour éteindre les flammes. «Après une heure, c’était à terre. Tout l’intérieur était en bois, un bois fumé très sec. Le feu s’est propagé très vite», note Michel Leblanc, directeur adjoint de Pêcheries Gros-Cap, à propos du bâtiment de 30 mètres sur 50. Les pompiers sont toutefois parvenus à sauver le vivier de homards de Pêcheries Gros-Cap. Le porte-parole de la Sûreté du Québec, Claude Ross, indiquait hier qu’il était trop tôt pour statuer sur la cause de l’incendie. «Cinq membres du bureau régional d’enquête se rendent sur les lieux, dont un technicien en identité judiciaire. Ça fume encore. Le travail débutera demain (aujourd’hui).» Les dommages atteignent 3 millions$, dont 2 millions $ pour Pêcheries Gros-Cap, en bâtiment et en équipements, et 1 million $ en équipements pour Tamasu. Jean-Yves Cyr, directeur général de Pêcheries Gros-Cap, note que la firme n’y fumait plus de hareng depuis 2004. Des équipements coûteux comme des balances pour la pesée à quai, des pompes, des filetteuses et des bacs isothermiques s’y trouvaient. M. Cyr indique qu’il est trop tôt pour statuer sur la reconstruction ou non de l’usine mais il ajoute que la volonté est là. L’attention est pour le moment tournée vers les viviers de homards. On craint des dommages causés par l’eau et la fumée. Ils n’étaient pas encore accessibles, hier. Des travaux de préparation d’équipement avaient eu lieu au cours des derniers jours en prévision de la chasse au loup marin, qui débute dans trois semaines. Il s’agissait jeudi du troisième incendie rasant une usine madelinienne de transformation de produits marins. L’usine Madelimer avait aussi été la proie des flammes, à la mi-février 2007. Trois incendies en 14 mois Paul Boudreau, vice-président de Tamasu, doit composer avec un second sinistre en 14 mois. Lors de l’incendie de Madelipêche en janvier 2007, son équipe avait réussi à sauver des équipements. Cette fois, tout est détruit. Il assure que tout sera mis en œuvre pour déménager l’usine. On ne pourra traiter l’huile de loup marin en 2008 mais on achètera les peaux. Sinon, on tentera de collaborer avec des acheteurs de Terre-Neuve, assure-t-il. http://www.cyberpresse.ca/article/20080307/CPSOLEIL/80307117/5133/CPSOLEIL
  6. Le dimanche 09 mars 2008 Le Québec boude les légumineuses Les légumineuses gagnent en popularité partout dans le monde. Photothèque Le Soleil Annie Morin Le Soleil Québec Bonnes pour la santé et bonnes pour l’environnement, les légumineuses semblent posséder toutes les qualités, sauf celle de pousser aisément au Québec. Le gouvernement fédéral investit actuellement des centaines de milliers de dollars dans la recherche et le développement sur les légumineuses à grains (lentilles, haricots, pois et pois chiches), une culture dominante et toujours en progression dans l’ouest du pays. En 15 ans, la production a quadruplé au Canada pour s’établir à 4,5 millions de tonnes. La Saskatchewan, l’Alberta, le Manitoba et l’Ontario sont responsables de cet accroissement. Environ 80 % des quantités produites sont destinées à l’exportation, ce qui rapporte un milliard de dollars d’argent neuf au pays chaque année. ... http://www.cyberpresse.ca/article/20080309/CPSOLEIL/80308085/6787/CPSOLEIL
  7. Animal

    nouvelle journée d'adoption...

    SUPER !!!!!!!!!!!!!!!!!!
  8. J'affiche cette nouvelle ici, car je ne veux pas leur faire de la publicité à ces profiteurs -------------------------------------------------------- Les blanchons du St-Laurent attirent les touristes PRESSE CANADIENNE - PC 8 mars 2008 Plus de 250 touristes sont attendus cette année sur les banquises du golfe du St-Laurent C’est à cette période-ci de l’année que des touristes du monde entier convergent vers les Îles de la Madeleine afin d’assister à un événement propre à l’hiver canadien: la naissance de milliers de bébés phoques sur les banquises du golfe du St-Laurent. Cela fait plus de 25 ans que des organisateurs d’excursions écologiques tirent profit de l’engouement international pour ces petites bêtes aux yeux limpides, qui sont devenues l’emblème des organisations de défense des animaux partout dans le monde. Au cours des deux premières semaines de mars, les touristes sont transportés des Îles de la Madeleine à la banquise par hélicoptère afin d’y vivre une expérience vraiment hors du commun. La mer de glace s’étend aussi loin que la vue le permet dans un paysage froid, ponctué par la présence de milliers de phoques qui soignent leurs nouveau-nés à la fourrure blanche comme neige. Les mères des blanchons sont nerveuses et se précipitent dans l’eau dès que les touristes approchent. Il est cependant possible de s’avancer très près de leurs petits. Toutefois, les touristes ont bien été mis en garde de ne pas les toucher. Merveille du monde «C’est vraiment une des merveilles du monde», selon David Lavigne, un conseiller scientifique pour le Fonds international pour la protection des animaux (IFAW), qui a organisé les premières excursions dans les années 1970. Le IFAW a lancé les expéditions afin d’offrir une solution économique à la chasse aux phoques annuelle, mais cela fait des années que l’organisme ne s’occupe plus de tels voyages, ayant laissé la place aux organisateurs d’excursions professionnels. En 2006, cette industrie a connu une recrudescence lorsque l’ex-Beatles Paul McCartney et son ex-femme Heather Mills ont visité le site de reproduction des phoques dans le golfe, durant la saison touristique. Alors que McCartney et Mills voulaient souligner leur désir de voir cesser la chasse aux phoques annuelle, ils cajolaient les blanchons comme tous les touristes. Sur l’une des îles de l’archipel long de 65 km et faisant partie du Québec, on retrouve un grand hôtel, le Château Madelinot, qui offre des chambres confortables, une piscine intérieure et plusieurs activités aux touristes soucieux de l’environnement. «Nous attendons plus de 250 personnes cette année», indique Émile Richard, le directeur des ventes de l’hôtel, à propos des excursions d’observation des blanchons, une activité qui rapporte plus d’un million de dollars à l’économie locale. «L’année passée, nous avons eu la visite de plusieurs Japonais, de même que des Européens venant de France, d’Italie, de Grande-Bretagne et d’Allemagne. Il y a également des Américains et toujours quelques Canadiens.» Selon Richard, il existe deux types de touristes intéressés par les excursions de bébés phoque : ceux qui aiment les animaux et les photographes professionnels. Forfaits Le Château Madelinot offre des forfaits de 3 nuits avec voyages en hélicoptère jusqu’à la banquise pour 1 100 $. Des allées et venues d’une durée de 3 heures à destination du site de reproduction sont proposées 3 fois par jour, si la météo le permet. C’est l’hôtel qui s’occupe de la location des hélicoptères. Pour se rendre aux îles, les touristes doivent prendre l’avion à partir de Montréal ou Québec. En été, il y a un traversier qui relie les Îles de la Madeleine à l’Île-du-Prince-Édouard, mais ce service n’est pas offert en hiver. Richard souligne que des efforts sont faits afin qu’un traversier fasse la navette dès l’hiver prochain. Selon lui, les excursions d’observation des blanchons ne sont pas une industrie en croissance, mais elle est stable. L’industrie souffre à cause des caprices de la glace et des conditions météo ainsi que du coût dispendieux relié à la location d’hélicoptères. L’année dernière, a-t-il dit, la saison n’a pas été bonne à cause de la couche de glace trop mince qui a forcé les hélicoptères à se rendre près des côtes de la Nouvelle-Écosse pour une observation digne de ce nom. Toutefois, cette saison-ci pourrait être une des plus réussies grâce à un hiver plus froid et à la formation d’une épaisse couche de glace. Rien à voir avec la chasse aux phoques Richard précise également que l’industrie des excursions est complètement séparée de l’autre événement annuel qui a lieu au site de reproduction du golfe – le massacre de milliers de jeunes phoques par des chasseurs. La chasse commence habituellement à la fin mars et se poursuit jusqu’en avril, alors que les phoques sont âgés de deux à trois mois. On estime à environ 5,5 millions la population de phoques de la côte est. La chasse en élimine environ 300 000 chaque année. La chasse des blanchons est interdite depuis 1987. http://www.canoe.com/voyages/sechapper/archives/2008/03/20080307-162147.html
  9. Le vendredi 07 mars 2008 APRÈS SON DOCUMENTAIRE "LE PEUPLE INVISIBLE" Desjardins revient sur scène Isabelle Labrie Le Quotidien MONTRÉAL Richard Desjardins ne s'en fait pas outre mesure devant le peu d'impact que semble avoir eu son documentaire "Le Peuple invisible" depuis sa sortie. Il estime que le sujet des autochtones intéresse la population. Mais il reste maintenant à le proposer à un large auditoire, par le biais de la télévision. C'est ainsi que "L'erreur boréale" a connu un succès retentissant. "À Montréal, il a tenu l'affiche dans deux cinémas pendant deux mois et demi. C'est pas rien pour un documentaire. Et il commence à tourner dans des ciné-clubs. Une fois qu'il va avoir passé à la télé, on espère qu'il va se passer quelque chose", souligne le documentariste et auteur-compositeur-interprète au cours d'une entrevue téléphonique. Selon lui, il faut tenir compte du fait que les Québécois n'ont pas le même rapport avec les Autochtones qu'avec la forêt. Pour lui, la survie de la forêt concerne tout le monde personnellement, ce qui n'est pas le cas des autochtones, dont les Algonquins, qu'il a ciblés plus particulièrement dans son reportage. Mais il est persuadé que les gens vont être touchés par ce qu'ils vont voir. http://www.cyberpresse.ca/article/20080307/CPARTS/803070427/5204/CPARTS
  10. Le samedi 08 mars 2008 Des animaux au Carrefour Lac Mégantic Ronald Martel La Tribune LAC-MÉGANTIC Ce n'est pas courant de pouvoir observer de très près, dans un centre commercial, un jeune chevreuil, un rusé et espiègle raton laveur, un renard arctique blanc comme neige, un cochon vietnamien, un gracieux lynx du Canada... tous bien vivants, juste à côté de soi! ... Le Pavillon de la faune a ouvert ses portes en juin 1994. Les plus beaux spécimens de la collection personnelle d'animaux naturalisés de Jean-Luc Couture sont exposés dans des dioramas rappelant l'habitat naturel de chacun de ces animaux, avec un très grand souci des détails. M. Couture a pris part à de nombreuses expéditions de chasse, pendant les 35 dernières années, qui l'ont amené dans tous les coins de l'Amérique du Nord. http://www.cyberpresse.ca/article/20080308/CPTRIBUNE/803080846/5167/CPACTUALITES
  11. Animal

    BULLETIN HIVER 2008

    Le vendredi 07 mars 2008 «Nos revenus s'envolent en boucane» Les 130 vaches qui se trouvaient dans la grange ont toutes péri, à l'exception d'une seule. photo Janick Marois Karine Blanchard La Voix de l'Est Granby Une ferme du chemin Brodeur, dans l'ancien canton de Granby, a été réduite en cendres, hier matin. Le troupeau de 130 vaches a péri dans l'incendie. Les dommages sont évalués à au moins 800 000 $. «C'est très émotif. Ce sont nos revenus qui s'envolent en boucane», a confié Sylvain Piette, de la ferme AMIS Desroches, qui a assisté, impuissant, au travail des sapeurs. Ce dernier était copropriétaire de cette entreprise avec sa conjointe et ses beaux-parents. Mais aujourd'hui, leur gagne-pain a disparu. M. Piette se trouvait chez lui, dans sa résidence située sur le même terrain que la grange, lorsqu'il s'est aperçu que de la fumée s'en échappait, vers 11h. Il a rapidement composé le 911. Il a ensuite essayé d'évacuer l'étable dans laquelle se trouvait son troupeau de 130 vaches, certaines laitières et d'autres destinées à la boucherie. Malgré tous ses efforts, il a réussi à en sauver qu'une seule. http://www.cyberpresse.ca/article/20080307/CPACTUALITES/803070785/5054/CPVOIXEST
  12. Le vendredi 07 mars 2008 «Nos revenus s'envolent en boucane» Les 130 vaches qui se trouvaient dans la grange ont toutes péri, à l'exception d'une seule. photo Janick Marois Karine Blanchard La Voix de l'Est Granby Une ferme du chemin Brodeur, dans l'ancien canton de Granby, a été réduite en cendres, hier matin. Le troupeau de 130 vaches a péri dans l'incendie. Les dommages sont évalués à au moins 800 000 $. «C'est très émotif. Ce sont nos revenus qui s'envolent en boucane», a confié Sylvain Piette, de la ferme AMIS Desroches, qui a assisté, impuissant, au travail des sapeurs. Ce dernier était copropriétaire de cette entreprise avec sa conjointe et ses beaux-parents. Mais aujourd'hui, leur gagne-pain a disparu. M. Piette se trouvait chez lui, dans sa résidence située sur le même terrain que la grange, lorsqu'il s'est aperçu que de la fumée s'en échappait, vers 11h. Il a rapidement composé le 911. Il a ensuite essayé d'évacuer l'étable dans laquelle se trouvait son troupeau de 130 vaches, certaines laitières et d'autres destinées à la boucherie. Malgré tous ses efforts, il a réussi à en sauver qu'une seule. http://www.cyberpresse.ca/article/20080307/CPACTUALITES/803070785/5054/CPVOIXEST
  13. Le samedi 08 mars 2008 Un problème d'ours polaire? Appelez le numéro d'urgence Agence France-Presse Churchill Il est trois heures du matin et un ours polaire rôde dans votre jardin. Qui appeler à l'aide ? La bourgade de Churchill dans la baie d'Hudson au Canada, qui compte un millier d'habitants, a une réponse: son service d'alerte aux ours polaires. La ligne d'urgence en cas de rencontre avec un ours polaire est plutôt calme ces jours-ci, mais les gardes responsables de la protection des parcs et de la vie sauvage, les «rangers», sont prêts à passer à l'action dès le début de la fonte des glaces, dans quelques mois. Shaun Bobier, responsable local de la conservation de la vie sauvage de la province du Manitoba, est l'un des six rangers qui assurent les permanences au bout du fil 24 heures sur 24 pour répondre aux propriétaires qui appellent quand un ours encombre leur jardin. «En gros, le but est de protéger les personnes et leurs propriétés dans la communauté de Churchill et dans les environs, tout en protégeant aussi les ours polaires et en empêchant qu'ils soient harcelés inutilement ou même tués», explique-t-il à l'AFP. ... http://www.cyberpresse.ca/article/20080308/CPINSOLITE/80308010/5406/CPINSOLITE
  14. http://tinyurl.com/2924lh The issue of the seal hunt is showing up in the news again. Must be fund-raising time for international animal rights organizations. I'm not going to go on and on about whether I think seal hunts should continue or not. For me, that's not the point of my anger. I have little tolerance for liars and swindlers; that's all. Harsh words? I don't think so. And I think the only reason words like that aren't being used more often is due to basic Canadian politeness. Add to that the complexity of the animal rights movement, and a good dollop of urban elitism, and what we've got is a messy mire of tainted public messages. I have a strong respect and appreciation for those who are committed to caring for the animals of the world that need human voices to speak for them. I absolutely agree that human needs should never be an excuse for deplorable treatment of animals that are nearly extinct or are suffering because of pure human meanness. In fact, I've finally persuaded my dear old mother to take her sparse dollars that she used to send to the big animal rights organizations and send them to her local SPCA instead. She's the sort who never would let us own a pet, saying that caging an animal was a cruelty city people should think twice about. I have a bit softer take on that. For those who benefit from the companionship of a snugly cat or a protective dog, I understand that both parties live better lives in a beautiful mutual way. I've seen for myself how mobility restricted people have been raised out of depressions because of an animal's kindness. But I do see my mother's point about how city bred pets can also lead to abandoned, mistreated and even dangerously tempered animals when humans lose sight of responsible caring. If you don't plan to have a house full of cats, you should do what needs to be done to prevent that, rather than deal with the problem after a litter arrives. And she agrees with me that the SPCA is the best way to deal with those who have pets to be a target of their anger with the world. I can go further about my respect for organizations like Ducks Unlimited, which is made up of hunters who see what industry can do to natural animal habitats. And thank goodness for those who get in the way of senseless killing of gorillas and elephants and such. However, none of that caring compassion is evident to me in the anti-seal hunt movement. If it were simply a movement to make sure that sealers are as humane as possible, that would be fine. But that's been achieved already. It seems to me that nothing will satisfy them until all killing of all animals is halted completely, and that's part of why I'm suspicious of their truthfulness. Another part is the way they tell their side of the story. Has anyone noticed the public voice they choose is often a young sweet child-like female voice? I suppose that raises emotion-based support better than a gruff demanding presentation. I heard one such activist in a news story saying "and the men were laughing and joking while killing". I suspect she saw this as evidence that sealers are heartless. Does she think that sealers should be citing the Rosary instead? Is she not aware that humour is often used whenever hard physical labour is being done? Does she not know that poorly paid vegetable harvesters often joke about to lighten their loads? Would those sounds offend her sensibilities as well? The global fish population is being dangerously sabotaged by unrestricted practices elsewhere in the world. The animals of the Rainforest are being driven to extinction by corporate greed. The caribou of the western North are at risk because of the search for oil. Slaughterhouses are under-inspected in many nations because of low funding for inspectors. But it's the seal hunt that is in the newsletters sent out to ask for donations. Why? That's where my accusation of swindling comes about. Like I told my mom, more donation money is being used for the cost of keeping organizations alive than is being used to actually protect a species that seems to be able to look after its population growth by itself. I told her not to be fooled by the glee being expressed about getting American restaurants to boycott all Canadian ocean products. That's been shown to be false; and by the American Restaurant Association itself. Most of the restaurants they mention on their website are vegetarian or never used Canadian products in the first place, according to a ARA's recent membership survey. If, as I suspect, this particular branch of the animal rights movement is really about pushing us towards a vegetarian global community, then they should say so. To tug at vulnerable heartstrings for the sake of dollars is wrong. The humans of the world do need to take a good hard look at their arrogant use of all that Mother Earth provides, I agree. But lying to my mother isn't the way to go about it.
  15. Homme et ours blanc: cohabitation à risques sur un archipel de l'Arctique Par Par Pierre-Henry DESHAYES AFP - Vendredi 7 mars, 16h45LONGYEARBYEN (AFP) - Un ours blanc sur fond noir: atypique, le panneau rappelle la précarité des hommes au Svalbard, un archipel de l'Arctique où les ours polaires sont moitié plus nombreux et où les rencontres peuvent être fatales aux uns comme aux autres. A quelques encâblures du pôle Nord, ce petit bout de Norvège aussi connu sous le nom de Spitzberg abrite quelque 3.000 ours et 2.300 hommes, deux prédateurs qui vivent en bonne entente... la plupart du temps. ... "Il était à environ 25 mètres derrière nous. C'était une sensation plutôt déplaisante", relate-t-elle. "Mon père a essayé de l'effrayer mais en vain. Il a finalement dû l'abattre". ... "Un jeune ours affamé, pas plus gros qu'un saint-bernard, a tenté d'entrer dans le bâtiment où on se trouvait. On l'a éloigné une fois, deux fois, trois fois en tirant en l'air mais il insistait, et j'ai fini par l'abattre", dit-il. "Il faut toujours avoir à l'esprit qu'on figure sur son menu", ajoute-t-il. L'ours a multiplié ses incursions dans les zones habitées ces dernières décennies, attiré par l'odeur des phoques dont on nourrit les chiens de traîneau et que l'on conserve, dehors, pendus à d'énormes chevalets. Changement climatique oblige, le carnivore voit son territoire de chasse, la banquise, fondre littéralement sous ses griffes. "L'homme est en train d'éradiquer l'ours blanc avec ses activités industrielles et sa pollution. Ce n'est pas l'ours le danger, c'est nous", estime Liv-Rose Flygel. "J'espère que l'on n'aura jamais à remplacer l'ours de notre panneau par un squelette". l'article: http://fr.news.yahoo.com/afp/20080307/tsc-norvege-arctique-societe-animaux-our-c2ff8aa.html
  16. Imaginez le voyage !! C'est au moins 3 jours en camion jusqu'aux Barbardes, sinon + --------------------------------------------- Le Mexique et la Barbade ouvrent leurs frontières aux bovins de reproduction du Canada Ottawa (Ontario), 25 février 2008 - Le 23 février, le gouvernement du Mexique a annoncé qu'il permettra dorénavant l'importation de bovins de reproduction en plus du boeuf et des produits du boeuf canadiens. Entre-temps, les autorités de la Barbade ont accepté les conditions révisées de l'importation de bovins de reproduction du Canada. L'honorable Gerry Ritz, ministre de l'Agriculture et de l'Agroalimentaire et ministre de la Commission canadienne du blé, et l'honorable David Emerson, ministre du Commerce international et ministre de la porte d'entrée du Pacifique et des Olympiques de Vancouver-Whistler, se sont réjouis de la nouvelle. « Il s'agit là d'une bonne nouvelle pour les exportateurs de bétail canadiens et d'une étape importante pour rétablir l'accès aux marchés de tous nos partenaires commerciaux, a déclaré le ministre Ritz. En travaillant d'arrache-pied pour rouvrir les marchés d'exportation à nos éleveurs de bétail, le gouvernement du Canada montre une fois de plus qu'il accorde la priorité aux agriculteurs. Le gouvernement actuel s'engage continuellement à régler les problèmes d'accès aux marchés du boeuf et des bovins, en s'appuyant sur de solides principes scientifiques, afin de créer des débouchés pour l'industrie canadienne et les familles d'agriculteurs ». « Le gouvernement est heureux que le Mexique ait décidé d'ouvrir son marché aux bovins reproducteurs canadiens et que la Barbade ait révisé les conditions d'exportation des bovins reproducteurs, a déclaré le ministre Emerson. Il s'agit là d'une excellente nouvelle pour notre industrie du bétail et d'une autre étape importante dans le cadre des efforts déployés pour rétablir le plein accès du boeuf et des bovins aux marchés de tous nos partenaires commerciaux. » Le Mexique et la Barbade se joignent à un nombre croissant de pays qui ont repris les échanges commerciaux de bovins sur pied avec le Canada. Les produits canadiens maintenant approuvés pour l'exportation au Mexique comprennent le boeuf provenant de bovins âgés de moins de 30 mois ainsi que les bovins de reproduction de race laitière et bouchère. Tous les produits du boeuf et tous les bovins de reproduction canadiens ont maintenant accès au marché de la Barbade. Le Canada continue à travailler avec ses partenaires commerciaux pour assurer le plein accès aux marchés d'exportation des animaux et des produits animaux, conformément aux lignes directrices de l'Organisation mondiale de la santé animale. ba
  17. Animal

    BULLETIN HIVER 2008

    Les hamsters seront détruits - 06/03/2008 Face au développement croissant du commerce illégal de hamsters pour être élevés comme animal d'agrément dans les grandes villes telles que Hanoi et Hô Chi Minh-Ville, le ministère de l'Agriculture et du Développement rural a demandé fermement aux localités et services compétents d'accroître les contrôles ainsi que l'abattage de ces rongeurs. >> Risques d'épizooties des hamsters Le hamster ne figure pas dans la liste des animaux dont l'élevage et la vente sont autorisés au Vietnam. Ainsi, d'après la réglementation actuelle, ils doivent être abattus, selon le vice-ministre de l'Agriculture et du Développement rural, Bùi Ba Bông, qui a demandé aux localités de contrôler l'élevage de ce rongeur et de sanctionner à temps les infractions. Des groupes d'inspecteurs ont été mis sur pied dans l'ensemble du pays pour réprimer les organismes et individus qui font le commerce ou l'élevage illégaux du hamster. Selon la réglementation en vigueur, toute importation illégale de cet animal est sanctionnée d'une amande allant jusqu'à 30 millions de dôngs. Selon le Service de l'élevage du ministère de l'Agriculture et du Développement rural, chaque année, un hamster peut mettre bas en moyenne 100 petits. Si l'élevage de ce petit rongeur n'est pas bien contrôlé, sa multiplication rapide pourra entraîner des risques de transmission des maladies et de destruction des cultures maraîchères. En effet, le hamster est susceptible de véhiculer la schistosomiase (schistosoma en anglais) et chez l'être humain, elle peut causer hépatite, inflammation des muqueuses intestinales, et ce sans compter toutes les autres maladies transmissibles dangereuses dont cet animal peut être le vecteur, a insisté Nguyên Dinh Hoè, de l'Association de protection de la nature et de l'environnement. Il est temps de stopper le commerce de hamsters en tant qu'animal d'agrément, et pour ceux présents au Vietnam, il vaut mieux les abattre parce qu'ils sont nuisibles à la santé humaine, a-t-il ajouté. Thu Trang/CVN (06/03/2008) http://lecourrier.vnagency.com.vn/default....mp;newsid=39996
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    http://www.theglobeandmail.com/servlet/story/RTGAM.20080307.whuntingfine0307/BNStory/robNews/ The Canadian Press March 7, 2008 at 6:13 AM EST MEADOW LAKE, SASK. — An Ontario man, who runs a guiding and outfitting operation, has received a $175,000 fine for operating without a license and hunting out of season in Saskatchewan. It's believed to be the largest fine for such a violation in the province. Wildlife officials say that Jeffrey R. Wolfe of Tillsonburg, Ont., was convicted in provincial court in Meadow Lake, Sask. A three-month investigation in 2005 confirmed that Mr. Wolfe was guiding American hunters on off-season hunts for moose, bear, white-tailed deer and elk near Meadow Lake in northern Saskatchewan. Nancy Heppner, Saskatchewan's environment minister, says illegal hunting and outfitting robs the people of the province of its natural resources. She calls the penalty “significant” and says she's confident it will send the message that the province's wildlife is valued and will be protected.
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    Il faisait dans les moins 25 degrés ce soir là. Plusieurs cochons sont morts gelés ... --------------------------------------------- Vallée Jonction. Reportage sur Zone911 - Top Reportages Publié par: Vincent Fradet - Éditeur 29-02-2008 Il s'en tire par miracle ! Un camion remorque, transportant à son bord près de 200 porcs, n'a jamais été en mesure de faire son virage au bas de la côte 112 à l'intersection de la route 173. Le camion remorque est allé fracasser un muret de neige, s'est renversé sur le coté et a terminé sa course à quelques mètres de la rivière Chaudière. La camionneur est sortie de l'habitacle par lui-même et il s'en tire qu'avec des blessures très mineures. L'accident s'est produit dans un secteur de la côte qui est très accentuée. Les pompiers de Vallée Jonction ont été demandés en renfort pour évacuer les porcs qui se trouvaient coincés dans la remorque. Il a fallu plus de 2 heures 30 minutes pour transférer toutes les bêtes dans un autre camion remorque. Afin de déterminer, si un problème mécanique est en cause, la Sûreté du Québec a demandé une inspection mécanique.
  20. A swig of live fish: A Flemish town's ritual draws condemnation By Stephen Castle Published: March 2, 2008 GERAARDSBERGEN, Belgium: Taking a deep breath, Rudy Van Acker raises a silver chalice to his pursed lips, hesitates ever so slightly, then takes a sip before downing the contents in a couple of swift gulps. Van Acker, the senior Roman Catholic priest in this rural area of Flanders, is undertaking one of his more unusual pastoral duties: drinking live fish, washed down with red wine. For centuries, thousands of revelers in this part of Belgium have celebrated the Krakelingen festival - named after the bread that will be thrown to the townspeople. The pageant, commemorating the onset of spring, combines pagan and Christian symbols and culminates in the consumption of tiny live fish immersed in red wine at a ceremony presided over by three men dressed as druids. The ritual has aroused the fury of animal rights campaigners, who claim it is cruel and anachronistic and have succeeded in limiting the number of people who can down the fish to around two dozen a year. But so far, they have failed to get the practice banned altogether or to force the revelers to electrocute the fish before they are removed from their tanks. Divisions between French speakers in the south and Flemish speakers in the north are eroding Belgium's national identity, even raising the prospect of the breakup of this fragile nation of 10 million people. Perhaps as a consequence, Belgian municipalities and regions cling ever harder to customs that set them apart from their neighbors. "This is in our tradition," said Guido De Padt, a former mayor of Geraardsbergen, as he walked in the bright sunshine dressed in historical costume complete with false sideburns to the fish-drinking ceremony. "It's in our genes." Geraardsbergen, a rural town of around 30,000 people, lies within 10 kilometers, or about 6 miles, of Francophone territory near the edge of Belgium's linguistic fault line. It is thus one of the most southern outposts of Dutch speakers in Europe. "We are near the linguistic frontier," De Padt added. "We are not separatists, but we want to keep our identity." The tiny grayish fish, known as grondeling, which are often used as bait by fishermen, are usually no longer than 2 to 3 centimeters, or about an inch. Though in some years they are larger and therefore difficult to swallow, De Padt says the drinker generally doesn't have a problem. "Sometimes they are still trembling a little in your mouth," he says, but normally they have stopped moving by the time they are consumed. "You don't taste them - but the wine is good," he added, referring to the French red table wine in which the fish meets its end. In an office in the center of Brussels, Michel Vandenbosch, the president of the animal rights campaign Global Action in the Interest of Animals, is far from amused by the spectacle. "For the fish, being put in alcohol is like a human being thrown into a container filled with toxic waste," said Vandenbosch. In previous years, fish have jumped out of the chalice and met their end on the ground, he said. Vandenbosch is confident the practice of drinking live fish will come to an end. "Sooner or later, this will be ended," he said. "Either because the people of Geraardsbergen will come to understand that it is wrong or because the law will clearly not allow it to continue." He said that the fish squirm in the wine chalice as they try to escape. Vandenbosch is not immune to the pull of tradition. He has sought a compromise, suggesting that the fish be electrocuted before they are drunk, or, better still, substituted with fish-shaped pieces of marzipan. Such half-measures are scoffed at by the civic leaders of Geraardsbergen, who say the tradition of which fish drinking is a part, first reliably documented by a Renaissance scholar, Joos Schollaert, around 1600, dates in fact from 1393. The origins of the ceremony, which takes place on the last Sunday in February, remain obscure. Some of its symbolism, including the presence of druids, may be borrowed from the Celts who once lived here, and one theory is that, by swallowing a live creature, the human body is reinvigorated for spring. After the pageant and fish-drinking ceremony, the civic leaders throw doughnut-shaped bread rolls - the krakelingen - to the people. The tradition is based on a legend that, during a medieval siege, those inside a fortress threw food over the walls to demonstrate that their supplies were unlimited and mislead an encircling army. Van Acker, the priest, said the krakelingen festival was originally a pagan tradition though the church "has given it Christian form." Wine, bread and fishes are symbols from the Bible and the bread is blessed before the ceremony. The leaders of Geraardsbergen have spent years in litigation fighting for the right to consume live fish. In December 2000, a Belgian court ruled that drinking living fish was a breach of animal-protection law. It did so partly because of a study by scientific experts at the University of Ghent that concluded that fish placed in alcohol suffered internal lesions. The ruling did not hand down penalties for those who had drunk fish in the past but said that the practice should cease. And, for the first time in living memory, in February 2001 the ceremony went ahead without live fish. However, the court of appeal in Ghent ruled that the practice was legitimate because it was not gratuitous drowning of fish in wine, but rather part of a rich tradition of historical importance. Though the court allowed the practice to continue, it ordered that it must be limited to town officials of Geraardsbergen rather than its general population - a decision confirmed by a higher court in 2002. Animal rights activists have persisted and last November succeeded in overturning a ruling that had banned them from demonstrating against the drinking of fish by the municipal authorities in Geraardsbergen. Though protesters had the right to demonstrate at the ceremony this year, they did not exercise it, though they promise not to give up the fight. "Isn't there another way to create a sense of identity, one that measures up to civilized behavior?" Vandenbosch asked. "It's barbaric. It won't be this type of tradition that saves the unity of Belgium." But for the civic leaders in Geraardsbergen, preserving Belgium may not be on top of their minds when they gulp down live fish. Jozef Dauwe, regional minister in charge of culture for East Flanders, said the ceremony was important for the town's identity rather than that of the country. "This is a link with our history. Here there are not many immigrants coming from Africa or Morocco," he said. "These are little old Flemish towns and we are proud of our monuments, our abbeys and castles." He said the tradition predated the foundation of Belgium, which was established only in the 19th century. "Belgium is a creation from 1830," Dauwe added. "Geraardsbergen was founded in 1068, and people are a lot more interested in what their forefathers did than in Belgium." http://www.iht.com/articles/2008/03/02/europe/fish.php?page=2
  21. Scientists meet on vegetarianism Stephen Wall, Staff Writer Article Launched: 03/05/2008 10:41:29 PM PST LOMA LINDA - More than 600 health professionals from across the globe this week are visiting the city to discuss issues related to vegetarianism. The International Congress on Vegetarian Nutrition, which occurs about once every five years, features more than 40 guest speakers presenting original data and research findings at the Loma Linda University Drayson Center. "This is the leading scientific international conference on a topic that is vital to human health," said Joan Sabate, chairmanof the congress and the Loma Linda University School of Public Health Department of Nutrition. The three-day event, which wraps up today, probes the "positive and negative health effects of vegetarian diets and plant-based diets," Sabate said. In the scientific community, it is established that vegetarian diets help in the prevention of heart disease by lowering blood pressure and cholesterol, Sabate said. Vegetarian diets also lower the risk of diabetes and obesity. But there is no consensus among health experts about whether vegetarian diets aid in the prevention of cancer, he said. There is some evidence to show that fruits, vegetables, grains, fiber and high-protein vegetarian foods can prevent childhood obesity, said P.K. Newby, an assistant professor in the department of pediatrics at Boston University. Besides the effects of a meatless diet on human health, the conference is exploring the impacts of vegetarian diets and the reduction of meat intake on the health of the planet. This afternoon, panelists will examine the relationship between personal food choices and global warming. "There is now data showing that meat production is one of the main determinants of climate change," Sabate said. Antonio Castelo, a family doctor from Portugal, gave the conference high marks. "I think it's amazing," he said. "You're always learning new things. It's a good experience to exchange ideas and opinions about this subject." Castelo said the research presented at the conference will help him provide a more scientific basis for the public lectures he gives in Portugal. The proceedings of the congress will be published in a special supplement to the American Journal of Clinical Nutrition, a leading nutrition publication. http://www.sbsun.com/news/ci_8470107 voir aussi: http://www.pe.com/localnews/lomalinda/stories/PE_News_Local_D_veggie02.4261e47.html
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    Icy Winter Kills Hundreds Of Himalayan Pashmina Goats INDIA: February 29, 2008 SRINAGAR - Hundreds of goats that provide wool for Kashmir's famous Pashmina shawls have died and thousands more face starvation because of heavy snow in India's Ladakh region where they live, officials said. About 150,000 goats graze on pastures near the border with China where temperatures plunge to as low as minus 20 degrees Celsius (minus 29 degrees Fahrenheit). Pashmina goats, which grow a thick warm fleece, survive on grass but fodder becomes scarce in the harsh winter. A Ladakh government official saw "heaps" of carcasses after visiting some of the frozen winter pastures. "The death toll could increase as the pregnant goats have been having miscarriages," Tsering Dorjay told Reuters late on Wednesday, adding the goats faced death from starvation. "The young ones have been dying because of the cold." After a ban on shahtoosh, the world's finest wool derived from the hair of an endangered Tibetan antelope, shawls made from Pashmina wool are considered some of the world's finest and they are exported worldwide. Ladakh authorities said they are trying to get emergency supplies to Pashmina grazing grounds as winter stocks of fodder had run out. "The fodder has reached to some areas but 30,000 to 40,000 goats still face starvation in snow-bound areas," said Dorjay. (Reporting by Sheikh Mushtaq; Editing by Krittivas Mukherjee) http://www.planetark.com/dailynewsstory.cfm/newsid/47257/story.htm
  23. India to kill 100,000 dogs to fight rabies by Hilal Ahmed, The Associated Press March 6, 2008 SRINAGAR, India – Authorities in Indian Kashmir have begun poisoning stray dogs in an anti-rabies drive that aims to kill some 100,000 dogs in the region's main city, officials said Thursday. Animal rights activists vowed to go to court to stop the slaughter planned by Srinagar city, saying it is an illegal and cruel solution to a problem that could be better addressed with other methods. With the world's highest rabies fatality rate, India has grappled with ways to control the millions of stray dogs that live on its streets. In Srinagar, city officials vowed to press ahead with the plan already under way to poison strays with strychnine. "These dogs have become a big nuisance and they are threatening humans," said Dr. Riyaz Ahmad, the Srinagar city health officer who is organizing the killing. It was not clear Thursday how many dogs have already been killed. Animal activists said they would try to stop the poisoning drive, said Javaid Iqbal Shah, the deputy head of the Srinagar Society to Prevent Cruelty to Animals. Shah said using strychnine was particularly cruel, causing terrible suffering to the dogs, crippling their nervous systems and choking them. "I have seen children cry when they pass by these dying dogs," he said. Shah said he had proposed the city sterilize strays instead but acknowledged that his organization had only managed to neuter 400 dogs in the last two years. India accounts for more than 60 percent of the world's estimated 35,000 annual rabies deaths, according to the World Health Organization, and stray dogs are often blamed. In some areas, dogs form feral packs that have attacked people. However, other strays are "community pets," semi-tame animals who are cared for and fed by local residents. Other cities have struggled unsuccessfully to curb the stray-dog problem, with a variety of solutions. India's high-tech hub of Bangalore called off a drive to slaughter strays amid allegations that untrained workers were stoning, strangling and beating the dogs to death. In New Delhi, one city councilor suggested shipping the country's strays to Korea, where dog meat is considered a delicacy. http://citizen-times.com
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