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Animal

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Tout ce qui a été posté par Animal

  1. Bienvenue Jacques ! Faute de temps aujourd'hui, j'ai uniquement jeté un petit coup d'oeil sur ton blog et lu 2 ou 3 de tes très jolis poèmes, mais je me promets d'y consacrer plus de temps dans le courant de la journée demain pour aller tous les lire ! À bientôt,
  2. Animal

    L'île de Sable, un éden menacé

    « Les dauphins et les baleines, et beaucoup d'autres mammifères marins, voient leur environnement, sentent leur environnement, communiquent entre eux grâce au son, explique Hal Whitehead. Alors quand l'océan devient bruyant, c'est comme du brouillard qui s'abat sur nous. L'environnement se réduit ; les animaux ne peuvent plus le sentir, ni sentir leurs compagnons; ils ne peuvent entendre venir leurs prédateurs; ils ne peuvent trouver leur proies. » Pour lui, il n'y a qu'une seule vraie solution : « Je pense que nous devons établir dans cette région un réseau de zones marines protégées. Le gouvernement a dit qu'il voulait le faire, mais il n'en a pas eu la volonté jusqu'à maintenant. Ainsi, on n'aurait pas l'impression que tout est à vendre, que l'industrie du pétrole et du gaz peut aller partout, à l'exception du Goulet, et encore, elle s'en approche. Le Goulet devrait faire partie de tout un système de zones laissées pour les animaux et les écosystèmes marins qui sont si importants pour nous. » La compagnie Exxon Mobil, propriétaire des trois plateformes en opération autour de l'île de Sable, a refusé de rencontrer l'équipe de Découverte. Par ailleurs, elle affirme que tout va bien. Pourtant, elle refuse de rendre publics les suivis environnementaux qu'elle est tenue de produire chaque année concernant : la pollution sonore, la présence des contaminants dans les boues et les débris de forage, les émissions toxiques reliées au brûlage des excédents de gaz, et tous les autres impacts reliés à la production. Exxon Mobil le fera en 2004, cinq ans après le début des opérations, tel que le stipule la loi. Et pas avant. Pour en savoir plus Stratégie de conservation du goulet de l'île de Sable Pêches et Océans Canada Île de Sable Site du Musée d'histoire naturelle de Nouvelle-Écosse Projets gaziers de l'île de Sable Document de l'Agence canadienne d'évaluation environnementale Stratégie de conservation pour l'île de Sable Environnement Canada Journaliste : Mario Masson Réalisatrice : Jeannita Richard Nous remercions la Direction des Océans de l'Institut d'Océanographie Bedford et la Division de la Gestion Côtière des Océans, toutes deux rattachées à Pêches et Océans Canada, de même que le laboratoire Whitehead, de l'Université Dalhousie, qui nous ont permis d'utiliser certaines de leurs images. Première partie : Deuxième partie : « C'est un habitat unique en soi, unique aussi parce que les chevaux sont ici. Vous pouvez vous pencher sur une espèce en particulier ou étudier la relation entre différences espèces de la flore et de la faune. » Zoe Lucas Selon Zoe Lucas, les chevaux n'ont pas eu d'impacts négatifs majeurs sur l'île. Ils s'y sont intégrés, pour ainsi dire, naturellement. Ce ne fut pas le cas avec les cochons ou les vaches. Ce ne fut pas le cas des nombreuses autres plantes introduites à coup de milliers d'exemplaires et qui n'ont pas survécu. Sur l'île, plusieurs espèces d'invertébrés ont acquis, avec le temps, des caractères uniques. C'est le cas du papillon orgyie. Ses couleurs n'ont pas la même intensité que celles de ses confrères du continent. Les plateformes sont illuminées comme des arbres de Noël, 24 heures sur 24, hiver comme été. On craint que les bruants d'Ipswitch s'y donnent rendez-vous, lors de leurs migrations annuelles, au risque d'y perdre des plumes, et leur vie. Il y a environ 250 000 phoques gris sur l'île de Sable. « Je pense que nous devons établir dans cette région un réseau de zones marines protégées. Ainsi, on n'aurait pas l'impression que tout est à vendre. » Hal Whitehead Exxon Mobil, propriétaire des trois plateformes qui entourent l'île de Sable, a refusé de rencontrer Découverte. http://www.radio-canada.ca/actualite/decouverte/reportages/2002/11-2002/2002_nov17/ile_sable.html article daté du — 17 novembre 2002
  3. Animal

    L'île de Sable, un éden menacé

    En outre, les plateformes elles-mêmes posent problème, car elles sont illuminées comme des arbres de Noël, 24 heures sur 24, hiver comme été. On craint que les bruants d'Ipswitch s'y donnent rendez-vous, lors de leurs migrations annuelles, au risque d'y perdre des plumes, et leur vie. Comme on estime à 3000 le nombre de ces oiseaux, en perdre ne serait-ce que quelques centaines, pourrait mettre en péril la survie même de ce groupe unique. Martha Leonard est spécialiste du comportement des oiseaux. « Les espèces apparaissent et s'éteignent naturellement. Mais je crois que pour chaque espèce perdue à cause de l'interférence des humains, nous devons en prendre la responsabilité, parce que nous sommes l'espèce qui a le devoir de protéger la planète. Alors pour moi, perdre une espèce est criminel. » Pollution sous l'eau La pollution se retrouve également sous l'eau. Que ce soit pour l'extraction du pétrole ou du gaz naturel, c'est toujours la même technique. Pour lubrifier les énormes trépans qui servent à forer les puits et à maintenir la pression dans les tuyaux de forage, on utilise un mélange savant de divers produits chimique appelé boues de forage. Ces boues sont continuellement pompées à la surface pour être remplacées. Elles remontent en même temps les débris de roches. On emploie maintenant des boues synthétiques, ou encore des boues à base d'eau, moins toxiques, que l'on rejette, après les avoir nettoyées, sur le plancher océanique. . On parle de 100 tonnes de débris par puit, en moyenne. C'est énorme. Même nettoyés, ces débris contiennent encore plusieurs contaminants. C'est une soupe toxique qui peut contenir plus de 300 produits chimiques. Pour l'instant, la quantité de rejets est encore minime, mais il n'en faut pas beaucoup pour contaminer des pétoncles, par exemple. Comme le nombre de puits est appelé à se multiplier, quel sera l'impact à long terme sur la communauté benthique, c'est-à-dire l'ensemble des organismes aquatiques qui, comme les pétoncles, vivent et dépendent des fonds marins ? Les phoques gris, par exemple, qui se gavent de lançons, de petits poissons non commerciaux que l'on retrouve ici en nombre élevé. Sara Iverson, physiologiste à l'université Dalhousie d'Halifax, étudie l'alimentation des phoques gris. « Il est évident que cette communauté benthique supporte un écosystème gigantesque, parce que les lançons sont la nourriture de base des phoques communs et des phoques gris, de même que de certains oiseaux de mer. Les lançons s'enfouissent dans le sable et ils seraient très affectés par les contaminants… les phoques aussi d'ailleurs. » Pour l'instant, les phoques de l'île de Sable sont en bonne santé. Il y a peu, ou pas du tout, de traces de contaminants chez eux. Ils seront donc de parfaits témoins pour mesurer leur présence dans l'environnement. Mais il y a une autre interrogation à laquelle les phoques ne peuvent fournir de réponse. Ces contaminants, restent-ils autour des plate-formes ? Pour Hal Whitehead, chercheur à l'université Dalhousie, l'océan n'a rien d'un univers fermé qui fonctionne en vase clos. Nous l'avons rencontré quelques heures avant son départ pour le canyon sous-marin le Goulet, l'une des régions les plus riches de tout le littoral atlantique. Un écosystème foisonnant, avec ses coraux, ses espèces de poissons variés et ses mammifères marins, comme les baleines à bec commun. La nourriture qui sustente tous ces organismes provient en grande partie des eaux peu profondes de la plateforme atlantique. Elle est ensuite dirigée par les courants vers le Goulet, à travers un réseau de petits ravins d'alimentation. Selon Hal Whitehead, ce mécanisme de transport des nutriments pourrait s'avérer néfaste pour les habitants du canyon. « Ce qui nous préoccupe, c'est qu'il est possible que certains contaminants provenant de l'activité industrielle autour de l'île de Sable, comme les boues de forage, puissent se rendre dans le Goulet à travers ces petits ravins d'alimentation. » C'est confirmé maintenant. On a retrouvé des traces de contaminants issus des boues de forage dans les eaux du canyon. En plus grandes concentrations, ces contaminants auront-ils une incidence sur les baleines à bec commun et les pieuvres qui leur servent de nourriture, de même que sur les nombreux poissons de fond, comme la morue et le sébaste, qui viennent frayer ici ? Pollution sonore Autre sujet d'inquiétude : la pollution sonore. Pour découvrir les champs gaziers, l'industrie du pétrole se sert de canons à air montés sur des bateaux. Quand le canon entre en action, il produit des ondes sonores très puissantes. En phase d'exploration, le canon à air peut être utilisé des milliers de fois par jour, à 30 secondes d'intervalle. Cette méthode est très invasive, car le son voyage merveilleusement bien dans l'eau.
  4. L'île de Sable, un éden menacé En plein Atlantique, un croissant de sable, qui se fait et se défait au gré des humeurs de la mer. Un bout de terre, égaré au large, à 290 kilomètres d'Halifax, la capitale de la Nouvelle-Écosse. C'est l'île de Sable. On a bien essayé de la domestiquer, cette île à la beauté sévère, mais en vain. Aujourd'hui, seuls témoins de ce temps jadis où l'île de Sable était habitée et cultivée : des phares, une station météorologique et son personnel, devenu par la force des choses l'ange gardien des lieux, et de robustes petits chevaux retournés à l'état sauvage. Débarqués il y a un peu plus de 200 ans, puis laissés à eux-mêmes, ils ont survécu envers et contre tous au point de devenir avec le temps le symbole même de l'île. Cette année, les différentes hardes se portent très bien. Nombre total de bêtes : 350. La chercheuse indépendante Zoe Lucas les étudie depuis plus de 20 ans. Toujours avec la même fascination. « Ces chevaux sont laissés à eux-mêmes depuis longtemps, dit-elle. Voilà pourquoi il est si intéressant de les observer. De plus, la recherche génétique peut répondre à beaucoup de questions à propos de leur comportement, comme les relations entre les hardes, ou les liens de paternité avec la progéniture. Vous ne savez rien de tout cela, à moins de pouvoir étudier tous les chevaux en tout temps 24 heures sur 24. » Si les chevaux sont de merveilleux ambassadeurs, l'île de Sable a bien d'autres attraits. D'abord, un système unique de dunes qui abrite de petits étangs d'eau douce où se retrouve tout ce qui bouge à l'intérieur de l'île : oiseaux, insectes, poissons. Et pas un arbre à l'horizon. C'est un endroit remarquable pour les chercheurs qui y viennent. Car ici vivent des espèces uniques et bien d'autres encore dont on ne connaît ni les habitudes, ni même l'existence. D'ailleurs, voilà pourquoi certains voient en l'île de Sable une version nordique des Galapagos. Elle aussi, c'est dans l'isolement qu'elle a forgé sa spectaculaire identité. S'il y a quelqu'un qui peut parler de cette île, c'est Gerry Forbes : administrateur, météorologue, plombier, climatologue, infirmier, ingénieur, opérateur de machinerie lourde, contrôleur aérien… Il est l'un des rares résidents permanents de l'île. Depuis 17 ans, il prend un soin jaloux de ce petit monde hyperactif. « Je suis ici depuis assez longtemps pour avoir vu la formation de dunes recouvertes de végétation, raconte-t-il, alors qu'à d'autres endroits, les dunes sont complètement disparues. Alors, on peut dire sans se tromper qu'à certains endroits l'île rétrécit, et qu'ailleurs elle grandit. » En soi, l'île de Sable est une curiosité géologique. Composée uniquement de sable non consolidé, c'est la seule partie exposée de la plateforme continentale atlantique. L'île fait 41 kilomètres de longueur sur 1,3 kilomètre dans sa partie la plus large. Tout commence avec le sable et avec les plantes très spécialisées capables de le coloniser et de le stabiliser. Comme les pourpiers, les pois de mer ou encore les ammophiles, qui sont d'ailleurs la nourriture principale des chevaux. Ces plantes permettent aux grains de sable de s'agglomérer pour en venir à former des dunes immenses dont certaines atteignent 30 mètres de hauteur. Ces dunes s'opposent avec succès à l'érosion causée par le vent et la mer. Des espèces uniques En 1981, les botanistes avaient démontré que parmi les 177 espèces de plantes identifiées sur l'île, 135 espèces en étaient originaires. Les joyaux de cette collection : l'orchidée de l'île de Sable, et la rosolie à feuille ronde. Ici, toute la végétation indigène est protégée. Les oiseaux sont aussi de la fête. L'île de Sable est un sanctuaire et une halte routière pour plus de 300 espèces d'oiseaux. Seize espèces y nichent régulièrement, dont les sternes de Dougall, en voie de disparition sur l'île. Et puis il y a l'oiseau fétiche de l'île de Sable : le bruant d'Ipswitch. Son comportement a capté l'attention de nombreux chercheurs, dont Martha Leonard, professeur au département de biologie de l'Université Dalhousie à Halifax. « L'île de Sable est le seul endroit où ces oiseaux pondent leurs œufs, explique-t-elle. Et les lieux de reproduction sont toujours importants, parce que fragiles. Si tous ces oiseaux ne viennent qu'à un seul endroit et que vous perdez cet endroit, c'est toute la population, voire l'espèce même, qui est en danger. C'est incroyablement important. » Tout autour de l'île, il y a des plages fabuleuses. Elles abritent le plus grand nombre de phoques gris reproducteurs au monde. Don Bowen, de l'Institut Océanographique de Bedford à Halifax, les fréquente depuis longtemps, ces phoques. Sa spécialité : les prendre au filet et leur poser des émetteurs de manière à pouvoir les suivre dans leurs déplacements. « Les phoques gris sont bien adaptés à leur environnement marin, raconte-t-il. Ils sont très capables de trouver les supermarchés où la nourriture abonde. Et ils sont en très bonne santé. En fait, nous avons écrit un article de revue dans lequel nous disons que la population de phoques gris de l'île de Sable croît de façon exponentielle depuis 40 ans. Elle a doublé dans les derniers 6 ou 7 ans. » Don Bowen estime la population de phoques gris à 250 000. Comme un mâle mange en moyenne 8 kilos de poissons par jour, c'est dire combien la nourriture est abondante ici. En fait, l'île de sable n'est que la partie visible d'un ensemble très complexe beaucoup plus vaste. Tout autour de l'île, les eaux peu profondes grouillent de vie. Puis à 20 kilomètres de là, la plateforme continentale s'abaisse. Les eaux deviennent beaucoup plus profondes. Partout les poissons abondent, de même que les organismes aquatiques qui les nourrissent. À 40 kilomètres de l'île de Sable, de nombreux petits ravins sillonnent le plancher océanique et viennent se jeter dans un canyon baptisé le Goulet. Profondeur : 2000 mètres. Ici aussi, la vie foisonne. Voilà pourquoi divers mammifères marins, en particulier les baleines à bec commun, y ont élu domicile. Tous ces écosystèmes sont étroitement connectés pour former un environnement remarquable, mais vulnérable, et dont on sait malgré tout peu de choses. Un éden en danger Or, dans ce monde féerique, le danger est maintenant présent, toujours. Sous l'eau gisent des milliards de mètres cubes de gaz naturel. Une fortune. Déjà, les premières plateformes pétrolières et leur panache de fumée, font partie du paysage. Y a-t-il menace au paradis ? L'île de Sable et sa banlieue excitent la convoitise des grandes compagnies pétrolières depuis longtemps. Sous cet environnement, il y a d'immenses gisements de gaz naturel dont on évalue la quantité exploitable à 85 milliards de mètres cubes. De quoi chauffer proprement toutes les maisons du continent pendant des années. La chasse aux hydrocarbures commence dès le début des années 1970. Mais l'exploitation du gaz naturel à grande échelle ne démarre qu'en 1999, alors qu'Exxon Mobil met en service à proximité de l'île trois plateformes : Thébaud, la plateforme centrale, North Triumph et Venture, des plateformes satellites. Reliées entre elles, ces plateformes acheminent le gaz naturel jusqu'à la terre ferme par un pipeline de 275 kilomètres de longueur. D'ici 2008, s'ajouteront au moins cinq nouvelles plate-formes, de même que deux autres pipelines. Le nombre de puits en opération va augmenter d'autant. Pour beaucoup de monde, leur présence si proche de l'île de Sable fait craindre le pire. Le grand danger, c'est l'explosion d'un puits sur une plateforme, ou encore le bris majeur d'un pipeline. C'est d'ailleurs déjà arrivé à proximité de l'île de Sable en 1984. Mais avec le gaz naturel, disent les compagnies, les effets de ce genre de catastrophes sont toujours négligeables. Ici, pas de marée noire, comme c'est le cas avec le pétrole lourd, donc pas de pollution !, ajoutent-elles. Mais les choses ne sont pas aussi simples. Si le gaz est moins persistant, il est aussi plus toxique. En cas de fuite majeure, une partie du gaz naturel reste en solution dans l'eau. Résultat : une contamination sévère des organismes aquatiques qui servent de nourriture aux poissons, aux mammifères marins et aux oiseaux de mer. Pollution de l'air Mais l'exploitation des plateformes présente, au quotidien, bien d'autres dangers. Par exemple, les torchères qui brûlent l'excédent de gaz par mesure de sécurité. Elles produisent alors des émissions d'hydrocarbures qui vont se déposer sur l'eau et sur l'île. En tant que responsable de la station de recherche atmosphérique, Gerry Forbes a pour mandat de suivre ce type de pollution à la trace. « Quels seront les effets à long terme de ces émissions ? L'Office Canada Nouvelle-Écosse des Hydrocarbures Extracôtiers parraine l'installation sur l'île d'une station de recherche dont le travail sera d'étudier ces émissions. Pour savoir qui les produit et en quelle quantité, pour savoir quelle quantité se rend jusqu'ici et combien il en faudrait pour polluer l'île. » La question se posera avec encore plus d'acuité, quand on mettra en service le champ gazier Deep Panuke situé à quelque kilomètres de l'île de Sable. Sa particularité : un gaz naturel toxique, parce qu'il contient de l'hydrogène sulfuré. En Alberta où on exploite ce type de gaz depuis 20 ans, on a noté des effets sérieux sur la santé des humains et des animaux. Ce type de gaz, surtout s'il est mal traité, pourrait donc se révéler funeste pour les créatures de l'île et les organismes aquatiques.
  5. Chasse au phoque: L'île de Sable dans le collimateur 2008-02-28 L'industrie des pêches en Nouvelle-Écosse souhaite réduire la population de phoques sur cette île de l'Atlantique, mais plusieurs obstacles se dressent devant elle. Des représentants de l'industrie des pêches en Nouvelle-Écosse essayent de convaincre le ministre fédéral des Pêches et des Océans de permettre une chasse au phoque sur l'île de Sable. Denny Morrow, délégué de l'association des transformateurs de poisson de la Nouvelle-Écosse, a abordé la question avec le ministre Loyola Hearn, il y a deux semaines. La population de phoques gris connaît une forte croissance à l'île de Sable depuis la fin des années 1970. Le troupeau, qui comptait 20 000 bêtes à l'époque, s'élève maintenant à plus de 250 000. Les pêcheurs croient que ces phoques sont responsables de la chute des stocks de poissons de fond. Les phoques causent d'autres problèmes aux transformateurs de poissons, comme Claude d'Entremont, à Pubnico. « On a des parasites dans les phoques qui viennent dans le poisson et qui nous causent des problèmes. Il faut les enlever. Ça nous coûte beaucoup plus cher », affirme M. d'Entremont. Claude d'Entremont croit qu'une chasse annuelle à l'île de Sable permettrait de réduire de moitié la population de phoques gris et de créer du travail. « On peut développer une industrie. Les pêches ne sont pas si bonnes que ça », dit-il. Cependant, l'accès des chasseurs à l'île de Sable, reconnue pour ses troupeaux de chevaux sauvages et sa beauté naturelle, s'annonce difficile. « C'est isolé, c'est loin et ça prend des ressources pour se rendre là. Aussi, il y a des espèces en périls là », explique le garde-côte Tim Surette. De plus, les animalistes s'opposent farouchement à cette chasse. Les pêcheurs auront donc de la difficulté à convaincre Ottawa de permettre une chasse au phoque sur cette île. http://nouvelles.sympatico.msn
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    BULLETIN HIVER 2008

    Chasse au phoque: L'île de Sable dans le collimateur 2008-02-28 13:33:01 L'industrie des pêches en Nouvelle-Écosse souhaite réduire la population de phoques sur cette île de l'Atlantique, mais plusieurs obstacles se dressent devant elle. Des représentants de l'industrie des pêches en Nouvelle-Écosse essayent de convaincre le ministre fédéral des Pêches et des Océans de permettre une chasse au phoque sur l'île de Sable. Denny Morrow, délégué de l'association des transformateurs de poisson de la Nouvelle-Écosse, a abordé la question avec le ministre Loyola Hearn, il y a deux semaines. La population de phoques gris connaît une forte croissance à l'île de Sable depuis la fin des années 1970. Le troupeau, qui comptait 20 000 bêtes à l'époque, s'élève maintenant à plus de 250 000. Les pêcheurs croient que ces phoques sont responsables de la chute des stocks de poissons de fond. Les phoques causent d'autres problèmes aux transformateurs de poissons, comme Claude d'Entremont, à Pubnico. « On a des parasites dans les phoques qui viennent dans le poisson et qui nous causent des problèmes. Il faut les enlever. Ça nous coûte beaucoup plus cher », affirme M. d'Entremont. Claude d'Entremont croit qu'une chasse annuelle à l'île de Sable permettrait de réduire de moitié la population de phoques gris et de créer du travail. « On peut développer une industrie. Les pêches ne sont pas si bonnes que ça », dit-il. Cependant, l'accès des chasseurs à l'île de Sable, reconnue pour ses troupeaux de chevaux sauvages et sa beauté naturelle, s'annonce difficile. « C'est isolé, c'est loin et ça prend des ressources pour se rendre là. Aussi, il y a des espèces en périls là », explique le garde-côte Tim Surette. De plus, les animalistes s'opposent farouchement à cette chasse. Les pêcheurs auront donc de la difficulté à convaincre Ottawa de permettre une chasse au phoque sur cette île. http://nouvelles.sympatico.msn.radio-canada.ca
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    Des voyageurs malmenés

    toujours les mêmes rengaines, mais y'a rien qui s'passe
  8. Sable Island seal cull sought By BRIAN MEDEL Yarmouth Bureau Wed. Feb 27 - 5:42 AM YARMOUTH — What Nova Scotia needs is an all-out harvest of adult grey seals on Sable Island, say fishing industry insiders. This month’s brief grey seal harvest on Hay Island was government-approved and provided some off-season employment for Cape Breton fishermen but didn’t do anything to relieve the problems caused by the seals, they say. "We need to reduce the Sable Island herd," said Denny Morrow of the Nova Scotia Fish Packers Association. The industry supports a plan to reduce the herd to half its current population over five years. "That . . . would still make it, I think, the biggest grey seal herd in the world," Mr. Morrow said Tuesday. Fish processing plants are reporting an increasing incidence of seal worm parasites in the vital organs of cod, haddock, flounder and halibut, he said, and scientists are investigating whether fish are dying from the parasites. The grey seal herd has grown from about 30,000 to over 300,000, Mr. Morrow said. Fishermen have also reported changes in fish behaviour that they attribute to grey seals. "You don’t see fish coming in to shallow inshore waters any more" where the seals come ashore, he said. Many fishermen believe seals are chasing cod from spawning banks, which is disrupting reproduction. Cod from a diminishing stock that migrates out from the Gulf of St. Lawrence to open ocean wintering grounds pass by Hay Island, said Mr. Morrow. "It’s a lunch for the grey seals." John Levy is a Lunenburg County fisherman and president of the Grey Seal Society, a working group trying to bring about a successful harvest. The hunt on Hay Island, about two kilometres off the coast of Main-a-Dieu in Cape Breton, was late starting, he said, explaining why only 1,200 animals were taken when the quota was 2,500. Juvenile grey-coated seals, not white-coated pups, were sought. Many of the seals had already entered the water, though, he said. "There were about 4,000 pups born on that island this past winter," Mr. Levy said, referring to scientific estimates provided to fishermen. Hay Island has been a breeding ground for a little more than a decade, he said, but the island is so small that its ecology is being destroyed by the grey seals that are crawling all over it. Mr. Levy fishes lobster and groundfish from his home port of Chester. He said grey seals are everywhere now, biting the bellies out of fish already hooked on long lines and even devouring undersized lobsters tossed back as a conservation measure. "So much for conservation," he said. This month he was on Hay Island for the harvest and said reports of mother grey seals attempting to protect their young by placing themselves between babies and sealers were not true. "There were only about five adult seals," he said, and they were not in among the juveniles. Rebecca Aldworth of Humane Society International Canada said mothers, newborns and moulted seals were together in groups. "There were lots of mothers on that island," she said. "I didn’t stop and count them because it was all moving quite quickly." Photographs taken from their Feb. 9 visit to the island clearly show mother seals, white-coated pups and larger, juvenile seals, said Ms. Aldworth. No one has offered any scientific proof that grey seals are damaging the ecology of Hay Island, those opposed to the seal hunt say. On Tuesday, Ms. Aldworth said the anti-sealing group’s point is not about suing the province or taking government to court. It wants a court to review the decision to open Hay Island to sealing with a view to closing it to future hunts, she said. The provincial Fisheries Department requested the cull on the tiny island, part of the Scatarie Island protected wilderness area, to protect fish stocks around the ecologically sensitive island. http://www.thechronicleherald.ca/NovaScotia/1040512.html
  9. Stimuler le cerveau, une arme contre le vieillissement et contre certaines maladies Par Florence Sebaoun AP - 27 février 2008- PARIS - Jouer à entretenir sa mémoire, lire, jardiner, bricoler... Notre cerveau a besoin de stimulation permanente pour éviter l'usure naturelle. Et s'il dégénère ou dysfonctionne, sa stimulation par des électrodes implantées en profondeur parvient dans certains cas à restaurer les neurones et à soulager le malade de symptômes neurologiques handicapants. Différentes et ne devant en aucun cas être confondues, ces deux formes de stimulation suscitent l'intérêt des chercheurs. Elles sont au centre du Neurodon 2008, une campagne annuelle d'appel aux dons privés qui se tiendra du 10 au 16 mars à l'occasion de la semaine du cerveau. "Des ratons dont un des deux yeux a été fermé deviennent aveugles de cet l'oeil, les régions du cerveau ayant perdu leur capacité fonctionnelle. Chez l'homme, une langue étrangère apprise dans l'enfance s'oublie quand elle n'est pas pratiquée", a ainsi relevé jeudi le Dr Etienne Hirsch, président du conseil scientifique de la Fédération pour la recherche sur le cerveau (FRC). "Le cerveau ne s'use que quand on ne l'utilise pas", a-t-il résumé lors d'une conférence de presse. Naturellement, au fil des ans, la plasticité cérébrale, c'est-à-dire la capacité du système nerveux central à se réorganiser en fonction des expériences vécues et de son environnement, diminue. Les circuits de neurones sont amoindris et l'apprentissage devient plus difficile. "Il est important de stimuler son cerveau en permanence par des moyens et des activités variés", souligne Etienne Hirsch, même en cas d'accident vasculaire cérébral, quand les effets du vieillissement sont amplifiés ou dans certaines maladies dégénératives comme la maladie d'Alzheimer. Cet entraînement associé à de la rééducation préserve les circuits de neurones préexistants et la capacité d'en former de nouveaux. Chirurgicale, la stimulation cérébrale profonde (qui consiste à implanter des électrodes dans certaines structures sous-corticales) a notamment révolutionné le pronostic de la maladie de Parkinson, qui concerne 100.000 personnes en France. Les patients souffrent tous d'une insuffisance en dopamine, la substance chimique qui régule la motricité. Cette déficience entraîne chez eux l'hyperactivité de certains des neurones responsables du contrôle de la bonne exécution des mouvements. D'où l'apparition de symptômes invalidants: tremblement, rigidité musculaire, lenteur des mouvements, paralysies, etc. Le traitement médicamenteux consiste à donner au malade un soin de substitution (L-dopa) dont les effets secondaires à terme peuvent devenir insupportables. C'est à cette population que s'adresse le traitement par stimulation cérébrale profonde. En pratique, deux électrodes sont implantées dans le cerveau. Elles sont raccordées à deux extensions connectées à un neurostimulateur semblable à un stimulateur cardiaque ou pacemaker qui envoie des impulsions électriques. Le neurostimulateur est placé sous la peau dans la région pectorale et les électrodes passent sous le cuir chevelu et le long du cou. L'amélioration est de 70% en moyenne, notamment des fonctions motrices et des complications liées au traitement. Mais cette intervention n'est pas sans conséquence. Certains malades deviennent hyperactifs, veulent rattraper le retard. Ils veulent bouger, voyager. Leurs besoins sexuels s'intensifient. "Les troubles de la libido, tout comme l'apparition de conduites addictives telles que le jeu ne sont pas le seul fait de la stimulation profonde. Le traitement médicamenteux peut entraîner les mêmes effets", affirme le Dr Hirsch. "Pour les éviter, il faut que la stimulation soit réalisée au bon endroit. Qu'elle ne touche pas des zones qui ne sont pas lésées", ajoute-t-il. On ne connaît pas encore toutes les possibilités de cette approche thérapeutique. A l'heure actuelle, les scientifiques se penchent sur certaines maladies neuropsychiatriques, notamment la dépression, et sur le traitement de la douleur. AP Sur le Net: http://www.neurodon.fr et http://www.frc.asso.fr http://fr.news.yahoo.com/ap/20080228/thl-medecine-neurologie-stimulation-aa61a25.html
  10. La protection des animaux de ferme préoccupe Écrit par Héloïse Roc, La Grande Époque - Paris 28-02-2008 Des personnes manifestent à l’appel d’Eurogroupe-France, devant les Invalides à Paris, contre l’élevage des poules pondeuses en batterie. (Michel Pourny/AFP) Gandhi disait : «On peut considérer une nation et son progrès moral à la façon dont elle traite ses animaux». Les animaux d’élevage ne sont pas des machines mais des êtres sensibles, des millions de poulets par exemple sont élevés en batterie, ils souffrent de déformation des pattes ou de paralysies, etc. En outre, constamment dérangés par leurs congénères, ils ne parviennent pas à récupérer leur énergie dans des phases de repos. Il y a quarante ans, le poulet était un mets réservé aux dimanches et aux grandes occasions. Aujourd’hui, le poulet est devenu un plat ordinaire accessible à tous, mais pour cela les animaux subissent un univers concentrationnaire, marqué par la souffrance. VERS UN TRAVAIL INTERMINISTÉRIEL SUR LA CONDITION ANIMALE En septembre dernier, Brigitte Bardot a rencontré le président de la République. Elle a abordé des points essentiels en matière de protection animale. Elle espère apporter des solutions concrètes. La fondation Brigitte Bardot demande à Nicolas Sarkozy la création d’un Groupe de travail interministériel sur la condition animale, piloté par le ministère de l’Agriculture, élargi à tous les ministères concernés (Ecologie, Justice, Intérieur, …). C’est ainsi que le président de la République a demandé à Michel Barnier, ministre de l’Agriculture et de la Pêche, de lancer ce travail de réflexion sur la question de la protection animale, ainsi que d’y associer l’ensemble des acteurs impliqués de la société et des pouvoirs publics. L’objectif serait d’aboutir d’ici à fin juin 2008 à un plan d’action de mesures concrètes recueillant le consensus des participants en s’inscrivant dans le cadre des engagements internationaux et communautaires. Selon le ministère, «la défense du bien-être animal constitue un enjeu majeur de notre civilisation moderne. La France doit relever ce défi, en conciliant la préservation de notre patrimoine culturel, religieux et la protection animale». suite http://www.lagrandeepoque.com/LGE/content/view/3606/104/
  11. Top-model devenu photographe, Nigel Barker accompagnera Wayne Pacelle (président de la HSUS) à la chasse au phoque le mois prochain. Il s'y rendra une première fois pour photographier les bébés phoques puis y retournera à la fin du mois, pour photographier leur chasse. America's Next Top Model judge to witness annual East Coast seal hunt HALIFAX - Nigel Barker, a fashion photographer and judge on "America's Next Top Model," will travel to Atlantic Canada next month to photograph baby harp seals before the start of the annual commercial hunt. Barker will accompany Wayne Pacelle, president and CEO of the Humane Society of the United States. The society said Wednesday that Barker will return at the end of March to film the hunt. Barker said he hopes he can draw attention to what he called "the inhumane slaughter that will occur in a few short weeks." Every year hundreds of thousands of newborns are clubbed or shot to death on ice floes in the Gulf of St. Lawrence. Last year's hunt had a quota of 270,000 animals. "It is my strong opinion that this is bigger than making a fashion statement," Barker said in a humane society release. "This is about making a life statement. If we call ourselves human, we must act humanely." http://canadianpress.google.com/article/ALeqM5hKPMO4D1AYqcX3skQNASHz6kMv5Q http://www.modelsobserver.com/nigelbarker.html
  12. et comment ! J'espère que cette histoire ne se terminera pas en queue de poisson, comme celle de nos canards torturés au Québec !
  13. February 25, 2008 1,200 bébés phoques Gris ont été abattus en Nouvelle-Écosse (Canada) Le mois prochain, ce sera au tour des bébés phoques du Groenland (Québec, Terre-Neuve...) Thousands Slaughtered as Nova Scotia Opens Protected Sanctuary to Seal Hunters HALIFAX — Humane Society International/Canada today released footage documenting the slaughter of grey seals on Hay Island, Nova Scotia. The government of Nova Scotia and the Canadian Department of Fisheries and Oceans colluded to allow the hunt to take place on Hay Island, part of the protected Scaterie Island Wildlife Area, during the past two weeks. "In the 10 years I have observed commercial seal hunting in Canada, this was the most violent slaughter I have seen," said Rebecca Aldworth, director of animal programs for Humane Society International/Canada. "Sealers herded the pups into groups, clubbed the moulted pups with wooden bats and cut them open with box cutters. One of the most heartbreaking images was the mothers trying to put themselves between their babies and the sealers." Representatives from Humane Society International/Canada and the Atlantic Canadian Anti-Sealing Coalition reached the island by inflatable, filming the slaughter at close range. The controversial decision to open Hay Island to seal hunters followed intensive lobbying of the federal and provincial government from the fishing industry, which claims grey seals are inhibiting recovery of some fish stocks. Under the Wilderness Areas Protection Act, the Nova Scotia Minister of Environment can only allow hunting on Hay Island if it is proven it will aid in the restoration of indigenous biodiversity of the protected area. However, neither the DFO nor the Nova Scotia government have offered any evidence that grey seals negatively impact the ecology of Hay Island or fish stocks in surrounding waters. "The fishing industry is trying to use grey seals as a scapegoat for its own destructive fishing practices," said Aldworth. "But Canadian government scientists have confirmed over-fishing, not seals, is responsible for fish stock depletion in the northwest Atlantic. The decision to turn this nature preserve into an open-air slaughter house is a betrayal of every citizen of Nova Scotia." By 1949, the grey seal population was considered extirpated in the Gulf of St. Lawrence as a direct result of commercial hunting. In recent years, the population has slowly begun to recover. While the DFO has attempted to position this slow recovery as an increase in the population, grey seals numbers are still very low. "This is just more evidence of the depths to which the DFO will sink to appease fishing industry interests. But with international boycotts of Canadian seafood steadily gaining momentum because of commercial seal hunting, it is the fishermen who will ultimately pay the price," said Aldworth. Broadcast-ready b-roll and still images are available for download here. vidéos et photos http://hsus.org/press_and_publications/press_releases/grey_seal_massacre_filmed_022508.html
  14. Le samedi 23 février 2008 Abitibi Consolidated en tête des contrevenants de la loi des forêts Guy Benjamin Le Soleil Québec Vingt-trois individus et 46 entreprises ont été condamnés à des amendes dépassant 500 000 $ dans les cinq derniers mois de 2007 pour avoir contrevenu à la Loi sur les forêts. La compagnie Abitibi Consolidated, maintenant AbitibiBowater, écope de l’amende la plus importante, 191 860 $, pour avoir commis 77 infractions, entre novembre 2002 et septembre 2003, dans la région de Saint-Félicien, et au nord de Chibougamau. Au premier endroit, les employés de l’entreprise ont effectué une coupe hors du secteur déterminé dans le permis sur une superficie de 26 hectares. L’amende est de 4000 $ par hectare, pour un total de 104 000 $. Au nord de Chibougamau, la construction de plusieurs kilomètres d’un chemin forestier a donné lieu à de nombreuses irrégularités. Parmi les infractions, l’une revient 18 fois, soit la construction d’un chemin traversant un cours d’eau sans avoir stabilisé le talus de remblai du chemin dans les 20 mètres du cours d’eau. Dans la région de Québec– Chaudière-Appalaches, la seule entreprise fautive est la Société de gestion du parc régional Massif-du-Sud. Une amende de 4000 $ lui est imposée notamment pour la construction d’un chemin traversant un cours d’eau sans avoir protégé le tapis végétal, et pour ne pas avoir stabilisé le talus de remblai du chemin dans les 20 mètres du cours d’eau. Parmi les entreprises fautives se retrouve Hydro-Québec pour une coupe de bois sans permis sur la Côte-Nord. L’amende est de 2500 $. L’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue devra débourser 1125 $ pour le passage sur le lit d’un cours d’eau avec une machinerie forestière. La liste des contrevenants rendue publique hier par le ministère des Ressources naturelles nous apprend que les 23 individus ont commis 37 infractions et ont été condamnés à 37 517 $ d’amende. Les entreprises sont 46 à avoir commis 230 infractions. Elles devront débourser au total 480 751 $. http://www.cyberpresse.ca/article/20080223/CPSOLEIL/80222209/6907/CPSOLEIL
  15. Le mercredi 27 février 2008 Zoos et aquariums déclarent 2008 l'année officielle de la... grenouille Il s'agirait d'une extinction de masse plus importante encore que celle des dinosaures. La Presse Canadienne Montréal Les zoos et les aquariums du Québec unissent leurs efforts à ceux déployés par des groupes de préservation de la faune à travers le monde pour déclarer 2008 année officielle de la grenouille. Très fragiles, les amphibiens sont largement menacés d'extinction, alors que les scientifiques croient que la moitié des espèces sur la planète pourraient disparaître. Rainette faux-criquet du Nord Ministère des Ressources naturelles Au Québec seulement, parmi les 20 espèces d'amphibiens, une figure sur la liste des espèces vulnérables, soit la rainette faux-criquet du Nord, et cinq autres pourraient subir le même sort. Selon le coordonnateur de l'Atlas des amphibiens et des reptiles du Québec, David Rodrigue, il s'agit d'une extinction de masse plus importante encore que celle des dinosaures. Ainsi, le Biôdome de Montréal, le Zoo de Granby, l'Ecomuseum, le Parc safari, le Parc aquarium de Québec et le Zoo sauvage de Saint-Félicien lanceront dès le 29 février l'année officielle de la grenouille, pour sensibiliser les gens et tenter de sauver ces espèces menacées. ... http://www.cyberpresse.ca/article/20080227/CPSOLEIL/80227177/6907/CPSOLEIL
  16. Le mercredi 27 février 2008 Un chaton essoré à mort par des étudiants à Ottawa La Presse Canadienne Ottawa La police d'Ottawa a ouvert une enquête sur le sort d'un chaton essoré à mort dans une machine à laver par des étudiants, ont indiqué les autorités mercredi. La propriétaire du petit chat roux et blanc a appelé la police la semaine dernière après l'avoir retrouvé mort dans sa machine à laver. «Il avait fait un cycle entier dans la machine», a déclaré Sylvia Gough au quotidien Ottawa Citizen. Elle accuse des amis d'un de ses locataires d'avoir mis le chat dans la machine pendant une fête, en son absence. La jeune fille a dit au journal être tombée amoureuse du chaton qu'elle avait adopté en novembre. Elle l'avait baptisé Thor, du nom du dieu scandinave du tonnerre, car il était si petit qu'il avait besoin d'un grand nom, a-t-elle expliqué. «Nous enquêtons sur les cas de cruauté envers les animaux», a déclaré à l'AFP Isabelle Lemieux de la police d'Ottawa. http://www.cyberpresse.ca/article/20080227/CPINSOLITE/80227156/-1/CPINSOLITE
  17. Le mercredi 27 février 2008 Défilés parisiens: opulentes fourrures chez Gaultier La nouvelle collection de Jean Paul Gaultier propose une débauche de fourrures --du renard, du vison, beaucoup de chèvre-- mais aussi de fausses fourrures. Photo Reuters Agence France-Presse Paris «Peau d'âne» a troqué son humble peau de baudet pour d'opulentes fourrures dans la collection de prêt-à-porter pour l'hiver prochain proposée par Jean Paul Gaultier, inspirée du conte de Charles Perrault. Le couturier a également rendu hommage ainsi à l'une de ses plus fidèles clientes et amies, Catherine Deneuve, l'interprète de «Peau d'âne» dans le film éponyme de Jacques Demy. L'actrice était, comme à l'accoutumée, présente au défilé. >> En photos: voyez les défilés présentés à Paris. «J'aime la fourrure, j'ai toujours utilisé de la fourrure», a déclaré Jean Paul Gaultier à la presse à l'issue du défilé. Il a précise qu'il utilisait «des fourrures d'élevage ou alors des vieux manteaux qu'(il) remodifie». La collection propose une débauche de fourrures --du renard, du vison, beaucoup de chèvre-- mais aussi de fausses fourrures. Il y a «plein de faux effets de fourrure, des peaux imprimées, du cuir ou du daim imprimé», précise le couturier. Vraies ou fausses, des têtes de renard pointent souvent leur museau au fil de la collection. Sur les bottes, la fourrure est ciselée de manière à dessiner des motifs. Photo AFP La fourrure se décline en volumineuses vestes, en grosses capuches, en grandes besaces, la tête de l'animal reposant sur la bandoulière. Sur des bottes ou des bustiers, elle est ciselée --«comme on fait sur les cheveux»-- de manière à dessiner des motifs. D'autres peaux de bêtes --vraies ou fausses-- s'immiscent dans ce vestiaire, comme ce crocodile dont la queue traîne au dos d'un manteau. «Même des robes, je les ai coupées comme on découpe des peaux, et c'était de la mousseline», souligne Jean Paul Gaultier. L'omniprésence et l'opulence des fourrures éclipse les robes de soie et dentelle chantilly, les pantalons de satin moulants et évasés, les jupes dansantes brodées de perles, les longs pulls. http://www.cyberpresse.ca/article/20080227/CPACTUEL/80227088/6685/CPACTUEL
  18. Le mercredi 27 février 2008 Découverte de médicaments: une première à Montréal Photo archives La Presse La Presse Canadienne Montréal Une première nord-américaine voit le jour dans le monde scientifique montréalais: l'Unité de découverte de médicaments de l'Université de Montréal. L'initiative permet à 75 équipes regroupant plus de 800 chercheurs de s'unir dans le but d'accélérer le développement et la commercialisation de médicaments qu'elles croient innovateurs. Guy Sauvageau, directeur scientifique de l'Institut de recherche en immunologie et en cancérologie (IRIC), croit que l'Unité permettra le développement de nouveaux agents thérapeutiques. Près de 50 pour cent des nouveaux médicaments dérivent déjà de travaux initiés en milieu académique. L'Unité de découverte de médicaments de l'Université de Montréal entend forger des partenariats avec les autres intervenants des secteurs public et privé. Elle a récemment conclu un partenariat avec Bristol-Myers Squibb dans le but d'identifier de nouveaux agents thérapeutiques. Dans le cadre de cette entente triennale, l'entreprise pharmaceutique fournira des composés actifs au stade initial de développement. Une équipe de 12 chimistes et biologistes à l'IRIC travailleront à les optimiser pour l'évaluation clinique. http://www.cyberpresse.ca/article/20080227/CPSCIENCES/80227072/1020/CPSCIENCES
  19. Animal

    nouvelle journée d'adoption...

    Malheureusement, même s'il y a beaucoup d'âmes charitables qui font tout ce qu'elles peuvent pour sauver ces pauvres chats, comme le dit Ranëwen, on ne s'attaque pas assez à la base du problème. Il faudrait forcer les élus à bouger ! Il me semble que ça serait normal que chaque municipalité ait son refuge (payé avec l'argent de nos taxes) et qu'elle s'occupe des animaux abandonnés sur son territoire (stérilisations, vaccins, adoptions, etc.) ou qu'elle aide les refuges qui sont déjà en place. Il faurait qu'elle interdise la vente d'animaux dans les animaleries. Il faudrait faire de l'éducation, de la sensibilisation dans les écoles, etc. Je ne comprends pas que les municipalités s'en remettent à des trappeurs ou à des fourrières pour résoudre le problème des animaux errants. C'est un problème de société qui devrait concerner tout le monde ! On ne nous donne pas le choix que de payer des taxes pour des choses qui ne nous concernent pas ou plus vraiment, comme par exemple: Combien de personnes âgées, même rendues à 90 ans et + , ou encore combien de personnes qui n'ont jamais eu d'enfants, doivent payer des taxes scolaires jusqu'à leur mort ? Si elles en avaient le choix, je me demande combien de ces personnes, préfèreraient que leur argent servent à aider les animaux dans le besoin ...
  20. Animal

    Besoin de foyers

    27 Feb 2008 Si vous pouvez aider ou pour plus d’informations contactez moi- Faites circuler! Julie Laurin- 450-663-3266 poste 224 Sunday- Bouvier Bernois- mâle- 7 ans non-stérilisé Sunday est à la recherche d’une famille composé d’adultes ayant de l’expérience avec les chiens. Il a été quelque peu déstabilisé par l’abandon qu’il a vécu. Dans son ancienne famille, il vivait avec des enfants et il a toujours été très gentil avec eux. C’est un chien qui n’a jamais été sociabilisé, il n’est jamais sorti de chez eux. Il a donc été adopté par une famille avec des enfants, ils l’ont gardé 2 semaines, Sunday n’aime pas être forcé à faire quelque chose (ex. Descendre du lit, monter dans la voiture, entrer dans sa cage…) Il peut lui arriver de ‘’snapper’’ (il n’a jamais mordu au sang) Outre son petit problème de dominance, c’est un bon chien propre et obéissant, il aime les chats. Gripette – Shitzu- mâle- 2 ans- non-stérilisé Gripette est un Shitzu mâle de 2 ans. Lorsqu'il a été trouvé, il n’était pas si mignon, il a eu droit a une bonne coupe! C'est un petit chien plutôt gentil mais avec un petit caractère. Il a besoin d'une famille qui ne l'achalera pas trop :) Une famille expérimentée et sans enfants est ce qu'il lui faut. Il a besoin de renforcement positif et de calme. Êtes-vous la famille qu'il lui faut? Ce petit toutou grognon aimerait partager son amour :) Symba- Golden Retriver- mâle- 10 ans- stérilisé Syndney- Berger croisé- mâle- 8 ans- stérilisé À l'âge de 8 et 10 ans, c'est 2 amours ont été abandonnés au refuge parce leurs famille n'avait plus de temps pour eux. Comme ils ont toujours vécu ensemble, nous leurs cherchons une famille ou ils pourront vivre tous les deux. Ce sont deux chiens très attachant !Symba, le golden, est fidèle à sa race, il semble toujours si heureux de nous voir! Sydney, même si il est le plus jeune, semble être plus zen que son ami. Nous espérons qu'ils sauront trouver la famille qu’ils méritent, il ont encore quelques belles années devant eux et tant d'amour à offrir! Lucy (in the sky) - Boxer- +/- 8 ans A-D-O-R-A-B-L-E… Lucy est très attachante, elle adore la compagnie et elle est très affectueuse. Comme elle a été trouvée, nous avons peu d’information à son sujet, mais nous lui trouvons que des qualités! C’est un très bon chien, calme mais toujours active, elle est très tolérante à la manipulation, elle pourrait surement être vivre avec des enfants. Elle n’a aucune malice. Quoi dire de plus!!!??? Rocky- Berger Allemand- +/- 1 an-mâle- non-stérilisé Ce Rocky est tout un numéro! En présence d’humain, c’est un chien très actif et sans méchanceté. Il n’a probablement pas eu l’opportunité d’apprendre les bonnes manières, il saute sur les gens et ne sait pas très bien contenir sa fougue. Il a été trouvé, nous ne connaissons donc pas son passé, il est possible qu’il vivait à l’extérieur. Il n’est probablement pas propre. Avec de la patience et de la stabilité il deviendra un fidele compagnon, il connait déjà quelques commandements. Avec les autres animaux (chiens) c’est une tout autre histoire, il devient incontrôlable, il jappe et saute pour aller ‘’boxer’’. Aidez Rocky Balboa a devenir un bon chien! Toby- Shitzu toy- 3 ans- mâle non-stérilisé (POUR SOPHIE) Toby est une petite boule d’énergie, il elle très affectueux et adore être dans les bras…Il est très gentil, jusqu'à ce que ce petit prince n’ai pas ce qu’il désire. Il a beaucoup de caractère et n’accepte pas de se faire chicaner ou manipuler. Il aura besoin d’une famille patiente et avec de l’expérience comme parent canin, il a besoin de renforcement positif. Il devra aussi apprendre les rudiments de la propreté. Vos effort seront grandement récompenser vous aurez un compagnon qui n’aura de yeux que pour son maître! Beauté-Hymalayen- 13 ans- femelle- stérilisé-dégriffé Beauté est une adorable Himalayen de 13 ans! Elle vient d'être abandonnée parce que sa maitresse était devenue trop allergique. C'est une chatte calme et affectueuse. Comme elle est habituée avec des adultes, elle cherche devra vivre dans une famille composée d'adultes. Beauté est opéré et dégriffé à l'avant. vec son beau pelage, elle a besoin d'un brossage régulier, sa tombe bien puisqu'elle adore se faire brosser! Sî vous désirez offrir une 2e chance à Beauté communiquez avec nous maintenant!
  21. Pauvres animaux ! Est-ce que quelqu'un sait s'il existe un vaccin contre la toux de chenil ? Est-ce que les chiens attrappent cette maladie quand ils arrivent dans des refuges ou SPA ect, ou bien est-ce qu'ils sont déjà porteurs de cette maladie
  22. oui, en + de combien d'années de recherches sur des animaux !!
  23. encore une fois, ce sont des activistes qui dénonçent ces horreurs ! Autrement, tout se passe dans le plus grand des secrets
  24. With his paws spread wide and taking a step up on to a cup of tea, this little piggy tries desperately hard to make himself big and strong. But there's no getting away from the fact that he is still no bigger than a tea cup. http://www.dailymail.co.uk/pages/live/articles/news/news.html?in_article_id=487669&in_page_id=1770
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