Aller au contenu
Rechercher dans
  • Plus d’options…
Rechercher les résultats qui contiennent…
Rechercher les résultats dans…

Animal

Membres
  • Compteur de contenus

    14 605
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Animal

  1. quelqu'un peut-il me dire si ce genre de pratiques se fait toujours dans les campagnes en Europe ?
  2. Un article que certains journalistes devraient lire... /vegetarisme-f4/l-ecolo-se-servira-saignant-en-2008-t8887.htm?sid=d60b798a2677390d1df63e30b9defff8
  3. Avec tous les labos de tortures qu'on a au Québec, c'est pas étonnant !
  4. Heureusement que le temps leur manque !
  5. Lundi, le 21 janvier 2008 Par Diane Lapointe Vous roulez paisiblement en voiture et soudain, un chevreuil bondit devant vous! Cette scène ne se passe pas quelque part à la cam­pagne, mais bien dans un quartier résidentiel de l’agglomération de Longueuil. Chaque année, sur nos routes, plusieurs auto­mo­bilistes frappent des cerfs de Virginie. ... ... Mais au sein même du gouvernement, on retrouve deux ministères qui ne s’entendent pas sur la façon de gérer et de régler ce pro­blème. André Dicaire explique que le ministère des Ressources naturelles et de la Faune tente depuis au moins cinq ans de convaincre les autorités du parc de contrôler le ravage de cerfs. «Il faudrait permettre, durant quelques jours par exemple, une chasse contrôlée avec des chasseurs du ministère, mais l’idée ne passe pas. La viande pourrait être donnée à des banques alimentaires pour personnes dé­mu­nies.» Mme Chatillon confirme que la chasse est inter­dite dans les parcs nationaux, précisant au passage que le problème de surpopulation est généralisé à l’ensemble du Québec. Signalons que la chasse est seulement per­mise à l’extérieur du parc, sur les battures Tail­landier, pendant une courte période. D’autres personnes avancent même comme solution que les cerfs soient endormis pour être relo­ca­lisés ailleurs, comme cela s’est déjà fait à l’Île d’Orléans et à l’Isle-aux-Coudres. L'article complet: http://www.hebdosquebecor.com/cds/01192008/cds_01192008_A11.shtml
  6. ce journaliste a sûrement été influencé par des chasseurs de sangliers ...
  7. C'est la question que je me suis posée lorsque j'ai entendu ça aux nouvelles. Je trouve ça louche
  8. un peu dans la même veine que les articles d'Ariane Krol et d'Alain Dubuc (Mangeons du cochon) ! Faut surtout pas toucher à leur gros «steak»
  9. Animal

    Et croît la grenouille rieuse

    Pauvres petites bêtes ! Je me demande comment ils les tuent !
  10. allo hop, Sais-tu si ce texte a été traduit en français ?
  11. On dirait que ça commence sérieusement à leur faire peur
  12. Animal

    Loi 101 - protestations

    ça ne la dérangera pas + que la fourrure
  13. 20 janvier 2008 L'équilibre est précaire pour le porc du Québec La Tribune Au Québec, l'agriculture est un secteur qui vit des difficultés, particulièrement en ce qui a trait à la production porcine. Je parle en connaissance de cause, car je suis la fille d'un producteur porcin en ferme familiale, comme 90 pour cent des fermes du Québec. La réalité, je la connais. ... http://www.cyberpresse.ca/article/20080120/CPOPINIONS/801170727/5284/CPOPINIONS
  14. 20 janvier 2008 Au secours des gorilles Louise Leduc La Presse Un vétérinaire de Sherbrooke s'est donné pour mission de sauver les gorilles menacés d'extinction dans une région d'Afrique où on aime bien en manger ou en faire des animaux domestiques quand ils sont bébés. http://www.cyberpresse.ca/article/20080120/CPENVIRONNEMENT/801200415/6108/CPENVIRONNEMENT
  15. Merci pour les adresses Caro ! J'espère que plusieurs écriront
  16. (il y a aussi la grenouille taureau qui est considérée comme une menace en France, à moins que ça soit la même mais qu'on lui donne un nom différent ...) Et croît la grenouille rieuse Venue d’Europe de l’Est, la «Rana ridibunda», plus forte et plus féconde que les batraciens autochtones, déstabilise l’écosystème. ALEXANDRA SCHWARTZBROD QUOTIDIEN : samedi 19 janvier 2008 Ne vous fiez pas à son nom : la grenouille rieuse est une tueuse. Originaire d’Europe de l’Est, la bête s’est propagée au fil des décennies jusqu’en France et en Espagne, menaçant d’évincer les espèces indigènes, comme la grenouille de Graf ou la grenouille de Perez. Le pire, c’est que l’homme n’est pas pour rien dans cette affaire. «La grenouille rieuse a été introduite par des humains vers 1920 en Europe de l’Ouest. Pour la consommation. Elle était très prisée des nobles», explique le chercheur allemand Dirk Schmeller, qui vient de publier une étude révélant la tragédie. Le phénomène s’est accentué au fil du temps. «Depuis les années 70, 5 000 tonnes de grenouilles rieuses ont été introduites tous les ans en France, vivantes, poursuit Schmeller. Elles sont censées être stockées dans un point d’eau proche d’un restaurant, mais elles s’en échappent régulièrement.» Pourquoi l’espèce, dite Rana ridibunda, est-elle plus consommable que les autres ? A cause de ses cuisses. Charnues et donc goûteuses. «Elle est deux fois plus grosse que les grenouilles indigènes, il faut compter 300 à 400 grammes par individu», note le chercheur, qui se partage entre le centre Helmholtz pour la recherche environnementale, en Allemagne, et la station d’Ecologie expérimentale du CNRS, en Ariège. Fertile. La grenouille, importée pour la qualité de ses cuisses, donc, aurait pu régaler tranquillement les gourmets sans pour autant perturber l’ordre et les rythmes de la nature. Mais elle a, outre le rire tonitruant qui lui a donné son nom, une autre caractéristique : elle vit plus longtemps et croît plus rapidement que les espèces indigènes. Et surtout, elle serait plus fertile, écrit, dans la revue Comptes rendus - Biologies, l’équipe de chercheurs franco-allemande pilotée par Dirk Schmeller. Pire, si une grenouille rieuse s’accouple à une grenouille du coin - après tout, il n’y a pas de mal à se faire du bien, même avec une grenouille qui ne rit pas - et si descendance il y a, celle-ci sera rieuse, le génome de la première prenant le pas sur l’autre. C’est ainsi que la grenouille autochtone, peu à peu, disparaît. «Aujourd’hui, la plupart des habitats le long du Rhône et de la Seine sont peuplés uniquement de grenouilles rieuses. Les indigènes, elles, sont retranchées dans des zones suboptimales, des petites mares sans oxygène ou des canaux à moitié asséchés…», note Dirk Schmeller. Autre fragilité des grenouilles indigènes, leur petite taille qui en fait des proies faciles pour les oiseaux. La rieuse, elle, avec ses cuisses charnues, n’a pas beaucoup d’autre prédateur que l’homme. «Tout cela déstabilise la société des grenouilles et, au-delà, l’écosystème des grandes prairies fluviales de France et d’Espagne», note Schmeller, qui a étudié, avec son équipe de scientifiques, plus de 700 grenouilles indigènes sur vingt-deux sites du bassin du Rhône, en France, et à quatre endroits dans le bassin de l’Ebre, en Espagne. Danger d’extinction. Le problème des espèces dites «invasives», c’est-à-dire introduites accidentellement ou volontairement dans un milieu qui n’est pas le leur, prend de plus en plus d’importance avec la mondialisation et les changements climatiques. En 2001 déjà, 20 % des espèces de vertébrés étaient en danger d’extinction à cause des espèces invasives. L’histoire de l’écrevisse de Louisiane, par exemple, n’est pas très différente de celle de la grenouille rieuse. Introduite en Europe dans les années 70 par des mareyeurs soucieux de compenser la baisse des importations en provenance de Turquie et la disparition des populations d’écrevisses indigènes, la bestiole a proliféré et se révèle être aujourd’hui un vrai fléau pour la faune et la flore girondines. Non seulement elle s’attaque aux têtards de grenouilles, aux petits poissons et aux plantes aquatiques, mais elle est porteuse d’un champignon qui décime les écrevisses à pattes blanches. Telle la grenouille rieuse, elle fait le malheur de ses propres congénères. Et, de l’avis des experts, rien à faire pour s’en débarrasser. «Ce sera très difficile d’éradiquer la grenouille rieuse, car quand elle est jeune, on ne peut pas la distinguer des grenouilles indigènes. La seule solution, pour l’instant, consiste à stabiliser l’habitat des espèces indigènes», explique Schmeller. Paradoxalement, c’est la mondialisation qui aidera peut-être à régler le problème. Car les importations de grenouilles (rieuses) d’Europe de l’Est ont considérablement baissé ces dernières années, au profit de leurs congénères d’Indonésie qui ont le grand avantage d’arriver à l’état de… cuisses, congelées. Inoffensives, donc. http://www.liberation.fr/actualite/economie_terre/304871.FR.php
  17. Oui à la viande clonée laterre.ca 15 janvier 2008 redaction@laterre.ca L’agence américaine responsable de la réglementation des produits alimentaires et pharmaceutiques autorise l’introduction dans la chaîne alimentaire du lait et de la viande provenant d’animaux clonés et de leur descendance. La Food and Drug Administration (FDA) juge les produits issus de ces animaux sans risque pour la consommation humaine. Elle a donné le feu vert à la commercialisation de ces produits le 15 janvier. En 2006, la FDA avait tenté de réglementer ce commerce sans succès. L’organisme affirmait alors que ces produits n’étaient pas différents des animaux nés par des méthodes de reproduction conventionnelles. La FDA aurait ensuite reçu près de 145 000 commentaires de consommateurs qui s’opposaient aux aliments provenant d’animaux clonés. Au Canada comme dans plusieurs autres pays, les recherches sur le clonage des animaux se poursuivent, sans qu’aucun d’eux en ait encore permis leur introduction dans la chaîne alimentaire.
  18. Le 19 janvier 2008 - 14:30 Olymel vient en aide aux banques almentaires de Lanaudière Karine Châteauneuf Olymel a annoncé samedi une nouvelle initiative pour venir en aide aux banques alimentaires de la région de Lanaudière, qui ont de la difficulté à survivre en cette période de l'année. La compagnie spécialisée dans l'abattage et la transformation de porc a offert un demi million$ en denrées alimentaires à une soixantaine de banques alimentaires et soupes populaires afin de les aider à fonctionner malgré la baisse marqué des dons du public. Moisson Lanaudière sera en charge de la distribution des 60 000 kilos de produits de porc et de volaille offerts par Olymel au cours des prochaine semaines. C'est une initiative commune des patrons et du syndicat qui a fait naître cette idée, permettant de résoudre la crise du surplus de produits découlant de la fermeture d'abattoirs. Les employés de l'usine Olymel de St-Esprit ont accepté de travailler le samedi en janvier afin d'abattre les 30 000 porcs en attente sur les fermes de la région.
×
×
  • Créer...