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je dois quitté le forum mon papa est très malade
Animal a répondu à un(e) sujet de linda lachapelle dans Annonces
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Dordogne: 2.000 porcelets périssent dans un incendie le 28/01/2008 Hier matin, une porcherie industrielle a été ravagée par un incendie à Saint-Crépin-Carlucet, en Dordogne. Le bilan est lourd pour l'éleveur, Gérard Teillac. Dans cet incendie spectaculaire, 2.000 porcelets ont été carbonisés, soit une perte sèche de 80 à 100.000 euros. A la suite de ce sinistre, ce sont près de 60 tonnes de viande de porc qui seront évacuées dans la journée vers un centre d'équarrissage de la région. Un court-circuit pourrait être à l'origine de l'incendie. La porcherie de Bois Barat est l'une des plus importantes du département, avec ses 500 truies mères et 2.000 porcelets. source sud-ouest http://www.lepost.fr
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Dordogne: 2.000 porcelets périssent dans un incendie
Animal a posté un sujet dans ANIMAUX - Europe et autres continents
28/01/2008 -Hier matin, une porcherie industrielle a été ravagée par un incendie à Saint-Crépin-Carlucet, en Dordogne. Dans cet incendie spectaculaire, 2.000 porcelets ont été carbonisés. Un court-circuit pourrait être à l'origine de l'incendie. La porcherie de Bois Barat est l'une des plus importantes du département, avec ses 500 truies mères et 2.000 porcelets. source sud-ouest -
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Forums, photos, vidéos de chasse et de piégeage de l'ours noir au Québec http://chasse-ours.great-forum.com/ http://forum.aceboard.net/i-26052.htm ------------------------ Voir aussi Quelle est la meilleure époque pour chasse l'ours, printemps ou automne? La chasse de l' ours noir est plus productive au printemps parce que la nourriture est peu abondante à cette époque de l'année. Les ours ont faim, ils viennent régulièrement visiter nos appâts alors qu'en automne, ils disposent d'autres sources de nourriture; les fruits sauvages, les poissons, le gibier, les insectes, grenouilles, etc. Ils peuvent donc parfaitement se passer de nos appâts. C'est pourquoi nos chasses d'automne sont des chasses à l'approche (on repère l'animal à la jumelle). Une autre raison pour choisir la chasse de printemps c'est que la fourrure des ours est plus belle en début de saison. Les ours récoltés en septembre et en octobre ont une fourrure plus clairesemée. Chasse sur un mirador avec garantie de tir Classique et productive; la chasse à l'ours au printemps http://www.archerie.ca/ours.html http://www.matapedia.com/En/BlackBearHunting.html http://www.wolfcountry.ca/bait.html
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Je regrette d'avoir manqué cette émission ! Je n'ai vu que la toute fin, mais j'avais déjà vu un reportage (en anglais) sur cette famille russe ! Une famille vraiment exemplaire Sur ce site, on fait la promotion de la chasse à l'ours en Russie... http://www.russianhunting.com/french/ p.s.: Au Québec et ailleurs au Canada, au printemps, on tue aussi des mamans ourses, et leurs jeunes...
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28 janvier 2008 à 0:00 Greenpeace: l'aquaculture n'est pas une solution à l'épuisement des réserves MONTREAL - L'organisation Greenpeace a publié lundi un rapport international dans lequel on soutient que plusieurs fermes d'aquaculture menacent sérieusement les écosystèmes marins, la sécurité alimentaire mondiale et les droits de la personne. Selon Greenpeace, même si 43 pour cent de tous les poissons consommés dans le monde proviennent désormais de l'aquaculture, cette technique ne constitue en rien une solution à l'épuisement des réserves sauvages de poissons et fruits de mer. Ce rapport a été dévoilé à Barcelone, en Espagne, à l'occasion d'une rencontre internationale de l'Alliance sur les produits de la mer. Des scientifiques du laboratoire de Greenpeace de l'université d'Exeter, en Grande-Bretagne, y rappellent le besoin urgent pour cette industrie et les gouvernements de remplacer les pratiques destructrices d'aujourd'hui par des pratiques plus durables. A la lumière de ce rapport, Greenpeace demande aux supermarchés, marchés et restaurants de bannir de leurs activités commerciales tous les produits d'aquaculture issus de pratiques non durables. On peut lire dans ce rapport qu'une ferme de saumons qui compte 200 000 poissons libère une quantité de matières fécales aussi importantes que les nutriments rejetés dans les eaux usées d'une localité de 65 000 personnes. Pour Beth Hunter, coordonnatrice de la campagne Océans de Greenpeace, les grandes installations d'aquaculture sont l'équivalent des mégaporcheries dans l'intensité de leurs rejets. Les chercheurs ont aussi examiné les conséquences sur la chaîne alimentaire que peuvent avoir les poissons d'élevage qui s'échappent de leur environnement confiné. Ils notent entre autres une réduction de la biodiversité à proximité des installations d'aquaculture. Des recherches à proximité de fermes d'aquaculture de la baie de Fundy, au Nouveau-Brunswick, ont démontré qu'après seulement cinq ans d'aquaculture, la diversité chutait de façon importante jusque dans un rayon de 200 mètres des unités de production. Les chercheurs ont également relevé des abus aux droits de la personne dans 11 pays où la culture de la crevette est pratiquée, notamment au Bengladesh. Des solutions sont proposées par les chercheurs de l'université d'Exeter dans ce document. Ils favorisent notamment la pratique de l'aquaculture de espèces à la fois et le recyclage des eaux usées. Tous droits réservés, nouvelles de la Presse Canadienne
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Greenpeace diffame les agriculteurs canadiens Ottawa (Ontario), 10 janvier 2008 - La Fédération canadienne de l'agriculture (FCA) est extrêmement déçue par Greenpeace Canada, qui une fois de plus calomnie les agriculteurs canadiens en déformant les faits et en passant sous silence les importantes contributions que font les agriculteurs à la gouvernance environnementale et à la réduction des gaz à effet de serre dans leur industrie. À la suite d'un rapport publié par son équivalent international, Greenpeace Canada porte de fausses accusations contre l'agriculture canadienne en l'accusant d'être le principal responsable des changements climatiques et en proposant le prélèvement d'une taxe sur les engrais qui causerait la faillite des agriculteurs et qui entraînerait une hausse des prix de la nourriture pour les consommateurs. « Greenpeace Canada a un agenda politique et l'organisation tente de dépeindre les agriculteurs canadiens comme des criminels environnementaux. Elle ne mentionne aucunement les nombreuses initiatives de gouvernance entreprises par notre industrie pour changer notre empreinte environnementale et pour réduire les émissions de gaz à effet de serre », a déclaré M. Bob Friesen, le président de la FCA. Au Canada, seulement sept pour cent des gaz à effet de serre proviennent de l'agriculture, ce qui est inférieur aux 10 pour cent signalés par Greenpeace Canada et nettement inférieur aux 17 à 32 pour cent estimés dans le rapport international comme constituant le pourcentage mondial des émissions de GES attribuables à l'agriculture. Au cours de la dernière décennie, les agriculteurs canadiens ont pris d'importantes mesures de gouvernance environnementale et ils ont déjà mis en oeuvre un grand nombre des recommandations contenues dans le rapport international de Greenpeace, y compris l'analyse du sol et le travail réduit ou minimum du sol. Les agriculteurs au Canada appliquent des meilleures pratiques de gestion (MPG) qui leur permettent d'utiliser la quantité exacte d'engrais que requièrent leurs cultures. Aujourd'hui, d'importants efforts sont déployés par l'industrie pour accroître la disponibilité et l'adaptation de technologies d'énergie renouvelable dans le domaine de l'agriculture, comme l'énergie éolienne, solaire et de biomasse. « Le prélèvement d'une taxe sur les engrais ne constitue pas une première mesure pour réduire les émissions de GES provenant de l'agriculture, car les agriculteurs canadiens ont déjà pris une première série de mesures en appliquant de réelles pratiques environnementales », a expliqué M. Friesen. « Une taxe sur les engrais est une taxe imposée aux agriculteurs. Au bout du compte, une telle taxe aurait pour seul effet de chasser encore plus d'agriculteurs des terres et d'envoyer une plus grande partie de notre production alimentaire à l'étranger. » M. Friesen a ajouté : « Si Greenpeace veut avoir un impact positif sur l'agriculture canadienne, peut‑être qu'elle devrait descendre de sa tour d'ivoire et discuter avec l'industrie sur le terrain pour voir ce que font réellement les agriculteurs au Canada pour l'environnement. Elle devrait avoir un dialogue productif et conclure un partenariat avec le secteur de l'agriculture plutôt que de formuler des critiques non productives et de proposer des solutions mal pensées. » Fondée en 1935 afin de donner une seule voix unifiée aux agriculteurs canadiens, la Fédération canadienne de l'agriculture (FCA) est le plus important organisme agricole au pays. On trouve, parmi ses membres, des organismes agricoles provinciaux et des groupements nationaux et interprovinciaux de producteurs spécialisés. Par l'entremise de ses membres, la Fédération représente plus de 200 000 agriculteurs canadiens et familles canadiennes d'agriculteurs, d'un océan à l'autre. Fédération Canadienne de l'agriculture http://www.cfa-fca.ca/ Greenpeace Canada http://www.greenpeacecanada.org/
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Ottawa (Ontario), 25 janvier 2008 - Menacés d'extinction en raison du labourage des Prairies, les bisons sont en train de se tailler une place dans les fermes canadiennes. Entre 2001 et 2006, le nombre de bisons dans les fermes a augmenté de plus d'un tiers pour atteindre plus de 195 000 têtes, selon une nouvelle étude fondée sur les données du Recensement de l'agriculture, publiée en ligne aujourd'hui. Cet article analytique électronique intitulé «Le bison sur la piste du retour», est le deuxième de la série d'articles analytiques de l'édition 2006 de la publication Un coup d'oeil sur l'agriculture canadienne. Il offre une vue d'ensemble du secteur et fait état de la croissance de l'industrie du bison, en plus d'en analyser les causes sous-jacentes. Dans le cadre du Recensement de l'agriculture de 2006, près de 2 000 fermes ont déclaré avoir un total de 195 728 bisons dans leur exploitation agricole le 16 mai 2006, en hausse de 34,9 % depuis le recensement précédent en 2001. Le nombre de fermes qui font l'élevage de bisons avait également augmenté de plus de six fois et demie depuis le Recensement de 1991. Le nombre de bisons continue d'augmenter, en réponse à la demande accrue des consommateurs tant au Canada qu'à l'étranger. Les producteurs de bison sont concentrés dans les provinces de l'Ouest (la Colombie-Britannique, l'Alberta, la Saskatchewan et le Manitoba), l'habitat traditionnel des bisons. Les producteurs de l'Ontario et des provinces de l'Est représentent une proportion de moins de 5 %. L'Alberta à elle seule hébergeait 49,7 % du troupeau et 45,8 % des fermes. La Saskatchewan avait le deuxième troupeau de bisons en importance (29,3 % du total), suivie du Manitoba (10,0 %) et de la Colombie-Britannique (6,5 %). La région de la rivière de la Paix, en Colombie-Britannique et en Alberta, qui compte 14,4 % du troupeau du pays, est l'une des principales régions productrices de bisons au Canada. Les exportations de viande de bison ont plus que doublé en cinq ans Le nombre de bisons abattus dans des établissements inspectés par les autorités fédérales et provinciales au Canada est passé de 11 168 en 2001 à 25 613 en 2006. Les exportations ont également poursuivi leur ascension, les exportations de viande de bison s'étant chiffrées à plus de 2 075 000 kilogrammes en 2006, soit plus du double de ce qu'elles étaient cinq ans plus tôt. Les exportations de bisons vivants ont également augmenté, ayant atteint un sommet de 13 255 en 2006 lorsque la plupart des pays ont levé l'embargo imposé à la suite de la crise de l'encéphalopathie spongiforme bovine. Le rapport décrit certains des avantages des bisons par rapport à d'autres types de bétail. À titre d'espèce indigène, les bisons se sont naturellement adaptés au climat canadien et sont capables de survivre aux tempêtes hivernales violentes et aux canicules estivales suffocantes. Un avantage particulier du bison est sa capacité de convertir les fourrages faibles en protéines en énergie plus efficacement que les autres bovins, ce qui lui permet de prospérer dans la plupart des types de pâturages. Toutefois, le rapport mentionne également qu'à l'instar des autres bovins, on peut supplémenter l'alimentation des bisons avec des céréales pour accélérer la prise de poids par rapport aux diètes exclusivement fourragères. L'ajout de céréales peut également assurer un taux de conception plus élevé chez les bisons femelles. Néanmoins, malgré leur présence dans les fermes canadiennes, les bisons ne sont pas encore considérés comme domestiqués. Ce facteur, agencé à la taille de l'animal (un bison mâle mature peut peser jusqu'à 2 000 livres, et un bison femelle, jusqu'à 1 100 livres) peut nécessiter des méthodes adaptées et des soins spéciaux. Bisons Le 15 mai 2001 Le 16 mai 2006 fermes déclarantes -nombre de têtes- fermes déclarantes -nombre de têtes Canada 1 887 145 094 1 898 195 728 Terre-Neuve-et-Labrador 0 0 0 0 Île-du-Prince-Édouard 1 x 1 x Nouvelle-Écosse 1 x 1 x Nouveau-Brunswick 2 x 3 x Québec 58 4 192 69 4 322 Ontario 58 3 755 71 4 106 Manitoba 157 13 437 166 19 609 Saskatchewan 562 34 781 597 57 395 Alberta 950 79 731 869 97 366 Colombie-Britannique 98 8 964 121 12 656 x confidentiel en vertu des dispositions de la Loi sur la statistique http://www.lebulletin.com/informations/actualite/article.jsp?content=20080125_181625_7244 L'article analytique intitulé «Le bison sur la piste du retour», qui fait partie de l'édition 2006 de la publication Un coup d'oeil sur l'agriculture canadienne (96-325-XWF, gratuite), est maintenant accessible à partir du module Publications de notre site Web.
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Canada's bison meat exports double in 5 years Increase for the lean red meat driven by demand for healthier foods, StatsCan says Last Updated: Friday, January 25, 2008 | 2:11 PM MT CBC News Canada's bison meat exports have more than doubled in five years, a Statistics Canada report says, attributing the rise in part to consumers seeking healthy food. In 2006, exports of bison meat rose to more than 2,075,000 kilograms, from about 939,000 in 2001, according to the report released Friday, called Bison on the comeback trail. The growth of bison meat — once considered exotic — is partly because "health-conscious consumers perceive bison as being a more natural food product," the report says. The animals graze on pastures and their meat is low in fat and calories but high in iron. But the past years have not seen steady growth. Bison ranchers fell into the same rut as the cattle industry when, in May 2003, BSE (bovine spongiform encephalopathy) was found in a cow in Alberta, causing the United States to close its border to all live ruminants from Canada. Restrictions eased in August 2003, then the ban was lifted for animals younger than 30 months of age in early 2005. Despite those challenges, the exports of bison meat continued to climb. Continue Article Consumer demand for the lean red meat both in Canada and abroad has had the side benefit of spurring an increase in the number of ranches and therefore the number of animals. Nearly 2,000 bison ranches, mostly in West The number of farms rose to nearly 2,000 in 2006, more than 6½ times the total in the 1991 census of agriculture, the report says. Most of those farms are located in the traditional home of the bison — British Columbia, Alberta, Saskatchewan and Manitoba — with a smattering also in Ontario and the East. The Statistics Canada report notes that the population is still nowhere near the millions believed to have roamed North America in the 1800s, according to historical accounts. The animals were pushed close to extinction around 1900, due to hunting and loss of habitat as the Prairies were plowed. (Estimates suggest the population plummeted to fewer than 1,000.) In 2006, a total of 195,728 bison lived in farms across Canada, an increase of 34.9 per cent since the previous census in 2001. http://www.cbc.ca/canada/calgary/story/2008/01/25/bison-meat.html Jan 28, 2008
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Bonjour les filles ! Quelles belles photos hop ! Elles sont magnifiques tes petites filles Les chats (en règle général, car la véto m'a dit qu'il leur arrivait quand même de se retrouver avec des blessures au mains) sont inhibés quand ils sont chez le véto. Dès l'arrivée dans le cabinet, il doit y avoir beaucoup d'odeur de stress laissées par les autres animaux qui les paralysent en quelque sorte. Oui j'en suis persuadée hop ! Et il y a aussi des odeurs de morts... Pour Teapot et Hazel, elle les a sorti du panier par la nuque, et elles se sont laissé faire "toutes molles". Les chats réagissent tous différemment quand ils se retrouvent chez le véto: certains, comme ta Linotte ou ma Fanie, deviennent très énervés, griffent, mordent, sautent en bas de la table d'examen ect., alors que d'autres restent figés... J'ai déjà eu un chat (le marmoune), qui, dès qu'il était sur la table d'examen ne bougeait pas d'un poil. Le vétérinaire pouvait le retourner d'un côté à l'autre, lui ouvrir la gueule, lui lever la queue et lui insérer un thermomètre, etc., le moune faisait le mort- c'est comme s'il avait était hypnotisé L'autre semaine, Christian, l'ami récemment honorifié du titre de "préposé à l'attrapage des chattes" (titre dont il se passerait bien ) avait utilisé avec Teapot la technique que vous m'aviez conseillé "la serviette" et ça avait bien marché ! Mais comme il avait réussi une fois avec Hazel sans y avoir recours, il s'attendait à ce que ça se passe bien cette fois encore ! Alors, il ne faudra pas prendre de chance la prochaine fois... Cé, tu devrais peut-être déjà commencer à lui montrer sa boîte de transport... Installe une petite serviette à l'intérieur avec une petite gâterie et laisse la porte ouverte afin qu'elle puisse y entrer et sortir quand elle veut. Quand viendra le temps de l'emmener chez le véto, elle aura beaucoup moins peur Je crois que les griffes de nos chats et chiens poussent plus vite car ils ne peuvent pas les user sur l'asphalte par exemple. Ils passent de longs mois à l'intérieur et même s'ils sortent un peu l'hiver, leurs pattes sont toujours sur la neige... Fanie s'arrache parfois des griffes devenues trop longues...
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Bonjour Sophie-cr et Bienvenue ! Je viens de voir que tu as un blog sur l'environnement et je me permet d' afficher l'adresse ici http://nature-environnement.blogspot.com/ Je n'ai pas encore eu le temps de tout voir mais j'y retournerai c'est certain J'admire également le capitaine Watson ! Si tous les hommes étaient aussi courageux que lui, notre monde serait bien meilleur
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Le lundi 28 janvier 2008 L’hécatombe oubliée Les hydrocarbures, même en petite quantité, sont dangereux pour les oiseaux marins parce qu’ils collent à leur plumage. Photothèque Le Soleil Jean-François Cliche Le Soleil Québec On fait toujours grand cas des naufrages de grands pétroliers et des marées noires qui s’ensuivent. Pourtant, ces catastrophes ne représentent qu’entre 5 et 15 % de tous les hydrocarbures déversés dans les océans. Ce qui ne les empêche pas de faire oublier une multitude de petits incidents similaires qui, chaque année, tuent des centaines de milliers d’oiseaux dans l’est du Canada. Les vidanges d’huile, souvent illégales, effectuées par les cargos en haute mer, sont une des principales causes de cette pollution, et les eaux canadiennes n’y font pas exception. La carte ci-contre montre des déversements (les taches noires) qui ont été détectés en 2002 au large de Terre-Neuve et de la Nouvelle-Écosse par le satellite canadien RadarSat One. ... Les quantités Toutes les sources que nous avons consultées sont d’avis qu’il est impossible d’évaluer avec un tant soit peu de précision les quantités d’huile et de carburant qui finissent dans les eaux canadiennes chaque année. Mais il existe déjà, cependant, un estimé du nombre de «victimes», et il n’a rien à envier à la plupart des désastres pétroliers qui font le tour des médias : environ 300 000 oiseaux marins meurent chaque année uniquement au large de Terre-Neuve en raison de ces déversements illégaux, d’après Environnement Canada. En comptant la côte pacifique, ce nombre pourrait d’ailleurs aisément doubler. Par comparaison, l’International Bird Rescue Research Center a compté 2500 décès d’oiseaux dans la foulée de la marée noire survenue le 7 novembre dernier dans la baie de San Francisco. Les hydrocarbures, même en petite quantité, sont particulièrement dangereux pour les oiseaux marins parce qu’ils collent à leur plumage. Comme celui-ci les protège contre le froid et l’eau, en plus d’accroître leur flottabilité, même une petite tache d’huile peut les faire mourir de froid ou de faim. ... http://www.cyberpresse.ca/article/20080128/CPSOLEIL/80127135/6907/CPSOLEIL
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C'est une victoire pour les Américains qui ont réusssi à faire fermer leurs abattoirs de chevaux, mais est-ce vraiment une victoire pour les chevaux ? Les chevaux américains sont maintenant de plus en plus nombreux à être embarqués dans des camions et forcés de traverser les frontières pour être abattus chez nous ou au Mexique. Leur transport est un véritable calvaire et peut durer plusieurs jours Et même si un jour, le Canada, comme les États-Unis, interdisait l'abattage de chevaux, il resterait toujours le Mexique et c'est probablement là que les chevaux de course, de calèche, poneys, etc. du Québec et d'ailleurs au Canada seraient abattus Pour bien faire, il faudrait non seulement interdire l'abattage des chevaux pour leur viande, mais aussi interdire qu'ils soient transportés hors-frontières ... Et bien sûr, pour être logique, il faudrait interdire l'abattage de tous les animaux pour leur viande
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Expérimentation: Pour le droit à l'objection de conscience.
Animal a répondu à un(e) sujet de mars11 dans Pétitions-Sondages-Suggestions
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Alberta man survives 96 hours trapped in the wild Updated Tue. Jan. 22 2008 8:33 PM ET CTV.ca News Staff An Alberta man who spent four days trapped beneath his all-terrain vehicle in the woods as coyotes circled nearby says he had to go into "survival mode" to make it out alive. On Jan. 8, Ken Hildebrand of Fort McMurray was collecting animal traps near Livingston Gap, a rural area about 130 kilometres southwest of Calgary, when his ATV rolled over and pinned his leg. That's where he would remain for the next three nights -- 96 hours in all. He had food, water, and even a first aid kit, but all of them were out of the trapped man's reach. "I had everything I needed, but I just couldn't get to it," said the 55-year-old college instructor and part time paramedic. Making matters worse, a pack of coyotes were just metres away, ready to pounce at Hildebrand and the beaver meat that was rotting next to him. The only thing keeping them from attacking -- a whistle he blew constantly. But Hildebrand -- who teaches wilderness first aid -- wasn't just concerned about the wild animals. He also had to face Alberta's winter temperatures, which dropped to -17 C overnight. He knew that heat loss was a major concern, and the clothing he had on wouldn't be enough. Having just collected animal traps, Hildebrand used a dead beaver to keep himself warm. "I skinned part of (the beaver) and laid it down beneath my groin and my stomach," he told CTV News Calgary. "That's because you lose 30 per cent of the body's heat from your groin area, and you lose about 60 per cent from your head." The animal meat he had was rotting, but with no other food, Hildebrand couldn't be picky. It made him sick, but he ate the decaying meat in his struggle to survive. Hildebrand says he had to be inventive. With no water around, he used his knife to dig the frost from the earth around him. He ate the dirt, just to get moisture. He also used surveyor's tape to retrieve some dew. Just when he thought he would die out in the wild, Hildebrand was found by a hiker walking his dog. He was taken to hospital suffering from injuries to his leg, hypothermia, frostbite, and dehydration. The injuries aren't life threatening, but he's already had several operations to treat the frostbite. Hildebrand, who already has a weak leg due to polio, may still need to have his foot amputated. With files from the Associated Press
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Oui Grujo, les peines sont beaucoup plus sévères aux États-Unis que chez-nous- Ça n'est pas du tout comparable ! sans compter qu'ils sont - contre la chasse au phoque et n'importent pas de produits du phoque sur leur territoire -Ils sont contre l'abattage des chevaux pour leur viande -Dans plusieurs états américains, il est interdit d'élever des canards pour le foie gras ou de servir du foie gras dans des restaurants -Certaines universités interdisent de tester sur des animaux -d'autres universités ne servent aux étudiants que des oeufs de poules qui ont été élevées en semi-liberté, etc. etc. ect. Bref, ils sont beaucoup plus avancés que nous ! Ici au Québec, on est encore à l'âge de pierre !
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ça se passe au maroc
Animal a répondu à un(e) sujet de terrienne dans ANIMAUX - Europe et autres continents
Pour en savoir plus sur la façon dont ces serpents à sonnette sont capturés, lire cet article (en anglais) SWEETWATER, Texas - When Chris Soles says he works in a snake pit, he's not kidding. ... The snakes are caught during the annual rattlesnake roundup in Sweetwater, Texas, which this town 200 miles (320 km) west of Dallas bills as the biggest in the world. The three-day event, which ends on Sunday, includes a rattlesnake-eating contest. The roundup rattles ecologists but locals see it as a boon for drawing up to 30,000 visitors. Farmers say it helps control a pest that occasionally maims or kills livestock. Nothing is wasted, the organizers say, with the skins made into belts, the meat sold as a delicacy and the venom "milked" for sale to pharmaceutical companies. But scientists raise ecological and ethical concerns. "There's no glory in rattlesnake hunting," said Lee Fitzgerald, an associate professor and curator of amphibians and reptiles at Texas A&M University. Hunters scour the arid landscape for snake dens, into which they pump gas fumes to drive them out. Then they snatch them with the tongs. Hunters say the fumes have minimal ecological impact but many scientists disagree. "It's an unethical way to hunt and it harms other animals such as scorpions and rodents," said Fitzgerald. SUSTAINABLE HUNT? The specific species targeted around Sweetwater is the western diamondback rattlesnake. Data provided by the organizers shows the amount harvested each year, as measured in pounds, has fluctuated wildly, sometimes in response to the price of snake meat. Last year, the roundup yielded more than 13,000 pounds (5,910 kg) of meat, probably representing about 7,000 snakes. The record set in 1982 was almost 18,000 pounds (8,180 kg). Both totals far exceed those of early roundups almost five decades ago, suggesting the hunt may be sustainable but that the long-term consequences are unknown. The dim view of snake roundups from the American Society of Ichthyologists and Herpetologists was spelled out clearly in a position paper last year. "The biological ramifications of decades of rattlesnake roundups are difficult to assess, but they have great potential to affect snake populations negatively, and it is difficult to predict when rattlesnake harvests will push local populations beyond the point of recovery," it said. The society also raised ethical issues. "Snakes are handled roughly and are decapitated and butchered in large numbers in front of an audience, including small children, as entertainment. It is hard to imagine subjecting any other vertebrate animal to such thoughtless and inhumane treatment." The roundup is vintage Texas, from its claim to being the biggest of its kind to its unabashed celebration of the hunt. In Sweetwater, ecological or moral objections are brushed aside as overblown or just plain crazy. "We don't hardly put a dent into the population," said one cowboy as he prepared to tuck into some freshly fried snake. "More are killed on the road every year." Story by Ed Stoddard http://www.planetark.com/dailynewsstory.cfm/newsid/40769/newsDate/12-Mar-2007/story.htm -
ça se passe au maroc
Animal a répondu à un(e) sujet de terrienne dans ANIMAUX - Europe et autres continents
Y-a-t-il un seul animal sur terre qui n'est pas exploité à outrance ! La semaine dernière, j'ai vu un reportage sur le Texas, et j'ai été étonné de voir que la population consomme des serpents. Capturés dans la nature, ils sont servis dans des restaurants, coupés en tranches, pannés et frits dans l'huile comme du poisson