-
Compteur de contenus
14 605 -
Inscription
-
Dernière visite
Type de contenu
Forums
Blogs
Boutique
Calendrier
Téléchargements
Galerie
Articles animaux
Sites
Annuaire animalier
Petites annonces
Tout ce qui a été posté par Animal
-
... Les défenseurs des droits des animaux ne devraient pas pouvoir obtenir des permis auprès des gouvernements fédéral ou provinciaux pour surveiller la chasse au phoque et exercer des pressions sur les pêcheurs. Ces défenseurs des droits des animaux ont les moyens de payer quelqu'un pour qu'il tue des phoques et donne une image très déformée de la réalité. Si vous saignez du nez et que vous prenez un mouchoir en papier blanc pour vous essuyer, le sang paraît beaucoup plus que si vous prenez un tissu plus sombre. Ces activistes pourraient parfois causer des accidents sur les glaces. Ces gens feraient mieux de s'occuper des enfants qui ont faim dans le monde. Il est rare que ces activistes aillent dans des abattoirs et y tournent des vidéos. Nos stations locales comme CBC, VOCM et NTV ne devraient pas diffuser leurs annonces parce que ces gens sont avides de publicité. ... Je peux vous dire que c'est une question difficile. Je sais que d'autres ont déjà essayé de la régler et nous avons déjà eu des discussions autours de cette table sur ce qu'il fallait faire au sujet du hakapik et de la photo du phoque qu'on vient d'assommer. Il ne s'agit pas de savoir si cette méthode est acceptable ou non; il s'agit en fait de savoir ce qu'il faut faire avec ce genre d'image. ... Le problème, ce sont les protestataires. Je ne vais pas vous faire un discours, mais je peux vous dire que je suis sorti de chez moi un jour où des chasseurs avaient récolté des pénis de phoque pour le marché asiatique et on m'a mis un microphone devant le visage. ... http://cmte.parl.gc.ca/cmte/CommitteePublication.aspx?COM=10480&SourceId=184727&SwitchLanguage=1
-
... Selon l'entente, la Corporation créera 18 postes pour un total de 24 afin d'assurer la gestion du territoire. Le nouveau directeur de la réserve, Sylvain Couturier, fait valoir que les interventions seront décidées localement et seront de ce fait plus efficaces. Les nouveaux gestionnaires veulent aussi augmenter le nombre de chasseurs sur le territoire l'automne prochain. La réserve est située à proximité de celles de Matane et compte parmi les secteurs du Québec où vivent le plus grand nombre d'orignaux au km2. Les retombées économiques locales des activités de la Corporation sont estimées à 1 million de dollars. http://www.radio-canada.ca/regions/est-quebec/2008/01/10/001-duniere-controverse.asp
-
Bilan en environnement : passer de la parole aux actes ...
Animal a posté un sujet dans Environnement
11 janvier 2008- Michel Bélanger, avocat président de Nature Québec À l'heure des résolutions du nouvel an, les enjeux environnementaux méritent qu'on s'y arrête non seulement pour faire le bilan de 2007, mais aussi pour se rappeler l'agenda chargé que nos élus se sont imposés pour 2008. .... Que souhaiter pour 2008 ? Des mesures concrètes en environnement. Il est utopique de croire que ces actions se feront sans douleur. Les choix de sociétés qui s'imposeront en 2008 exigeront de nos élus du courage politique et nécessiteront le soutien des leaders de tous les milieux pour que la population s'y engage. Les prochains scrutins seront cruciaux pour notre avenir environnemental, nous n'avons plus de marge de manœuvre. La planète nous regarde nous complaire, consommer, abuser et… choisir nos élus. http://www.cyberpresse.ca/article/20080111/CPSOLEIL/80108158/5287/CPOPINIONS -
11 janvier 2008 Dan Joling Associated Press Anchorage (Alaska) Quand on dit réchauffement climatique, on pense tout de suite ours polaires. Mais en Alaska, les spécialistes des mammifères marins se penchent aussi sur la manière dont l'évolution des températures risque d'affecter également les morses et phoques. Et se sentent impuissant à protéger ces espèces en danger. http://www.cyberpresse.ca/article/20080111/CPSOLEIL/80111088/6907/CPSOLEIL
-
L'UPA n'apprécie pas les coups de bâton de Greenpeace 9 janvier 2008 - 06h00 Le Nouvelliste Brigitte Trahan Trois-Rivières "Greenpeace cherche toujours des cibles, contrairement à Équiterre qui travaille surtout à changer les mentalités de l'intérieur", ajoute-t-il. "Ce n'est pas en sacrant un coup de pied au cul des producteurs agricoles qu'on va aider la cause. Pointer les gens n'apporte pas de solution", plaide de son côté le directeur adjoint de l'UPAM, Yvan Martin. Le dernier rapport de Greenpeace accusant le secteur agricole d'être responsable de près du tiers des émissions mondiales de gaz à effet de serre a fait vivement réagir le milieu, hier. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080109/CPNOUVELLISTE/801090816/5291/CPNOUVELLISTE
-
Le jeudi 10 janvier 2008 Un chasseur tué par son chien au Texas Photo archives PC Agence France-Presse Chicago Un chasseur aux États-Unis a été tué par son chien avec son propre fusil, au Texas, alors qu'il chassait des oies sauvages, ont indiqué mardi les autorités. Perry Price, 46 ans, venait de tuer une oie, quand il est retourné jusqu'à son camion pour libérer son chien afin qu'il puisse ramasser le volatile tombé dans les fourrés. Selon le témoignage d'un autre chasseur qui se trouvait à ses côtés, M. Price aurait posé son arme pour ouvrir le véhicule. «Quand le chien a commencé à sauter dans tous les sens, le coup est parti», a raconté à l'AFP Nacheal Bonin, adjointe du bureau du shérif du conté de Chambers. M. Price, professeur de collège et chasseur amateur, a été atteint à la cuisse. Son compagnon de chasse l'a aussitôt emmené à l'hôpital, situé à quelques kilomètres de là, mais une artère avait été touchée et M. Price n'a pas pu être sauvé. Son décès a été prononcé à 18h20 samedi soir. Selon Mme Bodin, il n'y aura pas d'enquête supplémentaire, car le fusil était maculé de traces de pattes. En octobre dernier, un chasseur américain s'était fait tirer dessus par sa meute de chiens de chasse avec son propre fusil dans l'Iowa alors qu'il ramassait un faisan. James Harris, 37 ans, avait reçu une balle dans la jambe alors qu'il chassait avec des amis. http://www.cyberpresse.ca/article/20080110/CPINSOLITE/80110020/5406/CPINSOLITE
-
Je crois qu'aujourd'hui, certaines municipalités fournissent des cages à des citoyens qui ont des animaux sauvages sur leur terrain (ratons laveurs, moufettes, marmottes, etc.), mais que ce sont des trappeurs qui viennent les installer eux-mêmes - On se doute de ce qu'ils font ensuite de ces animaux ! Exactement Stella ! J'ai souvent demandé à des vets s'il était possible de réduire un peu les frais lorsque j'emmenais un animal que j'avais trouvé pour le faire stériliser, vacciner, etc. ou dans certains cas où je n'avais pas d'autre choix, pour le faire euthanasier, mais ils m'ont toujours répondu qu'ils ne le pouvait pas. En octobre, j'ai dû faire euthanasier une petite chatte que j'avais trouvée dehors et le vet m'a chargé le gros prix: Plus de 70$ avec l'examen ! Il me semble qu'ils pourraient eux aussi faire leur part, d'autant plus que la majorité roule sur l'or... Les gens qui sauvent des animaux sont pénalisés et je trouve ça vraiment révoltant !
-
Peter O'Neil, CanWest News Service Published: Wednesday, January 09, 2008 PARIS - A Europe-wide ban on seal products is at least 18 months away, according to a member of the European Parliament who is one of the Canadian government's top opponents in an emotional diplomatic battle. (La chasse commerciale au phoque débute en mars) Swedish parliamentarian Carl Schlyter was responding Wednesday to a speech by Bruce Williams, president of the Fur Institute of Canada, who told a gathering in Newfoundland this week that the seal industry faces a "crisis" due to the spectre of a Europe-wide ban. "He's right in the trend moving away from this. The public acceptance of this in Europe is very low, very low," Schlyter told CanWest News Service. Schlyter, who introduced the anti-seal hunt declaration that was passed in the European Parliament in 2006, said European Union officials are struggling to come up with a legal basis to block imports of seal products. Even if one were discovered immediately, it would still have to be debated and go through all the legislative hoops at the labyrinthian EU. "So we are speaking of at least one and a half years." The Canadian government has waged an aggressive diplomatic battle against the anti-sealing movement even though export of seal products, including pelts, meat and oil, totaled a relatively miniscule $18 million in 2006. Less than a third of that total, $5.4 million, went to the EU's 27 member countries. Ottawa launched complaints before the World Trade Organization recently seeking to overturn seal product bans in Belgium and the Netherlands. And Fisheries Minister Loyola Hearn turned up the rhetorical stakes when he complained in Belgium that the ban would hurt Canadians whose relatives fought and died to liberate Europe. Schlyter said Canada's efforts are counterproductive and reek of desperation. "It's not paying proper tribute to the people who died from Canada during the two world wars. They were not there to defend the sealers; they were there to defend human rights." An EU scientific panel accepted last month a report from the European Food Safety Authority (EFSA) which determined that while many seals are killed quickly and relatively humanely in Canada and other countries, there is "strong" evidence that some seals die a slower and painful death that includes bleeding and skinning while there are signs of life. The panel recommended a series of measures to ensure sealers are adequately trained. But Swedish parliamentarian Schlyter said stronger rules would be almost impossible to enforce given that the hunt takes place during a brief springtime period in remote parts of Eastern Canada and the North. http://www.canada.com/ottawacitizen
-
UNE NOUVELLE QUI N'A PAS FAIT LA MANCHETTE DES JOURNAUX DU QUÉBEC- 27 CHIOTS SAISIS LORS D'UN CONTRÔLE ROUTIER: UN QUÉBÉCOIS ACCUSÉ p.s: la Municipalité de Saint-Cyrille-de-Wendover se situe à environ 5 kilomètres au nord-est de Drummondville ------------------------------------------------------ 27 puppies seized in police RIDE check, Quebec man charged By MICHAEL JIGGINS Staff Writer More than two dozen puppies rescued from deplorable conditions inside a van stopped along Highway 401 last month continue to make their recovery in the Brockville area. As they do, a Quebec man is scheduled to appear in Brockville court next month on a charge stemming from what OPP are describing as a disturbing animal cruelty case. OPP said 27 puppies of various breeds were found inside a minivan after it was stopped during a routine RIDE check at the westbound exit ramp on Highway 401 at Stewart Boulevard. The scene actually unfolded along the highway on Dec. 22, but information wasn't released by police to the media at the time. On Tuesday, Leeds OPP Constable Sandra Barr said the 41-year-old man from St-Cyrille-de-Wendover, Quebec, who was behind the wheel of the 1999 Plymouth Voyageur van, was arrested at the scene on a charge of animal cruelty. The name of the man, who is to appear in Brockville court on Feb. 8, was not released yesterday. Barr said the puppies, including basset hounds, chows and Shih Tzus, were discovered after the van was stopped at the RIDE check just after 2:30 p.m. She said Constable Rob Sinclair approached the vehicle and became suspicious after the driver rolled down the van's window. "There was an overpowering foul odour emitting from the interior," said Barr. She said the seats in the rear of the van had been removed and the interior contained several small plastic hampers used to transport the puppies. Barr said Sinclair's report described the interior as being soaked in dog urine and covered with feces. "He said it was just a horrible transport condition," said Barr. "It's so sad," she added. Officials from the local Ontario Society for the Prevention of Cruelty to Animals (OSPCA) responded and removed the puppies. Connie Mallory, senior OSPCA inspector for eastern Ontario, said yesterday some of the puppies required veterinary treatment, but all of them have survived and are making a recovery. "For the most part they have been responding to some TLC and are doing well," she told The Recorder and Times, noting they've been cared for by local animal shelter staff as well as a handful of foster care providers. She stressed, however, people should not inundate the Brockville shelter with inquiries about the puppies. "The dogs are not available for adoption at this time," she said. Mallory said the OSPCA has no jurisdiction to investigate the case further because the dogs originated in Quebec. Information has been passed to that province's animal protection agency. "Now they will conduct their investigation," said Mallory. Neither Barr or Mallory had information about where the puppies were being delivered. "They were obviously puppies that people were looking to buy or possibly they were going to pet stores, I don't know," said Mallory. She stressed would-be puppy purchasers have a role to play in stopping such activity. "It concerns me that these animals had to travel a long distance and it concerns me that people are still buying puppies without actually getting the history of where they came from," she said. "We always say that if people are going to buy dogs, it's important that they know where they came from. Make sure that they can see the mother and the father of the dog." Not only does that allow the buyer to ensure the breeder is ethical, but knowing the dog's background will give clues to possible genetic health problems and behaviour issues. "We try to educate. I think we're getting there in Ontario and I think that's why the dogs are coming in from Quebec now," she said. While Ontario has for the past couple of years had tough new legislation to allow investigators like Mallory to crack down on problem breeders, she said "Quebec has nothing." Mallory noted the accused in this case is not subject to Ontario's animal cruelty legislation because the animals originated in Quebec. Under the Criminal Code charge he is facing, the maximum penalty is a $2,000 fine, six months in jail and a two-year breeding prohibition. However, Mallory said the provincial cruelty laws in Ontario allow for fines of up to $60,000 and a lifetime ban on breeding. She said cases of animal cruelty are always difficult to investigate. "You'd like to think that you're getting the message out there. It's only a small percentage of people who don't look after their pets properly, but those that don't - we do see some nasty stuff," said Mallory. CETTE NOUVELLE EST PARUE LE 9 JANVIER 2008 DANS LA SECTION A, PAGE 1 DU BROCKVILLE RECORDER & TIMES
-
(p.s.: il y a 2 abattoirs de chevaux au Québec) ------------------------------------------------------------------ Horses Spared in U.S. Face Death Across the Border Sally Ryan for The New York Times A one-eyed pony, center, huddles near another pony at the Shipshewana horse auction. The auction trades driving, work and saddle horses, as well as loose horses, which are often bought for slaughter. By CATRIN EINHORN Published: January 11, 2008 SHIPSHEWANA, Ind. — At the weekly horse auction here, No. 274, a handsome chestnut-colored draft horse, looked at the surrounding men while being led into a small ring. Two of the men looked back, calculating how much meat the animal’s carcass would yield, and started bidding accordingly. Bidding on Loose Horses There is no pretense about what happens to the horses sold in this area of the auction, known as the kill pen. Just a few months ago, many of them would have met their end at a slaughterhouse in neighboring Illinois. Now almost all will be shipped to Canada and killed there. Amid pressure from animal rights groups, horse slaughter virtually ended in the United States last year, as courts upheld state laws banning it in Texas and Illinois, home to the nation’s last three horse slaughterhouses. But there have been unintended consequences, including more grueling travel for tens of thousands of horses now being sent to slaughter in Canada and Mexico, where, animal advocates say, they sometimes face more gruesome deaths. Horses that wind up as No. 274 did last month here in Shipshewana, near the Michigan state line, may once have carried children on their backs, pulled wagons on a farm, even been to the races. Now they are lame, aged, fractious or unwanted for any of various other reasons. Some are young, never broken in to begin with. The slaughterhouse closings themselves may have added to the population of the unwanted. In some parts of the country, auctioneers say, the closings have contributed to a drop in the price of horses at the low end of the market, and the added distance in the shipping of horses bound for slaughter, combined with higher fuel costs, means that some small or thin horses are no longer worth the fuel it takes to transport them. Add to that a rise in hay and grain prices, as well as a general economic slowdown. “First time in my life I’ve seen livestock that has no value,” said Devin Mullet, owner of Kalona Sales Barn in southeastern Iowa. After his monthly auction in October, Mr. Mullet said, he shot 28 horses that had failed to fetch any bids. Since then, he has monitored horses coming in for sale, turning away those he thinks are worthless — often yearlings and the aged, which tend to yield less meat. (Horse meat for human consumption is shipped to countries including Belgium, France, Italy and Japan.) But opponents of horse slaughter say its domestic demise is a victory, if an incomplete one, in their fight to protect animals they see as devoted companions. “It’s a step closer to the long-term goal of banning slaughter in North America,” said Wayne Pacelle, chief executive of the Humane Society of the United States. “There are fewer horses slaughtered.” Indeed, even with the busy export to Canada and Mexico, the Agriculture Department estimates that 105,000 American horses were slaughtered in the three countries in 2007, down from some 138,000 the year before. For many horses, though, export means hundreds more miles of strenuous transit in large trailers. “It’s difficult for them to keep their balance, they’re often crowded, they have no access to food or water while en route,” said Timothy Cordes, a senior veterinarian with the Agriculture Department. Of particular concern to advocates is the treatment of the horses once they reach Mexico, to which exports have more than tripled. American protections simply do not apply there, Dr. Cordes said. The American slaughterhouses killed horses quickly by driving steel pins into their brains, a method the American Veterinary Medical Association considers humane. Workers in some Mexican plants, by contrast, disable them by stabbing them with knives to sever their spinal cords, said Temple Grandin, a professor of animal science at Colorado State University. “My worst nightmare has happened,” Dr. Grandin said. “This is an example of well-intentioned but very bad unintended consequences.” An official with the Mexican agriculture department said the technique described by Dr. Grandin was illegal in Mexico. Animal rights groups are pushing for federal legislation that would forbid the sale and transport of horses for human consumption, thereby banning the export market. Bills await action in both houses of Congress. In the meantime, the debate over horse slaughter continues to divide the equine community, pitting organizations against one another. Many thoroughbred associations support both the domestic slaughter ban and the proposed legislation; the American Quarter Horse Association is against them. The issue is so controversial that the American Horse Council, a national lobbying group for the horse industry, declares itself neutral. Supporters of the ban say the solution to unwanted horses is to euthanize them — by chemical injection, for example, as with a cat or a dog. “Give the horse some dignity,” said Barbara Geittmann, executive director of the Hooved Animal Humane Society. “It gave you all the ribbons and all the wins.” But euthanasia and carcass disposal cost upward of $140, according to the American Association of Equine Practitioners, a veterinary group, and there can be environmental issues related to burial. At the Shipshewana auction, Keith D. Lambright, an owner and auctioneer, said the price of meaty slaughter horses had dropped to an average of about $230, from roughly $330 a year ago. No. 274 sold for $150, and some in the kill pen brought as little as $30, perhaps to be used as zoo meat. A fuzzy foal and an emaciated old-timer fetched nothing at all. A woman felt sorry for them and, despite high feed prices, paid $40 for the pair and took them home as pets. http://www.nytimes.com/2008/01/11/us/11horse.html?_r=1&th&emc=th&oref=slogin
-
LAB Recherche veut doubler de taille 23 août 2007 - 06h00 La Presse Philippe Mercure Il faut croire que Luc Mainville aime le bruit des marteaux. Le président et chef de la direction de LAB Recherche vient à peine de terminer l'agrandissement de ses installations de Laval qu'il en mijote déjà un autre. «On n'a pas encore annoncé nos couleurs, mais ça va se faire très bientôt», a révélé mercredi M. Mainville lors d'une rencontre avec La Presse Affaires. «On pourrait regarder quelque chose autour de 20 millions d'investissement initial, pour un agrandissement de l'ordre de 75 000 pieds carrés», a précisé le président. Un investissement additionnel de 20 millions de dollars sur cinq ans est aussi prévu pour équiper les nouvelles installations d'équipements de pointe. LAB Recherche vient pourtant tout juste de se payer un agrandissement de 12 millions de dollars qui a fait grimper la superficie de ses installations de Laval de 40% pour l'amener à 87 000 pieds carrés. C'était en décembre. «Aujourd'hui, six mois après l'expansion, on est déjà à pleine capacité. Ça montre à la fois la santé de l'industrie et l'élargissement de notre clientèle», dit M. Mainville. L'homme décrit son entreprise comme «un mal nécessaire pour l'industrie pharmaceutique». LAB Recherche effectue des analyses de laboratoire et des essais sur les animaux pour les entreprises pharmaceutiques et les sociétés de biotechnologies qui doivent tester leurs médicaments. Tout près du bureau où M. Mainville a reçu La Presse Affaires se trouvent 36 salles hébergeant autant des rongeurs que des porcs, des chiens et des primates. L'expansion prévue fera passer le nombre de ces locaux à 80. Avec des installations au Danemark et en Hongrie, LAB Recherche occupe le huitième rang mondial d'une industrie qui a le vent dans les voiles, les grandes entreprises pharmaceutiques confiant de plus en plus leurs essais non cliniques et précliniques à des sous-traitants. LAB Recherche est d'ailleurs fière de compter neuf des dix plus grosses entreprises pharmaceutiques de la planète dans sa liste de clients. Le fait de voir un deuxième agrandissement en quelques mois indique-t-il que LAB Recherche a été trop timide dans son agrandissement de décembre dernier? «Oui», répond d'emblée M. Mainville, qui rappelle toutefois que le contexte était alors bien différent. C'est que l'expansion précédente a été planifiée alors que LAB Recherche était encore une filiale de LAB International. L'entreprise ne vole de ses propres ailes que depuis août dernier, soit depuis son entrée à la Bourse de Toronto. «Dans notre industrie, on peut dire grosso modo qu'on a besoin d'investir un dollar pour gagner un dollar de vente», dit M. Mainville. Il espère ainsi faire grimper son chiffre d'affaires d'environ 20 millions de dollars avec la nouvelle expansion, et vise à terme «entre 30 et 40 millions de revenus additionnels». L'entreprise a réalisé un chiffre d'affaires de quelque 50 millions en 2006. M. Mainville espère commencer la construction des nouveaux locaux l'hiver prochain, pour terminer le tout pour le 3e trimestre 2008. L'agrandissement devrait se traduire par l'embauche d'une centaine d'employés d'ici deux ans. L'entreprise en compte actuellement 225 à Laval, et plus de 450 en englobant les activités européennes. La semaine dernière, La Presse Affaires faisait état de l'arrivée probable à Sherbrooke du numéro un mondial de l'industrie des études précliniques, l'américaine Charles River. M. Mainville affirme que ce nouveau concurrent potentiel n'a pas influencé ses plans d'expansion. «Dans notre industrie, le facteur limitatif n'est pas de trouver des clients, mais des employés de qualité. Et je ne crois pas que l'on recrutera dans le même bassin de main-d'oeuvre que Charles River à Sherbrooke.» http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20070823/LAINFORMER/708230499/5891/LAINFORMER01
-
Sherbrooke récolte un gros joueur mondial La multinationale Charles River investira jusqu'à 140 M$ dans son parc biomédical 2007-10-17 Par Daniel Allard Le Cyberjournal avait été informé de la bonne nouvelle en plein centre des affaires de Barcelone, début juillet 2007, alors que son journaliste lunchait avec les deux représentants de Biomed Développement, le parc biomédical de Sherbrooke. Alain Paquin et Pierre Quirion devaient raccourcir leur participation au XXIVe congrès annuel de l'Association internationale des technopoles (IASP-International Association of Science Parks) pour un rendez-vous incontournable concernant ce dossier d'une ampleur jamais vue dans l'histoire de l'organisme et de la Ville de Sherbrooke. Quelques semaines plus tard, nous rencontrions à nouveau Alain Paquin, le président du conseil d'administration de Biomed Développement, dans son bureau de comptable au centre-ville de Sherbrooke, pour connaître tous les détails de ce grand coup : comment ont-ils réussi à convaincre la multinationale Charles River Laboratories International, Inc. d'investir si massivement dans des installations ultra modernes qui seront construites dans leur jeune parc biomédical ? « Pourquoi ont-ils choisi de s'installer ici ? D'abord nous avons la main-d'oeuvre compétente grâce à nos deux universités, une de langue française et une de langue anglaise, et nos trois cégeps, deux francophones et un anglophones. Cette compagnie a aussi une usine de 1 600 employés, à Senneville, qui n'avait plus de capacité d'expansion. Donc à proximité de Montréal, offrant en plus un excellent niveau de qualité de vie, nous représentions le meilleur choix », d'expliquer Alain Paquin, en rappelant que ce projet d'envergure couronne plusieurs années d'efforts et qu'il attirera des investissements estimés à 140 M$ à terme, d'ici sept ans et la fin des quatre phases de construction prévues. « Une fois complété, 1 000 nouveaux emplois seront créés dans des domaines variés, tant pour les personnes ayant une scolarité de niveau secondaire, que collégial et universitaire. Ce projet est majeur car il aura certainement un effet d'entraînement auprès d'autres compagnies du domaine biomédical qui pourraient choisir de s'implanter à Sherbrooke dans le futur », précise-t-il. Un projet qui s'inscrit parfaitement dans la vision que la Ville de Sherbrooke s'est donnée de devenir pôle majeur en innovation d'ici 2012 Selon M. Paquin, la Ville de Sherbrooke représentait un choix judicieux pour la compagnie Charles River en raison aussi de la possibilité d'acquérir rapidement le terrain nécessaire pour construire l'ensemble des bâtiments. Les travaux maintenant en cours - la phase 1 qui a débuté comprend la construction d'un premier laboratoire de 36 M$ - ont reçu l'aval de la ville suite à une séance spéciale du conseil municipal le 4 juillet 2007 pour autoriser la vente d'un terrain d'une superficie de 130 853 m2 près de la rue Ida-Métivier, soit dans la zone d'agrandissement toute neuve par rapport aux limites précédentes du Parc biomédical de Sherbrooke. « Charles River est ainsi la première entreprise à s'installer dans cette nouvelle zone de 7 millions de pieds carrés disponibles. Comme eux prennent deux millions, ils nous en reste cinq de disponibles », ne manque pas de nous faire remarquer, en bon vendeur, Alain Paquin. L'implantation de cette société biopharmaceutique de calibre mondial donnera donc un nouveau visage au jeune parc biomédical attenant au Centre hospitalier universitaire de Sherbrooke (CHUS). Il s'agit en effet du premier gros joueur étranger à choisir le Parc biomédical de Sherbrooke. Charles River Laboratories, dont le siège social est situé à Wilmington, près de Boston, compte quelque 8 000 employés à travers le monde. « Ce projet s'inscrit parfaitement dans la vision que la Ville de Sherbrooke s'est donnée de devenir pôle majeur en innovation d'ici 2012 », déclarait par voie de communiqué le maire Jean Perrault le 28 août dernier. DANS LA FOULÉE DE L'AFFAIRE NOKIA Quant à Alain Paquin, le voilà bien loin de l'époque du BLEU, le Bureau de liaison entreprise université, de ces années de premier balbutiement où le fameux brevet d'une importante découverte appartenant à l'Université de Sherbrooke avait été vendu à la compagnie Nokia, et qui depuis constitue une technologie célèbre qui se retrouve encore dans presque tous les téléphones cellulaires de la planète... « Un succès qui avait littéralement contaminé le milieu des affaires de cette ville », raconte-t-il. Alors que tout restait encore à faire, cependant, pour arriver à mettre en place une véritable infrastructure d'accueil des entreprises technologiques dans sa ville natale. Comptable de profession, impliqué bénévolement depuis que l'idée du Parc biomédical de Sherbrooke n'était qu'un projet sur papier - donc depuis 1990 - il est évidemment très fier des résultats accomplis. « Aux environs des années 2000, nous sommes devenus véritablement fonctionnels en créant la corporation Biomed Développement. Maintenant doté d'un incubateur d'entreprises et d'une équipe permanente de développement, les rêves deviennent réalité », nous faisait-il remarquer, en visionnant avec nous la nouvelle vidéo corporative et en soulignant le travail remarquable de Pierre Quirion, le directeur général sur qui il peut compter depuis octobre 2005. Et pourquoi étaient-ils tous les deux au XXIVe congrès de l'IASP à Barcelone en juillet dernier ? « Nous tenions à montrer que nous sommes-là (...) J'avais aussi participé aux congrès de l'IASP à Londres et à Lisbonne dans le passé. Il faut être présent à ce genre de rencontre si l'on veut faire sa place. Le Bio-Contact de Boston, par exemple, en Amérique, on ne le manque jamais », explique-t-il. Bref, il a appris comment jouer dans la cour des grands en les côtoyant et maintenant grâce à des hommes comme lui, sa ville, Sherbrooke, récolte ! http://www.commercemonde.com/commercemonde.php?niveau=2&id=366
-
même en élevages bio, les animaux souffrent: «Mutilations (généralités pour toutes les espèces) Cependant, la castration des porcelets et des bovins, la taille des dents des porcelets, l’amputation de la queue des agneaux, l’enlèvement des cornes et la taille du bec sont tolérées, au besoin, pour des raisons de sécurité ou dans le but d’améliorer la santé et le bien-être des animaux. L’opération doit être effectuée à un âge approprié et sous anesthésie. Lorsqu’elles sont pratiquées sur des jeunes sujets, les opérations telles que le brûlage des cornes et la castration à l’aide d’un élastique peuvent être réalisées sans anesthésie. ... Alimentation au cours des premières semaines de vie (généralités pour toutes les espèces) Les petits mammifères pourront être retirés de la mère à un (1) jour d’âge ou après qu’on se sera assuré qu’ils ont reçu du colostrum de la mère à la naissance... et on ne parle pas du transport, ni de l'abattage.... http://www.agrireseau.qc.ca/agriculturebiologique/documents/Production%20animale.pdf
-
-
Allo Stella On octobre dernier, j'ai téléphoné à la SPCA de la Montérégie à Ste-Angèle de Monnoir pour une chatte que j'avais trouvée et ils m'avaient répondu qu'ils étaient débordés et qu'ils ne pouvaient plus prendre de chats. La dame qui m'a répondu m'a même conseillé de la faire euthanasier !!! Finalement, j'avais trouvé, à travers un refuge privé, un particulier qui était prêt à l'adopter, si une visite chez un véto confirmait qu'elle était en bonne santé, mais le véto a détecté une grosse tumeur maligne (au niveau de ses mammelles = je croyais qu'elle attendait des petits), et j'ai été contrainte de la faire euthanasier...
-
-
-
-
C'est triste ! Je sais, c'est très difficile de trouver des refuges en ce moment, car ils sont tous pleins à craquer ! Les petits étaient-ils sevrés ? Les avais-tu plaçés dans une boîte fermée, au chaud ? Sais-tu si le refuge où tu les a laissés les a pris en charge ? Pour la mère, il faudrait que tu places de la nourriture dans le fond d'une cage et dès qu'elle y est, tu fermes la porte. Sinon, je crois qu'on peut louer ce genre de cage...
-
-
2012 - cages de batterie "interdites" !?
Animal a répondu à un(e) sujet de hop dans ANIMAUX - Europe et autres continents
-
knut, l'ourson "vedette"
Animal a répondu à un(e) sujet de hop dans ANIMAUX - Europe et autres continents
Zoo's starving polar bear cubs eaten by mother, keepers report Kate Connolly in Berlin Wednesday January 9, 2008 The Guardian A zoo in southern Germany, which wanted to avoid a sequel to "Knut mania", has been criticised for refusing to intervene to save two polar bear cubs which now appear to have been eaten by their mother. Nuremberg zoo, in Bavaria, ignored calls to rear the vulnerable cubs by hand as Berlin zoo famously did a year ago with the cub Knut, the zoo chiefs deciding that "nature should take its course" with the babies born to Vilma five weeks ago. "We wanted to avoid a repeat of the stupid Knut mania and not rear the animal by hand," said Helmut Mägdefrau, deputy director of Nuremberg zoo. Using a fishing net, Berlin zoo staff had whisked the young polar bear Knut to safety from the enclosure it shared with its mother, Tosca, in December 2006. The bear later became a global celebrity. Despite knowing that Vilma was not feeding her young, Nuremberg zoo did not intervene. On Monday the keepers realised the cubs were gone. "We could not find the remains of the little ones, so we cannot determine the cause of death," Mägdefrau said. "We're very sad." He said Vilma could have seen her babies die or killed them because they were sick. Politicians and animal rights activists accused the zoo of neglect. "You cannot just dump them in an artificial environment then treat them as if they're living in the wild," said Berthold Merkel, president of Bavaria's Animal Protection Association. A year ago an activist sparked an outcry by suggesting the rejected Knut should have been left to die. But others said it was nonsense for a zoo to treat captive creatures as if they were living free. The attention is now on the polar bear Vera, who has also had a cub. Reacting to the public outcry, Nuremberg's mayor, Horst Förther, said: "I don't know whether we could face losing another polar bear." Yesterday the zoo relented, and said it would be rearing Vera's cub by hand. http://www.guardian.co.uk/germany/article/0,,2237483,00.html -
Méthode douce pour Vera Weber
Animal a répondu à un(e) sujet de hop dans ANIMAUX - Europe et autres continents
l'adresse complète se termine avec ceci (contenu)/168605 donc tu dois le rajouter à l'adresse.... --------------------------------- Méthode douce, Vera Weber n'attaque pas frontalement. PORTRAIT | 06h00 Elle partage les idéaux de son père, mais elle poursuivra la lutte à sa façon à elle. Moins virulente, plus pragmatique. Douce mais décidée, Vera Weber poursuit le combat de son père à sa manière. «Il est du signe du Lion, moi du Scorpion.» La relève est assurée. | Florian Cella Envoyer par email Réagir sur l'article Recommander SANDRA WEBER | 09 Janvier 2008 Les dates qui l'ont marquée Vera Weber ne saurait se raconter sans faire référence à son père, incontournable figure du combat écologique et de la sauvegarde des animaux. A peine ouvre-t-elle la porte de la villa cossue de la Fondation Franz Weber à Clarens qu’il apparaît. Au mur. Sur des coupures de presse encadrées. La jeune femme de 33 ans respire la lumière. «Mon bureau est au dernier étage. C’est le seul endroit qui ne soit pas trop envahi par la paperasse.» Un imposant escalier de bois nous y conduit. Plutôt sobre, la pièce reflète l’histoire des lieux: tapisseries vieillottes; ordinateur dernier cri; poster sur les espèces menacées; livres sur la nature; précis de marketing; flacon de vernis à ongle; peluche de bébé phoque. Un combat de toujours La foi en un combat pour la préservation de la vie menacée a toujours habité Vera Weber. «A l’âge de deux ans et demi, j’ai réalisé ce que mes parents faisaient. Il faut dire que c’est assez terrible pour un enfant de s’imaginer que l’on tue des bébés phoques, alors qu’il joue avec des peluches à leur effigie. Ça donne envie de les protéger. Et le combat ne se limite pas aux animaux, mais à tout ce qui a de la valeur, comme l’architecture.» Fille unique, Vera Weber n’a pas eu beaucoup de contacts avec les autres enfants. «J’invitais des camarades à la maison, mais leurs parents leur interdisaient de venir chez nous. Mon père n’avait pas bonne réputation.» Et ses parents, très occupés, ont peu de temps à lui consacrer. En grandissant, l’adolescente ne nourrit pourtant aucune révolte envers les combats qui accaparent son père. «J’ai très vite compris qu’il faisait le bien. Il a eu de la chance que j’aie un bon caractère.» Mais comment peut-on se faire un prénom en reprenant la fondation qui porte celui de Franz? «J’ai la chance d’être sa fille et non pas son fils, lance-t-elle en soulignant ses propos d’un regard appuyé. Si j’étais un homme, on attendrait de moi que je sois semblable à lui. Que je mène le combat avec la même virulence. Or en tant que femme, personne ne s’attend à ce que je sois sa copie conforme.» Et effectivement, Vera Weber n’use pas de la même méthode que son père. «Même si sa façon d’attaquer frontalement a prouvé son efficacité, je procéderai autrement.» Elle défend une approche plus pragmatique et plus douce des problèmes. «Lorsque des chasseurs de phoques ont foncé sur notre véhicule à 100 km/h au Canada l’année dernière, je me suis dit que c’était inutile de braquer les gens. Il faut discuter calmement pour trouver ensemble des solutions alternatives.» Concilier cuisine végétarienne et fins gourmets Une patte qui se retrouve dans Grand V, sa propre ligne de produits alimentaires végétariens. «Mon but n’est pas de convaincre tout le monde de devenir végétarien. Mais en proposant des aliments qui plaisent aux fins palais, je souhaite amener les gens à manger moins de viande. Et pour cela, il faut créer quelque chose d’aussi bon qu’un émincé à la zurichoise ou des rillettes.» Vera Weber est passionnée par les nombreuses activités qu’elle mène en parallèle entre Lucerne, Berne et Montreux: coordinatrice de la Fondation, déléguée du conseil d’administration du Grand Hôtel Giessbach, sauvé de la destruction par ses parents il y a plus de vingt ans, directrice de Grand V. Mais elle tient à préserver des moments pour elle. «Mes parents ne s’accordaient pas de vacances ni de week-ends. Moi si.» Elle éprouve le besoin de se ressourcer. Ne serait-ce que pour se balader dans la nature. «Il ne faut pas oublier de rendre hommage à ce que l’on veut sauvegarder.» La jeune femme est affirmée. Il est pourtant une question qu’elle ne parvient pas à trancher. «Je ne sais pas si je souhaite mettre au monde des enfants, même si j’ai quelqu’un dans ma vie. C’est une énorme responsabilité, vu l’état de la planète. Il y a tellement de batailles à mener. Et je voudrais être plus présente que mes parents ne l’ont été.» Son visage ne s’assombrit pas longtemps. Le journal de la Fondation est bouclé, il est temps de passer à la suite. http://www.tdg.ch/pages/home/tribune_de_geneve/quotidiennes/travail/travail_detail/(contenu)/168605 -
-
Allo Linda, je ne sais pas qui est Canicatus: Est-ce qu'ils font affaire avec Le Berger Blanc ? À ma connaissance, le Berger Blanc est une fourrière et non pas un refuge (ils euthanasient des animaux). Ce que j'aurais aimé savoir, c'est ce qu'il est advenu de la centaine de chiens qui avaient été saisis par ANIMA-Québec en novembre dernier à St-Paul-de-la-Croix et qui ont été remis au Berger Blanc ! Je n'ai rien lu à ce sujet dans les journaux ! Aussi, quelles méthodes d'euthanasies sont utilisées ? Injections létales, chambre à gaz ?... Une autre question serait: est-ce que le Berger Blanc envoie aussi des animaux dans des laboratoires de recherches pour la vivisection ? Merci