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Tendance fourrure en Italie
Animal a répondu à un(e) sujet de hop dans ANIMAUX - Europe et autres continents
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voir aussi: LAB Recherche veut doubler de taille 23 août 2007 - 06h00 La Presse Philippe Mercure Il faut croire que Luc Mainville aime le bruit des marteaux. Le président et chef de la direction de LAB Recherche vient à peine de terminer l'agrandissement de ses installations de Laval qu'il en mijote déjà un autre. Et cette fois, il veut multiplier par deux la grandeur de son terrain de jeu. «On n'a pas encore annoncé nos couleurs, mais ça va se faire très bientôt», a révélé mercredi M. Mainville lors d'une rencontre avec La Presse Affaires. «On pourrait regarder quelque chose autour de 20 millions d'investissement initial, pour un agrandissement de l'ordre de 75 000 pieds carrés», a précisé le président. Un investissement additionnel de 20 millions de dollars sur cinq ans est aussi prévu pour équiper les nouvelles installations d'équipements de pointe. LAB Recherche vient pourtant tout juste de se payer un agrandissement de 12 millions de dollars qui a fait grimper la superficie de ses installations de Laval de 40% pour l'amener à 87 000 pieds carrés. C'était en décembre. «Aujourd'hui, six mois après l'expansion, on est déjà à pleine capacité. Ça montre à la fois la santé de l'industrie et l'élargissement de notre clientèle», dit M. Mainville. L'homme décrit son entreprise comme «un mal nécessaire pour l'industrie pharmaceutique». LAB Recherche effectue des analyses de laboratoire et des essais sur les animaux pour les entreprises pharmaceutiques et les sociétés de biotechnologies qui doivent tester leurs médicaments. Tout près du bureau où M. Mainville a reçu La Presse Affaires se trouvent 36 salles hébergeant autant des rongeurs que des porcs, des chiens et des primates. L'expansion prévue fera passer le nombre de ces locaux à 80. ... http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20070823/LAINFORMER/708230499/5891/LAINFORMER01 -----------------------------------------
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LAB Recherche réinvestit 40 M$ dans la Cité de la biotech Une seconde expansion en moins de deux ans par Stéphane St-Amour 7 octobre 2007- LAB Recherche s'apprête à doubler ses installations au coeur de la Cité de la biotechnologie et de la santé humaine. (Photo: Martin Alarie) LAB Recherche réinvestit 40 M$ dans la Cité de la biotech Une seconde expansion en moins de deux ans Décidément, la croissance est au rendez-vous chez LAB Recherche, qui entreprend de doubler ses installations dans la Cité de la biotechnologie et de la santé humaine. Moins d'un an après l'inauguration de la nouvelle aile construite au coût de 12 M$, voilà que cette entreprise réinvestit 40 M$ dans une nouvelle phase d'expansion qui portera à 170 000 pieds carrés la superficie totale de ses locaux bordant le boulevard Armand-Frappier. Concrètement, les salles dédiées aux études de toxicologie de nouveaux médicaments sur les rongeurs et les plus grands animaux passeront de 33 à 80. Nécessaires au développement de médicaments pour le traitement de maladies humaines, ces recherches précliniques contribuent à mettre au travail 225 personnes dans les installations lavalloises. Les travaux d'agrandissement devraient être mis en chantier ce mois-ci. Tripler les revenus «Cette expansion nous permettra de tripler nos revenus en cinq ans», déclarait, mercredi, au Courrier Laval le président et chef de la direction, Luc Mainville. Au fil des 18 prochains mois, une centaine de techniciens et scientifiques joindra les rangs lavallois de LAB Recherche, dont les effectifs se chiffrent présentement à 525 employés à travers le monde. Plus de 40 % de ces employés sont basés à Laval, là où LAB International a implanté le siège social de sa division recherche, qui opère également des locaux au Danemark et en Hongrie. http://www.courrierlaval.com/article-i145421-LAB-Recherche-reinvestit-40-M-dans-la-Cite-de-la-biotech.html
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Porcs en attente laterre.ca 8 janvier 2008 redaction@laterre.ca oui en attente d'être torturés à mort Porcs en attente En date du 7 janvier, il y avait quelque 48 000 porcs en attente qui ne pouvaient pas être abattus en temps voulu au Québec. Il s’agit bien entendu d’une progression par rapport à la période d’avant Noël, mais c’est loin de la catastrophe appréhendée. Certaines prédictions du début de décembre faisaient état d’une possibilité de 150 000 porcs en attente après les quatre ou cinq jours de fermeture des abattoirs pour le temps des Fêtes. Il faut toutefois noter qu’il n’y avait pas de porcs en attente au retour des Fêtes lors des deux dernières années. Le prix moyen se situe toujours légèrement au-dessus de 80 $ des 100 kg à l’indice 100.
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Le cas d'un chat atteint de la rage invite à se méfier des bêtes inconnues 03 janvier 2008 — Le cas d'un chaton abandonné, qui a déclenché une alerte des services de santé publique de plusieurs États américains après que des tests eurent révélé qu'il était atteint de la rage, vient rappeler l'importance de faire preuve de prudence lorsqu'on est face à des animaux inconnus ou errants, disent les responsables de la santé. Le chat, qui semblait de prime abord en santé, avait été trouvé à l'occasion d'un tournoi féminin de balle molle en Caroline du Sud, l'été dernier. De jeunes joueuses, des entraîneurs et des parents d'au moins quatre États y ont touché. L'animal a mordu au moins deux personnes, et 27 personnes ont dû recevoir une série d'injections de vaccin antirabique à cause des contacts qu'elles ont eus avec le félin. La bête a dû être euthanasiée. La rage chez l'humain peut prendre des mois à se développer au point où ses symptômes deviennent apparents. Aux premiers stades, ces symptômes sont vagues et peuvent être confondus avec la grippe ou d'autres maux similaires. Si les vaccins sont administrés suffisamment tôt, ils préviennent le développement de la maladie. Sinon, la rage est habituellement toujours fatale. Selon la docteure Kira Christian, qui a rédigé un rapport sur l'incident, publié jeudi dans la revue Morbidity and Mortality Weekly Report du Centers for Disease Control aux États-Unis, les symptômes de toute personne susceptible d'avoir été infectée par contact avec le chat malade auraient déjà fait leur apparition. (PC)
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Un Chinois transforme son appartement en porcherie
Animal a posté un sujet dans ANIMAUX - Europe et autres continents
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J'ai regardé ce reportage hier et j'ai bien l'impression que suite aux inquiétudes de ce chercheur québécois, on va tester ces crèmes sur des animaux, encore et encore ---------------- janvier 2008- Des crèmes de beauté sous surveillance - Les crèmes antirides auraient-elles des effets nocifs à long terme? Un chercheur québécois indépendant le craint, car certains ingrédients chimiques utilisés dans plusieurs crèmes de beauté ont de réelles propriétés actives sur les rides. Si bien que ces produits devraient se vendre seulement sous ordonnance, croit-il. Quel contrôle exerce Santé Canada sur l'industrie des cosmétiques? Journaliste: Claire Frémont Réalisatrice: Martyne Bourdeau [Regardez la première partie du reportage] [Regardez la deuxième partie du reportage] http://www.radio-canada.ca/actualite/v2/lafacture/niveau2_18945.shtml
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12 janvier 2008- La Voix de l'Est Saint-Valérien Difficile d'être optimistes par les temps qui courent pour les producteurs porcins. Non seulement le prix du porc n'a jamais été aussi bas, mais des producteurs doivent même garder leurs bêtes plus longtemps, faute de places suffisantes dans les abattoirs. ... http://www.cyberpresse.ca/article/20080112/CPVOIXEST/801121101/5054/CPVOIXEST ................ 12 janvier 2008 La Voix de l'Est Marieville «Ça fait un an que ça va mal. Je connais des familles qui mangent constamment du porc pour dîner et pour souper jusqu'à ce que j'appelle d'autres producteurs pour leur permettre de faire des échanges. Quand tu ne files pas, tu n'es pas capable d'aller frapper à d'autres portes». http://www.cyberpresse.ca/article/20080112/CPVOIXEST/801121102/5264/CPACTUALITES
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January 05, 2008-U.S. horse slaughter exports to Mexico increase 312% Despite American plant closures, slaughter continues across the border Since all three U.S. horse slaughter operations were ordered closed last year, the number of horses exported to Mexico for slaughter has exploded. As of Dec. 20, 2007, 44,475 horses had been shipped to Mexico for processing for human consumption compared with 10,783 shipped at the same time in 2006—a 312 percent increase. Especially troubling is the treatment of the horses once they cross the border into Mexico. In October, the Humane Society of the United States released a video showing the brutal stabbing death of a fully conscious horse at a Mexican slaughter facility. "It is time for this carnage to end," said Nancy Perry, HSUS vice president of government affairs, who called on Congress to close the border to horse slaughter exports. In addition, American horse exports to Mexico for purposes other than slaughter, such as for breeding or recreation, have nearly doubled in the same period. This increase is raising concerns that many of these horses are actually being sent to slaughter but shipped under false pretenses to circumvent U.S. transport regulations governing the animals' welfare. Despite the shuttering of the three U.S. horse slaughter plants, exporting horses for processing remains legal. Horse enthusiasts, however, have for years been pushing for a federal ban on what they say is an inhumane and un-American practice. The American Horse Slaughter Prevention Act, currently pending in Congress, would prevent any horse slaughter facility from operating in the United States as well as prohibit the shipment of horses to other countries for processing. The AVMA and other AHSPA opponents contend that the assault of the anti-horse-slaughter coalition, led by HSUS, on the federally regulated horse slaughter industry has, in fact, led to the current welfare crisis. Unwanted horses fared much better when they were transported under government supervision to U.S. regulated facilities and humanely euthanized, they say. (Cavel International Inc., the foreign-owned operator of the Illinois slaughter plant, is appealing the state ban to the U.S. Supreme Court.) "The reality is, proponents of this legislation have done nothing to address the real issue here, and, in fact, by seeking to ban horse slaughter, they have made things significantly worse," said Dr. Mark Lutschaunig, director of the AVMA Governmental Relations Division. Opponents of the federal ban say its supporters should instead focus their energies on addressing what to do with the some 100,000 horses relinquished by their owners each year to slaughter. The end for horses sent to one of the U.S. slaughter plants was anything but humane, according to the HSUS. The regulations meant to protect them were inadequate as the horses suffered from a lack of food and water on crowded trailers, and the euthanasia was often mishandled, the organization claims. Rather than being slaughtered, HSUS says, unwanted horses can be placed with a rescue or retirement facility or, when no other options are available, humanely euthanized. While there is little about horse slaughter on which the AVMA and HSUS agree, they're of the same mind when it comes to the serious welfare problem posed by the skyrocketing American horse slaughter exports to Mexico. Given the high volume of American horses slaughtered annually when the U.S. processors were open, a spike in U.S. equine exports to Mexico was expected once they closed. According to the Department of Agriculture, a total of 138,206 American horses were processed in 2006. Of those, 102,260 were sent to U.S. facilities, 24,866 to Canadian facilities, and 11,080 to Mexican facilities. But a fourfold increase in U.S. equine exports to Mexico, fueled by a growing surplus of unwanted horses at home and a high demand for horse meat abroad, still came as a surprise to some. "These are just remarkable numbers and not something I think any of us would have anticipated, even with the closing of the plants," said Dr. Timothy Cordes, senior staff veterinarian for equine programs with the USDA Animal and Plant Health Inspection Service. The USDA estimates that 35,000 horses were sent to Canada for slaughter in 2007—about a 41 percent increase from the year before. Horse slaughter opponents are trying to shut down the industry there with a Canadian version of the American Horse Slaughter Prevention Act. The Mexican horse slaughter industry is more worrisome than its Canadian counterpart, especially since more is known about the Canadian industry, which adheres to transport and euthanasia regulations similar to those in the United States. "One of the most daunting things about all of this is, once a horse crosses the border, it is no longer a U.S. horse. It becomes a Mexican horse. It loses its identity, it loses its citizenship, it loses its ownership," Dr. Cordes said. When contacted by JAVMA News for information about their country's horse slaughter policies, Mexican officials referred to regulations stating the animals must be humanely euthanized in sanitary conditions. Trying to get an idea of how the Mexican horse slaughter industry operates, a delegation from the American Association Equine Practitioners arranged a tour of several Mexican slaughter facilities in November 2007. But, according to Dr. Tom Lenz, chair of AAEP welfare committee, Mexican plant owners canceled the trip after recent negative media stories. The visit is being rescheduled and will most likely happen in early 2008. "The big question that's not been answered yet is how those (American) horses are handled in Mexican processing plants and euthanized," Dr. Lenz said. Late last year, Dr. Lenz and other AAEP officials met with Mexican equine veterinarians to discuss the plants. Although he isn't positive, Dr. Lenz believes most American horses are going to facilities owned by European companies where horses are euthanized either by a captive bolt or gunshot, the same as in the United States and as required by Mexican law. Exact numbers aren't known but there may be as many as four such operations in Mexico, he said. They might also be going to facilities that are in the process of becoming certified to export horse meat to Europe. "We're not 100 percent sure which type of plant American horses are going to, but it's one or the other," he said. There are two other types of slaughter facilities in Mexico: municipal plants that process horses for local consumption and so-called clandestine facilities. "They're not regulated plants," Dr. Lenz said. "They're local butcher shops ... and that's where the greatest concern about how the horses are being handled and euthanized is." He believes it's this sort of operation featured in the HSUS video. Another question is, if the slaughter ban were enacted, what would happen to all those horses whose owners no longer want them or can afford to keep them? Ban supporters say the nation's equine rescue and retirement facilities can absorb many of them. The HSUS points to groups such as the New York Racing Association that are raising money and working toward solutions for unwanted horses. Additionally, owners can opt for humane euthanasia by a veterinarian. Ban opponents respond that this isn't realistic. Without the humane slaughter alternative, countless horses would be neglected or abandoned because there won't be enough homes for them. The AAEP estimates an additional 2,700 rescue facilities would be needed in the first year of the ban to care for the thousands of surplus horses. The costs of euthanasia and environmentally safe carcass disposal can run as much as $400 and may be more than some owners are willing to pay. Making matters worse is a hay shortage, brought on by droughts, which is making it more expensive to feed horses. Then there's the strength of the international horse meat market, partly a result of outbreaks of bovine spongiform encephalopathy in European cattle. The price of horse flesh in Belgium is at an all-time high, according to Dr. Cordes. Considering the demand for horse meat and a surplus of unwanted horses in America, even under a federal transport prohibition preventing horses from crossing into Canada and Mexico for slaughter would be a challenge. "It's really a matter of supply and demand. These horses are going to go across the border, one way or another," Dr. Cordes said, adding that the $5 million allocated in the horse slaughter prevention legislation for enforcement purposes isn't adequate to secure the borders. "It doesn't even come close," he said. – R. SCOTT NOLEN http://www.avma.org/onlnews/javma/jan08/080115a.asp
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Dans la dernière émission de «À la di Stasion» , Andrée Maureau, expliquait comment préparer un Tian aux légumes ! Ça avait l'air tellement bon ! Dès que je me trouve une grande assiette en terre cuite, je m'en fait un ! Andrée Maureau Tiré du livre Tians et petits farcis (Éditions Édisud) 6 petites aubergines 6 courgettes 6 oignons 6 tomates 6 gousses d’ail Tiges de thym frais ou thym séché 2 feuilles de laurier ciselées Huile d’olive extra vierge Olives noires (facultatif) Pignons (facultatif) Sel et poivre du moulin Pour la réussite de ce plat, utiliser des légumes d’à peu près le même diamètre. Frotter le tian (plat en céramique ou pyrex moyennement profond allant au four), avec une demi-gousse d’ail et arroser d’un filet d’une bonne huile d’olive avant d’y placer les légumes. Trancher les aubergines, les courgettes, les oignons et les tomates en tranche d’environ 1 cm (1/2 po). Dans le tian, disposer les rondelles de légumes verticalement bien serrées. Le plus décoratif est de placer debout, une rondelle d’aubergine, une rondelle de courgettes, une rondelle d’oignon puis une rondelle de tomate. Bien, bien serrer. De temps en temps y insérer des gousses d’ail, épluchées ou non. Saler, poivrer et saupoudrer de thym et de laurier. Arroser d’un ou plusieurs ‘’rai’’ (filet) d’huile d’olive. Si désiré, on peut y ajouter, des olives noires et des pignons. Préchauffer le four à 180 °C (350 °F) et cuire au moins 1 heure ou jusqu’à ce que les légumes soient tendres et légèrement caramélisés. http://aladistasio.telequebec.tv/
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voici cet article: «RAINING CATS AND DOGS ON VANCOUVER MENUS» While many Asian countries are taking steps to ban the eating of cats and dogs, it's open season in the Lower Mainland. In Vancouver, it's perfectly legal to slaughter a cat or a dog for dinner. "Any animal, in fact can be eaten by anyone," John Vanderhoven, the Director of the Vancouver SPCA informed The Asian Pacific Post recently, "so long as it is done humanely. Animal laws only deal with the humane treatment of animals." That policy, however, has angered many in the city, including Mayor Phillip Owen's office. "As far as the mayor is concerned," stated an infuriated Janet Fraser, executive assistant to Mayor Philip Owen, "eating cats and dogs is absolutely unacceptable. It will never be allowed in Vancouver." "I can't understand the SPCA," bristled Fraser. "Saving pets is what they are all about." "That seething discontent, however, is unlikely to prevent anyone from doing what is acceptable under the law. For hundreds of years cats and dogs have been eaten by Asians. In traditional Chinese medicine, dogs are highly prized for their healing value. According to Dr. Martin Kwok, of the Richmond Alternative Medical Clinic, people from China's Canton province consider yellow colored dogs to be excellent for digestion and aiding kidney function. They are supposedly also good for boosting energy levels, and consequently are often consumed over winter. For Maria Matheson, who owns a Dalmatian pup, the health aspect of cat or dog meat is difficult to digest. She was sickened by the thought of anyone eating a cat or dog. "It's like cannibalism to me. It'd be like eating your brother or sister." Unlike cannibalism, however, eating a cat or dog is not a criminal offence. As far as the Vancouver Police is concerned, its not an incident that is deserving of their attention. "The criminal code deals with people not animals," stated Janice Williams, assistant to Constable Anne Drennan of the Vancouver Police Department. "If it's nor protected under the criminal code, then it's not in our jurisdiction. Regulation of food consumption does, however, fall into the jurisdiction of the Richmond Vancouver health board. Like the police, and the SPCA, the health board also does not see a problem with eating cats and dogs. "We have no restrictions on the killing of cats and dogs for personal consumption," explains Kelvin Hugo, the Chief Health Inspector of Richmond, "no more than we do for people going to hunt a deer, a moose, or a bunny rabbit in the backyard." "The only stickler is in the meat inspection area," he continued. "In Canada, all meat has to be processed through registered plants. Because cats and dogs are nor considered as food animals, they cannot be processed and therefore sold in shops." The list of food animals currently butchered in Canada is growing. In the recent past, ostrich meat. has been added to the list, and currently a new bid for kangaroo meat is being considered. Whether household pets find their way into grocery stores depends on the persuasiveness of lobby efforts. Some people found that thought enticing. Randy Doncaster, the Manager of the Cat and Fiddle Neighborhood Pub in Coquitlam, stated that he would try the meat if given the opportunity. "I personally wouldn't have anything against eating a cat or dog if it was properly cooked. It's just meat like everything else, like grouse, or rabbit. I wouldn't have a problem if it was cooked up in shish-kabob style. http://www.aapn.org/fooddogsna.html
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Contre le foie gras à Disneyland
Animal a répondu à un(e) sujet de hop dans Pétitions-Sondages-Suggestions
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Quelqu'un a mutilé la pauvre bête. Elle a été euthanasiée BIÈVRE Christian Balfroid, 47 ans, est agriculteur à Monceau-en-Ardenne (commune de Bièvre). Jeudi matin, lorsqu'il s'est rendu dans son étable, il a eu une bien désagréable surprise. "J'amenais des aliments. Et il y en a une qui ne se levait pas. Pourtant, elles adorent ce que je leur apportais. Je l'ai secouée et puis j'ai remarqué sur sa fesse la marque de quatre doigts ensanglantés. Elle saignait également de la vulve. Derrière, il y avait un spéculum dont je me sers pour les inséminations, qui était également plein de sang. Enfin, j'ai trouvé un bâton de 1 mètre 40 complètement ensanglanté. Il y avait encore de la chair dessus" , explique-t-il écoeuré. Manifestement, quelqu'un s'est introduit dans l'étable pendant la nuit. Cette personne a enfoncé le bâton dans la vulve de l'animal jusqu'au poumon. "J'ai appelé le vétérinaire. Il a confirmé que l'estomac, la matrice et les intestins étaient certainement perforés. Comme nous n'avons pas entendu la bête crier pendant la nuit, il nous a également dit que, comme la douleur était certainement trop forte, la bête n'a pas eu la force de pousser le moindre cri." Christian Balfroid a de sérieux soupçons sur l'auteur des faits. Il compte d'ailleurs en faire part auprès d'un magistrat du parquet de Dinant qu'il doit rencontrer ce vendredi. Il a déjà subi d'autres problèmes. "On m'a déjà pris une bête. On l'a conduite dans un champ et on l'a abattue. On a plusieurs fois libéré mes vaches et mes chevaux. On a aussi placé des fers affûtés sur un de mes chemins. J'ai déchiré les pneus de mon tracteur." Clairement, quelqu'un en veut à Christian Balfroid. La police et le parquet prennent l'affaire au sérieux. Hermine du Colas (c'est le nom de la vache) a été euthanasiée hier en fin de journée. Elle subira une autopsie ce vendredi à la clinique vétérinaire de Liège. S. Ta. La Dernière Heure 2008
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Federal fisheries ambassador too negative on seal hunt, N.L. gov't says 9 hours ago (11 janvier 2008) ST. JOHN'S, N.L. - The Newfoundland and Labrador government is criticizing the federal fisheries ambassador for acknowledging that animal rights groups have made strides in their campaign against the commercial seal hunt. Provincial fisheries minister Tom Rideout is accusing Loyola Sullivan of exhibiting "an unnecessarily negative attitude" and not recognizing the progress his government has made in defending the hunt. "We were astounded and surprised at the view taken by the Canadian ambassador for fisheries conservation," Rideout said in a statement Friday. "It is never too late and this is quite a defeatist attitude for an ambassador to take when the issue is still very much ongoing." Sullivan, who attended a gathering of about 100 sealers Tuesday, told reporters it's difficult to overcome the anti-sealing lobby now because their message has acquired a strong foothold in Europe. Despite rising opposition in Europe, Rideout said the province has successfully promoted the industry. Belgium and Holland have approved legislation banning the sale of seal products, while Germany, Italy and Austria are drafting similar legislation. The European Union is also facing pressure to adopt its own ban. The hunt for harp seals on the Atlantic coast usually begins in late March or early April, depending on ice conditions. In 2006, the hunt generated $33 million in landed value, according to the Department of Fisheries and Oceans.