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24 heure dans une cage, à Zagreb
Animal a répondu à un(e) sujet de hop dans ANIMAUX - Europe et autres continents
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Codina ne doit avoir que ça à faire: Copier des nouvelles de d'autres journaux et s'amuser à en remettre plusieurs couches par-dessus ! ---------------------------------------- Chasse aux phoques En dehors du Canada, la chasse aux phoques ne fait pas l'actualité Ricardo Codina <ricardo.codinaSPAMFILTER@la-vie-rurale.ca> LA VIE RURALE, 05 Avril 2007 Le journal La Presse rapporte ce matin que la chasse aux phoques ne fait pas l'actualité en dehors du Canada. En fait, que ce soit en France, en Grande-Bretagne ou aux Etats-Unis, la chasse aux phoques peine à se hisser dans le palmarès des 1000 sujets de l'heure. C'est étonnant quand on sait comment les activistes animalistes peuvent inonder des sites comme la vie rurale qui traitent de ce sujet. La firme Influence Communications a répertorié pour le journal La Presse les articles publiés la semaine dernière dans la presse mondiale anglophone. C'était la semaine précédent l'ouverture de la chasse (24 au 31 mars 2007), semaine où Phoques, le film suscitait au pays des réactions. Soixante articles furent publiés dans la presse mondiale anglophone et 15 articles dans la presse mondiale francophone. Le président d'Influence Communication, Jean-François Dumas, affirme que le sujet suscite une attention «négligeable». Par contre, au Canada, le sujet est dans le top 50 des nouvelles de l'heure. La Vie Rurale en parle par exemple souvent et de nombreux internautes d'Europe en profitent pour en apprendre d'avantage sur le sujet. Beaucoup d'animalistes consultent ce site du Québec faute d'avoir une couverture médiatique importante sur le sujet du moins cette année. Les médias en dehors du Canada ont traité de la question par des nouvelles brèves dans les pages internationales. Les groupes animalistes ont donc du mal à trouver écho à leur cause en dehors de leurs cercles fermés cette année. La nouvelle n'est pas meilleure pour le gouvernement du Canada qui cherche à inverser la vapeur de mauvaise presse des quarante dernières années. Le problème est peut-être là, quarante ans sans véritable changement dans le dossier si ce n'est l'abandon de la chasse aux blanchons en 1987. Commentaire intéressant de Jean-François Dumas au journaliste de La Pressse : «On a aussi remarqué que certains journaux thaïlandais ont publié des lettres de lecteurs canadiens, dit M. Dumas. On peut penser que les groupes de pression ont utilisé le courrier des lecteurs pour dénoncer la chasse au phoque.» Quant on sait comment les animalistes peuvent inonder un site de commentaires et de liens de toutes sortes, c'est de l'ordre du possible. En tant que citoyen Canadien, je n'aurais pas idée, peu importe le sujet, d'envoyer une lettre aux lecteurs dans un journal de Thaïlande. Les animalistes n'ont pas dit leur dernier mot puisqu'ils préparent pour les prochains jours une campagne médiatique importante financée à même les fonds qu'ils recueillent auprès des citoyens. Nombreux survols en hélicoptères prévus au dessus du golfe du Saint-Laurent. Du rouge sur la banquise et de nouveaux membres en perspective. Mais pas de grande vedette prévue sur la banquise comme Paul McCartney et son ex cette année à moins de revirement. Les animalistes doivent faire vite s'ils ne veulent pas que la chasse aux phoques de cette année tombe dans l'indifférence. Voici quelques thèmes québécois qui ont eu davantage la cote que la chasse aux phoques ce dernier mois : http://www.la-vie-rurale.ca/contenu/11905
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6 avril 2007 Le déversement a donné une teinte rouge à la rivière Saguenay. Le bris d'une conduite à l'usine Vaudreuil du complexe d'Alcan, à Jonquière, a causé un déversement de boue rouge dans la rivière Saguenay, tôt vendredi matin. Selon Environnement Québec, la contamination sera minime. ... Alcan précise que la boue rouge est le résidu de la production de l'alumine, fabriquée à partir de la bauxite. Elle soutient que la substance n'est pas dangereuse. Elle n'est pas encore en mesure de d'évaluer la quantité de boue rouge qui s'est retrouvée dans le Saguenay. Même si Alcan se fait rassurante, le maire de Saguenay, Jean Tremblay, craint les répercussions du déversement. http://www.radio-canada.ca/nouvelles/regional/modele.asp?page=/regions/saguenay-lac/2007/04/06/001-boues-rouges.shtml
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Cette nouvelle est tellement importante pour les journalistes de ce journal qu'elle fait partie des grands titres de leurs nouvelles d'aujourd'hui ! ------------------------- Chasse aux phoques Pêches Canada enquête sur un observateur Presse Canadienne (PC) 06/04/2007 Un pilote d'hélicoptère travaillant pour un groupe américain de protection des animaux aurait nui à la chasse aux phoques canadienne, a déclaré un porte-parole du ministère des Pêches et des Océans. L'incident, le premier à survenir au cours de la chasse aux phoques de cette année, a été signalé par des membres de la Garde côtière canadienne et des chasseurs, a indiqué Phil Jenkins. Il a précisé que le pilote de l'hélicoptère dirigeait son appareil de façon à effrayer les phoques et les faire quitter la banquise pour plonger à l'eau. L'incident se serait produit jeudi dans le golfe du Saint-Laurent à une trentaine de kilomètres de Rocky Harbour, à Terre-Neuve et Labrador. ... Rebecca Aldworth, porte-parole de la Humane Society of the United States, a reconnu que le pilote avait été engagé par son organisme, mais a nié qu'il ait dérangé les chasseurs, spécifiant qu'il avait respecté les règles du gouvernement fédéral pour les observateurs. http://www2.canoe.com/infos/quebeccanada/archives/2007/04/20070406-162621.html
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une photographie qui en dit long à agir ici s.v.p.
Animal a répondu à un(e) sujet de linda lachapelle dans Pétitions-Sondages-Suggestions
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Mise à jour le vendredi 6 avril 2007 Le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) a publié vendredi le deuxième volet de son quatrième rapport, un compte-rendu accablant sur le réchauffement climatique. Parmi les données les plus troublantes, le rapport prévoit que « 20 à 30 % des espèces végétales et animales connaîtront un risque croissant d'extinction si les augmentations de la température mondiale dépassent 1,5 à 2,5 degrés Celsius par rapport à 1990 ». En comparaison, la température mondiale a grimpé de 0,74 degré Celsius au cours du dernier siècle. ... S'il est difficile d'évaluer la baisse de l'épaisseur des glaces, les experts s'entendent néanmoins pour avancer qu'il y aura disparition de zones d'habitat traditionnels pour de nombreux oiseaux et mammifères. Les ours polaires et les phoques, ainsi que les Inuits, qui en dépendent pour leur nourriture, en subiront les conséquences. http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Science-Sante/2007/04/06/001-rapport-giec-vendredi.shtml
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Mise à jour le vendredi 6 avril 2007 À vos climatiseurs! L'Amérique du Nord se tirera plutôt bien des impacts du réchauffement planétaire, en comparaison avec d'autres régions du globe. Des impacts seront néanmoins visibles, selon le rapport publié vendredi par le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC). Dans le deuxième volet de son quatrième rapport, le GIEC précise que le réchauffement se traduira par des épisodes de canicule et de smog plus intenses et nombreux, de même que par de fortes tempêtes. Les personnes âgées sont les plus vulnérables à cette chaleur, et elles seront de plus en plus nombreuses avec le vieillissement de la population. ... Le gouvernement canadien est écorché au passage par les auteurs du rapport. « Le Canada et les États-Unis ont déjà investi, mais sans se baser sur les projections pour l'avenir. Ces pays comptent trop sur la capacité de réaction des individus, des foyers et des entreprises », souligne le rapport. http://www.radio-canada.ca/nouvelles/National/2007/04/06/002-giec-canada-vendredi.shtml
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Sophie Marceau rejoint le mouvement des personnalités dénonçant la chasse aux phoques au Canada AP | 05.04.2007 | 19:09 L'actrice Sophie Marceau a demandé au gouvernement français d'adopter une position ferme pour interdire "l'importation, l'introduction et la commercialisation de tous produits dérivés du phoque", a-t-on appris jeudi auprès la SPA. Sophie Marceau rejoint ainsi les dix personnalités internationales qui avaient écrit jeudi dernier à Nelly Ollin, ministre de l'Ecologie et du Développement durable, et Christine Lagarde, ministre déléguée au Commerce extérieur, pour que soit amorcée en France "une politique volontariste visant à interdire l'importation des produits dérivés de phoque, et que l'on aide le Canada à regarder vers la modernité". ... "Les Etats-Unis, le Mexique, la Croatie ont déjà interdit cette importation", expliquait le courrier à en-tête de la Société protectrice des animaux et du Fonds international de la protection animale (IFAW). Il rappelait que 354.344 phoques avaient été abattus en 2006, alors qu'un quota de 335.000 était alloué aux chasseurs. Les célèbres signataires évoquaient une "chasse d'un autre temps (...) économiquement non viable, et unanimement condamnée par l'opinion publique internationale, Canada y compris". AP http://tempsreel.nouvelobs.com/depeches/societe/20070405.FAP4238/sophie_marceau_rejoint_le_mouvement_des_personnalites_d.html
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des chiens abattus froidement
Animal a répondu à un(e) sujet de linda lachapelle dans Pétitions-Sondages-Suggestions
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Le jeudi 05 avril 2007 L'agneau rôti du Québec, un mets traditionnel fort apprécié sur nos tables à Pâques. L'agneau pascal, une savoureuse tradition Anne Desjardins Le Soleil Collaboration spéciale L'agneau pascal est un incontournable, peu importe que l'on fête selon les rituels catholiques ou orthodoxes. Du Québec à la Provence en passant par l'Italie, l'Espagne, l'Australie, le Portugal, la Grèce, Israël, les États-Unis ou la Pologne, chaque pays a ses recettes typiques pour apprêter ce mets symbolique qui puise son origine dans une riche et complexe tradition religieuse qui s'est préservée jusqu'à nous. L'agneau est issu de la tradition juive, pour qui Pessah représente la célébration religieuse la plus importante de l'année, parce qu'elle vient souligner la fin de l'esclavage des juifs en Égypte et la création du peuple d'Israël. Avant de fuir en traversant la mer Rouge, chaque famille juive avait dû immoler un agneau mâle et répandre son sang sur le seuil des maisons afin d'éviter que les premiers-nés hébreux ne soient assassinés par l'ange exterminateur. C'est Dieu qui avait ordonné à Moïse d'imposer ce geste à son peuple pour empêcher que la 10e plaie d'Égypte (dont parle la Bible) ne se réalise. L'ange exterminateur tua donc par mégarde les premiers-nés d'Égypte à cause de cette ruse, de sorte que les premiers enfants mâles hébreux furent épargnés pendant cette nuit du 15 de Nissan (qui allait devenir le premier jour de la Pâque juive). Les familles devaient ensuite rôtir l'agneau immolé avec de l'hysope, une herbe amère qui commémorerait la souffrance endurée par le peuple juif. Ce plat était accompagné de pain sans levain, à cause du manque de temps pour laisser lever la pâte, et de quatre verres de vin coupé d'eau, chacun symbolisant une décennie d'esclavage en Égypte. Aujourd'hui encore, les familles juives célèbrent cette soirée du «Seder avec le même repas traditionnel à base d'agneau et de pain sans levain en souvenir de leur liberté durement gagnée. Pâques chrétienne Mais comme l'Ancien et le Nouveau Testament puisent aux mêmes sources, la tradition juive de l'agneau pascal a été préservée dans la culture judéo-chrétienne. Pour les premiers chrétiens, Jésus était d'ailleurs représenté par une peau d'agneau accrochée à une croix, à laquelle étaient suspendus la lune et le soleil. Dans la Bible (Apocalypse, lettres de Saint-Paul), on trouve de nombreuses références au Christ, agneau de Dieu crucifié pour sauver les hommes. L'agneau est le symbole chrétien de la pureté, de l'obéissance, de la rédemption et de la purification, un symbole qui s'est rendu jusqu'à nous. C'est pourquoi depuis des temps très reculés les chrétiens le consomment le jour de Pâques pour symboliser la résurrection du Christ. La chair de l'agneau étant tendre et délicate, elle est aussi associée au renouveau de la vie, à la venue du printemps et au plaisir de célébrer. C'est en l'an 315 que l'empereur romain Constantin Le Grand a établi que la fête de Pâques deviendrait distincte de celle de Pessah et serait célébrée durant le premier dimanche suivant la pleine lune de l'équinoxe de printemps. De la symbolique religieuse aux coutumes culinaires Les Alsaciens ont fait de ce symbole religieux qu'est l'agneau pascal un petit biscuit roulé dans le sucre, qu'on appelle l'Oschterlammele, et que les boulangers préparent spécialement pour le jour de Pâques. Les Polonais et les Ukrainiens vont faire bénir à l'église un panier de Pâques dans lequel ils ont mis un agneau en sucre, qui deviendra le centre de table durant le repas dominical. En Grèce, comme dans de nombreux autres pays du bassin méditerranéen, on célèbre avec faste le jour de Pâques en rôtissant un agneau entier à la broche. Les Italiens servent aussi l'agneau à Pâques de toutes sortes de façons : rôti au romarin (comme en Provence), cuit en fricassée, confit ou frit. La Pàscoa portugaise lui accorde aussi une place de choix, mais cet agneau peut être remplacé par du chevreau ou un cochon de lait rôti à la broche. Chez nous, même si la tradition de l'agneau pascal a sa place, ce n'est pas la seule viande que l'on sert durant le repas du dimanche de Pâques. Le jambon et la dinde y sont aussi populaires. Il n'existe pas chez nous une tradition aussi bien ancrée que dans les pays méditerranéens, où le symbolisme religieux a perduré avec beaucoup de constance. Cependant, la consommation d'agneau du Québec ne cesse d'aller en augmentant, ayant fait un bond de 75 % en 10 ans, avec deux périodes de pointe : à Noël et à Pâques, où plusieurs producteurs se retrouvent en rupture de stock. Ils sont plus de 800 membres de la Fédération des producteurs d'agneaux et de moutons et leurs revenus annuels tournent autour de 12 millions $. Il existe trois sortes d'agneaux élevés au Québec : l'agneau de lait, qui n'a jamais été nourri avec autre chose que le lait de sa mère et qui est abattu lorsqu'il pèse entre 16 et 24 kilogrammes. Cette production est assez marginale. L'agneau léger, lui, est abattu lorsque son poids atteint entre 25 et 35 kilos, tandis que l'agneau lourd excède 36 kilogrammes et représente 50 % de tous les agneaux sur le marché, qui sont abattus en moyenne vers l'âge de quatre mois. L'agneau des prés salés Bien sûr, tout le monde a entendu parlé de l'agneau des prés salés, de l'île Verte, dans le Bas-du-Fleuve. Mais c'est une viande très rare, vendue seulement à l'automne, et dont toute la production est achetée d'avance par quelques grandes tables (Toqué !, le Château Frontenac, Le Laurie-Raphaël) et quelques boucheries de la région. On en trouve aussi en Bretagne et dans l'île de Salt Spring, en Colombie-Britannique. L'agneau de Charlevoix est aussi un produit assez rare et de très grande qualité, qui est en vente généralement chez les éleveurs, comme à la Ferme Éboulmontaise, et pour lequel on conduit un programme pilote d'appellation contrôlée d'une durée d'un an. Autrement, l'agneau frais du Québec provient de toutes les régions du Québec, notamment la Montérégie, les Cantons-de-l'Est et le Bas-Saint-Laurent. Les bonnes boucheries s'approvisionnent de plus en plus directement auprès des éleveurs, ce qui assure une qualité constante. MENU DE PÂQUES Gigot d'agneau rôti http://www.cyberpresse.ca/article/20070405/CPACTUEL/70405050/1015/CPACTUEL
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5 Avril 2007- Dans le journal de Montréal d'aujourd'hui: (résumé) Deux chiens de garde ont été tués par balles, alors qu’ils défendaient la cour de l’entreprise Fourgons Rive-Sud contre les intrus. Les deux animaux, un Rottweiler et un bâtard, étaient lâchés la nuit venue dans l’enceinte clôturée de l’entreprise du boulevard Guimond, spécialisée dans la construction de boîtes montées sur les camions pour le transport de marchandises. Ils protégeaient la centaine de camions neufs qui y sont entreposés. Un chien est mort sur le coup, l’autre a eu le temps de se traîner jusque dans sa cabane, où il est mort au bout de son sang. Il y a huit ans, à la veille de Noël, au même endroit, deux jeunes de 17 ans avaient coupé les pattes des deux chiens, que le propriétaire avait retrouvés agonisants par terre.
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I was a vivisectionist Saturday March 31, 2007 The Guardian It all started when I was an undergraduate doing a medical degree. We were introduced to it gently; we started by watching videos of experiments on anaesthetised rabbits and recording the results. Later we carried out experiments on frogs' legs and then hearts. We took it seriously, and 15 years later I still remember the physiological principles we learned in those experiments. So it all seemed worthwhile. When I started my research degree, I had to go on a course about how to look after animals under anaesthesia and how to kill them humanely. Animal experiments are highly regulated in Britain; you need a licence from the Home Office and have to take exams and practical tests to prove your competence. The course was frightening. We watched a video on how to kill animals - masked people in lab coats smacking animals over the side of a table or breaking their necks - and then we calmly discussed ethics, as if it all made sense. The trouble was, it didn't - but I must have missed the bit where we were encouraged to question that. When I started in the research lab, it was my turn to do the deed. We were closely supervised and there wasn't any pressure to kill animals unless we were confident we could do it properly. But it didn't seem right to do the experiments without doing the killing as well. I could feel the guinea pig's heart racing when I picked him up; he wasn't the only one who was nervous. And then I did it. I hit his head over the side of a table to stun him, then cut his throat so he'd bleed to death. The sound of skull hitting table will never leave me; 10 years on, I still flinch if I hear a similar noise. In some laboratories, the psychological damage that this technique inflicts on staff is recognised, and animals are injected with a fatal dose of anaesthetic instead. But this is far more distressing to the animal and can damage the tissue on which you want to experiment. So we hit them over the head and live with the sound of cracking skulls. It soon got easier. What had shocked me at first was suddenly very normal and mundane. Cracking guinea pigs over the back of the head, then slitting their throats really didn't affect me any more. And it didn't seem to affect anyone else either. Colleagues told me it was a perfectly natural coping strategy, that you just couldn't do it unless you'd rationalised it in your head. Friends assumed I must be doing some desperately worthy medical research in order to justify such behaviour, and that I was about to discover the cure for HIV or heart disease. The truth is, research can be a very hit and miss affair, and sometimes it is only hindsight that allows us to judge what were the useful discoveries. Meanwhile, the building I was working in was under siege by anti-vivisectionists. A prominent animal rights campaigner was in jail and on hunger strike. His supporters had circulated a list of academics they said they would kill in revenge if the hunger striker died. We were surrounded by steel fences and stern-faced policemen on horses. The departmental car had a mirror on a pole, so you could check underneath it for bombs. But sometimes having an enemy to unite against makes it easier not to question what you're doing. And once you're that involved, it's difficult to get out. When I had done my three-year research degree, I left. I had become someone who thought it was normal to kill animals on a daily basis and not be affected by it, which was somehow not really the person I wanted to be. It was a year after I'd finished before I picked up a guinea pig again. It was one of those really hairy ones whose front end looks the same as its tail end. I didn't tell its owner what I used to do. I had an irrational fear that I would suddenly flip and smack the poor animal over the head. I didn't, but I had to hide the fact that my hands were shaking when I put him down again. I consider myself rehabilitated now. I've killed two animals since those days: a wild bird that was missing a leg and crawling with maggots, and an almost-dead rabbit with myxomatosis. Both times I've vomited afterwards with the sheer horror of it all. But that's a natural reaction, and I'm glad. http://www.guardian.co.uk/weekend/story/0,,2045354,00.html