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Animal

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Tout ce qui a été posté par Animal

  1. Animal

    dans mon livre d'invités PDC

    Il a aussi écrit dans mon forum de discussion: La souffrance des plantes. April 25 2007 at 7:06 PM raphaël -------------------------------------------------------------------------------- Je m'intéroge souvent sur la conscience des plantes. Peuvent'elles souffrir? Prenons par exemple le pot de menthe sur ma fenêtre. Je prélève régulièrement dans ce pot plusieurs feuilles pour m'en faire des infusions. A chaque fois que j'arrache une feuille, si je me rapproche du pot, je peux voir perler une goutte de sève de la blessure que j'ai occasioné. Et, à chaque fois, je ressens de l'empathie pour ce pauvre pied de menthe. Je n'aimerai pas être à sa place. L'arrosage quotidien que je lui fournis ne pourrais t'l pas être percu comme une forme de barbarie vicieusement orchestrée? "je t'arrache quelques feuilles, je t'arrose pour que tu pousse a nouveau, quand tu a poussé, je t'arrache de nouveau quelques feuilles..." Un bourreau ne s'y prendrais pas mieux pour faire avouer tout les crimes du monde à sa victime. Pourtant, audelà de ma fenêtre, demeure la question de l'importance de la vie. Peut'on donner une priorité à une forme de vie plus qu'à une autre? La complexité du monde dans le quel on vit, des relations de cause à effet qu'entrainent le moindre de nos choix... Serais-je prêt à mourrir pour sauver de la disparition une obscure espèce de graminée sauvage des steppes, ou le dernier des tigres blancs de sibérie? Doit t'on donner un ordre hierarchique à l'arbre de l'évolution (ou de la création, pour ceux qui y croient). Qui doit être placé en haut d'une pyramide de priorité à la survie? Ou alors, comment aujourd'hui faire vivre l'humanité dans le respect absolu de la vie, sans renoncer au comfort matériel apporté par internet, le téléphone, un frigo, du macadam, un vetement technique concu pour resister au froid le plus intense? Qui parmis nous aura le courage de tuer et dépecer un phoque ou un renne, de tanner sa peau, de la macher pour l'attendrir afin de la coudre pour s'en faire une parka? OUI, la cruauté gratuite doit être bannie. Mais, y'a t'il une différence entre pêcher le requin avec un chien, et pêcher la carpe avec un vers de terre. Qui souffre le plus? Faut il ne plus pêcher, ou alors pêcher avec des filets.... ce serait une solution... Mais un poisson s'asphixiant dans les cales du chalutier souffre autant qu'une vache que l'on même à l'abattoir. La solution serait le végétalisme strict. Mais comment nourrir l'humanité grace à ce régime? Peut être revenir au stade de l'australopithèque, qui, il y a deux millions d'années, est sorti de la forêt pour s'aventurer dans la savane des heuts plateaux d'afrique de l'ouest, et se nourrir des cadavres d'animaux morts depuis peu... mmm... du lait, du miel, des fruits... Ce serait le paradis...
  2. Wednesday 04/25/2007 7:35:24pm Nom: Raphaël Page Web: Courriel: rabeckma@hotmail.com Pays: france Commentaires: Chats, chiens, grands requins blancs, vers de terre, vaches agneaux, veaux, carpes, abeille, laitues, cochons d'inde, lapins, hommes, porc (et surtout lui, le porc, le cochon, notre ami le cochon...) mante religieuse, crystaux, algues, paramécies, éponges, mygales, coraux, dauphins, baleines, homards, lotte et thon rouge, hamster, ragondi, escargot, grenouilles, batraciens, mamifères, végétaux, vertébrés, invertébrés, faune et flore, biotopes... On fait quoi? Que faut'il faire? Avons nous le droit de nous nourrir d'animaux? On pourrait faire vivre l'humanité avec une nourriture entièrement végétale... Mais les plantes souffrent elles? Ont t'elles une conscience? Toute forme de vie ne mérite t'elle pas un respect absolu? Je ne sais que faire de toutes ces questions. Je crois que l'on peut élever et abattre des animaux, tels qu'ils soient, leur domestication n'étant qu'une question de culture (vous ne pourrez pas trouver de lapin à manger en corée du sud, par exemple). Votre site m'a en tout cas fait réfléchir à la manière dont nous élevons des animaux, et à la manière dont nous prenons leur vie pour se nourrir de leur chair. Je regrette l'absence de pages concernant l'élevage industriel des poulets, le transport des moutons, l'abattage des vaches. Une dernière question? Mangez vous de la viande? Si oui, je trouve légèrement déplacées vos reflexions. Si non, peut être devriez vous assister à l'abattage d'un séquoïa centernaire, et critiquer la manière dont les bucherons torturent le bois pour en faire des planches... Je vous taquine un peu, mais vous avez raison de nous rappeler le respect qui est du à toute forme de vie que l'on tue pour notre comfort... http://protectionanimale.com/
  3. Animal

    Des normes différentes

    Tu as raison Cé ! C'est épeurant car il y a beaucoup d'ingrédients en provenance de Chine qui sont inclus dans des produits qui sont fabriqués ici... Sans compter qu'on ne connaît pas toujours le contenu détaillé des produits chinois vendus ici... L'autre jour, P. m'avait acheté un paquet de craquelins au riz, sans gras, fait en Chine, épicés Thaï et vendu au IGA .... J'ai goûté à un premier morceau et il goûtait le pétrole !
  4. Le temps presse pour la récupération des animaux Julie Mercier, La Terre de chez nous 19 avril 2007 jumercier@laterre.ca Dans moins de deux semaines, la récupération des bovins morts à la ferme subira d’importantes modifications. « À compter du 30 avril, nous allons mettre en place de nouvelles routes de récupération », annonce Mario Couture, vice-président Approvisionnement et Transport chez Sanimax. Ces changements visent à se conformer à l’interdiction dans l’alimentation animale des matières à risque spécifiées (MRS), une longue liste de sous-produits bovins qui comprend entre autres le système nerveux. La réglementation entrera en vigueur le 12 juillet prochain. « On veut vraiment constater tous les problèmes potentiels avant l’échéancier du 12 juillet », explique M. Couture. Actuellement, les frais de collecte tournent autour d’une centaine de dollars par vache. « Lors d’une rencontre à l’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA), les gens de Sanimax ont dit que s’ils n’étaient pas en mesure de faire la ségrégation à l’usine, les producteurs pourraient payer jusqu’à 200 $ la tête pour la récupération », affirme le président de la Fédération des producteurs de bovins du Québec (FPBQ). Tous les détails dans l'édition du 19 avril de La Terre de chez nous.
  5. Animal

    Des normes différentes

    Des normes différentes laterre.ca 24 avril 2007 redaction@laterre.ca Aux États-Unis, la qualité des ingrédients alimentaires de la Chine est remise en question après l’affaire du gluten contaminé qui a intoxiqué des milliers d’animaux domestiques. « La distribution incontrôlée d’ingrédients alimentaires importés de faible qualité, surtout de la Chine, entraîne une grave menace sur la santé publique dans le monde entier», s’insurge le quotidien américain Washington Post dans son édition du 23 avril. Il y a deux semaines, un article publié dans le prestigieux Wall Street Journal, relatait les cas d’importation d’aliments contaminés en provenance de la Chine et faisait ressortir la vulnérabilité des pays importateurs. «Les agriculteurs chinois utilisent des pesticides hautement toxiques, dont certains sont bannis aux États-Unis», relate le Wall Street Journal dans son édition du 9 avril. Les journaux américains s’inquiètent notamment du laxisme chinois en matière de normes sanitaires. «En Chine, l’eau municipale utilisée dans les industries est souvent contaminée avec des métaux lourds, des pesticides et d’autres produits chimiques», selon le Washington Post. En 2006, la Chine était le septième plus important exportateur de nourriture au Canada. Nous importons principalement du jus de pomme, des mandarines, des arachides écossées, des champignons préparés ou en conserve ainsi que des sucreries. La valeur des importations chinoises de préparations de légumes ou de fruits atteint, au Canada, 298 M$ à elle seule.
  6. Du gluten contaminé dans un élevage laterre.ca 23 avril 2007 redaction@laterre.ca Le gluten chinois contaminé, qui a rendu des milliers de chats et de chiens malades aux États-Unis et au Canada, aurait été utilisé dans un élevage porcin californien. Le scandale du gluten chinois contaminé à la mélamine frappe pour la première fois un élevage américain. Des porcs d’une ferme californienne sont actuellement en quarantaine. Ils auraient consommé de la moulée contenant du gluten contaminé. Ce gluten, importé de Chine, fait la manchette depuis quelques semaines, aux États-Unis. Il serait responsable de la mort d’au moins 16 chiens et chats en plus d’avoir causé d’importants dysfonctionnements digestifs chez 15 000 autres. Le gluten de blé est un ingrédient qui peut entrer dans la composition de plusieurs moulées pour animaux et d’une multitude d’aliments pour les humains. La mélamine est une résine plastique qui peut notamment être utilisée dans certains pesticides et qui cause un dysfonctionnement des reins lors de l’ingestion. Il est important de dire que le Canada n’a pas directement importé de gluten chinois dans les deux dernières années et qu’un avis a été expédié aux douanes par l’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA) pour s’assurer de faire cesser toute éventuelle importation de gluten en provenance de l’exportateur fautif.
  7. Transformation des produits du loup-marin. Tamasu cesse ses opérations Mise à jour le vendredi 20 avril 2007 Par: Merrielle Ouellet Après 8 ans d’efforts, l’entreprise de transformation des produits du loup-marin TAMASU a cessé toutes ses opérations dans l’archipel. C’est l’annonce faite par le vice-président de l’entreprise mercredi dernier lors d’une conférence de presse à leurs locaux aménagés dans l’ancien fumoir de Pêcheries Gros-Cap, alors que quelque 25 employés s’affairaient à terminer le traitement des 7,640 peaux de loups-marins achetés par l’entreprise aux chasseurs madelinots. Le vice-président de l’entreprise, Paul Boudreau, explique cette décision par deux éléments en particulier : l’inertie du ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation et le manque de solidarité des chasseurs madelinots. Selon Paul Boudreau : «Le MAPAQ est venu à bout de l’industrie de la transformation du loup-marin au Québec». Il dit déplorer que leurs demandes répétitives soient restées sans réponses. Depuis des années, TAMASU demande au MAPAQ d’inclure le loup-marin dans la loi T-1101. «Nous avons demandé au gouvernement du Québec depuis 3 ans, que le loup-marin soit inclus sur la loi T-1101 sur la transformation minimale des produits marins. Le loup-marin n’est pas inclus, les autres espèces de poissons le sont, mais pas le loup-marin». Je ne savais pas que les phoques étaient des poissons ! Ce que l’entreprise revendiquait de Québec, c’est ce qui a déjà été fait à Terre-Neuve, de préciser le vice-président de TAMASU, «le gouvernement de Terre-Neuve s’est donné toutes les lois et des règlements pour obliger les chasseurs de Terre-Neuve à débarquer chez eux et d’empêcher les acheteurs de l’extérieur d’aller acheter chez eux. Le Ministère (québécois) n’a jamais passé à l’action et n’a jamais bonifié leurs lois pour avoir l’équivalent des lois de Terre-Neuve». À cette impossibilité de s’approvisionner à Terre-Neuve, s’ajoute la perte de matières premières capturées par les Madelinots qui décident de vendre leurs prises ailleurs. Alors que l’industrie locale revendique de plus importants quotas, soit 30 000 bêtes pour en assurer la rentabilité, et que la part régionale n’est cette année que d’environ 14 000 têtes, l’entreprise se retrouve avec une usine presque vide. «Au Québec, nous avons la Côte-Nord qui débarque entièrement ou presque tout à Terre-Neuve et maintenant une très grande portion des chasseurs des Îles débarque à Terre-Neuve. Et nous, nous sommes menottés, nous ne pouvons pas aller acheter à Terre-Neuve». Paul Boudreau n’a pas été tendre avec les chasseurs qui ne supportent pas l’industrie locale : «Une partie des chasseurs madelinots nous ont abandonnés et ils ont tiré sur leur industrie. En faisant de tels gestes, ils ont fait beaucoup plus de tort à leur industrie que IFAW ou tout autre groupe abolitionniste peut avoir fait dans les dernières années». Déménager à T.-N. ? La décision de TAMASU de cesser ses opérations dans l’archipel n’est peut-être pas irréversible, mais l’espoir n’y est plus, de poursuivre M. Boudreau. L’entreprise songe donc à déménager ses opérations à Terre-Neuve, où les lois leur seraient favorables, parce qu’il croit à l’industrie des produits du loup-marin et en particulier aux huiles. «On croit à cette industrie, on pense qu’il y a une place pour nous là-dedans. Au niveau de l’huile, on a développé une technologie qui est beaucoup plus avancée que celle des gens de Terre-Neuve. Notre qualité d’huile l’année dernière était très nettement au-dessus de tout ce qui se fait à T.-N. Si au moins on avait pu avoir le support des lois de l’administration du Québec». Enfin, chasseurs et créanciers n’ont rien à craindre, tient à indiquer Paul Boudreau. La décision prise n’a aucun lien avec la situation financière de l’entreprise. «Il n’y a aucun problème pour payer les créanciers. Les gens n’ont pas à avoir peur. La situation financière de TAMASU est correcte pour payer ses dettes et tous ses comptes». Les réactions Le président de l’Association des chasseurs de phoques des Îles, Jean-Claude Lapierre, s’est dit surpris par la décision de Tamasu. Il souligne que la chasse et la transformation vont de pair : «Je me dis que la chasse ne peut pas marcher sans que l’industrie, la transformation soit ici». Il constate aussi que cette décision et l’inertie du MAPAQ aura un coût social puisque la fermeture des opérations de TAMASU dans l’archipel signifie une trentaine de mises à pied. suite: http://www.capacadie.com/leradar/2007/4/19/Transformation_719.cfm
  8. France : Table ronde sur le veau de boucherie Paris (France), 16 avril 2007 - Depuis plusieurs mois, la filière du veau de boucherie est confrontée à d'importantes difficultés liées à un déséquilibre entre l'offre et la demande, ainsi qu'au renchérissement des coûts de production. Cette situation affecte la rentabilité du secteur et le revenu des éleveurs. Afin de préserver cette filière et de rechercher des voies de solution, une table ronde s'est tenue vendredi dernier ²à l'initiative de Dominique BUSSEREAU, en présence des représentants professionnels de la filière. A cette occasion, Messieurs Jean-Louis PORRY et Max COLLET, Ingénieurs généraux du Conseil général de l'agriculture, de l'alimentation et des espaces ruraux (CGAAER) ont présenté les résultats de leur récente mission réalisée dans le secteur du veau de boucherie à la demande du Ministre. Ils recommandent que l'interprofession adopte rapidement un plan permettant de restaurer la compétitivité de la filière et de rétablir les équilibres de marché. Les débats ont fait ressortir la nécessité d'élaborer, dans les meilleurs délais, un cadre interprofessionnel destiné notamment à mieux maîtriser la production et à relancer le secteur, tout en tenant compte de la situation des éleveurs. L'Etat accompagnera cet effort de l'interprofession, notamment par le financement de programmes de recherche et de développement, et de campagne de promotion de la viande de veau. En prolongement de cette table ronde, un groupe de travail sera organisé le 17 avril prochain afin de définir de façon précise les modalités de mise en oeuvre des solutions retenues. Un observatoire du nombre de places d'engraissement de veaux en France sera mis en place à l'Office de l'Elevage. Dans l'immédiat et afin d'apporter un soutien aux éleveurs de veaux de boucherie en difficulté, une première enveloppe de 200 000 € a été dégagée au titre du Fonds d'allègement des charges (FAC) pour prendre en charge des intérêts de prêts professionnels des éleveurs à moyen et long terme. En outre, les caisses de mutualité sociale agricole (MSA) ont eu pour instruction de prêter une attention particulière (sous forme d'échéancier) aux éleveurs ainsi en difficulté. Dominique BUSSEREAU, Ministre de l'Agriculture et de la Pêche, souhaite que l'interprofession aboutisse dans les meilleurs délais à un accord permettant la relance de la consommation et l'amélioration de la compétitivité de cette filière. ba
  9. Promotion de l'industrie agroalimentaire québécoise auprès de réputés chefs new-yorkais Québec (Québec), 16 avril 2007 - Une activité promotionnelle fort originale s'est déroulée, le 14 avril dernier, à la Délégation générale du Québec à New York. Les principaux objectifs étaient de mieux faire connaître les produits agroalimentaires du Québec offerts sur le marché new-yorkais et d'inciter les professionnels de la gastronomie à les mettre en valeur dans leurs restaurants. En effet, Daniel Boulud, chef et propriétaire de cinq restaurants à New York, Palm Beach et Las Vegas, et véritable célébrité de la cuisine moderne, ainsi que quelques-uns des plus grands chefs de Manhattan, étaient invités à un repas gastronomique organisé à la résidence officielle du délégué général du Québec à New York, Michel Robitaille. Michel Labrecque, directeur du Festival Montréal en Lumière, Alan Richman, critique culinaire bien connu du milieu de la gastronomie et journaliste pour le Bloomberg News, ainsi que le correspondant de La Presse à New York, Richard Hêtu, assistaient également à cet événement d'envergure. Le chef exécutif de la Délégation générale, Benoît Poliquin, avait concocté un menu composé de spécialités québécoises mettant en vedette le canard « du Lac Brome », le veau de grain « Le Québécois », le foie gras des « Elevages du Périgord », les fromages de la maison « Chaput », le cidre de glace « Neige » de la maison « La Face cachée de la Pomme » et, bien entendu, divers produits de l'érable. C'est lors du « Festival Montréal en lumière », qui s'est tenu du 22 février au 4 mars dernier dans la métropole, qu'a germé l'idée de ce projet. La Délégation générale du Québec à New York avait collaboré à l'organisation du volet gastronomique dont le chef Boulud avait accepté la présidence d'honneur. Dix-neuf chefs new-yorkais l'accompagnaient à Montréal à cette occasion. Une stratégie de mise en marché dynamique Cet événement new-yorkais représente une occasion exceptionnelle qui s'inscrit parfaitement dans la stratégie québécoise de promotion des produits de spécialité. L'intérêt des grands chefs combiné à la réputation de qualité des produits québécois et à la proximité du marché américain constituent des avantages stratégiques pour le Québec sur le vaste et compétitif marché de la gastronomie. La représentation du Québec à New York a donc profité de cet événement pour promouvoir la grande variété de produits agroalimentaires dont l'exportation vers l'Etat de New York rapporte près de 510 M$ aux entreprises québécoises actives dans ce secteur. ba
  10. Transformation du phoque À la rescousse de Tamasu Mise à jour le mardi 24 avril 2007, 18 h 46 . Le député des Îles, Maxime Arseneau, et la ministre responsable de la région Gaspésie-Les Îles, Nathalie Normandeau, souhaitent sauver l'usine Tamasu. Récemment, après une année particulièrement difficile, les administrateurs de l'entreprise ont décidé de mettre fin aux activités de Tamasu. En janvier dernier, l'usine était détruite par un incendie. La catastrophe a été suivie par une réduction des quotas de chasse aux phoques. Cette diminution de quotas a pris beaucoup d'importance puisque la moitié des chasseurs madelinots ont vendu leurs peaux à Terre-Neuve où la chasse a eu lieu cette année. La ministre Normandeau refuse de baisser les bras. L'usine, soutient-elle, est importante pour le Québec maritime et permet de démontrer que la région peut sortir des créneaux d'exploitation traditionnels. Mme Normandeau est intervenue auprès du nouveau ministre québécois des Pêches, Laurent Lessard. La ministre souhaite que les phoques soient inclus dans la loi sur la transformation minimale comme le sont les poissons. La transformation du phoque devrait alors se faire au Québec lorsque le chasseur paie un prêt au ministère des Pêcheries pour son bateau. ... http://www.radio-canada.ca/regions/est-quebec/2007/04/24/011-tamasu-sauvetage.asp
  11. c'est sûr qu'ils vont continuer de tester sur des animaux, même des singes ! Le titre même veut tout dire: Pour l'abolition des expériences sur les grands singes et les singes capturés à l'état sauvage on ne parle pas des petits singes et de ceux qui ne sont pas capturés à l'état sauvage mais qui naissent dans les labos...
  12. Animal

    Chasse au phoque / EMBARGO EN FRANCE

    Je crois que cela va également toucher le marché asiatique puisqu'ils ne pourront plus vendre leurs bèbelles faites en peaux de phoques aux Européens !
  13. Je suis tellement contente pour Brigitte Bardot ! Elle méritait réellement cette récompense
  14. Animal

    Chasse au phoque / EMBARGO EN FRANCE

    YOUPPPPPPPPPPPPPPPPPIE !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
  15. Je viens d'apprendre à l'instant que la France serait sur le point d'instaurer un embargo sur tous les produits issus du phoque MERCI BRIGITTE BARDOT !!!!!!!!!!!!
  16. Oui hop, il y a des espèces qui font leur nid sous terre. C'est justement en m'assoyant sur un de ces nids sous terre que je m'étais faite attaquer par toute la colonie... Ça doit être joli des volets couleur lavande
  17. Si ces fermiers vivaient au Québec, ils n'auraient aucun problème à obtenir des trappeurs pour «s'occuper» des animaux sauvages !
  18. Oui très traumatisante et je suis restée avec une peur des guêpes... Habituellement les trucs qu'on vend pour accroitre la pousse des plantes contiennent du sucre - je crois que c'est pour lutter contre l'acidité du sol.. Mais c'est bien possible qu'elles cherchent aussi à se faire un nid... J'espère que tu vas arriver à t'en débarrasser rapidement
  19. Je l'espère Cé ! C'est pas drôle quand on a des animaux qui risquent de se faire piquer par ces petites bestioles, sans compter que nous aussi on peut se faire piquer... Je me suis déjà assise sur un nid de guêpes (quand j'avais 15 ans) et j'avais eu une centaine de piqûres, ... jusqu'à dans la gorge ! J'en avais crié et courru un coup ! Heureusement que je n'étais pas allergique ! p.s. Peut-être que ce liquide d'algues est sucré (?)
  20. 10 avril 2007- Alaska (USA)- Dès cet été, les chasseurs Alaskains âgés de 16 ans et plus et qui possèdent un permis de chasse, pourront abattre autant d’ours Noirs qu’ils le désirent dans une région près d’Anchorage. Un permis spécial de contrôle des prédateurs leur sera offert gratuitement par le Département du Fish & Game d’Alaska qui veut réduire la population d’ours Noirs devenus trop gourmands de viande d’orignal. Entre 900 et 1,400 ours Noirs, incluant femelles et oursons seront abattus à Cook Inlet au Nord-ouest d’Anchorage, sur un périmètre de 11,000 milles pieds carrés. Selon le Département du Fish & Game, dans cette région, la population d’ours Noirs est estimée à au moins 2 000 mais des groupes de chasse critiquent ce programme et dénonce le fait que les autorités surestiment le nombre d’ours présents sur ce territoire. Les ours pourront être tués de toutes les méthodes possibles : Traqués jusqu’à épuisement par voie aérienne (avions ou hélicoptères), par 4X4 ou véhicules tout-terrain, toutes les armes seront permises : arcs, carabines, fusils, etc. L’appâtage et le piégeage seront également autorisés. Ce permis d’abattage des ours sera également valide pour l’abattage des loups par voies aériennes. L’année dernière, en six mois seulement, plus de 150 loups d’Alaska ont ainsi été tués. Ajouter une petite note, ex. : Pour se nourrir, les ours et les loups, prédateurs naturels des orignaux et autres cervidés font concurrence aux chasseurs humains qui eux tuent uniquement pour leur plaisir ! Pitoyable !
  21. Tu peux recouvrir tes boîtes à fleurs d'un tissu, comme du drap par exemple ou du moustiquaire si tu en as. Tu peux aussi faire de la fumée là où elles sont (avec un BBQ peut-être ?), tu peux aussi essayer de les attirer ailleurs, en accrochant sur une branche d'arbre, une bouteille remplie d'eau sucrée ou bien encore quelque chose qui sent mauvais ... Elles mangent de tout... Si elles ne partent pas au bout d'un jour ou deux, à ce moment-là, tu n'auras pas le choix que de vider tes boîtes. Il y a peut-être des petits insectes (puçerons) dans les fentes du bois de tes boîtes qui les attirent. S'il n'y avait eu que de la terre dans tes boîtes, tu aurais pu aussi les inonder avec de l'eau. Dans tous les cas, ça ne les tuera pas mais elles s'éloigneront sans doute.
  22. WOWWWWWWWWWWW ! Magnifique Linda ! Une vraie robe de princesse !
  23. 3) 18 février 2007- (USA)- Un restaurateur de hot dogs à Chicago est devenu la première victime du règlement municipal interdisant la vente de foie gras dans la ville des vents. Juste avant son ouverture, un inspecteur sanitaire de la Ville s'est présenté chez "Hot Doug's" , a sommé le propriétaire de comparaître en justice et a confisqué son foie gras. L'interdiction du foie gras à Chicago est entrée en vigueur au mois d'août dernier, en raison du gavage des oies et des canards dénoncé par des militants des droits des animaux. ___________________________________________________ 23 mars 2007-Chicago (USA)- La ville de Chicago a demandé l’aide de volontaires pour l'aider à localiser les nids d’oies afin de faire reculer le nombre de ces oiseaux dans onze parcs de la ville. La saison de nidification commence à la fin du mois mars et dure jusqu'au mois d’avril. Les bénévoles ne sont pas autorisés à prendre les œufs, cette tâche étant réservée aux employés de Wild Goose Chase, qui secoueront les oeufs pour détruire l'embryon ou les enduiront d'huile de maïs pour étouffer le développement des poussins. _______________________________________________________ 23 février 2007- Ontario (Canada)- Une dame qui promenait son chien au parc Harrison en Ontario a découvert les restes d’un cygne Muet. Selon les policiers qui ont enquêté, ce cygne portait les mêmes signes de violence qu’un autre cygne découvert quelques jours plus tôt dans ce parc. Les cygnes avaient été battus à coups de bâton et leurs ailes avaient été cassées. Selon des employés du parc, ces cygnes étaient nés dans ce parc et étaient très sociables avec les humains. Le ou les suspects n’ont pas été retrouvés. Avec son long cou gracieux et son bec orangé, le cygne Muet fait souvent partie des parcs canadiens. On peut également y retrouver le cygne Trompette et le cygne Siffleur. ________________________________________________________ 2 avril 2007- Ontario (Canada)- Suite au visionnement d’une vidéo tournée par caméra cachée dans un grand poulailler en Ontario, les étudiants des universités de Toronto et de Vancouver ont été invités à des conférences organisées par la Coalition canadienne pour la protection des animaux de ferme (CCFA) et la Humane Society de Vancouver Humane Society (VHS) afin de les encourager à ne pas consommer d’œufs provenant d’élevages intensifs. Les séquences de la vidéo tournée à la ferme Clark Elf Farms Ltd, à Caledonia, Ontario, révèlent que des milliers de poules vivent dans des conditions lamentables. Incapables de bouger ou d’étendre leurs ailes faute d’espace, toutes les poules ont le bec sectionné et plusieurs sont couvertes d’excréments provenant des cages du dessus. Si vous avez accès à Internet, il est possible de visionner cette vidéo en vous rendant à cette adresse : http://www.humanefood.ca/media/clarkeggfarmsvideo.html _______________________________________________________ 31 janvier 2007-Ottawa (Ontario)- 31 janvier 2007 - L'entreprise Maple Leaf Foods a annoncé son intention d'éliminer progressivement d'ici 10 ans, les cages de gestation pour les truies et d'avoir plutôt recours aux systèmes de logement en groupe dans ses exploitations porcines. L'annonce faisait suite à une déclaration semblable de Smithfield Foods aux Etats-Unis, une semaine plus tôt. Depuis 4 ans, une autre entreprise, la Cargill Pork au Minnesota (USA) a déjà entrepris de réduire de moitié ses stalles à truies. _________________________________________________________ 28 mars 2007- Vancouver (Canada)- La chaîne d’animaleries Petcetera, qui opère 11 succursales en Colombie-Britannique, a décidé d’abandonner la vente de lapins dans ses magasins. Cette nouvelle fait suite à une sensibilisation provenant de la Humane Society de Vancouver et de la Vancouver Rabbit Rescue & Advocacy qui déplorent depuis très longtemps, les nombreux abus et les abandons dont sont victimes ces petits animaux. Au début d’avril, Petcetera bouclera son inventaire en vendant ses derniers lapins et, à travers ses centres d’adoption situés à l’intérieur même de ses magasins, il commencera à rechercher des familles adoptives pour les lapins abandonnés. Comme le problème des lapins abandonnés n’a pas encore été soulevé dans les autres provinces du Canada, les lapins continueront malheureusement d’être vendus dans les 34 autres magasins Petcetera situés au Canada. ______________________________________________________ 10 avril 2007- Selon la firme Banfield, The Pet Hospital, l'un des plus importants regroupements américains d'hôpitaux vétérinaires aux États-Unis, quelques 40 000 chiens et chats seraient morts d’insuffisance rénale ou auraient été rendus gravement malades après avoir été nourris avec de la nourriture contenant du gluten de blé chinois contaminé à la mélamine, un produit industriel provenant de Chine. Au Canada, la compagnie Menu Foods de l'Ontario a rappelé 60 millions de ses produits en sauce vendus sous 95 marques différentes. La compagnie Menu Foods a accepté de rembourser les frais vétérinaires encourus par ses clients, mais fait néanmoins l'objet de plusieurs poursuites judiciaires. _______________________________________________ ...4
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