Animal

2) 28 mars 2007- USA- Dans son rapport publié ce même jour, la juge Colleen Kollar-Kotelly de la Cour américaine, en est venue à la conclusion que l'abattage de chevaux aux États-Unis avait contrevenu à la loi fédérale américaine du département de l’agriculture (USDA) en omettant de faire des études sur l’impact environnemental occasionné par l’abattage de chevaux . Ce jugement faisait suite à un procès intenté en février 2006 par la «Society for Animal Protective Legislation» (SAPL) et autres organismes de défense des animaux. Suite à ce jugement, les 3 abattoirs de chevaux des États-Unis, l’un en Illinois et les deux autres au Texas, ne seront plus autorisés à abattre de chevaux pour la consommation humaine. Et puisque les chevaux américains peuvent cependant continuer d’être vendus pour y être abattus au Québec, en Alberta, au Mexique, etc., le Congrès prévoit préparer une loi qui interdira le transport des chevaux pour abattage hors frontière. _______________________________________________________ 29 janvier 2007- Rivière-Rouge (Québec) - Un feu a complètement rasé les deux bâtiments de la ferme Falardeau entre Rivière-Rouge et Nominingue. Arrivés sur les lieux les pompiers du service de lutte aux incendies de Rivière-Rouge n'ont rien pu faire. Une cinquantaine de vaches laitières ont péri. _____________________________________________________ 30 janvier 2007- Sainte-Sabine (Québec)- Deux bâtiments agricoles de la région ont été rasés par un incendie. L'un des sinistres est accidentel tandis que l'autre serait d'origine criminelle. Une bergerie abritant 150 moutons et de l'équipement agricole a d'abord été la proie des flammes dans la nuit du samedi au dimanche, à Sainte-Sabine. Un deuxième incendie s’est déclaré dans la grange située au coin de la route 235 et du rang Kempt. Aucune bête n'a survécu (on n’a pas fait pas mention du genre et du nombre d’animaux qui sont morts dans ce deuxième incendie). La SQ a institué une enquête puisque des traces de pas louches ont été aperçues à proximité du lieu du sinistre. _______________________________________________________ 15 février 2007- Saint-Germain-de-Grantham (Québec)- Une défectuosité électrique pourrait être à l'origine d'un violent incendie qui a entièrement détruit la bergerie Les cultures Légaré de Saint-Germain-de-Grantham, dans le Centre du Québec. 200 brebis sont mortes brûlées vives. Les pompiers ont toutefois pu sauver un cheval de quatre ans qui a été découvert derrière un mur enflammé. Les poumons endommagés, on craignait cependant pour sa vie. Les propriétaires de la bergerie ont l'intention de rebâtir leur ferme. « C'est des revenus importants qu'on perd, explique-t-ils, mais on va repartir. » _________________________________________________________ 19 février 2007- Warwick (Québec) Un violent incendie a ravagé une grange-étable au 17 du Rang 4 Ouest à Warwick. La ferme abritait environ 100 vaches laitières et 60 taures. Une cinquantaine d’animaux ont péri dans les flammes alors que d’autres pourraient avoir été euthanasiés en raison de leurs brûlures. ________________________________________________________ 27 février 2007- Saint-Julien (Québec)- Un incendie a ravagé un bâtiment de ferme abritant plus de 370 veaux, sur le chemin Grand ligne, à Saint-Julien. Les bêtes sont toutes mortes dans les décombres. NE PAS METTRE CELLE-CI MA BELLE CÉ !!!!!!!!!!!!!! _______________________________________________ 09 mars 2007-St-Arsène (Québec)- Plus de 1000 cochons ont péri dans un incendie qui a complètement détruit l’une des bâtisses de la ferme Thériault Inc. , une porcherie du rang de la Seigneurie à Saint-Arsène. Même si les services d’urgence se sont prestement rendus sur les lieux, à leur arrivée, il n’y avait rien à faire pour sauver les bêtes. __________________________________________________ 13 mars 2007- Sainte-Julienne (Québec)- Un violent incendie a complètement détruit une porcherie à Sainte-Julienne, dans Lanaudière. Plus de 330 cochons ont péri dans les flammes. Le feu a pris naissance à l'intérieur de la bâtisse, située sur la route 337. Les pompiers ont combattu les flammes pendant de longues heures puisqu’elles se sont rapidement propagées à l'ensemble de la porcherie. ______________________________________________________ 27 mars 2007- St-Elzéar (Québec)- En moins de 3 jours, deux porcheries ont pris feu à St-Elzéar. Les pompiers de St-Bernard, Ste-Marie et de St-Narcisse étaient sur les lieux en assistance. Selon les informations, près de 500 porcelets auraient péri dans les flammes. Une enquête a été ouverte pour déterminer la cause du sinistre. Concernant l'incendie de l'autre porcherie, plus de 750 cochons sont morts grillés vifs. La cause du sinistre serait due à un problème électrique. ______________________________________________________ 29 mars 2007- St-Urbain (Québec)- Un violent incendie a complètement ravagé un poulailler de Viande Biologique Charlevoix, au 167 rang St-Édouard à St-Urbain. À l'arrivée des pompiers de St-Urbain, les flammes sortaient de partout. 4000 poussins qui venaient d’être livrés à la ferme sont morts brûlés vifs. L'origine du sinistre serait accidentelle. __________________________________________________ 30 mars 2007- Saint-Pie-de Bagot (Québec)- 640 cochons ont été brûlés vifs dans un incendie qui a complètement rasé la ferme Robert Arès Hélène Brisebois à Saint-Pie. Le feu a pris naissance vers 12h15 dans la porcherie située au 692, Rang de la Presqu'Île. Le paysage était désolant: de nombreuses carcasses de porcs étaient visibles ici et là dans l'immense étendue de cendres. _____________________________________________________ 31 mars 2007- Saint-Pie-de-Bagot (Québec)- Les pompiers de Saint-Pie-de-Bagot, près de Saint-Hyacinthe, ont dû combattre un incendie de poulailler situé au 645 Rang Double. Le feu aurait pris naissance dans le grenier pour ensuite se propager dans l'entre-toît. Les pompiers de Saint-Damase ont été demandés en renfort. On ignore combien de bêtes on péri. La cause de l'incendie pourrait être électrique. _______________________________________________________ Le 15 avril 2007- Le Service de sécurité incendie de Saint-Valérien de Milton (Québec) a répondu a un appel pour un feu de porcherie dans le 11e rang. L’intervention rapide du Service a réussi à limiter les dommages à deux chambres de la porcherie. Même si les truies enfermées dans leurs stalles ont été incommodées par la fumée, on ne déplore aucune perte animale. _______________________________________________ 18 avril 2007- Compton (Québec) Quelques 600 truies et porcelets ont péri dans l'incendie d'une porcherie à Compton. Le feu s'est déclaré à la ferme Mégaporc. L'établissement est une perte totale. La Sûreté du Québec fait enquête. _________________________________________________ .... /3

Pour révision Bulletin printemps 2007 _____________________________________________________________ 19 janvier 2007- Québec- St-Mathieu (Québec). En Montérégie, les policiers de la Régie intermunicipale de police du Roussillon ont procédé à une perquisition dans un chenil clandestin de chiennes reproductrices (Danois, Beagles, Golden Retrievers, Bergers Allemands). Selon les policiers qui ont visité cette grange du Rang St-Pierre, environ 35 chiennes étaient plongées dans le noir et laissées sans eau, sans nourriture et sans chauffage. Derrière la grange, à l’extérieur, des chiens Huskies étaient attachés au bout d’une chaîne et seuls des barils de plastique leur servaient de niche. C'est la Société pour la prévention de la cruauté envers les animaux (SPCA) qui a demandé l'aide des policiers après avoir reçu une plainte d'une voisine. Les animaux ont été transportés dans un autre chenil. _________________________________________ 26 janvier 2007- Disraeli Paroisse (Québec). Une quarantaine de chiens, affamés, assoiffés et entassés dans une cabane non chauffée et délabrée ont été pris en charge par l’organisme Anima-Québec. Un chien mort gelé a été retrouvé sur les lieux. La quarantaine de bêtes a pris le chemin d’un refuge. __________________________________________ 06 février 2007- Saint-Hyacinthe (Québec) – À la suite d’une plainte, la SPCA de la Montérégie et des policiers se sont rendus au 1425, rang Salvail sud, sur une propriété de La Présentation en Montérégie. 18 chiens, un cheval et un poney se trouvaient dehors, par un froid sibérien, enchaînés, sans aucun abri. Chaque chien était attaché à sa niche par une chaîne qui s'était enroulée autour de son cou. _______________________________________________ 08 fév. 2007- Notre-Dame-des-Prairies (Québec)- Les patrouilleurs de la Société pour la prévention de la cruauté envers les animaux, précédés de la police de Joliette, ont visité pour la troisième fois, le jeudi 8 février, un chenil insalubre du rang 2ème Chaloupe, à Notre-Dame-des-Prairies. En tout, ce sont une quarantaine de chiens cachés sous des planches de bois et une trentaine de chevaux qui ont été tirés du calvaire dans lequel ils devaient vivre. ______________________________________________ 22 février 2007 Saint-Robert (Montérégie-Québec) La SPCA et les policiers ont découvert une centaine d’animaux domestiques et de ferme qui vivaient dans des conditions épouvantables. À leur arrivée sur les lieux, les employés de la SPCA ont retrouvé, abandonnés au grand froid, plus d'une centaine d'animaux dont des chevaux, poules, chats, furets et lapins. Les animaux étaient affamés et assoiffés. Des carcasses d'animaux morts servaient à nourrir. _______________________________________________ 14 mars /2007- Sainte-Anne-de-Sabrevois (Québec)- Même s’il a hurlé toute la nuit, un Bouvier Bernois attaché à une chaîne dans la cour arrière d’une résidence est mort de froid dans l’indifférence la plus totale, pendant que ses maîtres profitaient du chaud soleil du sud. L’ animal n’avait même pas de niche ou un endroit où s’abriter. Une citoyenne inquiète d’avoir entendu hurler l’animal toute la nuit est allée le voir au matin, puis constatant qu’il était très mal en point, a téléphoné à la Ville. La SPCA n’ayant reçu l’appel que le lendemain après-midi n’a pu que constater la mort du pauvre chien. __________________________________________________ 15 avril 2007- Face à la prolifération des usines à chiots clandestines au Québec, un groupe de citoyens consternés s’est réuni pour protester en faisant une marche contre les usines à chiots. L’une a eu lieu dans la ville de Québec et l’autre à Montréal. Les manifestants exigent que le gouvernement mette en place, une loi efficace qui protégera adéquatement les animaux du Québec contre les cruautés qui leurs sont infligés. ___________________________________________________ 5 Avril 2007- Longueuil (Québec)- Deux chiens de garde (un Rottweiler et un bâtard) ont été tués par balles, alors qu’ils défendaient la cour de l’entreprise Fourgons Rive-Sud contre les intrus. La nuit venue, les deux animaux étaient lâchés dans l’enceinte clôturée de l’entreprise pour protéger la centaine de camions entreposés. L’un des chiens a été tué sur le coup, tandis que l’autre s’est traîné jusque dans sa cabane, où il est mort au bout de son sang. Le copropriétaire croit que le ou les malfaiteurs étaient motivés par le vol. C’est la deuxième fois que l’entreprise est victime d’une telle attaque contre ses chiens de garde : Il y a huit ans, à la veille de Noël, deux jeunes de 17 ans avaient coupé les pattes des deux chiens, que le propriétaire avait retrouvés agonisants par terre. ____________________________________________________ 22 mars 2007- Shawinigan (Québec) Des employés du Parc de l’Île-Melville ont capturé tous les chevreuils du Parc de l’Île-Melville devenus indésirables en raison de problèmes de consanguinité. Attirés dans une remorque où de la nourriture avait été déposée en guise d’appât, les pauvres bêtes ont été tuées et leur viande distribuée à Moisson Mauricie qui distribue la viande dans des banques alimentaires de Shawinigan. Lorsque la direction du parc a pris la décision de se débarrasser des chevreuils en décembre dernier, on en comptait une trentaine dans le parc. ______________________________________________________ 14 mars 2007- Saint-Jean-sur-Richelieu (Québec) Les agents de protection de la faune du ministère des Ressources naturelles et de la Faune du Québec (MRNF) ont mis fin aux pratiques illégales de chasse d'un groupe de braconniers qui exerçaient leurs activités principalement dans la région de Saint-Jean-sur-Richelieu. Cette opération a nécessité la mobilisation de 80 agents de protection de la faune. Les actes de braconnage reprochés concernent le cerf de Virginie, le caribou, les oiseaux migrateurs et les poissons, principalement de la perchaude. _______________________________________________________ 25 janvier 2007- Pointe-à-la-Croix (Québec)Des agents de protection de la faune du ministère des Ressources naturelles et de la Faune du Québec (MRNF), du Nouveau-Brunswick et d'Environnement Canada ont mis fin aux pratiques illégales de chasse d'un groupe de braconniers qui exerçaient leurs activités principalement dans les régions de la Gaspésie et du nord du Nouveau-Brunswick. Les actes de braconnage reprochés concernaient principalement l'orignal et le cerf de Virginie. Dans de nombreux cas, de la viande braconnée a été acheminée illégalement entre le Québec et le Nouveau-Brunswick afin d'échapper aux contrôles provinciaux. En tout, une cinquantaine de suspects de la région de Pointe-à-la-Croix et du nord du Nouveau-Brunswick ont été interrogés. Il est possible que d'autres personnes puissent être rencontrées dans cette affaire. _________________________________________________ 19 janvier 2007- Gatineau (Québec) Le 2 décembre dernier, les agents de protection de la faune de Gatineau ont intercepté un individu qui s'adonnait au braconnage du cerf de Virginie au moyen de collets, sur le territoire de la ville de Gatineau. Grâce à la vigilance de citoyens qui ont découvert des collets installés dans les sentiers de cerf de Virginie dans le secteur du lac Beauchamp, les agents de protection de la faune ont pu effectuer une surveillance des lieux. L'enquête a démontré que des activités illégales avaient cours dans les environs du parc du lac Beauchamp et la collaboration de la population a permis aux agents de protection de la faune d'y mettre un terme. ____________________________________________________ 26 janvier- Manheim, Pa. (USA)- Une cinquantaine de dindes domestiques, dont les pattes avaient d’abord été ligotées, ont été empilées sur des balles de foin puis utilisées comme cibles vivantes lors d’un concours de chasse à l’arc au club «Elstonville Sportsman's Association». Les participants qui avaient déboursé une dizaine de dollars pour participer à ce concours pouvaient gagner les dindes qu’ils avaient blessées et les ramener à la maison. Alerté par un membre de ce club, Keith Mohler, un officier autorisé pour renforcir la loi contre la cruauté animale, s’est fait passer pour son invité et a pu filmer la scène. Il a ensuite alerté les policiers. L’association de tir à l’arc qui fait face à plusieurs accusations de cruauté animale, pourrait devoir payer une amende allant jusqu’à $4,000.- _____________________________________________________ 17 janvier 2007- Ohio (USA)- Une investigation dans une porcherie du Comté de Wayne a eu pour résultat de porter six accusations de négligence et de cruauté et torture animale contre Joe Wiles, le gérant de la porcherie Wiles à Creston, de même que le propriétaire Ken Wiles ainsi qu’ un employé. Ce sont des dénonciations d’ex-employés et de l’association californienne Humane Farming Association qui ont amené les autorités du comté de Wayne à inspecter les lieux. Le prosécuteur, Frank Forchione a déposé les accusations après avoir visionné des photos et des vidéos de la porcherie Wiles à Creston, située au Nord de Wooster près de la frontière du comté de Médina. Les cochons de cette porcherie vivaient entassés, ils étaient sous-alimentés et sous-abreuvés et n’avaient droit à aucun soin vétérinaire. Certains cochons étaient battus à coups de marteaux, blessés à la carabine, ou suspendus vivants à un convoyeur jusqu’à ce qu’ils en meurent. ___________________________________________________ 4 février 2007- Laval (Québec)- Un nouveau projet de l'Institut national de recherche scientifique ouvrira un nouveau centre expérimental à Laval pour tester des vaccins sur des singes. Le projet de 23 millions de dollars est financé par les deux paliers de gouvernement. Les protecteurs des droits des animaux sont loin d'applaudir cette initiative. La Fondation Fauna, à Carignan, récupère certains de ces animaux pour leur offrir une vie meilleure après les tests en laboratoire. Plusieurs sont atteints du SIDA. (Pétition de David ?) ___________________________________________________ 22 janvier 2007- Oklahoma (USA) - Une équipe de la Humane Society (HSUS) s’est rendue sur un ranch près de Vinta pour constater que plus de 600 animaux, dont des chèvres, des moutons, des bovins et des chevaux étaient déjà morts de faim et de froid. Tentant en vain de trouver un peu de chaleur, plusieurs animaux ont été retrouvés près de la maison du propriétaire. David Bell, le propriétaire du Ranch a été accusé de cruauté animale et devra, tout au long de son procès, acquitter les frais requis pour les soins aux animaux survivants qu’un rancher voisin a bien voulu accepter de prendre sous sa tutelle (gouverne) jusqu’à la fin du procès. 1,600 animaux ont pu être sauvés de leur enfer, dont un jeune chien qui a été adopté par un bénévole de la HSUS et qui a été surnommé Lucky (Chanceux). http://www.hsus.org/hsus_field/hsus_disaster_center/disasters_press_room/oklahoma_ranch_a_scene_of.html ____________________________________________________ ...2

Merci terrienne ! Un beau texte qui tombe à pic en cette journée de la Terre !

C'est déjà fait !

Seal boats coping with ice crisis In a sudden squall, `they'd all go down, including the icebreakers,' sealer says Apr 21, 2007 04:30 AM Bill Taylor Feature Writer JOE BATT'S ARM, Nfld.-Born and bred in this remote outport on Fogo Island off the northern coast of Newfoundland, Desmond Adams has the seal hunt in his blood. So his bright-green boat, the Angela Chantell, was one of the first out last week when the annual hunt began. And one of the first back. "We had a day out there," Adams said yesterday on the windswept dock where his boat was safely moored. "We saw the way the weather was going and the ice was moving and we beat a hasty retreat. We were on the western edge of the ice and the wind died for a little bit at exactly the right time so we were able to get back. We were the only one that did." Between 300 and 400 other seal hunters on more than 100 "longliner" boats were not so lucky. Most of them remain stuck in a freak build-up of pack ice - the worst anyone here can remember - that trapped them a week ago as they headed home. There was a little light at the end of the frigid tunnel as a persistent northeasterly gale veered slowly to the southwesterly wind that will move the ice floes away. The temperature rose a few degrees, too, which will help. Two of the Coast Guard's three icebreakers also got stuck earlier this week trying to carve a path for some of the stricken longliners to follow them to open water. But they were back in action yesterday, joined by a fourth icebreaker from Quebec. Two sealers' boats were helped into open water in Bonavista Bay and were on their way back to safety, said Coast Guard Captain Brian Penney. "It's a little bit of relief," he said. "But I think it'll be Tuesday at the earliest before most of the longliners are out." Penney said that before the rescue, several of the boats had radio-telephoned food orders to a general store in Bonavista and the Coast Guard had delivered the groceries by helicopter. Et nos gouvernements qui continuent de nier qu'ils subventionnent cette chasse (avec l'argent de nos taxes bien entendu) While the freeze-up has made headlines around the world, Newfoundlanders are treating it almost casually. Some radio stations didn't even make it their top news story yesterday, going instead with a new strategic plan for Labrador. One Gander station put it ahead of a blood donor recruitment story but didn't give it as much time. The general feeling is that the situation is annoying - some stranded sealers reached by satellite phone say their biggest problem is boredom - but more a threat to livelihood than life. It's a sentiment that makes Adams angry. "Very few will admit it, but what's happening is extremely dangerous," he said. "They act like clowns about it; they just shrug it off. And I think they'll get away with it this time. But if there were sustained very strong winds, which can happen with very little warning here, then you'd have a major catastrophe. They'd all go down, including the icebreakers, with all hands lost." Though he admits that he's as bad as anyone, "and we all go out for the love of it rather than the money, which isn't there anymore," Adams would like to see the hunt in its current form stopped. First, bigger boats go out and take their share of annual quota and then small boats go to cull the rest of the harp seal pups. Frank Pinhorn estimates there are about 60,000 of this year's quota of 270,000 still to be killed. "So the big boats are out now trying to get themselves free of the ice and the hunt is at a standstill," Adams said. "But once this mess is cleared up, then they'll let the small boats go out. And this ice could come back. It could happen again. "None of these boats, big or small, is registered for ice and some insurance companies won't cover you for the seal hunt. Others, the ice-damage deductible is so high, no one ever reports damage. We just fix it ourselves. But these little boats are eggshells; they're that fragile. You could crush them like that." Adams held up his clenched fist. Coast Guard helicopters have taken the crews off about 10 of the bigger boats, mostly near the Grey Islands off Labrador because the pressure of the ice was threatening to crush them. "No one's going to stop hunting if they don't have to. We need someone to tell us, `No, this is too dangerous. You can't do it.' Newfoundlanders are good at following orders. They've told us we can't fish and we can't do this or that. And we don't." Plus con que ça, tu meurts ! No one's getting rich from the seal hunt, he said, "at least not among the hunters. The price of pelts is down to about $55, about half what it used to be." Not only that, the ice crisis means the sealers will be delayed in getting back to their main livelihood - crab fishing and shrimping. "The later you take a crab, the worse the quality. We're getting hurt." Coast Guard helicopters continued to fly food and water to longliners that are running short of supplies. There's also a fuel crisis as they keep their engines running to power generators for food and warmth. (Et c'est nous qui payons pour ça... ) Not all the boats are being threatened by ice pressure. Some are in open water, surrounded by floes. One or two are tantalizingly close to the shore. There was a report yesterday that a snowmobile managed to get out across the ice to one longliner to deliver food. Adams said on a clear night, lights can be seen from Joe Batt's Arm, a community of about 800 with white "saltbox" houses straggling along the shoreline of the ice-clogged bay. http://www.thestar.com/News/article/205683

C'est pas croyable des horreurs pareilles, dans un pays qui n'est pourtant pas un pays du tiers-monde !! p.s.: Je n,ai pas encore eu le temps de signer des pétitions Linda, mais j'en signerai d'ici à dimanche...

http://www.ctv.ca/servlet/ArticleNews/story/CTVNews/20070225/animal_abuse_070225\ /20070225 J'en ai ras-le-bol d'entendre parler de cette loi ! Tous les ans, c'est la même histoire- et au final y'a rien qui bouge Two Liberals in dogfight over animal cruelty laws Mark Holland Canadian Press Updated: Sun. Feb. 25 2007 7:37 PM ET OTTAWA — Two Liberal colleagues are in a dog fight over two different bills aimed at cracking down on animal cruelty. Senator John Bryden has authored a private member's bill that would dramatically stiffen penalties for those who abuse animals. But MP Mark Holland is urging his Liberal colleagues to defeat Bryden's "placebo" bill, arguing that it's meaningless to impose stiffer fines and jail terms without simultaneously closing loopholes that allow animal abusers to escape conviction. Indeed, Holland maintains Bryden's bill is a ruse designed to take the pressure off parliamentarians to produce more meaningful reform of Canada's outdated and inadequate animal cruelty laws. Holland is urging his colleagues to support his own, more ambitious private member's bill instead. But Bryden has a leg up on Holland. His bill, S-213, has already been passed by the Senate and the House of Commons will begin debating it on Monday. Bryden believes he's got the support of the governing Conservatives and a majority of Liberal MPs, particularly those from rural areas. Holland's bill, C-373, hasn't even begun the legislative obstacle course. It's stuck in the queue with other MPs' private members bills and may not see the light of day until the fall or later. Bryden readily admits his bill is nowhere near as ambitious as Holland's. But he says that's deliberate, recognizing the fact that seven attempts to modernize animal cruelty laws in the past 10 years failed precisely because they were too ambitious. Past bills proposed changing the status of animals and the definition of cruelty, raising concerns of farmers, aboriginals, hunters, anglers and researchers that all sorts of traditional practices could be rendered illegal, from branding and castrating livestock to boiling lobster for dinner. Bryden said he decided to focus on the one element of previous bills that everyone could agree with: stiffer penalties. "All this bill is attempting to do is to give to the enforcement people, the prosecutors and the courts some real teeth in the (existing) law . . . so that they can jail some people, heavily fine some people and these sections then become deterrents," Bryden said in an interview. Currently, animal cruelty offences are punishable only on summary conviction with maximum penalties of a $2,000 fine and/or six months imprisonment. S-213 would allow prosecutors to proceed by way of indictment or summary conviction, depending on the seriousness of the case, with maximum penalties of five years imprisonment and/or a $10,000 fine. Animal rights groups have condemned Bryden's bill and are urging MPs to reject it in favour of Holland's. But Bryden, whose bill is backed by universities and hunting and angling groups, argues that it's better to have stiffer penalties than no reforms at all. "The biggest thing that the animal rights people are saying about my bill is that it doesn't go far enough. Well, the ones that tried to go farther didn't get very far." In any event, Bryden argues that nothing prevents Parliament from bringing in comprehensive reforms - or even adopting Holland's bill - in future. In the meantime, the deterrence effect of S-213 would give animals some additional protection. Holland doesn't buy it. "To try to hold out that this is animal cruelty legislation when all of the major animal welfare groups oppose it is despicable," he said in an interview. Having blocked every attempt at meaningful reform, Holland said the Senate, through Bryden's bill, is now trying to do a "total end-run" around the will of the elected House of Commons. "Let's be real clear about what this is. If S-213 were passed, all of the political will and motivation to modernize our animal cruelty laws would pass and . . . what we would be stuck with is 18th-century laws well into the future." Holland's bill is identical to C-50, which was twice passed by the Commons but blocked by the Senate. It would move animal cruelty out of the property section of the Criminal Code, recognizing that "your family pet deserves more protection than your dining table," and extend protection to wildlife, not just domestic animals. It would also increase penalties generally, including additional penalties for wounding or killing police dogs and horses. Holland is confident that the vast majority of MPs support his bill, having adopted identical legislation twice in the past. But he's worried that they'll wash their hands of the matter if they accept Bryden's bill first. "It would be a devastating blow if it got passed."

C'est certain Cé ! Y'a rien pour les arrêter ces salopards !

Je regrette aujourd'hui de ne pas avoir pris ça en photo

Je crois que ce sont d'autres chasseurs qui possèdent des petites embarcations animo et ils arrivent une fois que les gros bateaux repartent...

http://www.thestar.com/News/article/205321 Canada's controversial annual seal hunt can be over in as little as a day or two. It all depends on how quickly the sealers kill their quota of pups. This year, the federal fisheries department lowered the quota of harp seals to be culled from last year's 335,000 to 270,000 because of poor ice conditions in the Gulf of St. Lawrence, where the hunt began April 9. Seal pups survive on the ice until they learn to swim. Less ice means more of them drown. About 30 per cent of the quota was taken in the Gulf. The hunt then moved northeast to "the Front," where it began last Friday. Bigger boats go out first and take their share of the seals, said Frank Pinhorn, executive director of the Canadian Sealers Association. It's these boats that became icebound as they returned home. Pinhorn said about 60,000 seals remain to be hunted by the smaller boats that will go out once conditions improve. Ils en ont déjà tués plus de 200,000 - C'est tellement horrible !

mais pourquoi viennent-elles se plaçer là hop C'est leur lieu de rencontre ? L'année dernière chez moi, il y avait un énorme bourdon qui avait décidé de faire son nid juste à côté de la porte patio dans un petit trou entre deux briques... Chaque fois qu'on ouvrait la porte pour sortir, le bourdon sortait de son petit trou et virevoletait autour de nos mollets. Même si ce ne sont pas des insectes agressifs et qu'ils ne piquent que si on les attaquent, j'avais quand même peur que la Fanie aille mettre son museau dans le nid, qu'elle lui envoie un coup de queue ou de patte et qu'elle se fasse piquer, alors on a décidé de dévier l'entrée du nid du bourdon en faisant un trou avec une fine mèche de métal, de l'autre côté de la brique, de la même dimension et juste assez long pour qu'il se rende au nid, puis on a bouché l'entrée principale. Un vrai travail de maître !! On a observé le bourdon pendant près de 2 heures, en se disant que s'il ne trouvait pas la nouvelle entrée, on n'aurait pas le choix que de lui ouvrir la première, mais finalement, il a fini par découvrir l'autre trou et à y entrer... et quelques semaines plus tard, on a vu un tas de petits bébés bourdons sortir de là

Profites-en bien terrienne ! C'est tellement mignon et tellement utile ce petit oiseau ! Chez-nous depuis environ 3 ou 4 ans, il n'en reste plus une seule ! Les pesticides les ont toutes tuées étant données qu'elles se nourrissent exclusivement de petits insectes Par contre, depuis deux semaines, les oies arrivent ! Ce matin, c'est le bruit d'un grand voilier d'oies qui m'a réveillée, mais bien sûr, les chasseurs les attendent pour leurs souhaiter la bienvenue

Tu as raison de relever cette phrase Linda ! On dirait que Radio-Canada fait du parti-pris pour les chasseurs

D'après ce que je viens de lire dans un journal anglophone, il reste 60,000 phoques à abattre et cet abattage pourrrait se faire en un jour ou deux par des bateaux plus petits ...

Chasse aux phoques La fin d'une saison difficile Mise à jour le vendredi 20 avril 2007, 16 h 33 . La direction régionale de Pêches et Océans Canada mettra fin à la chasse aux phoques dans le détroit de Belle Isle à 19 heures vendredi. Elle estime que 90 % du quota autorisé de 5500 têtes pour la Côte-Nord sera alors atteint. Ottawa présume que la compilation finale s'approchera de l'objectif puisque quelques bateaux n'ont pas encore communiqué leurs résultats. 550 phoques ont été abattus jeudi. La veille, les chasseurs en avaient capturé 460. La chasse est difficile cette année en raison de l'épaisseur des glaces et de l'éparpillement des troupeaux. Huit jours auront été nécessaires pour atteindre le quota. L'an dernier, 20 000 phoques avaient été abattus au cours d'une fin de semaine. http://www.radio-canada.ca/regions/est-quebec/2007/04/20/009-chasse-phoques-fin.asp

Chasse au phoque On attend que le vent tourne Mise à jour le vendredi 20 avril 2007, 13 h 18 . La Garde côtière prévoit que les vents tournent en fin de journée vendredi et que les glaces desserrent leur étau sur une centaine de bateaux bloqués depuis une semaine au nord-est de Terre-Neuve et dans le détroit de Belle-Isle. Cinq brise-glace de la Garde côtière, appuyés de six hélicoptères, sont sur place le long de la côte de Terre-Neuve pour tenter de dégager les quelques centaines de membres d'équipage prisonniers des glaces. La poussée des glaces est si forte qu'un brise-glace a été emprisonné à son tour mercredi, et un autre jeudi. On a évacué une dizaine de bateaux des chasseurs et on a ravitaillé par hélicoptère les équipages qui en avaient besoin. De plus, les membres d'équipage occupant un poste jugé non essentiel ont été évacués sur les navires de la Garde côtière ou sur la terre ferme. La météo pourrait bientôt commencer à collaborer avec les secouristes, selon le capitaine Marc-André Poisson, de la Garde-côtière. « On s'attend à ce que les vents tournent demain au nord de Terre-Neuve. Donc, on espère bien que la pression sur les glaces devrait se relâcher quelque peu et ça devrait améliorer la situation », a-t-il déclaré, jeudi. suite: http://www.radio-canada.ca/regions/atlantique/2007/04/20/001-TNL-bateaux-glaces2.shtml

Scénario catastrophe Raymond Giroux Le Soleil Kyoto la catastrophe ! Le Canada connaîtra une récession économique s’il décide d’atteindre les objectifs du Protocole de Kyoto sur la réduction des gaz à effet de serre, a prédit hier le ministre de l’Environnement, John Baird. Deux cent soixante-quinze mille Canadiens perdraient leur emploi d’ici 2009, le prix de l’électricité bondirait de 50 % après 2010, le coût de l’essence monterait de 60 %, et le coût du chauffage au gaz naturel doublerait, a dit le ministre devant un comité sénatorial d’abord, puis en conférence de presse. Cette sortie du ministre se voulait un véritable tir de barrage pour détruire les arguments des partisans du Protocole à quelques jours de l’annonce par le gouvernement conservateur de son propre plan de rechange. suite: http://www.cyberpresse.ca/article/20070419/CPSOLEIL/70419221/5019/CPSOLEIL

Le vendredi 20 avril 2007 La famille Rochon vend des animaux de compagnie à Val-des-Monts, mais ce n'est pas un chenil. Une famille qui vend des chiens sur Internet se défend de maltraiter ses animaux Le Droit Un couple de Val-des-Monts qui vend des chiens, et contre qui des plaintes ont été logées auprès de la Société protectrice des animaux (SPCA) de l'Outaouais, affirme qu'il n'a rien à cacher. Marie Leblanc et son conjoint Éric Rochon disent agir en toute légalité en vendant des chiens sur Internet via plusieurs sites. Lors du passage du Droit, hier, le couple avait trois chiens : deux Doberman, qui leur appartiennent et un Yorkshire de six mois, vacciné, qui est à vendre avec documents du vétérinaire. "La SPCA est venue ici. J'ai trois chiens qui ont des médailles. Je n'ai rien à cacher. Je trouve ça plate toute cette histoire. On passe pour des méchants", a dit Mme Leblanc. "On n'est pas un chenil, a dit M. Rochon. Mais on aime les chiens et on ne les maltraiterait jamais." À quatre reprises depuis la fin février, des inspecteurs de la SPCA sont allés à la résidence du couple après avoir reçu au moins deux plaintes de deux personnes différentes. Une des plaignantes, Rachel Champagne de Bowman, a acheté un Shitsu de quatre mois pour son beau-père au coût de 225 $. Quatre jours plus tard, le chien est mort. Mme Champagne affirme qu'elle a tenté sans succès d'obtenir un remboursement. "Mon but, c'est que le plus de monde possible dans la région de Gatineau et d'Ottawa sache ce que cette dame fait et de ne pas acheter de chien d'elle. Nous, on n'est pas vétérinaire et on ne savait pas que le chien était malade", a affirmé Mme Champagne. Elle soutient avoir reçu plusieurs courriels de personnes qui ont aussi acheté des chiens en mauvaise santé de Mme Leblanc. Marie Leblanc maintient qu'elle a offert à Mme Champagne un autre Shitsu à moitié prix en guise de compensation, mais cette dernière aurait refusé. "On a même pensé la rembourser. On aurait dû, si on avait su que ça causerait autant de trouble", a dit M. Rochon. Ce dernier ne nie pas que le chien soit tombé malade. "C'est peut-être sa nourriture." Acheté 150 $ d'un propriétaire de Hull, le Shitsu a été revendu 225 $ "tel quel", précise-t-il, et il n'y avait pas de documents de vaccination qui accompagnait le chien. Au cours des quatre derniers mois, le couple estime avoir vendu une trentaine de chiens qui leur avaient été donnés ou qu'ils ont achetés ailleurs. suite: http://www.cyberpresse.ca/article/20070420/CPACTUALITES/704200372/5174/CPDROIT

En effet terrienne c'est un très beau texte et malgré la tristesse du sujet, je n'ai pu m'empêcher de

Bonjour ma belle hop On a finalement du beau temps alors j'en profite pour sortir un peu de mon terrier

On a du pain sur la planche

les produits du phoque sont interdits aux États-Unis, mais ça pourrait donner des idées à des compagnies canadiennes... ou même des compagnies au Québec ! Avec en + la production de 8 millions de cochons dans cette province, y'aurait d'quoi en faire du carburant

Merci Linda pour ces pétitions toutes aussi importantes les unes que les autres