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Animal

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Tout ce qui a été posté par Animal

  1. Faute de temps, nous n'avions pas encore affiché les détails de cette journée de réseautage du 18 novembre dernier. Vous pourrez les retrouver à cette adresse: http://aequoanimo.com/nosactions2006.html
  2. Animal

    Fauves en liberté

    Fauves en liberté Le meilleur ami de l’homme peut devenir le pire cauchemar de votre enfant PAR JIM HUTCHISON -------------------------------------------------------------------------------- En mai 1999, Zack Pichor, quatre ans, joue dehors avec un camarade, tandis que son père, Randy, répare la terrasse de leur maison. Arrive le chien d’un voisin, qui commence à lui lécher la figure. Quand Zack tente de le repousser, l’animal, un croisement de husky, le renverse par terre et, à cheval au-dessus de lui, referme ses puissantes mâchoires sur son crâne et se met à secouer le garçon comme une poupée de chiffon. L’enfant hurle, mais son père ne l’entend pas. C’est une voisine, témoin de l’attaque, qui force le chien à lâcher prise. «Vite! Appelez le 911, crie-t-elle au père. Votre fils a la tête à moitié arrachée!» Randy laisse tomber ses outils et se précipite vers l’enfant couvert de sang. Zack n’a pas perdu connaissance, mais il a subi 14 morsures qui nécessiteront de multiples points de suture aux urgences de Squamish, en Colombie-Britannique. Sans compter une chirurgie plastique pour reconstruire son oreille droite, presque complètement arrachée. L’attaque n’a pourtant duré que quelques secondes. Le chien a été euthanasié, mais les Pichor ont réclamé des dommages et intérêts: ce n’était pas la première fois que l’animal s’échappait de l’enclos de ses propriétaires. On dispose de peu de statistiques sur les morsures de chiens au Canada. Toutefois, un sondage national commandé par Reader’s Digest montre que, sur 1211 répondants, environ 29 pour 100 ont déjà été mordus ou connaissent des enfants qui l’ont été. Une enquête de Santé Canada auprès des urgences des hôpitaux canadiens a révélé que 57 pour 100 des victimes de morsures avaient moins de 10 ans. Une étude, plus restreinte mais plus détaillée, a établi que 71 pour 100 d’entre elles connaissaient l’animal et que 26 pour 100 vivaient avec lui. Selon les Centres américains de prévention des maladies (CDC), le problème semble aller en s’aggravant. Entre 1986 et 1996, les morsures de chiens nécessitant un traitement médical ont augmenté de 37 pour 100 aux Etats-Unis. Et, si l’on en croit Michael O’Sullivan, directeur de la Société protectrice des animaux et de l’environnement du Canada, les chiffres seraient comparables chez nous. Steve Noonan, un vétérinaire de la Nouvelle-Ecosse, soupçonne cette recrudescence d’être liée à la popularité actuelle des gros chiens: «Ce n’est pas que les petits mordent moins, mais ils ne sont pas capables d’infliger des blessures aussi graves qu’un berger allemand ou un golden retriever.» Laissés en liberté autour de jeunes enfants, des chiens potentiellement agressifs comme les pitbulls, rottweilers et dobermans sont des bombes en puissance. «Le nombre de pitbulls a beaucoup augmenté dans notre quartier, constate une mère de Colombie-Britannique. Les gens qui les achètent sont souvent inconscients du danger qu’ils représentent.» Son fils de cinq ans s’est fait mordre en septembre 1998 par un pitbull sans muselière qu’il avait voulu caresser. Steve Noonan pense que la seule solution est d’imposer un plus grand sens des responsabilités aux propriétaires et de mieux mettre en garde les enfants. Il donne l’exemple en allant enseigner la meilleure manière de ne pas se faire mordre dans les écoles de la région de Halifax. Eduquer les maîtres… et les enfants Dans son rapport de 1999 sur la mort de la petite Dariane Blouin, tuée par un husky, le coroner Pierre Brochu rappelait que 65 pour 100 des 117 000 personnes mordues par des chiens chaque année au Québec sont des enfants de moins de 10 ans. Pour enrayer ce fléau, il formulait un certain nombre de recommandations : 1. Aux municipalités, il demandait d’harmoniser la réglementation sur la surveillance des animaux domestiques et d’affecter une partie des revenus provenant des frais d’enregistrement des chiens à l’éducation des propriétaires et à celle des enfants (dans les garderies, les terrains de jeux, etc.). 2. Il incitait vivement le ministère de l’Education à enseigner aux enfants, dès la maternelle, les règles de base à suivre en présence d’un chien (ne jamais le flatter avant d’en avoir demandé la permission à son maître, se rappeler que la gueule de l’animal est à la hauteur du visage de l’enfant, etc.). 3. Aux responsables de la santé publique et des services sociaux, il demandait de poursuivre leur travail de prévention auprès des enfants et de mettre sur pied des programmes d’éducation pour les propriétaires de chiens, les éleveurs et la population en général. Source: Bureau du coroner «La grande majorité des quatre millions de chiens du Canada n’ont jamais fait de mal à personne, et la plupart des morsures auraient pu être évitées», reconnaît Michael O’Sullivan. Mais il met en garde les propriétaires «qui s’imaginent qu’un chien affectueux avec eux le sera obligatoirement aussi avec les autres». Pour les parents, affirme-t-il, la règle numéro un est de ne jamais laisser un chien sans surveillance en compagnie de bébés ou de jeunes enfants. En visite chez une amie en 1996, Christine Hunter, de Rockland en Ontario, n’a quitté son fils des yeux que quelques secondes. Le temps pour Jamie, un enfant de cinq ans élevé avec un labrador, de se précipiter vers le dalmatien de la maison pour lui offrir un os. L’animal lui a attrapé l’oreille et l’a mordu jusqu’au sang. «Nous avons eu de la chance, dit Christine. Cela aurait pu être aussi bien au visage.» «C’est effrayant de voir comment les gens laissent leurs enfants caresser ou prendre dans leurs bras un chien qu’ils ne connaissent pas, dit Steve Noonan. Mordre est la seule défense d’un animal qui se sent menacé. Il faut toujours faire très attention, même avec son propre chien.» Le 30 janvier 1999, Andrea Buckett fait une sieste dans la maison de ses parents, à Toronto. Son bébé, Cameron, qui n’a que 14 jours, dort dans une autre pièce. Soudain, les hurlements de sa tante la réveillent en sursaut. Elle bondit de son lit, court vers son bébé et manque de s’évanouir en le voyant la tête meurtrie et couverte de sang. Son propre chien et celui de ses parents, tous les deux des bergers allemands, s’étaient introduits dans la chambre par la porte laissée ouverte et s’en étaient pris à l’enfant. Cameron ne doit la vie qu’aux six heures de travail acharné des médecins de l’Hôpital pour enfants de Toronto. Les deux chiens ont été euthanasiés, et le bébé est maintenant totalement remis de ses blessures. Mais Andrea a un conseil à donner aux autres parents: «Ne laissez jamais de jeunes enfants seuls avec un chien, quel qu’il soit. Nous avions une confiance totale en ces deux bêtes.» Les attaques de chiens du genre pitbulls ne sont pas les plus fréquentes, mais ce sont souvent les plus graves. Le 11 janvier 1999, Jeff Comeau, de l’Ontario, retrouve son fils de cinq ans, Thomas, gisant devant la maison dans un banc de neige rougi par le sang. Deux rottweilers viennent de l’attaquer. Son corps presque nu est couvert de morsures, et son bras gauche ne tient plus que par quelques lambeaux de chair. Six médecins de l’Hôpital pour enfants de l’ouest de l’Ontario mettront près de huit heures à suturer ses blessures. Accusés de négligence, les propriétaires ont fini par admettre que leurs chiens réussissaient parfois à se débarrasser de leurs colliers pour aller vagabonder dans le quartier. Ils seront acquittés après une journée de délibérations, sous prétexte que, le jour du drame, ils avaient laissé les chiens dans un hangar fermé et que les deux rottweilers n’avaient jusque-là jamais mordu personne. Un de leurs amis avait laissé s’échapper les deux bêtes par inadvertance. Une autre affaire a soulevé l’indignation publique: en mai 1998, à Oshawa, en Ontario, Dale Howie, un garçon de 12 ans, est attaqué par le chien de son voisin, un rottweiler de 45 kilos. Le chien lui enfonce les dents dans le bras et le traîne dans la rue. L’enfant parvient à s’échapper, mais, deux semaines plus tard, l’animal le renverse à nouveau et le mord cette fois à l’intérieur de la cuisse. Dale hurle au secours en essayant de se protéger le visage et le cou. «Il voulait me tuer, dit-il. Si un voisin n’était pas intervenu, je serais mort.» Le propriétaire du chien, David Cooke, qui a refusé de faire tuer l’animal, reçoit l’ordre de le garder muselé en public. Il n’acceptera de faire euthanasier le rottweiler qu’après que Dale eut dû se sauver dans un bois pour échapper à une nouvelle attaque. «On ne peut pas accepter de voir errer dans les rues des chiens dangereux qui attaquent nos enfants, dit David Howie, le père du jeune garçon. Le pire, c’est que rien n’empêche David Cooke de se procurer un autre chien.» La fourrière de Vancouver, comme plusieurs autres au Canada, a constaté une augmentation des ramassages de chiens dangereux. «Ce n’est pas étonnant s’ils sont si nombreux à devenir méchants, dit Barbara Fellnermayr. Leurs maîtres les dressent à l’attaque, les négligent, leur infligent de mauvais traitements et les laissent seuls, enfermés dans une cour, eux qui sont par nature des animaux hautement sociables.» Conseils aux parents Ne laissez pas vos enfants chahuter ou jouer à des jeux violents avec un chien. Surveillez-les quand ils sont en compagnie d’un chien. Apprenez-leur à ne pas s’approcher d’un chien inconnu, à ne pas déranger un animal qui mange, dort ou a des petits. Dites-leur de ne pas caresser un chien avant d’avoir demandé la permission à son maître. Apprenez-leur à ne pas agacer les chiens, à ne pas les surprendre, ni à s’en approcher soudainement. Dites-leur de rester immobiles quand un chien inconnu s’approche d’eux, de ne pas le fixer dans les yeux, de ne pas crier ni de partir en courant. Si l’animal les attaque, ils peuvent se mettre en boule, les mains sur les oreilles, ou essayer de le distraire à l’aide d’un objet. A noter : ce sont les mâles non castrés qui risquent le plus de mordre. En janvier 1995, à Kitchener, un pitbull en liberté attaque sauvagement et tue un labrador à 300 mètres de deux écoles. Les policiers le poursuivent dans les rues sur une distance de 10 kilomètres et tirent 15 fois avant de réussir à l’abattre. Pour le conseiller municipal Berry Vrbanovic, témoin de la terreur grandissante que font régner les pitbulls dans son district, c’est la goutte d’eau qui fait déborder le vase. Il lance une campagne pour les faire bannir des villes de Kitchener et de Waterloo. Il a le public de son côté. L’un des premiers décrets d’interdiction en Ontario d’une race de chiens spécifique (avec des conditions très strictes à respecter pour les pitbulls existants) a été adopté à Kitchener en 1997. «Durant les deux années précédant l’interdiction, nous avons eu 18 attaques de pitbulls, dit Jamie Laflamme, de la SPCA de Kitchener-Waterloo. Depuis, seulement quatre incidents ont été recensés.» Barbara Fellnermayr, quant à elle, voudrait qu’on interdise les usines à chiots «qui vendent leurs chiens au marché noir 300 $ chacun. Elles ne sont là que pour le profit, pratiquent la consanguinité entre frères et sœurs, font des croisements risqués et produisent des chiens instables qui peuvent devenir très dangereux.» Les Pichor ont été horrifiés d’apprendre que le husky qui avait attaqué leur fils comptait des loups parmi ses ancêtres et que d’autres chiots de la même portée avaient été vendus dans le voisinage. Si vous décidez d’adopter un chien dans un refuge, évitez les animaux ayant des antécédents d’agressivité. Quand Sharon Appler a choisi un animal de cinq ans, issu d’un croisement avec un berger allemand, dans un refuge de Winnipeg, un employé l’a prévenue que ses anciens maîtres s’en étaient débarrassés parce qu’il avait mordu un jeune enfant. Mais l’animal semblait tellement affectueux qu’elle a pensé que tout irait bien, d’autant plus que ses propres enfants étaient déjà grands. Une semaine plus tard, Carly, sa fille de 12 ans, jouait avec le chien dans le salon quand il l’a soudain mordue à la cuisse. Quelques jours après, l’animal plantait ses dents dans le bras de son mari. Le jour où il s’est mis à grogner contre sa fille aînée, Sharon a dû se rendre à l’évidence. Les Appler ont ramené le chien au refuge et l’ont échangé contre un colley. Le 29 avril 1998, la mort à Toronto de Courtney Trempe, tué par le bullmastiff de 54 kilos d’un voisin, a soulevé une telle indignation qu’à la fin de l’enquête le jury a formulé 36 recommandations qu’il souhaitait voir adopter partout au Canada. On y retrouvait, entre autres, l’obligation pour les maîtres de prendre un cours sur les responsabilités qui leur incombent, la création de programmes de prévention dans les écoles et l’établissement d’un centre provincial de recensement des morsures de chiens. De tout cela, rien n’a encore été fait. Agé maintenant de huit ans, Zack Pichor fait encore des cauchemars et doit suivre une thérapie. «Ses cheveux ont repoussé sur ses cicatrices, mais les séquelles psychologiques sont toujours là, dit sa mère. Oui, nous devons apprendre à nos enfants que tous les chiens ne sont pas gentils et affectueux, mais les propriétaires doivent aussi prendre leurs responsabilités. Un seul enfant mordu, c’est déjà un de trop.» PHOTO: PIERRE LOUIS MONGEAU http://www.selection.ca/mag/2003/02/fauves.html
  3. Animal

    votre opinion s.v.p

    Bonjour Amaroq, Depuis quelques années, il y a une prolifération d’ élevages de chiens Huskys au Québec. Les courses ou les ballades en traîneau à chiens attirent de plus en plus de touristes Européens, Asiatiques, etc. et l’industrie du tourisme met le «paquet» pour promouvoir cette activité, tout comme elle le fait d’ailleurs pour attirer des touristes à venir observer les phoques quelques semaines avant leur massacre. De nombreuses personnes ont vu là une opportunité de faire de l’argent en se lançant dans l’élevage de chiens Huskys, mais cela a aussi permis une prolifération de chenils insalubres et de mauvais traitements infligés aux chiens. En général, les chiens enchaînés ne font pas assez d’exercices. Ils piétinent de long en large sur une toute petite parcelle de terrain. Comme ils sont enchaînés, ils urinent et défèquent toujours au même endroit, près de leur niche quand ils en ont une, ou au même endroit où ils dorment … et leurs déjections ne sont pas toujours nettoyées par l'éleveur. Que ce soit en hiver ou en été, ils n’ont pas toujours accès à de l’eau, ni à un endroit frais, propre et à l’abri du soleil ou un endroit chaud pour se protéger des grands froids. Ils dorment souvent à même le sol ou sur la neige. Ils sont victimes d’insectes piqueurs, d’engelures, ils souffrent de nombreuses maladies, d’arthrite, mais ne sont pas suivis par des vétérinaires. Ils ne sont jamais lavés ou brossés et comme ils sont attachés, ils sont souvent victimes d’animaux sauvages. De plus, à force d'être attachés, ils deviennent agressifs ! Avec leurs aboiements, ils dérangent aussi souvent le voisinage. Bref, je sais qu’il y a certainement des gens soucieux des chiens qu’ils élèvent pour faire du traîneau ou des ballades pour les touristes, mais toutes ces récentes découvertes de chenils clandestins (j’ai encore en tête ces horribles images de chiens Huskys morts de faim à Saint-Jean-de-Matha) font réellement réfléchir et je crois qu'il est grand temps de faire le ménage là-dedans ! Voila mon avis ! p.s. : En hiver, lorsque vous vous absentez, comment faites-vous pour vous assurer que vos chiens aient accès à de l’eau en permanence- car même à l’intérieur d’une niche non chauffée, il est impossible de garder un bol d’eau sans que cette eau ne gèle. Même chose durant les autres périodes de l'année: Comment faites-vous pour vous assurer que les bols d'eau de vos chiens ne soient pas renversés et qu'ils aient toujours accès à de l'eau propre même lorsque vous vous absentez ?
  4. Animal

    Alors

    T'es trop fine ma belle Cé !
  5. Animal

    Alors

    J'aurais la voix tremblotante Cé et je suis sûre que je perdrais connaissance ! Peut-être que je réussirais si je prenais un litron de vin avant de partir.... et encore !
  6. Animal

    Alors

    C'est vrai Cé ! Il était vraiment adorable ce jeune étudiant !
  7. Animal

    Alors

    je ne faisais pas partie des conférencières ma belle hop ! Je serais incapable de le faire
  8. Canada reacts angrily to UK's support for full boycott of animal products on eve of cull Juliette Jowit in Newfoundland Sunday February 11, 2007 The Observer Canada has attacked Britain's 'moral' decision to support a Europe- wide boycott of all seal products, as hunters prepare for the annual cull of around 300,000 baby seals. At present Europe bans only products made from seals under 12 days old, known as 'whitecoats', but the UK is putting pressure on the rest of the EU to join Belgium and Italy, as well as the United States and Mexico, in introducing a blanket rejection of the industry, which is worth £22m to Canada. The Canadian government is frustrated that the British position is based on 'public morality concerns' rather than scientific evidence. The Canadian High Commissioner in London, James Wright, has written to Margaret Beckett, the Foreign Secretary, and David Miliband, the Environment Secretary, complaining that the Whitehall decision is 'unfounded and unhelpful' and urging them to approach the issue in 'an objective and constructive manner'. The UK move, however, reflects growing international outrage over the annual seal cull, which gets under way in late March, mostly around the Atlantic coast off Newfoundland and Labrador and the Gulf of St Lawrence. In the 1970s seal populations in the north Atlantic crashed. This was blamed by conservationists on over-hunting, and a European ban on importing 'whitecoat' products all but shut down the industry. Seal populations recovered; there are now an estimated 5.8 million seals, and a quota is in place for the cull. Last year 350,000 were slaughtered. This year the figure is expected to be slightly lower. But protesters say that many more seals are 'struck and lost', and so do not count towards quotas. Humane Society International, a pressure group, has argued the Canadian model is 'unsafe', and compared the seal culls to previous management failures that led to the depletion of cod and salmon. Canadian fisheries officers admit current quotas will reduce numbers but say they are committed to keeping the population above 4.1 million - the estimated 'safe' level. The European Parliament said in December it found 'no evidence' that the hunt threatened the wild seals' survival, and the World Wildlife Fund confirmed last week it does not consider the seals to be endangered. Ninety per cent of seal furs -the main reason for the hunt - are sold in Russia and China. The images of sealers using 'hakapiks' to club young seals, of blood- smeared ice and bloody carcasses, continues, however, to provoke international reaction. Sealers are particularly angry that protesters use pictures of whitecoats for publicity, even though hunting them was banned years ago. Protesters point out whitecoats are hunted immediately after they become more than 12 days old and that the seals killed are almost all under three months; they have been weaned and are independent of their mothers, but cannot swim.For these reasons, the question of whether the hunt is 'humane' is the most emotional issue for activists and sealers, who confront each other, sometimes aggressively, on the ice each spring. A report in 2001 for the International Fund for Animal Welfare estimated it was 'likely' four out of 10 seals were skinned alive. However a paper in the Canadian Veterinary Journal the following year claimed 98 per cent of seals were killed in an 'acceptably humane manner', and a Royal Commission of the Canadian government said killing methods compared favourably with other hunting. With so much conflicting evidence, European MPs have ordered another review before deciding on a ban. The sealer's story 'My name is Jean-Claude Lapierre, president of the Sealers Association on the Madeleine Islands. 'My first hunt, my father didn't want me to go because he thought I was too young. I cried so much my mum made pressure on dad and he said OK. I didn't sleep that night, I was so excited. 'The next morning we arrived on the big ice. There was lots of seals. The first thing that impressed on me was the crying of the baby seals. My father killed a whitecoat and he said: "Jean, you have to go kill that big one, the mother." 'I was so nervous but I had to go, I took my hakapik, I hit him for maybe 10, 15 minutes. I was so nervous; really, really nervous. I turned my face to dad and the rest of the crew, and they were laughing at me. After that I killed some whitecoats and I felt kind of guilty... I didn't understand really what was going on. That was how I found out I was a man and I joined the crew at 12 years old. 'I'm 66 now. I've been every year since. It's always difficult to kill animals. That hurts inside - if you think what you're doing.' SALOPARD !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Qu'est-ce qu'il essaie de nous prouver? http://observer.guardian.co.uk/uk_news/story/0,,2010512,00.html
  9. Animal

    Alors

    hihihihiihihi et après ça :11.0:
  10. C'est tellement horrible ! Et après ce long voyage infernal, ces pauvres bêtes sont martyrisées lorsqu'elles arrivent à destination
  11. Ils continuent donc à empoisonner leurs enfants! Assassins !
  12. Entre temps, les travailleurs d'Olymel viennent de rejetter la dernière offre patronale, ce qui amènera bien entendu un abattage accru de cochons du Québec en Ontario = longs transports pour ces pauvres bêtes
  13. Animal

    Alors

    Merci beaucoup ma belle hop ! Ça se fait beaucoup aux États-Unis, mais au Québec, je crois que ça n'est pas très exploité non plus. En tous les cas, je trouve que c'est une bonne façon de sensibiliser les jeunes .... Même si mes photos sont très mauvaises, je t'en montre quand-même quelques-unes pour te donner une petite idée... Ça se passait dans un grand gymnase et durant la projection ils ont fermé toutes les lumières (sauf une fluorescente)... Je crois que ma caméra n'a pas compris s'il fallait qu'elle «flash» ou pas ! On pourra peut-être quand-même en utiliser 3 ou 4 si on n'en reçoit pas de meilleures -------------------------------------------------------------------------- do, après le collage des affiches Cécil et l'étudiant qui a planifié cette conférence Marie donnant sa conférence David donnant sa conférence A+ et hop
  14. Comme ils n'ont retiré que le cochon des assiettes, je présume que tous les autres animaux habituellement mangés, continuent de faire partie de leur menu...
  15. J'ai vu ce reportage et cette journaliste avec son manteau en peau ! Bravo à cette personne qui lui a écrit pour lui ouvrir les yeux ! C'est incroyable le nombre de journalistes du Québec que j'ai vu cet hiver à la télé avec des gros cols en fourrure de renards (ou de chiens) et chapeaux de castor, etc. : Bulletins de nouvelles, météo, reportages, autant des hommes que des femmes - C'est décourageant de voir ça !
  16. Aujourd'hui, SAMEDI, 10 février 2007 YMCA - Centre-ville 1435 rue Drummond. Dans le foyer-Drummond (coté est, entre rue St. Catherine et rue de Maisoneuve) 12:00 - 17:00 ------------------------------------ Demain, DIMANCHE, 11 février 2007 Naturalanimal & Pawtisserie 4932B Sherbrooke. O. Westmount (coté sud de Sherbrooke-à l'est de Claremont) 11:30 - 16:30 ------------------------------------- SAMEDI, 17 février, 2007 Le Reveil du Maitre (ancienne Maxine Bailey) 6165 Av. Monkland Notre-Dame-de-Grâce (Monkland coin boul. Grand tel 514-369-2499) 11:00 - 16:30 ------------------------------------ SAMEDI, 24 février 2007 Global - Pitou, Minou & Compagnons 245F St-John's Road. Plaza Pointe Claire (coin Route #20 {Donegani} et Boul. St-Jean) 12:00 - 17:00 ------------------------------------- Pour plus d'informations, contactez Steri-Animal C.P. 34523, 3131 Chemin Côte Vertu St-Laurent, Qc. H4R 1Y0 Couriel: Linda lindaheimann47@hotmail.com Tel: (514) 859-9008 Steri-Animal a pour but de stériliser les chats de compagnie abandonnés et errants pour réduire la population de chats errants d'une manière humaine et efficace dans la région de Montréal. Leur site: http://members.petfinder.org/~QC10/home_fr.html
  17. Quebec a disgrace for animal abuse Ban the puppy mills In response to Art Powter’s letter to the editor Stop animal abusers (The Suburban, Jan. 31) (in response to the CBC show about Blainville and Joliette puppy mills) we would like to go one step further and state that Quebec should ban puppy/kitty mills. The facts are that in North American society, particularly Quebec, there is an overwhelming cat/dog overpopulation problem (The SPCA estimates 1.6 million stray cats live on Montreal streets) and large numbers of domestic animals are daily euthanised at pounds and at the SPCA Jean Talon/Laval and the Berger Blanc. What then is the purpose of this mass production of companion animals in puppy mills? Dogs and/or cats in puppy/kitten mills are used to procreate and endure unimaginable horrors (starvation, disease, lying in feces, squalid and cramped conditions). These animals’ sole purpose is to earn money for their cruel taskmasters, the puppy mill owners. It is unconscionable in 2007 that puppy mills are still not outlawed in Quebec and that companion animals continue to suffer for the sake of the “almighty buck.” Animal welfare groups have tried repeatedly through petitions and letter writing campaigns to get our provincial government to crack down and outlaw puppy/kitten mills, but they continue to exist and flourish in Quebec. Puppy mills have already been outlawed in Ontario. Help is desperately needed by concerned citizens. Protection is needed for the innocent and trusting domestic animals that can neither speak nor protect themselves; caring citizens can contact their Member of Parliament and/or provincial legislator and ask for the banishment of these barbaric puppy mills in Quebec once for all. Fern Collier-Pereira (PR) & Ann English, President & Linda Heimann, Vice President Steri-Animal Montreal -------------------------------------- Congratulations to Art Powter In the letter to the editor Stop animal abusers (The Suburban, Jan. 31), Art Powter is suggesting to the Liberal government how to stop the terrible abuse that animals go through in Quebec. It is pathetic when you think that someone from the public has to tell our leaders how to protect the animals. We, in rescue, have seen the incredible cruelty animals in puppy mills are subjected to. If the public would only stop buying from pet stores, this cruel breeding would stop. Anyone wanting a pet should research before they buy on impulse at a pet store. Sure, the puppy in the window is cute, but it is the poor bitch in the puppy mill who breeds constantly and never receives love, medical care or even appropriate food just to satisfy this buyer that you should care about. Most of the animals bought on impulse end up in shelters after a year or so. We beg the public to adopt an animal from a shelter, from the SPCA or, if you must buy from a breeder, research who the good breeders are. Talk to people who have bought from such a breeder. Go on a website about puppy mills and see where the pet store dogs or cats are coming from. Don’t be lazy. When you buy a car, you don’t go to the first dealer you see — you don’t buy the car because it looks beautiful. You ask many questions, you do your homework. Not that getting an animal should be compared to a car, but people should think before they buy. An animal is a lifetime commitment. The pet stores will never tell you where the animals come from. They might give you some Canadian or American Kennel Club certificate (which most of the time is false) or they will tell you they come from a breeder, but you can’t find out who the breeder is. Don’t buy from ads in papers or on the Internet that advertise a lot of breeds of dogs. They are either brokers for mills or the mills themselves or quite often what we call “backyard breeders” — not better than mills. Government, it is time you close down those illegal businesses who work under the table and make a fortune. Puppy mills were referred to as the biggest money-making venture after drugs and Quebec is the biggest culprit. If anyone starts a business, they need a license. If you penalize them, they will stop breeding. Get them where it hurts — their pockets! And, please, stop the abuse! Monic Landry Pointe Claire --------------------------------------------- Punish abusers This is a response in regards to the letter to the editor Stop animal abusers in The Suburban last week. There is no punishment harsh enough for people or organizations that abuse animals except for maybe having the offenders live the way the animals they are responsible for have to live. On a more realistic note, why not impose a tax on all dogs and cats purchased at pet stores. This tax would be above and beyond the cost of the pet and would go toward the SPCA and or animal shelters in the province to cover the cost of care for those animals that are no longer wanted. On behalf of all animal lovers, I think we should say a big thanks to all of those people who do take the time to care for the animals that no one wants. Keep up the great work. I think everyone would agree that’s its time the government stand up and do something about these crimes against animals. Christine Archambault Pointe Claire http://thesuburban.com/
  18. Animal

    Alors

    Allo ma belle Hop, La conférence s’est très bien déroulée- Je n’ai pas compté, mais il devait bien y avoir une quarantaine d’étudiants, certains accompagnés de leurs parents. Le jeune organisateur était très content et très fier de lui- Nous n’avons malheureusement pas eu beaucoup de temps pour discuter après la conférence car le concierge de l’école devait fermer les portes à 9 heures et il nous fallait tout ré-emballer : Bannières, affiches, ordinateur, projecteur, documentation, etc. etc. On commence à avoir beaucoup de « stock » à traîner ! Cécil a commencé sa conférence en faisant un exposé sur la consommation de viande, l’exploitation des animaux, la détérioration de l’environnement, etc., etc, puis ce fut le tour de Marie à parler de l’exploitation des animaux pour leur fourrure (animaux piégés dans la nature, ceux d’élevage, etc. etc.). David a ensuite parlé pendant plus d’une heure, de vivisection et des alternatives à la recherche sur des animaux. Cécil avait préparé des diapos pour les trois sujets et tout au long de la conférence, des images accompagnaient les explications. La conférence s’est terminée par un vidéo-clip montrant toutes les facettes de l’exploitation animale (Free-me) et les gens pouvaient venir ensuite à notre table d’information et se procurer des feuillets, poser des questions, etc. Bref, je crois que tous ceux qui étaient présents ont bien apprécié leur soirée. Ce fut une belle expérience que nous renouvèlerons certainement… Malheureusement, j’avais pris une bonne quinzaine de photos, mais comme l’éclairage était mauvais et que ma caméra fonctionne mal à l’intérieur s'il faut utiliser le flash, presque toutes mes photos sont nulles. Comme les étudiants ont filmé toute la conférence, j’espère qu’ils pourront nous faire parvenir quelques images que l’on pourra placer sur le site… Voilà ma belle hop ! p.s.: Même si Cécil avait le tract, je trouve que ça ne se voyait pas du tout- Elle a fait un excellent travail ! Bonne journée ma belle hop
  19. Ils disent que c'est supposé les «tranquilliser» ...
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