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[quote]Je ne crois pas que j'aurai le temps d'y jeter un coup d'oeil à tête reposée pour le moment, ma belle Do, mais à mon avis ça devrait être correct ets tu peux donc lui dire que c'est ok et on avisera par la suite si jamais on trouve quelque chose. On pourra toujours faire la correction de la traduction nous-mêmes. Mathilde m'a aussi fait parvenir hier soir une traduction de l'une de nos pages. Je te l'enverrai par Yahoo. OK Cé, comme tu dis, s'il y a des petites modifications à faire, on pourra toujours les faire plus tard... Je lui écrirai un mot bientôt pour l'en aviser... J'ai bien reçu la traduction de Mathilde. Je n'aurai peut-être pas le temps de m'occuper de la mettre sur le site avant un petit moment, car il y aura des ajustements à faire avec les boutons et qu'il va falloir que j'aille bientôt à Québec (mon père et mes soeurs commencent à s'impatienter)! Je n'y suis pas allée depuis le mois de novembre ! J'ai commencé à 8 hres ce matin les préparatifs du matériel à apporter et je viens d'arrêter à 11:00. Le plus gros est fait, il me reste à faire des coupons-réponses d'abonnement pour mettre dans les enveloppes attachées aux bulletins-promo. Ensuite il restera la préparation du matériel média; ça je devrai le faire avec mon chum, soit le transfert de mon document sur le portable. Pour le moment mon sac sur roulettes est plein. Il faudra que je transporte le matériel média à part et c'est très lourd et j'aurai donc les 2 bras encombrés. A moins que je vois si je ne peux pas faire le contraire: installer le matériel média dans le sac sur roulette et le matériel de documentation à la main. Je vais voir si ce sera mieux. Et il me reste encore à ajouter une diapo pour la partie de Marie au document et à retranscrire mon texte au propre pour l'apporter avec moi au cas où j'aurais un blanc de mémoire. Et demain j'aurai du travail de bureau à faire, alors je suis un peu à court dans le temps. Pauvre toi ! Ça n'as pas de bon sens ! Tu vas être chargée comme un beaudet! Tu devrais au moins prendre un taxi pour te rendre jusqu'au travail de Marie.. Tu n'as qu'à demander un reçu Cé et te faire rembourser par l'école ...
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Un deuxième cheval de compétition est cloné
Animal a posté un sujet dans ANIMAUX - Europe et autres continents
Le mercredi 07 février 2007 Un deuxième cheval de compétition est cloné Frédéric Happe Agence France-Presse Bourg-en-Bresse Une société française de biotechnologie, Cryozootech, a présenté dimanche à Bourg-en-Bresse le deuxième cheval de compétition cloné en France, espèrant grâce à la technologie qu'elle a développée sortir l'élevage du «cul-de-sac» que représentent les hongres (chevaux castrés). http://www.cyberpresse.ca/article/20070207/CPSCIENCES/702071143/1020/CPSCIENCES -
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Fundraising questions dog Montreal's SPCA
Animal a répondu à un(e) sujet de Animal dans Forum Administratif
Encore une autre affaire pour nuire aux organisations qui utilisent une boîte postale parce qu'elles n'ont pas les moyens de se payer un local !!!!!!!!!!!!!!! As-tu lu tous les commentaires Cé ! Chui à peu près certaine que ce sont majoritairement les mêmes fêlées qui ont écrit tous ces messages... Des vraies brasseuses de m...e !!!!!!!!!!!! -
Déclaration du Conseil canadien du porc sur la décision de Maple Leaf d'éliminer graduellement les cages de gestation Ottawa (Ontario), 31 janvier 2007 - L'entreprise Maple Leaf Foods a annoncé son intention d'éliminer progressivement d'ici 10 ans, les cages de gestation pour les truies et d'avoir plutôt recours aux systèmes de logement en groupe dans ses exploitations porcines. L'annonce fait suite à une déclaration semblable de Smithfield Foods aux Etats-Unis, la semaine dernière. Le Conseil canadien du porc reconnaît que les entreprises privées ont le droit de prendre des décisions commerciales qui répondent à leurs besoins. Les deux entreprises ont toutefois admis qu'il n'existe pas de preuve concluante sur la supériorité d'un système de logement par rapport à l'autre. Le bien-être animal est lié à de nombreux facteurs associés autant au logement, aux pratiques d'élevage et à l'environnement de la porcherie. Le logement des truies ne représente qu'un des nombreux volets du bien-être animal. En 2005, le CCP a mis en place un programme de Bien-être animal (BEA) en vue d'établir des normes minimales en matière de bien-être animal dans les fermes porcines canadiennes. Le BEA traite des aspects majeurs du bien-être animal, dont le logement des truies. Notre industrie reconnaît que certains consommateurs ont exprimé des réticences envers les systèmes actuels de logement des truies et le CCP maintient son engagement à encadrer l'évaluation de solutions de rechange aux systèmes de logement des porcs. Il sera important de bien comprendre les répercussions des divers systèmes de logement sur le bien-être animal et la gestion des exploitations. Les initiatives pour implanter de nouveaux systèmes devront être soutenues, mais uniquement si les nouvelles approches permettent d'améliorer réellement le bien-être des animaux. Site(s) extérieur(s) cité(s) dans cet article : Aliments Maple Leaf http://www.mlfi.com/ Conseil canadien du porc (CCP) http://www.canpork.ca/ Trouvé ici: http://www.lebulletin.com/informations/actualite/article.jsp?content=20070206_134422_4932
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Fundraising questions dog Montreal's SPCA
Animal a répondu à un(e) sujet de Animal dans Forum Administratif
La 4 Bégin a fait un commentaire dans ce journal: Catherine Bégin from Laval, Canada writes: We have been aware of Mr. Barnotti's extravagent taste for a while. Just google "funtazio". What is more worrisome is the fact that he used the Courts to seize animals he later had destroyed or sold elsewhere. What happened to the huskies seized in Joliette ? In Laval, his SPCA is no more than a pound contractor for the elimination of surpluses and unwanted pets. It has nothing to do with education or protection of animals. Make no mistake, Barnotti just took advantage of a corrupt situation that existed at the Montreal SPCA for the past 20 years. It would be interesting to know where the money went during all those years with a budget of $4 M a year. Certainly not to help the animals. Responsibility also lies on the employees in both shelters who knew what was going on and kept silent. All the volunteers who were fired because they saw too much and kept quiet. Members of the board who preferred to resign than fight for the animals. The Quebec media that ignored our letters and kept treating Barnotti as a protector of the animals. Shame on you, shame on Quebec for closing its eyes on animal suffering. Posted 06/02/07 at 10:48 AM EST | Alert an Editor | Link to Comment -------------------------- et voici un courriel qu'elle m'a adressé: De : "Catherine Bégin" <rapt61@hotmail.com> Afficher la fiche contact À : thomas.chauvet@gmail.com, ab@anouch-web.com Objet: Scoop!! Date : Tue, 06 Feb 2007 18:10:56 +0000 Sur TVA, émission JE vendredi 7 hrs il va y avoir une bombe qui va éclater sur la protection des animaux au Québec. Personnellement je ne sais pas c'est quoi mais ma chum est au courant et m'a simplement répondu "it's huge"...... Aussi, le Globe est accroché aux basques à Barnotti: http://www.theglobeandmail.com/servlet/story/RTGAM.20070205.whaspca0205/BNStory/National/home Lis les commentaires, on passe pour des corrompus au Québec.... Ce sera dans les médias toute la semaine qu'on me dit. Janine --------------------------------------------------------- -
Les explications sont très vagues, mais d'après ce que je comprends, le coyote est exclus des espèces qui pourront "profiter" des pièges "certifiés" conformes aux normes -------------------------------------------------------- À partir de l’automne 2007, pour certaines espèces et certains types de pièges, seuls les pièges « certifiés » conformes aux normes pourront être utilisés (voir Types de pièges certifiés obligatoires à l'automne 2007). Après l’automne 2007, pour certaines autres espèces et certains types de pièges, l’utilisation de pièges « certifiés » conformes aux normes deviendra aussi obligatoire. L’année d’entrée en vigueur dans ces cas n’est pas encore connue mais le sera au moins trois ans d’avance. http://www.fapaq.gouv.qc.ca/fr/faune/reg_tar/piegeage.htm http://www.mrnf.gouv.qc.ca/faune/piegeage/liste2.jsp ---------------------------------------------------- Types de pièges certifiés non obligatoires à l'automne 2007 (Liste 2) http://www.mrnf.gouv.qc.ca/faune/piegeage/liste2.jsp
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6 fév. 2007 Watson fined $3,000 for seal hunt violation http://www.cbc.ca/canada/prince-edward-island/story/2007/02/05/watson-fine.html The leader of a group opposed to the seal hunt was sentenced Monday in a Charlottetown court for being too close to the hunt. Paul Watson, the leader of the Sea Shepherd Conservation Society, was charged in March 2005 after an incident on the ice floes of the Gulf of St. Lawrence. He didn't have an observation permit from the federal Department of Fisheries and Oceans. In addition to the $3,000 fine, Watson was ordered to stay away from the seal hunt for the next two years. He plans to appeal his conviction. Eleven other members of the Sea Shepherd Conservaton Society were fined $1,000 each for the same incident.
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Fundraising questions dog Montreal's SPCA February 6, 2007 TU THANH HA Globe and Mail Update MONTREAL — An 87-year-old woman gave $2,000. Another woman was 97 when she gave $1,200. In recent years, tens of thousands of Canadians outside Quebec have donated at least $1.6-million to an animal- welfare group that operates solely in the Montreal area. Many now say they were misled because, in its nationwide fundraising, Montreal's SPCA uses the name Canadian Society for the Prevention of Cruelty to Animals, under which it is incorporated. Pierre Barnoti, the society's executive-director, defends the practice. “That's our name,” he said in an interview. “We cannot change it today.” However, his French-language fundraising does not use the society's legal name. What's more, Mr. Barnoti is a controversial figure who has drawn criticism in the past on issues ranging from his pay package to his association with a bull-fighting event. He denies that he receives a cut of SPCA fundraising, although one of his past contracts said that he was supposed to get 10 to 15 per cent of the society's profits. Although he declared bankruptcy before he worked for the SPCA, he is now the majority shareholder of a $1.7-million shopping mall in St- Joseph-de-Beauce south of Quebec City. And Mr. Barnoti gave changing explanations when asked whether the SPCA paid for a trip he took to South America in 2004. But it is the ad campaign that has drawn the most heat. According to its internal fundraising documents, between 2001 and 2003 the Montreal SPCA collected $1.6-million from more than 34,000 donors outside Quebec. The Globe and Mail tracked down 18 people or families outside Montreal who had given money. In 15 of 18 cases, people said they were not initially aware that they or their relatives had pledged money to a Montreal-only operation. Six of those cases involved elderly donors. “Oh, my golly,” said Paul McKnight of London, Ont., when asked about his 87-year-old mother's $2,000 donation. “That's terrible.” Another Ontario man, who asked that his name not be published, said his mother was 97 when she gave $1,200. Both men said neither they nor their mothers knew that the Canadian SPCA was a Montreal society. “I did think it was a national organization,” said Doris Scott, a nurse in Fredericton, N.B., who gave $654. “I was given the impression that it was going all over Canada,” said Ana Sutendra, who pledged $60. She was one of 24 residents of Yellowknife, NWT, who donated up to $150 each. Similarly, 62 people in Yukon gave to the Montreal SPCA. “What? You're joking!” said Leah Bjork of Whitehorse, when told her $220 donation hadn't gone to a national group. “Well, that's the last nickel they'll get from me ..... You only have so much money.” Even within Quebec, some were under the same mistaken impression. “I thought at least it'd be Quebec-wide,” said Pierre Bellefleur, a civil servant in Stoneham, Que., who gave $400. Several of the donors were elderly people. Inge McGarry, a 77-year- old living in West Vancouver, donated $800. Eleanor Kennedy, 77, of Mansfield, Ont., gave $630. Neither realized their money's actual destination. Another man said he wasn't certain how much his mother gave and whether she knew it was for a Montreal-only group. The woman is 85 and in a nursing home. If money was mistakenly donated to his society, it was for a good cause, Mr. Barnoti said in an interview. “If I knew that my mother had donated to a cause where people have misled her or given her false information, I would be devastated. “On the other hand, if my mother, who's 91, donated to a good cause but isn't sure where this cause is, as long as I knew that the money went to the right place and served the right mission, I'd be perfectly happy.” He said there is nothing misleading about his Canada-wide mailing campaigns, which have triggered complaints from SPCAs in British Columbia, Alberta, Saskatchewan, Nova Scotia and Quebec. Mr. Barnoti says he is only using the society's official incorporation name. “You don't change the name of a humane society that's been there for 137 years,” he said. However, in letters sent out in French, the society doesn't use its official name, removing the reference to Canada. Asked about the discrepancy, Mr. Barnoti at first said that the society's French-language name does not have the word “Canadian” in it. He acknowledged that it did when corrected by a reporter. Neither English nor French fundraising letters explicitly say that the society isn't a national organization. In addition, donors are invited to mail their cheques to a local postal box in their province rather than the Montreal address. Mr. Barnoti notes that at the bottom of the letters is the line, “Proudly serving the animals of Quebec since 1869.” But Diane Shannon, a spokeswoman for the Edmonton Humane Society, isn't impressed. “It is more like a P.S. footer message at the bottom of a very lengthy body of text,” she said. Even Quebec humane societies have complained. “Their whole fundraising strategy,” said Serge Marquis, director of the Trois- Rivières society, “is based on confusion.” It is also based on volume: Filings with the Canada Revenue Agency show that, in 2004, the Montreal SPCA spent $2.2-million on promotion; by comparison, the Toronto Humane Society spent less than $221,000 the same year. According to internal bookkeeping documents, the Montreal SPCA spends millions on its mailing campaign. In 2004 it paid $1.7 million to a Boston direct-mail company, Vantage Direct Marketing Services, and $1.6 million in 2005. The Montreal society spends more on travel, too: $85,266 in 2006, compared to $11,410 for the Toronto organization. In July of 2004, the Montreal SPCA paid for Mr. Barnoti and a veterinarian, Ronald Beaulieu, to go on an 11-day trip to meet vet students whom the SPCA sponsored to sterilize dogs in Argentina. “It was all business,” Mr. Barnoti said of the trip. In fact, the two men spent only five of the 11 days with the students, according to internal e-mails obtained by The Globe. Mr. Barnoti then acknowledged that during the trip he also went to the famous Iguaçú Falls, at the Argentina-Brazil border. He said he kept those expenses separate by booking a rental car on his own. It would have been a memorable trip: Mr. Barnoti would have had to drive 1,336 kilometres, a distance local buses cover in 14 to 19 hours. But according to a May 21, 2004, e-mail, a travel agent booked Mr. Barnoti and Dr. Beaulieu on a flight from Buenos Aires to Sao Paulo in Brazil, from which they flew to the falls. On being shown the e-mail, Mr. Barnoti said, “Yeah, you're right. I flew to Iguaçú. I remember.” He could not say how he knew how much to reimburse the SPCA. The booking was made along with the flights that took the two from Montreal to South America and back; there was no breakdown for the flights, which cost $4,104 in total. “I gave the SPCA a cheque of $1,000,” he eventually said, adding that he would provide documents to back it up. However, contacted a week later, Mr. Barnoti said $1,159 had been deducted from one of his paycheques. He said the society's comptroller, Lorraine Lamarre, would confirm it. But Ms. Lamarre and Howard Sholzberg, treasurer of the SPCA board of directors, said Mr. Barnoti's pay slips were confidential and would not be made public. The veterinarian, Dr. Beaulieu, said in an interview that his plane tickets were paid by the SPCA, including the Brazilian flights. Mr. Barnoti has been part of past controversies. In 1999, the Montreal SPCA got involved with the organizers of La Feria, a Portuguese-style corrida that was to be held at the Olympic Stadium and where bulls are featured but not killed. Mr. Barnoti said the SPCA could not stop the event so, after being approached by the corrida organizers, the society agreed to collaborate with them to ensure that the bulls would be treated better and would be retired afterward to a local farm. The SPCA was to receive 25 cents for each ticket sold which Mr. Barnoti said would cover the bulls' resettlement. Other animal groups, however, criticized the proposal. The scheme was cancelled in the ensuing uproar. There is no question that Mr. Barnoti's financial fortunes have improved dramatically since he began working at the Montreal SPCA in 1994. He had been a real-estate agent who, in 1994, declared bankruptcy with a Rolls-Royce worth $2,500 as his only asset. Today, he is the majority shareholder of Carrefour Saint-Joseph, a shopping mall with a $1.7-million property-tax evaluation. Asked about how he came to have a stake in the mall, he said he was only a shareholder. “I haven't been hiding the fact that I am the co- owner of a share in a shopping centre.” He won't disclose his exact salary, but Revenue Canada filings show that the Montreal SPCA pays him at least $120,000 a year. The society also leases Mr. Barnoti's Nissan Murano SUV. He said he gets an allowance and pays the remainder of the cost. Mr. Barnoti denies he ever got a percentage of the money raised for the Montreal SPCA. While his 1995-97 contract says he can keep 10 to 15 per cent of the fundraising profits, he says that was never implemented. A Montreal Gazette article said Mr. Barnoti confirmed at a 1997 SPCA annual assembly that, in 1996, he kept $25,000 of the funds raised and $14,000 the year before. In news reports from that time, he did not deny receiving a percentage of revenues. He was quoted as saying that it was a good deal because his salary was low. And what is Mr. Barnoti's opinion of the Gazette article now? “Absolutely false,” he said. __________________________________ Global Action Network 372 Ste. Ctherine W. suite 308 Montreal, QC H3B 1A2
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Mise à jour le lundi 5 février 2007 Chasse au phoque La vision des journalistes européens a changé Le Canada accueille des journalistes européens Les journalistes européens lors de leur passage à Terre-Neuve Les journalistes européens ne regarderont plus la chasse au phoque de la même manière. Invités par Pêches et Océans Canada et le ministère des Affaires étrangères à rencontrer des chasseurs de phoques des Îles, ils admettent en avoir appris beaucoup sur le sujet. Leur seul regret est de ne pas avoir assisté à la chasse sur la banquise. Les journalistes étaient heureux de rencontrer des chasseurs de phoques. Juliette Jowitt, du journal de Londres The Observer, a compris que la chasse au phoque n'est pas qu'une activité économique. « La passion que les gens ont pour la chasse, c'est une passion économique oui, mais c'est une tradition, c'est une culture, c'est tout ça aussi », explique-t-elle. Julio Rivas de l'Agence EFE de Madrid a réalisé que les chasseurs ont été vexés par tout ce qui a été dit à leur sujet par les animalistes et les médias européens. Pour sa part, Michael Miersh de Berlin a vu la banquise et dit comprendre maintenant que le métier de chasseur de phoques est dangereux. Ces journalistes affirment être objectifs au sujet de la chasse au phoque. Ils ont apprécié les exposés scientifiques sur la viabilité du troupeau de phoques. Les journalistes publieront des articles sur la chasse au phoque au cours des prochaines semaines. Entre-temps, selon ce qu'a appris Radio-Canada, le ministère des Affaires étrangères et Pêches et Océans Canada se préparent à envoyer des délégations canadiennes, incluant des chasseurs, en Europe pour tenir des conférences de presse sur la chasse au phoque. http://www.radio-canada.ca/nouvelles/regional/modele.asp?page=/regions/est-quebec/2007/02/05/005-chasse-phoques.asp
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Le mardi 06 février 2007 Les cuisines du pénitencier de Donnaconna brillent comme un sou neuf. Chacune des communautés religieuses y a ses plats préparés conformément à ses croyances. Photo Julie Gauthier, collaboration spéciale Se convertir pour mieux manger Émilie Dubreuil La Presse Collaboration spéciale Soucieux de respecter les libertés religieuses des détenus, le Service correctionnel du Canada accorde aux prisonniers le droit de manger conformément à leurs croyances religieuses. Les détenus musulmans peuvent cuisiner eux-mêmes leurs aliments; les prisonniers juifs ont droit à des repas préparés par un traiteur casher; les bouddhistes ont accès à une cuisine végétarienne ou semi-végétarienne; alors que les catholiques et les athées n'ont aucune prérogative sur leur alimentation. Résultat : en prison, où la moindre «liberté» vaut son pesant d'or, le droit de manger différemment a attiré vers Dieu de nombreux criminels soucieux d'améliorer leur sort. Depuis quelques années, ce phénomène de «conversion» a pris une telle ampleur au pays qu'il a forcé les autorités de certains pénitenciers à prendre des mesures pour endiguer cette soudaine ferveur religieuse. C'est le cas de la prison de Donnaconna, dans la région de Québec, où le quart des prisonniers revendique aujourd'hui un «régime religieux». suite... http://www.cyberpresse.ca/article/20070206/CPACTUEL/702060532/1015/CPACTUEL
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Le mardi 06 février 2007 Des animaux maltraités secourus en Montérégie Presse Canadienne Saint-Hyacinthe Des animaux maltraités ont été récupérés lundi soir par la police et la SPCA Montérégie sur une propriété de la région de Saint-Hyacinthe. À la suite de plaintes, des policiers de la Sûreté du Québec se sont rendus sur cette propriété située dans le rang Salvail dans le secteur La Présentation. Ils ont notamment pu constater la présence de 18 chiens, d'un cheval et d'un poney qui étaient laissés sans abri, sans eau, avec peu de nourriture. Les animaux ont été récupérés et emmenés dans un refuge à Sainte-Angèle-de-Monnoir. Une enquête pour cruauté envers les animaux est en cours et il est encore trop tôt pour dire s'il y aura matière à poursuite. http://www.cyberpresse.ca/article/20070206/CPACTUALITES/70206027/1019/CPACTUALITES
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