-
Compteur de contenus
14 605 -
Inscription
-
Dernière visite
Type de contenu
Forums
Blogs
Boutique
Calendrier
Téléchargements
Galerie
Articles animaux
Sites
Annuaire animalier
Petites annonces
Tout ce qui a été posté par Animal
-
On dirait presque les symptômes d'un pneumothorax. Es-tu essoufflée si tu fais des efforts ? J'espère bien que non ! Oui je suis essouflée Cé, mais c'est peut-être aussi parce que ça m'angoisse et que ça me fait faire de l'hyperventilation ! Je me demande si ce n'est pas la physiothérapeute qui m'a «écrapouti» quelque chose en manipulant mon cou, mes côtes, trapèzes, etc. etc. Il y a quelques semaines elle a tellement appuyé sur mes côtes (en bas de mon cou) que j'ai cru pendant un moment que j'allais étouffé ! Elle n'a pas trop l'air à savoir ce qu'elle fait. Elle parle sans arrêt (de choses inintéressantes- sa p'tite vie) et ne se concentre pas sur son travail. Je commence à avoir des doutes sur ses techniques... On arrive de chez B en G. Ils ouvraient powerpoint. Les photocopies sont bien sorties. Je n'en ai fait faire que 10. Par contre elles sont sur l'horizontale au lieu de la verticale. Landscape au lieu de Portrait ou le contraire. Mais c'est un détail car c'est quand même très bien ainsi. Ah c'est une super bonne nouvelle Cé !
-
300 millions de grenouilles tuées chaque année
Animal a répondu à un(e) sujet de hop dans ANIMAUX - Europe et autres continents
-
La Sea Shepherd C.S. en campagne
Animal a répondu à un(e) sujet de hop dans ANIMAUX - Europe et autres continents
-
OK ma belle Cé ! J'essaierai de mettre la page en ligne cette semaine. S'il y a d'autres corrections à faire, je les ferai directement sur le site. Demain je devais aller en physio mais j'ai annulé mon rendez-vous car j'ai décidé d'aller voir mon doc pour un problème de douleur au creu du dos (comme si j'avais les poumons qui s'affaissaient, surtout lorsque je suis couchée sur le dos) ainsi qu'une sensation d'avoir un "motton" dans le creu de l'estomac. Comme je n'avais pas de rendez-vous, j'ai demandé à sa secrétaire s'il pouvait me rappeler et il l'a fait vers l'heure du souper. Il me passera avant tous ses patients, demain matin de bonne heure. C'est sympa de sa part. Cela fait plusieurs semaines que j'ai ce mal, en fait depuis ma dernière grosse grippe. Comme disait maman, j'ai toujours un pet de travers !
-
Crois-tu que ce paragraphe résumerait assez bien ce mêli-mêlo ? Le 19 janvier 2005, le ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation du Québec (MAPAQ) a finalement annoncé l'entrée en vigueur du règlement qui permet l'inspection des lieux de garde, d'élevage et de vente de chiens et de chats. Ce mandat a été confié à ANIMA-Québec en décembre 2004. Ainsi, la section portant sur la sécurité et le bien-être animal de la Loi sur la protection sanitaire des animaux est désormais en vigueur. Cependant, ANIMA-Québec ne dispose que de trois (3) inspecteurs pour patrouiller toute la province. D'autre part, dans les cas extrêmes de cruauté animale, le Code criminel (articles 444 à 447) s'applique, mais malheureusement, plusieurs des dispositions du Code criminel datent du 19ième siècle et considèrent toujours l'animal comme un objet inerte, ce que déplorent la Fédération canadienne des sociétés d’assistance aux animaux et ses sociétés-membres ( SPCA, SPA, etc.). Selon le Code criminel, seuls les cas pris en flagrant délit et les cas les plus extrêmes de cruauté et de négligence sont considérés. Ainsi, pour obtenir un mandat de perquisition, émis uniquement par un juge, les inspecteurs d'une SPA doivent avoir des preuves formelles et visuelles d'une situation de négligence ou de cruauté. Ils doivent d'abord obtenir une déposition de plainte signée par le témoin qui fait appel à leurs services. Une simple plainte anonyme venant d'un citoyen qui suspecte que des animaux sont victimes de négligence ou de cruauté est insuffisante.
-
Je pense que c'est vraiment beaucoup plus cher à partir de Dorval. Oupsss c'est vrai Cé ! J'avais calculé de Montréal... Par contre, ce serait une bonne idée à partir de Lionel-Groulx. Je pourrais aussi y attendre Marie si elle a terminé son travail et on prendrait le taxi ensemble. J'espère qu'elle termine avant 5 hres car l'idéal serait qu'on arrive à l'école vers 5 hres 30 ou sinon 5 hres 45. Pour le retour, je viens tout juste de savoir de David qu'il va prendre son auto, alors, il pourra nous laisser toutes les deux à Lionel-Groulx. (Je ne lui ai pas encore demandé mais c'est certain qu'il le fera.) Ensuite, il ne me restera que l'autobus et mon chum pourra venir me chercher à l'arrêt du rond-point ou sinon le pire sera fait et il ne me restera qu'à prendre alors mon autre autobus qui me dépose à 2 pas de la maison. Ça serait super ça ! Citation: Lois des cités, villes et municipalités : divers règlements découlant de la Loi sur les cités et villes (L.R.Q., c. C-19) et du Code municipal du Québec (L.R.Q., c. C-27.1). À propement parler, ces règlements ne traitent pas directement du bien-être, mais ils concernent des éléments qui peuvent y contribuer. http://www.animaquebec.com/index.php?option=com_content&task=view&id=53&Itemid=6 Comment peut-on s'y retrouver avec toutes ces +_)$")$(*" lois ? C'est un gros problème dans certains cas lorsque les municipalités n'autorisent qu'un seul chien ou encore lorsqu'elles n'autorisent pas les chats en liberté. (Je crois que le mieux est de ne pas faire mention de ces lois municipales)... C'est déjà assez compliqué avec les deux autres: (provincial et fédéral)... Si les gens veulent avoir plus d'infos, ils n'auront qu'à se renseigner à Anima Québec (je ferai d'ailleurs un lien cliquable pour se rendre à leur site)....
-
Crois-tu que ce paragraphe résume assez bien ce mêli-mêlo ? Le 19 janvier 2005, le ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation du Québec (MAPAQ) a finalement annoncé l'entrée en vigueur du règlement qui permet l'inspection des lieux de garde, d'élevage et de vente de chiens et de chats. Ce mandat a été confié à ANIMA-Québec en décembre 2004. Ainsi, la section portant sur la sécurité et le bien-être animal de la Loi sur la protection sanitaire des animaux est désormais en vigueur. Cependant, ANIMA-Québec ne dispose que de trois (3) inspecteurs pour patrouiller toute la province. D'autre part, dans les cas extrêmes de cruauté animale, le Code criminel (articles 444 à 447) s'applique, mais malheureusement, plusieurs des dispositions du Code criminel datent du 19ième siècle et considèrent toujours l'animal comme un objet inerte, ce que déplorent la Fédération canadienne des sociétés d’assistance aux animaux et ses sociétés-membres ( SPCA, SPA, etc.). Selon le Code criminel, seuls les cas pris en flagrant délit et les cas les plus extrêmes de cruauté et de négligence sont considérés. Ainsi, pour obtenir un mandat de perquisition, émis uniquement par un juge, les inspecteurs d'une SPA doivent avoir des preuves formelles et visuelles d'une situation de négligence ou de cruauté. Ils doivent d'abord obtenir une déposition de plainte signée par le témoin qui fait appel à leurs services. Une simple plainte anonyme venant d'un citoyen qui suspecte que des animaux sont victimes de négligence ou de cruauté est insuffisante.
-
2) Législation provinciale La Loi sur la protection sanitaire des animaux (L.R.Q., c.P-42) La Loi sur la protection sanitaire des animaux regroupe différents aspects concernant la santé des animaux. Certains règlements sont pris en vertu de cette loi pour, entre autres, préciser les espèces visées par un article ou une section. C'est le cas, par exemple, du Règlement sur la désignation des espèces ou catégories d'animaux désignés pour l'application de la section IV.1.1 de la Loi sur la protection sanitaire des animaux qui désigne les chats et les chiens. Le contenu La Loi sur la protection sanitaire des animaux (P-42) est divisée en cinq sections. Parmi les articles qui concernent davantage ANIMA-Québec, nous retrouvons : Section IV.1.1 De la sécurité et du bien-être des animaux La section IV.1.1 de P-42 définit le cadre légal protégeant la sécurité et le bien-être des animaux. Article 55.9.1 : cet article mentionne que les espèces ou catégories visées par la section peuvent être désignées par règlement du gouvernement. Ce règlement désigne les chats et les chiens. L’article 55.9.2 constitue le cœur de cette section et mérite d’être reproduit intégralement : 55.9.2. Le propriétaire ou le gardien d'un animal doit s'assurer que la sécurité et le bien-être de l'animal ne soit pas compromis. La sécurité et le bien-être d'un animal est compromis lorsqu'il: 1° n'a pas accès à de l'eau potable ou à de la nourriture en quantité et en qualité compatibles avec les impératifs biologiques de son espèce; 2° n'est pas gardé dans un habitat convenable et salubre, ou n'est pas convenablement transporté dans un véhicule approprié; 3° est blessé ou malade et ne reçoit pas les soins de santé requis par son état; 4° est soumis à des abus ou des mauvais traitements qui peuvent affecter sa santé 5° sous réserve des paragraphes précédents, est gardé ou transporté en contravention aux normes réglementaires prises en application de l'article 55.9.14.1 * * Cet article permet au gouvernement de fixer des normes relatives la garde et au transport des animaux Un autre article important est l’article 55.9.3, qui vient renforcer les éléments de l’article 55.9.2 pour les propriétaires et gardien d’animaux gardés dans un but de vente ou d’élevage en insistant plus spécifiquement sur la propreté, l’aménagement des lieux et l’utilisation des installations. Dans le cas d'une infraction criminelle, le ministère public doit établir un élément morale, à savoir, que l'accusé qui a commis l'acte prohibé l'a fait intentionnellement ou sans se soucier des conséquences, en étant conscient des faits constituant l'infraction ou en refusant volontairement de les envisager. L'élément moral exigé pour qu'il y ait condamnation exclut la simple négligence. Dans une poursuite criminelle, est innocent, aux yeux de la loi, la personne qui néglige de demander les renseignements dont s'enquerrait quelqu'un de raisonnable et de prudent ou qui ne connaît pas les faits qu'elles devrait connaître. Contrairement aux infractions de cruauté envers les animaux prévues au Code criminel, les infractions prévues à la section IV.1.1 de la Loi sur la protection sanitaire des animaux, sont des infractions de responsabilité stricte. Cette catégorie d'infraction prévoit un renversement de la charge de la preuve après que la poursuite ait établi l'existence de l'acte illégal. Le défendeur est alors autorisé à se disculper en prouvant, selon la prépondérance des probabilités, qu'il n'a pas été négligent ou qu'il a agi de bonne foi à la suite d'une erreur raisonnable de fait. Ainsi, les infractions prévues à la section IV.1.1 constituent un fardeau moins lourd pour la poursuite qui n'aura pas à faire la preuve de l'intention. L'application de cette section permettra notamment d'éviter que de nombreux contrevenants échappent à la condamnation. Ces commentaires ne constituent qu'un aperçu des distinctions entre les infractions prévues au Code criminel et les infractions prévues à la section IV.1.1 de la Loi sur la protection sanitaire des animaux et non un avis complet sur le sujet. La section IV.1.1 ne s’applique pas aux activités d’agriculture, d’enseignement ou de recherche scientifique pourvu que ces activités soient pratiquées selon les règles généralement reconnues. Par ailleurs, la sécurité et le bien-être des animaux régis par la Loi sur la conservation et la mise en valeur de la faune (L.R.Q., c. C-61.1) sont couverts par celle-ci sauf dans le cas de cruauté où c'est le Code criminel qui s'applique comme dans tous les cas de cruauté faite aux animaux. Selon les circonstances, la personne gardant des animaux pour la vente ou l’élevage qui est trouvée coupable de n’avoir pas respecté 55.9.2 ou 55.9.3 est passible d'une amende de 400 $ à 1 200 $. En cas de récidive, l'amende peut être de 1200 $ jusqu'à 3600$. De plus, s'il contrevient à 55.9.6, le propriétaire ou gardien des animaux est passible d'une amende de 1 600 $ à 5 000 $ ou de 3 200 $ à 15 000 $ en cas de récidive. Le propriétaire ou gardien peut se voir interdire de dét enir des a nimaux pendant une période allant jusqu'à deux ans. L’inspection en vertu la section IV.1.1 de la Loi sur la protection sanitaire des animaux Le personnel d’inspection d’ANIMA-Québec a été désigné par la ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec pour appliquer les dispositions de la section IV.1.1 de P-42. Les pouvoirs ainsi conférés leur permettent de répondre aux plaintes, mais également de réaliser des inspections de routine si elles sont effectuées durant les heures raisonnables, et ce sans qu’un mandat de perquisition soit généralement nécessaire. Dans le cadre de leur mandat, le personnel d’inspection peut notamment pénétrer dans les lieux, faire l’inspection d’un véhicule, d’un animal, d’un produit ou d’un équipement, ouvrir au besoin des contenants, prendre des photographies, exiger la communication de tout livre, compte, registre, dossier ou document. Le propriétaire ou le responsable doit prêter assistance au personnel d’inspection dans le cadre de son mandat. Il est interdit d’entraver le travail du personnel d’inspection. Lorsque les circonstances l’exigent, le personnel d’inspection peut également saisir, confisquer ou même faire euthanasier les animaux. Des pénalités peuvent s’appliquer s’il y a entrave au travail du personnel d’inspection. http://www.animaquebec.com/index.php?option=com_content&task=view&id=16&Itemid=6 ------------------------------------------------- Lois des cités, villes et municipalités : divers règlements découlant de la Loi sur les cités et villes (L.R.Q., c. C-19) et du Code municipal du Québec (L.R.Q., c. C-27.1). À propement parler, ces règlements ne traitent pas directement du bien-être, mais ils concernent des éléments qui peuvent y contribuer. http://www.animaquebec.com/index.php?option=com_content&task=view&id=53&Itemid=6 Comment peut-on s'y retrouver avec toutes ces +_)$")$(*" lois ?
-
Qu'il est difficile de protéger nos amies les bêtes! Hélène Buzzetti Édition du jeudi 04 janvier 2007 Sénateur Bryden, projet de loi S-213, cruauté envers les animaux, Justice, Canada (Pays) Nouvelle tentative pour sévir davantage contre les responsables de la cruauté envers les animaux Photo: Agence Reuters Ottawa -- La sixième sera-t-elle la bonne? Ainsi pourrait se résumer l'interminable saga législative de la loi fédérale punissant la cruauté envers les animaux. Cette fois, c'est le Sénat, celui-là même qui a bloqué toutes les initiatives gouvernementales précédentes, qui revient à la charge pour sévir plus fermement contre les auteurs de ces violences envers les animaux. Le sénateur libéral John Bryden a déposé le projet de loi S-213 durcissant les peines pour les personnes reconnues coupables de mauvais traitements. Le sénateur Bryden est pourtant un de ceux qui, à la Chambre haute, s'était opposé avec virulence aux initiatives précédentes de son parti en la matière. C'est que depuis décembre 1999 seulement, pas moins de cinq projets de loi (à peu près identiques) ont été déposés par le gouvernement libéral pour modifier les dispositions du Code criminel relatives à la cruauté envers les animaux. Chaque fois, le projet de loi est soit mort au feuilleton, soit a été bloqué au Sénat. La raison fournie par le Sénat? «Il n'est tout simplement pas nécessaire de modifier ces dispositions de fond afin de pouvoir engager des poursuites à l'égard des actes effroyables que nous trouvons tous si horribles», expliquait le sénateur Bryden dans un discours livré en mai dernier lors du débat sur son projet de loi. Selon le sénateur, le Code criminel dans sa forme actuelle contient déjà une multitude d'interdictions quant aux traitements cruels envers les animaux. Le problème réside plutôt dans les peines y étant rattachées, jugées trop clémentes et non dissuasives. «Toutes les enquêtes que moi et d'autres avons menées nous ont permis de conclure que les infractions prévues dans le Code criminel permettaient toujours de porter des accusations contre les contrevenants. Le problème, c'est que leurs infractions n'étaient pas prises au sérieux. Un propriétaire d'usine à chiots était inculpé, payait l'amende de 200 $ et retournait à ses affaires. Par conséquent, les procureurs, les agents d'application de la loi et même les juges baissent les bras. C'est pour ça que ça ne marche pas.» Deux points de vue Deux factions s'affrontent dans ce débat. Il y a ceux, instigateurs des projets de loi gouvernementaux, qui veulent moderniser les dispositions du Code criminel relatives au traitement des animaux. Plusieurs de ces dispositions datent du XIXe siècle, ce qui explique que l'animal soit considéré comme le bien de son propriétaire au même titre qu'un objet inerte. Les législateurs veulent créer une section distincte où les crimes envers les animaux seraient considérés différemment. On estime dans ce groupe, contrairement au sénateur Bryden, que le Code criminel est incomplet et ne permet pas de punir tous les cas de négligence. L'autre faction, dans laquelle on retrouve aussi certains lobbies industriels et religieux, craint que l'instauration d'une telle loi ne rende illégales certaines pratiques. Remettre un poisson à l'eau après l'avoir hameçonné serait-il considéré comme infliger une «souffrance inutile»? Être incapable de retrouver le lièvre qu'on a blessé mais non tué serait-il illégal? Égorger un animal avant de le manger en guise de rituel religieux passerait-il le test de la nouvelle loi? Une mère qui oublierait de nourrir le poisson rouge de son fils parti en colonie de vacances serait-elle poursuivie, comme certains l'ont affirmé? «C'est tout à fait ridicule», vocifère au téléphone Anne McLellan qui, à titre de ministre de la Justice, avait présenté sans succès les deux premiers projets de loi sur la question, en 1999 et 2001. Elle assure que rien de ce qui est aujourd'hui permis ne deviendrait illégal. «Pour que des accusations soient portées, il doit y avoir enquête, rappelle l'ex-procureure générale. La police fait preuve de bon sens, les procureurs font preuve de bon sens et les juges font preuve de bon sens. Alors je n'ai pas de temps à perdre avec ce genre d'idioties!» Tanya O'Callaghan, porte-parole de la Fédération des sociétés canadiennes d'assistance aux animaux (les fameux SPCA), reconnaît que ces craintes ont été alimentées par certains groupes animalistes «plus extrêmes». «Ils ont dit à leurs bailleurs de fonds, par exemple, qu'ils utiliseraient la loi pour poursuivre l'industrie, les chasseurs, les pêcheurs, les fermiers, et que c'était le début de la libération des animaux au Canada. La réalité, c'est que ces groupes n'auront pas le pouvoir de poursuivre au criminel! C'est le pouvoir de la police.» N'en reste pas moins que le sénateur Bryden n'a jamais été rassuré par ces garanties orales. Et c'est pour cela qu'il revient à la charge avec un projet de loi privé au Sénat, qui ne fait qu'accroître les peines pour les crimes envers les animaux déjà reconnus dans le Code criminel. Les amendes maximales passeraient de 2000 $ à 10 000 $ et les peines de prison, de six à 18 mois. Les groupes de protection des animaux ne pensent pas que les choses soient si simples. Selon eux, le Code criminel n'est pas complet. Mme O'Callaghan rappelle ce cas d'un éleveur de Saskatchewan qui avait laissé mourir de faim ses dizaines de moutons il y a quelques années. Il a été acquitté parce que la Couronne n'a jamais pu démontrer que la négligence était «volontaire» comme l'exige le Code criminel. «C'est extrêmement difficile de prouver que quelqu'un avait l'intention au départ de négliger son animal», explique Mme O'Callaghan. «La nouvelle définition considérerait comme négligence un traitement nettement différent de ce qu'une personne normale aurait fait dans une situation similaire.» L'appui du gouvernement Le gouvernement conservateur a fait savoir qu'il appuierait ce projet de loi plutôt que de soumettre une nouvelle version des projets de loi libéraux antérieurs. «S-213 est une approche que nous pourrions appuyer, a fait savoir le porte-parole du ministre de la Justice, Mike Storeshaw. Nous pensons que les peines existantes sont trop légères et S-213 est une bonne façon d'y remédier.» Les groupes de protection des animaux n'appuient pas le sénateur dans sa démarche et ne se réjouissent pas du fait que, au moins, les peines deviennent plus sévères. «Il y a des gens qui appuient le projet de loi parce que ça semble une façon facile de faire quelque chose dans un dossier qui traîne depuis tellement longtemps», croit Tanya O'Callaghan. Mais ce faisant, craint-elle, cela enlèvera l'urgence d'agir. «C'est dommage que les gens soient prêts à laisser tomber huit années de travaux parlementaires pour un projet de loi qui n'a pas la même portée. C'est comme un coup de peinture sur une maison qui a un problème de fondation.» En outre, les projets de loi précédents auraient permis d'interdire à vie la possession d'un animal à toute personne trouvée coupable de cruauté envers les animaux. Et les personnes trouvées coupables de cruauté seraient considérées différemment que si elles avaient vandalisé la maison du voisin, ce que ne fait pas le projet de loi S-213. Mme McLellan, tout comme Tanya O'Callaghan, rappellent que des études américaines ont établi un lien entre la cruauté envers les animaux et des comportements violents à l'âge adulte. L'ex-ministre rappelle un cas récent de deux jeunes qui avaient attaché un chien derrière leur véhicule et avait roulé jusqu'à ce que l'animal meure. «On doit s'inquiéter quand quelqu'un inflige ce genre de douleur insensée à une créature vivante. On doit vraiment s'inquiéter de ce qui se passe dans la tête de ces gens-là, non seulement pour ce qu'ils pourraient faire à un autre animal, mais aussi à un être humain.» http://www.ledevoir.com/2007/01/04/126339.html ----------------------------------------- Législation fédérale Le Code criminel (L.R.C. 1985, c h.C-46) Le Code criminel traite essentiellement des cas graves d’atteinte au bien-être animal. On parle alors plutôt de cruauté animale. Le Code criminel vise tous les animaux, y compris les animaux de compagnie. En résumé, les articles pertinents du Code criminel interdisent notamment de tuer, mutiler, empoisonner ou estropier volontairement des animaux, de causer volontairement à un animal ou un oiseau une douleur, souffrance ou blessure, sans nécessité, de l’abandonner en détresse ou volontairement le négliger ou omettre de lui fournir les aliments, l’eau, l’abri et les soins convenables et suffisants. Le combat ou le harcèlement d’animaux sont interdits. D’autres interdictions existent. Selon les circonstances, la personne trouvée coupable en vertu du Code criminel est passible d’un maximum de six mois de prison et peut se voir interdire de posséder des animaux pour une période allant jusqu’à 2 ans. Elle peut également se voir imposer une amende pouvant aller jusqu'à 2 000 $. Il est à noter que les articles du Code criminel traitant de la cruauté envers les animaux font l’objet d’un projet de modifications de loi (Loi modifiant le Code Criminel (cruauté envers les animaux), Projet de loi C-22, 3e session, 37e législature, Can.) qui a notamment pour but d’alourdir les peines infligées pour les personnes trouvées coupables et d'ajouter des infractions. La Loi sur la santé des animaux (L.C. 1990, ch.21) La Loi sur la santé des animaux s’applique à toutes les espèces, incluant les animaux de compagnie. Comme le signale le texte de cette loi, celle-ci concerne «(…) d’une part, les maladies et substances toxiques pouvant affecter les animaux ou transmissibles par ceux-ci aux personnes, d’autre part, la protection des animaux.» Du point de vue du bien-être des animaux de compagnie, il convient particulièrement de signaler les articles 136 à 159 du Règlement sur la santé des animaux (C.R.C, ch. 296), bien que d’autres articles puissent s’appliquer selon les circonstances. Ces articles 136 à 159 correspondent à la Partie XII du Règlement et ils traitent du transport des animaux. En résumé, la Partie XII prévoit notamment l’interdiction de charger ou faire charger, de transporter ou de faire transporter des animaux malades, infirmes, blessés, fatigués ou qui ne peuvent être transportés sans souffrances indues. Certains articles concernent la manipulation des animaux et la manière de charger les véhicules (entassement, isolement selon l’espèce, le poids, l’âge, le sexe, l’agressivité). Des balises sur l’abreuvement des animaux et leur alimentation, sur le repos requis et la durée de transport sont également présentes. Certains articles traitent des caractéristiques des véhicules et de l’équipement nécessaires, pour le transport que pour l’embarquement ou le débarquement. Enfin, certains articles concernent la tenue de registres lors de transport extraprovincial ou international. Les infractions à la Loi sur la santé des animaux et de son Règlement peuvent être sanctionnées. Entres autres, par la Loi sur les sanctions administratives pécuniaires en matière d’agriculture (1995, ch. 40). L’article 2 de cette Loi stipule que ‘Le plafond de la sanction est de 2 000 $ pour toute violation commise par une personne physique, sauf dans le cadre d'une entreprise ou à des fins lucratives, et, dans les autres cas, de 2 000 $, 10 000 $ ou 15 000 $, selon que la violation est mineure, grave ou très grave.’ Le détail de ces amendes selon la violation et sa gravité se retrouve par ailleurs dans le Règlement sur les sanctions administratives pécuniaires en matière d’agriculture et d’agroalimentaire (DORS/2000-187). http://www.animaquebec.com/index.php?option=com_content&task=view&id=15&Itemid=6 ------------------------------------------------
-
-
-
-
Repose-toi ma belle Cé ! Y'a rien qui presse ! p.s.: Aujourd'hui, j'ai affiché une nouvelle dans notre forum concernant Anima-Q qui a fait une descente dans un chenil de chats... C'est bizarre car personne n'en a parlé ailleurs. (La 4 Bégin ne m'a rien écrit à ce sujet, ni sur cette autre descente faite dans un chenil par A.Q quelques jours plus tôt) Bref, on dirait bien qu'AQ commence à se grouiller le derrière- Ils ont peut-être eu peur de perdre leur "job" mais sûrement que la clique de l'Alliance ne doit pas être trop impressionnée par leurs exploits ....
-
-
Fermeture de l'usine Olymel en Beauce : Les abattoirs de la région devront peut-être augmenter leur capacité d'abattage Abattage du porc Une fermeture en Beauce qui a des conséquences Mise à jour le samedi 27 janvier 2007, 17 h 39 . Les trois abattoirs de porcs de la région, situés à Rivière-du-Loup, Saint-Alexandre et Saint-Pascal, suivent de près l'évolution de la situation de l'usine Olymel de Vallée-Jonction, en Beauce. L'usine pourrait fermer ses portes dès dimanche si une entente ne survient pas avec le syndicat, ce qui ferait disparaître 20 % de la capacité d'abattage au Québec. Abattoir de porcs Déjà, les producteurs de porcs québécois doivent faire abattre une partie de leurs animaux à l'extérieur de la province, en raison d'une grève à l'abattoir A. Trahan, en Mauricie. Ils songent à conclure des ententes de longue durée avec les abattoirs québécois qui demeureront ouverts, afin qu'ils augmentent leur capacité d'abattage. http://www.radio-canada.ca/regions/est-quebec/2007/01/27/001-abattoirs-bsl.asp
-
Madelipêche Le gouvernement propose son aide 28 janvier 2007 Le ministre des Pêcheries du Québec, Yvon Vallières, entend aider l'entreprise de transformation de poisson Madelipêche-Tamasu, détruite aux deux tiers dans un incendie la semaine dernière. Les 60 employés de l'entreprise des Îles-de-la-Madeleine doivent retourner au travail en avril, lors de la saison de la chasse aux phoques, pour transformer les peaux. http://www.radio-canada.ca/regions/est-quebec/2007/01/28/002-madelipeche-vallieres.asp
-
Allo ma belle Cé, As-tu une idée de la façon qu'on pourrait formuler le 3ème paragraphe, car depuis qu'Anima-Qc a été mis au pouvoir, il y a eu des changements dans l'application de la loi au Québec- ---------------------------------- Usines à chiots, chenils et animaleries du Québec Animaux Victimes du Profit La misérable vie d'une chienne d'usine à chiots Au Québec, des milliers d'éleveurs se "spécialisent" dans la production massive de chiens. Plus de 400,000 chiots naissent chaque année dans des élevages surpeuplés et insalubres. La moitié de ces animaux sont vendus au Québec, les autres sont expédiés aux États-Unis et dans différentes provinces du Canada, là où l'élevage intensif de chiots est interdit. Dans cette province canadienne, n'importe qui peut se lancer dans l'élevage de chiots. On peut retrouver des élevages dans un hangar, un garage, une remise intérieure ou extérieure, un sous-sol, un fond de cour, etc. etc. ** (ICI, JE CROIS QU'IL FAUDRAIT COMPLÈTEMENT REFAIRE CE PARAGRAPHE (?) Comme les lois sensées protéger les animaux ne sont pas mises en application, (Au Québec: Loi sur la protection sanitaire des animaux et au Canada, le Code Criminel) la Société Protectrice des Animaux (SPCA) n'a que peu de pouvoir pour dénoncer ces pratiques et faire cesser cette honteuse activité. (AJOUTER QUELQUE CHOSE CONCERNANT ANIMA-QUÉBEC (?) Selon la Section 466 du Code Criminel du Canada, seuls les cas pris en flagrant délit et les cas les plus extrêmes de cruauté et de négligence sont considérés. Pour obtenir un mandat de perquisition, qui n'est émis que par un juge, les inspecteurs de la SPCA doivent avoir des preuves formelles et visuelles d'une situation de négligence ou de cruauté. Ils doivent d'abord obtenir une déposition de plainte signée par le témoin qui fait appel à leurs services. Une simple plainte anonyme venant d'un citoyen qui suspecte que des animaux sont victimes de négligence ou de cruauté est insuffisante. (voir site Anima-Québec http://www.animaquebec.com/ ) Pour enrayer ce fléau, il faut dénoncer ces chenils illégaux La plupart des éleveurs sans scrupules proviennent de différentes provinces du Canada, où l'élevage intensif de chiens est interdit. Ils acquièrent des parcelles de terrain ou des fermes situées dans des régions rurales du Québec, près des frontières et éloignées des voisins. Ces éleveurs se procurent plusieurs chiens de différentes races et les accouplent le plus souvent possible. De " faux papiers " signés par des vétérinaires " fictifs " affichent leur parfaite santé. Certains de ces éleveurs peuvent élever jusqu'à 70 races de chiens à la fois. Ils font affaire avec des producteurs, importateurs et exportateurs, vendeurs intermédiaires, courtiers, vendeurs de rue, de marchés aux puces ou même avec d'autres éleveurs. Leur identité n’est pas connue, ou partiellement connue, et les ventes sont conclues en argent liquide. Certains producteurs vendent leurs chiots en publiant une annonce dans le journal ou sur Internet. Ils rencontrent alors un acheteur potentiel à un endroit spécifique, qui peut aussi bien être le stationnement d’un centre d’achats ou un parc. À travers le Québec, plus de 2,000 personnes opèrent des usines à chiots. Presque toutes les usines d'animaux sont des endroits insalubres où les chiots ne sont pas nourris à heures régulières et où plusieurs n'ont même pas accès à de l'eau. Le seul motif de leurs mauvais traitements est le profit.Plusieurs chiots souffrent de coccidiose ou de divers virus, très fréquents dans ces usines. Pendant les 10 premières semaines de la vie d'un chiot, la propreté est pourtant extrêmement importante pour lui permettre de se développer en santé. Situés soit à l'intérieur d'un bâtiment, soit à l'extérieur, ces hangars ou entrepôts peuvent contenir plusieurs dizaines, voire plusieurs centaines de cages, empilées les unes sur les autres. Les excréments et l'urine tombent souvent dans les cages du dessous. Ces endroits sont rarement chauffés en hiver et durant l'été la chaleur y est suffocante. Vers l'âge de 5 mois, on enferme une chienne dans une petite cage de métal, de bois ou de plastique où elle y passera toute sa vie. Puis, vers l'âge de 6 mois, lorsqu'elle commence ses chaleurs, elle est accouplée avec un mâle provenant d'une usine semblable à la sienne. Afin d'éviter tout frais superflus au propriétaire, pendant sa grossesse, elle ne bénéficie d’aucun suivi vétérinaire. Environ 60 jours plus tard, elle peut donner naissance à plusieurs chiots. La mère et ses petits, n'ont pas d'endroit propre et confortable pour se coucher et doivent se satisfaire d'un plancher de grillage de fer. À cause du manque d'espace, il n'est pas rare qu'en se retournant, la pauvre chienne écrase l'un de ses petits et souvent, le chiot mort pourra rester dans cette cage plusieurs jours avant que le propriétaire ne vienne l'en retirer. Quand les petits atteignent l'âge de 3 semaines, le propriétaire de l'usine vient les enlever à leur mère et la pauvre chienne tourne en rond dans sa cage, attendant en vain leur retour. Le Transport des Chiots Les chiots sont placés dans des cages, sans eau ni nourriture et des centaines de cages sont empilées les unes sur les autres à l'intérieur d'un camion. Ces camions peuvent parcourir des milliers de kilomètres, été comme hiver, sans système de chauffage ou de ventilation. Les chiots arrivent dans un entrepôt où un préposé retire ceux qui n'ont pas survécu au voyage puis, il fait le tri par race. Les survivants sont embarqués à nouveau dans un autre camion qui les livre dans diverses animaleries de la province. La Mise en Vente Une fois à destination, ils sont lavés et parfumés pour leur donner un air attrayant lorsqu'ils seront placés dans la vitrine du magasin. La majorité de ces chiots fûrent tatoués à l’oreille et, pour parfaire le tableau, des documents vétérinaires falsifiés ou de fausses attestations de pedigree certifient la "pureté" de leur race. Le prix d'un chiot vendu en animalerie varie entre 300 et 500$. Un chiot malade, ne sera habituellement pas soigné par un vétérinaire car cela reviendrait trop cher au propriétaire de l'animalerie. On le laisse donc mourir. Pour les autres, l'avenir est incertain: plusieurs d'entre eux, traumatisés par la perte de leur mère, les longs transports et le manque de soins souffriront de divers problèmes émotionnels et auront du mal à s'adapter. Séparé trop tôt de sa mère, un chiot, privé en plus de contact humain, peut devenir associable. Il ne s'entend pas avec les autres chiens et n'est pas toujours gentil envers les jeunes enfants. Ces chiots nécessiteront beaucoup d'efforts de la part du maître et plusieurs ne parviendront pas à s’en occuper convenablement. Si certains chiots ont la chance d'être adoptés par des gens soucieux et prêts à les faire soigner et leur consacrer le temps et la patience nécessaires à leur adaptation, d’autres finiront rapidement dans un refuge, un chenil ou seront à nouveau vendus, ou donnés, ou tout simplement abandonnés. La petite chienne d'usine, quant à elle, continuera à vivre dans sa misérable cage. Elle aura tous les ans deux portées, laissant ses mamelles distendues et enflées. Faute de nourriture appropriée, d'exercices et de soins, chaque fois qu'elle donnera naissance à des petits, elle s'affaiblira d’avantage. Maigre et sale, elle souffrira de maladies de peau, de déformations aux pattes, elle perdra ses poils par plaques... Et, après 5 ou 6 ans, devenue incapable de produire d'autres chiots, elle sera tuée par de quelconques méthodes douteuses, noyée par exemple, ou envoyée dans des laboratoires de recherches. Il en ira ainsi des chiens non vendus ou malades. Lorsque vous achetez un chiot, un chaton, un lapin, ou tout autre animal dans une animalerie, un marché aux puces, un chenil, ou par Internet, vous financez sans le savoir, un commerce extrêmement cruel ! Ne soyez pas complice de leurs supplices ! Il n'est pas rare de retrouver dans des animaleries, des chiots devenus trop gros pour leur cage, d'autres aux yeux qui coulent, qui ont la diarrhée, qui pleurent sans arrêt ou qui ont développé des comportements anormaux. Ces endroits sont souvent surchauffés et les chiots n'ont pas toujours accès à de l'eau pour se désaltérer. Dans plusieurs animaleries, les animaux sont dans de toutes petites cages accessibles aux passants qui peuvent constamment les manipuler à leur guise. Les gens qui s’imaginent sauver un petit chien en l'achetant dans une animalerie ne font que perpétuer un commerce cruel. Chaque fois qu’un chiot est vendu, il est aussitôt remplacé par un autre. Plusieurs chiots achetés dans des animaleries sont ramenés pour diverses raisons: problèmes congénitaux, respiratoires, insuffisance rénale, dysplasie de la hanche, diarrhée, surdité, problèmes de comportement... Si le chiot est malade ou meurt peu après l'achat, la majorité des propriétaires d'animaleries offriront un autre chiot au client plutôt qu'un remboursement. Si vous tenez absolument à posséder un chien, visitez un éleveur réputé, sérieux et fiable qui se soucie des chiens qu'il élève, qui les aime et les fait soigner quand ils en ont besoin. Même si ces chiots coûtent un peu plus cher, vous aurez au moins la garantie que celui que vous achetez est en bonne santé. Vous seriez également étonnés du nombre de chiots ou de chiens de race que l'on peut retrouver au refuge de la SPCA. En adoptant dans un refuge, vous contribueriez ainsi à sauver la vie d'un animal qui autrement serait euthanasié. Créé en 1994, par A.D. Leiba pour le site Pas de Caméras S.V.P.! (?) Revu et mis à jour ce: .... janvier 2007 Bientôt en version anglaise
-
COMMUNIQUÉ POUR DIFFUSION IMMÉDIATE Des chats sauvés par ANIMA-Québec ont besoin d’un toit ! Québec, 24 janvier 2007 - Le 11 janvier dernier comparaissait, au Palais de Justice de Montréal, la propriétaire de 13 chats saisis par ANIMA-Québec. Puisque celle-ci n’a pas pu démontrer sa capacité à assurer le bien-être et la sécurité de ses chats, ces derniers ont été confiés à ANIMAQuébec qui annonce aujourd’hui leur mise en adoption. C’est en décembre 2006 que, suite à une plainte, ANIMA-Québec procédait à l’inspection du lieu de garde de ces chats. L’inspecteur a alors jugé insalubre l’environnement dans lequel ils étaient gardés, ce qui constitue une infraction à la législation provinciale ayant trait au bien-être et à la sécurité des animaux. L’inspecteur d’ANIMA-Québec a également soupçonné des problèmes de santé chez certains chats et découvert les cadavres de 3 chatons. Il a donc immédiatement procédé à leur saisie. La mise en adoption rapide des animaux illustre la force de cette loi provinciale qui permet, avant le jugement sur l’infraction, de statuer sur le sort des bêtes. Ainsi, dans le cas présent, même si la propriétaire des chats a enregistré un plaidoyer de non-culpabilité, elle n’a pas pu récupérer ses animaux. Dès leur prise en charge par ANIMA-Québec, les 13 chats ont été hébergés au Centre Le Berger Blanc de Montréal où des médecins vétérinaires les ont immédiatement examinés. À la lumière des diagnostics prononcés, chacun d’entre eux a reçu les soins et les traitements nécessaires à leur condition. Malheureusement, malgré les soins prodigués, l’un d’entre eux est décédé. ANIMA-Québec aimerait désormais offrir une vie meilleure à chacun de ces 12 chats. Comme plusieurs d’entre eux nécessiteront un suivi médical, nous recherchons des propriétaires aimants et responsables, prêts à s’engager à assurer leur bien-être et leur sécurité. Toute personne intéressée à adopter l’un de ces chats est priée de se présenter au Centre d’adoption Le Berger Blanc situé au 9825 boulevard Henri-Bourassa Est à Montréal ou de communiquer avec sa responsable, madame Johanne Coté, au (514) 494-2002, ext. 221. -30- Source : Julie Rose Vézina Adjointe aux communications www.animaquebec.com
-
-
Allo Cé, Concernant la page sur les usines à chiots, je vais commencer à la préparer pour la mettre sur notre site- Peux-tu me dire à quel endroit tu aimerais qu'on la place ? J'ai pensé la mettre à la suite de ton article (Les animaux de compagnie)... Qu'en penses-tu ma belle Cé ? À moins que tu préfères qu'on la mette sur une page à part avec un nouveau bouton (Usines à chiots du Québec) ? http://aequoanimo.com/compagnie.html
-
Hi everyone, As you know, seriously misleading media reports have circulated through the country - both from Associated Press and from Canadian Press - about the European Commission's response on the proposed seal products ban. While these reports indicate that the European Commission decision rejected calls for a ban on seal products, this is simply not the case. From a diplomatic perspective, the Commission response was strong, and lays the groundwork for legislation to occur. Canadian Press also quoted me as saying that there is a lot of contradictory evidence about the humane aspects of the hunt - what I actually said was there is contradictory evidence because some of the studies are paid for by the Canadian government. Here are a few of the media stories that need to be responded to - there are more, you can find them with a google news search. I'm hoping you might consider sending in some short letters to your local papers to correct the misinformation. The main points are: - The European Commission did NOT reject calls for a ban on seal products, and any media stories that indicate this are false. - The Commission DID commit to studying the animal welfare issues surrounding the seal hunt, and introducing legislation based on their findings. - Last week, a leading European political newspaper, European Voice, stated the Commissioner in charge of the seal file had said he intends to introduce legislation banning seal products as soon as possible. - The humane aspects of the commercial seal hunt have been studied for four decades, and the evidence is crystal clear - the seal hunt is not acceptably humane. Canadian veterinary experts say the commercial seal hunt can never be made humane because of the physical environment in which it operates and the speed at which it is conducted. - A ban on seal products in the European Union would likely spell the end of the Canadian commercial seal hunt, and this would be welcomed by the overwhelming majority of Canadians. Thanks for anything you can do to get this message out to Canadian newspapers. Rebecca Aldworth Humane Society of the United States