Aller au contenu
Rechercher dans
  • Plus d’options…
Rechercher les résultats qui contiennent…
Rechercher les résultats dans…

Animal

Membres
  • Compteur de contenus

    14 605
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Animal

  1. C'est certain Cé ! Il me semble que la SPA fait remplir un formulaire, mais c'est peut-être récent... Je me souviens avoir lu quelque chose à ce sujet l'année dernière...
  2. je ne savais pas Cé ! J'ai toujours cru que teindre des animaux était illégal tout comme c'est devenu illégal de teindre des poussins de toutes les couleurs...
  3. Je ne sais pas Cé ! Ça existe des teintures végétales pour les chiens ?
  4. Même si on leur explique un tas de choses, les gens prennent souvent un animal sur un coup de tête !
  5. Je ne sais pas s'il s'agit d'une maladie de ses yeux Cé, car il semble y avoir plusieurs chiens qui ont ce problème de yeux qui coulent... Une chose est sûre: Il a été teint avec une teinture !
  6. P.S. PRENEZ LA PEINE D'ÉCOUTER LES DEUX REPORTAGES ET REGARDER DANS QUEL ÉTAT LES CHIENS ONT ÉTÉ RETROUVÉS.... ----------------------------------------------------------------------------- Mise à jour: 19/01/2007 La propriétaire du chenil avec notre journaliste Pascale Déry. LCN Chenil clandestin à Saint-Mathieu «Les chiens n'ont jamais été abandonnés», dit la propriétaire La propriétaire du chenil qu'on a retrouvé dans un état lamentable, cette semaine à St-Mathieu, en Montérégie, se défend d'avoir abandonné ses animaux. «J’ai l’impression que l’on vient de m’enlever mes enfants pour maltraitance», a déclaré la femme. La femme, propriétaire d'une vingtaine de chiens sur la trentaine qui ont été récupérés par la SPCA, dit qu'elle va voir ses animaux une journée sur deux, et qu'ils n'ont jamais manqué d'eau ni de nourriture. Elle ajoute qu'une personne à qui elle sous-louait l'endroit et qui possédait des chiens s'en occupait tous les jours. La propriétaire avoue cependant avoir été négligente quant à la propreté des lieux, mais qu'elle manquait parfois de temps puisqu'elle est mère monoparentale. La femme dit qu'elle opère son chenil en toute légalité. En vidéo 1, écoutez l'entrevue que la propriétaire du chenil a accordée à Pascale Déry. En vidéo 2, écoutez le reportage de Pascale Déry. http://lcn.canoe.com/lcn/infos/faitsdivers/archives/2007/01/20070119-161200.html
  7. Missionnaire pour les chats écrit par Marie-Claude Marsolais, Vol 15-1, Octobre 2006 Acte anodin pour certains, l’abandon d’un animal dans une ruelle n’est pas sans conséquence. Il entraîne rapidement une surpopulation d’animaux errants qui risquent fortement l’euthanasie.Chaque années à Montréal, plus de 50 000 chats errants terminent leurs jours euthanasiés. Ce chiffre faramineux ne signifie pas que 50 000 individus aient abandonné leur chat. Le problème, c’est l’accouplement. Linda Robinson, du SPCA de la Montérégie, en sait quelque chose. «Si deux chats non-stérélisés s’accouplent, 20 000 chatons descendront de cette union, en cinq ans seulement, s’exclame-t-elle en ajoutant que le public ne réalise pas la quantité d’animaux que l’on doit tuer. La majorité serait très choquée de le savoir.» La stérilisation La stérilisation des animaux est l’outil majeur pour combattre la surpopulation de chats errants. Bien que nécessaire, elle est cependant coûteuse. Quelques organismes sans but lucratif offrent toutefois des services vétérinaires à prix réduits. L’organisation Chatocat, par exemple, fait affaire avec trois cliniques vétérinaires dont deux sur l’île de Montréal et une à Laval. Les bénévoles de Chatocat se déplacent pour aller chercher les bêtes et les amener chez le vétérinaire pour les opérer. Monica Campo, de Chatocat, souligne que l’organisme est contre l’euthanasie. «Nous misons beaucoup sur la promotion de la stérilisation des animaux.» Même chose à La Fondation Bond. Dorothy Bond, la fondatrice de l’organisme qui œuvre pour le bien-être des animaux, insiste: «La stérilisation est essentielle. On rend un grand service aux animaux, mais aussi aux contribuables. À Montréal, la ville paie la SPCA pour qu’elle euthanasie les chats et chiens errants. C’est très dispendieux et surtout cruel». Par l’intermédiaire de quelques vétérinaires affiliés, la Fondation Bond offre des services de stérilisation aux personnes à revenus modestes. «Auparavant, le service était offerts à tous. Mais il y a une si grande demande que l’on a dû limiter l’accès» explique-t-elle déçue. L’adoption ou la maison d’accueil L’adoption et l’accueil temporaire sont d’autres moyens d’éviter l’euthanasie. La Fondation Bond est en lien avec de multiples refuges au Québec. Une visite sur le site Internet (www.bondspayneuter.com) suffit pour trouver plusieurs adresses qui offrent des animaux en adoption. Chatocat coordonne pour sa part son propre système d’adoption. Le site Internet (www.chatocat.org) regorge de photos de chats en adoption. Ce sont les bénévoles qui prennent le portrait des bêtes et les affichent par la suite sur le site. Mme Campo ne cache pas son désarroi. «Il y a un manque flagrant de maisons d’accueil. Nous ne savons plus où mettre les chats», s’inquiète-elle en rappelant que Chatocat est constamment à la recherche de personnes intéressées à héberger temporairement des petits pensionnaires à poils. Une question de responsabilisation L’abandon d’un animal domestique demeure un problème récurrent. Chaque année des centaines d’individus se débarrassent de leur bête. Mme Bond est catégorique: «C’est très difficile pour un animal, de se retrouver sans source de nourriture et sans refuge. Les gens ne réalisent pas le mal qu’ils font à un animal en l’abandonnant.» Linda Robinson, de la SPCA Montérégie, veut responsabiliser les gens qui accueillent un animal. «De nos jours, les gens ont de moins en moins de temps à consacrer aux temps libres. Les animaux deviennent un fardeau rapidement, et sont plus propices à être abandonnés, raconte Mme Robinson. Il n’est pas rare de voir des animaux revenir dans nos locaux, après un mois d’adoption. Les gens ne réalisent pas l’ampleur de la charge.» Monica Campo va dans le même sens. Elle rappelle que l’animal devient totalement dépendant de son maître. «Nous essayons de faire beaucoup de sensibilisation. On ne peut pas déresponsabiliser le citoyen.» Pourquoi devrait-on être responsable envers les animaux? «Ils sont importants pour les humains, dit Mme Bond, en évoquant les bienfaits de la zoothérapie. Ils sont des êtres vivants au même titre que l’homme, poursuit-elle, on leur doit du respect». Pas bête comme réponse! Le Journal de la Rue se situe au 2e étage, juste au-dessus du Café-Graffiti. C’est la pause. Le beau temps nous fait sortir. Le miaulement d’un chat attire notre regard. Prisonnier sur la corniche, il lance un cri de détresse. Je monte secourir la pauvre bête. Elle me suit à l’intérieur du local et me quitte aussitôt. J’étais convaincu que l’histoire de ce chat et de son sauvetage s’arrêterait là. Le lendemain matin, le chat revient. Danielle et Lyne décident de le nourrir. La journée suivante, on retrouve le chat dans un placard du Journal. Il vient d’accoucher de trois magnifiques chatons. Le chat était finalement une chatte! N’ayant pas trouvé de famille d’accueil pour cette nouvelle famille, Danielle et moi avons décidé d’adopter la petite famille. Nous les ferons dégriffer et opérer pour éviter que la lignée continue de s’accroître. On accueille des jeunes de la rue. Pourquoi pas des chats de la rue? En abandonnant des animaux ainsi, sans être opérés, combien d’autres rejetons vont errer dans nos rues? Quelles sont les solutions qui s’offrent à nous? J’ai demandé à notre journaliste Marie-Claude Marsolais de faire la lumière sur ces questions. Raymond Viger http://journaldelarue.wordpress.com/2006/11/23/missionnaire-pour-les-chat/
  8. Adresse municipale: rivière-du-loup,québec, gol 2go Voir la carte Lieu : Québec Date de la mise en ligne : 04-Jan-07 Cberche mâle caniche toy de 3 lbs et un caniche de 5-6 lbs pour service d'accouplement.La couleur n'est pas importante. 418-495-3020 http://quebec.kijiji.ca/
  9. Bien sûr, je suis d'accord avec toi ! Pour que les choses changent, il faudrait que toute la population du Québec se mobilise... Que des milliers de personnes descendent dans la rue pour exiger des changements... Descendre dans la rue, faire du bruit, etc,: les Québécois le font, mais seulement quand c'est pour protéger leurs acquis ou réclammer + d'argent ! Et c'est ça qui est enrageant ! Quand il est question des animaux, les gens écoutent les nouvelles et sur le coup, ils sont touchés, mais le lendemain, c'est déjà oublié et ils passent à autre chose. Il y a beaucoup de sensibilisation à faire dans cette province...
  10. Toute cette histoire a été assez bien couverte par les médias télé, radio et presse écrite. J'aimerais savoir si des actions concrètes telles que manifestations ou autres sont à prévoir sous peu? Je fais partie d'un autre forum animalier et je suis persuadée que plusieurs des membres de ce forum sont prêts à poser des gestes. Plusieurs ont déjà écrit des lettres aux autorités mais pour ce que cela donne... ------------------------------------- Allo Annjo, Si on se base sur Ste-Justine-de-Newton et Pte-aux-Trembles, je me demande si une autre manif ferait avancer les choses... Présentement, la SPCA s'occupe de dénoncer les usines à chiots... As-tu contacté http://fermonslesusinesachiots.homestead.com/ Ils sont peut-être en train d'organiser quelque chose (?)
  11. exactement animo ! Ce sont ces genres de commentaires qui font en sorte d'influencer l'opinion publique. Il y a tellement de gens qui sont incapables de se forger leurs propres opinions, qui ne vont pas au fond des choses et qui prennent pour du "cash" tout ce qu'ils entendent provenant de leurs vedettes de cinéma, journalistes, etc.
  12. Il en a dit suffisamment pour qu'on puisse se faire une idée de son commentaire complet ... et il n'est pas le seul à passer ce genre de commentaire... Jean-Luc Mongrain l'a souvent fait lui aussi
  13. Animal

    Articles Animaux de labos

    Espérons que tu arriveras à le rejoindre mardi...
  14. Animal

    Articles Animaux de labos

    Il reste encore du temps avant le 9... Ne t'inquiètes pas !
  15. Fur World Magazine January 8, 2007 Now animal testing will be out-sourced To China and India. Saying animal activism is creating economic problems for laboratories in the U.S. that use animals in medical and drug research, Glenn Rice, chief executive of Bridge Pharmaceuticals of San Francisco has begun outsourcing the work to China, where he has found scientists are plentiful and inexpensive. He also discovered that aggressive activists, viewed as law breakers there, are dealt with quickly and convincingly. There is an organization in Beijing called The Chinese Association for Protection of Small Animals, and its director, Lu Di, 75, says she views animal testing as inevitable, and her group is focused on encouraging laboratories and universities to use the most humane methods in handling their primates and dogs. Rice has established a facility in Beijing's Zhongguancun Life Sciences Park, which is becoming a world center for biotechnology, and says this kind of work goes along with the goals of the Chinese government, which has heard the expression "The race to the bottom," and wants to make new ventures about quality rather than quantity. So much so that it gave him many incentives, including a five-year tax holiday. Rice now commutes weekly between San Francisco and Beijing, and says there are so many advantages that he expects drug giants like Pfizer, Novartis, Eli Lily and Roche to follow suit. "We can do the work for about half what it costs in the U.S. or Europe," Rice explained, "and there is an ample supply of necessary animals. Lower costs means we can also work on treatments or cures for the so-called orphan diseases that affect small numbers of people and for which research hitherto has not been cost effective."
  16. Fury over `dog' fur J.C. Penney pulled offending coats after activists protested – then doctored labels and put them back on sale January 18, 2007 David Koenig Associated press J.C. Penney Co. removed some fur-trimmed coats from its racks around Christmas after animal-rights activists objected that the fur came from wild dogs in China. But the department store company put the coats back on the racks after New Year's – after directing employees to blot out the line on the label identifying the trim as raccoon fur. The fur-collared leather coats were sold under the house brands St. John's Bay and a.n.a., and within a week of being put back on the sales floor they were marked down to $74.99 from the original $349.99 U.S. at some Penney stores. "We sold a lot of them during Christmas," said a saleswoman at a Penney store in North Carolina who spoke on condition of anonymity because she feared losing her job. By putting the coats back on the racks, Penney is charting a different course than rival Macy's, which last month pulled Sean John jackets after they turned out to contain the same fur. Macy's said it has a policy against selling products with dog fur. Animal-rights groups are using the incident to pressure Penney to drop sales of all real fur, including fox. A few clothiers such as Polo Ralph Lauren and J. Crew Group Inc. have stopped using fur, and designers Kenneth Cole and Calvin Klein have promised to follow suit. But Penney, with more than 1,000 U.S. stores catering to middle-income shoppers, says it has no plans to stop selling fur-trim items. Penney also downplays any link between Lassie and the animal whose fur is used on some of its garments. That animal is often called a raccoon dog because of its full coat and dark eye patches. "Asiatic raccoon is the species name," says Darcie Brossart, a company spokeswoman. "It's on the Federal Trade Commission's list of fur that is legal to sell in the United States. It's not a dog." Animal-rights advocates counter that although it looks like an oversized, fluffy raccoon and isn't kept as a pet, it is a canine breed – something Penney doesn't dispute while noting that foxes are canines, too. "What's equally important is that they're getting killed by the millions in the most atrocious way," says Kristin Leppert, manager of the anti-fur campaign for the Humane Society of the United States. Activists from Swiss Animal Protection posing as a documentary film crew say they went to China and photographed raccoon dogs and foxes being killed at large fur-harvesting operations. The crew's disturbing video – posted on the Internet – shows animals clubbed or slammed on the ground, and then skinned alive. Brossart said company lawyers determined it was legal to sell the coats as long as they didn't claim that the fur came from a particular species.
  17. Le vendredi 19 janvier 2007 Un putois clandestin au Canada va retrouver sa Californie natale AFP Montréal Un petit putois arrivé au Canada en passager clandestin au début de l'année après un voyage de plus de 5.000 km à l'arrière d'un camion, va pouvoir regagner sa Californie natale. «Nous avons trouvé quelqu'un pour ramener le petit putois chez lui», a indiqué Nathalie Karvonen, du Toronto Wildlife Center qui a recueilli le petit animal. ... Mme Karvonen dit ne pouvoir garantir qu'il ne remerciera pas ses bienfaiteurs d'un jet nauséabond. «Avec les animaux sauvages, on ne peut faire de promesses», dit-elle, tout en soulignant que le petit animal ne s'est servi de son mécanisme de défense qu'une seule fois depuis son arrivée et que c'était à un moment où on lui faisait «des piqûres et tout un tas de choses inquiétantes» pour un animal sauvage. http://www.cyberpresse.ca/article/20070119/CPINSOLITE/70119041/5406/CPINSOLITE
  18. Le vendredi 19 janvier 2007 Parnmi les chiens recueillis hier, on trouvait des danois, des golden retrievers, des beagles et des bergers allemands. Plusieurs étaient affamés, d'autre terrorisés. Ce grand danois était dans un état pitoyable et il avait des plaies ouvertes. Photo Ivanoh Demers, La Presse La SPCA ferme un chenil clandestin en Montérégie Hugo Meunier La Presse Des chiens rachitiques laissés à eux-mêmes dans une écurie, d'autres abandonnés dehors dans des niches aménagées dans des barils en plastique, des odeurs infectes d'urine et d'excréments : il fallait avoir le coeur solide pour visiter le chenil clandestin fermé hier en Montérégie, où 32 chiens s'entassaient dans des conditions pitoyables. Laissés dans le noir avec un peu de nourriture, mais sans eau ni chauffage, ces chiens tentaient de survivre dans ce qu'on appelle une usine à chiots. C'est dans ces endroits qu'on accouple des femelles de race pure à des mâles reproducteurs. Leur progéniture est ensuite vendue, généralement au noir, dans des animaleries. Là, on exige parfois plusieurs centaines de dollars pour un chiot. Si certains centres d'élevage sont bien tenus, ce n'était pas le cas de celui du ranch Les aventuriers, installé dans une écurie en bordure d'une route de campagne à Saint-Mathieu. Alertés par une voisine qui entendait depuis plusieurs jours les chiens japper et se plaindre, les policiers et la Société pour la prévention de la cruauté envers les animaux (SPCA) sont débarqués hier matin, un mandat de perquisition en poche. L'odeur d'urine et d'excréments était extrêmement forte, même à l'extérieur de la vieille grange perdue sur un terrain agricole. À l'intérieur, les autorités ont découvert les chiens plongés dans le noir et confinés dans une dizaine de stalles à chevaux. De la paille recouverte d'excréments était éparpillée dans les compartiments. Au milieu de l'écurie, d'énormes sacs de nourriture pour chiens étaient empilés dans une brouette. D'épaisses toiles d'araignées tapissaient le plafond et les poutres de bois du bâtiment. «Les chiens avaient très froid. Ils avaient un peu de nourriture, mais pas d'eau. Ils léchaient les fenêtres givrées», a raconté Linda Robertson, directrice de la SPCA pour la Montérégie. Si le spectacle de ces chiens piteux au regard suppliant, debout sur leurs pattes de derrière et le museau collé dans une grille est choquant pour le commun des mortels, il est malheureusement routinier pour les gens de la SPCA. «C'est une petite usine à chiots ici. On retrouve 400 animaux à certains endroits «, a souligné Mme Robertson. La Montérégie est d'ailleurs réputée pour abriter des chenils clandestins. « On appelle ça les secrets de la campagne», a-t-elle ironisé. À l'heure actuelle, rien dans la loi n'interdit aux gens d'élever des chiens dans des zones agricoles. «Les gens ne sont pas tenus de s'enregistrer non plus. Le gouvernement devrait les forcer à respecter certains standards», a souligné Mme Robertson. Derrière la grange, la scène était tout aussi pathétique. Sept huskies s'agitaient devant le branle-bas. Au bout de leur laisse, des barils en plastique bleu leur servaient de niches. À court d'eau, ils mangeaient de la neige. Parmi les chiens recueillis hier, on retrouvait des danois, des golden retrievers, des beagles et des bergers allemands. Plusieurs étaient affamés, d'autres terrorisés. Une bête avait même des plaies ouvertes sur le corps à force de se frotter contre les parois de sa prison. «Chaque fois que tu achètes un animal à l'animalerie, tu contribues à ça», s'est emportée Deborah Rossetti, une bénévole de la SPCA. Elle suggère plutôt aux gens d'aller chercher leur animal de compagnie dans des refuges pour animaux reconnus ou dans des succursales de la SPCA. Les policiers ont arrêté hier un des deux exploitants du chenil. Les responsables pourraient être accusés de cruauté envers les animaux. L'écurie était louée depuis trois ans à une résidante de la Montérégie. La propriétaire de l'écurie savait que le bâtiment servait à l'élevage de chiens. «C'était prévu pour ça. L'ancien locataire faisait ça aussi», a expliqué Nathalie Lamoureux, jointe hier. Elle ignorait cependant le traitement réservé aux animaux. «Je voyais seulement la locataire lorsqu'elle venait payer son loyer. Je suis surprise, je ne m'attendais pas à ça», a commenté Mme Lamoureux, qui a décrit sa locataire comme «une très bonne personne sensée». Les voisins interrogés hier ont dit ignorer ce qui se passait dans l'écurie. Tous les chiens découverts hier ont été confiés à la SPCA. Avec Stéphanie Bérubé http://www.cyberpresse.ca/article/20070119/CPACTUALITES/701190805/1019/CPACTUALITES
×
×
  • Créer...