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Animal

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Tout ce qui a été posté par Animal

  1. Absolut in Ordnung - 56% Das ist Tierquälerei! 36% Tauben sind mir egal! 7% Stimmen insgesamt: 749 C'est pareil chez nous malheureusement... et on peut même y rajouter les goélands et les écureuils
  2. Animal

    Pour nous les filles...

    j'espère pas hop, car là je m'en sers un autre !
  3. Animal

    Pour nous les filles...

    Allez hop ! Pour notre avenir !
  4. Ils (elles) ne se forcent pas trop le derrière... !! Des pions quoi ! pour ne pas dire des fions
  5. Vendredi 12 jan 2007 Un faux inspecteur d'Anima-Québec en Mauricie (CHLN)- Un individu se fait faussement passer pour un inspecteur de l'Association nationale d'intervention pour le mieux-être des animaux. Le faux inspecteur d'Anima-Québec a sévi l'été dernier en Mauricie et des informations laissent croire qu'il serait en période de récidive. L'inspectrice en chef, Suzanne Lecompte, informe que seulement trois inspecteurs sont accrédités par Anima-Québec et qu'ils possèdent une carte d'identité avec photo. Écoutez Suzanne Lecompte, en audio ci-joint... http://www.corusnouvelles.com/regional.php Sophie Bernier / CHLN
  6. Animal

    Pour nous les filles...

    vendredi 12 janvier 2007 Le bilinguisme permet de retarder la sénilité selon une étude canadienne MONTREAL (AFP) - La pratique du bilinguisme permet de retarder la sénilité, selon une étude d'un institut canadien de recherche dont les résultats ont été dévoilés jeudi. "Nous avons constaté que le fait de parler deux langues plutôt qu'une semble être associé à un retard dans le développement de la sénilité", a déclaré dans un communiqué Ellen Bialystok, professeur à l'Université York. Les chercheurs ont découvert que, dans le groupe de 184 personnes étudiées qui étaient venues consulter pour des troubles cognitifs, des symptômes de sénilité faisaient en moyenne leur apparition à 71,4 ans chez les personnes unilingues, contre 75,5 chez celles qui sont bilingues. Cette différence demeure même lorsque l'on tient compte du niveau d'éducation, du sexe et du milieu social ou du pays d'origine des 184 personnes étudiées. Aucun traitement pharmacologique n'a un effet aussi spectaculaire que la pratique de deux langues, selon les chercheurs canadiens qui soulignent que ces résultats sont préliminaires. Ceux-ci seront publiés en février dans la revue Neuropsychologia. L'étude a été conduite par le Rotman Research Institute, un organisme de recherche associé à l'université de Toronto. http://fr.news.yahoo.com/12012007/202/le-bilinguisme-permet-de-retarder-la-senilite-selon-une-etude.html
  7. Quota de phoques Craintes et dissensions chez les chasseurs 12 janvier 2007, 15 h 18 . Le partage de la ressource était loin de faire l'unanimité chez les participants à la réunion annuelle du comité consultatif du phoque de l'Atlantique, qui s'est terminée vendredi à Halifax. Le ministère des Pêches et des Océans a accordé aux chasseurs des quotas élevés ces dernières années. Les chasseurs admettent généralement l'importance de diminuer le quota total au cours des prochaines années, mais cette nécessité exacerbe leurs différends au sujet du partage de la ressource. Selon Paul Boudreau, le vice-président de l'entreprise de transformation Tamasu, aux Îles-de-la-Madeleine, il est inacceptable que les chasseurs de Terre-Neuve obtiennent une très grande partie de ce quota, qui se chiffrait l'an dernier à 325 000 bêtes. « Aux Îles actuellement, on a un quota de 18 000 et on voudrait un quota de 30 000 têtes parce que si les quotas diminuent, on ne sera même pas capable de maintenir une industrie à l'extérieur de Terre-Neuve », explique M. Boudreau. Madeleine Blais-Morin rapporte les réactions de participants à la réunion du comité consultatif du phoque de l'Atlantique. http://www.radio-canada.ca/regions/est-quebec/2007/01/12/005-quotas-phoques.asp
  8. Craintes et dissensions chez les chasseurs Mise à jour le vendredi 12 janvier 2007, 15 h 18 . Le partage de la ressource était loin de faire l'unanimité chez les participants à la réunion annuelle du comité consultatif du phoque de l'Atlantique, qui s'est terminée vendredi à Halifax. Le ministère des Pêches et des Océans a accordé aux chasseurs des quotas élevés ces dernières années. Les chasseurs admettent généralement l'importance de diminuer le quota total au cours des prochaines années, mais cette nécessité exacerbe leurs différends au sujet du partage de la ressource. Selon Paul Boudreau, le vice-président de l'entreprise de transformation Tamasu, aux Îles-de-la-Madeleine, il est inacceptable que les chasseurs de Terre-Neuve obtiennent une très grande partie de ce quota, qui se chiffrait l'an dernier à 325 000 bêtes. « Aux Îles actuellement, on a un quota de 18 000 et on voudrait un quota de 30 000 têtes parce que si les quotas diminuent, on ne sera même pas capable de maintenir une industrie à l'extérieur de Terre-Neuve », explique M. Boudreau. Paul Boudreau ajoute que l'industrie de l'archipel se sent encore plus menacée, car elle ne pourra plus s'approvisionner aussi facilement à Terre-Neuve. Le gouvernement de Danny Williams a annoncé que, dès 2008, les peaux des phoques chassés à Terre-Neuve doivent être tannées dans la province, avant d'être exportées. « Donc, on dit au ministère, si Terre-Neuve veut mettre des barrières intergouvernementales, donnez-nous des quotas suffisants pour maintenir une industrie chez nous », déclare Paul Boudreau. David Deker, porte-parole d'un syndicat de pêcheurs à Terre-Neuve, affirme qu'il privilégie le statu quo. Il rappelle que le partage des quotas, quel que soit le type de pêche, ne fait jamais l'unanimité. Les recommandations du comité consultatif du phoque de l'Atlantique seront transmises au ministre des Pêches et des Océans, Loyola Hearn. Madeleine Blais-Morin rapporte les réactions de participants à la réunion du comité consultatif du phoque de l'Atlantique. http://www.radio-canada.ca/regions/est-quebec/2007/01/12/005-quotas-phoques.asp
  9. samedi 13 janvier 2007 CTV rapporte que le premier ministre Stephen Harper aurait invité le gouverneur de la Californie, Arnold Schwarzenegger, à effectuer une visite au Canada l'été prochain. Le but de cette rencontre: montrer qu'ils accordent tous deux de l'importance aux questions environnementales. http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Politique/2007/01/13/001-schwarzenegger-ottawa.shtml
  10. Dommage qu'en tant que pharmacien, il ne se soit pas lancé dans la bouffe santé VG ------------- De la soupe aux pois, du maïs en crème, des légumes... Jean Coutu lance sa marque maison et teste l'alimentaire Mise en ligne 12/01/2007 Le Journal de Montréal Marie-Ève Fournier Le Journal de Montréal Jean Coutu (PJC.A) se donne des airs d’épicerie avec son nouveau rayon «Tout un festin». La chaîne de pharmacies a même lancé sa propre marque de soupe aux pois et de maïs en crème http://argent.canoe.com/lca/infos/quebec/archives/2007/01/20070112-060512.html
  11. Moi aussi je l'ai vu ! Cependant, je trouve ça triste, que faute de moyens, cette femme doive le garder enfermé dans une cage
  12. Il y a une adresse pour les contacter ! http://www.bonnys.ca/?p=6&l=en
  13. Oui c'est effectivement Bonny's ou Bonnie's....
  14. Animo, te souviens-tu du nom de cet autre resto vg situé à Verdun ? (Bobbies... ?)
  15. Le vendredi 12 janvier 2007 Photo Reuters Un vaccin impopulaire contre la bactérie E. coli Stéphanie Bérubé La Presse Bonne nouvelle: une équipe de chercheurs canadiens a mis au point le premier vaccin bovin contre le type de bactérie E. coli qui a causé plus d'un épisode de contamination alimentaire l'année dernière. Moins bonne nouvelle: on ne doit pas s'attendre à voir les éleveurs de boeufs se précipiter pour faire vacciner leurs bêtes, à leur frais. La bactérie E. coli 0157:H7 est présente dans l'intestin des vaches. Les bêtes s'en portent très bien, mais le micro-organisme peut être sans pitié pour les humains qui le consomment, soit dans de la viande ou des légumes qui auraient été arrosés avec de l'eau contaminée. C'est ce qui est arrivé l'automne dernier: après avoir consommé des épinards californiens, 200 personnes ont été malades et trois sont mortes. On soupçonne que c'est aussi ce qui est arrivé le mois dernier chez Taco Bell, aux États-Unis. De la laitue contaminée serait responsable de l'épidémie qui a sévi chez les amateurs de tacos. Le vaccin mis au point par la firme canadienne Bioniche Life Sciences, en collaboration avec les universités de la Colombie-Britannique et de la Saskatchewan, réduit considérablement la quantité de bactéries dans les déjections des animaux. Il est déjà disponible chez les vétérinaires. Tous les experts consultés hier s'entendent toutefois pour dire qu'il n'y aura pas de ruées vers les bureaux des vétérinaires. «Il existe déjà des vaccins contre les bactéries E. coli pour les animaux qui sont malades, explique John Fairbrother, microbiologiste à l'Université de Montréal. Dans ce cas-ci, le vaccin est destinée à des vaches en santé, pour protéger la chaîne alimentaire.» La nuance est importante: pourquoi un éleveur déciderait-il d'investir dans un vaccin pour ses vaches saines? Selon John Fairbrother, les vaches seront vaccinées lorsque la pression viendra de l'industrie alimentaires et des consommateurs. Déjà, des producteurs modifient l'alimentation de leurs animaux pour diminuer les risques de contamination. Les probiotiques seraient une bonne protection, selon le scientifique. Les épisodes de contamination font très mal à l'industrie alimentaire. Une enquête menée par le Wall Street Journal a montré que pratiquement un consommateur sur 10 ne rachète jamais un aliment qui a causé une épidémie, même après que les autorités eurent assuré qu'il n'y a plus de risque. http://www.cyberpresse.ca/article/20070112/CPACTUALITES/701120709/1020/CPSCIENCES
  16. L'année dernière ils en ont beaucoup parlé dans les nouvelles mais ils ont sûrement décidé cette année de garder ça "top secret" étant donné les nombreux commentaires qu'ils avaient reçus suite à des images atroces qui avaient été présentées dans différents bulletins de nouvelles... N'empêche que si je me souviens bien, de nouveaux abattoirs ont vu le jour au Québec pour satisfaire aux demandes de cette clientèle...
  17. Regarde dans l'autre rubrique Linda, il y a d'autres articles concernant cette histoire... voir: Émoi pour une bête martyrisée
  18. (Québec) Et on continue de détruire nos forêts... et l'habitat des animaux... Ça va sûrement devenir à la mode, car c'est déjà la troisième fois que j'en entend parler ! Ça m'enrage de voir ça ! ----------------------------------------- Des cabanes dans les arbres pour accueillir des touristes Mario Pitre Les Hebdos Montérégiens Qui n'a pas rêvé dans sa jeunesse pouvoir vivre dans une cabane haut perchée dans un arbre ? C'est ce rêve que souhaitent développer un couple d'entrepreneurs de Sainte-Martine avec un projet d'hébergement tout à fait novateur, aménagé dans les arbres, et destiné à la clientèle touristique. Si leur projet va de l'avant, il sera possible de louer un chalet juché à 25 pieds du sol, au Domaine de l'auberge perchée, aménagé dans une forêt âgée de 150 ans, "sur de véritables porteurs d'histoire", mentionne Éric Bon. Celui-ci et sa conjointe, Nathalie Laberge, ont consacré plus d'un an d'efforts à la préparation de ce projet qu'ils veulent implanter dans le Haut Saint-Laurent. Une municipalité en particulier s'est montrée ouverte à les accueillir, et les deux promoteurs attendent d'obtenir le feu vert de la CPTAQ (Commission de protection du territoire agricole) avant de l'identifier; ce qui pourrait se faire dès janvier. Éric Bon est arboriculteur de métier, alors que Nathalie Laberge est formatrice dans le domaine agricole. "Je suis un aérien, alors que Nathalie est plutôt une terrienne", dit-il. Tous deux ont œuvré au Centre de formation professionnelle des Moissons, à Beauharnois. Au fil de leur expérience vécue il y a deux ans dans le site Arbraska, dans la montagne de Rigaud, les deux tourtereaux ont choisi, pour souligner leurs 40 ans, d'élaborer ce projet quelque peu féerique, et de lui donner vie, dans un total respect du domaine forestier. "On ne voulait pas de deux ou trois planches clouées ici et là, notre objectif est d'offrir un hébergement haut de gamme." En proposant cette nouvelle formule d'hébergement en altitude, le couple souhaite développer un produit d'appel et ne vise rien de moins qu'une clientèle nationale et internationale. Le couple a dû arpenter près d'une trentaine de forêts dans la région avant de déterminer leur site, mais souhaitait d'abord l'établir dans le secteur du Haut Saint-Laurent, précise Nathalie, puisque la région possède un fort potentiel agro-forestier et touristique. Leur projet, dont les investissements sont estimés à plus d'un million $, a d'ailleurs obtenu l'appui de plusieurs instances régionales, comme la SADC Suroît-Sud, le CLD et la MRC du Haut Saint-Laurent, de même que Tourisme Suroît. Un hommage à la forêt Nathalie et Éric conçoivent leur projet de manière à redorer le blason du milieu forestier, à mieux le faire connaître, et surtout, veiller à la préservation de cette précieuse ressource naturelle. "Quoi qu'on en dise, la forêt demeure méconnue au Québec, il y a plusieurs de ses aspects que les gens ne connaissent pas", avance Éric Bon. Les chalets d'une superficie de 400 pieds carrés seront construits sur une structure auto-portante, et l'arboriculteur précise que "aucun clou et aucune vis ne seront plantés dans les arbres." Ils seront habitables à l'année et seront reliés entre eux par des passerelles semi-rigides. Une douzaine de chalets pourraient être construits dans une première phase, en plus d'un bâtiment destiné à accueillir les bureaux de la direction. Chaque chalet sera autonome, chauffé au gaz, et sera alimenté en électricité et en eau potable. Toutefois, les promoteurs excluent volontairement les services de téléphone et de liens Internet. "On veut que les gens qui viendront ici se retrouvent dans un lieu de ressourcement, propice à la détente et à la découverte de la forêt", affirme Nathalie Laberge. Ce qui n'écarte pas la tenue d'activités d'animation tels que musique folklorique, contes et légendes, expositions d'artistes de la région, et ateliers d'interprétation de la forêt. Les services de restauration seront également assurés aux chalets, en mettant l'accent sur les produits régionaux.
  19. HAHAHHAHAHAHAHAH J'te comprends ma pauvre ! ... mais comme tu sais, y'a pas d'presse
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