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Le noël des animaux de zoo
Animal a répondu à un(e) sujet de hop dans ANIMAUX - Europe et autres continents
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On a repris des photos aujourd'hui à l'extérieur mais elles ne sont pas mieux que celles affichées plus haut car on voit la réflexion du soleil sur le plastifié... Mais en tous les cas, tu as quand même une bonne idée de ce qu'elle a l'air.... Depuis ce matin qu'on travaillait sur notre bannière en tissu, mais lorsqu'est venu le temps de transposer le lettrage, on s'est rendus compte qu'en le chauffant, le tissu rapetissait étant donné que ce matériel contenait aussi du nylon... C'est dommage car c'était réellement un beau tissu (mais on pourra s'en servir pour autre chose). On a donc dû abandonner et aller nous chercher du tissu en coton et ce soir nous allons refaire un autre essai... P. a acheté un logiciel pour faire des enseignes Je serai au sous-sol une partie de la soirée ma belle Cé et on se croise les doigts pour que ça fonctionne, et si c'est le cas, on devrait avoir une belle bannière A+ ma belle Cé, doxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx
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Le dimanche 07 janvier 2007 ÉDITORIAL La guerre du foie gras Ariane Krol La Presse Il y a deux moments où il convient de parler du foie gras. Avant les Fêtes, lorsqu'on planifie les festins à venir. Et juste après, quand l'abus de bonnes choses nous incite à comparer notre foie à celui d'un palmipède gavé. Mais ce n'est pas fini, car les défenseurs des animaux préparent une campagne choc sur le sujet. Espérons que le Québec ne réagisse pas façon aussi émotive que la Ville de Chicago et l'État de la Californie, qui ont tous deux mis cet abat à l'index. L'organisme montréalais Réseau Action Global (RAG) tentera évidemment d'en dégoûter les consommateurs. Mais il ne faut pas s'y tromper. Leur vraie cible, ce sont les producteurs québécois, dont ils aimeraient faire cesser les activités. Comparativement à d'autres secteurs agricoles, comme le porc ou la volaille, c'est une industrie minuscule. Mais à l'échelle continentale, elle n'est pas négligeable. Le Québec, la seule province productrice, est un fournisseur important en Amérique du Nord. Ses trois principaux élevages exportent aux États-Unis, où la demande, paradoxalement, est en pleine croissance. Le foie gras québécois risque donc d'être attaqué sur ce terrain-là aussi. http://www.cyberpresse.ca/article/20070107/CPOPINIONS/701070520/5034/CPOPINIONS
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Chicago, troisième pôle gastronomique en importance aux Etats-Unis après New-York et San-Francisco, vient d'interdire sur son territoire la vente de foie gras. Celui qui a mené la bataille, c'est le conseiller municipal Joe Moore. [Joe Moore] - "Chicago a suivi l'exemple d'une dizaine de pays européens, d'Israël et de la Californie, en adoptant des mesures pour bannir le foie gras de leur territoire. De cette façon, nous reflétons notre croyance culturelle qui veut qu'on ne torture aucun animal, ni toute autre créature de Dieu." Mais que pensent les restaurateurs de cette interdiction de vendre le foie gras? [Dominique Tougne, chef au Bistro 101, Chicago] - "Si le problème du foie gras était le dernier problème que l'on aie à traiter pour être sûrs que tout soit magnifique dans notre société, dans notre monde, je dirais "Ben allez-y, à 100 pour 100, y'a pas de problème." Ce qui me gène plus c'est tout le principe qu'il y a derrière qui, à moi, me... Ca me gène, je trouve que les gens, aujourd'hui, on fait trop de babysitting, c'est à dire qu'il faut prendre des décisions pour l'ensemble et, bon, c'est un p'tit peu dommage." Avis partagé par l'association des restaurateurs de l'Illinois: [Coleen McShana, Illinois Restaurant Association] - "Il faut sortir les politiciens de la cuisine et les déplacer dans la rue, là où se trouvent les vrais problèmes". Le foie gras n'est qu'un symbole, qu'une des cibles dans la mire des groupes de défense des animaux. Tels que le groupe PETA (People for the ethical treament of animals). [Renée Bergeron, agronome, Université Laval] - "J'pense que les gens sont pas toujours bien informés et quand c'est PETA qui les informe, ben on se retrouve avec, on pourrait se retrouver avec des excès, ou des aberrations." Renée Bergeron est spécialiste du porc. Elle enseigne l'éthique animale aux étudiants d'agronomie de l'Université Laval. "J'crois que ça nous démontre le pouvoir de certains groupes de protection des animaux, en l'occurence PETA. PETA a un très gros lobby aux Etats-Unis." PETA est loin d'être seul. De nombreux groupes font pression pour que l'on revoie nos méthodes d'élevage. Et beaucoup d'ouvrages traitant de l'éthique animale ont été publiés [à l'image, on entrevoit trois livres: "The Omnivore Dilemma" Michael POLLAN ; "The Way We Eat - Why our food choices matter" Peter SINGER et Jim MASON; Se nourrir sans faire souffrir" John ROBBINS] Déjà une dizaine de pays d'Europe interdisent aussi le gavage, et l'Union européenne prend tellement la question au sérieux qu'elle a mis sur pied un comité sur l'éthique animale dont le mandat est d'établir des règles de conduite dans tous les types de production animale. Aux Etats-Unis, la chaîne d'alimentation Whole Foods Market propose une façon d'acheter en tenant compte du bien-être animal. Il y a 190 Whole Foods Market à l'échelle des Etats Unis, dont deux ici, à Chicago. On en retrouve 3 au Canada: à Vancouver, Toronto et Oakville. [Employée du Whole Foods Market] - "Nous vendons du pâté contenant du foie de canards et d'oies, mais les animaux n'ont pas été gavés. Nous ne vendons pas de foie gras." La chaîne va plus loin que l'interdiction du foie gras: on n'y vend aucun homard ni crabe vivant, parce que, selon elle, aucune étude ne prouve qu'ils ne soufriraient pas pendant le transport et dans les viviers. [WFM] - "Nous ne vendons pas de homard vivant car selon nos normes, cette pratique est inhumaine." On retrouvera tout de même du homard et du crabe sur les étalages, mais cuits ou surgelés. La chaîne, en ce qui concerne la viande, s'assure auprès de ses fournisseurs qu'elle ne provient pas d'un animal qui a souffert. [WFM] - "Notre mission est d'offrir de la viande qui provient d'animaux élevés et nourris humainement. Ce qui permet d'offrir au consommateur un produit éthique." La chaîne d'alimentation refuse même de vendre des oeufs provenant de poules en cages. [WFM] - "Bien des producteurs de volailles coupent les becs des poulets pour empêcher qu'ils se blessent étant donné qu'ils sont entassés dans leurs cages. Nous, nous avons des poulets qui grandissent sans contrainte. Ils sont à l'extérieur, mangent de l'herbe et des insectes, une vraie vie de poulet, quoi." Les vaches ont aussi droit à un traitement VIP. [WFM] - "On veut s'assurer que nos animaux profitent de la vie. [le journaliste] - "Selon vos normes ils doivent donc passer deux tiers de leur vie à l'extérieur?" [WFM] - "Oui, ça permet aux vaches de vivre comme elles l'entendent. Avec leurs copains et leurs copines." La progression de la chaine Whole Foods Market témoigne d'une nouvelle prise de conscience de certains consommateurs. Celà interpelle les producteurs d'ici, du porc notamment, deuxième production en importance après le lait. Renée Bergeron a participé à l'élaboration des standards de Whole Foods Market concernant le porc. [Renée Bergeron, agronome, université Laval] - "Le bien-être animal, ce que c'est, en fait c'est du gros bon sens, ok, on veut des animaux bien nourris, on veut des animaux bien logés, on les veut en santé, mais on souhaite aussi qu'ils puissent faire leur comportement naturel (comme on voit ici), on veut respecter leurs besoins comportementaux. On veut aussi des animaux qui n'ont pas peur inutilement ou qui ne souffrent pas inutilement. Donc, finalement, c'est un principe très général, très global." [Le journaliste] - "Comment on sait qu'un animal est bien ou pas?" [RB] - "Y'a diverses façons de le mesurer. Son comportement nous en dit beaucoup. Au niveau physiologique, on peut mesurer les hormones de stress. S'il est pas stressé, normalement, son système immunitaire fonctionne bien et il va bien résister aux maladies" (Ferme Rheintal à Sainte-Monique-de-Nicolet) Même cette ferme de porcs biologiques, qui a pourtant des pratiques respectueuses et dont les animaux disposent de beaucoup d'espace, ne pourrait pas actuellement correspondre aux critères de Whole Foods Market, car notre climat l'hiver limite l'accès des bêtes à l'extérieur. [journaliste] - "Qu'est-ce que ça change pour nous comme consommateurs que l'animal soit bien traité?" [RB] - "En fait, pour certains consommateurs, je devrais dire, ça change beaucoup de choses. De plus en plus les gens veulent savoir, justement, comment les animaux ont été produits, parce qu'ils veulent... ils veulent le bon sentiment de ne pas avoir causé de souffrance" [journaliste] - "Est-ce que c'est une tendance qui est là pour rester, vous pensez?" [RB] - "Je crois que oui. Ca fait quand même 6 ou 7 ans, depuis que McDonald's a commencé avec ses normes Assurance qualité, et puis, on en a de plus en plus et puis maintenant ce qu'on voit c'est que même les producteurs qui sont dans la production conventionnelle ont décidé d'élaborer leurs propres normes, donc on est rendus à... on parle de bien être à tous les niveaux, c'est pas seulement la spécialité des gens qui sont dans le bio ou dans l'alternatif. Le conventionnel aussi veut montrer au public qu'ils font bien les choses." Mais il y a un prix à payer, on s'en doute bien. [RB] - "On peut pas tout avoir. On peut pas avoir la viande bien-être, avec le meilleur bien-être et payer le prix en vente chez Costco [Warehouse club américain http://en.wikipedia.org/wiki/Costco#Products ] " Enfin, si on est prêts à payer plus cher et que la tendance Whole Foods Market se maintient, c'est toute la façon de faire de l'industrie animalière qu'il faudra revoir dans les prochaines années.
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Trouvé sur la liste anti-foie gras octobre 2006- L'Épicerie http://www.radio-canada.ca/actualite/v2/lepicerie/niveau2_liste81_200610.shtml# ------------------------------------------------------------------- On vous a déjà parlé, à l'émission, de commerce équitable et biologique. Et voilà que se greffe à ce mouvement de consommation responsable un autre volet, qui tient compte des conditions d'élevage des animaux. Chicago, troisième pôle gastronomique en importance aux Etats-Unis après New-York et San-Francisco, vient d'interdire sur son territoire la vente de foie gras. Celui qui a mené la bataille, c'est le conseiller municipal Joe Moore. [Joe Moore] - "Chicago a suivi l'exemple d'une dizaine de pays européens, d'Israël et de la Californie, en adoptant des mesures pour bannir le foie gras de leur territoire. De cette façon, nous reflétons notre croyance culturelle qui veut qu'on ne torture aucun animal, ni toute autre créature de Dieu." Mais que pensent les restaurateurs de cette interdiction de vendre le foie gras? [Dominique Tougne, chef au Bistro 101, Chicago] - "Si le problème du foie gras était le dernier problème que l'on aie à traiter pour être sûrs que tout soit magnifique dans notre société, dans notre monde, je dirais "Ben allez-y, à 100 pour 100, y'a pas de problème." Ce qui me gène plus c'est tout le principe qu'il y a derrière qui, à moi, me... Ca me gène, je trouve que les gens, aujourd'hui, on fait trop de babysitting, c'est à dire qu'il faut prendre des décisions pour l'ensemble et, bon, c'est un p'tit peu dommage." Avis partagé par l'association des restaurateurs de l'Illinois: [Coleen McShana, Illinois Restaurant Association] - "Il faut sortir les politiciens de la cuisine et les déplacer dans la rue, là où se trouvent les vrais problèmes". Le foie gras n'est qu'un symbole, qu'une des cibles dans la mire des groupes de défense des animaux. Tels que le groupe PETA (People for the ethical treament of animals). [Renée Bergeron, agronome, Université Laval] - "J'pense que les gens sont pas toujours bien informés et quand c'est PETA qui les informe, ben on se retrouve avec, on pourrait se retrouver avec des excès, ou des aberrations." Renée Bergeron est spécialiste du porc. Elle enseigne l'éthique animale aux étudiants d'agronomie de l'Université Laval. "J'crois que ça nous démontre le pouvoir de certains groupes de protection des animaux, en l'occurence PETA. PETA a un très gros lobby aux Etats-Unis." PETA est loin d'être seul. De nombreux groupes font pression pour que l'on revoie nos méthodes d'élevage. Et beaucoup d'ouvrages traitant de l'éthique animale ont été publiés [à l'image, on entrevoit trois livres: "The Omnivore Dilemma" Michael POLLAN ; "The Way We Eat - Why our food choices matter" Peter SINGER et Jim MASON; Se nourrir sans faire souffrir" John ROBBINS] Déjà une dizaine de pays d'Europe interdisent aussi le gavage, et l'Union européenne prend tellement la question au sérieux qu'elle a mis sur pied un comité sur l'éthique animale dont le mandat est d'établir des règles de conduite dans tous les types de production animale. Aux Etats-Unis, la chaîne d'alimentation Whole Foods Market propose une façon d'acheter en tenant compte du bien-être animal. Il y a 190 Whole Foods Market à l'échelle des Etats Unis, dont deux ici, à Chicago. On en retrouve 3 au Canada: à Vancouver, Toronto et Oakville. [Employée du Whole Foods Market] - "Nous vendons du pâté contenant du foie de canards et d'oies, mais les animaux n'ont pas été gavés. Nous ne vendons pas de foie gras." La chaîne va plus loin que l'interdiction du foie gras: on n'y vend aucun homard ni crabe vivant, parce que, selon elle, aucune étude ne prouve qu'ils ne soufriraient pas pendant le transport et dans les viviers. [WFM] - "Nous ne vendons pas de homard vivant car selon nos normes, cette pratique est inhumaine." On retrouvera tout de même du homard et du crabe sur les étalages, mais cuits ou surgelés. La chaîne, en ce qui concerne la viande, s'assure auprès de ses fournisseurs qu'elle ne provient pas d'un animal qui a souffert. [WFM] - "Notre mission est d'offrir de la viande qui provient d'animaux élevés et nourris humainement. Ce qui permet d'offrir au consommateur un produit éthique." La chaîne d'alimentation refuse même de vendre des oeufs provenant de poules en cages. [WFM] - "Bien des producteurs de volailles coupent les becs des poulets pour empêcher qu'ils se blessent étant donné qu'ils sont entassés dans leurs cages. Nous, nous avons des poulets qui grandissent sans contrainte. Ils sont à l'extérieur, mangent de l'herbe et des insectes, une vraie vie de poulet, quoi." Les vaches ont aussi droit à un traitement VIP. [WFM] - "On veut s'assurer que nos animaux profitent de la vie. [le journaliste] - "Selon vos normes ils doivent donc passer deux tiers de leur vie à l'extérieur?" [WFM] - "Oui, ça permet aux vaches de vivre comme elles l'entendent. Avec leurs copains et leurs copines." La progression de la chaine Whole Foods Market témoigne d'une nouvelle prise de conscience de certains consommateurs. Celà interpelle les producteurs d'ici, du porc notamment, deuxième production en importance après le lait. Renée Bergeron a participé à l'élaboration des standards de Whole Foods Market concernant le porc. [Renée Bergeron, agronome, université Laval] - "Le bien-être animal, ce que c'est, en fait c'est du gros bon sens, ok, on veut des animaux bien nourris, on veut des animaux bien logés, on les veut en santé, mais on souhaite aussi qu'ils puissent faire leur comportement naturel (comme on voit ici), on veut respecter leurs besoins comportementaux. On veut aussi des animaux qui n'ont pas peur inutilement ou qui ne souffrent pas inutilement. Donc, finalement, c'est un principe très général, très global." [Le journaliste] - "Comment on sait qu'un animal est bien ou pas?" [RB] - "Y'a diverses façons de le mesurer. Son comportement nous en dit beaucoup. Au niveau physiologique, on peut mesurer les hormones de stress. S'il est pas stressé, normalement, son système immunitaire fonctionne bien et il va bien résister aux maladies" (Ferme Rheintal à Sainte-Monique-de-Nicolet) Même cette ferme de porcs biologiques, qui a pourtant des pratiques respectueuses et dont les animaux disposent de beaucoup d'espace, ne pourrait pas actuellement correspondre aux critères de Whole Foods Market, car notre climat l'hiver limite l'accès des bêtes à l'extérieur. [journaliste] - "Qu'est-ce que ça change pour nous comme consommateurs que l'animal soit bien traité?" [RB] - "En fait, pour certains consommateurs, je devrais dire, ça change beaucoup de choses. De plus en plus les gens veulent savoir, justement, comment les animaux ont été produits, parce qu'ils veulent... ils veulent le bon sentiment de ne pas avoir causé de souffrance" [journaliste] - "Est-ce que c'est une tendance qui est là pour rester, vous pensez?" [RB] - "Je crois que oui. Ca fait quand même 6 ou 7 ans, depuis que McDonald's a commencé avec ses normes Assurance qualité, et puis, on en a de plus en plus et puis maintenant ce qu'on voit c'est que même les producteurs qui sont dans la production conventionnelle ont décidé d'élaborer leurs propres normes, donc on est rendus à... on parle de bien être à tous les niveaux, c'est pas seulement la spécialité des gens qui sont dans le bio ou dans l'alternatif. Le conventionnel aussi veut montrer au public qu'ils font bien les choses." Mais il y a un prix à payer, on s'en doute bien. [RB] - "On peut pas tout avoir. On peut pas avoir la viande bien-être, avec le meilleur bien-être et payer le prix en vente chez Costco [Warehouse club américain http://en.wikipedia.org/wiki/Costco#Products ] " Enfin, si on est prêts à payer plus cher et que la tendance Whole Foods Market se maintient, c'est toute la façon de faire de l'industrie animalière qu'il faudra revoir dans les prochaines années. ------------------------------------------------------------------- On vous a déjà parlé, à l'émission, de commerce équitable et biologique. Et voilà que se greffe à ce mouvement de consommation responsable un autre volet, qui tient compte des conditions d'élevage des animaux. ...2
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ÉDITORIAL La guerre du foie gras Ariane Krol La Presse Il y a deux moments où il convient de parler du foie gras. Avant les Fêtes, lorsqu'on planifie les festins à venir. Et juste après, quand l'abus de bonnes choses nous incite à comparer notre foie à celui d'un palmipède gavé. Mais ce n'est pas fini, car les défenseurs des animaux préparent une campagne choc sur le sujet. Espérons que le Québec ne réagisse pas façon aussi émotive que la Ville de Chicago et l'État de la Californie, qui ont tous deux mis cet abat à l'index. suite: http://www.cyberpresse.ca/article/20070107/CPOPINIONS/701070520/5034/CPOPINIONS
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Je suis contente de savoir que tu es contente !!!!!!!!!! Je t'expliquerai demain comment on a fait ma belle Cé, car je viens de passer plus d'une heure au téléphone et là il faut que je ferme.... Oui je suis vraiment contente Cé ! Si tu avais vu les autres À demain ma belle Cé, XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXX
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Allo ma belle Cé, demain on prendra une photo le jour, car comme on l'a photographiée au sous-sol, elle paraît jaune, (même le mur paraît jaune alors qu'il est blanc) alors qu'en réalité, elle est blanche ! Elle mesure environ 4 pieds de large par 2 pieds de hauts et on l'a plastifiée On va essayer d'en faire une autre prochainement (en tissu)...Celle-là a été faite sur un fin plastique (genre nappe de cuisine). Elle a 4 oeillets
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What do you call a chicken without a head? A living chicken Alan Zammit You may think that chickens are some weak and dumb creature, yet nature holds many surprises to the mis-informed person. In fact, chickens can live without a head, even for two whole years. On Monday September 10, 1945, farmer Lloyd Olsen from Colorado was sent out by his wife to get a chicken to eat for supper. The farmer chopped the head off the five months old chicken, but something odd happened. Olsen failed to completely decapitate the bird, named Mike, leaving one ear and most of the brain stem intact, quite a botched decapitation. Not quite sure what to do with his by now loose head, on the first night after the decapitation the chicken slept with it under his wing. Its will to live convinced the farmer to save Mike from the cooking pot. Astonishingly for the farmer, the chicken did not die. Mike even tried to balance and walk, which it did by time. The farmer fed the Mike the Chicken a mixture of milk, corn and water via an eyedropper. The headless chicken quickly found fame, with many willing to pay a lot of money to see this bizarre side of nature, being in the front page of big-name magazines and newspapers. Mike's popularity was so big, it was earning the farmer over Lm1,500 per month which total around Lm16,000 inflation-arranged. Despite being headless (its head was later eaten by the cat), Mike lived on for 18 months when the prized chicken started choking, with the farmer forgetting the syringes to cure the choke. Mike died in March 1947, leaving behind a legacy, since Mike is still celebrated in his country home in Fruita, Colorado where 'Mike the Headless Chicken' Day is still celebrated. http://www.maltastar.com/pages/mag/msfullMagart.asp?an=8622
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La semence sexée bovine est disponible ! Jean-Charles Gagné, La Terre de chez nous 4 janvier 2007 jcgagne@laterre.ca Les producteurs de lait peuvent désormais compter sur la semence sexée femelle afin de mieux planifier le remplacement des sujets de leur troupeau. La semence sexée de certains des meilleurs taureaux de l’industrie permet aux éleveurs d’obtenir au moins 90% de veaux femelles. «Les résultats obtenus à la suite de tests effectués dans les fermes sont tellement concluants que nous pouvons sans crainte offrir la semence sexée aux producteurs laitiers», a déclaré le Dr Patrick Blondin, directeur de la recherche à L’Alliance Boviteq. Les centres d’insémination canadiens (Westgen, Gencor, Eastern Breeders et le Centre d’insémination artificielle du Québec), propriétaires de L’Alliance Semex, mettent en marché ce nouveau produit. Il a été obtenu à la suite de travaux effectués par L’Alliance Boviteq, le centre de recherche et de développement de L’Alliance Semex, à Saint-Hyacinthe. Tous les détails dans l'édition du 4 janvier de La Terre de chez nous.
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Du soya sans gras trans laterre.ca 4 janvier 2007 redaction@laterre.ca La demande pour les huiles hydrogénées sans gras trans propulse la culture du soya à faible contenu en acide linoléique vers des sommets inégalés. Le soya à faible contenu en acide linoléique est en forte demande aux États-Unis. Cette tendance s’explique notamment par la récente décision de quelques États américains, et de villes telles que New York, d’interdire la commercialisation de gras trans dans les restaurants situés sur leurs territoires. Les transformateurs alimentaires recherchent également des alternatives aux gras trans. Pour répondre à ces demandes, les fabricants de semences se bousculent aux portillons des agriculteurs américains pour leur offrir des nouvelles variétés de soya dont le contenu en acide linoléique est faible. La transformation de ce soya en huile permet d’obtenir un produit moins riche en gras trans. Actuellement, on estime qu’environ 750 000 acres (313 515 hectares) sont consacrées à la culture de ce type de semences, ce qui permettrait de répondre au tiers ou à la moitié de la demande. Ce soya se vendrait entre 0,21 et 0,80$ US de plus le boisseau.
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En d'autres mots, les vaches laitières du Canada pourront à nouveau voyager en camion pendant des jours jusqu'aux abattoirs des États-Unis !!! ------------------------------------------------------ Exportations de boeuf 30 mois ne serait plus trop vieux 5 janvier 2007 Veau Les États-Unis souhaitent augmenter leurs importations de boeuf du Canada et proposent d'ouvrir leurs frontières à tous les animaux nés après le 1er mars 1999. Actuellement, le boeuf canadien de plus de 30 mois ne peut pas être exporté chez nos voisins du sud. Les Américains ont choisi le 1er mars 1999 parce que c'est à cette date que le Canada a introduit ses règlements pour limiter la propagation de la maladie de la vache folle. Les citoyens américains ont jusqu'au 12 mars pour commenter cette proposition du département de l'Agriculture des États-Unis. Le secrétaire à l'Agriculture, Mike Johanns, a indiqué qu'il tiendra compte des commentaires dans l'élaboration de la nouvelle réglementation qui entrera en vigueur probablement au cours de l'été. Le secrétaire Johanns a ajouté que la nouvelle politique américaine continuera de protéger les consommateurs contre l'encéphalopathie spongiforme bovine et qu'elle sera un pas de plus vers l'établissement de relations commerciales basées sur des données scientifiques avec les pays qui ont adopté des mesures appropriées pour prévenir cette maladie. Les États-Unis avaient fermé leurs frontières au boeuf canadien après la découverte d'un cas de maladie de la vache folle dans un animal de l'Alberta en mai 2003. À la suite d'une longue saga judiciaire avec un groupe de fermiers de l'Ouest américain, le gouvernement des États-Unis a rouvert ses frontières aux animaux vivants en juillet 2005, mais uniquement à ceux de moins de 30 mois.
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Que penses-tu de celle-là Cé ? Elle prendrait à peu près une demi-page... 3 décembre 2006- L’honneur de déplaire Malheur à ceux qui, contre les conformismes de leur temps, se dressent pour énoncer une vérité qui dérange, pour proposer des idées nouvelles, pour contester des habitudes ancestrales. Les braves gens aiment ceux qui dans les médias leur renvoient une image chatoyante d’eux-mêmes, valorisent les situations et masquent du manteau de la vertu les vices d’une société. Que l’écologie est populaire lorsqu’elle consiste à disserter sur les merveilles en péril d’un monde menacé, qu’elle préconise la fermeture des robinets, surtout d’eau chaude ! L’admirateur du bon commandant COUSTEAU d’hier, de l’excellent Nicolas HULOT d’aujourd’hui, intriguera, auprès de son maire, pour que son lopin de terre devienne le plus constructible possible, aseptisera son jardin au lieu d’en faire une réserve naturelle, se laissera inviter dans la palombière du cousin Maturin au lieu de dénoncer la mort loisir, s’agglutinera sur l’autoroute et ne songera à la biodiversité que dans le si joli documentaire télévisé sur les richesses naturelles exotiques. L’opinion publique plébiscite les écologistes dans les sondages mais élisent les ennemis de la terre dans les urnes. Les candidats du vivant oscillent entre 2% et 6% des suffrages lors des divers scrutins qui font les véritables rapports de forces. C’est que trop de prudence, de pusillanimité, de discours édulcoré rendent l’écologie politique inaudible et indistincte. Que les candidats s’en réclamant demandent l’abolition de la chasse, l’interdiction des corridas, des mesures effectives contre la marée de béton et d’asphalte assassinant la terre et, tout en choquant les lobbies funestes, ils existeront en faisant de l’écologie. Le courage confine ici à la lucidité puisque loin de nuire, il s’avèrerait payant électoralement. Certes, l’abolition de la chasse et de la corrida ne saurait constituer une politique. Il faut défendre des services publics échappant au Marché, militer pour un État européen souverain, pour des barrières douanières tarifaires à l’échelon communautaire contre l’invasion de produits fabriqués par des pays semi-esclavagistes et pour combattre les délocalisations. Mais, un honnête social-démocrate peut préconiser l’Europe souveraine, le secteur public et les droits sociaux forts. En revanche, l’abolition de la chasse et de la corrida spécifie l’écologie éthique. Pour ne pas déplaire, les écologistes politiques Français risquent l’inexistence, l’évanescence, l’absence de raison d’être et laissent en jachère les attentes d’une fraction éclairée et sensible de la population. Amis des partis écologistes, réveillez-vous avant de disparaître et pratiquez l’honneur de déplaire aux ennemis de la terre. --------------------------------------------