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7 décembre 2006 L'épicerie d'Adamsville perquisitionnée Michel Laliberté La Voix de l'Est Bromont (Québec) Des agents de la protection de la faune ont perquisitionné hier matin l'épicerie Adamsville à Bromont. Ils sont repartis avec des sacs pleins de viande de chevreuil, a appris La Voix de l'Est. Le propriétaire du commerce, René Côté, nous a confirmé hier après-midi la visite des agents. La conversation a toutefois été de courte durée, M. Côté insistant pour dire que cette histoire ne regardait personne. «Je n'ai pas grand-chose à dire. Je n'ai rien à voir là-dedans», a-t-il lancé avant de raccrocher. Selon nos informations, M. Côté serait une bonne connaissance du présumé chef de la bande de braconniers. Les enquêteurs de la protection de la faune soupçonnent que le commerçant aurait dépecé des chevreuils que les braconniers auraient tués. Son commerce est équipé d'installations de boucherie. Les enquêteurs ignorent pour le moment ce qu'aurait obtenu M. Côté en échange de ses services de boucher.. L'enquête tentera par ailleurs de déterminer si le commerçant a vendu aux clients de son établissement de la viande de chevreuil provenant d'actes de braconnage. À lire dans La Voix de l'Est de jeudi. http://www.cyberpresse.ca/article/20061207/CPACTUALITES/612070960/5264/CPACTUALITES
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Le jeudi 07 décembre 2006 L'époque où le chien devait, pour mériter sa pitance, effectuer divers travaux physiques semble bien loin quand on voit ce chihuahua. Photo Robert Skinner, La Presse ANIMAUX DE COMPAGNIE Vie de chien ou chienne de vie? François Lubrina La Presse Collaboration spéciale Aujourd'hui, vivre pleinement sa vie de chien (quand on est un toutou!) est autrement plus compliqué qu'autrefois. Jadis, la domestication canine (à l'exception de rares et très aristocratiques chiens de Cour totalement oisifs) se résumait à ce pacte non écrit : en échange de sa pitance, le meilleur ami de l'homme était chargé de missions précises et de travaux très physiques garder ou rassembler les troupeaux, chasser, tirer traîneaux ou petits chariots, protéger le logis... En 2006, nombre de chiens rongent leur frein (sinon les meubles), seuls à la maison, en attendant le retour du maître ou de la maîtresse. Ce désoeuvrement chronique, les longues et insupportables absences du chef de meute, sont pesantes à la fin. Causant, parfois, une sorte d'anxiété de séparation qui se manifeste par des hurlements à la mort, une destruction en règle du mobilier, des tapis, des portes... Mais le chien, depuis la révolution tranquille, s'est aussi trouvé une toute nouvelle vocation. Nourri comme un coq en pâte, Médor est de plus en plus utilisé de façon thérapeutique comme prothèse affective; comme anxiolytique aussi. Pour les couples qui ont des enfants tardivement, c'est, en effet, le parfait substitut infantile en attendant que le véritable bébé arrive. Ce qui explique le succès paradoxal de races au faciès franchement rébarbatif, mais aux proportions idéalement enfantines, comme le bouledogue anglais ou français avec sa grosse tête plantée sur un petit corps, à la manière d'un bébé! Lorsque les enfants ont grandi et quitté la maison, un chien arrive souvent à point pour combler le syndrome maternel dit du «nid vide». De la même manière, en cas de rupture, le chien remplira un immense vide affectif. Ses effets bénéfiques ont d'ailleurs été démontrés, lors du divorce des parents, sur les enfants de 6 à 11 ans. On constate, alors, moins d'angoisse et d'agressivité chez la mère et moins de stress aussi sur sa progéniture. Le malentendu et le malheur, par contre, c'est que cet animal qu'on humanise à outrance perd parfois tout sens des vraies valeurs canines. Un peu comme ces bambins tyranniques auxquels on passe tous les caprices. Car ce prétendu confort mobilier dont Pitou bénéficie n'est malheureusement pas ce qu'il recherche, ni par nature, ni par instinct. Animal de meute, en effet, il a surtout besoin d'autorité et de protection. La nature ayant horreur du vide, en cas de manque flagrant de leadership dans la famille, le meilleur ami de l'homme s'engouffrera très vite dans ce formidable créneau pour en devenir le chef. Voire pour se comporter en véritable tyran domestique. Quitte à se montrer hyper jaloux ou agressif envers le nouveau bébé ou le nouveau conjoint. Pour remettre le chien à sa juste place dans la hiérarchie familiale, il convient donc, et selon Didier Pondmer qui est éducateur canin, de poser des balises précises et de limiter son territoire: «Il faut lui interdire l'accès à la cuisine, au canapé; ne pas répondre à sa demande quand il veut s'amuser ou se promener, mais prendre soi-même l'initiative du jeu; refuser qu'il se mette à votre hauteur ou vienne poser les pattes sur vos épaules ...» Car le grand drame existentiel et le mal-être du chien, de nos jours, c'est de devoir se positionner à mi-chemin entre le monde des bêtes et celui des moins bêtes. Victor Hugo disait, en son temps, que le chien était un véritable «candidat à l'humanité». Aujourd'hui, ce fidèle domestique y est entré de plein pied. Au point de manger à table avec ses maîtres, et au risque d'en perdre la boule! http://www.cyberpresse.ca/article/20061207/CPACTUEL/61207027/1015/CPACTUEL
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Kimo accompagné d'Alex à la S P C A avec le Père Noël
Animal a répondu à un(e) sujet de linda lachapelle dans Événements
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La Corée du Sud abat près de 100 000 volatiles Associated Press (AP) 26/11/2006 22h22 Iksan, le foyer de l'épidémie à environ 250 kilomètres au sud de Séoul. Ahn Young-joon (AP) Suite à la découverte cette semaine d'un foyer du virus hautement pathogène H5N1 de la grippe aviaire dans un élevage de poulets en Corée du Sud, les autorités ont procédé à l'abattage de près de 100 000 volatiles, a-t-on appris de source officielle lundi. Les services de quarantaine ont abattu 96 000 volatiles dans un rayon de 500 mètres autour du foyer, à Iksan, à environ 250 kilomètres au sud de Séoul, a précisé le ministère de l'Agriculture. D'ici jeudi, les autorités devraient élargir la mesure à 236 000 volatiles supplémentaires dans le secteur, ainsi qu'à un nombre inconnu d'autres animaux, tels que des porcs, des chiens et des chats, a ajouté le ministère. http://www2.canoe.com/infos/international/archives/2006/11/20061126-222233.html
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Clonage de singes et de cochons sauvages au Vietnam
Animal a répondu à un(e) sujet de hop dans ANIMAUX - Europe et autres continents
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Règlement permettant le compostage des carcasses de porcs à la ferme Québec (Québec), 30 novembre 2006 - Le ministre de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation, ministre responsable de la région du Centre-du-Québec et député de Richmond, M. Yvon Vallières, annonce l'entrée en vigueur le 30 novembre, d'un nouveau règlement permettant le compostage des carcasses de porcs à la ferme. Au cours des dernières années, des efforts considérables ont été déployés afin de trouver avec les partenaires du secteur agricole des méthodes de disposition des animaux morts qui soient en harmonie avec les aspects de la santé humaine, de la santé animale et de l'environnement. Le compostage des carcasses est un moyen supplémentaire que peuvent employer les producteurs de porcs pour disposer des animaux morts. « La disposition des carcasses de porcs représente un défi pour les producteurs. Ceux-ci ont été nombreux à témoigner de l'intérêt à recourir au compostage. Cette méthode, lorsqu'elle est appliquée de la façon prescrite, n'engendre pas d'odeur et elle est sécuritaire sur les plans sanitaire et environnemental, puisque les bactéries nuisibles sont détruites par les hautes températures que provoque le procédé. Je suis donc heureux de leur annoncer que c'est maintenant chose possible », a indiqué le ministre Yvon Vallières. Rappelons qu'il existe également trois autres modes de disposition des carcasses de porcs, soit la récupération, l'enfouissement à la ferme et l'incinération. Pour se prévaloir de la nouvelle mesure, les producteurs de porcs devront d'abord faire une demande au MAPAQ afin d'obtenir le nouveau permis de compostage à la ferme. Après avoir obtenu ce permis, ils seront autorisés à procéder au compostage en respectant les normes établies dans le Règlement sur les aliments. Ces normes exigent que le compostage des carcasses de porcs soit effectué dans un atelier conforme situé sur les lieux de l'élevage porcin. En outre, les producteurs doivent satisfaire aux conditions d'installation et limiter les activités de compostage de carcasses de porcs aux mortalités courantes. Un document d'information intitulé Compostage à la ferme des animaux porcins morts a été rédigé à l'intention des producteurs que le procédé peut intéresser. On peut se procurer ce document en communiquant avec la Fédération des producteurs de porcs du Québec ou en se rendant dans le site Internet du Ministère. Par ailleurs, les producteurs de porcs peuvent obtenir plus d'information sur le compostage à la ferme et sur les conditions liées à l'obtention d'un permis en consultant le site Internet du Ministère ou en téléphonant au 418 380-2130 ou au 1 800 463-6210. Site(s) extérieur(s) cité(s) dans cet article : Ministère de l'agriculture des pêcheries et de l'alimentation du Québec (MAPAQ) http://www.mapaq.gouv.qc.ca
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jeudi 30 novembre 2006 Grippe aviaire: Séoul va abattre un demi-million de volailles agrandir la photo SEOUL (Reuters) - La Corée du Sud va abattre plus d'un demi-million de volailles afin d'empêcher la diffusion de la grippe aviaire sous sa forme H5N1, parfois mortelle pour l'homme, après avoir tué près de 150.000 poulets à proximité de fermes où le virus a été détecté, annoncent les autorités. La semaine dernière, la Corée du Sud a confirmé son premier cas de H5N1 depuis environ trois ans. Le virus, a-t-elle dit, a été détecté dans deux élevages de volailles voisins à Iksan, à environ 170km au sud de Séoul. "Nous étendrons le périmètre d'abattage (...) afin de faire en sorte que la maladie ne se propage pas", a déclaré le ministère de l'Agriculture dans un communiqué. La Corée du Sud a décelé mardi un nouveau foyer de H5N1 dans un élevage de volailles. Le gouvernement a promis qu'il dédommagerait les éleveurs concernés par les mesures d'abattage.
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L'élevage aussi est une menace pour l'environnement Rome (Italie), 29 novembre 2006 - L'élevage de bovins produit-il davantage de gaz à effet de serre que les véhicules automobiles? Aussi étonnant que cela puisse paraître, la réponse est « oui ». Selon un nouveau rapport publié par la FAO, le secteur de l'élevage émet des gaz à effet de serre qui, mesurés en équivalent CO2 (18 pour cent), sont plus élevés que ceux produits par les transports. Il est aussi une source principale de dégradation des terres et des eaux. D'après Henning Steinfeld, Chef de la Sous-Division de l'information et des politiques en matière d'élevage de la FAO et un des auteurs du rapport, « l'élevage est un des premiers responsables des problèmes d'environnement mondiaux aujourd'hui et il faudrait y remédier rapidement ». Avec l'amélioration des revenus et la prospérité, les habitants de la planète consomment chaque année de plus en plus de viande et de produits laitiers. D'après les estimations, la production mondiale de viande devrait plus que doubler, passant de 229 millions de tonnes en 1999/2001 à 465 millions de tonnes en 2050, tandis que celle de lait devrait grimper de 580 à 1 043 millions de tonnes. Un lourd tribut Le secteur mondial de l'élevage croît plus vite que tout autre sous-secteur agricole. Il fait vivre quelque 1,3 milliard de personnes et assure 40 pour cent environ de la production agricole mondiale. Pour de nombreux agriculteurs pauvres des pays en développement, l'élevage représente aussi une source d'énergie renouvelable pour la traction animale et une source essentielle d'engrais organiques pour leurs cultures. Cependant, cette croissance rapide fait payer à l'environnement un prix élevé, selon le rapport de la FAO Livestock's Long Shadow -Environmental Issues and Options. « Les coûts environnementaux par unité de production animale doivent être réduits de moitié, ne serait-ce que pour éviter d'aggraver le niveau des dégâts », avertit le rapport. Lorsqu'on inclut les émissions d'utilisation des terres et de changements d'utilisation des terres, le secteur de l'élevage représente 9 pour cent du CO2 dérivant des activités humaines, mais il produit une bien plus grande part de gaz à effet de serre encore plus nocifs. Il est responsable de 65 pour cent des émissions d'hémioxyde d'azote (imputables essentiellement au fumier), qui a un potentiel de réchauffement global (PRG) 296 fois plus élevé que le CO2. Pluies acides Le secteur représente en outre respectivement 37 pour cent de tout le méthane dû aux activités humaines (agissant sur le réchauffement 23 fois plus que le CO2) qui est en grande partie produit par le système digestif des ruminants, et 64 pour cent de l'ammoniac, qui contribue sensiblement aux pluies acides. L'élevage utilise désormais 30 pour cent de toute la surface émergée de la terre, principalement des pâturages permanents mais aussi 33 pour cent des terres arables utilisées pour la production fourragère, indique le rapport. Les forêts sont malheureusement défrichées pour créer de nouveaux pâturages, en particulier en Amérique latine où quelque 70 pour cent des anciennes forêts d'Amazonie ont été converties en pâturages. Terres et eaux Parallèlement, les troupeaux sont à l'origine d'une détérioration des terres à grande échelle, 20 pour cent environ des pâturages étant considérés comme dégradés par le surpâturage, la compaction et l'érosion. Ce chiffre est encore plus important sur les terres arides où des politiques et une gestion de l'élevage inadéquates contribuent à l'avancée de la désertification. Le secteur de l'élevage compte parmi les secteurs les plus nuisibles pour les ressources en eau déjà appauvries, contribuant, entre autres, à la pollution de l'eau, à l'eutrophisation et à la dégénération des récifs coralliens. Les principaux agents polluants sont les déchets animaux, les antibiotiques et les hormones, les produits chimiques des tanneries, les engrais et les pesticides pulvérisés sur les cultures fourragères. Le surpâturage diffus perturbe le cycle de l'eau, réduisant la reconstitution des eaux souterraines et superficielles. La production de fourrage nécessite le prélèvement de grands volumes d'eau. Les animaux d'élevage seraient la principale source continentale de contamination par le phosphore et l'azote de la mer de Chine du Sud, contribuant à la perte de biodiversité des écosystèmes marins. Les animaux de boucherie et les animaux laitiers représentent désormais environ 20 pour cent de toute la biomasse animale terrestre. Remèdes Le rapport, qui a été réalisé avec le concours de l'Initiative multi-institutions Elevage, Environnement et Développement (LEAD), propose expressément de prendre en considération ces coûts environnementaux et suggère un certain nombre de moyens pour remédier à la situation, notamment: Dégradation des terres: contrôler l'accès et éliminer les obstacles à la mobilité sur les pâturages communaux. Utiliser des méthodes de conservation des sols et de sylvopastoralisme, et l'exclusion contrôlée de l'élevage des zones sensibles; instituer des mécanismes de rémunération des services environnementaux dans les utilisations des terres basées sur l'élevage pour aider à réduire et à inverser la dégradation des terres. Atmosphère et climat: accroître l'efficience de la production animale et de l'agriculture fourragère. Améliorer l'alimentation des animaux pour réduire la fermentation entérique et partant, les émissions de méthane, et mettre en place des usines de biogaz pour recycler le fumier. Eau: améliorer l'efficacité des systèmes d'irrigation. Instaurer une tarification de l'eau au coût de revient total et des taxes pour décourager la concentration de grandes unités d'élevage à proximité des villes. Ces questions, entre autres, sont au coeur des débats entre la FAO et ses partenaires qui se réunissent cette semaine à Bangkok pour tracer la voie de la production animale. Les discussions porteront également sur les risques importants de santé publique liés à l'accroissement rapide de l'élevage car, de plus en plus, les maladies animales touchent également l'homme. L'accroissement du secteur peut aussi aboutir à l'exclusion des petits exploitants des marchés de la mondialisation. Site(s) extérieur(s) cité(s) dans cet article : Organisation des nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) http://www.fao.org http://www.lebulletin.com/informations/actualite/article.jsp?content=20061203_231339_5028
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1er décembre 2006 Trois-Rivières Cruauté envers un chien : une récompense pour l’arrestation du responsable La pauvre bête, un chien appartenant à la race bull mastiff, n'a pas idée de tout l'intérêt qu'elle suscite. A la Société protectrice des animaux de la Mauricie (SPAM) où elle est en convalescence, les messages de compassion affluent sous une forme ou sous une autre. L’animal a été attaché à une clôture et frappé à coups de marteau plus tôt cette semaine dans la cour de l'école Saint-Paul à Trois-Rivières. L'indignation que provoque ce geste de cruauté a spontanément amené un propriétaire de trois animaux de compagnie à offrir, de sa poche, 500$ en récompense pour toute information qui conduira à l'arrestation des bourreaux. Les 500$, plus un autre 300$ recueillis pour la cause, seront remis à la SPAM et pourraient éventuellement être utiles pour les soins de l'animal. Parmi les appels reçus, quelques-uns offraient d'accueillir l'animal. Pour la SPAM, il est toutefois un peu tôt pour y songer. La police, de son côté, tentera d'arriver à quelque chose à partir notamment du marteau récupéré sur les lieux du crime. Les cas rapportés de cruauté animale sont rares. A la police de Trois-Rivières, c'est le second seulement en trois ans. (LC) tva/canoe
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Aidez les boeufs écorchés étant encore conscients
Animal a répondu à un(e) sujet de linda lachapelle dans Pétitions-Sondages-Suggestions
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Deux porcheries brûlent à Pierreville (Québec) Pierreville, (cjso) 10 Mars 2006 - Un incendie a détruit une partie d'une ferme de Pierreville dans la nuit de jeudi à vendredi. Deux des trois bâtiments d'une porcherie du rang Saint-Joseph ont été rasés par les flammes. Plus de 1000 bêtes qui se trouvaient à l'intérieur ont péris. Plusieurs personnes sur place croient qu'il s’agit d'un incendie criminel puisque les deux bâtiments étaient en flammes simultanément alors qu'ils sont éloignés l'un de l'autre. Le propriétaire ne croit pas quant à lui à un acte de vengeance. La Sûreté du Québec Centre-du-Québec a ouvert une enquête. Source: LCN et CJSO http://www.cjso.qc.ca/actualites.php?ctime=1142018331
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Mise à jour: 09/11/2003 08:27 Près d'Asbestos Un incendie ravage une porcherie à Wotton LCN LCN Un incendie a complètement ravagé une porcherie dimanche en début de nuit à Wotton, près d'Asbestos (Québec) Les 1500 bêtes à l'intérieur du bâtiment ont péri. Le sinistre aurait été causé par une lampe chauffante qui serait tombée au sol. Il n'y a pas eu de blessé. Les dommages matériels et les pertes animales frôlent un million de dollars http://www2.canoe.com/cgi-bin/imprimer.cgi?id=124634
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Mise à jour: 24/01/2004 11:27 3000 bêtes tuées Une porcherie rasée par les flammes LCN LCN Un incendie a complètement ravagé la nouvelle structure d'une porcherie à Sainte-Claire, dans le comté de Bellechasse (Québec). Le feu a pris naissance vers 8 h, rue Abénakis. Trois mille porcs ont péri dans les flammes. Une trentaine de pompiers combattu le brasier pendant plusieurs heures. Les pompiers de deux municipalités voisines ont été appelés en renfort. Le froid complique la tâche des sapeurs. Ceux-ci ont par ailleurs dû déplacer des bonbonnes de gaz situées à proximité, une opération délicate menée avec succès. La cause de l'incendie n'est pas connue pour l'instant, mais elle pourrait être liée aux travaux de construction en cours. Les pertes dépassent un million de dollars. http://www2.canoe.com/cgi-bin/imprimer.cgi?id=130840
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Voici mes deux réponses Cé... Je vais leur envoyer tout-à-l'heure...Si tu as quelque chose que tu voudrais que j,ajoute, laisse-moi savoir ---------------------- Pour répondre à Tanya Hello Tanya Maybe the best thing would be to contact the TV station which had broadcasted this news event as they were present at the scene. This is the address of the TQS TV station: tvpublic@tqs.ca TQS Service à l'auditoire 612, rue Saint-Jacques, bureau 100 Montréal (Québec) H3C 5R1 Téléphone : (514) 390-6035 ------------------------------------------------------------------------------------- Pour répondre à Stéphanie Hello again Stephanie, I understand that it could be problematic for an average trucker to maintain proficiency with either the “first aid” kit or euthanasia using a captive bolt following the initial training, but someone has to take the responsability ! Who can take charge if the drivers can’t - if the SPCA is not there - if there is no veterinarian available nor any inspector from the Canadian Food Inspection Agency ? Since policemen are usually the first ones to be called to an accident, and/or firemen depending on the type of accident, then why not give the police and the firefighters the mandate to carry out this task ? They could also be helpful when fires occur in farms and severely injured animals need to be put down. There are so many farms that burn down every year in Quebec... (encore un aujourd'hui: 600 pauvres cochons brûlés vifs... Je n'ai pas encore trouvé cette nouvelle que je viens d'entendre à l'instant)
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Mise à jour: 06/12/2006 18h17 LCN Granby Un réseau de braconnage démantelé Des agents de protection de la faune ont mis fin aux activités d'un groupe de braconniers qui oeuvraient principalement dans la région de Granby, en Montérégie. Quelque 88 agents sont intervenus dans le cadre de l'opération Bas-de-laine. L'enquête a commencé en 2004 lorsque de citoyens ont vu des chasseurs sans scrupules abattre des bêtes à toute heure du jour: 160 cerfs de Virginie ont été abattus. Les agents ont effectué 17 perquisitions, dans des résidences surtout et dans une boucherie de la région de Granby. Une trentaine d'individus seraient impliqués et pourraient faire à plus de 300 chefs d'accusation. Ils pourraient payer des amendes, totalisant plus de 300 000$. En vidéo, écoutez les explications de Jean-François Desbiens. http://lcn.canoe.com/lcn/infos/regional/archives/2006/12/20061206-181751.html
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Exigences environnementales Québec baisse le ton face aux agriculteurs Presse Canadienne (PC) Jocelyne Richer 06/12/2006 16h25 Le ministre de l'agriculture, Yvon Vallières, Claude Béchard et le président de l'UPA, Laurent Pellerin. PhotoPC/Jacques Boissinot La pression environnementale sur les agriculteurs québécois vient de baisser d'un cran. La perception selon laquelle les agriculteurs passent pour des parias de la société parce qu'ils polluent notre environnement est désormais dépassée, selon le ministre du Développement durable, Claude Béchard. «Le temps des chicanes entre l'agriculture et l'environnement, c'est fini!», a lancé le ministre Béchard, mercredi, devant quelque 600 agriculteurs réunis à Québec, dans le cadre du congrès annuel de l'Union des producteurs agricoles (UPA). C'est la toute première fois de l'histoire de l'UPA qu'un ministre de l'Environnement s'adressait directement au monde agricole et le ministre Béchard a été bien accueilli car il s'est présenté avec la main tendue. «Nous devons changer de ton et nous allons changer de ton», a-t-il promis, en annonçant un plan d'action de 10 millions $ accompagné d'une «paix réglementaire» pour les trois prochaines années. Dans l'esprit du ministre de l'Agriculture, Yvon Vallières, les producteurs agricoles devraient même être rebaptisés et passer pour des «agents de développement durable». La «paix réglementaire» que Québec s'engage à respecter signifie qu'au cours des trois prochaines années, si le gouvernement veut édicter un règlement qui pourrait affecter le monde agricole, ce dernier sera consulté d'abord et rien ne sera adopté sans consensus du milieu. Le président de l'UPA, Laurent Pellerin, jubilait, après des années au cours desquelles ses membres estimaient passer -aux yeux de Québec et des écologistes- pour des pollueurs à mettre au pas. «Quand on met une réglementation en place, il faut être sûrs qu'elle fonctionne. Il faut être sûrs qu'elle est adéquate» et qu'elle soit jugée acceptable par ceux qui devront l'appliquer, a expliqué le ministre Béchard, en conférence de presse. Il n'est cependant pas question de moratoire ou encore de relâcher l'application des normes et des lois environnementales, s'est-il empressé d'ajouter, pour rassurer sa clientèle naturelle. «On n'a pas parlé de moratoire. J'ai parlé de paix réglementaire. On a parlé de prévisibilité. On a parlé de ne pas avoir de surprise», a expliqué le ministre. L'environnement ne s'en portera que mieux, selon lui. «Je pense que l'environnement va être encore mieux protégé, si on est capable, quand on bâtit une réglementation, de la faire avec nos partenaires», a-t-il dit. Des partenaires Pour ceux qui en douteraient encore, les agriculteurs et l'UPA sont désormais inscrits sur la liste des partenaires du ministère du Développement durable. «Je n'ai jamais vu l'agriculture comme un secteur qu'il fallait mettre au pas», a insisté le ministre, flanqué du président de l'UPA, Laurent Pellerin, tout sourire et ne tarissant pas d'éloges envers le ministre Béchard. Le plan d'action annoncé mercredi consiste à financer une série de projets-pilotes en collaboration, sur une base volontaire, avec des agriculteurs de différentes régions du Québec qui éprouvent de façon plus aigJue des problèmes environnementaux. Ces projets, qui s'attaqueront à diverses composantes environnementales (pesticides, changements climatiques, efficacité énergétique, qualité de l'eau, etc.), seront menés entre 2007 et 2010, puis feront par la suite l'objet d'une évaluation. Quant à lui, dans son allocution, le ministre de l'Agriculture, Yvon Vallières, a profité de la présence, jeudi, au congrès de l'UPA, de son homologue fédéral, Jack Strahl, pour lui signifier son impatience de voir plusieurs dossiers du Québec aboutir. Qu'il s'agisse du soutien financier à accorder aux producteurs de céréales, des producteurs de pommes de terre aux prises avec un parasite, du programme de stabilisation du revenu agricole ou du cadre stratégique agricole préparé par le gouvernement fédéral, Québec estime qu'Ottawa ne répond pas à ses appels pressants. «Cela fait plutôt 10 fois qu'une que j'en parle à M. Strahl» et rien ne se passe, selon M. Vallières, qui a invité les producteurs à accentuer la pression sur le ministre fédéral pour qu'il traîne avec lui son carnet de chèques.
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Le 29 novembre 2006 à 17h11 Important réseau de présumés braconniers a été démentelé Donnez votre opinion! (0) commentaires (TQS-Mauricie) 19 suspects visés qui proviennent de Montréal, Québec, Saguenay et la Mauricie se rendaient chasser dans une pourvoirie de la Côte-Nord et ils ont réussi à abattre une trentaine d'orignaux depuis 3 ans. Ces présumés braconniers utilisaient un hélicoptère pour tuer leur bête. En Mauricie, 8 suspects seraient impliqués, dont 5 ont été interrogés par les agents de protection de la faune. 2 perquisitions ont été effectuées dans des résidences des secteurs St-Jean-des-Piles et Grand-Mère. En tout, 400 livres de viande d'orignal ont été saisies. Les présumés braconniers de la Mauricie s'exposent à 14 accusations ce qui totalise 35 milles dollars d'amendes. Au Québec l'opération Bourdon devrait mener au dépôt de 70 chefs d'accusations et des amendes qui dépasseront le quart de million de dollars. De plus, l'hélicoptère qui aurait servi à commettre les délits a été saisi. Les suspects devront comparaître par voie de sommation. D'autres arrestations pourraient survenir. http://www.tqs.ca/infos/mauricie/2006/11/Important-reseau-de-presumes-braconniers-a-ete-dementele-4809.php
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Le 06 décembre 2006 à 16h12 Opération anti-braconnage majeure Donnez votre opinion! (0) commentaires Les agents de la faune ont frappé un grand coup mercredi. Dans le cadre de l'opération « Bas de laine », ils ont démantelé un important réseau de braconnage, en opération depuis plusieurs années à Granby. En trois ans, les braconniers ont fait feu sur 150 bêtes. Les chasseurs disposaient d'armes de gros calibre en quantité impressionnante. Ils utilisaient également des tactiques déloyales. « Au Québec, un chasseur a le droit de tuer un cerf par année. Ces chasseurs en tuaient douze! C'est énorme », explique le directeur de la Protection de la faune. Une vingtaine d'endroits ont été perquisitionnés. Quinze armes ont été saisies. Plus de 500 kilos de viande de cerf, 4 véhicules et du matériel de chasse ont également été recueillis par les agents. Une vingtaine de personnes ont été interpellées. Elles pourraient faire face à plus de 300 chefs d'accusation. http://www.tqs.ca/infos/estrie/2006/12/Operation-anti-braconnage-majeure-4851.php