Animal

Article de René Barjavel au Journal du Dimanche du 30 novembre 1975 Laissez-les vivre Le merle noir et la merlette couleur d'écorce sont perchés côte à côte et tête-bêche sur une branche du marronnier. Elle regarde vers le rez-de-chaussée, lui vers la fenêtre du troisième. Là-bas et là-haut habitent de généreuses personnes de l'espèce humaine qui donnent régulièrement à manger aux pigeons. Le couple malin en prend toujours sa part, sans se mêler à la foule, par incursions rapides sur le bord du rassemblement glouton. De crainte des coups de bec, sans doute. Les pigeons n'aiment pas qu'on vienne manger dans leur assiette. Ils ont toujours peur de manquer. Ils avalent à toute vitesse. Ils engouffrent des quantités incroyables. Leur jabot s'arrondit comme une femme enceinte au huitième mois et demi. Quand il n'y a plus une seule graine, ils relèvent la tête, l'œil ahuri. Ils sont toujours étonnés par le fait que ce soit terminé. Leur cerveau doit être enroulé dès leur naissance autour de l'image d'un festin qui ne s'achève jamais, une montagne de riz, de maïs ou de pain mouillé sur laquelle ils sont posés, et qu'ils mangent, mangent, mangent pendant la vie éternelle. Le paradis-pigeon... Hélas ! avec ou sans ailes, on ne trouve rien de tel sur la Terre. Tout y a une fin. Ils s'envolent. Autant recommencer ailleurs. Le merle et la merlette sont partis depuis longtemps. Ils n'aiment pas tellement la table d'hôte. Ils sont plus gourmands qu'affamés. Lui est allé se percher sur l'antenne de TV. C'est de là que le matin, il prévient, en chantant, toutes les bêtes du quartier, et les humains qui veulent l'entendre, que ce n'est pas encore aujourd'hui que la nuit va prendre racine, et qu'une fois de plus le jour se lève. Le jour nouveau, rose dans l'œil du merle quand le soleil s'annonce, gris quand c'est la pluie, le jour toujours superbe. Le jour de lumière et de vie. Y pensez-vous parfois, le matin, que la nuit aurait pu rester? Je sais, vous avez appris à l'école : la Terre tourne, la nuit ne peut pas durer, c'est scientifique. Voilà où nous en sommes, avec nos connaissances : le jour ne nous émerveille plus. C'est un phénomène ordinaire. Le merle, lui, n'a rien appris. Il sait que le retour de la lumière est miraculeux. Et il chante... Si nous pouvions, chaque matin, commencer la journée en étant un peu merles... Retourner à l'"obscurantisme" primitif ? Renier nos connaissances ? Non. Aller au-delà. Si nous perçons la croûte de notre science, nous nous trouvons aussitôt devant le gouffre du mystère. La Terre tourne, le soleil brille, notre peau le sent, notre esprit le sait, la plante le boit… Pourquoi ? La science essaie de dire comment, mais sur le pourquoi elle se tait. Personne ne peut donner la réponse. Nous pouvons seulement répondre par la joie. Le jour se lève, le jour est un miracle, le soleil est un miracle, le merle est un miracle, la vie est un miracle... Rien de tout cela n'est ordinaire, banal, scientifique, explicable. Et que vous continuiez d'être un être vivant, qui voit, écoute, sent et pense, c'est un enchaînement de miracles, seconde apres seconde... C'est parce que nous l'oublions à chaque instant que nous avons si peu de considération pour la vie des autres vivants. Chaque année, à l'automne, une partie de la population humaine mâle de notre pays empoigne ses fusils et se précipite dans les campagnes pour tuer. Sans autre raison, sans autre besoin que le plaisir de tuer. En ma chère Provence, à la campagne, il n'y a plus d'oiseaux. Quand il en surgit un, égaré, imprudent, gros comme un tétard, cinquante chasseurs se précipitent pour le massacrer. Ailleurs, on élève des faisans qu'on jette devant les pieds des hommes armés, bottés, valeureux... Les bêtes, habituées à la mangeoire, n'ont même pas peur. Les héros s'en donnent à coeur joie, ça sent la poudre, la plume vole, on termine par un gueuleton. Le grand air et le meurtre donnent bonne mine. Ce qui est très profondément déplorable, c'est moins la tuerie elle-même que le fait d'avoir en France plus de deux millions de tueurs. C'est plus grave pour les hommes que pour les bêtes. Et il est grave pour la France que les présidents de la République donnent traditionnellement l'exemple du massacre. Je ne connais rien de plus navrant que le spectacle du président et de ses invités posant, satisfaits et solennels, derrière leurs victimes alignées sur le sol. Quelle victoire ! Si un de leurs enfants en faisait autant avec des mouches, ils le corrigeraient et craindraient pour son équilibre mental... Le premier président qui transformera les tirés de Rambouillet en refuge d'oiseaux laissera un nom dans l'histoire de France et d'Europe. Inviter les ambassadeurs à aller voir les oiseaux au lieu de les tuer, quelle leçon ce serait pour tous les hommes... J'ai des amis chasseurs. Ils ne sont pas tout à fait mes amis. Il y a leur fusil entre nous. Et vous qui êtes chasseur et qui me lisez, vous êtes aussi presque mon ami. C'est pour eux, c'est pour vous que j'écris ceci : la prochaine fois que vous irez à la chasse, essayez, honnêtement, de faire ce petit exercice, au moins une fois : quand vous aurez un oiseau ou un lapin au bout de votre canon, n'appuyez pas aussitôt sur la détente. En un instant, regardez-le, VOYEZ-LE, tel qu'il est, miracle de vie en mouvement, combinaison prodigieusement organisée da chair, de sang. d'efficacité et de beauté. Il a fallu trois milliards d'années pour le fabriquer et le mettre au point dans sa perfection. Allez-vous le détruire. VOUS ? Si votre index appuie, voilà, oui n'êtes plus que cela, réduit à la dimension de cette phalange, commandée par un instinct automatique qui est devenu votre maître et sous laquelle votre personnalité disparaît. Si vous VOYEZ, si vous admirez et laissez vivre, c'est votre esprit qui est entré en jeu, votre esprit d'homme capable de comprendre et d'aimer. Et alors,quelle joie vous éprouverez, qui se renouvellera sans cesse... Pour avoir VU la vie en un instant, vous allez la reconnaître et la voir partout. Dans ces arbres nus parmi lesquels vous marchiez sans les regarder et dont chaque cellule prépare avec puissance, avec obstination, le retour du printemps. Sous l'herbe sèche que vous foulez, et dont les racines vives contiennent les plans et l'élan de l'herbe nouvelle. Dans la motte de terre que votre semelle aplatit, et qui abrite autant de vies microscopiques qu'un ciel d'étoiles. Et en vous-même, qui sans cesse oubliez que vous vivez... Au fusil, au piège, à la strychnine, on tue, on tue, on tue. Involontairement, on détruit. Le D.D.T. perturbe la ponte et la reproduction. Pour laisser passer les tracteurs, on a rasé las haies. Elles étaient l'habitat des plus charmants de nos oiseaux : le rouge-gorge, le bruant, la fauvette, la linotte, le pinson. Ils disparaissent avec elles. Traqués, fusillés, empoisonnés, chassés dans toutes les campagnes, les oiseaux se sont réfugiés dans les villes. Il y a un couple de faucons au sommet d'un clocher parisien, je ne vous dirai pas lequel: II y a par bonheur des merles dans tous nos jardins et nos squares, des moineaux sur nos trottoirs, des pigeons sur nos toits. Mais l'inexplicable, furieux instinct de destruction de l'homme les poursuit jusque là. Il a pris une forme administrative. On fait la guerre aux pigeons sous prétexte de propreté. Les crottes de pigeons souillent les statues, et les façades de certains ministères… Quel dommage ! Quelle injure ! Ne pourrait-on pas, tout simplemant, les nettoyer ? Ce serait un beau métier d'être nettoyeur de statues... D'aller brosser les cheveux d'Alfred de Musset, caresser les épaules des Trois Grâces da Maillol... Cela coûterait cher? Cela ferait quelques chômeurs de moins à payer... Et j'aimerais savoir combien coûte la guerre aux pigeons, dont sont souvent victimes les moineaux. Vous avez pu voir dans la presse la photo de moineaux pris à la glu sur la corniche d'un immeuble et morts de faim, de soif et de peur. On m'a assuré que ce n'étaient pas les services municipaux qui avaient ordonné ce piègeage, mais sans doute le ou les responsables de l'immeuble en question. Je voudrais que celui qui a donné l'ordre de poser ces gluaux fasse un instant l'effort d'imaginer que c'est lui ou son enfant qui est pris jusqu'aux hanches dans une colle dont il ne peut s'arracher, au bord d'une falaise, sous le soleil et la pluie, personne ne venant lui porter secours, dans l'horreur et le désespoir, jusqu'à la mort... Je voudrais que chaque chasseur fasse l'effort d'imaginer qu'il est à l'autre bout de sa ligne de mire, que c'est lui qui va recevoir tout à coup la charge effroyable qui va lui broyer le corps... Je sais : on va me taxer de sensiblerie. C'est vite dit. C'est surtout à nous, les hommes, que je pense. Tuer nous avilit. Chaque coup de fusil blesse celui qui tire, et blesse l'espèce humaine tout entière. Les oiseaux sont l'écriture de Dieu entre l'arbre, la terre et l'homme. Le vol d'un oiseau explique et pose des mystères, montre le ciel, dessine l'amitié. Son chant est le langage universel que nous comprenons sans avoir besoin de le connaître. Il nous parle de joie et d'amour. Les oiseaux obligent les hommes à lever la tête vers le ciel. même ceux qui les tuent. Ils nous aident à vivre. En les tuant. nous détruisons ce qu'il y a de plus léger, de plus lumineux, de meilleur en nous. (trouvé dans un forum)

Découvrir l'agriculture grâce à l'école primaire Ariane Faribault Photo Patrick Roger, Le Courrier Richard Flibotte, président de la Commission scolaire; Martine Mercier, 1re vice-présidente générale de l'Union des producteurs agricoles; Nathalie Manseau, participante au projet l'an dernier; Lise Tremblay, agricultrice; et Yvan Bourgeois, directeur général de la CSST. Grâce à un important partenariat entre l'École professionnelle de Saint-Hyacinthe, l'Union des producteurs agricoles, la Fédération de l'UPA de Saint-Hyacinthe, la Commission de la santé et de la sécurité au travail et les agriculteurs de la région, 1000 élèves de 5e année auront la chance de découvrir l'agriculture à l'occasion d'un camp d'un jour dans une ferme. Le projet avait été testé du mois de mars au mois de juin 2006, et l'activité a remporté un tel succès auprès des 500 élèves qui y ont pris part et de leurs enseignants que les différents partenaires ont décidé d'aller de l'avant encore cette année. « Le camp d'un jour en agriculture permettra aux jeunes de découvrir un monde, qui se révélera peut-être pour eux une voie d'avenir, indique Richard Flibotte, président de la Commission scolaire. Notre rôle est de développer des centres d'intérêt chez les jeunes, de leur faire découvrir des choses qu'ils ne connaissent pas et de leur faire explorer différentes possibilités de carrière. C'est également une excellente occasion de leur présenter les richesses de leur milieu de vie. » Pas moins de 21 agriculteurs de la région, de différents types de production, ont déjà accepté de s'impliquer dans le projet. Les producteurs vont d'abord rencontrer les élèves en classe pour leur donner quelques informations sur leur quotidien, leur décrire l'horaire d'une journée de travail et leur expliquer l'attitude et les consignes de sécurité à adopter sur la ferme. « C'est une fierté pour moi de présenter ce projet en tant qu'agricultrice, parce que je crois beaucoup à ce que je fais, mais aussi en tant que commissaire de la Commission scolaire, parce que je crois aussi beaucoup à l'éducation, indique Lise Tremblay, productrice d'oeufs d'incubation à Saint-Liboire. Recevoir les jeunes, ça veut d'abord dire leur transmettre des connaissances, car ils ne connaissent pas l'agriculture du tout. Ça suscite beaucoup de questions chez eux. Et il faut dire que les jeunes sont très préoccupés par le développement durable et l'environnement. » http://www.lecourrier.qc.ca/edition/2006-11-29/104pp5v.html

2 dec. 2006- Hundreds of animals liberated by the Italian ALF It has been reported by the Italian media that 25 monkeys as well as a 1000 mice have been liberated from a breeding unit of Harlan, Italy. Italian media outlets have said that the raid took place in Correzzana - northeast of Milan in the early hours of Tuesday 21st November at approximately 12.55pm. Newspaper reports state spray painted messages left at the scene claimed the action on behalf of "Fronte Liberazione Animale (FLA)." Computers and other equipment are said to have been destroyed in the raid and it is said that access to the animals was gained by the FLA activists cutting a hole on the roof. A press release by Harlan on the same day of the raid has claimed: "They caused substantial damage, destroyed laboratory equipment and smeared internal walls with blood and faeces, which we believe may have been video taped for possible publication in order to create a false and improper impression of our facility and activities. Harlan takes pride in providing quality animal facilities and high standards of animal care. All Harlan facilities meet or exceed all regulatory standards." The press release goes onto say "the Company deplores the use of such criminal behaviour and Harlan will fully support the police in the prosecution of anyone involved in this criminal activity." Harlan was founded in 1931 and is a major international company which provides animals as well as animal feed and bedding to vivisection laboratories around the world. Harlan has facilities located throughout the world, including the USA, Spain, Germany, Italy, France, Israel, The Netherlands, Mexico and the UK. According to the company's website, it supplies more stocks and strains of laboratory animals to research than any other commercial producer in the world. It handles beagles, marmosets, rabbits, guinea pigs, rats, mice, gerbils, cats and hamsters and over 225 stocks and strains of laboratory animals including hybrid, mutant and transgenic animals. A report by the British Union for the Abolition of Vivisection (BUAV), who undertook an investigation of a Harlan UK facility, makes Harlan's account of how they treat their animals in their press release look somewhat disengenous. The BUAV investigators found that animals were kept in multi-tiered metal cages in one unit where guinea pigs are bred. Many of the cages were overcrowded and contained both adults and their young. The floors of the cages were made up of metal bars rather than a solid floor, and although hay is initially put in each cage, it is soon pushed through the bars leaving the animals to live and even give birth on the bare bars. Baby guinea pigs in particular have difficulty walking on these bars: their paws fall through and become trapped. Some were found trampled to death by the adults. The BUAV report goes on to say: "On some occasions the guinea pigs have been neglected through not being checked, fed or watered. In March 1997 the animals were not cleaned, fed or watered for four days. In August 1998 the animals were again not fed or watered for a number of days - eight adult guinea pigs and a number of new-borns were found dead, arguably as a direct result of this neglect. Mass killings of hundreds of 'excess' guinea pigs, rats and mice also take place on a regular basis. Most of the entries in Harlan UK's records do not even record the numbers of animals that are killed. However, in just eight days during December 1997, 53 rats and 82 mice were killed. On just one day in August 1998, 84 mice and 12 guinea pigs were killed. Harlan UK also provides a housing service to other research companies for both stock and experimental animals. A group of stump-tailed macaque monkeys and a number of cynomolgus monkeys are also kept on site. The unit containing the macaques has no windows and no natural light. They are housed singly in small, barren metal and wooden pens. The monkeys have been on the site for years. The oldest macaque, who was killed recently, was 29 years old. She was killed only recently." The Harlan press release concludes "We are deeply saddened by the notion that animals cared for in a controlled environment will be subject to undue suffering by being released by the activists into the external environment." It is also believed that Oxford University house their entire stock of breeding macaques at a Harlan UK facility located in Leicestershire. When the BUAV investigator was working undercover at the Leicestershire facility primates being transported from Oxford University to Harlan died - one male and one nursing female died en route. The BUAV investigator was told that their death was due to them being over-sedated. It is also known that Michael Festing is a consultant to Harlan UK. Michael Festing is the father of Simon Festing, who is the Director of the Research Defence Society (RDS), an organisation that is financed by the vivisection industry and acts as a front to the vivisection industry. It is widely rumoured the Simon Festing gained his position due to the influence his father has in the vivisection industry. http://www.arkangelweb.org/international/italy/20061125harlan.php

Nov 25, 2006 3:00 - Bear gallbladder sales spark concern, debate BALTIMORE - Harvesting the gallbladders of black bears is an ancient Asian medical practice that causes concern and debate in the United States and in Maryland, experts say. “It’s pretty widespread,” said Julie Janovsky, of the International Fund for Animal Welfare. “Illegal poaching is going on throughout the country.” Two Maryland hunters pleaded guilty Wednesday in U.S. District Court in Baltimore to importing black bear bladders for use in Chinese herbal medicine. Authorities charged Terence Beaulac, 39, and Richard Dempsey, 38, after they were caught with nine bladders while returning from a hunting trip to Saskatchewan, Canada, in June 2005, according to an agreed-upon statement of facts. The men planned to sell the organs for between $50 to $100, prosecutors said. Beaulac and Dempsey face a maximum sentence of five years in prison and a $250,000 fine. People opposed to the harvest of bear gallbladders say it is cruel and inhumane to animals. Former U.S. Rep. Helen Bentley, who fought against the practice while in Congress, said the practice is a “sin.” “It’s sinful that they kill these big beautiful animals to get their bladders to sell in China and Korea,” she said. But Tony Nette, the manager of Wildlife Resources in the Canadian province of Nova Scotia, where selling bear gallbladders is legal, said the body parts are considered to have a good medicinal value by many Asian societies. “It’s used to treat everything from headaches to hemorrhoids. And apparently it’s pretty effective,” he said. “In Nova Scotia, if you kill the bear, you have the right to use the parts.” Legal or not, the bear gallbladder trade is noticeable across the United States, said Ed Grace, Special Agent with U.S. Fish and Wildlife Service. “Catching people for gallbladders is not an unusual occurrence,” he said. lbroadwater@baltimoreexaminer.com http://www.examiner.com/a-418840~Bear_gallbladder_sales_spark_concern__debate.html

Mon petit commentaire: Oui il faut interdire la chasse aux phoques... L. DeBlois Dimanche 03 Décembre 2006 @ 9:41 Les phoques sont abattus vers l'âge de 12 jours: ils ne sont plus tout-à-fait des blanchons car ils ont commencé à perdre leur pelage blanc mais ce sont quand-même des bébés phoques. Il faut arrêter de faire de la désinformation. De plus, ce ne sont pas les phoques qui sont responsables de la disparition de la morue et autres poissons de fond, mais bien la surpêche. Il faut arrêtez de faire de la désinformation. Les images/vidéos de chasse au phoque qui circulent en Europe ne sont pas de vieilles images: Elles sont récentes et ont toutes été prises sur la banquise par IFAW, HSUS, etc. etc. Il faut arrêtez de faire de la désinformation. Oui la chasse au phoque doit cesser, tout comme toutes les autres atrocités perpétrées envers des êtres innocents qui veulent vivre en paix et qui tiennent à leur vie autant que nous tenons à la nôtre. L. DeBlois vegan et fier de l'être ! http://www.la-vie-rurale.ca/index.php/rural/opinions/la_chasse_au_phoque_un_secteur_en_perdition

POUR VOTER OU LAISSER UN COMMENTAIRE http://www.la-vie-rurale.ca/contenu/9847 LA VIE RURALE, Éditorial, 23 Novembre 2006 Si vos revenus dépendent en tout ou en partie de la chasse aux phoques, commencez à chercher un autre métier. Bientôt, vous ne pourrez plus exercer cette chasse car elle deviendra illégale suite aux pressions internationales. Actuellement des députés du Parlement européen au nombre d'une dizaine, ont rencontré aujourd'hui des membres du comité des Communes sur les pêches. Dans ce groupe, des députés canadiens ont défendu l'industrie de la chasse aux phoques qui est bien malmenée dans les médias européens. Les députés européens qui sont actuellement à Ottawa subissent depuis plusieurs mois d'intenses pressions médiatiques et un puissant lobby de la part des défenseurs des droits des animaux. SUITE: http://www.la-vie-rurale.ca/contenu/9847

http://www.la-vie-rurale.ca/contenu/9847 La Chasse au phoque, un secteur en perdition Chasse aux phoques Ricardo Codina <ricardo.codinaSPAMFILTER@la-vie-rurale.ca> LA VIE RURALE, Éditorial, 23 Novembre 2006 Photo: Le Québec maritime Si vos revenus dépendent en tout ou en partie de la chasse aux phoques, commencez à chercher un autre métier. Bientôt, vous ne pourrez plus exercer cette chasse car elle deviendra illégale suite aux pressions internationales. Actuellement des députés du Parlement européen au nombre d'une dizaine, ont rencontré aujourd'hui des membres du comité des Communes sur les pêches. Dans ce groupe, des députés canadiens ont défendu l'industrie de la chasse aux phoques qui est bien malmenée dans les médias européens. Les députés européens qui sont actuellement à Ottawa subissent depuis plusieurs mois d'intenses pressions médiatiques et un puissant lobby de la part des défenseurs des droits des animaux. Interdiction de la chasse aux phoques au Québec Devrions-nous interdire la chasse aux phoques au Québec? Oui Non Indécis Un député du Parti Vert en Écosse, Ian Hudghton, a affirmé à Radio-Canada que les parlementaires ont reçu des centaines de lettres de citoyens qui s'opposent à la chasse au phoque. Ces lettres sont accompagnées de photos de phoques dépecés sur la banquise et qui gisent dans leur sang. Voilà pourquoi une majorité de députés ont voté afin d'interdire la vente des produits de cette chasse. Aujourd'hui, les députés canadiens ont bien entendu répondu aux questions de ces parlementaires européens tout en dénonçant les arguments démagogiques de certains opposants à la chasse aux phoques en Europe. « Malheureusement, on fait face à une campagne de désinformation et de démagogie », a déclaré le député de Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine, Raynald Blais à Radio-Canada. « Les blanchons ne sont plus tués depuis 1982 », a-t-il tenu à préciser. Or la plupart des photos qui circulent en Europe pour dénoncer la chasse aux phoques sont celles des blanchons gisants dans leur sang sur la banquise, photos qui datent de près de 25 ans. Nous parlons bien de démagogie dans le cas de l'utilisation de telles photos. Certaines photos sont toutefois plus récentes et montrent bien l'état actuel de la chasse aux phoques adultes et des méthodes utilisées. Certes, la banquise est l'abattoir à ciel ouvert de ce type de chasse. Le rouge du sang chaud sur le blanc glacial de la banquise attise l'imagination et déclenche des émotions intenses. Personne ne peut dire que c'est beau et que les bêtes ne souffrent pas. Souffrent-elles plus que les bœufs qu'on envoie à l'abattoir industriel, souffrent-elles plus que les oies que l'on gave de force pour leur faire exploser le foie (foie gras de France). Des collectivités entières dépendent de la chasse aux phoques et à cause d'une campagne en grande partie démagogique, des centaines de personnes devront rester au chômage à l'année ? C'est injuste. Les éleveurs Français de foie gras vont continuer à prospérer en faisant souffrir leurs oiseaux alors que les chasseurs canadiens vont devoir se recycler ? Injuste, c'est du deux poids deux mesures et il est à espérer que les députés canadiens le feront vigoureusement remarquer aux parlementaires européens en visite. Ces derniers semblent très à l'écoute, il est à espérer que leurs électeurs le soit aussi. Si tel n'était pas le cas, si le Canada devait légiférer pour que cesse la chasse aux phoques, et ça s'en vient, il serait primordial qu'il instaure un moratoire sur les produits européens issus de la souffrance des animaux : viande halal, foie gras etc. Si les chasseurs de phoques doivent pointer au chômage, il serait normal que les éleveurs d'oies qui font le foie gras fassent de même. N'êtes-vous pas d'accord amis européens ? http://www.la-vie-rurale.ca/contenu/9847 Commentaires http://www.la-vie-rurale.ca/contenu/9847

D'après ce texte, les policiers auraient pu mettre fin aux souffrances des cochons avec une arme à feu. Pourquoi ne l'ont-ils pas fait ? Où était le vétérinaire, la SPCA ? --------------- Les animaux grièvement blessés doivent être examinés par un vétérinaire si possible. Il faudra peut-être euthanasier les animaux très souffrants ou dont les blessures sont intraitables. Les méthodes recommandées pour euthanasier des mammifères sont, par ordre de préférence, l’administration d’une drogue euthanasiante par un vétérinaire; l’étourdissement à l’aide d’un pistolet à cheville percutante suivi de l’ouverture de la gorge par un employé expérimenté; l’euthanasie à l’aide d’une arme à feu par un agent de police expérimenté, un agent de conservation ou un constable spécial de la SPCA. L’euthanasie à l’aide d’une arme à feu est une procédure dangereuse qui doit être exécutée seulement en dernier recours dans des conditions contrôlées (voir annexe 4).

Le végétarisme: La meilleure alternative contre la faim dans le monde Petit rappel: apparemment, ce sont les animaux qui nous nourrissent; mais si l'on y regarde à deux fois, on peut se rendre compte que c'est nous qui leur donnons à manger et non le contraire. Le coût d'un kilo de protéines animales est vingt fois plus élevé que celui d'un kilo de protéines végétales.On ne retrouve que 10% des protéines et calories consomméés par le bétail dans la viande que l'on mange, le reste est perdu. Selon les chiffres observés par pas la FAO (Organisation des Nations Unies pour l'Agriculture et l'Alimentation), pour nourrir un troupeau on uilise 95% de la production mondiale de soja, et 44% de la production de céréales; autrement dit, les animaux consomment 600 millions de tonnes de céréales par an, alors que 60 millions de gens meurent de faim chaque année dans le monde. Aux Etats Unis par exemple, plus de 80% du maïs et environ 90% de l'avoine cultivée sont destinés à l'alimentation animale.... 2006-11-29 11:49 ------------------------- La révolution, c'est entre toi et ton assiette. Le simple fait de manger entraine des conséquences politiques et sociales que tu ignores. Ta cuillère est ta meilleure arme.Prends donc conscience qu'il peut être plus effectif de retirer la viande de son assiette que de faire des manifestations politques ou caritatives. http://larevolutiondelacuillere.com/

samedi 2 décembre 2006 Brigitte Bardot salue "l'humanité" de Janez Drnovsek, seul président végétarien de l'UE PARIS (AP) - Brigitte Bardot a pris sa plus belle plume vendredi pour adresser une missive de louanges au président slovène Janez Drnovsek, à qui elle tient à témoigner toute sa reconnaissance, se réjouissant "qu'un homme politique, du plus haut rang, puisse se comporter en être humain". "Je tiens à vous témoigner toute ma reconnaissance, mais aussi mon émotion car vos paroles m'ont touchée" écrit B.B., en référence à un entretien du président slovène paru dans "Végétarien magazine". "Savoir que le Président de l'un des Etats membres de l'UE est végétarien, qu'il s'oppose à l'expérimentation animale, à la chasse, à l'élevage intensif et aux transports des animaux vers les abattoirs est plus qu'un réconfort, c'est un espoir", poursuit-elle. "Ce n'est ni utopique ni impossible, il suffit simplement de considérer l'animal pour ce qu'il est: un être vivant", rappelle la présidente de la Fondation Brigitte Bardot, louant la politique tournée en faveur du respect animal menée par le président slovène. Ce dernier a par exemple "dénoncé les scandaleuses subventions accordées par l'UE aux élevages intensifs" alors que "la PAC devrait encourager une production respectueuse des espèces et des habitants en favorisant les élevages extensifs avec parcours libres pour les animaux" détaille B.B. Et d'enfoncer le clou: "Si seulement nous avions un candidat qui soit un Janez Drnovsek, ne serait-ce que son ombre", ajoute-t-elle, égratignant au passage la campagne électorale présidentielle française, qui "brille par sa médiocrité", avant de conclure sa missive en "embrassant de tout coeur" le président slovène. Elu en 2002, Janez Drnovsek, 57 ans, est connu pour avoir complètement modifié son mode de vie ces dernières années en devenant entre autre végétarien. AP rao/com/tl http://fr.news.yahoo.com/02122006/5/brigitte-bardot-salue-l-humanite-de-janez-drnovsek-seul-president.html

Le samedi 02 décembre 2006 De nombreux arbres matures ont été abattus, et le parc est dans un état lamentable. Photo Patrick Sanfaçon, La Presse LA VILLE A ABATTU 120 ARBRES D'UN SEUL COUP Coupe à blanc dans un parc de Westmount Éric Clément La Presse Quelque 120 arbres, dont un grand nombre étaient matures, notamment un chêne bicentenaire, ont été abattus par la Ville de Westmount dans le parc Sunnyside pour améliorer la vue du belvédère situé au bord du parc Summit : une opération «inacceptable» pour les Amis de la montagne, qui avaient conseillé plus de retenue. Le parc Sunnyside était, hier, une aire de désolation. Un nettoyage draconien à la tronçonneuse n'a laissé que huit arbres matures et quelques bouquets d'arbustes. Tout le reste a été coupé. Bien que ce parc ne fasse pas partie de l'arrondissement historique et naturel du Mont-Royal et qu'il soit à la limite de l'écoterritoire des Sommets et Flancs du Mont-Royal, les Amis de la montagne se sont émus de cette coupe à blanc. Tout en comprenant que le belvédère «offre une perspective unique et de grande qualité vers l'ouest de l'île de Montréal», ils avaient conseillé à Westmount l'été dernier de procéder à des élagages étalés sur plusieurs années plutôt que d'abattre certains arbres. L'organisme estimait que, en laissant des fenêtres de verdure, on améliorerait la vue tout en respectant la végétation qui faisait la richesse de ces lieux. http://www.cyberpresse.ca/article/20061202/CPACTUALITES/612020788/1019/CPACTUALITES

Fri Dec 1, 11:18 AM ET OSLO (AFP) - Norway has authorised its whalers to harpoon 1,052 whales in the 2007 season, the same number as the previous year, despite whalers fulfilling only half the 2006 limit. "The quota is the same as in 2006. There is a crucial difference: in 2007 it will be permitted to catch 900 animals along the (Norwegian) coast ..., an increase of 300 animals in theses areas compared to this year," interim Fisheries and Coastal Affairs Minister Dag Terje Andersen said in a statement. The government hopes the increase in the number of kills permitted in coastal waters will make it easier for whalers to fulfill their hunt quotas. Just over 500 minke whales were killed this year, even though the government had set an upper limit of 1,052 animals. This year's quota was the largest since Norway resumed commercial whaling in 1993, despite an International Whaling Commission moratorium on the practice in place since 1986. Whalers have said poor weather and high oil prices -- that have squeezed whaler's margins as they sometimes sail long distances in the search for whales -- have resulted in the low catch. Supporters of whaling argue that certain species, such as the minke, exist in sufficient numbers to allow a limited hunt. Japan allows whaling, officially for scientific research. Until recently Norway was alone in allowing commercial whaling. But in October was joined by Iceland which authorised a catch of 30 minke whales and nine fin whales through August 2007 for export. http://news.yahoo.com/s/afp/20061201/sc_afp/norwayenvironment_061201161845

C'est incroyable ça ! ... ne la laisse pas l'avoir

La réponse que je viens de faire à Stephanie, Hello Stephanie, I thank you very much for your answer. I find the veterinary's explanation not quiet satisfying, considering that there were policemen on site (presumably armed). Had it been a similar incident implicating a bus loaded with people, paramedics and ambulances would have been called right away, and certainly injured people would have not been killed with a sledge-hammer. It is appaling to me that no laws or directives exist to treat these types of incidents. A suggestion could be that all drivers that transport livestock should have a kit for the treatment of injured animals and this kit would include a captive bolt stunner and clear directions on how to treat injured animals including the acceptable method to put them down if need be. Thank you again Stephanie, xxxx Aequo Animo (V.P.)

Allo ma belle Cé, Voici la réponse reçue de Stéphanie après qu'elle se soit informée au CFIA» « From: Stephanie Brown <brown@idirect.com> Save Address | Headers To: <vice-presidente@mail.aequoanimo.com> CC: Date: Fri, 01 Dec 2006 21:38:51 -0500 Subject: Re: Hello Stephanie (Truck transporting pigs in Quebec) -------------------------------------------------------------------------------- Hi, Certainly it is not permitted to kill adult pigs in a slaughter house this way, but at an accident site? I don't know. There are no regulations in the transport regs which specify what killing methods are allowed at an accident site. I have forwarded your question to the powers-that-be at CFIA in Ottawa for their comments. Will send to you when I receive a reply. All the best, Stephanie -------------------------------------------------- «From: Stephanie Brown <brown@idirect.com> To: <vice-presidente@mail.aequoanimo.com> CC: Date: Fri, 01 Dec 2006 21:53:38 -0500 Subject: Fwd: Re: Question about trucking accident in Quebec -------------------------------------------------------------------------------- Hi again, As I read through emails, there was a reply from Martin Appelt at CFIA. I'm not certain his reply really answers your question. Such a kill method is not acceptable in normal circumstances, but in the case of an accident, if other tools such as stunners are not available, it seems to be considered acceptable in his view. Appelt is a veterinarian and specialist in humane transportation at CFIA. If you have further questions, be in touch. All the best, Stephanie >Envelope-to: brown@idirect.com >X-Mailer: Novell GroupWise Internet Agent 6.5.7 >Date: Fri, 01 Dec 2006 15:47:45 -0500 >From: "Martin Appelt" <appeltm@inspection.gc.ca> >To: "Stephanie Brown" <brown@idirect.com>, > "Gordon Doonan" <gdoonan@inspection.gc.ca> >Cc: "Geneviève Benard" <benardg@inspection.gc.ca> >X-SA-Exim-Mail-From: appeltm@inspection.gc.ca >Subject: Re: Question about trucking accident in Quebec >X-Spam-Checker-Version: SpamAssassin 2.63 (2004-01-11) on phi.look.ca >X-Spam-Level: >X-Spam-Status: No, hits=0.0 required=8.0 tests=none autolearn=no version=2.63 >X-SA-Exim-Version: 3.1 (built Tue Feb 24 05:09:27 GMT 2004) >X-SA-Exim-Scanned: Yes > >Stephanie, > >thanks for the link to the video feed. >It appears as if the driver took immediate action and removed as many pigs >from the trailer as he could. How the animals were killed is not explained >in the video. An animal needs to be stunned before it is killed. How this >was done and which tool they used remains unclear and can only be >speculated about. > >"Une masse" is indeed a sledgehammer. > >There is no doubt in my mind that using a sledgehammer to stun a pig prior >to exsanguination is preferable to no stunning at all. The failure rate is >high; a second blow may be needed and therefore the method is unacceptable >for stunning before routine slaughter of animals (and for routine >euthanasia, for that matter). In the emergency situation the driver found >himself in, concussion stunning with a large hammer may well have been the >best anyone could have done at that time. I speculate that the driver (or >one of his passengers) was skilled in using a hammer for that purpose; not >many people would choose such a situation to experiment whether or not a >hammer actually works for the purpose. >Given the goal of minimizing animal suffering, one should assess whether >this goal was achieved, taking into account the options the driver had at >his disposal. >If available, use of a firearm or a captive bolt stunner is the preferred way. > >Regards, > >Martin Appelt > > > > >>> Stephanie Brown <brown@idirect.com> 12/01/06 12:45 pm >>> >Hello Gord and Martin, > >Is it legal to kill injured animals in an accident situation, as described >below in a Quebec TV piece? > >Thanks, >Stephanie > >.......................... > >*November 28, 2006- On highway 20 near Montmagny (Quebec), a truck loaded >with 200 pigs which was on its way to the slaughterhouse, caught fire and >many pigs were burned *. The driver, who is also the pig farmer, >accompanied by his brother (or father), stopped the truck and unloaded as >many pigs as he could. 30 pigs were burned and injured and had to be put >down. Amongst the witnesses one man stated *What I did*nt like is the way >they killed the injured pigs - by bashing their heads with a mass * (p.s.: >I guess it was some sort of a sledge hammer). The pigs which were still >alive were then reloaded into another truck and taken to the slaughterhouse.* > > >http://www.tqs.ca/videos/infos/2006/11/triste-fin-pour-des-porcs-4944.php

Le vendredi 01 décembre 2006 Le chien porte encore les marques des violents coups qu’il a reçus à la tête mardi soir. Il a été retrouvé attaché à la clôture d’une école primaire. Aujourd’hui, il se porte mieux. Photo: Stéphane Lessard cliquez ici pour voir sa photo: http://www.cyberpresse.ca/article/20061201/CPNOUVELLISTE/612010822/5409/CPNOUVELLISTE "Le pire cas de cruauté animale que j'ai vu" Paule Vermot-Desroches Le Nouvelliste Trois-Rivières C'est un bien triste spectacle qui attendait les policiers de la Sécurité publique et les patrouilleurs de la Société protectrice des animaux de la Mauricie, dans la nuit de mardi à mercredi. Un peu après minuit et demi, un chien a été découvert dans la cour de l'école Saint-Philippe à Trois-Rivières. Sauvagement battue et attachée à une clôture à l'aide d'une corde à linge, la bête avait visiblement été laissée pour morte, estime le directeur de la SPAM, Serge Marquis. Selon les premières observations, l'animal aurait été frappé à la tête avec une extrême violence, probablement avec un marteau ou un bâton. Il présentait une blessure ouverte au front et au-dessus de l'oeil. Lorsqu'il a été trouvé, il était à peine conscient et gisait sous la pluie. Du sang coulait de son museau, laissant croire qu'il présentait des lésions internes. L'animal a rapidement été conduit chez un vétérinaire, qui a constaté qu'il ne présentait aucune blessure interne. On lui a administré les premiers soins avant de le retourner aux bureaux de la SPAM, où il reprend des forces depuis maintenant deux jours. "Je n'en reviens tout simplement pas. Je suis ici depuis deux ans, et c'est clairement le pire cas de cruauté animale qu'il m'a été donné de voir", s'insurge Serge Marquis. Tous les détails dans la version papier du Nouvelliste du 1er décembre 2006.

AUX USA COMME ICI, NON A LA CRIMINALISATION DES DISSIDENT(E)S ! Il y a un an, le 7 décembre 2005 commençait aux USA une série d'arrestations dans le cadre de l'opération "retour de flamme". Celle-ci vise les activistes écologistes états-uniens, en particulier ceux soupçonnés d'appartenir aux mouvements "Earth Liberation" ("Libération de la Terre") et "Animal Liberation Front" (Front de Libération des Animaux), accusés de... "terrorisme". Cette accusation, absurde, n'a pourtant rien d'étonnant: depuis le 11 septembre 2001, le gouvernement des USA utilise couramment le qualificatif de "terroriste" pour disqualifier ses adversaires et promulguer des lois liberticides, restreignant abusivement les droits civils et politiques de la population. Peu importent les doctrines, peu importent les modes d'action, tout écart à la pensée dominante est assimilé à une sorte de folie fanatique et meurtrière, avec comme unique réponse, la violence tout aussi arbitraire de l'Etat. Nous assistons à la mise en place d’un état d'exception (détentions arbitraires, écoutes illégales…), pour surveiller et museler toute opposition éventuelle au système grâce notamment au Patriot Act. Les mouvements de libération animale ont, eux aussi, eu "leur" loi : "l'Animal Enterprise Terrorism Act" (AETA, loi sur le "terrorisme envers les entreprises utilisant des animaux"). Après la "chasse aux rouges" du McCarthysme, l'heure est à la "chasse aux verts": cette loi permet d'attaquer toute association exprimant des points de vue qui pourraient permettre ou justifier des actions contre les entreprises liées aux animaux, des restaurants aux entreprises pratiquant la vivisection. Toute structure, même légale, pacifique ou pacifiste, mais écologiste, peut désormais être accusée de terrorisme. Grâce à cette loi, le gouvernement a déjà condamné des organisateurs de la campagne "Stop Huntingdon Animal Cruelty (SHAC)" qui, pour avoir lancé un site web informant sur les pratiques de cette entreprise faisant des tests sur les animaux, purgent actuellement des peines d’emprisonnement allant jusqu’à 6 ans de détention. D'autres personnes sont actuellement détenues sur la base d'allégations "achetées" par le gouvernement auprès d'une "activiste repentie" : la délation est devenue un marché juteux. Mais le gouvernement des USA n'est pas seul en cause : en Europe aussi, les dirigeants mènent une offensive en règle contre tous les mouvements dissidents, écologistes compris. En Grande-Bretagne, l' « Animal Liberation Front » est là aussi considéré comme entreprise terroriste. En France, ses militants sont harcelés depuis une vingtaine d’année. De même, une dynamique similaire se développe depuis la fin des années 1990, où le prétexte antiterroriste sert le renforcement du contrôle social, des grévistes stigmatisés comme "preneurs d'otages" aux quartiers populaires placés sous état d'urgence dès qu'y brûlent quelques voitures. Ici aussi, les écologistes figurent en bonne place parmi les cibles de l'Etat. Combien de faucheurs volontaires matraqués, attaqués et condamnés, juste pour avoir réclamé l'ouverture d'un débat public sur les OGM ? Combien d'utilisateurs attaqués, combien de livres interdits pour avoir parlé du purin d'ortie, engrais naturel désormais interdit car faisant une "concurrence déloyale" aux engrais chimiques produits par les multinationales de l'agroalimentaire ? Un tel acharnement contre les écologistes et alternatifs de tous poils est logique : dénonçant la destruction de l'écosystème et l’exploitation animale, ils remettent en cause le système social et économique en place. La "catastrophe écologique" en cours n'a d'autre cause que la logique productiviste du capitalisme et son cortège d'oppressions fondées sur la propriété, des biens de productions, des capitaux, des ressources naturelles et sur l’exploitation des humains et des animaux. C'est précisément cette logique de domination par la possession et l’exploitation qu'attaquent les dissidents écologistes en affirmant la responsabilité de chacun à l'égard de son environnement, la nécessité d'établir des rapports libres, égaux et solidaires avec celui-ci. Notre rapport à la nature n'est jamais que le reflet de nos rapports humains : le changement sera global ou ne sera pas. Ni chasse aux rouges, ni chasse aux verts, Nous ne serons pas le gibier du capitalisme ! Le 7 décembre 2006, journée internationale de solidarité avec les écologistes et défenseurs des animaux états-uniens incarcérés ! Départ pour l’action à 19H00, métro opéra au centre de la place. PONCTUALITE EXIGEE Contact: greenscare.org / greenscare@... Collectif Antispéciste de Paris, Scalp-Reflex / No Pasaran

Tom Regan Replies to Peter Singer ANIMAL RIGHTS AND ANIMAL TESTING by Tom Regan In "Father of animal activism backs monkey testing" (The Sunday Times, Times Online, November 26, 2006, Philosopher Peter Singer is quoted as saying that research that involved giving Parkinson's disease to monkeys was "justifiable." Singer expresses his opinion as part of an exchange between him and one of the researchers, Tipu Aziz, an Oxford neurosurgeon who tells Singer that "[t]o date 40,000 people have been made better" because of the research done on "only 100 monkeys." The exchange is part of a BBC2 program, "Monkeys, Rats and Me: Animal Testing," that aired on 27 November. What makes Singer's opinion noteworthy is not what he thinks but who he is said to be. He is (we are told) "[t]he father of the modern animal rights movement," and his book, Animal Liberation, "is now considered the bible of the [animal rights] movement." Taken together, these two statements would naturally lead people to infer that Singer believes in animal rights, and that the judgment he makes (that the research is "justifiable") is one that animal rights advocates would accept. Neither inference is true. The Peter Singer interviewed on the BBC2 program does not believe that nonhuman animals have basic moral rights. As early as 1978, three years after the publication of Animal Liberation, he explicitly disavowed this belief. No, Singer's moral convictions are those of a utilitarian. He believes that consequences determine moral right and wrong. Right actions bring about the best consequences. Wrong actions fail to do so. It is open to Singer, therefore, to judge the research "justifiable," which he does, based on the consequences Dr. Aziz describes People who believe in animal rights could not disagree more. The role basic moral rights play, whomsoever's rights they are, is to protect individuals against the very type of abuse so painfully illustrated by the monkey research under review. The basic moral rights of the individual (the rights to life and bodily integrity, for example) should never be violated in the name of reaping benefits for others. Obviously, nothing I have said here proves that monkeys or other nonhuman animals have basic moral rights, or that utilitarianism is a flawed moral outlook. These are matters I have explored in other places. My far more modest objectives have been to correct some misunderstandings: first, that Peter Singer is an advocate of animal rights (he is not) and, second, that his judgment (that the research is "justifiable") would be endorsed by animal rights advocates (it would not). There remains a final misunderstanding that needs to be set right. In the Sunday Times story, Gareth Walsh writes that "[Singer] said last week that he stood by his comments to Aziz, provided the monkeys had been treated as well as possible," to which Aziz is quoted as saying, "It just shows (SPEAK) haven't a case, to be honest." Precisely what is it that shows that SPEAK has no case against vivisection in general, the construction of the new research laboratory at Oxford in particular? It can only be that Peter Singer stands by his judgment that the research in which Aziz participated was "justifiable." It is the fact that Peter Singer said this that is supposed to expose SPEAK's opposition as groundless. One must hope that Dr. Aziz is a better researcher than he is a thinker. It is an elementary principle of logic that no statement is true because of the identity of the person who makes it. Granted, Peter Singer is an influential philosopher. But not even Peter Singer can make statements true merely by making them. The truth of the matter is, Dr. Aziz and his colleagues will need to address SPEAK's opposition on its merits, not pretend that they have done so by enlisting Peter Singer on their side. -------------------------------------------------------------------------------- Tom Regan is emeritus professor of philosophy, North Carolina State University (USA). His books include The Case for Animal Rights and Empty Cages: Facing the Challenge of Animal Rights. http://www.speakcampaigns.org/articles/20061128tomregan.php

c'est son ministère Linda, donc ça devrait se rendre à lui avec cette adresse... p.s.: Je croyais que tu étais bonne en anglais, et c'est pour ça que je te disais que tu pouvais lui écrire en anglais, mais si c'est trop de troubles, écris-lui aussi en français et ils la traduiront eux-mêmes

The Sunday Times November 26, 2006 Father of animal activism backs monkey testing Gareth Walsh THE father of the modern animal rights movement has endorsed the use of monkeys in research by an Oxford professor at the centre of anti-vivisection protests. Peter Singer, who is widely admired by activists for writing the seminal work on animal rights, says giving the primates Parkinson’s disease was “justifiable” because of the benefits it subsequently brought to thousands of human patients. His comments will come as a blow to the protest group SPEAK, which is trying to halt construction of a new animal research laboratory at Oxford. In a documentary to be screened tomorrow on BBC2 Singer, a professor of philosophy, comes face to face with Tipu Aziz, an Oxford neurosurgeon whose research involving monkeys has helped to develop pioneering ways of treating Parkinson’s disease. During the exchange Aziz tells Singer: “I am a surgeon and also a scientist, and part of my work has been to induce parkinsonism in primates . . . “I was one of a group internationally that showed that an area in the brain that was never associated with parkinsonism . . . was overactive, and by operating on it, reducing its activity, one can significantly — very significantly — improve Parkinson’s. “To date 40,000 people have been made better with this, and worldwide at the time I would guess only 100 monkeys were used at a few laboratories.” Singer replies: “Well, I think if you put a case like that, clearly I would have to agree that was a justifiable experiment. “I do not think you should reproach yourself for doing it, provided — I take it you are the expert in this, not me — that there was no other way of discovering this knowledge. “I could see that as justifiable research.” Singer, a former Oxford lecturer now working in America and Australia, paved the way for recent animal rights activism with his book Animal Liberation, now considered the bible of the movement. He said last week that he stood by his comments to Aziz, provided the monkeys had been treated as well as possible. Aziz said: “It just shows (SPEAK) haven’t a case, to be honest.” But Mel Broughton, one of the leaders of the SPEAK campaign, said of Singer’s justification of the Oxford experiments: “I would not accept that at all. “(His comments) certainly do not represent the views of SPEAK, or the vast majority of people that campaign against animal research.” Monkeys, Rats and Me: Animal Testing is on BBC2 tomorrow at 9pm http://www.timesonline.co.uk/article/0,,2087-2471990,00.html

Allo Linda, Ça me fait plaisir Linda ! Ça va tranquillement, mais ça va !

Allo Linda, Tu pourrais écrire ta petite lettre personnelle à Chuck Strahl, le Ministre de l'Agriculture et Agroalimentaire Canada (comme il est anglais, tu peux lui écrire en anglais...) Tu trouveras sûrement son adresse ici: http://www.agr.gc.ca/index_e.php?s1=help-aide&s2=contact et aussi le ministre Yvon Vallières (Agriculture, Pêcheries et Alimentation Québec) http://www.mapaq.gouv.qc.ca/fr/accueil

hihihiihi ça va bien aller ma belle Cé