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Tout ce qui a été posté par Animal
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Catherine Bergeron Journal de Québec 23/09/2006 09h50 Un chasseur de 36 ans de Sept-Îles, sérieusement blessé des suites d'une chute de 30 pieds d'une falaise, a néanmoins survécu pendant quatre jours dans les bois, avec pour seules provisions une boisson gazeuse et quelques saucisses. suite: http://www2.canoe.com/infos/societe/archives/2006/09/20060923-095001.html --------------------------------------
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Le 29 août 2006 Un incendie détruit une porcherie de Lyster dans Lotbinière. Plus de 2500 porcs ont péri dans l'incendie de cette maternité. Les flammes d’une grande violence se sont propagées à une vitesse folle à tout le bâtiment. Personne ne sait comment le feu a débuté vers 9 heures ce matin. Le propriétaire se trouvait sur les lieux avec 2 travailleurs quand ils ont constaté l’odeur de fumée. Ils n’ont pu combattre les flammes qui faisaient rage, d’ailleurs le toit s’est effondré moins de 2 minutes après leur sortie de la porcherie. Les dégâts sont évalués à plus d’un million 500 000 dollars. http://www.tqs.ca/infos/quebec/2006/08/Un-incendie-detruit-une-porcherie-de-Lyster-dans-Lotbiniere--4368.php
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La polenta comme mets d'automne: Si! Si! Si!
Animal a répondu à un(e) sujet de Animal dans Végétarisme
Merci Ranëwen ! Excellente suggestion ! J'adore la polenta moi aussi ! Je l'achète souvent toute prête, en rouleau... Je coupe des tranches dans un plat peu profond et j'ajoute une sauce au légumes par dessus... On peut gratiner avec du fromage vg... Ensuite au four jusqu'à ce que ça soit bien chaud. Un repas santé, nourrissant et prêt dans l'temps d'le dire ! -
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Moins d'éleveurs d’animaux à fourrure laterre.ca 12 septembre 2006 redaction@laterre.ca Parce que les élevages d’animaux à fourrure dégageraient de fortes odeurs, des MRC songent à en encadrer l’implantation. Le Québec compte de moins en moins d’éleveurs d’animaux à fourrure, tels que le vison ou le renard. Alors que l’on comptait environ 400 fermes de ces types d’élevage il y a 20 ans, la province n’avait, en 2005, que 13 éleveurs de visons et 24 de renards. L’industrie profite cependant d’une hausse dans les prix. Celui des fourrures de castor et de vison a fait un bond de 30 % à 40 % récemment. Plusieurs facteurs expliquent cette hausse : l’ouverture des marchés tels que la Chine ou la Russie ainsi que la demande croissante de la part des jeunes designers qui rivalisent d’originalité dans la confection de vêtements ornés de fourrure. Selon le Conseil canadien de la fourrure, la bonne santé des marchés de l’Europe et de l’Amérique du Nord contribue également à la hausse du prix. Cependant, les éleveurs se plaignent des normes environnementales de plus en plus difficiles à respecter et du manque de soutien gouvernemental. Selon le quotidien de Québec Le Soleil, une étude rapporterait, de plus, l’intention des MRC et des municipalités de réglementer ce secteur en encadrant l’implantation de nouveaux élevages. On estime la valeur de la vente de fourrures au détail à 300 M$ au Canada seulement. La valeur des exportations atteint 360 M$. Ces chiffres tiennent compte des fourrures issues du trappage. http://www.laterre.ca/?action=detailNouvel...;idArticle=3767
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J.E.(ÉMISSION) IRA NOUS MONTRER DES ÉLEVAGES RÉVOLTANTS
Animal a répondu à un(e) sujet de linda lachapelle dans Archives
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HAHAHHAHAH merci bien ma chère hop- C'est trop gentil ! Ça me force à me replonger un peu dans quelques livres, ne serait-ce que pour en capter quelques extraits... J'ai tellement abandonné la lecture depuis que je suis derrière mon écran... p.s.: Demain matin de bonne heure, je pars pour Québec visiter mon cher papa. Tu ne me verras peut-être pas avant dimanche... Je te dis donc «Bon dimanche et a très bientôt ma chère petite hop»
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Le vendredi 22 septembre 2006 Cette nouvelle découverte confirme que la rage de la souche du raton laveur est bien implantée dans la région. archives La Presse Un 3e cas de rage du raton laveur Michel Laliberté La Voix de l'Est Cowansville Un troisième cas de rage du raton laveur a été signalé dans la MRC de Brome-Missisquoi. Après les deux ratons laveurs retrouvés à Dunham cet été, cette fois l'animal malade a été découvert dans la région de Cowansville, à 5 kilomètres au sud-est de la municipalité. Cette nouvelle découverte confirme que la rage de la souche du raton laveur est bien implantée dans la région, a reconnu hier le Dr François Milord, médecin-conseil dans le domaine des maladies transmissibles à la Direction de la Santé publique de la Montérégie. «On peut s'attendre, dans les prochains mois et la prochaine année, à trouver d'autres ratons laveurs infectés. C'est assez certain», a-t-il dit en entrevue hier après-midi. La nouvelle a rendu le ministère de l'Agriculture, des Pêches et de l'Alimentation nerveux. Le MAPAQ a recommandé hier aux agriculteurs se trouvant à l'intérieur d'un rayon de 30 kilomètres de l'endroit où le raton laveur a été trouvé de faire vacciner leurs animaux qui vont à l'extérieur. Le MAPAQ fait la même suggestion aux propriétaires d'animaux domestiques. Cette mesure, a expliqué le Dr Milord, vise non seulement à protéger les animaux de morsures de ratons laveurs malades, mais aussi à prévenir que le virus n'affecte un humain. «Il est assez rare que les ratons laveurs mordent les humains. Le problème, c'est par l'intermédiaire d'un autre animal, un chien ou un chat par exemple. Les humains sont très exposés aux animaux domestiques.» Tous les détails dans La Voix de l'Est de vendredi. 2006 La Voix de l'Est. Tous droits réservés.
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La polenta comme mets d'automne: Si! Si! Si! Anne Desjardins Le Soleil Collaboration spéciale Depuis une toute petite décennie, bien des gourmets ont fait de la polenta l’ultime aliment réconfort parce que cette bouillie de maïs longtemps réservée aux paysans pauvres du nord de l’Italie a un fort pouvoir évocateur. Comme le risotto, elle requiert d’être patiemment mijotée et brassée à l’aide d’une cuiller de bois, un geste pacificateur empreint de noblesse qui oblige les stressés que nous sommes à ralentir un peu la cadence. Ce plat simple qui remplace les pâtes ou le riz dans de nombreuses recettes est aussi un canevas à partir duquel on peut improviser des dizaines de variations sur un thème. Car la polenta se mange à toutes les sauces... http://www.cyberpresse.ca/article/20060922/CPACTUEL/60922037/1015/CPACTUEL
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De nombreux aliments contaminés par des substances chimiques
Animal a posté un sujet dans Végétarisme
De nombreux aliments contaminés par des substances chimiques en Europe Associated Press (AP) 22 septembre 2006 De nombreux produits alimentaires contaminés par des traces de produits chimiques industriels se retrouvent dans les assiettes des consommateurs à travers toute l'Europe, met en garde le Fonds mondial pour la nature (WWF) dans un rapport publié jeudi. «Les tests ont découvert des substances chimiques synthétiques potentiellement nuisibles dans tous les échantillons analysés: des phtalates dans l'huile d'olive, les fromages et les viandes, des pesticides organochlorés interdits dans le poisson et la viande de renne, des muscs artificiels et de l'orgatine dans le poisson, et des retardants de flamme dans les viandes et les fromages», selon WWF. «Il est choquant de voir que même un régime alimentaire sain conduit à la prise quotidienne d'un si grand nombre de polluants», souligne Sandra Jen, directrice de la campagne Detox du WWF. »..... http://sante.canoe.com/channel_health_news_details.asp?channel_id=2001&relation_id=3483&news_channel_id=2001&news_id=2092 -
Mise à jour: 22/09/2006 13h41 LCN Opération de sauvetage sur la Côte-Nord Un chasseur de 36 ans gravement blessé Une vaste opération de sauvetage est en cours sur la Côte-Nord afin de retrouver un homme de 36 ans, parti chassé avec son frère. L'homme s'est blessé gravement, mardi dernier, après avoir fait une chute d'une falaise à une vingtaine de kilomètres de la rivière au Tonerre, au nord de Mingan. Il est resté presque deux jours au pied de la falaise avant que son frère le trouve, puis le laisse sur place pour aller chercher du secours. Assisté de sauveteurs au sol, un hélicoptère de l'armée a entamé des recherches, jeudi, mais l'appareil a dû rebrousser chemin après avoir été heurté par un oiseau. Vendredi matin, un hélicoptère de la Sûreté du Québec s'est joint aux recherches. En vidéo, écoutez les précisions d'Alexandre Cantin. http://lcn.canoe.com/lcn/infos/faitsdivers/archives/2006/09/20060922-134158.html
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Urgence pour les 450 chiens d'un refuge de Serbie
Animal a répondu à un(e) sujet de hop dans Pétitions-Sondages-Suggestions
Allo hop, Tu écrits merveilleusement bien l'anglais... Ta lettre est bien détaillée, et d'après moi elle pourrait aussi bien être envoyée au Maire qu'au premier ministre... ---------------------------- Mr Prime Minister, I learned to my dismay that the dogs of the shelter “Animals Friends" / EPAR, in Subotica, were to be killed on the pretext that they were not vaccinated against rabies. I respectfully urge you to withdraw that cruel and unjustifiable plan and to take compassionate action regarding these rescued animals. They have a right to respect and compassion. (ici tu aurais pu aussi écrire: They have the right to be respected and deserve compassion) These dogs would be vaccinated today if the people who run the shelter had been permitted to get the vaccines sent by the organization OIPA, last décember (December) . Therefore, I request that you ensure that those animals are vaccinated, free of charge for the shelter. Slavica Mazak Beslic and the people who take care of the dogs at the shelter should be allowed to continue their mission under the best conditions possible. I thank you very much for your time and attention. -
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et encore un peu de pêtage de bretelles...
Animal a répondu à un(e) sujet de Animal dans Forum Administratif
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Vous l’avez signé vous cette pétition de PETA sur la cruauté envers les animaux? Vous l’avez bien reçu, non? Ben moi, pas une journée ne passe sans qu’un de ces courriels n’aboutisse dans mon ordi. «La pire chose que j'ai vu de ma vie», écrit même la chanteuse Stéphanie Lapointe dans l’un de ceux-ci. Le message est chaque fois accompagné d’un vidéo qu’on nous demande de regarder. Un vidéo effroyable où l’on voit des ratons laveur et des renards blancs se faire arracher la peau, alors qu’ils sont toujours vivants. Effroyable, je vous dis. Il a fallu que je m’y prenne dix fois avant de réussir à le regarder jusqu’au bout. Et ce au prix d’une nausée qui ne me quitte pas. Anyway, si je vous en parle, c’est pour vous dire de ne pas perdre votre temps avec ça. Un coup de fil chez PETA en Virginie a suffi pour qu’on me confirme que l’organisme n’a rien à voir avec cette chaîne de courriels. Et que même si la pétition leur était envoyée un jour, il ne s’en servirait pas. Faut savoir que ce genre de pétition n’a pas une grande crédibilité. Trop facile pour n’importe qui de la signer vingt fois en inventant des noms. Sans oublier que bien souvent, elle ne se rend jamais jusqu’à son destinataire. Alors si la cause vous intéresse vraiment, PETA suggère plutôt de vous rendre sur leur site pour remplir leur propre pétition en ligne. Un mot sur le vidéo maintenant. Selon Matt Rice, un porte-parole de PETA, il a été tourné en Chine en 2004 à l’aide d’une caméra cachée. La barbarie qu’on y voit serait monnaie courante là-bas, aucune réglementation ne l’interdisant. Ratons, lapins, visons, chats et chiens passent donc au «cash» par million chaque année. Et, ah oui, plus de la moitié de la production est vendue… aux États-Unis. Vous vous ennuyez de mes sujets légers? Ça s’en vient, promis. Dès que je retrouve mon nez de clown. PS: Si vous ne pouvez visionner le vidéo sur mon premier lien, il est aussi disponible sur le site de la pétition. Bon courage. Vous allez en avoir besoin... Dominic Arpin (Journal Canoe) 115 commentaires http://doa.blogue.canoe.com/dominicarpin/2006/09/11/signer_ou_ne_pas_signer
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To Pick a Bone with Organic Meat PEJ News - Julie Muir - The designation of "organic" for milk, eggs, meat and other animal products has surfaced in the last few years as a response to consumer concerns, attempting at its best to address cruelty to animals, food safety including the spread of communicable diseases and the addition of hormones and antibiotics, and health and safety for food industry workers. Yet in many cases organic meat production simply reproduces the exploitation of animals and continues apace in fouling the environment and weakening our food security. This is due to the involvement of large agribusiness in the industry; instead of providing an alternative, "organic" meat remains ensconced in the profit system, and as such, will never have as its first priority the welfare of animals or of the consumers it is supposed to serve, but instead the money it can siphon from them. www.PEJ.org To Pick a Bone with Organic Meat Julie Muir PEJ News September 16, 2006 Agribusinesses will always try to cut corners and influence politics to lower organic standards and standards of care for animals. Businesses such as Fieldale Farms of Baldwin have actually succeeded at times in influencing government policies to provide more favourable market conditions for their already vastly profitable enterprises. The company had convinced Georgia congressmen to create a special category of "organic" chicken which would allow them to be fed corn grown with chemical inputs, until public outrage exploded and forced them to backtrack on the issue. This example "is typical of the controversies that have marked the emergence of organic food as a serious market force in America" ("Agribusiness & USDA Ponder Degrading Organic Standards," June 5, 2002, Jeff Nesmith, Atlanta Journal). And who knows how many large companies involved in organic livestock production are cutting corners in providing adequate provisions for their animals; for example Horizon and Aurora have recently been found to be "greenwashing" their dairy products under the label of USDA Certified Organic milk, when the investigations undertaken by the Cornucopia Institute show that these animals are not being treated in accordance with organic standards. The Cornucopia Institute has filed a legal complaint against Horizon with the USDA. Photographs of the Horizon Idaho farm show the dairy cattle in intensive production without adequate access to green pastures, with mountains of manure on the farms a testament to their confinement. Animals remain in their "winter housing" well into the summer, and their welfare and happiness in general seems questionable. As well, the disposal of waste from 8000 cattle can pose risks to groundwater purity, and the irrigation of desert for cattle feed puts immense pressure on the aquifers in the area, encouraging the spread of desertification (http://cornucopia.org/pasture/?page_id=18). Please join in the boycott of products from Horizon, Aurora, and affiliated companies, including Costco's "Kirkland Signature," Safeway’s "O" organics brand, Publix’s "High Meadows," Giant's "Natures Promise," and Wild Oats’ organic milk, as well as soy milk companies "Silk" and "White Wave." It remains true that organic meat and dairy is largely the product of large businesses that transport their packaged goods long distances to be sold at large grocery stores; profit remains in the hand of big business and detriment is done to the environment. These companies succeed in "greenwashing" products, deceiving their loyal consumers who deeply care about buying ethical, healthy, environmentally-friendly food. Another problem is that people assuage their consiences by eating organic meat, without asking the deeper question: is it ethical to kill a sentient being for food, when we have a wealth of other options available here in North America that still ensure optimal nutrition for less cost than anywhere else in the world? We may be quick to judge those in Southern countries who are forced to hunt "bush meat" including monkeys, turtles and endangered species - but these people have had their subsistence ways of life ripped out from under them and are trying to stave off starvation. Whereas we can eat a plentiful, relatively cheap (Canadians spend less income on food than any other country in the world), nutritious and readily available vegan diet with very little trouble. Much help is available to ensure a healthy and tasty animal-free diet; see www.meatout.org, www.veganoutreach.org, or www.goveg.com. And don't worry; lack of protein is the least of our concerns in North America - in fact, most of us get too much. A bigger problem is lack of fresh, local produce in our diets - it has been suggested by one researcher that atherosclerosis may in part be a less severe form of scurvy! So why succumb to the destructive allure of organic meat and dairy? Though we may feel better about our purchases, one remains a "green consumer," a LOHAS (Lifestyle of Health and Sustainability) participant in the global scene of exploitation, big business, long transport of foods and lack of respect for animals and the environment. Stay informed. Subscribe and get the best of PEJ News by email. Free. http://www.pej.org/html/modules.php?op=modload&name=News&file=article&sid=5582&mode=thread&order=0&thold=0
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Presqu'une demi-heure qu'elle est là....
Animal a répondu à un(e) sujet de Animal dans Forum Administratif
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et encore un peu de pêtage de bretelles...
Animal a répondu à un(e) sujet de Animal dans Forum Administratif
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La chasse aux phoques au Canada et au Québec Que pensez-vous de ce sujet ? 02/09/2006 Depuis fort longtemps, la chasse aux phoques dans le nord de l'Amérique a été non un sport, mais une chasse pour la vie. Il faut chassé pour se nourrir, entre une gazelle et un phoque, c'est la même chose. Depuis que des amérindiens se sont installé dans le "Grand Nord", il y a quelques milliers d'années, pour certaines tributs, la pêche et la chasse font partis de leurs traditions. On ne peut pas interdire une tradition comme ça, regarder l'Espagne et ses toréadores... ou la France avec le foie gras et le gavage des oies. Au nord de l'Amérique, il y a près de 6 millions de phoques. Ils sont divisés en deux grandes catégories, le petit phoque ou blanchon du Groenland, lui il est illégale a tuer. C'est lui que certaine personne montre comme image quand ils parlent de chasses aux phoques, il est tout petit et tout blanc, une belle boule de poil que les gouvernements canadiens et québécois préservent. .... suite: http://www.politique.com/forum/showthread.php?p=2661
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Tout savoir pour immigrer au Québec ... jeudi 21 Septembre 2006 Chronique de Bouh "La fièvre de l’orignal Depuis..." Les autres chroniques de Bouh | Les chroniqueurs La fièvre de l’orignal Depuis quelques semaines déjà, la tension devient palpable. L’excitation monte, les yeux brillent, les gens d’ici ont la fièvre. Les préparatifs n’en finissent plus. On checke le truck, le VTT (comprenez Véhicule Tout Terrain, c'est-à-dire le Quad), on finalise les derniers achats vestimentaires, on peaufine l’équipement, on fait des listes de choses à ne pas oublier, on re-checke le truck... Le Québec se divisent alors en deux camps : Ceux qui y vont, et ceux qui restent… Avant le grand départ, on se retrouve autour d’un bon repas, on évoque les expériences passées, on rêve de gloire et de trophées. Les enfants écoutent, subjugués, attendant avec impatience d’avoir l’âge requis pour pouvoir participer à l’aventure. Venue de France, ayant pour simple bagage une connaissance restreinte de la chose et amoureuse des animaux depuis ma plus tendre enfance, je n’arrive pas à comprendre cette passion que les gens d’ici entretiennent pour la chasse. Et puis des chasseurs, j’en ai connu plein. J’habitais une maison à la lisière de la forêt, et mes altercations avec ces sauvages ont été plus que nombreuses. Alors j’en était arrivée à la même conclusion que les Inconnus dans leur fameux sketch : il y a les « mauvais » chasseurs, qui visent et qui tirent, et les « bons » chasseurs, qui visent… Et qui tirent. Mais ici, au Québec, j’ai décidé de faire preuve de bonne volonté. Après tout, si 80% de la population s’adonne à cette activité avec autant de ferveur, c’est qu’il doit y avoir un truc qui m’a échappé. A la poubelle donc les préjugés, on repart à zéro… Tout d’abord, il faut choisir sa spécialité. Orignal, chevreuil, perdrix, caribou, ours… Il n’y a que l’embarras du choix. Autours de moi, j’ai des « orignaux », et des « chevreuils ». Alors z’y-va, on a qu’à commencer par ça. Ensuite, il faut choisir son arme… Arc, arbalète, ou fusil ?? Heu… Comment ça « arc » ? Je croyais qu’il n’y avait plus d’indiens à plumes au Québec ??? Ben si. Faut croire. D’emblée, je m’insurge contre cette pratique. Si on rate son coup, le pauvre animal ne va-t-il pas continuer à courir avec une flèche dans les fesses et finir par crever tout seul loin de tout dans d’abominables souffrances ? Oui, mais même avec un fusil, on peut rater son coup de toute façon, et la fin sera la même… Right. Je m’incline. Troisièmement, il faut choisir sa destination. Les chevreuils, il y en a partout, et on peut quasiment tirer en restant assis dans son fauteuil de salon. L’orignal, déjà, c’est plus rare. Il faut aller plus loin, et se perdre un peu dans le bois. Les dés sont jetés, je choisis ça. Ca doit être plus intéressant de rester une semaine dans un camp de bûcheron à l’écart du monde. Enfin, il faut choisir sa technique de chasse. L’orignal, c’est farouche. On en voit peu, ils se cachent. La seule manière de s’en approcher consiste à les caller (du mot anglais « to call » qui signifie « appeler »), et de les attirer en répandant de l’urine de jument en chaleur sur les arbres. Bon. On m’explique ensuite le concept de la chasse au chevreuil. On nourrit les animaux toujours au même endroit pendant environ un mois avec des pommes et des carottes. Et une fois que le chevreuil a bien pris l’habitude de venir se gaver de toutes ces bonnes choses, on attend le jour d’ouverture de la chasse, et pouf ! Ce jour là, surprise !! On lui tire dessus. Victoire ! J’en tombe sur le cul. D’un autre côté, le couillon de chevreuil, il avait qu’à pas être assez con pour croire qu’un tas de pomme pouvait tomber d’un sapin… Pis il avait qu’à écouter la radio pour connaître le jour d’ouverture de la chasse ‘stie… Là, à ce moment précis, je dois avouer que ma bonne volonté en a pris un sacré coup. Malgré le côté repoussant de l’urine de jument, je viens donc de choisir « mon camp », s’il fallait en choisir un… Et si un jour je dois tenir un fusil, ce sera pour aller caller l’orignal… Je m’intéresse maintenant à l’équipement nécessaire… Pantalon de camouflage, veste de camouflage… Et gilet orange fluo pour mettre par-dessus la veste. Médusée, je demande l’utilité de la tenue de camouflage, si c’est pour tout gâcher avec le fluo… On me répond que ce n’est pas grave, car l’orignal ne voit pas les couleurs… ben alors à quoi ça sert de mettre une tenue de camouflage si de toute façon, l’orignal ne voit pas les couleurs ?? Les yeux se lèvent au ciel… Visiblement, je ne comprendrai jamais rien… Bon. C’est pas si grave. De toute façon, j’estime que j’ai déjà fait assez d’efforts d’intégration pour cette année. Ceux qui seraient tentés de penser que je suis contre la chasse se méprennent. J’estime qu’elle a son utilité pour réguler les populations animales. De plus, je suis assez favorable à la politique d’ici, qui consiste à attribuer ou non le droit de tirer des femelles en fonction de leur nombre. Je ne suis donc pas contre la chasse, je suis contre les mauvais chasseurs. Nuance. La chasse, finalement, je la vois un peu comme Mario. Le plus important est de passer une semaine dans le bois, par amour de la forêt et de la tranquillité. On se retrouve entre parents ou entre amis. On passe de bons moments, et on lit un livre en attendant que l’orignal pointe son nez, si toutefois ça lui tente. Bien sûr, si l’occasion nous est donnée, on tire dessus. Car il faut bien l’avouer, c’est carrément bon de la viande d’orignal… Et puis cet animal est tellement difficile à débusquer que ça fait toujours bon effet de ramener un trophée. Tiens, en parlant de trophée, je vais faire frémir les âmes sensibles… Je ne fais pas cela par sadisme, mais plutôt pour vous y préparer à l’avance, s’il vous prenait l’envie de venir faire un tour dans l’boutte. Vous savez ce que font les chasseurs d’ici une fois qu’ils ont abattus leur animal ? Ils en accrochent la tête sur le toit de leur voiture. Vous trouvez ça barbare ? C’est votre droit. Au début, je trouvais moi aussi cette habitude assez malsaine. Mais je peux vous dire que l’on s’y fait, et même mieux, que l’on finit par s’y intéresser. De toute façon, ça fait bien longtemps que l’animal ne souffre plus. Vous craignez pour la réaction de vos enfants ? C’est sûr que la première fois, ça risque de leur faire drôle. Mais sachez cependant qu’ici, les enfants sont habitués à cela depuis leur plus jeune âge, et ça ne leur fait ni chaud ni froid. Bref, vous l’aurez compris, la chasse est ici une véritable institution. Mais comme partout, il y a les « bons »… et les « mauvais » chasseurs. En général, on les reconnaît au nombre de packs de bière qu’ils emmènent avec eux dans leur pick-up. Plus il y en a, plus leur semaine de chasse risque d’être le prétexte à une bonne beuverie entre chums. D’un autre côté, je me dis que plus ils sont bourrés, moins ils visent bien, et plus l’animal a une chance de s’en tirer… Bref. Ce n’est de toute façon pas grâce à cette chronique que l’on va régler les conflits entre pro-chasseurs et anti-chasseur. Si je vous parle de ce sujet aujourd’hui (et en particulier de l’histoire des trophées sur les voitures), c’est plutôt parce que j’ai l’impression que l’on sous-estime parfois les différences culturelles entre l’Europe et le Québec, et qu’il faut savoir se préparer à être confronté à des pratiques que l’on ignore et qui peuvent nous choquer aux premiers abords. Le tout est je pense de ne pas être trop catégorique dans ses idées, de savoir faire preuve d’ouverture d’esprit et de laisser aux autres l’opportunité d’expliquer leur point de vue. Fermons à présent cette parenthèse. J’aurais maintenant voulu vous parler du fabuleux automne que nous avons eu ici, dans l’griiin nord. D’abord, il a fait étonnamment beau et chaud. D’après les gens d’ici, on n’a pas vu un temps comme ça depuis 1974… (Au passage, je ne sais pas comment certaines personnes font pour se rappeler du temps qu’il faisait plus de trente ans auparavant…). Il n’y a eu aucune coupure entre l’été tout court, et l’été des Indiens... Un vrai bonheur. Le seul inconvénient, c’est que le festival des couleurs s’en est trouvé bien écourté. En effet, il n’y a jamais eu assez d’amplitude de températures entre le jour et la nuit pour que les couleurs apparaissent sur les arbres… Et puis du jour au lendemain, ça a débuté ! Et même pas deux semaines après, c’était déjà fini, les feuilles commençaient déjà à tomber… Là, je vous avoue que j’ai eu comme un petit pincement au cœur. L’hiver s’annonce déjà !! Et me croirez-vous ? Jeudi dernier, on a eu 5 minutes de petite neige virevoltante… Tout le monde a déjà changé ses pneus, le bois est rentré, les coats sont sortis, le Québec se prépare déjà à hiverner. Il n’y a que la p’tite bouh qui est encore en retard… Pas encore changé ses pneus, pas encore offert à sa voiture un traitement anti-rouille, encore à vouloir repeindre sa sleigh pour l’hiver, alors que déjà, on ne peut plus faire ce travail à l’extérieur. Encore en train d’espérer que Shadow sera prête à temps pour tirer un traîneau, alors qu’elle n’a jamais fait ça de sa vie… Rêveuse elle est la p’tite Bouh… Sans doute un peu folle-dingue aussi… Bientôt, le 7 novembre pour être précise, je vais fêter ma première année de vie au Québec… Déjà 1 an… Je n’arrive pas à y croire. Tout est passé tellement vite ! Mais comme un fait exprès, et pour faire un pied de nez aux conventions, je vais passer ce premier anniversaire… En France… A bientôt donc, pour une prochaine chronique écrite de l’autre côté de l’atlantique ! http://www.immigrer.com/chroniques/1180.html
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Posté aujourd'hui dans le forum de la mârge, par elle-même: - Regarde toutes les fautes qu'il y a dans son texte Cé ! Comment a-t-elle fait pour écrire un livre Sujet: Chasse-Action Aujourd’hui à 2:43 -------------------------------------------------------------------------------- Une nouvelle est sorti sur Radio-Canada Rimouski récemment: La chasse aux orignaux de l'Ile St-Barnabé n'a pas connu de succès cette année, faute de chasseurs. Au lieu de 8 orignaux prévus pour la chasse, 2 orignaux seulement ont été tués. La chasse est maintenant terminée pour cette année. Le commentateur - employé de la pourvoirie qui commandite la chasse - a fait remarquer que si la chasse n'était pas un succès cet année, c'était de la faute des manifestants, des militants d'AHIMSA de l'an passé. Le commentateur a de plus ajouter que non seulement ces manifestants étaient opposés à la chasse sur l'ile mais aussi contre toute forme de chasse. ---C'est une demi-victoire pour les opposants à cette chasse sur l'Ile St-Barnabé puisque 2 orignaux ont tout de même été tués - Fait important, les manifestations ont mis sur la place publique le débat sur le bien-fondé du sport de la chasse, une activité violente, archaique et cruelle. Rappelons que les deux manifestations sur la promenade de Rimouski ont réuni plus d'une soixantaine de personnes et que la ville de Rimouski a recu des centaines ++ de lettres et de courriels de personnes opposés à la chasse, de nombreuses missives provenant même de France, d'Allemagne et d'ailleurs en Europe. Nos manifestations anti-chasse a été rapportés dans tous les journeaux locaux, radio et télé...