Aller au contenu
Rechercher dans
  • Plus d’options…
Rechercher les résultats qui contiennent…
Rechercher les résultats dans…

Animal

Membres
  • Compteur de contenus

    14 605
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Animal

  1. Animal

    Chasse au phoque gris...

    Last updated at 9:45 PM on 15/02/10 Sealers, activists keeping tight-lipped about plans for start of N.S. hunt THE CANADIAN PRESS SYDNEY, N.S. — Sealers and anti-sealing activists performed a delicate dance Monday as they tried to reveal as little of their plans as possible while they await the start of the grey seal hunt on Hay Island off Cape Breton. Fishermen haven’t said who their buyer is or where the seals will be processed once the hunt begins, likely later this week. Activists with the Humane Society International are staying at a hotel in Sydney waiting for the hunt to proceed so they can document it with video and still photography. The activists have a boat ready to launch but didn’t want it photographed because of concerns about interference. They said they’ve had problems in the past, but have been well treated since arriving in Sydney a week ago. “We’ve been mobbed three times in Newfoundland. ... We’ve had vehicles damaged,” Rebecca Aldworth, a humane society executive, said Monday. “That said, this is a great city. I haven’t felt worried at all here.” Aldworth said polls and experience show there is a “real divide” in Cape Breton on how people feel about the seal hunt. The federal government authorized a grey seal hunt on Hay Island, starting Feb. 8 and ending March 15, but fishermen have been waiting on shore for more than a week. Sealers must give 24 hours notice of their intention to hunt. They won’t be going out Tuesday, although a spokesman said they hope to go out this week. Robert Courtney, president of the North of Smokey Fishermen’s Association, said sealers are waiting for the weather to improve and for the buyer to line up trucks for the pelts.He refused to say who the buyer was or where the trucks would go, saying the buyer “doesn’t want trouble.” Sealers only harvested 256 grey seals last year, including 200 from Hay Island. This year, the government quota is set at 2,200 grey seals from the island. Andrew Newbould, an adviser for the federal Fisheries Department, said Monday the longer fishermen wait, the fewer animals will be available to hunt. Aldworth said the federal government should offer fishermen $10,000 or $20,000 as a buyout to stop the seal hunt altogether, but Courtney dismissed that idea. “What are they suggesting we do with the seals?” he asked. “It’s ridiculous. The ocean can’t sustain what’s there now. “To let the whole herd ... expand at that rate with no harvest, that’d be suicide for the seals. Once you get overpopulation, there’s a number of things that happen and none of them are good.” 16/02/10 http://www.ngnews.ca/index.cfm?sid=327090&sc=516
  2. http://www.nfl.dfo-mpo.gc.ca/f0004379 Pêches et Océans Canada JE COMPRENDS QUE LE DÉTENTEUR D’UN PERMIS TEMPORAIRE DE CHASSE AU PHOQUE NE PEUT PARTICIPER À LA CHASSE AU PHOQUE DE 2010 QU’EN TANT QU’AIDE-CHASSEUR ET QU’IL N’EST PAS AUTORISÉ À TUER DES PHOQUES. Je reconnais n’être autorisé à participer à la chasse au phoque en 2010 que sous la surveillance de la personne qui me parraine (exploitant désigné) indiquée ci-dessous. DONC IL EST AUTORISÉ À TUER, S'IL EST ACCOMPAGNÉ DE CELUI QUI LE PARRAINE NON?... JE CROYAIS QU'ILS DEVAIENT SUIVRE UN «COURS» POUR MASSACRER LES BÉBÉS PHOQUES ! Je déclare solennellement que les renseignements contenus dans cette demande sont véridiques et exacts et je fais cette déclaration solennelle en toute connaissance de cause, en étant convaincu de sa véracité et en sachant qu’elle a la même force et le même effet qu’un serment au sens de la Loi sur la preuve au Canada. Je sais que faire sciemment une fausse déclaration ou une déclaration trompeuse constitue une infraction à l’article 61 de la Loi sur les pêches. _____________________________________________ __________________________ Signature du demandeur Date Cette demande n’est valable que si elle est signée par le demandeur et par la personne qui le parraine.
  3. Animal

    Le phoque en promotion

    Publié le 16 février 2010 Le phoque en promotion Ajouter un commentaire Le commentaire peut contenir un maximum de 200 caractères. Agrandir Bernard Guimont présente un catalogue faisant la promotion des produits du phoque. Le président de Ta Ma Su et deux de ses concurrents terre-neuviens ciblent les marchés de la Russie et de la Chine. Le Soleil, Laetitia Deconinck Annie Morin Le Soleil (Québec) Le Québec refuse de se laisser abattre par l'embargo européen sur les produits dérivés du phoque. Pendant que les chasseurs des Îles-de-la-Madeleine préparent un site Internet pour faire contrepoids aux images-chocs diffusées par les groupes animalistes, le transformateur Ta Ma Su part à la conquête des marchés de la Chine et de la Russie. ....... ................ .................. http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/affaires/agro-alimentaire/201002/15/01-950020-le-phoque-en-promotion.php
  4. Animal

    Le phoque en promotion

    Publié le 16 février 2010 Le phoque en promotion Ajouter un commentaire Le commentaire peut contenir un maximum de 200 caractères. Agrandir Bernard Guimont présente un catalogue faisant la promotion des produits du phoque. Le président de Ta Ma Su et deux de ses concurrents terre-neuviens ciblent les marchés de la Russie et de la Chine. Le Soleil, Laetitia Deconinck Annie Morin Le Soleil (Québec) Le Québec refuse de se laisser abattre par l'embargo européen sur les produits dérivés du phoque. Pendant que les chasseurs des Îles-de-la-Madeleine préparent un site Internet pour faire contrepoids aux images-chocs diffusées par les groupes animalistes, le transformateur Ta Ma Su part à la conquête des marchés de la Chine et de la Russie. «S'il y a un reproche qu'on pourrait faire à notre industrie, c'est peut-être d'avoir été discrète ou moins loquace dans les dernières années. C'est ce qu'on veut changer. On s'aperçoit que plus on explique notre raison d'être, plus on donne la contrepartie, plus le degré d'acceptation est grand», souligne Bernard Guimont, président de Ta Ma Su, la seule entreprise de transformation de phoques au Québec, installée aux Îles-de-la-Madeleine. Avec deux concurrents de Terre-Neuve, il a mis sur pied le Groupe canadien de mise en marché du phoque. Ce dernier cible les immenses marchés de la Russie et de la Chine, jugés les plus prometteurs maintenant que l'Europe a complètement fermé ses frontières aux produits du phoque. L'embargo, décidé en juillet et applicable pour la prochaine saison de chasse, est contesté par le Canada devant l'Organisation mondiale du commerce (OMC). M. Guimont tente de convaincre les Russes, déjà de bons clients, de fabriquer «autre chose que des chapeaux pour hommes» avec les peaux de phoque, principalement des vêtements et des accessoires. La Chine est un territoire pratiquement vierge. Soucieux de la pérennité de la ressource, les dirigeants hésitaient à encourager le commerce du loup marin, un mot impossible à traduire en mandarin et en cantonais. Ils sont donc ravis d'apprendre que la population n'est pas en déclin, mais plutôt en expansion. Selon les dernières estimations de Pêches et Océans Canada, le troupeau compterait «au moins» 6,8 millions de phoques du Groenland, en hausse d'un bon million sur une période de quatre ans. «Le but, c'est d'inspirer les manufacturiers et les designers», résume M. Guimont, qui parle de promotion générique, sans égard aux marques de commerce, comme cela a déjà été tenté dans le vison. Une collection modèle a d'ailleurs été créée pour montrer les possibilités. Aide financière Hier, le ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation du Québec a annoncé une aide financière de 192 527 $ pour financer l'effort de commercialisation qui coûtera plus d'un million de dollars sur trois ans. Québec a aussi accordé une subvention de 71 700 $ à l'Association des chasseurs de phoques des Îles-de-la-Madeleine pour la mise en oeuvre d'une stratégie de communication. Denis Longuépée, président de l'Association, vise Internet et ses nouveaux gadgets, Facebook et Twitter. «Ça fait deux ans que je voyage et que les gens me demandent où aller sur Internet pour trouver une bonne information sur la chasse aux phoques. On va avoir notre propre banque de photos et on va mettre les pendules à l'heure», précise-t-il. M. Longuépée compte également recueillir les appuis et, pourquoi pas, les dons des sympathisants des chasseurs. Un statut de membre «supporteur» sera créé. Les chasseurs aimeraient aussi donner accès à Phoques, le film, de Raoul Jomphe, qui rassemble la plupart de leurs arguments en faveur de cette activité traditionnelle. Enfin, notons que le gouvernement fédéral a autorisé des quotas «de développement» annuels de 10 000 phoques pour les cinq prochaines années afin de mettre au point de nouveaux produits de viande et de poursuivre les études sur l'utilisation de valves du coeur pour traiter les humains. Un caprice de la météo Les chasseurs de phoques sont aussi inquiets du manque de glace sur le Saint-Laurent que de la faiblesse du marché des peaux, à quelques semaines de prendre la mer. «Il n'y a presque pas de glace», constate Denis Longuépée, président de l'Association des chasseurs de phoques des Îles-de-la-Madeleine. Ce caprice de la météo, constaté trois fois dans les 10 dernières années, oblige les Madelinots à parcourir de plus grandes distances pour trouver et ramener des loups marins, faisant augmenter le coût de revient de chaque peau. Si certains chasseurs de Terre-Neuve ont déjà décidé de rester à quai, M. Longuépée ne connaît pas les intentions de ses collègues. Le Québec possède un quota de presque 20 000 phoques pour environ une centaine de chasseurs. Durant la dernière année, les peaux se sont vendues entre 15 $ et 30 $ l'unité, bien loin des 100 $ enregistrés en 2006. La récession et l'embargo européen, qui déstabilise le marché, sont à blâmer. http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/affaires/agro-alimentaire/201002/15/01-950020-le-phoque-en-promotion.php
  5. Son style est très particulier ! C'est vraiment joli
  6. Bonjour, Une mise-à-jour sera faite dans notre forum de «discussion». Les membres «fantômes», c'est-à dire ceux qui ne se sont jamais manifestés, présentés ou qui sont inactifs seront supprimés de notre liste- Un forum étant avant tout un lieu d'échanges, et non pas une «bibliothèque» ou un «journal» où l'on n'y vient que pour y puiser les nouvelles. Ainsi, tout nouveau membre inscrit au forum devra obligatoirement se présenter, de même que pour tout membre n'ayant jamais participé à aucune discussion. Merci et bienvenue !
  7. Je sais Cé ! C'est tellement révoltant de voir ça! Je me souviens qu'il y a quelques années, un journaliste avait filmé une scène dans le Sénat où l'on voyait des sénateurs en train de roupiller sur leur chaise... C'est scandaleux ! Et ils sont très bien rémunérés et en + pensionnés à vie quand ils sortent de là... Mais, auparavant, je ne savais pas qu'ils avaient aussi droit à des conseillers politiques... qui eux aussi doivent sûrement être bien payés (avec l'argent de nos taxes) !
  8. l'humain m'écoeure de plus en plus !
  9. c'est super intéressant ce journal de bord de l'équipage... J'aime bien voir ce qu'ils préparent comme repas...
  10. Tout ça pour les zoos chinois !!!!!!!!!!!!!!!!! https://www.youtube.com/user/journeymanpictures#p/c/3/x_oQRe-L0m0 regardez les 2 petits oursons accrochés....! Je n'ai pas de mots devant tant de cruauté February 2010 When a team goes to South Africa to relocate some rare wild dogs, they uncover a shocking story. The dogs are bred and sold to zoos worldwide, even though their numbers in the wild are dwindling.
  11. Kenya rounds up zebras for starving lions February 11, 2010 -- Updated 1400 GMT (2200 HKT) Nairobi, Kenya (CNN) -- Kenyan wildlife officials are ferrying thousands of zebras and wildebeest to a park in the country's south to feed starving lions and hyenas, and prevent a conflict with humans. The animals will be hauled from four locations to restock Amboseli National Park's population, which lost 80 percent of its herbivores in a recent drought, said Kentice Tikolo, spokeswoman for the Kenya Wildlife Service. "It was the worst drought in 26 years," Tikolo said. "The Amboseli ecosystem was severely affected. ... Lots of herbivores died, carnivores don't have anything to feed on, and have been attacking neighboring livestock." The imbalance has sparked a row with villagers who lost animals in the drought and have threatened to kill lions and hyenas preying on remaining livestock. Should the zebras be brought in to help the lions? "There are only 2,000 lions left nationwide, and we are concerned because the numbers are dropping," the spokeswoman said. "Maasais are getting angry and threatening to spear them -- the human versus wildlife conflict is getting out of hand -- and our carnivores are already greatly endangered." About 4,000 zebras and 3,000 wildebeest will be transferred to Amboseli. The zebras will go first. The wildebeest will follow, after calving season, Tikolo said. Once at Amboseli, they're expected to breed and sustain the lions over the long term. Shipping the animals from Soysambu Conservancy in the Rift Valley and three other nearby locations will cost about $ 1.4 million, according to Tikolo. The animals are herded into a funnel-shape enclosure using helicopters and loaded into trucks to Amboseli. From there, they are released into the wild, she said. Tourism is the second-largest source of foreign exchange in the east African nation. About 20 percent of the income comes from tourism, with Amboseli as the second -highest earner, Tikolo said Lions are among the big five -- the list of top wildlife tourist attractions in the nation. Others are elephants, leopards, rhinos and buffalo. http://edition.cnn.com/2010/WORLD/africa/02/11/lions.kenya/index.html
  12. Monday, February 15, 2010 Certus Belgium has arrived! France, the United Kingdom, the Spanish-speaking world, North America, and Asia have already made a splash in the suicidefood pool. In the commercial from which this is a still, two porcine lovers are swept across a canal by a porcine gondolier. The narration, translated: "Certus pigs are treated with extra care. That's why Certus pork is of the highest quality. And you can taste it." (Cue the exuberant kissing, as though his kissing her is analogous to our tasting her meat.) "Guaranteed." In this spot, a pig has his cares massaged away. The translation: "Certus pigs are treated royally. That way they suffer less from stress. That's why Certus pork is guaranteed to be tender and delicious." At this last declaration—the attestation of the pig's deliciousness—he sighs, as though imagining the luxurious satisfaction his consumer will experience upon eating him. This represents a classic misdirection so familiar to us all. The pork purveyors equate whatever "processing" the pigs undergo with massages and gondola trips through Venice. Certus pigs are, we are told, less stressed, much like a harried commuter undergoing a soothing massage. They are treated with "extra care," much like a young woman delighting in the romance of the famed Ponte dei Sospiri. You needn't concern yourself with the pigs! They are lavished with loving attention. Whisked to the world's most serene locales, made the clients of talented masseuses, they are living the high life. Until they… aren't. http://suicidefood.blogspot.com/2010/02/certus.html
  13. Animal

    BULLETIN AUTOMNE 2009- SUITE

    Huntington Meat Packing Recalls 4.9 Million Lbs of Beef and Veal, Criminal Probe Underway Date Published: Monday, February 15th, 2010 A criminal investigation of California-based Huntington Meat Packing has resulted in the recall of 4.9 million lbs of beef and veal products. Huntington Meat Packing recalled more than 800,000 of beef last month because of concerns the products might be tainted with E. coli. According to the U.S. Department of Agriculture Food Safety and Inspection Service (FSIS), the recall was expanded based on evidence collected in an ongoing criminal investigation being conducted by the Office of the Inspector General (OIG) with assistance from FSIS. According to FSIS, the evidence shows that the products were produced in a manner that did not follow Huntington Meat Packing’s Hazard Analysis and Critical Control Points (HACCP) plan. Therefore, FSIS must consider the products to be adulterated and has acted to remove the products from commerce. The following beef and veal products, produced by the plant from January 22, 2009, to January 4, 2010, are subject to recall: • 10 lb. boxes of “IMPERIAL MEAT CO. GROUND BEEF PATTY” • 10 lb. boxes of “El Rancho MEAT & PROVISION ALL BEEF PATTIES” • 20 lb. boxes of “IMPERIAL MEAT CO. GROUND BEEF PATTY” • 50 lb. boxes of “HUNTINGTON MEATS GROUND BEEF” • 50 lb. boxes of ” HUNTINGTON MEAT PKG. INC. BEEF GROUND FOR FURTHER PROCESSING” • 50 lb. boxes of “BEEF BURRITO FILLING MIX” • 50 lb. boxes of “HUNTINGTON MEAT PKG. INC. DICED BEEF” • 50 lb. boxes of “HUNTINGTON MEAT PKG. INC. SLICED BEEF” • 10 lb. boxes of “Huntington Meat VEAL PATTY” • 10 lb. boxes of “Imperial Meat VEAL PATTY” • 10 lb. boxes of “El Rancho VEAL PATTY” • 20 lb. boxes of “Huntington Meat VEAL PATTY” • 20 lb. boxes of “Imperial Meat VEAL PATTY” • 20 lb. boxes of “El Rancho VEAL PATTY” Each box bears the establishment number “EST. 17967″ inside the USDA mark of inspection on a label. The products were shipped to distribution centers, restaurants, and hotels within the State of California. According to FSIS, there have been no reports of illnesses associated with consumption of these recalled beef and veal products. Individuals concerned about an illness should contact a physician, the agency said. http://www.newsinferno.com/archives/18669
  14. LES VÉGÉTARIENS SONT DE PLUS EN PLUS CIBLÉS... ET CE, PAS SEULEMENT AU CANADA OU AUX ÉTATS U. UK - Warning from the National Beef Council 15 Feb 2010 The National Beef Association has warned international and national government food policy specialists, they must not to be tricked into making flawed decisions on the future of the red meat industry as a result of being misled by flawed science funded by well placed, anti-meat, agitators. It says policy makers must be aware that livestock and meat production is regularly targeted by influential, and well-funded, vegetarian groups determined to further their cause – and that the funding of unsafe scientific reports is one of their most useful weapons. "Cash accumulated by campaigning vegetarians is regularly used to attack meat production and tactics very often concentrate on undermining consumer confidence by linking meat eating with fear of disease, like cancer, or generating misplaced concern over the role farmed livestock might play in accelerating climate change," explained NBA director, Kim Haywood."And in this context the Association is worried that apparently plausible scientific contentions advanced as a result of cash paid out by determined anti-livestock farming lobbyists may undermine the integrity of crucial decisions taken by food policy specialists acting at national, EU, and international level." One example is the failure of the World Cancer Research Fund to immediately acknowledge that a number of, apparently tactical, errors and omissions in its 2007 report have helped to support its case that a link exists between colorectal cancer and meat consumption – even though independent peer review has concluded there is no conclusive evidence of a causal relationship. Another is the determination to continue to link ruminant animals with accelerating climate change even though the argument that animals eating grass are carbon neutral continues to gain increased scientific acceptance. "The red meat industry has every reason to be alarmed about the presentation of bad science and the preaching of its flawed conclusions by anti-meat interests," said Ms Haywood. "And it would be truly worrying if governments, and their advisors, allowed themselves to be influenced by unsound science because they were unaware of mounting evidence that vegetarian bias on red meat issues is corrupting basic scientific principles". "The UK government has often said that science, not argument and counter-argument by self-interested lobby groups, must guide its decision making but if that is to be the case it must also be sure that the science it uses, on issues like bowel cancer, or greenhouse gas emissions by grazing livestock, is incorruptible." http://www.meattradenewsdaily.co.uk/news/150210/uk___warning_from_the_national_beef_concil_.aspx -------------------------
  15. Sat Feb 13, 2010 1:15 pm EST Johnny Weir staying in Olympic Village because of anti-fur activists By Chris Chase American figure skater Johnny Weir will stay in the Olympic Village because he's concerned about "very serious threats" from anti-fur activists. The medal hopeful had planned to stay in a hotel during the Games, but it would have been too difficult to arrange adequate security. Though there are no indications that any of the verbal and written threats from extremists were credible, Weir's decision to stay in the more secure village was an obvious choice. He's right to take extra precautions during his time in Vancouver. Though the odds of one of these threats actually coming to pass are low, there's no reason for Weir to open himself up to the possibility. For peace of mind alone, staying in a secured Olympic Village is worth it. At last month's U.S. Nationals, Weir earned the scorn of anti-fur protesters when he wore a white tuft of fox fur on his shoulder. He was defiant in the face of the criticism at first but later relented. Weir has long been an enemy of animal-rights groups because of his costumes. It was a disappointment when he finally caved to their pressure. It's his job to look flamboyant. There's no need to listen to a small but vocal group who don't like it. Nothing would ever get accomplished if everyone in the world had to sign off on everything first. Though those making threats to Weir are but an infinitesimal part of the animal-rights groups, they are a stain on the movement. Maybe PETA and Friends of Animals should spend more energy denouncing those who threaten rather than those who wear. http://sports.yahoo.com/olympics/vancouver/blog/fourth_place_medal/post/Johnny-Weir-staying-in-Olympic-village-because-o?urn=oly,219489
  16. L'été les gens veulent être au frais dans leur bagnole climatisée et l'hiver ils veulent être au chaud. Il y a une loi qui interdit de laisser tourner le moteur plus de quelques minutes, mais cette loi n'est pas du tout appliquée... alors !!!!!!! Les Québécois sont loins d'être verts! Publié le 15 février 2010 à 05h00 | Mis à jour à 05h00 Le moteur à l'arrêt: une habitude tenace Paul-Robert Raymond, collaboration spéciale Le Soleil (Québec) Il a été stupéfiant de constater, en attendant plus d'une heure au lave-auto récemment, combien d'automobilistes laissaient leur moteur tourner lorsqu'ils sont arrêtés. Sur une moyenne de 10 conducteurs, neuf (huit au mieux) n'ont pas éteint leur moteur. http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/affaires/automobile/201002/14/01-949620-le-moteur-a-larret-une-habitude-tenace.php
  17. Publié le 15 février 2010 à 07h13 | Mis à jour à 07h15 Les pourvoyeurs réclament du financement (Sainte-Anne-de-la-Pérade) Le président de l'Association des pourvoyeurs de la rivière Sainte-Anne en a assez du manque de soutien offert par Québec et Ottawa pour le développement de l'industrie de la pêche au poulamon. «Ça commence à être difficile et c'est tannant», tranche-t-il. ... http://www.cyberpresse.ca/le-nouvelliste/vie-regionale/des-chenaux/201002/15/01-949714-les-pourvoyeurs-reclament-du-financement.php
  18. Publié le 15 février 2010 à 08h23 | Mis à jour à 09h50 Le Portugal du museau à la queue ... Carlos Ferreira m'avait promis qu'on irait faire un tour à ce restaurant perdu dans les vallons du Barraida, Casa Vidal, car j'adooooore le cochon de lait, mais je ne m'attendais pas à tomber carrément face à face avec de petits leitões tout neufs. Des bébés roses, grognant délicatement dans le fond d'un enclos, dans une aile de l'établissement consacrée à la boucherie. Dans ce restaurant spécialisé en cochon de lait, voyez-vous, on tue les bêtes sur place avant de les faire griller à la broche dans des fours à bois. Rassurez-vous, vous n'aurez pas à dire bonjour à Babe avant de le déguster bien rôti. Je vous raconte cela juste pour vous dire à quel point on prend la qualité de la viande au sérieux. ... http://www.cyberpresse.ca/dossiers/montreal-en-lumiere-2010/201002/15/01-949766-le-portugal-du-museau-a-la-queue.php
  19. Animal

    BULLETIN AUTOMNE 2009- SUITE

    Publié le 03 février 2010 86 accusations pour braconnage Archives La Presse Jean-Pierre Boisvert La Tribune (DRUMMONDVILLE) Les secteurs de Drummondville et Victoriaville n'échappent pas au braconnage, comme en font foi les 86 accusations pesant sur 49 individus en 2009, avec, en prime, un phénomène nouveau: l'achat et la vente de gros gibier. Selon le ministère des Ressources naturelles et de la Faune, les infractions commises au Centre-du-Québec concernent, pour la grande majorité, la chasse nocturne, l'utilisation d'un projecteur pour déceler la présence de gros gibier la nuit, la possession de gibier en plus grand nombre que la limite permise et la possession d'armes à feu chargées dans les véhicules.
  20. une tête brûlée.... Il est partout sur le Net... les forums, etc. etc. Chaque fois qu'on fait une recherche sur la chasse au phoque, on tombe sur un de ses torchons! C'est le de la paillette... Ils vont bien ensemble....
  21. UN AUTRE ARTICLE DE DEPONTAILLER, LE CONSEILLER POLITIQUE DE LA PAILLETTE..... ME SOUVIENS PLUS SI JE L'AI DÉJÀ POSTÉ L’anti-spécisme est un anti-humanisme Chasse, Canada, Animaux Par Maximilien Depontailler le 30/01/2010 à 23:47, vu 844 fois, 0 L’anti-spécisme est un mouvement philosphique qui s’inspire d’une spiritualité orientale (bouddhisme, hindouisme, jaïnisme) prônant la non-violence, le végétarisme (le jaïnisme exclut même la consommation de racines), la compassion, la tolérance et où humains, animaux et végétaux sont liés à l’Univers. C’est à partir de cette pensée que les anti-spécistes en déduisent des considérations politiques. L’individu, non l’espèce Pour les anti-spécistes, l’espèce – animale ou humaine -, en tant qu’entité collective, n’a qu’un sens très marginal. Au contraire, ils estiment que l’individu – animal ou humain – doit être au cœur des modes de pensée de nos sociétés. Ces dernières devraient faire primer l’égalité entre leurs individus ainsi que leur confort (accès au bonheur, absence de souffrance, etc.) plutôt qu’une sorte de hiérarchie entre humains et animaux qui mènerait nécessairement, selon eux, à l’asservissement des seconds et la domination des premiers. Cette égalité entre les individus n’est pas une égalité absolue : on ne parle pas nécessairement d’une égalité de traitement ou de droits. Un article de Wikipedia précise : « tout comme il serait absurde d’accorder à un homme (mâle) le droit à l’avortement, il est absurde d’accorder à une poule le droit de fréquenter l’université. » Mais si différences il doit y avoir, celles-ci ne peuvent pas se déterminer pour des raisons liées à l’espèce. Les inégalités ne sont que des compromis dus à la particularité des individus. Dans ce contexte où l’animal est l’égal de l’humain, l’Homme ne fait plus partie de la chaîne alimentaire. La consommation d’animaux est associée au cannibalisme, la chasse à la guerre, l’élevage aux camps de concentration et le spécisme n’est qu’un dérivé du sexisme, du racisme voire du nazisme. Les spécistes, justement, seraient restés à l’âge de pierre, dans un monde aussi rétrograde que dégradant. La barbarie supposée de leurs sociétés ne les choquerait plus, tant ils seraient incapables de remettre en cause les postulats séculaires qui ont bâti l’humanité. A commencer par le dogme judéo-chrétien qui veut que l’Homme – non l’animal – ait été conçu à l’image de Dieu. Malgré certaines évolutions (abolition de l’esclavage, sociétés démocratiques, droit des enfants, égalité des sexes, etc.), les spécistes seraient incapables de sortir de leur paradigme pyramidal où l’Homme serait supérieur à l’animal, ce carcan idéologique que les anti-spécistes veulent faire voler en éclats. L’anti-spécisme est un anti-humanisme Le problème c’est que les anti-spécistes ne croient pas en l’Homme. Ils considèrent que l’Homme n’est qu’un saccageur d’environnement, un pilleur de ressources, un tortionnaire d’animaux. De ce pessimisme sur notre humanité découlent des mouvements en faveur des animaux dont la violence n’est que le reflet de leur aversion envers l’humain. Cette situation est préoccupante car le comportement de certains groupes semble s’apparenter à un mouvement de lutte révolutionnaire. La libération finale des animaux purs et innocents est-elle en marche ? Toujours est-il que, toutes proportions gardées, le mouvement de libération animale est à l’anti-spécisme ce que la Révolution bolchévique était au communisme : le moyen de réaliser, par la force si nécessaire, un monde supposément meilleur. Or, l’humaniste que je suis ne se reconnaît pas dans la vision de l’Homme des anti-spécistes. Moi, Homme, je ne suis pas ce qu’ils disent que je suis. Je ne suis ni barbare, ni tortionnaire ni dominateur. Je suis davantage qu’une espèce fut-elle humaine : je suis une civilisation. Selon Philippe Val, philosophe français, l’espèce vise sa propre reproduction. C’est son unique loi. Aveugle, sans état d’âme, sans conscience, elle élimine les faibles et obtient des plus forts leur reproduction… avant de précipiter leur mort car l’espèce s’autorégule, la surpopulation pouvant la menacer. La loi de l’espèce régnait ainsi en maître durant des milliards d’années avant qu’elle ne se prenne les pieds dans le tapis en inventant, via son mode de sélection brutal et hasardeux, un nouvel être : l’homo sapiens sapiens. Cet être sélectionné pour ses aptitudes à faire survivre l’espèce mieux que n’importe quel autre – grâce au cortex de son cerveau surpuissant – s’est mis à défier la loi de l’espèce dont il était issu. Car l’homo sapiens sapiens non seulement devînt conscient de sa finitude mais en plus devînt conscient de sa conscience. De cette réflexivité, l’Homme élabora ses propres lois, autrement moins douloureuses, arbitraires et brutales que la loi de l’espèce. On appelle cela : la civilisation. Espèce ou civilisation ? Face à la caricature qu’ils se font de l’Homme – un barbare sanguinaire – la réponse des anti-spécistes consiste à banaliser l’humanité, la réduisant au rang d’un animal parmi les autres alors qu’il s’agit d’une civilisation. Certes notre civilisation est imparfaite et l’Homme a eu, et a encore, des comportements condamnables tant envers ses semblables qu’envers le monde du vivant qui l’entoure. Car, nous dit Val, notre civilisation n’est jamais acquise pour toujours. C’est une construction de tous les instants. Qui plus est, nous conservons tous en chacun de nous une part bien vivante de l’espèce, donnant à la civilisation sa part de violence, sa part de loi de l’espèce. Nos rapports à la violence, à la différence, à la compétition, à la compassion en témoignent. Mais il nous faut dépasser cet instinct grégaire de l’espèce. Pour les anti-spécistes, entre domination et banalisation, il n’existe rien. Pour moi, dans cet interstice béant, il y a la civilisation. La civilisation, poursuit Val, c’est la prise de conscience par l’Homme de sa propre fin et donc que la vie n’est pas seulement cette ligne droite qui mène de la naissance à la mort en passant par la lutte pour sa survie et la reproduction sexuée. Désormais, la vie c’est le plaisir de prendre plaisir, c’est aimer aimer son prochain ou Mozart, c’est rechercher des moments d’éternité dans le bonheur et même dans la jouissance du bonheur. La civilisation suppose des lois : là où le faible doit mourir car l’espèce ne s’embarrasse pas de celui qui menacerait sa résistance au temps, la civilisation protège les plus faibles car elle a conscience du caractère unique de tous ceux qui la composent. La civilisation s’oppose donc au rapport de force brute, à la souffrance, à la guerre et à toute forme d’activité où le plus fort triomphe en soumettant les autres à sa force. La civilisation s’oppose à la sélection de l’espèce. Ainsi, dans sa relation avec l’écosystème-Terre, la civilisation doit mettre sa science, sa compassion et son humanité au service du vivant car il y va autant de son éthique que de sa victoire sur la loi aveugle et froide de l’espèce. Toutefois, l’humanité est singulière. Je ne dis pas supérieure mais bien singulière. Elle a inventé la civilisation et avec elle la justice (quelle justice y a-t-il dans le monde animal sinon la loi du plus fort qui est la loi de l’espèce ?) ; elle a inventé les arts, inutiles pour l’espèce et tellement indispensables pour l’Homme dans son rapport au Cosmos et à la mort ; elle a inventé la conscience et la conscience d’avoir conscience qui lui confèrent l’obligation morale de garantir la diversité biologique et l’équilibre des écosystèmes. C’e sont les lois de la civilisation qui font que l’humanité n’est plus un simple animal, n’est plus une simple espèce vivante et n’est plus un barbare sanguinaire. À la fois détenteurs et créateurs de cette richesse, nous, les Hommes, devons obstinément œuvrer pour encrer l’humanité dans cette relation si singulière avec son environnement : au sommet de la chaîne alimentaire et pourtant humble et compatissante. Ce n’est pas du spécisme. C’est de l’humanisme. http://www.lepost.fr/article/2010/01/30/1915676_l-anti-specisme-est-un-anti-humanisme.html
  22. en voila un de + au parti vert hop Je ne l'affiche pas encore dans le forum car j'en parlerai d'abord dans notre prochain bulletin... 11 Février 2010 - 1:52pm OTTAWA – Le Parti vert du Canada est heureux d’annoncer la nomination de Sameer Muldeen à la tête du portefeuille sur les questions relatives aux animaux. M. Muldeen s’intéressera notamment au statut et au bien-être des animaux au sein de la législation canadienne. Membre du Parti vert depuis 2007, M. Muldeen est très préoccupé par l’aspect éthique et les conséquences environnementales de l’élevage intensif. « La croissance de la demande alimentaire des pays émergents comme la Chine et l’Inde nous oblige à réévaluer la façon dont nous élevons le bétail au Canada et ailleurs dans le monde », a fait valoir M. Muldeen. « Cette question est particulièrement importante depuis qu’un rapport publié par les Nations Unies en 2006 démontre que 18 pour cent des émissions de gaz à effet de serre de la planète sont attribuables à l’élevage du bétail, soit plus que toute l’industrie des transports. »* En qualité de bénévole pour le refuge d’animaux de sa localité, Sameer est convaincu de l’intelligence et de la sensibilité des animaux, une leçon renforcée par son chien. « Lorsqu’il est question de propriété, la majorité des Canadiennes et des Canadiens sait qu’il existe une différence entre posséder une chaise et posséder un animal. À présent, nos lois doivent être modernisées pour offrir une meilleure protection aux animaux contre la reproduction illégale, l’exploitation, l’abus et la négligence. » Les députés verts parraineront un projet de loi pour faire en sorte que les actes de cruauté envers les animaux constituent des infractions au Code criminel au lieu de simples infractions contre les biens, comme c’est le cas à l’heure actuelle. Sameer Muldeen est le candidat du Parti vert du Canada dans LaSalle-Émard. *Source : Steinfeld, H., et coll. « Livestock's Long Shadow - Environmental Issues and Options. » Rapport des Nations Unies. 2006. - 30 - Renseignements : Debra Eindiguer Attachée de presse Cell: 613-240-8921 media@partivert.ca www.partivert.ca
×
×
  • Créer...