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Moins de cinquante tigres sauvages subsistent en Chine, a averti un groupe environnemental lundi 8 février, en espérant que l'arrivée prochaine de l'année du Tigre ne sera pas celle de l'extinction de l'espèce. Xie Yan, directeur Chine de la Société pour la préservation de la vie sauvage (WCS, un groupe dont le siège est situé aux Etats-unis), a souligné lors d'une conférence de presse que les tigres étaient encore très présents il y a vingt ans en Chine. Mais selon des statistiques de l'an 2000, il resterait seulement une quinzaine de tigres du Bengale au Tibet, dix tigres d'Indochine dans le sud-ouest du pays et une vingtaine de tigres de Sibérie dans le Nord-Est. Le tigre du sud de la Chine pourrait déjà avoir disparu. Selon le Fonds mondial pour la nature (WWF), aucun n'a été aperçu depuis la fin des années 1970, alors qu'ils étaient encore quelque quatre mille dans les années 1950. Leur rapide disparition est à attribuer à la chasse, mais aussi à la dégradation de leur environnement naturel. Si la Chine a banni le commerce d'os de tigre et autres produits similaires en 1993, elle n'a pas su éradiquer le braconnage, selon les experts. Mais "l'an dernier, pour la première fois, j'ai repris confiance face au soutien" des autorités, a affirmé Xie Yan. "La gestion des réserves naturelles s'améliore et on voit de la compréhension dans les communautés locales. J'espère donc que l'année du Tigre va marquer un tournant pour sa préservation en Chine." L'espoir se focalise sur le Nord-Est, limitrophe de la Sibérie, où des centaines de tigres vivent. La situation du tigre sauvage n'est pas spécifique à la Chine. Le mois dernier, le WWF a averti que leur nombre en Asie du Sud-Est avait chuté de 70 % en douze ans. Selon un rapport publié avant une réunion en Thaïlande des treize pays asiatiques abritant encore des félins, leur nombre dans la région du Grand Mékong (Cambodge, Vietnam, Laos, Birmanie, Thaïlande) est tombé à environ trois cent cinquante, contre mille deux cents en 1998. Au niveau mondial, il n'existerait plus que trois mille tigres, contre vingt mille dans les années 1980 et cent mille il y a un siècle. 08.02.10
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Le Japon cherche à éviter un moratoire sur le commerce du thon rouge LE MONDE | 09.02.10 | 15h37 • Mis à jour le 09.02.10 | 15h45 Réagissez (2) Recommandez Classez Imprimez Envoyez Partagez Partagez :Buzzer ! Tokyo Correspondance Conscient de la diminution des populations de thonidés, le Japon, principal consommateur de ce poisson, fait tout pour éviter une interdiction totale du thon rouge, particulièrement menacé. A la différence de la baleine, que les Japonais continuent de chasser malgré un moratoire et, surtout, une consommation très limitée, Thunnus thynnus reste l'un de leurs mets préférés. En sushi ou en sashimi, il apparaît dans les menus les plus raffinés. La partie la plus savoureuse et la plus grasse de sa viande, le toro, est toujours recherchée. Edition abonnés Archive : Les pêcheurs dénoncent le ralliement de la France aux partisans de l'interdiction du commerce du thon rouge Pour satisfaire ce plaisir culinaire, le Japon importe 80 % de la production mondiale. Et ne semble pas prêt à y renoncer même si la crise semble être à l'origine d'une légère baisse de la consommation, qui s'établissait à 43 000 tonnes en 2008. Le gouvernement s'efforce même de limiter la hausse des prix, conséquence de la pression internationale grandissante pour réduire les prises. Il a accumulé 24 600 tonnes de stock, ce qui n'a pas empêché une hausse de 20 % entre janvier 2009 et janvier 2010 du prix du thon au marché aux poissons de Tsukiji, à Tokyo. "Baisse inévitable" L'Archipel, qui doit pourtant accueillir en octobre la Conférence internationale sur la biodiversité, fait également tout pour éviter que le thon rouge de l'Atlantique ne soit inscrit à l'annexe I de la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction (CITES). Une telle décision, synonyme de moratoire sur son commerce, est proposée par Monaco et soutenue, depuis le 3 février, par la France. Elle pourrait être décidée en mars, lors de la conférence des parties de la CITES. Dans ce contexte, même l'appel lancé en novembre par la Commission internationale pour la conservation des thonidés de l'Atlantique (CICTA), pour une baisse de 38,6 % à 13 500 tonnes des quotas de prises pour 2010, a l'air d'un moindre mal pour le Japon. "Si nous voulons éviter une interdiction totale du commerce, reconnaît Yuichiro Harada, de l'Organisation internationale de promotion d'une pêche responsable du thon, la baisse des quotas est inévitable." Dans le même temps, l'Archipel souhaite une lutte renforcée contre la pêche illégale, en Méditerranée notamment. Sur le plan intérieur, le gouvernement a demandé, en 2007, aux pêcheurs de relâcher les thons de moins de 2 kg. Pour 2010, il souhaite une réduction des quotas de prises de yokowa, les thons de moins de 20 kg. Il a également validé les réductions de prises de thon rouge dans le Pacifique sud et de thon obèse dans le Pacifique central. Idem pour la baisse du nombre de bateaux déployés pour la pêche au germon et à l'albacore dans l'océan Indien. En écho à ce qu'il considère comme des concessions sérieuses, le quotidien conservateur Yomiuri a même, dans un éditorial de novembre 2009, appelé la population à faire preuve de "retenue dans sa consommation pour continuer à pouvoir déguster du toro". Dans le même temps, le gouvernement soutient les recherches pour l'élevage du thon en captivité. Une activité délicate car le thon a besoin de se déplacer en permanence à haute vitesse pour emmagasiner suffisamment d'oxygène. Il lui faut de l'espace. Il est également un gros mangeur. L'élever en captivité exige de lui fournir quotidiennement d'énormes quantités de sardines, harengs ou anchois. Et puis, le taux de survie des alvins est de seulement 0,4 %, une proportion que des chercheurs de l'université du Kinki ont réussi à porter à 6 %. Ces travaux sont utiles à Maruha Nichiro, une entreprise spécialisée dans la pisciculture, qui souhaite sortir du système actuel où le pêcheur capture des thons jeunes pour les faire grandir dans des espaces clos. Maruha Nichiro veut passer à la production réalisée à 100 % en captivité. Le groupe prévoit ses premières livraisons pour l'exercice 2013. Avec l'espoir de rassurer le consommateur attaché à ce poisson qui, pendant la période d'Edo (1603-1868), était pourtant considéré comme de mauvaise qualité, indigne des meilleures tables. Philippe Mesmer Article paru dans l'édition du 10.02.10 http://www.lemonde.fr
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Commentaire d'une autre tête brûlée, à la solde du gouvernement .... dans le journal Le Devoir (ce même journal pour lequel travaille le chasseur Francoeur le Sans-Coeur, celui qui défendait les chasseurs dans le film de Jomphe: Phoque Le Film, et qui prône la chasse et le piégeage) On est envahis par ces crétins! ------------------------------------------------ Maurice Monette Abonné lundi 8 février 2010 20h46 Encore une fois... ...après avoir lues les quelques treize (13) Réactions qui précédaient jusqu'à ce je décide de "pondre" celle-ci, je ne peux que faire état de la Vérité à propos de cette chasse aux phoques sur laquelle une polémique est entretenue depuis le début des années 1980. Je suis Biologiste et à cette époque pas si lointaine, je travaillais au Ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentetion du Québec ou M. A. P. A. Q.. Dans ce temps, c'était le début de la croisade de B. B. pour défendre ces "pôvres" phoques contre les chasseurs "sanguinaires" qui permettaient au moins de garder un certain équilibre écologique entre ces phocidés et la biomassse piscicole dont les pêcheurs(es) commerciaux(ales) dépendaient pour gagner leur pitance. Trois (3) phénomènes se sont chevauchés durant le début de la décennie 1980 soit, les engins de pêche commerciale sont devenus très performants et ont été la première cause qui a engendrée une baisse des biomasses marines. Suivi du fait qu'avec l'ouverture des frontières pour la libéralisation du commerce, plein de bâteaux de pêche industriels d'Europe ont eue la possibilité de venir dans nos zones de pêche commerciale avec leurs usines flotantes qui ont décimés les banc de poissons dans les limites canadiennes qui n'existaient plus, question de libéralisation du commerce. À cause de ces deux raisons initiales de la quasi destruction des stocks de poissons commerciaux, il ne resta surtout que des individus immatures de la fraie de l'année et c'est LÀ ou les phocidés ont causée la destruction des nouvelles générations piscicoles (alevins de l'année) dont peu ont pu devenir matures pour se reproduire. Et de là aussi part l'amplification de la controverse sur les phoques car, si les populations de phocidés sont devenues très nombreuses, c'est qu'elles n'ont pas de prédateur et qu'elles ont dues se nourrir de quelque chose et ce quelque chose, Ç'a été les fretins de l'année qui n'ont jamais pu atteindre une taille commerciale. N'ayant pas de prédateur, puisque la chasse était suspendue à cause des pression de "B. B. et des animalistes", le nombre de phocidés augmenta de façon exponentielle. Les biomasses de fretins destinés à renouveler les populations piscicoles pour la pêche industrielle ont été décimés et n'ont jamais pu atteindre la maturité pour se reproduire. Tout le problème est LÀ et aujourd'hui, par sentimentalisme des animalistes, la biomasse piscicole ne vient pas à bout de se renouveler et les populations de phocidés sont maintenues dans des proportions astronomiques, justement à cause de cette "lubie" de ne pas chasser ces déprédateurs de la biomasse dont plusieures familles humaines dépendent. Alors, cherchez où est l'erreur et qui devrait faire "acte d'humilité et revoir ses positions", afin de laisser les vrais spécialistes s'occuper du rétablissement de l'équilibre écologique entre les populations animales qui fréquentent les mêmes aires vitales de croissance. Cherchez quels sont les responsables de toute cette désorganisation de l'ordre piscicole qu'il y avait avant la décennie de 1980... Il y a plusieures causes potentielles ou, peut-être que c'est l'effet cumulatif de celles-ci mais, une chose est certaine, il faudra des changements drastiques dans les moeurs des habitants(es) de cette "Terre qui était toujours d'Émeraude", avant cette triste époque de recherche effrénée de la célébrité et du profit futile. Si les limites de notre Biosphère avaient été respectées, on n'en seraient pas rendus(es) LÀ...! Maurice Monette Biologiste #939Grande Rivière Maurice Monette Abonné mardi 9 février 2010 06h22 Correction de ma Réaction de 20h46, hier soir... ...quand j'ai précisé que c'étaient à cause de la mondialisation qui avait permis aux bâteaux de pêche industriels de l'Europe de venir dans nos eaux continentales pour s'approvisionner en biomasse piscicole, ce n'était pas tout à fait exact. Il est certain que ces pêcheurs européens ont certainement pu venir dans nos eaux continentales pour essayer de profiter de la mondialisation du commerce. Ils ont participés à la diminution de nos ressources piscicoles continentales mais, ceux-ci avaient tout de même une certaine éthique pour sauvegarder les biomasses et ne prenaient normalement que les poissons de taille commerciale. Mais, la rectification s'applique plutôt au fait que, ce sont surtout les bâteaux de pêche industriels ASIATIQUES qui ont décimées nos cohortes de poissons. Ces bâteaux industriels immenses tirent des engins de pêche qui encerclent des populations répandues dans de grandes surfaces océaniques, grâce à une équipe de petits bâteaux partenaires qui étendent les filets qui forment des "seines poches" qui enferment de grandes surfaces de pêche. Même que, le raclage des fonds par ces razzias ont détruites toutes les aires de reproductions de la plupart des espèces marines. Voilà ! C'était l'importante rectification qui devait être apportée à ma Réaction de 20h46 hier soir.
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Lucrative seal hunt to begin in N.S. this week HALIFAX — Seal hunters are expecting the time they spend off Cape Breton this year will be much more lucrative than the last. They have found a buyer for the full quota of 2,200 seal pelts for the Hay Island hunt, Robert Courtney of the North of Smokey-Inverness South Fishermen's Association said Sunday. Courtney wouldn't identify the buyer or disclose how much per pelt the sealers would get, although he said it would be more than the $17 they received last year. Only 200 pelts were sold last year, even though Fisheries and Oceans Canada had approved a quota of 2,500. It's believed a Newfoundland company, New Tan Furs Inc., bought the pelts as a gesture of support to the sealers. Courtney attributed the full-scale hunt this year to the rebounding economy. "This year looks better." Thirty-nine men have signed up for the hunt, but only 20 are allowed on the small island at one time, he said. The hunt was scheduled to begin Monday, but the sealers were still in the process of getting vehicles and equipment ready and didn't anticipate a start until mid week. An anti-sealing organization plans to film the hunt and distribute the images to encourage a tourism boycott, a spokeswoman said. Bridget Curran of the Atlantic Canadian Anti-Sealing Coalition observed the hunt in 2008, when Hay Island first was opened for commercial sealing. Sealers are prohibited from using guns on the small island, so they use clubs to kill the seals. Curran said she saw sealers herd the animals into a group before killing them, a practice that has been condemned as inhumane by agencies such as the European Food Safety Authority, Curran said. "What I witnessed on Hay Island was the most horrific thing I've ever seen in my life." Last fall, the coalition disrupted a legislature session to protest the Dexter government's decision to allow the Hay Island seal hunt. The island is part of the Scaterie Island wilderness area. The province had to amend the Wilderness Areas Protection Act to allow the hunt. Ecotourism activities such as seal watching would stimulate the economy more so than the seal hunt, Curran said. Last week, the coalition asked Sterling Belliveau, the provincial minister of fisheries and the environment, to cancel the hunt, but he refused, she said. Curran said changing the wilderness protection law sets a dangerous precedent. "That land belongs to all Nova Scotians. It's part of our heritage and our culture. I think it's abysmal that the government handed over our land to commercial industry just to buy the votes of Nova Scotia fishermen." http://www.antisealingcoalition.ca/newsstory.php?rid=590
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L'Iran envoie souris, vers, et tortues dans l'espace
Animal a posté un sujet dans ANIMAUX - Europe et autres continents
Iran sends mouse, worms, turtles into space Iran sends mouse, worms, turtles into space President: ‘Scientific arena is where we could defeat (West’s) domination’ updated 2:31 p.m. ET, Wed., Feb. 3, 2010 TEHRAN, Iran - Iran announced Wednesday it has successfully launched a 10-foot-long research rocket carrying a mouse, two turtles and worms into space — a feat President Mahmoud Ahmadinejad said showed Iran could defeat the West in the battle of technology. The launch of the Kavoshgar-3, which means Explorer-3 in Farsi, was announced by Defense Minister Gen. Ahmad Vahidi as part of Iran's ambitious space program. It comes a year after Iran sent its first domestically made telecommunications satellite into orbit. ... 'Very big event' Ahmadinejad praised the latest launch and said greater events would come in the future. "The scientific arena is where we could defeat the (West's) domination," Ahmadinejad said in remarks broadcast live on state TV. He said the launch is a "very big event. This is the first presence of animals in space launched by Iran. It's the start of bigger achievements" to come. ... http://www.msnbc.msn.com/id/35213146/ns/world_news-mideastn_africa/ -
Mobilisation animale/ Nice exposition cochons tatoués
Animal a posté un sujet dans ANIMAUX - Europe et autres continents
Monday, February 08, 2010 Urgence mobilisation animale, Nice exposition cochons tatoués La souffrance animale s´expose au MAMAC de Nice le 13 février 2010 A partir du 13 février 2010, le Musée d´Art Moderne et d´Art Contemporain (MAMAC) de Nice ouvre ses portes sur une exposition gore, malsaine et en violation des droits des animaux, grâce à l´approbation générale : de la Mairie de Nice au Conservateur du Musée. L´affiche promotionnelle réalisée et placardée a semblé exhiber avec mauvais goût un simple montage sordide réalisé par des logiciels bien connus de retouches d´image. Il n'en est rien ! Les cochons tatoués sont bel et bien de vrais animaux vivants séquestrés et exploités par un homme dérangé qui s´est adonné au tatouage sur leur peau. Son argument : la friction entre l´art et la vie. Mais qu´est-ce que l´Art ? Des ribambelles d´étudiants, de chercheurs et d´artistes se confrontent depuis des lustres pour donner une définition à ce mode d´expression sans jamais pouvoir en fournir une généralement satisfaisante. Quant à la vie, il apparaît clairement que l'artiste lui préfère la mort quoiqu´il en dise. Ici, le seul argument qui vaille concerne les animaux considérés comme de vulgaires supports à recevoir des aiguilles injectées d´encre pour s´incruster à jamais dans leur chair. L´alibi d´anesthésier l´animal avant le marquage ne tient pas, quiconque s´est déjà fait tatouer sait que cela n´est pas totalement indolore et que des picotements peuvent aisément se faire ressentir pendant plusieurs jours après le tatouage. Les cochons pris en otage n´ont pas choisi de se faire tatouer. Ce sont des animaux hypersensibles, sujet aux arrêts cardiaques par le stress. - Ils n´ont pas choisi d´être exhibés devant des humains avides de gore ou des ignorants du respect du vivant. - Ils n´ont pas choisi d´être engraissés pour atteindre le poids (200 kg) qui les conduira directement à être saignés. - Ils n´ont pas choisi de se faire découper la peau pour se retrouver empoussiérés dans un tableau sur un mur. - Ils n´ont pas choisi de se faire empailler. La démarche malsaine de Wim Delvoye, le concepteur de cet outrage à la vie est de proposer son art du tatouage en maltraitant des animaux, avant de les condamner à mort pour exhiber leur dépouille ségmentée. Le cochon n´est ni un morceau de viande, ni une toile. C´est un animal social, intelligent et surtout ayant les mêmes capacités que l´homme à souffrir. Est-ce justement cela qui a motivé Wim Deloye dans ses actes ? Il est donc du devoir des amoureux des animaux et surtout de ses défendeurs et des associations qui s´en réclament publiquement, d´agir contre cette mascarade sordide. Nous ne voulons pas d´une telle ignonimie dans notre cité ! Fédérons-nous pour faire entendre notre voix le vendredi 12 février, le vernissage se fera à 18h30 en présence de l´auteur de cette aberration. L´exposition démarre le lendemain le 13 février. Afin d´être rassemblés autour d´un combat unitaire, un appel est fait aux associations et personnes de la protection animale pour organiser une action. DD <http://www.productionmyarts.com/arts-et-images/art-qui-choque/cochons-tatoues-f\ r.htm> <http://www.chine-informations.com/video/chine-des-cochons-tatoues_439.html> faites tourner.... -
Abolir les fêtes ou les ânes sont les martyrs pour des ivrog
Animal a posté un sujet dans Pétitions-Sondages-Suggestions
Abolir les fêtes ou les ânes sont les martyrs pour des ivrognes !!! http://blogaction-animaux.over-blog.fr/article-abolir-les-fetes-ou-les-anes-sont-les-martyrs-pour-des-ivrognes-44497739.html Monsieur le Président, Les festivités du "Peropalo" ont lieu chaque année à Villanueva de la Vera. "Peropalo" est une célébration liée au carnaval qui a été déclarée comme une fête d'intérêt touristique régional qui a d'importantes valeurs culturelles et anthropologiques. Cette célébration se déroule sur plusieurs jours et il existe différents rites. Le Mardi Gras, cependant, un âne est utilisé dans un de ces rituels, connu comme la "corrida de Elecciones". L'utilisation de l'âne comprend la cruauté et des mauvais traitements, provoquant à l'âne de souffrir et en faisant l'objet d'un traitement contre nature. L'article 5 / 2002 de la Loi de protection des animaux de la Communauté d'Estrémadure interdit clairement ce type de pratique. Compte tenu de l'imminence des fêtes du Carnaval à Villanueva de la Vera, comprenant la "corrida de Elecciones", nous voulons vous faire prendre conscience de ces faits afin que vous puissiez, dans votre position de président de la Junta de Extremadura, prendre les mesures pertinentes pour prévenir l'utilisation d'un âne à cette célébration, car c'est une violation manifeste de l'article 5 / 2002 de la Loi de protection des animaux d'Estremadure. De cette façon, nous assurerons la conformité avec le règlement définitif de la Loi mentionnée ci-dessus. Cordialement Click on the yellow "PETITION" for signing PETITION N'oubliez pas de valider votre signature / Don't forget to validate your signature RAPPEL: Signez la pétition originale si vous ne l'avez pas encore fait PETITION Merci pour l'âne du "Peropalo" Site web de l'organisation espagnole qui se bat sur le terrain pour faire cesser cette abomination: http://www.elrefugiodelburrito.com/en/node/295 -
Contre la torture des taureaux en Espagne
Animal a posté un sujet dans Pétitions-Sondages-Suggestions
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Publié le 09 février 2010 à 08h21 | Mis à jour à 08h25 Des combats de coqs pour oublier le séisme M.J. SMITH Associated Press Port-au-Prince Les combats de coq, une institution en Haïti, ont la vie dure malgré le séisme qui a dévasté le pays: près de Port-au-Prince, les volatiles sont baignés et leurs ergots aiguisés avant une nouvelle bataille. L'arbitre a pesé les deux combattants et les présente au public: ce sera Doudou contre Zo La Plaine. Avant le combat, une minute de silence. Les spectateurs se tiennent debout, tête baissée. «La vie continue !» lance l'arbitre, interrompant le silence sous les applaudissements qui emplissent «l'Arène des Coqs de PV». PV pour «Pétion-Ville», la banlieue chic de Port-au-Prince, dévastée comme le reste de l'agglomération par la secousse du 12 janvier. Les deux coqs de combat aux plumes chatoyantes s'élancent l'un vers l'autre. Au milieu des bâtiments effondrés et des sinistrés qui s'entassent dans des tentes sur le parking, la structure en béton de 500 places a résisté comme par miracle. Signe que l'humeur n'est pas tout à fait au beau fixe dans un pays qui compte plus de 200 000 morts, seul un tiers des sièges sont occupés. Le public est composé entièrement d'hommes, quelques-uns en chemise bien repassée, qui gagnent leur siège numéroté. Dans l'atmosphère de désolation qui règne au dehors, le combat de coqs apporte une distraction bienvenue. «Ca fait partie de la culture haïtienne», explique Laine Mackinson, un spectateur âgé de 26 ans. ... http://www.cyberpresse.ca/international/amerique-latine/seisme-en-haiti/201002/09/01-947737-des-combats-de-coqs-pour-oublier-le-seisme.php
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Et même si c'était le cas (que les phoques ne mangent que les entrailles de morues) qu'est-ce que ça changerait? Combien de millions de tonnes de poissons, de mammifères marins de toutes sortes sont capturés, tués pour rien, gaspillés par les pêcheurs ? Qu'est-ce que ce Newfie veut prouver à Paul Watson? Je ne comprend pas! ----------------------------------------------------------------- Sea Shepherd Society called on to pay up on seal bet Blogger demands satisfaction, claims proof ends debate over whether harp seals indiscriminately rip the bellies out of codfish Terry Roberts St. John's, N.L. — The Canadian Press Published on Tuesday, Feb. 09, 2010 8:37AM EST The long-running debate over whether harp seals indiscriminately rip the bellies out of codfish has resurfaced. The latest chapter has a Newfoundland blogger and advocate for rural areas taking on Paul Watson of the Sea Shepherd Conservation Society — an opponent of the annual seal hunt on the East Coast. Darren Fancey of St. John's, creator of the pro-sealing website seashepherd.blogspot, is challenging Watson to make good on a pledge to pay $25,000 to anyone who could document the cod belly phenomenon. Mr. Fancey says a photograph published in the St. John's Telegram last spring provides indisputable evidence. “I challenge him to pay the $25,000,” Mr. Fancey said. Mr. Watson said the reward is still on the table, but added that he needs more than one photo. “A photograph doesn't mean anything. I need video evidence of it,” Mr. Watson said Monday. He was reached aboard the Sea Shepherd vessel Steve Irwin, which is engaged in a high-profile protest against a Japanese whale hunt in waters near Antarctica. Mr. Watson offered the reward back in the 1990s after the federal fisheries minister at the time, John Efford, stated publicly that seals were ripping the bellies out of codfish and leaving the carcasses. It came at a time when there was intense debate about the future of the seal hunt and suggestions that seals were slowing the recovery of cod stocks. At one point, Mr. Efford called for a massive cull of seals. “I said 'if you can show me evidence that this is taking place, then yes, we would pay that reward,' ” said Mr. Watson. “Nobody has shown us any video evidence.” Mr. Watson acknowledges that seals eat cod, but he's not convinced that they just eat the bellies and discard the rest of the fish. “No marine biologist that I know of has ever heard of such a thing,” he said. “That's what John Efford was claiming at the time.” The published photo in question was taken by Don Noble of Lewisporte, N.L. It shows a seal biting into what appears to be a disembowelled codfish. Noble said at the time the seal had cleaned out the belly and then started nibbling away at the rest of the fish. Mr. Fancey has repeatedly e-mailed Watson's Washington-based group, challenging it to pay the money so he can turn it over to charity. “To me, it's the proof he was asking for,” Mr, Fancey said. Mr. Fancey said his e-mails have been ignored. He also claims that a reference to the $25,000 payment that was on the Sea Shepherd website was removed last week. Mr. Fancey provided screen grabs showing the site on Feb. 4 and the changes he said were made on Feb. 5. Watson, who has been at sea for about two months, said he had no knowledge of any changes to the website. http://www.theglobeandmail.com/news/national/sea-shepherd-society-called-on-to-pay-up-on-seal-bet/article1461126/Sea/
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Loblaws seafood ban could disrupt shark research Grocery store chain to stop selling shark, skate, orange roughy and sea bass Monday, February 8, 2010 CBC News Loblaws' decision to stop selling some seafood in the interest of conservation could disrupt research into porbeagle sharks off Nova Scotia that relies on a managed fishery, a shark scientist says. The grocery store chain, which owns the Atlantic Superstore, announced last week it will no longer sell skate, orange roughy, sea bass and shark ‹ four types of fish it deemed unsustainable. Steve Campana, a shark researcher at the Bedford Institute of Oceanography, said the company might have good intentions to promote sustainable fisheries, but its ban could interfere with research that helps protect shark populations. Scientists rely on fishermen with specialized gear, such as those in Sambro, near Halifax, for a lot of their research, Campana said. They work together to capture sharks and tag them, so that the sharks can be tracked by satellite. Any trend toward restricting markets for the sharks could disrupt the well-managed fishery and the scientific work that makes that fishery possible, he said. "I can understand the concern of the company for sharks in other parts of the world because many of those shark populations are in danger. Luckily, in Canadian waters, [the Department of Fisheries and Oceans] has taken a very strict line to allow a sustainable fishery on the sharks," Campana told CBC News. The fishing quota for porbeagle shark is "very tiny," and the population is recovering as a result, he added. Thanks to their co-operation with fishermen scientists now know that once the sharks leave Canadian waters, they go to the Sargasso Sea, near the Bermuda Triangle, to have their young, said Campana. "Without knowing where they had given birth, we were concerned that we might inadvertently wipe out their spawning potential or perhaps, more dangerously, have an international fishery catch them," he said. Though most of the shark meat caught off Canada's East Coast is sold in Europe, Campana worries that Loblaws' decision to ban certain seafood could prompt markets around the world to follow suit. http://www.cbc.ca/canada/nova-scotia/story/2010/02/08/ns-shark-superstore.html
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Human rights and the seal hunt, the debate moves north Friday, February 5, 2010 By Lorna Dueck, special to CBC News Spike a seal and watch the emotions boil over on all sides of this debate. Should those who hunt seals, like the Inuit of Canada's North, be the ones to determine the future of that species? Or must they surrender their self-determination ‹ their own human rights ‹ to the interests of those animal activists who argue a different moral view? The meeting of the G7 finance ministers in Nunavut this weekend splashes that messy dilemma all over the world stage. Since Iqaluit has been chosen, it is a good time to call to mind a kind of sacred connection. The connection of what it means for Canadians to know and care for each other. Our neighbours Of course Nunavut's leaders are going to try to leverage this finance summit to educate us all on who they are. Is that such a bad thing? The 35,000 people who live in Nunavut are our fellow citizens, our sisters and brothers, if you will. They are not just political pawns to be trotted out when it comes to sealing or climate change debates. They are the neighbours we seldom have the chance to understand. The Inuit are on record, in fact they are even in the European General Court, saying that their indigenous ways with the seal are directly connected to the Atlantic commercial seal hunt, the one that is at the centre of so many protests. That's also the seal hunt that takes place in those regions where unemployment is over 15 per cent and where sealing can provide as much as 35 per cent of someone's annual income. The importance of the spring seal hunt to local economies in Quebec, and Newfoundland and Labrador, is indisputable. And that itself is a cause ‹ the survival of small communities ‹ that the Inuit directly relate to. "We perceive the seals differently than people in the South," says Inuit Senator Charlie Watt. "To us, they are the wild dogs of the sea and they are direct competitors for food. Seals, like humans, hunt fish. "We strongly support the commercial hunt in Canada and we continue to support our brothers in Newfoundland and the lower St. Laurence." More than just subsistence The senator makes the case for what each of us take for granted ‹ the freedom to support ourselves as we wish, and the freedom from having the moral judgment of others limit our own self-determination. "What God has given to us is what we use in order to survive," says hunter Jackie Nakoolak of Coral Harbour, Nunavut. "God has given us this land that we're going to look after, and eat what is given to us." To defend that choice ‹ and the ability to expand upon it ‹ the Inuit are actually suing the European Union countries that they will be hosting at the G7 summit, suing them for their seal-product ban, which cripples the commercial seal hunt even as it exempts the Inuit's subsistence hunting. Subsistence alone is not enough, the Inuit are saying. To survive as a self-supporting community they may well need to develop the resources they have at hand, including seals. As the environmentalist and community leader Mary Simon, president of Inuit Tapiriit Kanatami, put it: "It is bitterly ironic that the EU, which seems entirely at home with promoting massive levels of agri-business and the raising and slaughtering of animals in highly industrialized conditions, seeks to preach some kind of selective elevated morality to Inuit." So watch as Inuit political leaders take advantage of the G7 finance summit to show us that the more seal pelts sold to make fur coats and accessories, the better. The premier of Nunavut will seat her guests on sealskin chairs, waitresses will sport seal accessories as they serve seal meat, and, of course, someone prominent will have a sealskin jacket on. I doubt the G7 participants will have time to hop on the back of a snowmobile and follow an Inuit hunter out to sea with a rifle. There they could worry that the thinning Arctic ice might crack beneath them. In a community where only one in four adults can find employment, where subsidized groceries are still five times the price of those in the South, and where raw meat caught from the land is as vital as beef and chicken is to those in the big cities, it is pretty apparent just who the EU ban is hurting. It is pretty clear, too, that this "Inuit thing" is not just a cultural quirk but the essence of what it is to be co-inhabitants of a shared planet. http://www.cbc.ca/canada/story/2010/02/05/f-vp-dueck.html
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This Saturday night HBO will be airing a made-for-television biopic about Temple Grandin, who is acclaimed for her work in autism and designing humane handling facilities for cattle. Beloved by many, Grandin, who is autistic herself, was one of the first people to talk openly to the public about her condition lifting the stigma that is often associated with autism. In addition to being one of the first women to hit the scene in the cattle industry, where she wasn’t welcomed with warmth, she’s also widely known for her lectures and books, including Animals Make Us Human: Creating the Best Life for Animals. Grandin, who now has a Ph.D, and is an Associate Professor of Animal Behavior at Colorado State University, credits autism for her success. She claims that the hypersensitivity and unique vision are what have made her so tuned in to what animals sense and how to use it in agricultural engineering to create humane slaughter facilities. While she’s certainly overcome some tremendous obstacles, she’s also roused some critics along the way who don’t quite see her as a heroine for animals. Indeed, something is amiss. In her book, Animals Make Us Human, Grandin states that, "I vividly remember the day after I had installed the first center-track conveyor restrainer in a plant in Nebraska, when I stood on an overhead catwalk, overlooking vast herds of cattle in the stockyard below me. All these animals were going to their death in a system that I had designed. I started to cry and then a flash of insight came into my mind. None of the cattle that were at this slaughter plant would have been born if people had not bred and raised them. They would never have lived at all" (p. 297). Jeffrey Masson, author of When Elephants Weep, seems to have hit the nail on the head with the troubling issue behind Grandin’s work in his review of the book: Temple Grandin Brings Me to Tears (of Frustration). It’s that, “she can never take the next step to questioning what she does.” Her flash of insight “seems to have pacified her conscience forever! One moment of true insight, when she cried, was quickly stifled by a dumb cliché. It is an argument used by many people who become very annoyed if you say that we wouldn't want our children born into a world where they would be murdered, no matter how humanely or painlessly, after having lived for just a few months or years.” “Dr. Grandin never asks the only relevant question here: Is it right to do this at all?” It seems odd that someone could become such a prominent ethicist without being able to grasp that question. It also seems odd that someone who loves animals and feels they can empathetically relate to the animal mind wouldn’t try to help them live and instead, ironically, designs their deaths for a living. The cows, pigs and chickens that meet their end in a slaughterhouse don’t want to die any more than we do. They probably didn’t want to live that “good” life on a CAFO either. Is Big Ag just using Grandin as a pawn to assuage consumer guilt over something that’s quickly making its way into the ethically questionable spotlight? Are people just using oxymoronic terms like “humane slaughter,” “compassionate carnivore” and “ethical meat eater” to ease their conscience and stifle their tears as quickly as Grandin? For meat eaters who decry the use of emotional adjectives attached to the subject of animal rights and welfare, isn’t that the same thing? care2causes
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La chasse aux phoques: Un texte commandé par la sénatrice Céline Hervieux-Payette et dénonçant la Human Society of United States (H.S.U.S.) tout en parlant de Paul McCartney, Brigitte Bardot et Pamela Anderson qui s'opposent à la chasse aux phoques. «Ils (McCartney, Bardot et Anderson) le font pour faire du bien, mais ce qui me choque dans tout ça c'est qu'ils servent de pantin. Je le dis dans la chanson, les revenus de la H.S.U.S ont engendré, en 2003, 123 millions $ U.S. … Je suis prêt à affronter la H.S.U.S n'importe quand, n'importe où, n'importe quelle heure.» http://www.info07.com/article-i331864-Jean-Lapointe-plonge-tete-premiere-dans-span-classTiLEauspan.html
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Quelle idiote cette sénatrice! Vos réactions La sénatrice Hervieux-Payette à la chasse au phoque Hélène Buzzetti 8 février 2010 Canada Ottawa — La sénatrice libérale Céline Hervieux-Payette, qui s'est illustrée au cours des dernières années par sa défense musclée de la chasse au phoque, passera de la parole aux actes: elle se rendra demain à Iqaluit, au Nunavut, pour un voyage de quelques jours pendant lequel elle accompagnera des chasseurs sur la banquise. Mme Hervieux-Payette accompagnera des Inuits le temps d'une journée à la chasse au phoque. «C'est à une heure de ski-doo d'Iqaluit. Nous reviendrons à la fin de la journée», raconte-t-elle. La sénatrice entend documenter son passage avec des photos, des enregistrements et des commentaires qu'elle affichera sur son site Twitter et Facebook. Elle ignore si elle est la première politicienne canadienne à participer à cette chasse, mais chose certaine, s'il y a des précédents, ils sont peu nombreux. En règle générale, les observateurs qui assistent à la chasse y vont pour ensuite la dénoncer. Elle n'entend pas elle-même tuer d'animaux. «Même si j'ai eu des cours pour être chasseur de phoques, précise-t-elle. Il s'agissait d'un cours théorique donné par un vétérinaire avec des vidéos. Mais je n'ai pas pratiqué. Il faut avoir l'habitude d'aller sur les glaces.» La sénatrice défend bec et ongles la chasse dite éthique du phoque. Elle ne manque pas une occasion de rappeler que les animaux de ferme sont eux aussi tués avant de se rendre jusqu'à nos assiettes sans que cela fasse scandale. «Ce ne sera jamais des images romantiques, concède-t-elle. Mais on est des carnivores. Moi, je ne suis pas végétarienne. Je respecte ceux qui ne mangent que des carottes, mais, moi, je préfère un peu de diversité dans mon assiette.» La démarche de la sénatrice risque de faire des vagues. La gouverneure générale du Canada, Michaëlle Jean, avait déclenché une tempête lorsque, de manière ostentatoire devant les caméras, elle avait réclamé le coeur d'un phoque et s'en était délectée lors d'une visite dans le Grand Nord. Le voyage de la sénatrice coïncide par ailleurs avec une initiative visant à rallier le Nunavut à la Déclaration universelle sur le prélèvement éthique du phoque, qu'ont déjà signée le Québec et Terre-Neuve. http://www.ledevoir.com/politique/canada/282664/la-senatrice-hervieux-payette-a-la-chasse-au-phoque
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L'appel d'offre que le gouvernement canadien a fait pour nous couper le sifflet.... Réputation au sein des médias sociaux et gestion en ligne des enjeux concernant la chasse au phoque En-Tête Numéro de référence 187978 Numéro d'avis d'appel d'offres GLB-135175-2009-KB Nom de l'organisation Foreign Affairs and International Trade Ministère des Affaires étrangères et du Commerce international Code d'ident. d'origine FD.DP.ON.261943.C70153 Éléments associés Oui Dates Publié 2009-12-17 Révisé 2010-01-25 Fermeture 2010-01-26 13:00 h heure normale de l'Est HNE Détails Catégorie Services de soutien professionnel et administratif et services de soutien à la gestion NIBSs R0: SERVICES PROFESSIONNELS Région de livraison Région de la Capitale Nationale Région de l'avis d'appel d'offres Amérique du Nord Type d'accord ALÉNA/ACI Type de soumission Demande de proposition Valeur estimée 50,001 $ - 100,000 $ Méthode de sollicitation Ouvert Description de l'avis d'appel d'offres Réputation au sein des médias sociaux et gestion en ligne des enjeux concernant la chasse au phoque Un mouvement organisé d'opposition à la chasse au phoque prend de l’ampleur à l'échelle internationale depuis que le gouvernement du Canada a annoncé son plan de gestion quinquennal en 2006. Des groupes bien organisés opposés à la chasse aux phoques mettent à profit les outils de communication numérique en utilisant efficacement les techniques d’optimisation des moteurs de recherche ainsi que les technologies et les plateformes Web 2.0, pour bâtir des communautés d'intérêt et ainsi accroître leur part des conversations et renforcer leur empreinte numérique. L'affichage de vidéos, d'images et d'autres contenus (souvent erronés et fallacieux) sur des plateformes comme YouTube et Flickr, où les échanges et le nombre de visiteurs sont maximisés, figurent également parmi les tactiques utilisées. Dans cette perspective, le MAECI souhaite faire appel à une entreprise afin de pouvoir atteindre les objectifs décrits ci-joint. Contact(s) Autorité contractante Nom Katherine Borden Adresse 125 Sussex Drive Ville Ottawa État / Province ON Pays Canada Code postal K1A 0G2 Téléphone 819-934-1417 Télécopieur Courriel Katherine.Borden@international.gc.ca URL de site web http://www.merx.com/French/SUPPLIER_Menu.Asp?WCE=Show&TAB=1&PORTAL=MERX&State=7&searchtype=simple&langswitch=0&Id=187978&src=osr&ForceLID=&PrevState=&hcode=Q9nkG5KCBY%2bvjjCkskUeaQ%3d%3d ------------------------
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La NS s'apprête à exterminer 2,220 phoques
Animal a répondu à un(e) sujet de animo-aequoanimo dans Archives