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Tue Nov 17 Québec-(à 35 km du Mont-Tremblant) Il aura fallu plusieurs mois pour convaincre un propriétaire de plus d'une centaine de chiens de traineau de se défaire de ses animaux et les donner à un refuge de Val-Morin parce qu'il ne pouvait plus s'occuper d'eux. Les chiens étaient attachés à l'extérieur sans abri, ni accès à de la nourriture adéquate ou à de l'eau potable. Parmi cette centaine de chiens, une trentaine de femelles sont enceintes... Les chiens seront stérilisés et mis en adoption. Le refuge qui a pris ces chiens en charge demande l'aide du public: dons, adoption... p.s.: Selon les autorités, le propriétaire, ne sera pas accusé de négligence .... ------------------------------ The owner of 100 neglected sled dogs has turned the animals over to an emergency shelter because he could no longer care for them, officials with the SPCA Laurentides-Labelle and Humane Society International said Tuesday. "The dogs were chained outside without regular access to adequate food, clean water or shelter," Nikolas Gour, a Humane Society International spokesman, said in a statement. The dogs were being kept in a former home in an undisclosed town in the Upper Laurentians, about 35 kilometres north of Mont-Tremblant. They have now been transported to an emergency shelter in Val Morin, Que., and are being provided with veterinary care, officials said. The owner agreed to give up the dogs after he was approached by the SPCA, which had received reports about the animals' poor living conditions. But officials said it took months to persuade him to hand the dogs over. The living conditions could have gotten much worse because about 30 of the seized dogs were pregnant, said Corinne Gonzalez, executive director of the SPCA Laurentides-Labelle. ... http://ca.news.yahoo.com/s/cbc/091117/canada/canada_montreal_sled_dogs_rescued ------------------ 100 chiens de traîneau rescapés par la SPCA Henri Prévost Actualités - Publié le 17 novembre 2009 à 14:26 Près de 100 chiens de traîneau qui étaient gardés dans des conditions difficiles, dans le secteur de Mont-Tremblant, ont fait l'objet d'une importante opération de sauvetage initiée par la SPCA Laurentides-Labelle. Les animaux, la plupart de race Husky, étaient enchaînés à l'extérieur dans un boisé, où leur propriétaire les gardait en attendant la saison hivernale. Certains étaient très maigres et déshydratés. Une trentaine de femelles étaient par ailleurs enceintes et on estime que 150 chiots auraient pu s'ajouter dans un avenir rapproché. Informée récemment de la situation, la SPCA a réussi à convaincre le propriétaire (qu'on préfère ne pas identifier) de lui céder ses chiens. «Ce sauvetage évitera que la situation se détériore», explique la directrice de l'organisme, Corinne Gonzalez. L'envergure de l'opération a nécessité beaucoup de préparation. La SPCA a d'ailleurs obtenu la collaboration de la Humane Society International ainsi que de United Animal Nations, deux organismes nord-américains dont l'expertise dans le domaine de la protection animale est reconnue. Mardi matin, les chiens ont été transportés avec de l'équipement spécialisé vers un refuge temporaire aménagé dans un commerce vacant de Val-Morin. Des vétérinaires vérifieront leur condition et donneront les traitements appropriés. Certains des animaux seront ensuite acheminés au siège de la SPCA Laurentides-Labelle à Sainte-Agathe-des-Monts, où on les offrira en adoption. On sait déjà qu'une cinquantaine d'autres seront envoyés à des organismes de secours ailleurs au Canada et aux États-Unis. Dans tous les cas, les chiens seront stérilisés et confiés à des foyers permanents. «Ce sont des animaux très sociables», explique Mme Gonzalez. Ce sauvetage entraîne bien sûr des coûts importants pour la SPCA qui compte sur des dons du grand public pour faire face à cette situation exceptionnelle. http://lechodunord.canoe.ca/webapp/sitepages/content.asp?contentid=118434&id=139&classif=Nouvelles
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Warwick : un bâtiment de ferme est la proie des flammes par Claude Thibodeau Voir tous les articles de Claude Thibodeau Article mis en ligne le 16 novembre 2009 à 7:12 * Warwick : un bâtiment de ferme est la proie des flammes Un incendie, d’origine encore inconnue, ravage depuis 4 h ce matin (lundi) un bâtiment de ferme situé au 37, Rang 4 à Warwick. La présence d’un réservoir de propane amène les sapeurs à jouer de prudence. «Nous avons été avisés de l’incendie à 4 h 10. Le bâtiment contenait 310 veaux de lait, une valeur de 450 000 $», a indiqué le sergent Claude Denis de la Sûreté du Québec. ... L’incendie n’aurait fait aucun blessé, selon la SQ. Plus de détails et des photos à venir. http://www.lanouvelle.net/article-401494-Warwick-un-batiment-de-ferme-est-la-proie-des-flammes.html
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12 November 2009 Delhi Zoo will soon be bidding farewell to its three elephants. In fact, elephants will no longer be seen in any zoo or circus in the country after the Central Zoo Authority (CZA) issued a notice on Monday to the effect that all of these animals in zoos, numbering about 140, should be sent to national parks, sanctuaries and tiger reserves as soon as possible. According to sources, the circular states that a zoo environment is not the best place for the large animals....
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Mardi 17 novembre 2009 8:15 Source : Info Astral Media 200 veaux de grain ont péri dans un incendie ce matin dans une ferme de L'Ange-Gardien en Montérérgie, près de Granby. Le feu a pris naissance vers 6h00, probablement à la suite d'une défectuosité électrique, dans un bâtiment de la ferme du rang Casimir. Personne n'a été blessé mais le bâtiment sera une perte totale. ------------------------------------------ Warwick : un bâtiment de ferme est la proie des flammes par Claude Thibodeau Voir tous les articles de Claude Thibodeau Article mis en ligne le 16 novembre 2009 à 7:12 Un incendie, d’origine encore inconnue, ravage depuis 4 h ce matin (lundi) un bâtiment de ferme situé au 37, Rang 4 à Warwick. La présence d’un réservoir de propane amène les sapeurs à jouer de prudence. «Nous avons été avisés de l’incendie à 4 h 10. Le bâtiment contenait 310 veaux de lait, une valeur de 450 000 $», a indiqué le sergent Claude Denis de la Sûreté du Québec. Appelés à combattre l’incendie, les pompiers de Warwick ont demandé l’aide de leurs confrères de Victoriaville et de Kingsey Falls, notamment pour l’approvisionnement en eau. «Il y avait risque également de propagation à une maison neuve à proximité», a souligné le sergent Denis. L’incendie n’aurait fait aucun blessé, selon la SQ. Plus de détails et des photos à venir. http://www.lanouvelle.net/article-401494-Warwick-un-batiment-de-ferme-est-la-proie-des-flammes.html ..... Warwick: Une ferme détruite par les flammes 2009-11-16 18:10:54 (Source: Radio-Canada) Le feu a causé de lourds dommages au bâtiment situé sur le 4e Rang Ouest à Warwick. Plus de 300 veaux de lait ont péri. Un violent incendie a causé de lourds dommages à un bâtiment de ferme situé sur le 4e Rang Ouest à Warwick. Les flammes ont pris naissance peu après 4 h lundi matin. Une vingtaine de pompiers de Warwick, de Victoriaville et de Kingsey Falls ont été appelés sur les lieux pour éteindre le brasier. À leur arrivée, le toit du bâtiment était déjà entièrement enflammé. Les pompiers ont donc concentré leurs efforts à maîtriser l'incendie pour éviter qu'il ne se propage à un réservoir de propane et à une résidence situés à côté de la ferme. Quelque 310 veaux de lait qui se trouvaient à l'intérieur du bâtiment ont péri dans l'incendie. Selon le propriétaire de la ferme, les dommages sont évalués à plus de 500 000 $. Qui plus est, la résidence du propriétaire de la ferme a déjà été la proie des flammes en 2006. Une enquête a été ouverte pour déterminer la cause de l'incendie. Selon les premières constatations, les flammes pourraient avoir pris naissance dans le secteur des panneaux électriques. Le directeur du service des incendies de Warwick, Bernard Beaudet, se dit toutefois inquiet, puisqu'il s'agit du cinquième ou sixième incendie majeur à survenir sur ce rang en moins de trois ans. http://nouvelles.sympatico.ca
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Mardi 17 novembre 2009 8:15 Source : Info Astral Media 200 veaux de grain ont péri dans un incendie ce matin dans une ferme de L'Ange-Gardien en Montérérgie, près de Granby. Le feu a pris naissance vers 6h00, probablement à la suite d'une défectuosité électrique, dans un bâtiment de la ferme du rang Casimir. Personne n'a été blessé mais le bâtiment sera une perte totale. http://www.rockdetente.com/montreal/actualites/nouvelles-locales/117233-des-veaux-brulent-a-l-ange-gardien/
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Nov 2, 2009 11:02 pm US/Pacific Is Your Faux Fur Really Dog? HSUS: Field Guide To Telling Animal Fur From Fake Fur List Of Designers Who Have Vowed To Be Fur Free Reporting David Goldstein LOS ANGELES (CBS) ― A loophole in the federal labeling laws allows clothing manufactures to put real fur into clothing without stating anything on the label. CBS Close A loophole in the federal labeling laws allows clothing manufactures to put real fur into clothing without stating anything on the label. Field Guide To Telling Animal Fur From Fake Fur List Of Designers Who Have Vowed To Be Fur Free Is it fur or is it fake? We went undercover with hidden cameras looking for fur-free fashions. But no matter what some of the salespeople said, we looked inside. You won't believe some of the things we found. "This is real fur, this is similar to raccoon dog. Dog. You don't want dog around your neck? No I don't think so." We sent our undercover producer out shopping. Along with Pierre Grzybowski, a fur expert with the Humane Society of the United States. At Arden B. -- a popular chain of women's clothing stores -- at South Coast Plaza in Costa Mesa, we found a vest for $68. The label says suede faux fur. "Does it have fur," our producer asked. "Anything that we have... we don't carry real fur," the salesperson replied. "You don't carry real fur?" "No," the salesperson confirmed. She said Arden B. is fur free! A second salesperson said the vest was too cheap to be real. "OK, so no chance?" "Absolutely, no way," the salesperson said. So we bought it. In the car our fur expert cut open the backing. "This is the inside of the fur trim," Grzybowski said adding, "you can see little pieces of skin that have been stitched together." It turns out, according to our expert; this faux fur is a phony! David Goldstein: "That's actually the skin of an animal?" ... suite: http://cbs2.com/local/Fake.Fur.Dog.2.1287638.html
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Je viens d'avoir une confirmation que Nelly est bien partie pour sa nouvelle famille au Saguenay hier soir. Les gens la trouvent calme et obéissante. Les gens qui l'ont adoptée sont des amoureux des animaux: ils ont déjà un chat, un cockatiel et un autre pitou qu'ils ont recueilli et qui avait été maltraité par son ancien milieu. De plus la dame a grandi avec une petite chienne identique à Nelly; alors, pour elle, c'est un coup de coeur assuré.
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Massacrer les « cochons de mer » L'histoire pourrait être celle de tellement de pays côtiers. Des pêcheurs pauvres, forcés de faire vivre leurs familles avec des ressources de poissons qui disparaissent à vue d'oeil, se tournent vers le massacre d'espèces menacées pour tenter de s'en sortir. Dans ce cas-ci, il s'agit du Pérou, dont la côte est fréquentée par pas moins d'une trentaine d'espèces de cétacés, dont des dauphins. Ceux-ci sont officiellement protégés depuis près de deux décennies, mais on peut tout de même aisément retrouver leur viande sur les étals des marchés. Consommée essentiellement par les plus démunis, celle-ci est vendue comme du «cochon de mer». Ils sont ainsi pas moins de 15 000 dauphins à mourir chaque année sans que les autorités agissent véritablement pour stopper le trafic, faute de moyens et de volonté. Même que la police craint souvent d'aller faire des descentes dans les marchés, où elle est la cible des marchands en colère. Ces mêmes marchands qui vendent parfois des spécimens vivants capturés dans la forêt amazonienne. Mais comment dire à des pêcheurs pauvres qu'ils doivent protéger la vie des dauphins alors qu'eux-mêmes peinent à survivre au quotidien? L'écotourisme semble être la seule réponse. Et depuis quelques années, certains ont choisi de se transformer en croisiériste et d'amener des touristes admirer dauphins et oiseaux marins. On pourrait peut-être éventuellement faire de même sur l'Amazone, pour aller voir le rarissime dauphin rose, promis à la disparition comme son cousin chinois. Mais cet embryon d'industrie est fragile, surtout que la pollution urbaine et industrielle détruit même les habitats supposément protégés. La baie de Paracas, par exemple, «biologiquement morte» à plus de 95 %. Les dauphins en meurent, et les Péruviens aussi. Une lente agonie qu'il faudra bien entrevoir... un jour. Le Devoir (juil. 09)
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Montréal Un chat coincé dans un arbre pendant six jours Mise à jour : 15/11/2009 Chat coincé: entrevue avec Kristina Reusch, SPCA. Un chat coincé dans un arbre depuis près d’une semaine a créé tout un casse-tête et bien des émotions aux résidents de Ville Saint-Laurent, à Montréal. Par chance, il est finalement descendu. Cela faisait précisément six jours que le félin était pris à plus de 30 mètres dans les airs. Personne n’avait été capable de secourir la petite bête avant aujourd’hui, ni les secouristes ni les pompiers. La nouvelle en vidéo http://lcn.canoe.ca/lcn/infos/faitsdivers/archives/2009/11/20091115-124739.html
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Sunday, November 15, 2009 News Edmonton Animal activists protest CFR By FRANK LANDRY, Sun Media Edmonton Sun Last Updated: 14th November 2009, 7:22pm After six years of staging protests outside the Canadian Finals Rodeo, the head of an animal right's group admits the demonstrations haven't made much of a difference. "Probably not a lot yet," said Tove Reece, executive director of Voice For Animals. "There's still huge support for the rodeo by the city of Edmonton and a lot of businesses, that kind of thing. "The feel it brings money to the city, so they obviously want to support it for that reason." Yesterday, a handful of protesters carried signs outside Rexall Place, calling for an end in particular to calf-roping events. Placards read: "Buck the rodeo," "Bullying is bullying" and "Legalized animal cruelty." Ralph Murray, animal safety co-ordinator for the Canadian Professional Rodeo Association, said not a single calf has died at the Edmonton rodeo since 2008. He said he doesn't know where the Voice of Animals is getting its information. The Edmonton Humane Society said while it doesn't support the use of animals for entertainment, it is ensuring that those taking part in the rodeo are not suffering While demonstrators "got the usual cat-calls" from passersby, some motorists driving by honked in support, said Reece. "I think some people are starting to realize rodeo is not this kind of family-type entertainment, this wholesome type of entertainment it's made out to be," she said. "I think people are starting to realize the animals are probably not treated very well." Reece said it was a one-day protest. In 2007, the Cloverdale Rodeo in Surrey, B.C., announced that it would no longer hold calf-roping, steer-wrestling, team-roping and wild cow milking events. It comes after a Vancouver Humane Society photographer got a shot of a steer dying during a steer-wrestling event at the 2004 Cloverdale Rodeo. This is the 36th annual Canadian Finals Rodeo. It wraps up today.
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Are Americans Consuming More Beef? The United States Department of Agriculture' s May 22, 2009 Economic Research report reveals: 2007 beef cow slaughter: 31.7 million animals 2008 beef cow slaughter: 35.9 million animals Are Americans consuming more beef? Unless companion dogs and cats raid refrigerators while their companion humans sleep, the thirteen percent increase in cattle slaughter suggests that people are eating more beef. Coming next: An investigation into why animal rights groups promoting animal welfare increased their cash flow donations from 2007 to 2008 by a factor of thirteen percent. Is there a connection, or is it a coincidence that the number of slaughtered animals and the public's meat consumption increases directly proportional to the increase in spending by animal welfarists? The public's perception that farm animals are now living gentler lives due to new laws and regulations appears to be appeasing the conscience of meat eaters and the end result is that more meat is being consumed guilt-free. Robert Cohen http://www.notmilk. com
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p.s.: Cargill a commencé à vacciner ses 120,000 quelques truies contre la grippe porcine ---------------------------------------------------------------------------------- Les Vaccins, comment et pourquoi ? Dr. Marcel Delorme m.v. Introduction L' élevage du porc évolue sans cesse, que ce soit les méthodes d'élevage, l'alimentation, la régie de troupeau ou les bâtiments. Hélas, les maladies porcines évoluent aussi. On a qu'à penser aux nouvelles pathologies qui affectent la gente porcine depuis les vingt dernières années : La pleuropneumonie, l'influenza porcine, le SRRP. Pour combattre les agents pathologiques qui affectent tant nos porcs que notre portefeuille, la médecine vétérinaire a dû trouver de nouveaux outils. De nouveaux désinfectants, de nouveaux antibiotiques et aussi de nouveaux vaccins ont fait leur apparition. L'utilisation d'antibiotiques depuis plusieurs années a favorisé certaines bactéries à leur résister. Devant cette situation préoccupante et poursuivant une attitude prophylactique, les vaccins deviennent de plus en plus un choix dans l'industrie porcine. La vaccination devient chez le producteur de porc une routine qui entrent dans le chaînon des besognes, elle fait partie du travail de tous les jours, mais est-ce qu'on le fait bien ? Pour être efficace, on doit respecter certaines conditions d'entreposage et d'utilisation. Commençons d'abord par expliquer, sommairement, ce qu'est un vaccin. Un vaccin est un agent pathogène qu'on injecte à l'animal, soit sous forme vivant atténué ou modifié, soit inactivé. L'objectif de la vaccination est de créer une protection * Immunité + contre l'agent pathogène mis en cause pour ainsi diminuer les risques d'une maladie qui pourrait survenir dans le troupeau. C'est ni plus ni moins une façon d'éliminer une maladie ou de diminuer les pertes qu'elle causerait. Pour cela, il faut aller chercher la plus grande efficacité que le produit peut nous donner. Le principe d'un vaccin consiste à modifier un micro-organisme ou ses toxines de telle façon qu'ils deviennent non pathogènes et cela, sans perdre leur antigénicité. Conservation du vaccin : Bien que les vaccins soient fragiles, les fioles non utilisées ont une durée de vie relativement longue lorsqu'elles sont bien conservées. L'expiration d'un vaccin fraîchement fabriqué est généralement de plus de 2 ans. Les vaccins doivent toujours être gardés à une température de 2'C à 7'C. Ce sont des produits biologiques qui se détériorent rapidement à la chaleur et la lumière. Les vaccins vivants doivent être reconstitués avec le diluant juste avant l'utilisation et ne peuvent être gardés très longtemps. Il faut donc employer tout le vaccin dans l'immédiat ou jeter le produit non utilisé. En conséquence, lorsqu'un vaccin est disponible en plusieurs formats, choisissez celui qui vous permettra de vider complètement une fiole dès son ouverture. Les formats plus petits peuvent être légèrement plus chère mais il est préférable de payer un peu plus que d'essayer d'économiser et d'injecter un vaccin qui pourrait s'être détérioré. Pour les vaccins tués, (ceux vendu prêt à l'utilisation) il existe une façon de ne pas contaminer qui consiste à introduire une aiguille neuve dans la bouteille et l'y laisser. On aura qu'à visser une seringue pour aspirer le vaccin puis l'injecter avec une autre aiguille. Après l'utilisation, bouchez l'aiguille avec un sparadrap propre ou tout simplement, retirez l'aiguille. Il est cependant, beaucoup plus sûr de vider complètement le contenu. Si la date d'expiration du vaccin est passée, le contenu risque d'être inefficace. Enfin, pour envoyer des porcs à l'abattoir, le délai d'attente après une vaccination, est toujours d'un minimum de 21 jours. Efficacité du Vaccin : Le vaccin le plus efficace, c'est la maladie. Par contre, c'est celui qui a le plus d'effets secondaires. Certains vaccins sont plus efficaces que d'autres, on a qu'à penser à celui de la leptospirose ou du parvovirus. Leur succès n'est plus à démontrer. Mais qu'est-ce qui fait qu'un vaccin commercial soit excellent, bon ou passable ? L'agent microbien En effet, il y a plusieurs facteurs qui influenceront la réponse immunitaire de l'animal vis-à-vis du vaccin. D'abord, il y a l'agent microbien impliqué dans le vaccin, en effet certains virus ou bactéries sont plus immunostimulants que d'autres et produiront donc une meilleure immunité. Les sérotypes Dans certaines maladies, plusieurs sérotypes sont mis en cause pour une même bactérie. Ces sérotypes sont souvent très spécifiques et la protection occasionnée par l'un de ces sérotypes n'est pas efficace contre un autre sérotype d'une même famille microbienne, c'est ce qu'on appelle l'absence de réactions croisées. Le Streptocoque suis a près de 40 sérotypes. Parmi les agents infectieux qui ont de nombreux sérotypes et pour lesquels il existe un vaccin, on retrouve le E. coli (Colibacillose), l'Actinobacilus pleuropneumania (Pleuropneumonie) et l'Haemophilus parasuis ( Maladie de Glasser). Un bon diagnostic Le bon résultat d'une vaccination dépend aussi d'un bon diagnostic à la ferme. Il est donc primordial de s'assurer via une bonne nécropsie et des examens de laboratoire à quel type de pathologie, d'agent pathogène et de sérotype, nos animaux sont atteints ou sont susceptibles d'être affectés. Il ne faut pas négliger que plusieurs sérotypes puissent affecter l'animal simultanément. Vaccins vivants versus vaccins tués Certes un vaccin peut être soit vivant atténué, modifié ou tué. Un vaccin tué est bien sûr de moindre risque, par contre il peut demander d'être répéter plus souvent. Un vaccin vivant est composé d'une souche microbienne qui a été affaiblie ou à laquelle on a supprimé les éléments pathogéniques pour ne laisser que les ingrédients antigéniques qui stimuleront la production d'anticorps. Ces bactéries ou virus se multiplieront dans l'organisme, une fois injecté, et seront détruit par le système de défense de l'organisme suite à l'accroissement des anticorps. Il est possible aussi, de faire un vaccin à partir d'une souche microbienne propre à notre élevage. C'est ce qu'on appelle un vaccin autogène. Il suffit de cultiver à partir d'un porc malade l'agent pathogène en cause et d'en faire un vaccin. Ces vaccins sont alors des vaccins tués. A quoi s'attendre d'un vaccin ? On croit souvent que lorsqu'un animal est vacciné, il est protégé. Malheureusement, ce n'est pas si simple ! Il y a plusieurs facteurs à considérer : Délais de protection : Un animal n'est pas protégé dès l'injection du vaccin. Lorsqu'on vaccine un animal pour la première fois, on lui injecte des antigènes similaires à ceux pouvant causer la maladie(bactérie, virus, ) et contre lesquels le système de défense (système immunitaire) produira des anticorps. Défait, si l'animal devait rencontrer ce même microbe contre lequel il a été préalablement vacciné, il aurait déjà des anticorps prêt à attaquer l'intrus, c'est évidemment l'objectif de la vaccination. La production d'anticorps n'est toutefois pas instantanée. Suite à l'injection d'antigènes (vaccin), le système de défense doit les reconnaître comme étant de nouveaux ennemis, définir le modèle à reproduire et débuter la production d'anticorps. Ces différentes étapes font en sorte que les premiers anticorps détectables dans le sang apparaissent environs 7 jours après l'injection du vaccin. Ce délais, avant l'apparition d'anticorps, est généralement la période pendant laquelle l'animal est malade lorsque l'antigène est un microbe plutôt qu'un vaccin. Le booster (dose de rappel) : Pour la plupart des vaccins, suite à une première vaccination, l'on se doit d'administrer un booster ou une dose de rappel 2 à 4 semaines après la première vaccination. Ceci est rendu nécessaire parce que la quantité d'anticorps produits par la première dose de vaccin n'est généralement pas suffisante pour protéger l'animal. En administrant une dose de rappel, le niveau d'anticorps grimpe considérablement et permet une bonne protection comme le démontre la (figure suivante). Avec le temps, la quantité d'anticorps produits diminue graduellement (ce qui est tout à fait normal) et une autre dose de rappel pourrait être nécessaire après quelques mois pour conserver la production ou pour aider l'animal à passer une période à risque (figure suivante). L'injection : L'importance de l'injection est souvent négligée et pourtant ! C'est un geste qui se fait généralement de façon mécanique et rapide surtout s'il s'agit d'une truie agressive ! Il faut savoir cependant que le gras sous cutané est très présent dans la région du cou, là où se font les injections, particulièrement chez la truie. Or il faut éviter l'injection dans le gras puisque c'est un tissu peu vascularisé qui ne permet pas une bonne absorption. Pour permettre une bonne absorption, l'injection doit être intramusculaire ci faite avec une aiguille de l pouce et demi à angle droit avec la peau. N'oubliez pas, si le produit n'est pas absorbé, il ne peut faire son travail et ca s'applique aussi aux antibiotiques. Il est conseillé de changer d'aiguille au moins à chaque 15 truies lors d'une vaccination en série. Injection adéquate Injection adéquate Injection adéquate Le système de défense : Évidemment pour qu'une grande quantité d'anticorps soit produite, le système de défense doit être en parfait état de fonctionner. Or plusieurs éléments peuvent nuire au bon fonctionnement du système immunitaire. Un des facteurs le plus important est l'état de santé de l'animal. IL FAUT TOUJOURS VACCINER UN ANIMAL EN TRES BONNE SANTÉ. Un animal malade et fiévreux ne bénéficie pas de la pleine capacité de son système immunitaire et par conséquent de la production optimale d'anticorps. Un deuxième facteur important est le niveau de STRESS subit par l'animal. Il est admis depuis plusieurs années que l'efficacité du système de défense est inversement proportionnel à l'importance du stress subit par l'animal. En pratique dans une ferme, il n'est pas possible d'évaluer le niveau de stress subit par un animal en particulier. Par contre, on peut imaginer facilement que certaines périodes ou stade de production sont moins propices à la vaccination parce que plus stressante pour les animaux. C'est le cas par exemple de la première semaine d'arrivée des cochettes dans un élevage, des jours qui entourent la mise-bas, de l'entrée en engraissement ou pour des porcelets fraîchement sevrés. Il se peut à l'occasion qu'on choisisse tout de même de vacciner les animaux dans ces périodes parce que plus pratique mais il ne faut pas oublier que l'on fait alors un compromis, un compromis sur la qualité de la vaccination ! Enfin d'autres facteurs reliés à la régie comme la malnutrition, les températures extrêmes ou le sous abreuvement vont avoir un effet négatif sur le bon fonctionnement du système immunitaire et par conséquent de la réponse à la vaccination. La pression d'infection : Même bien vacciné, il arrivera à l'occasion que la protection ne sera pas suffisante et que les animaux développeront la maladie contre laquelle ils ont été vaccinés. Comme vous pouvez le remarquer sur la figure 7, cela se produit lorsque la pression d'infection est trop élevé e.i. que la quantité de microbes dans l'environnement surpasse la protection générée par la vaccination (quantité d'anticorps) Dans ces circonstances, un bon lavage suivi d'une désinfection, l'utilisation du tout plein-tout vide, l'amélioration de la ventilation ou l'utilisation d'antibiotiques sont parmi les outils qui permettront d'abaisser la pression d'infection et permettront à la vaccination par l'entremise du système immunitaire de contrôler la maladie (Figure suivante) Évaluation du vaccin Il n'existe malheureusement pas d'outils pratique et peu coûteux permettant d'évaluer si un troupeau a été bien vacciné et/ou si les animaux ont bien répondu à la vaccination. Bien sûr la sérologie pourrait être utilisée dans certains cas mais comme elle n'est pas très abordable, son utilisation est souvent limitée. De plus, un taux d'anticorps sérique élevé, n'est pas toujours gage d'une bonne protection, certains agents pathogènes sont détruits surtout par la défense cellulaire (Globules blancs du sang) plutôt que par les anticorps. Vous devez donc vous assurer que le vaccin soit bien conservé et bien utilisé pour permettre la meilleure réponse possible des animaux à la vaccination. Trop souvent, hélas c'est lorsqu'une maladie frappe un élevage qu'on constate que la vaccination n'a pas bien fonctionné... et c'est trop tard! I ! Qualité d'une bonne vaccination Pour qu'une vaccination soit efficace, il faut comme on l'a vu préalablement un vaccin bien conservé et un animal sain. Par contre, un programme de vaccination est essentiel pour une bonne protection du troupeau. Ce programme servira à donner la meilleur immunité au moment le plus opportun pour l'animal visé. Une vaccination contre la diarrhée colibacillaire du porcelet, par exemple, doit se faire en fin de gestation chez la truie pour maximiser le taux d'anticorps qui sera présent dans le colostrum lors de la première tétée. D'autres vaccins serviront à protéger le porcelet avant l'introduction en pouponnière ou en engraissement. Il y a des vaccins pour tous les niveaux de l'élevage du porc, que ce soit chez la truie, le porcelet ou le porc en engraissement. Il est donc impératif de bien suivre les recommandations du fabricant et du vétérinaire consultant pour que la protection soit à son meilleur. Une révision fréquente de l'état de santé du troupeau, des dangers qui le guettent, des nouvelles maladies, la proximité d'autres porcheries et des changements du côté régie, devrait apporter des modifications dans la cédule de vaccination. Le programme de vaccination a pour but de préserver le statut sanitaire de l'élevage ou de diminuer et/ou éliminer une maladie déjà présente. Il peut aussi être nécessaire de protéger l'animal lors de regroupement, surtout dans les multisources. Les verrats ne devraient pas être vaccinés tous en même temps. A cause de la réaction vaccinale, il peuvent présenter pour quelques jours, un manque de libido et une diminution de la spermatogenèse. Enfin, il faut toujours respecter le dosage recommandé. La quantité de vaccin injecté n'a rien à voir avec le poids de l'animal. On donne une même dose de vaccin à un Chihuahua qu'à un St-Bernard. Un sousdosage entraînera un manque d'immunité alors qu' une surdose n'augmentera pas le taux d'anticorps nécessaire mais risque d'augmenter la réaction inflammatoire au site d'injection si le vaccin contient un adjuvant. Il ne faudrait pas faire l'erreur d'arrêter de vacciner notre élevage dès que tout va bien, la vaccination peut faire parti de cette réussite. Rentabilité de la vaccination Avant de vacciner, il est bon de vérifier si économiquement cela est rentable. La perte de revenu due à la diminution de performance des animaux doit être compensée et/ou le nombres de porcelets sauvés par la vaccination doit être suffisant pour planifier une cédule de vaccination rentable. Il faut donc évaluer les pertes monétaires de la maladie, l'efficacité du vaccin et les coûts du programme de vaccination. Lorsqu'on a à choisir entre plusieurs vaccins, dans un élevage où sévissent plusieurs pathologies, notre sélection devrait couvrir les problèmes plus coûteux et ceux qui sont difficiles à traiter. La parvovirose est une maladie virale pour laquelle, il n'y a pas de traitement, sinon la prévention par un vaccin efficace et peu cher. La question ne se pose même pas. Par contre, la colibacillose est une maladie qui, si on applique les bons traitements au bon moment, n'entraînera pas de graves pertes monétaires. On peut alors choisir de vacciner pour de maladies plus importantes et ainsi, ne pas transformer nos truies en passoire. Ces choix doivent se faire avec la participation d'un vétérinaire bien au fait de l'état sanitaire de votre porcherie. http://rechamakayajo.qc.ca/medecine/vaccins/vaccins.htm
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De mexicaine à porcine, la nouvelle grippe qui effraie son monde a adopté un nom encore plus barbare. AH1N1. Pas une simple pudeur de langage… Avec plus de 700 cas confirmés dans le monde, la grippe porcine inquiète de plus en plus l’OMS et les gouvernements. Déclenchant la phase d’alerte 5, les pays les plus touchés espèrent ainsi enrayer la pandémie qui menace de plus en plus l’Europe. Détectée en Amérique du Nord, la grippe a touché 160 personnes, dont une mortellement aux Etats-Unis et au Mexique, pays qui compte, avec 19 décès, le plus grand nombre de victimes, 506 personnes ont été infectées. Rebaptisée par l’OMS « grippe A (H1N1) » pour éviter la stigmatisation de l’Amérique du Nord et l’abattage des porcs estimait « inutile » par l’industrie agroalimentaire, les origines de la grippe restent bel et bien mexicaine, porcine et nord-américaine. Tout commence en 1994, lorsque sanctionnée et expulsée des Etats de Virginie et de Caroline du Nord pour contamination environnementale,« Smithfield Food », la plus grande entreprise d’élevage et de conditionnement de porcs des Etats-Unis, s’installe au Mexique –devenu la même année membre de l’accord de libre-échange entre les Etats-Unis et le Canada. Etendue sur une cinquantaine de sites dans l’Etat de Veracruz, « Granjas Carroll », la filiale mexicaine de « Smithfield Foods » a fait, depuis, l’objet de sérieuses plaintes de la part de la population pour ses pratiques d’élevage et de confinement qui mettent en danger la santé publique. Cochon qui s’en dédit Récemment encore, les habitants de La Gloria, une communauté située aux environs de la ferme, dénonçaient la contamination de l’eau et les infections respiratoires dont ils souffraient comme une conséquence de l’élevage intensif des porcs. Tandis que le quotidien mexicain La Jornada publiait, en mars 2009, un article sur le décès de trois enfants en bas âge affectés par une maladie respiratoire qui touchait également 60% de la population, sur les trois mille habitants de La Gloria. D’après le quotidien, des manifestations arborant des photos de cochons barrés d’une croix et portant la légende « Attention, danger : Granjas Caroll », ont eu lieu dans la localité début avril. Et selon le Los Angeles Times, le premier cas confirmé de grippe A (H1N1) avait été détecté le 2 du même mois chez un garçon de quatre ans vivant dans la municipalité de Perote, dans l’Etat de Veracruz, à proximité « d’un élevage de porcs géré par une société américano-mexicaine, Granjas Carroll ». Ce n’est donc pas un hasard que le foyer ce soit déclaré au Mexique. Pour la grippe Aviaire, il s’agissait de la Chine, un pays émergent et peu regardant sur les normes sanitaires et environnementales. Nul doute alors, que ces élevages industriels soient de véritables bombes à retardement pour les épidémies mondiales. Une industrie grippée Devenus les déversoirs des entreprises les plus polluantes qui échappent aux réglementations contraignantes de leurs pays en s’y installant, ces pays émergents économiquement ne peuvent pas refuser ces installations en raison des clauses de protection de l’investissement. Et si les scientistes affirment que rien ne pose de problème de santé tant qu’on n’a pas de preuve scientifique, les exemples ne manquent pas pour nous rappeler le contraire. A l’époque du libre-échange économique, de l’agrobusiness et du dumping social et environnementale, les conséquences sanitaires, économiques, environnementales et humaines sont réelles. Recherchant davantage de profits, l’industrie agroalimentaire a créé un système alimentaire qui tue pendant que les gouvernements, en rassurant la population, s’assurent qu’elle continue la consommation de ces produits. « Smithfield Foods », ce géant américain au lourd passif environnemental, a fusionné pour devenir « Campofrio Food Group » qui, selon ses propres termes, est « le leader européen du marché de la charcuterie et l’une des cinq plus grandes entreprises de ce secteur au niveau mondial ». Voilà qui rassure ! http://www.bakchich.info/Ces-porcs-qui-nous-filent-la,07609.html
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Ottawa versera 50 M$ pour réduire le cheptel de porcs de reproduction dbegin@lecourrier.qc.ca Le gouvernement fédéral paiera 50 millions $ aux producteurs de porcs en difficulté afin qu'ils abattent 150 000 bêtes d'ici l'automne, soit 10 % du cheptel canadien de porcs de reproduction. Ce Programme de réforme des porcs reproducteurs touchera principalement les producteurs de l'Ontario et du Manitoba qui vendaient leurs porcelets aux Américains, mais il pourrait bien avoir un impact indirect sur la production au Québec. L'application du COOL (Programme américain d'étiquetage obligatoire selon le pays d'origine), prévue pour septembre 2008, a entraîné la rupture de nombreux contrats d'approvisionnement des acheteurs américains avec les producteurs canadiens, au cours des derniers mois. Les producteurs américains craignent que les porcs qui ne seront pas 100 % américains soient refusés à l'abattoir à partir de septembre. Les producteurs canadiens se retrouvent sans débouchés pour leurs porcelets. C'est le cas de plusieurs producteurs manitobains qui se préparent à euthanasier des centaines de milliers de porcelets au cours des prochains mois. Ils estiment que le nombre pourrait atteindre 25 000 porcelets par semaine au plus fort de la crise. « La crise des porcelets au Manitoba n'aura pas d'impact au Québec mais on peut supposer que les naisseurs ontariens se retrouveront eux aussi en fâcheuse position et là, ça pourrait changer la structure de production au Québec, croit Michel Morin du Centre de développement du porc du Québec (CDPQ). « Les naisseurs ontariens qui ont perdu ou qui perdront leurs contrats pourraient être tentés de vendre leurs porcelets aux producteurs québécois pour pas cher. On se retrouverait donc avec plus de porcelets engraissés au Québec, mais nés en Ontario. » Pour ce qui est de l'enveloppe de 50 M$ du fédéral, elle intéressera moins les producteurs québécois puisqu'ils bénéficient de l'assurance stabilisation (ASRA), mais surtout parce que peu de porcelets québécois traversent la frontière dans le but d'être engraissés aux États-Unis. Le programme, financé par Agriculture et Agroalimentaire Canada (AAC) et géré par le Conseil canadien du porc, versera 225 $ par porc reproducteur éliminé après le 14 avril 2008 aux producteurs admissibles. Une somme de 225 $ par porc moins le prix de vente sera versée aux producteurs dont la demande est approuvée qui auront vendu leurs animaux entre le 1er novembre 2007 et le 13 avril 2008. Les éleveurs qui participeront à ce programme doivent consentir à dépeupler entièrement une porcherie logeant des porcs reproducteurs et s'engager à ne pas reconstituer le troupeau reproducteur pendant trois ans. Les porcheries pourraient demeurées vides pendant cette période ou être utilisées à d'autres fins. « Peut-être que certains producteurs québécois qui sont à deux doigts de déclarer faillite seront tentés de recourir au programme fédéral, affirme M. Morin. ²a leur permettrait de réduire un peu les effets négatifs de la faillite. « D'autres en profiteront peut-être pour changer la vocation de la porcherie qu'ils devront vider, selon les normes édictées. Ils pourraient se tourner vers les porcs « à rabais » des Ontariens et y faire de l'engraissement. L'autre scénario possible, c'est que ceux qui ont d'autres revenus grâce aux grandes cultures délaisseraient le porc pour trois ans puisque ce secteur ne rapporte pas grand-chose, par les temps qui courent. Ils auraient au moins le 225 $/porc du fédéral. » Le formulaire d'inscription au Programme de réforme des porcs reproducteurs est disponible sur le site Web du Conseil canadien du porc, à www.cpc-ccp.com. http://www.lecourrier.qc.ca/nouvelle/2421/
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Un premier 10 M$ pour diminuer le cheptel porcin canadien laterre.ca 11 novembre 2009 redaction@laterre.ca Quelque 10 M$ des 75 M$ prévus pour le Programme canadien de transition pour les exploitations porcines ont été alloués à des producteurs qui se retirent du secteur pour au moins trois ans. Le Conseil canadien du porc (CCP), qui s’occupe du programme pour le gouvernement, a expliqué que la première phase a été conclue le 4 novembre et que 74 offres sur 261 au total ont été acceptées. Les producteurs pouvaient en effet soumettre un montant qu’ils voulaient recevoir avant de se retirer de la production. Les montants ont été ramenés en dollars par animal aux fins de comparaison. La somme moyenne qui sera octroyée par animal est donc de 765 $, mais des offres ont été approuvées de 300 $ à 997 $. Les offres plus basses ont été acceptées en premier jusqu’à ce que le montant de cette première phase, 10 M$, soit écoulé. En tout, ce premier bilan indique que près de 22 000 truies, 44 500 porcelets de 30 kg ou moins et près de 60 000 porcs seront retirés de la production pour au moins trois ans. Les offres de la seconde phase du programme pourront bientôt être reçues du 18 novembre au 9 décembre avant 14 h (HNE). Le CCP affirme que plusieurs offres incomplètes ont été soumises dans le premier tour et qu’il sera maintenant possible de compléter l’information.
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Cargill vaccinera toutes ses truies contre la grippe porcine États-Unis - Cargill annonce son projet de vacciner son cheptel contre le virus de la grippe H1N1. Le porte parole de la compagnie dit que ses 120,000 porcs, son cheptel au complet, sera vacciné. Cargill est le 8e plus gros producteur de porc au pays. On espère qu'en vaccinant les porcs, la souche humaine du virus ne se propagera pas dans la population porcine où elle pourrait muter. On se rappelle que le porc peut attraper la grippe humaine, porcine et aviaire, ce qui pourrait aboutir dans un nouveau virus qui pourrait être plus dangereux pour l'homme. ------------------------- Cargill vaccine ses truies contre le H1N1 laterre.ca 12 novembre 2009 redaction@laterre.ca La multinationale Cargill a décidé de vacciner les truies de ses troupeaux américains contre le virus de la grippe H1N1. Le porte-parole Mark Klein a déclaré vouloir immuniser quelque 120 000 truies qui constituent le huitième plus gros cheptel porcin aux États-Unis. La compagnie compte obtenir ses doses en novembre, soit à temps pour les intégrer à sa vaccination routinière du mois de décembre. Une fois les truies vaccinées, les porcelets devraient obtenir une certaine immunité par le biais du lait. Le département américain de l’Agriculture (USDA) espère que la vaccination va prévenir que les troupeaux porcins soient infectés et que le virus de grippe humaine y subisse une nouvelle mutation. La décision de Cargill survient peu de temps après la détection du virus H1N1 dans un premier troupeau commercial américain.
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Grippe A On lui retire l'appendice par erreur Éric Yvan Lemay Le Journal de Montréal 12/11/2009 08h20 Une adolescente de 13 ans s'est fait retirer son appendice pour des douleurs abdominales avant qu'on ne se rende compte qu'elle souffrait plutôt de la grippe A (H1N1). http://fr.canoe.ca/infos/societe/archives/2009/11/20091112-082001.html
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Incendie à Henryville Des moutons, des lapins et des poules périssent La Presse Canadienne 14/11/2009 09h58 Plusieurs animaux sont morts dans l'incendie. Un bâtiment de ferme de la municipalité d'Henryville, en Montérégie, a été la proie des flammes vendredi soir. L'édifice est une perte totale. Quelque 200 moutons, une centaine de lapins et des poules ont péri dans le sinistre. L'origine du feu est indéterminée, mais l'hypothèse d'un incendie criminel est écartée.
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Grippe A — Un cas « probable » de syndrome Guillain-Barré après vaccination 13 novembre 2009 LEXPRESS.fr Ce cas « probable » de syndrome Guillain-Barré, une maladie rare du système nerveux périphérique, a été signalé par le ministère de la Santé alors que la campagne de vaccination contre la grippe A commence dans un climat de défiance. Lire la suite l'article http://fr.news.yahoo.com/78/20091113/thl-grippe-a-un-cas-probable-de-syndrome-a700739.html ---------------------- Saviez-vous qu'il fallait deux aiguilles pour la vaccination? «La première aiguille sert en effet à percer l'opercule du flacon, lequel est susceptible de porter des microbes. "Ne pas changer d'aiguille (...) inclut inévitablement de sérieux problèmes d'hygiènes", a confié Emile Cacheux, un médecin venu assister aux vaccinations.» ---------- Grippe A : des seringues "dangereuses" dans un centre de l'Oise (France) http://fr.news.yahoo.com/73/20091114/tfr-grippe-a-des-seringues-dangereuses-d-0e31ec3.html
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Déclaration Universelle sur le Prélèvement éthique du phoque Publié le 23 avril 2009 Nous avons tous à coeur le bien-être des animaux www.phoque.org OTTAWA, le 23 avril 2009 – À un moment crucial où le Parlement européen pourrait imposer un boycott des produits dérivés du phoque pour répondre aux multiples pressions des groupes animalistes, le Sénateur Céline Hervieux-Payette s’est faite l’Ambassadrice des Communautés de chasseurs du phoque du Canada en présentant à la presse leur projet de Déclaration, en compagnie du critique en matière de pèches pour le Parti Libéral du Canada, l’honorable Gerry Byrne. c.p. Celle-ci a pour objectif de rallier tous les pays pratiquant la chasse au phoque autour de principes communs éthiques s’inscrivant sous la triple responsabilité du bien-être animal, du bien-être des collectivités humaines et de la protection des espèces et des écosystèmes. Intitulé « Déclaration universelle sur le prélèvement éthique du phoque », ce document deviendra un outil majeur de protection du phoque, se basant autant sur les connaissances scientifiques les plus modernes, sur les positions de grandes conventions et organisations (tel le WWF) qui protègent la biodiversité et l’environnement, que sur les connaissances écologiques traditionnelles des populations autochtones. suite ... http://www.forumdessenateursliberaux.ca/Nouvelles/4337_Declaration-Universelle-sur-le-Prelevement-ethique-du-phoque
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Motion pour le bien-être des animaux au Canada, le Canada a signé ------------ UDAW campaign reaches critical milestone Nov 13, 2009 Since 2007, WSPA Canada has been working tirelessly to convince the Canadian government to support our campaign to achieve a Universal Declaration on Animal Welfare (UDAW). In a landmark decision on November 6, MPs from all four political parties unanimously adopted a motion which calls on the Canadian government to support (in principle) the development of a UDAW. The motion was put forward by Liberal MP Michelle Simson (Scarborough Southwest) and seconded by NDP MP Bill Siksay (Burnaby Douglas). This makes Canada a leader – we are the first North American country to express support for UDAW – and it means that Canada is one giant step closer to fully endorsing the campaign. The next step – which we expect will happen soon – is for WSPA to meet with the Ministry of Foreign Affairs to confirm the government’s formal support, in principle, of the development of a UDAW. Then next year and throughout 2011, the actual details of the UDAW will be negotiated and finalized by key countries. And finally, Canada must then agree to and endorse the UDAW. The WSPA campaign to achieve a UDAW was supported by our member societies and more than 75,000 Canadians who signed petitions and sent more than 25,000 individual letters to MPs and the Minister of Foreign Affairs. If you’d like to say thanks to your MP for a job well done, please send them a thank you e-mail. http://www.wspa.ca/latestnews/2009/udaw_campaign_reaches_critical_milestone.aspx