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Publié le 20 novembre 2009 à 13h38 | Mis à jour à 13h39 L'OMS étudie une mutation du virus A (H1N1) Associated Press L'Organisation mondiale de la santé (OMS) étudie des échantillons d'une mutation du virus A (H1N1) qui a causé la mort de deux personnes en Norvège en plus d'en rendre une troisième très malade. L'Institut de santé publique de la Norvège a annoncé vendredi que la mutation «pourrait potentiellement (...) provoquer une maladie plus grave» parce qu'elle infecte les tissus respiratoires plus en profondeur que d'habitude. ... http://www.cyberpresse.ca/le-droit/dossiers/grippe-a-h1n1/200911/20/01-923570-loms-etudie-une-mutation-du-virus-a-h1n1.php
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Publié le 11 novembre 2009 à 07h11 | Mis à jour le 11 novembre 2009 à 07h14 Moins de cochons au Québec Nouvelle preuve que l'industrie porcine est en crise: la quantité de porcs au Québec a diminué de 5%, selon les dernières données de Statistique Canada. «La bonne nouvelle, c'est que ça baisse; la mauvaise nouvelle, c'est que ça ne baisse pas assez», dit Sylvain Charlebois, professeur en marketing et spécialiste de l'industrie alimentaire à l'Université de Regina, en Saskatchewan. Dans cette province, le cheptel a diminué de plus de 12%. Au total, le Canada a perdu un peu plus de 7% de ses porcs entre l'automne 2008 et l'automne 2009. Durant cette année, il y a eu la première vague de la grippe A (H1N1), qui s'appelait alors grippe porcine et qui a fait mal à l'industrie. Il y a aussi eu un dollar canadien fort qui n'a pas aidé aux nombreux exportateurs. Ottawa est d'avis que l'on doit diminuer la quantité de porcs au pays, et a mis sur pied un programme pour les éleveurs qui veulent en abandonner la production. Au Québec, la province qui compte le plus de porcs (383 000 au 1er octobre), les éleveurs sont assez réticents. Les généreux programmes québécois de stabilisation, qui indemnisent les éleveurs de leurs pertes en temps de crise, n'aident pas l'industrie canadienne, explique le professeur Charlebois. Dans un contexte où produire un cochon coûte plus cher que son prix de vente, les agriculteurs devraient significativement réduire la taille de leur cheptel, dit-il.
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Publié le 20 novembre 2009 à 07h50 | Mis à jour à 07h53 Moins de porcs, plus de diversité Québec a décidé de revoir son modèle d'assurance pour les agriculteurs. Résultat: les éleveurs de porcs, notamment, devront réduire la taille de leurs cheptels. Photo: David Boily, Archives La Presse Stéphanie Bérubé La Presse Petite révolution dans les champs: Québec revoit son modèle d'assurance pour les agriculteurs. Fini les chèques en blanc pour les productions qui ne sont pas rentables. Notamment, les producteurs de porcs, qui vivent une crise après l'autre, devront diminuer la taille de leurs élevages. À l'inverse, Québec propose maintenant une couverture pour l'ensemble des secteurs agricoles. Cette nouvelle mesure pourrait inciter des agriculteurs à se lancer dans des productions plus marginales, tant végétales qu'animales, alors qu'ils n'osaient pas courir un tel risque sans assurance. Le lapin, le canard ou les petits fruits ne sont pas assurables selon le régime actuel. «C'est une mesure qui va avoir des effets positifs sur la diversité de l'agriculture au Québec», constate le président de l'Union des producteurs agricoles du Québec (UPA), Christian Lacasse. Le syndicat est en général satisfait du plan de redressement dévoilé hier par le ministre de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation du Québec, Claude Béchard. La Financière agricole, responsable de l'assurance des producteurs, accumulait les déficits. Le ministre a annoncé qu'il lui accordait une enveloppe annuelle de 630 millions de dollars pendant cinq ans, mais il a précisé que cette enveloppe était «bien fermée». Crise ou non. «Notre objectif est d'améliorer la performance des entreprises, d'accroître le soutien aux secteurs en émergence et de favoriser la diversification de l'agriculture», a déclaré Claude Béchard. Cette mesure va dans le sens des recommandations du rapport Pronovost sur l'avenir de l'agriculture au Québec. On y suggérait de faciliter l'établissement des cultures émergentes. Programme maintenu Le Programme d'assurance stabilisation des revenus agricoles (ASRA) est maintenu, mais le calcul des paiements sera modifié puisqu'on ne tiendra pas compte d'une partie des entreprises non performantes et qu'on imposera aussi un plafond aux agriculteurs. Inévitablement, en cas de réclamation, des producteurs recevront de plus petits chèques. Ce point inquiète grandement l'UPA. Des agriculteurs en difficulté ne pourront pas passer au travers, explique Christian Lacasse. «Avant de les appliquer, il faudrait bien mesurer quels seront les impacts de ces nouvelles mesures dans certaines régions du Québec», précise-t-il. Le cas du porc Dans le cas du porc, les choses se précisent. Comme Ottawa l'avait fait à l'été, Québec demande à son tour aux éleveurs de diminuer la taille de leurs cheptels et réduit le nombre de porcs couverts par le programme. Ce n'est pas normal, a dit le ministre Béchard hier, que le nombre de porcs augmente au Québec alors que la production n'est pas rentable. Il était temps que le gouvernement fasse ce petit ménage, croit Sylvain Charlebois, vice-doyen à l'École d'études supérieures de politiques publiques Johnson-Shoyama de l'Université de la Saskatchewan, qui était de passage au Québec hier. «On est au moins deux ans en retard. Il y a trop de porcs au Québec», répète cet observateur de l'industrie. On a affaire à une industrie qui vit des cycles, explique Sylvain Charlebois. L'ASRA, telle qu'elle est appliquée actuellement, est un pansement, dit-il, mais il faudrait plutôt s'attaquer à la maladie. «L'industrie porcine doit s'adapter aux aléas du marché», explique le professeur Charlebois. Actuellement, la faiblesse du dollar américain fait mal aux exportateurs. Et un porc sur deux quitte le Québec. «On maintient artificiellement en vie une industrie. Pourquoi? Pour l'exportation?» demande Sylvain Charlebois. Mais en plus des fluctuations du cours du dollar et de l'alimentation des animaux, l'industrie porcine a fait face à plusieurs crises, la grippe porcine étant la dernière en date. «Il faut être conséquent: on fait face à une crise sans précédent, admet Jean-Guy Vincent. Comme tous les secteurs qui vivent des crises, on devra s'adapter.» Une quinzaine d'entreprises porcines québécoises ont déjà déposé des demandes pour se retirer de la production, selon le programme annoncé cet été par le gouvernement fédéral. * * * L'industrie du porc Il y a 7,7 millions de porcs au Québec. Le président de la Fédération des producteurs de porcs du Québec, Jean-Guy Vincent, estime qu'il y en aura 400 000 de moins l'année prochaine. Le ministre Béchard demande une réduction supplémentaire pour atteindre 7 millions de porcs en 2011. cyberpresse
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Grippe aviaire - environ 9 000 canards abattus
Animal a répondu à un(e) sujet de hop dans ANIMAUX - Europe et autres continents
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21 octobre 2009 à 13h35 Une porcherie rasée par les flammes à Saint-Alphonse Par Éric Patenaude Un incendie a ravagé cette porcherie de St-Alphonse. Photo: Nathalie Saint-Onge Plus de 1200 porcs ont péri dans l'incendie d'une porcherie du chemin Roy, à Saint-Alphonse-de-Granby, dans la matinée de samedi dernier. À l'arrivée des pompiers de Bromont-Brigham-Saint-Alphonse, le feu s'était propagé à la quasi-totalité du bâtiment agricole. En raison de l'intensité du brasier, les sapeurs ont dû faire appel à leurs collègues de Waterloo. Les services d'urgence ont quitté les lieux vers 18h30. Vendredi dernier, un feu a complètement détruit une résidence de la rue Demers, à Saint-Alphonse, aux environs de 22h30. Selon les premières constatations, les flammes auraient pris naissance dans un garage avant de se propager à la maison. La thèse d'un incendie criminel a été écartée pour les deux événements du dernier week-end. Une enquête est en cours pour déterminer les causes exactes de ces incendies. http://granby.enregion.ca/index.asp?s=detail_actualite&ID=2866
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La consommation de viande de phoque présente-t-ele des risques pour la santé? La chasse au phoque est une activité pratiquée dans le golfe du Saint-Laurent et l’estuaire maritime, spécialement dans les secteurs des Îles-de-la-Madeleine et de la Côte-Nord. À ces endroits, les captures se limitent principalement à une espèce, le phoque du Groenland. En 2001, par exemple, 18 641 phoques du Groenland ont été capturés aux Îles-de-la-Madeleine, secteur où la chasse au phoque est la plus intensive, alors que sur la Côte-Nord, ce nombre s’élevait à 600. Le succès de ce type de chasse est notamment influencé par les conditions météorologiques, en particulier aux Îles-de-la-Madeleine, secteur où l’activité se pratique surtout sur la banquise. Jusqu’à tout récemment, on ne disposait d’aucune donnée concernant la consommation de viande de phoque. Une étude réalisée auprès des chasseurs de ces deux régions a permis de rejoindre près de 50 % d’entre eux. Ceux-ci consommeraient près de 10 grammes de phoque par jour, dont une certaine quantité d’abats. De par leur situation géographique, les chasseurs de phoque ont également accès aux autres ressources marines telles que le poisson, les mollusques et les crustacés. Cette proximité naturelle se traduit par une consommation générale de produits de la mer environ sept fois plus élevée que celle de la population québécoise40. La consommation de viande de phoque présente-t-elle des risques pour la santé? Comme plusieurs mammifères marins, les phoques occupent un échelon supérieur dans la chaîne alimentaire. Ainsi, les concentrations de plusieurs contaminants persistants (ex. : BPC ou DDT) dans les tissus graisseux et le foie de ces animaux sont susceptibles d’être relativement élevées. L’analyse des données d’exposition à certains métaux lourds et aux organochlorés, recueillies auprès d’un certain nombre de chasseurs de phoque, indique une relation entre la consommation d’abats et de chair et les concentrations d’organochlorés. Comparées aux données de BPC obtenues chez d’autres populations, les concentrations mesurées chez les chasseurs de phoque s’avèrent supérieures à celles des grands consommateurs de poisson pêché lors de la pêche blanche au Saguenay ainsi qu’à celles des populations des Grands Lacs, mais inférieures à celles des grands consommateurs de poisson de la région de Montréal. Aucun des chasseurs de phoque rencontrés ne présentait des teneurs en BPC et en mercure supérieures aux valeurs recommandées par les organismes de santé40. Quels en sont les bénéfices? Il est reconnu que la consommation des produits de la mer entraîne un apport en acides gras de type oméga-322. Les teneurs en acides gras observées chez les chasseurs de phoque, qui sont également de grands consommateurs de poisson, de mollusques et de crustacés, sont au moins trois fois plus élevées (6 %) que celles mesurées chez l’ensemble des Québécois (2 %). Ces teneurs se rapprochent d’ailleurs de celles observées chez les Inuits (8 %). Les préférences alimentaires pour certaines espèces de poisson riche en acides gras pourraient, entre autres, expliquer les niveaux observés40. La chasse au phoque se pratique principalement dans le secteur des Îles-de-la-Madeleine et de la Côte-Nord, les captures se limitant surtout à une espèce, le phoque du Groenland. Valeur nutritive du foie de phoque du Groenland40 Un repas de 4 onces (113 grammes) de foie de phoque fournit plus de 100 % des apports quotidiens recommandés au Canada en vitamine A et D, en fer, en zinc et en sélénium, près de 90 % de l’apport recommandé en magnésium et 40 % de celui en protéines. Une telle portion fournit également un peu plus de 60 % de l’apport recommandé en acides gras, soit l’acide eicosapentaénoïque (EPA) et l’acide docosahexaénoïque (DHA). Quels sont les dangers associés à la chasse au phoque? La chasse au phoque et la manipulation des prises sont des activités comportant un certain nombre de risques pour la santé et la sécurité des chasseurs. Ce sont les risques naturels qui constituent les dangers les plus souvent mentionnés par les chasseurs, en particulier les facteurs associés aux mouvements des glaces (vent, courants, marées, etc.). Les problèmes de santé et de sécurité les plus fréquemment vécus par les chasseurs sont les nombreux « coups de soleil » qui affectent entre 25 % et 40 % d’entre eux, les chutes à l’eau dont sont victimes entre 20 % et 30 % des chasseurs, les maux de dos principalement dus au transport de lourdes charges dans des conditions difficiles, dont souffrent environ 15 % des chasseurs et les engelures qui touchent environ 10 % d’entre eux. Viennent ensuite les infections à la main (8 % des chasseurs), les morsures et griffures (6 %) et les accidents de transport (4 %)40. La monoarthrite marine41 La « monoarthrite marine » (ou Seal Finger) est une zoonose qui s’acquiert à la suite de morsures ou lors de la manipulation de carcasses de divers mammifères marins porteurs du pathogène, en particulier le phoque. Le point d’entrée de l’agent infectieux dans l’épiderme est souvent une écorchure ou une coupure ; l’agent responsable de la « monoarthrite marine» n’a toutefois pas encore été isolé. L’intensité de l’inflammation est variable mais peut provoquer le grossissement du doigt jusqu’à trois fois sa taille normale, accompagné d’élancements sévères et d’une raideur croissante des articulations à proximité du site d’infection. La guérison de la monoarthrite marine non traitée est lente, la résolution ne survenant généralement qu’après une période de 3 à 4 mois. De nos jours, la « monoarthrite marine» se traite bien avec un antibiotique, la tétracycline. http://www.slv2000.qc.ca/bibliotheque/centre_docum/phase3/bilan_sante_humaine/consommation_ressources/chasse/phoque_f.htm
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November 16, 2009 New MFA Investigation Reveals Cruelty to Mother Pigs and Piglets By Nathan Runkle A new Mercy For Animals undercover investigation, which broke today on FOX National News, reveals unconscionable cruelty to mother pigs and their young piglets at a Hatfield Quality Meat supplier - "Country View Family Farms," in Fannettsburg, Pennsylvania. The hidden camera video provides consumers with a jarring glimpse into the nightmarish world of factory pork production. MFA's investigation uncovered: •Workers grabbing piglets by their fragile ears or legs and throwing them across the room and slamming them into transport carts. •Workers tattooing sows by repeatedly driving sharp metal spikes into their flesh. •Sows with untreated rectal prolapses and deep, infected sores and scrapes from constant rubbing against the bars of their stalls. •Workers cutting off piglets' tails with dull pliers and castrating them by ripping out their testes with their bare hands - all without anesthesia. •Thousands of pregnant pigs confined in two-feet wide metal stalls so small that they could only take one step forward or backward and could not turn around or lie down comfortably. •Injured, sick and runt piglets being tossed into overcrowded gassing kill carts, slowly suffocating from CO2. •Workers firing steel rods into sows' heads, sometimes as many as four separate times, before the sows fell and died. Numerous veterinarians and animal welfare experts have harshly condemned the conditions documented at this "family farm" - which confines nearly 3,000 breeding sows. Dr. Nedim C. Buyukmihci, Emeritus Professor of Veterinary Medicine at the University of California, Davis, asserts, "I can state unequivocally that the pigs in this facility suffered immensely...These people showed complete disregard for the welfare or well-being on the pigs." The findings of MFA's newest investigation are consistent with those documented at pig farms across the country in recent years - illustrating that animal neglect and abuse are the pork industry norm, not the exception. Not only are the abuses documented at this facility standard within the industry, they are legal in the state of Pennsylvania. Like most states, Pennsylvania's anti-cruelty statute exempts farmed animals from legal protection. Pigs, like all farmed animals, also lack federal protection during their lives confined on factory farms. As consumers we can choose compassion over cruelty at every meal. Adopting a compassionate vegan diet is the most powerful action we can take to put an end to needless animal suffering and the conditions documented during this investigation. http://www.mfablog.org/2009/11/new-mfa-investigation-reveals-cruelty-to-mother-pigs-and-piglets.html
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Calgary-Canada $10K reward in abused puppy case CBC News 13 novembre 2009 Un groupe de support animal offre 10,000$ de récompense pour toute information reliée à la découverte la semaine dernière, d'un chiot de trois mois, ensanglanté, retrouvé abandonné sur un stationnement près d'une clinique vétérinaire. Le jeune Doberman pinscher avait une patte sévèrement fracturée, un traumatisme crânien, il était émacié et déshydraté. La Daisy Foundation offrira 10,000$ à quiconque lui donnera des informations qui pourraient permettre de retrouver le ou les coupables de cet acte barbare. Le chiot a été opéré et les vétérinaires croient qu'il a de bonnes chances de s'en sortir.
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http://www.straight.com/article-271479/vancouver/debra-probert-roots-h1n1-swine-\ flu-pandemic-lie-factory-farming Debra Probert: Roots of H1N1 swine flu pandemic lie in factory farming By Debra Probert The hysteria over the H1N1 swine flu is reaching epidemic proportions. Yet the general public has little understanding of the flaws in our conventional food production systems that may have contributed to the development of the virus in the first place. Despite the repeated warnings of scientists regarding the dangers to human health from intensive livestock production, our public health officials are frantically attempting to address the symptoms while ignoring the likely cause. Modern intensive farming and the global movement of people and animals have created conditions unprecedented in history. Stressful, crowded, and filthy environments combined with the extreme lack of genetic diversity in today's farm animals have provided a perfect environment for viruses and bacteria to flourish. And flourish they will, until the root problem is dealt with. Sadly, this is unlikely to happen any time soon, as government inaction is the standard response. The roots of the current pandemic lie in a human-pig hybrid flu virus found on a factory farm in North Carolina in 1998. Within months, the virus had acquired components of bird flu viruses, making it the first-ever known hybrid of a human virus, pig virus, and bird virus. It soon triggered outbreaks in Texas, Minnesota, and Iowa. By year's end, the virus had spread in pig herds throughout the U.S. and, according to an analysis published in 2009 in the journal of the European Centre for Disease Prevention and Control, the current H1N1 swine flu virus derives 75 percent of its genetic material from this pool of viruses. Scientists repeatedly cite factory farms as problematic, as they exponentially increase the potential for pandemics. Commenting on the global spread of the H5N1 avian influenza virus in 2006, Earl Brown, professor in the faculty of medicine at the University of Ottawa, said, "This is the first time that we have highly pathogenic avian influenza in Asia, and this is probably related to changes in farm practices...when virus of the H5 and H7 serotypes get into a farm situation where there is a large number of susceptible hosts packed together closely then you can get the rapid evolution to high virulence." When asked what role the environment plays in mutation of viruses, Brown said, "When you have high density conditions and overcrowding, like you would see in a pig farm, then the mutation occurs much more quickly as it passes from one snout to the next." He has since stated, "There are big questions about farming practices that nobody wants to talk about." In his book The Chickens Fight Back: Pandemic Panics and Deadly Diseases That Jump From Animals to Humans, University of Guelph agriculture professor David Waltner-Toews acknowledges that a pandemic of salmonellosis is one of the hidden costs of mass producing chickens: "This pandemic could have been taken as a warning, an omen from the chickens of the world, a shot across the bow, as it were. The omen was not cryptic. It might have been something like: the economies of scale for chicken production are the same as the economies of scale for disease; small farms have outbreaks; big farms breed epidemics; globalization of big farms creates pandemics." In June, James Roth, director of the Centre for Food Security and Public Health at Iowa State University spoke to pork producers at the World Pork Expo in Iowa. He was adamant that producers not be complacent about the danger of H1N1 and the role of industry. "It's essential to prevent transmission from humans [to pigs]," he stated, and went on to explain that the virus can combine with other viruses in the pig population and then spread back to humans in a deadly new form. In fact, there has already been human to pig transmission in Canada, as well as human to turkeys, and most recently a cat has caught the flu from a human in the U.S. Brown has suggested two changes that would reduce the spread of new strains of influenza: having larger numbers of smaller farms instead of a small number of large farms, and reducing the reliance of agriculture on global trade. But his message is not likely to reach the public. Government agencies act in relative isolation and excel at passing the buck. Public health agencies will not offend their agriculture counterparts, politicians will not risk their support from industry, and the public will continue buying, consuming, and demanding cheap meat, expecting that the management of the risk factors is not their responsibility but government's. Keeping quiet is something Big Agriculture values. As one academic stated in Contemporary Issues in Animal Agriculture, a textbook for agriculture students: "One of the best things agriculture has going for it is that most people in the developed countries...haven't a clue how animals are raised and processed....For modern animal agriculture, the less the consumer knows, the better." Debra Probert is the executive director of the Vancouver Humane Society.
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Alberta animal abuser gets weekend jail sentence Daniel Haskett, encore un autre salaud qui s'en sort avec une petite tape sur la main.... pour avoir torturé la chienne de sa mère... (Calgary-Canada) ... après avoir frappé la chienne, les deux sadiques sont sortis de leur auto, ont placé un sac en plastique sur sa tête et l'ont enroulée de ruban collant. Ils ont ensuite frappé la tête du pauvre animal à coup de pelle, puis l'ont traîné derrière leur voiture. Lorsqu'elle a été découverte, toujours vivante, la chienne a dû être euthanasiée... Haskett ira en prison pendant 30 jours... les fins de semaine seulement! Il peut continuer de posséder des animaux et être en contact avec eux! ------------------------------------- Wednesday, December 17, 2008 CBC News Daniel Haskett will serve his jail term on weekends. (CBC) A Didsbury man has been sentenced to 30 days in jail for torturing his family's dog, ending a case that dragged through the Alberta court system for two years. Daniel Haskett, now 21, had pleaded guilty to causing unnecessary suffering to an animal and obstruction of justice. On Wednesday, a provincial court judge sentenced Haskett to 30 days in jail to be served on weekends, a year's probation and a weekday 9 p.m. curfew. Haskett is not prohibited from owning or being around animals. "[His] mother has a dog and the dog's very attached to him so that was actually a very big deal for him," said defence lawyer Alan Pearse. Calling the case a botched attempt to cover up an accident, the judge rejected the Crown's request of a jail term of three to five months and a ban from owning a pet for two years. 'I think it's a very pathetic sentence you know. Thirty days, weekends? What is that?' —Tamara Cheney, animal rights activist http://www.cbc.ca/canada/calgary/story/2008/12/17/cgy-haskett-abuse-sentence.html
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Alberta animal abuser gets weekend jail sentence Wednesday, December 17, 2008 CBC News Daniel Haskett will serve his jail term on weekends. (CBC) A Didsbury man has been sentenced to 30 days in jail for torturing his family's dog, ending a case that dragged through the Alberta court system for two years. Daniel Haskett, now 21, had pleaded guilty to causing unnecessary suffering to an animal and obstruction of justice. On Wednesday, a provincial court judge sentenced Haskett to 30 days in jail to be served on weekends, a year's probation and a weekday 9 p.m. curfew. Haskett is not prohibited from owning or being around animals. "[His] mother has a dog and the dog's very attached to him so that was actually a very big deal for him," said defence lawyer Alan Pearse. Calling the case a botched attempt to cover up an accident, the judge rejected the Crown's request of a jail term of three to five months and a ban from owning a pet for two years. 'I think it's a very pathetic sentence you know. Thirty days, weekends? What is that?' —Tamara Cheney, animal rights activist In October 2006, a 17-year-old friend accidentally ran over Daisy Duke, a lab-border collie cross, in the town 80 kilometres north of Calgary. Haskett and the friend taped a plastic bag over the dog's head, hit it over the head with a shovel and dragged it behind a truck. The animal was discovered so injured that a veterinarian had to euthanize her. In May, the young offender was sentenced to three months of house arrest followed by two years of probation, as well as 240 hours of community service. "This was more or less a misguided attempt at euthanasia," said Pearse. Daisy Duke was found to be so injured that a veterinarian euthanized her. (CBC) Crown prosecutor Gordon Haight said he was gratified a jail term was imposed. "Indeed the Crown's position was it would not be accurate even to characterize it as euthanasia. These two individuals were simply trying not to get in trouble and in doing so, inflicted horrendous suffering to this animal," he said on Wednesday. Wanted harsher sentence The animal rights activists who have protested outside the Didsbury courthouse before and after every proceeding said they wanted to see a harsher jail sentence for Haskett. "I think it's a very pathetic sentence you know. Thirty days, weekends? What is that? Pathetic," said Tamara Cheney who started one of several petitions sparked by the case. One with 110,000 signatures was sent to Ottawa supporting the modernization of Canada's animal-cruelty laws for the first time in a century. The House of Commons recently passed a new law raising the maximum penalty for cruelty to animals to five years in prison or a $10,000 fine, or both. But the maximum under the old law, in effect when the incident happened, was six months in prison or a $2,000 fine, or both. Haskett's lawyer had asked for a conditional sentence with no jail time, because his client had suffered death threats in the town of about 15,000 people and had a bullet fired through his living room window. At his first court appearance, a crowd surrounded Haskett as he got into a minivan and then kicked and pounded on the vehicle. In June, a protester yelled obscenities at him and his mother as the RCMP escorted them out of the courthouse. "I think he's happy it's over," said Pearse of his client, who left without speaking to reporters. http://www.cbc.ca/canada/calgary/story/2008/12/17/cgy-haskett-abuse-sentence.html ----------------------
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Calgary-Canada $10K reward in abused puppy case CBC News 13 novembre 2009 Un groupe de support animal offre 10,000$ de récompense pour toute information reliée à la découverte la semaine dernière, d'un chiot de trois mois, ensanglanté, retrouvé abandonné sur un stationnement près d'une clinique vétérinaire. Le jeune Doberman pinscher avait une patte sévèrement fracturée, un traumatisme crânien, il était émacié et déshydraté. La Daisy Foundation offrira 10,000$ à quiconque lui donnera des informations qui pourraient permettre de retrouver le ou les coupables de cet acte barbare. Le chiot a été opéré et les vétérinaires croient qu'il a de bonnes chances de s'en sortir.
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Octogénaire molestée: le procès s'ouvre aujourd'hui Caroline Touzin La Presse 10 novembre 2009 Une grand-maman de 84 ans a vécu le cauchemar de bien des personnes âgées le mois dernier. Elle a été victime d'une agression gratuite en plein jour à Saint-Laurent pour avoir demandé à un ado de 17 ans de cesser de maltraiter son chien. Accusé de voies de fait causant des lésions, le jeune homme, qui aura 18 ans ce mois-ci doit être jugé aujourd'hui en chambre de la jeunesse, à Montréal. Les médias ne peuvent révéler son nom puisqu'il est mineur. La famille de la victime a demandé à La Presse de taire aussi le nom de cette dernière par «crainte de représailles». Lors de sa promenade quotidienne rue Gohier, où elle habite depuis plus de 50 ans, la dame a vu son jeune voisin maltraiter un chien pitbull, selon ce qu'elle a décrit à sa petite-fille, Genie, après l'agression survenue le 15 octobre dernier. «Ma grand-mère adore les animaux. Quand elle l'a vu, elle lui a demandé très poliment d'être plus gentil avec son chien», a-t-elle raconté. Selon la police, l'ado n'aurait pas apprécié ce commentaire et aurait répliqué d'un coup de poing au visage de la dame, qui s'est effondrée en criant: «Il m'a frappée! Il m'a frappée!» «Je n'ai jamais vu un geste aussi cruel», a indiqué à La Presse Linda Brabant, une voisine qui a été témoin de l'agression et qui a appelé le 911. L'ado, lui, se serait enfui. Traumatisée L'octogénaire s'en est tirée avec quelques doigts brisés et le visage tuméfié. Sauf qu'elle est traumatisée. «Ce jeune-là habite tout près de chez elle. Elle a peur qu'il se venge lorsqu'il sera libéré. Elle n'ose plus sortir», a indiqué Genie, qui préfère qu'on ne publie pas son nom de famille. L'ado a été arrêté dans les heures qui ont suivi l'agression. Il est demeuré détenu à l'issue de l'enquête sur sa mise en liberté. Cette histoire a vite fait le tour de Saint-Laurent. Le maire de l'arrondissement, Alan De Sousa, connaît la victime, qui habite le quartier depuis longtemps. Il lui livrait son épicerie quand il était jeune. Il lui a donc rendu visite à deux reprises pour tenter de la réconforter. «Ça m'attriste de voir des actes gratuits comme ceux-là envers des personnes sans défense», a-t-il souligné à La Presse. ... Un avis d'infraction a également été envoyé au présumé agresseur puisque plusieurs races de chiens, dont le pitbull, sont interdites dans cet arrondissement. ... http://www.cyberpresse.ca/actualites/quebec-canada/justice-et-faits-divers/200911/10/01-920151-octogenaire-molestee-le-proces-souvre-aujourdhui.php ------------------ ... Le 15 octobre dernier, l'octogénaire revenait de faire ses courses. Rue Gohier, un chiot sans laisse, style boxer ou pitbull - elle ne sait pas la différence - est venu vers elle. «Je me suis mise à lui parler. J'aime parler aux chiens et aux chats», a-t-elle raconté au juge. Puis le chien est retourné vers son maître, un jeune de moins de 20 ans, noir, grand et mince, vêtu d'un chandail ample à capuchon, a-t-elle décrit. L'ado a alors «lancé le chien dans la rue», selon l'octogénaire. C'est là qu'elle lui a dit d'être «plus doux» avec son chien. L'ado aurait répliqué en lui donnant un coup de poing au visage. ... Le présumé agresseur, lui, a fui les lieux. Il a été arrêté l'après-midi même, chez lui, rue Gohier. Il n'a pas résisté à son arrestation. Il y avait deux chiens dans le logement, dont un pitbull, selon l'agent Paul Atalah, de la police de Montréal, qui a aussi témoigné. ... http://www.cyberpresse.ca/actualites/quebec-canada/justice-et-faits-divers/200911/11/01-920582-agression-a-saint-laurent-cetait-sauvage-pas-a-peu-pres.php
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Du phoque sur le menu du parlement à Ottawa
Animal a répondu à un(e) sujet de animo-aequoanimo dans Archives
La Viande de Phoque: Une Option Alimentaire Saine Par Céline Hervieux-Payette http://www.eurekablogue.ca/?p=770 Lisez aussi: Chasseurs de phoque : le gouvernement conservateur continue de refuser une aide financière Par Céline Hervieux-Payette Lettre à la Ministre des Pêches et Océans Canada Par Céline Hervieux-Payette Des compensations financières immédiates pour l’industrie du phoque Par Céline Hervieux-Payette http://www.eurekablogue.ca/ -
Du phoque sur le menu du parlement à Ottawa
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En bref - Du phoque au menu La Presse canadienne 18 novembre 2009 Canada Ottawa — La viande de phoque va bientôt rejoindre le filet de boeuf et le saumon sur le menu gastronomique du restaurant du parlement à Ottawa. Les députés ont annoncé qu'ils prenaient le relais de la gouverneure générale, Michaëlle Jean, qui a déclenché une controverse internationale en mai dernier en mangeant de la viande de phoque pour montrer son soutien à la culture inuite dans l'Arctique. Ils ont indiqué que cet ajout donnerait également un bon coup de pouce aux chasseurs de phoque dans leur lutte contre l'interdiction de leurs produits par l'Union européenne. Pour commenter: http://www.ledevoir.com/politique/canada/277462/en-bref-du-phoque-au-menu -
Du phoque sur le menu du parlement à Ottawa
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Je m'apprêtais justement à venir poster cette nouvelle Viande de loup-marin au restaurant parlementaire : une autre étape de franchie ! La proposition conjointe du député de Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine et porte-parole en matière des Pêches et des Océans pour le Bloc Québécois, M. Raynald Blais et du député de Montmorency-Charlevoix-Haute-Côte-Nord et Whip en chef du Bloc Québécois, M. Michel Guimond, d’ajouter de la viande de phoque au menu de la Salle à manger parlementaire vient de franchir une autre étape. Le sergent d’arme de la Chambre des communes, M. Kevin Vickers, a informé les députés Raynald Blais et Michel Guimond que leur demande avait été référée au Chef exécutif du restaurant, M. Judson Simpson, et que celui-ci était autorisé à offrir de la viande de phoque à titre d’essai au printemps 2010. « Cette idée que le Bloc Québécois a soumise démontre encore une fois que notre parti est à l’avant-garde pour défendre l’industrie du loup-marin à Ottawa. Ce sont des gestes comme celui-ci qui, multipliés, pourront avoir un impact réel sur la perception des gens face aux chasseurs de loup-marin et face à l’industrie en général » a déclaré le whip en chef du Bloc Québécois, Michel Guimond. whip ou twit? suite: http://www.raynaldblais.qc.ca/content/view/107/1/ -
En bref - Du phoque au menu La Presse canadienne 18 novembre 2009 Canada Ottawa — La viande de phoque va bientôt rejoindre le filet de boeuf et le saumon sur le menu gastronomique du restaurant du parlement à Ottawa. Les députés ont annoncé qu'ils prenaient le relais de la gouverneure générale, Michaëlle Jean, qui a déclenché une controverse internationale en mai dernier en mangeant de la viande de phoque pour montrer son soutien à la culture inuite dans l'Arctique. Ils ont indiqué que cet ajout donnerait également un bon coup de pouce aux chasseurs de phoque dans leur lutte contre l'interdiction de leurs produits par l'Union européenne. ----------------- The Toronto Star: Wednesday, November 18, 2009 Prime Minister Stephen Harper and cabinet members eat seal meat in Iqaluit Aug. 18, 2009 to show support for Canada's seal industry. JASON RANSOM, PMO HANDOUT/REUTERS OTTAWA–Governor General Michaëlle Jean declared it to be "absolutely delicious." To others it is absolutely disgusting, not to mention morally reprehensible. Members of Parliament and senators soon will be able to decide for themselves when seal meat comes to their swishy private restaurant on Parliament Hill. "I think it's going to be an attractive addition to the menu when it's available," said Quebec Liberal MP Marcel Proulx, a spokesman for the Board of Internal Economy, which oversees administration of the parliamentary precinct. The board, made up of MPs from all parties, was first asked to add seal meat to the restaurant's menu in 2008 by senators wanting to show support for the small commercial seal hunt as Canada stared down a European Union trade ban that was adopted this year. The only problem was finding a reliable supplier of seal meat. Most firms still involved in the hunt make their money from furs sold to Russia and China, and from seal oil, a source of omega-3 fatty acids that help in a child's brain development and can reduce the risk of heart disease later in life. The board was approached again in June by Bloc Québécois MP Michel Guimond after the EU ban passed. This time they located a supplier in the Magdalen Islands, a tiny outpost off the southeast coast of Quebec's Gaspé Peninsula. The Magdalen Islands seal hunt, one of less than half a dozen centres for the annual cull, begins in March, meaning parliamentarians could be feasting on the traditional dish in the early spring of 2010. "The harp seal that they are talking about and are so excited about, it tastes horrible," said Liberal Senator Mac Harb, a former municipal politician in Ottawa. He said he was told by people who have tried seal that it tastes bad, but has not tried it himself. "If they were to do this, it would be important for them to take a leadership role and have a feast first before any other members of Parliament so they can see first-hand how tasty it is. I'm sure they'll conclude quite quickly it's not edible." Whether it be seal flipper, brain or heart that is turned into scallopini or stir fry by House of Commons executive chef Judson Simpson, the decision is sure to attract protest. For months, People for the Ethical Treatment of Animals has posted its activists outside the Prime Minister's Office dressed in a harp seal costume, complete with sad black eyes, perky whiskers and velvet fur. The group is urging Canada to put the 7,000 or so remaining seal hunters out of their industrial misery. "It's a very peculiar disturbing cruelty unique to Canada and it's just bizarre when a country like Canada, which is known for so many advanced policies in the social realm, would be so stuck in the dark ages about their support for such a hideous cruelty," said Dan Mathews, PETA's Virginia-based vice-president. On Wednesday, the group will launch a 24-city seal hunt protest in Halifax by inflating a four-metre-high harp seal along the Olympic torch route. In the last few years, the price that seal hunters can get for their catch has plummeted to about 50 cents per pound from about $1.25 per pound, said Frank Pinhorn, executive director of the Newfoundland and Labrador branch of the Canadian Sealers Association. The EU ban, which the federal government intends to challenge before the World Trade Organization, has further depressed the industry. The decline of the commercial seal hunt also hurts the traditional Inuit seal hunt, which is not subject to the EU ban, because the remote Inuit communities often don't have the means or resources to market their products throughout the world, Pinhorn said. Liberal Senator Céline Hervieux-Payette, a vocal supporter of the seal hunt, has urged the government to give financial support to seal hunters until the WTO challenge is completed. Harb says the government should put up money to help hunters transition to "serious jobs, real jobs." "The way we are doing it now it's almost like we are reacting because we don't know what to do," he said. Thanks to lower prices this year there has been a renewed demand for seal products, particularly in China, and any extra help to promote the product by the federal government is welcomed by the industry. "It sends a message to the Europeans in particular ... that the seal harvest here is alive and well, and we're going to promote it and develop it. I'm very pleased with it," Pinhorn said. The Governor General kicked off the collective Canadian chest-thumping when she cut open a seal carcass at a ceremony in the Nunavut community of Rankin Inlet last spring and tasted the animal's raw heart. Prime Minister Stephen Harper and his cabinet also ate seal meat in solidarity with hunters at a cabinet meeting this summer in Iqaluit, and the House of Commons passed a motion recently urging the Canadian Olympic Committee to incorporate seal skin into the official uniform of the upcoming Vancouver Games. The COC rejected the suggestion out of fear it would politicize the athletic event. Adding seal to the menu on Parliament Hill is also more symbol than substance, Proulx said. "I don't think the potential volume coming out of the parliamentary dining room would be sufficient to financially support the industry. "At least we'll be sending the message that we're not afraid of seal meat." ----------------- Harper dit avoir apprécié la viande de... phoque Écrit par Mathieu Bélanger Mercredi, 19 août 2009 10:59 OTTAWA — Le message n’est pas aussi percutant que celui de la gouverneure générale, Michaëlle Jean, mais le premier ministre du Canada, Stephen Harper, et quelques-uns de ses ministres les plus influents ont aussi mangé de la viande de phoque lors d’un dîner, mardi, à Iqaluit. Même si la viande n’a pas été prélevée du coeur encore chaud de l’animal fraîchement abattu, comme l’a fait elle-même Mme Jean lors d’un festin dans le village de Rankin Inlet, en mai, parions que le message du premier ministre s’est rendu là où il le fallait. L’Union européenne a récemment annoncé une interdiction totale des produits du phoque afin de protester contre les méthodes utilisées pour chasser cet animal. Le Canada a déjà annoncé qu’il résisterait à cet embargo devant l’OMC. Le bureau du premier ministre a précisé que M. Harper avait apprécié la viande et qu’il avait hâte d’en manger à nouveau, rapporte La Presse Canadienne. « Les normes mises de l'avant dans cette industrie sont, honnêtement, supérieures à celles que l'on retrouve dans d'autres industries de produits animaliers, a précisé M. Harper lors d’un point de presse. Il n'y a aucune raison justifiant le fait que l'industrie du phoque fasse l'objet d'un traitement discriminatoire de la part des Européens ou de citoyens d'autres nations. » Stephen Harper et quelques-uns de ses ministres ont dégusté de la viande de phoque mardi à Iqaluit. Photo courtoisie Bureau du premier ministre http://ruefrontenac.com/nouvelles-generales/politiquefederale/9615-harper-mange-viande-phoque ---------------------
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Suisse : Josef Kunz veut expulser les loups italiens
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Publié le 05 septembre 2009 à 07h23 | Mis à jour le 05 septembre 2009 à 07h23 Une ferme laitière s'envole en fumée Voilà tout ce qu'il reste de la ferme laitière du 3e rang Ouest, à Sainte-Cécile-de-Milton, qui a été la proie d'un incendie d'origine électrique. photo Alain DIon Karine Blanchard La Voix de l'Est (Sainte-Cécile-de-Milton) Une ferme laitière de Sainte-Cécile-de-Milton a été rasée par un incendie d'origine électrique, jeudi soir. Une soixantaine de vaches ont péri. Les pertes sont évaluées à 1,5 million de dollars. «Ça faisait 45 minutes qu'on était partis de là et tout était beau, raconte Denis Lussier, propriétaire de la ferme avec sa femme et son fils. La voisine a téléphoné et elle a dit à mon gars qu'elle pensait que le feu était pris dans la grange.» Le propriétaire s'est aussitôt rendu à sa ferme, située sur un terrain contigu à sa résidence. Sur place, il n'a pu que constater que le feu avait déjà gagné la presque totalité du bâtiment construit au début des années 1990. «Y'en a qui ont essayé d'entrer dans la laiterie où il y avait un extincteur, mais il y avait plein de boucane, dit M. Lussier. Le feu courait dans la bâtisse dans le temps de le dire.» Les propriétaires n'ont pu sauver le troupeau de 61 vaches. Toutes les bêtes sont mortes. Entre 9000 et 10 000 balles de foin étaient aussi entreposées dans la grange, ce qui a contribué à alimenter le brasier. «C'est sûr qu'une grange pleine de foin, y'a pas grand-chose à faire», dit le producteur laitier. Les flammes ont été si intenses qu'un imposant silo situé près de la grange a été lourdement endommagé. Il devra d'ailleurs être détruit par mesure de sécurité, indique le propriétaire. Une cinquantaine de pom- piers de Sainte-Cécile-de-Milton/ Roxton Pond, Granby, Saint-Pie, Saint-Paul-d'Abbotsford, Saint-Valérien-de-Milton et Roxton Falls ont combattu les flammes jusqu'en matinée. «Nous sommes parvenus à maîtriser le feu seulement tôt ce matin (hier) parce que le foin brûlait encore, dit Earl Jacques, directeur de la brigade de Sainte-Cécile-de-Milton/Roxton Pond. Ça a pris deux pelles mécaniques pour tasser ça.» Le feu aurait pris naissance dans la boîte électrique de la grange. Reconstruction Au lendemain du sinistre, hier, il ne restait pratiquement plus rien de la ferme laitière. Des amas de foin et de morceaux de tôle tordue reposaient près de la grange. Les dommages sont évalués à 1,5 million de dollars. Denis Lussier ne le cache pas: son troupeau qui a péri représentait une part importante de son revenu. «Ce sont les vaches qui me rapportaient le plus, dit-il. C'est mon plus gros revenu qui vient de disparaître.» Fort heureusement, M. Lussier était «bien assuré». «C'est sûr que je vais rebâtir, dit-il sans hésitation. J'ai des amis en masse qui vont pouvoir me donner un coup de main!» D'ici la reconstruction, le producteur laitier aura tout de même du pain sur la planche avec ses deux autres troupeaux de vaches, qui fort heureusement, se trouvent dans deux autres granges. «Une chance que les vaches n'étaient pas dans la même grange», conclut M. Lussier.
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1250 porcs périssent Le repos aura été de courte durée pour les pompiers de Saint-Alphonse puisque, vers 10h30 samedi matin, un autre incendie a éclaté sur leur territoire, cette fois dans une porcherie située sur le chemin Roy. À leur arrivée, plus des trois quarts de l'immeuble servant à l'engraissement des jeunes porcs étaient embrasés. «On a tout de suite adopté une approche défensive, reprend le capitaine Sarrazin. On savait qu'on ne pourrait sauver la bâtisse.» Pour Jocelyn Brodeur, propriétaire de l'élevage de porcs, il s'agit de pertes substantielles. «Il y avait 1 250 porcs là-dedans, dit-il. Juste ça, c'est au moins 100 000 $ de pertes. Avec la bâtisse, ça dépasse les 500 000 $.» Une employée de la porcherie avait fait une ronde, vers 9h15, et n'avait rien remarqué d'inhabituel. Les flammes ont donc pris naissance de façon soudaine et se sont répandues rapidement. Les pompiers n'ont d'ailleurs aucune idée de ce qui a pu causer cet incendie. Une enquête doit débuter aujourd'hui, mais le capitaine Sarrazin ne fonde pas beaucoup d'espoir sur ses résultats. «Il ne reste presque plus rien de la bâtisse, ce sera difficile de trouver la cause», dit-il. L'opération a nécessité la présence de 45 pompiers et s'est prolongée jusqu'en fin de journée samedi. Publié le 19 octobre 2009 à 08h44 | Mis à jour le 19 octobre 2009 à 08h46 http://www.cyberpresse.ca/la-voix-de-lest/actualites/200910/19/01-912614-deux-incendies-en-12-heures-a-saint-alphonse.php
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... 19 octobre 2009 1250 porcs périssent Le repos aura été de courte durée pour les pompiers de Saint-Alphonse puisque, vers 10h30 samedi matin, un autre incendie a éclaté sur leur territoire, cette fois dans une porcherie située sur le chemin Roy. À leur arrivée, plus des trois quarts de l'immeuble servant à l'engraissement des jeunes porcs étaient embrasés. «On a tout de suite adopté une approche défensive, reprend le capitaine Sarrazin. On savait qu'on ne pourrait sauver la bâtisse.» Pour Jocelyn Brodeur, propriétaire de l'élevage de porcs, il s'agit de pertes substantielles. «Il y avait 1 250 porcs là-dedans, dit-il. Juste ça, c'est au moins 100 000 $ de pertes. Avec la bâtisse, ça dépasse les 500 000 $.» Une employée de la porcherie avait fait une ronde, vers 9h15, et n'avait rien remarqué d'inhabituel. Les flammes ont donc pris naissance de façon soudaine et se sont répandues rapidement. Les pompiers n'ont d'ailleurs aucune idée de ce qui a pu causer cet incendie. Une enquête doit débuter aujourd'hui, mais le capitaine Sarrazin ne fonde pas beaucoup d'espoir sur ses résultats. «Il ne reste presque plus rien de la bâtisse, ce sera difficile de trouver la cause», dit-il. L'opération a nécessité la présence de 45 pompiers et s'est prolongée jusqu'en fin de journée samedi.
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Publié le 18 novembre 2009 à 05h00 | Mis à jour à 08h07 Mort embarrassante d'un octogénaire québécois (Québec) Le décès d'un homme âgé de plus de 80 ans possiblement relié au vaccin a été recensé au Québec. On en sait toutefois peu sur ce cas, toujours sous enquête, qui embarrasse déjà les autorités de santé. http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/dossiers/grippe-a-h1n1/200911/17/01-922604-mort-embarrassante-dun-octogenaire-quebecois.php
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Sauvetage d'une centaine de chiens de traîneau dans les Laurentides Nouvelles générales - Faits divers Écrit par Marilou Séguin Mardi, 17 novembre 2009 14:51 La SPCA a sauvé mardi une centaine de chiens husky qui vivaient dans des conditions misérables dans un élevage de chiens de traîneau près de Mont-Tremblant, dans les Laurentides. Rue Frontenac les a accompagnés. Maigres, déshydratées et infestées de parasites, les bêtes rescapées étaient enchaînées à des piquets de métal dans un bois le long de la route 364. À l’arrivée des secours, en matinée, la meute s’est mise à hurler et à japper; les chiens, excités, sautaient au bout de leur chaîne d’à peine deux mètres de longueur. Certains huskies se sont juchés sur les petites cabanes de bois érigées entre les arbres pour mieux observer la scène. Une épouvantable odeur émanait du site, dont le sol était jonché d’excréments. L'équipe de la SPCA a sauvé une centaine de chiens husky, près de Mont-Tremblant, dans les Laurentides. Photo Luc Laforce À un jet de pierre des derniers animaux enchaînés se trouvait une fosse dans laquelle gisait un cadavre de chien et des ossements. Scooby Doo, Avalanche, La Louve, Blondie, Tornade, les chiens secourus sont âgés de un an à dix ans. Certains ont de graves maladies de peau, d’autres sont carrément aveugles. Le propriétaire donne ses chiens Le propriétaire, qui n’était pas en mesure de s’occuper adéquatement des chiens, en a cédé la garde à la SPCA Laurentides-Labelle (SPCA LL), qui a mené l’opération avec la Humane Society International (HSI). Ce sauvetage évitera que la situation se détériore, car parmi les chiens que nous avons recueillis, environ 30 femelles étaient enceintes», dit Corinne Gonzalez, directrice générale de la SPCA LL. L'équipe d'intervention a trouvé une fosse dans laquelle gisait un cadavre de chien et des ossements. Photo Luc Laforce «Sans leur intervention, le propriétaire aurait pu se retrouver avec 150 chiots de plus alors que l’hiver approche. Une de nos craintes était que dans cette industrie, la gestion de chenil consiste souvent pour les propriétaires à tuer les bébés afin que les mères puissent continuer de courir», ajoute-t-elle. Nouveau départ Une fois libérés, les chiens ont été évacués à l’aide d’une remorque spéciale de la Humane Society of the United States (HSUS). Puis, à leur arrivée dans un refuge d’urgence établi à Val-Morin, les huskies ont tous été examinés par un vétérinaire, soignés, nourris et abreuvés. Dans environ deux jours, ils seront acheminés vers des organismes de secours animal canadiens et américains, où ils seront stérilisés et mis à l’adoption dans des foyers permanents. «Nous pouvons garantir qu’ils ne seront plus jamais des chiens de traîneau. C’est terminé», dit Élizabeth Pierce, bénévole pour la SPCA. Une fois les bêtes en sécurité, le personnel des organismes a complètement démantelé le site. Le propriétaire, contre qui aucune accusation ne sera portée, n’avait pas rappelé Rue Frontenac au moment de mettre en ligne. Des lois plus solides La SPCA LL et HSI déplorent les cas de négligence de chiens de traîneau qui se produisent au pays. Ils demandent aux gouvernements fédéral et provinciaux de mettre en application des lois plus solides afin d’assurer la protection de tous les chiens. Selon eux, la stérilisation et la planification des soins à apporter aux chiens de traîneau durant les huit mois de basse saison touristique devraient être des priorités.