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...Lors d’une visite de surveillance des chevaux, Yvan Barbieri , enquêteur pour la Fondation Assistance aux Animaux a découvert, mardi 20 mai 2008, une des juments avec une énorme plaie sur un œil crevé. Cette jument de 15 ans, Reine de Lisores, est une ancienne championne de course de tiercé. L’état de son œil crevé avait déjà été signalé, il y a un mois, par les enquêteurs des fondations, au propriétaire et à la DDSV. C’est le troisième cheval maltraité en moins de deux mois chez cet éleveur de pur-sang. Un est mort dans un ruisseau en y restant plusieurs jours, un a été euthanasié sur place pour misère physiologique et le troisième ne sera peut être pas sauvé. (...) Chevaux martyrs chez un eleveur du calvados - 25/05/08 http://www.1cheval.com/actualite/article.php?actualite_1=2668
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Supermarchés suisses et usines à lapins
hop a répondu à un(e) sujet de hop dans ANIMAUX - Europe et autres continents
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Le samedi 24 mai 2008 Des recherches top secret impliquant des primates Mathieu Perreault La Presse N'entre pas qui veut dans un laboratoire de primates. Gants, masque, lunettes et blouse blanche ne suffisent pas. Il faut d'abord subir un examen médical pour vérifier qu'on est en bonne santé, à la fois pour sa propre sécurité et pour protéger les animaux des pathogènes humains. Vérifier que son carnet de vaccination est à jour. Et suivre une petite formation. Même si La Presse était disposée à respecter toutes ces exigences, aucune des quatre universités québécoises qui utilisent des singes pour leurs recherches n'a accepté qu'un photographe se rende sur les lieux. Les universités de Montréal, McGill et Laval et le Centre Armand-Frappier de l'INRS ont invoqué des motifs allant de la nécessité de protéger les primates du stress causé par la venue d'une nouvelle personne à la «sécurité» des lieux, en référence à la crainte de devenir la cible des militants des droits des animaux. «Si on vous permet de venir, on ne pourra pas refuser les autres demandes», a expliqué la vétérinaire Lucie Côté, responsable du laboratoire de primates de l'INRS. Santé Canada, qui a une colonie à Ottawa, a aussi refusé que La Presse y envoie un photographe. Cache-t-on des mauvais traitements? «Je ne peux l'affirmer», a répondu Kathleen Conlee, spécialiste de la recherche animale à la Humane Society des États-Unis, qui estime qu'on devrait mettre un terme à la recherche sur les primates. «Mais ces laboratoires devraient savoir que leurs refus de permettre les visites incitent le public à se demander pourquoi.» Chose certaine, les laboratoires de primates sont étroitement surveillés. Les inspections du Conseil canadien de protection des animaux ont lieu au moins tous les trois ans, selon Claude Charbonneau, du Conseil. «Chez nous, ils viennent à deux équipes de quatre personnes et restent deux semaines», a souligné le Dr Jim Gourdon, responsable du Bureau de déontologie animale à McGill. De plus, le Comité de protection des animaux (CPA) de chaque établissement fait une inspection au moins chaque année. Il vérifie s'il y a une façon de se passer des primates ou carrément des animaux, si on a raffiné les techniques pour diminuer le stress des animaux et si on a réduit le nombre d'animaux au minimum. Les exigences sont particulièrement élevées, selon la Dre Lucie Côté. Selon le Dr Gourdon, les projets refusés par un conseil de protection des animaux sont très rares, parce que les chercheurs connaissent bien les exigences. Par contre, moins de 10% des projets sont acceptés sans modifications: la plupart du temps, le conseil exige que le chercheur justifie mieux qu'il utilise vraiment le nombre minimal d'animaux. Autre limite à la recherche sur les primates: leur coût, jusqu'à 5000$ par animal, selon la vétérinaire Brigitte Dubé, responsable du laboratoire de primates à l'Université Laval. «Si une étude peut être faite avec un autre animal, c'est certain que le chercheur ne va pas demander un primate», a-t-elle dit. Les craintes relatives à la sécurité ne sont pas futiles, non plus. «Nous n'avons pas eu de vandalisme ou de menaces, mais il y a eu des cas dans des entreprises privées montréalaises», a préciseé le Dr Gourdon, citant l'entreprise d'essais cliniques Lomir, dans l'Ouest-de-l'Île. Un responsable de Lomir a confirmé à La Presse, lors d'une conversation téléphonique, qu'il y avait effectivement eu du vandalisme de la part de groupes animalistes l'an dernier. Cette personne n'a pas voulu donner son nom. «Pourquoi mettre l'accent sur les primates alors que c'est une si petite proportion des animaux de laboratoire, moins de 0,5%, a déploré le Dr Gourdon. En tant que vétérinaire, j'ai un respect pour toute vie animale, autant pour les souris que pour les primates.» LA RECHERCHE SOULÈVE DES OBJECTIONS Voici les arguments de la Humane Society of America contre la recherche qui fait appel à des primates non humains. - Personne n'a réévalué l'utilité de ces recherches, malgré le fait que chacune des 85 études faites sur des singes pour tester un vaccin contre le sida a échoué. D'autre part, des critiques ont été publiées sur la validité du chimpanzé comme modèle pour le sida, parce que la maladie qui le frappe n'est pas exactement la même. - Les primates coûtent cher, jusqu'à un milliard par année. - Le public s'inquiète de voir que des animaux auxquels il accorde un statut spécial sont utilisés dans des laboratoires. - Ils sont très intelligents et sociables et peuvent souffrir psychologiquement. DES RECHERCHES TOUS AZIMUTS > À l'Université McGill, des neurologues étudient les zones du cerveau impliquées dans la mémoire, la vision et la coordination psychomotrice en surveillant quelles zones du cerveau de primates sont activées quand ils accomplissent certaines tâches sur un ordinateur. D'autres chercheurs s'intéressent à l'origine de la capacité humaine du langage. Comme il faut beaucoup de temps pour «former» les cobayes, leur taux de renouvellement est particulièrement bas. > Au Centre Armand-Frappier de l'INRS, une chercheuse s'affaire à mettre au point un vaccin antigrippal qui serait efficace contre toutes les souches. Actuellement, il faut mettre au point un nouveau vaccin chaque année, parce que les souches évoluent; parfois, le vaccin ne donne pas les résultats escomptés parce que les souches ont évolué entre l'Asie et le Canada. Après des essais sur le furet, la chercheuse testera son vaccin sur des macaques. Si les résultats en cours sont positifs, le vaccin pourra être testé sur des humains. > À l'Université Laval, le neurologue André Parent analyse les zones du cerveau affectées par des maladies neurodégénératives comme le parkinson, grâce à l'autopsie de primates. Il compare leur cerveau à celui d'humains qui sont morts et étaient atteints de ces maladies. > Les primates sont très peu utilisés pour des tests sur des médicaments, selon John Miller, président de l'Association internationale pour l'évaluation et l'accréditation des soins aux animaux de laboratoire. Les principales exceptions concernent certains vaccins, notamment contre le sida. > À l'Université de Montréal, des chercheurs étudient à l'aide de primates les processus neurochimiques liés à la dyskinésie tardive qui consiste en des mouvements involontaires anormaux, souvent buccaux. Ce trouble est associé à la prise à long terme de médicaments antipsychotiques, et contre la schizophrénie. Des chiffres assez stablesNombre de primates non-humains utilisés en science au Canada 1975: 4728 1985: 3085 1995: 1379 2005: 3713 Nombre total d'animaux utilisés en science au Canada 1975: 2,6 millions 1985: 2,1 millions 1995: 2,0 millions 2005: 2,5 millions Proportion des animaux de laboratoire qui servent à des tests de nouveaux médicaments (en 2006): 9,4% Source: CCPA. La recherche sur les primates non-humains au QuébecUniversité McGill: une cinquantaine de macaques. Université de Montréal: une douzaine de macaques et huit capucins. Université Laval: une soixantaine de macaques. Institut national de la recherche scientifique, Centre Armand-Frappier (à Laval): une vingtaine de macaques. http://www.cyberpresse.ca/article/20080524/CPSCIENCES/805240764/1020/CPSCIENCES
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Teapot ne se serait jamais laissée porter !!! Le plus que j'étais arrivé à faire c'était à la caresser, en étant à même hauteur qu'elle, accroupie par terre ou toutes les 2 sur le canapé. Pour elle, tout se qui peut ressembler à prendre dans les bras, ne serait-ce qu'un geste trop "enveloppant" c'est une agression, une tentative de capture. Donc, si je décidais de l'emmener avec moi, ce serait parce que j'apprendrais que l'éleveur n'est plus ldans les mêmes dispositions à son égard pour une raison ou pour une autre, et ça ne pourrait se faire que sournoisement, par une capture, comme pour les chats errants, ou plus ouvertement, mais de façon "brutale" comme pour l'emmener chez le véto. Tant que ce n'est pas le cas, c'est à elle de voir. Elle a su retrouver son ancien territoire, s'il lui venait le désir de revenir ici, a priori, elle retrouverait le chemin. Si elle ne le fait pas, c'est qu'elle préfère être là où elle est. Va falloir que je l'admette, avec l'inquiétude et la peine qui vont avec. L'endroit est moins sur qu'ici, quant aux gens, ils vont pas surveiller sa santé, ni rien...Y'a aussi une route pas loin (genre 1 voiture toutes les demi-heure au maximum)... ça, ça restera un mystère. Si l'éleveuse a pas menti et qu'elle est arrivé 3 ou 4 jours avant qu'elle prévienne. Ca ferait dans les 1 mois et 1 semaine de vadrouille ! Comme tu dis Bon, mais pour l'instant elle va bien et elle a l'air contente ! ALors, oui, on peut tout de même se réjouir !
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Non, l'éleveuse n'y était pas. A priori, elle n'est pas contre l'idée que j'y passe de temps en temps. (J'y retourne next week !) OUi, peut-être que Teapot m'aurait suivit, mais peut-être seulement sur une petite distance, comme elle le faisait aussi au jardin. D'autant qu'à pied, quand on connait pas les raccourcis ça fait peut-être 2 k et demi ou plus... Oh oui ! ça oui !
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Merci pour le pot c'est avec plaisir et remettons ça car j'ai vu la Teapot ! Elle a l'air en forme, elle est bien ronde, son poil est joli. J'ai appelé 2 fois et hop elle est sortie d'un hangar. Elle poussait des petits cris, elle a mis quelques minutes à s'approcher, un petit moment d'hésitation ensuite avant de se laisser caresser et puis calins. et un petit gouter de croquettes VG. Pas facile de partir. Au départ elle a trotté derrière mois et comme on repartait direction d'un maison ou y'a des chiens qu'elle aime pas, elle s'est arrêtée. C'est fichument émotionnant, entre et Bonne journée à vous
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Non, je les ai refais, mais comme ce sont de petites news c'est pas ben grave. J'ai un peu de mal à me concentrer en ce moment. Bon, demain matin, je vais avec Danielle chez les éleveurs. Elle a vu TEapot hier après midi, elle a l'air d'aller bien. L'éleveuse lui a dit que je pouvais passer si je voulais voir Teapot. J'espère que teapot y sera, et qu'elle aura pas peur de moi. Je suis nouée de partout. (j'aimerais aussi que les éleveurs y soient pas, mais ça...)
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Texte 10 La marine britannique met fin aux expériences sur les chèvres En février dernier, la Défense britannique a annoncé qu’elle mettait fin aux expériences de décompression sur les chèvres. Ces expériences, menées depuis plusieurs décennies, avaient pour but d’évaluer les risques d'une évacuation pour les membres de l'équipage d'un sous-marin en plongée. Pendant ces simulations, les chèvres étaient placées dans des chambres de décompression où la pression de l’air était rapidement changée. La différence de pression entre les fonds marins et la surface peut provoquer une perte de l’équilibre, des difficultés respiratoires, des convulsions, une paralysie ou encore un coma mortel. Depuis 2000, 5 chèvres sont mortes durant les expériences, 122 ont été tuées ensuite, pour être autopsiées. Depuis des années , des associations pour les droits des animaux tentaient de faire cesser ces expériences. Le ministère de la défense a toutefois déclaré, que ces tests prenaient fin car ils leur avaient fourni les informations qu’il souhaitait. Des recherches supplémentaires sur la décompression devraient avoir lieu, mais cette fois, avec des méthodes alternatives. Sce : Le portail des sous-marins - février 2008 http://www.corlobe.tk/article7522.html UK Navy to end goat experiments - 06/02/08 http://news.bbc.co.uk/l/hi/uk_politics/7230867 euh...ben c'est tout
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Un week-end de mai en forêt de Saône-et-Loire. Des déterreurs, accompagnés de leurs chiens spécialisés, s’activent autour des terriers de l’espèce blaireau, Meles meles. Les canidés, excités par l’épreuve, ont acculé l’animal au fond de son terrier, les déterreurs creusent une tranchée pour tenter de l’en extraire. Afin d’en finir avec les récalcitrants, on les saisit par le cou, le museau ou les pattes au moyen d’énormes pinces métalliques, puis on les achève, d’un coup de carabine ou d’un coup de pelle... Ce championnat pose la question du sort réservé aux espèces animales déclarées «chassables» ou «gibier» dans le cadre de la vénerie, pratique qui avec la chasse à courre est sensée relever de la pure tradition de la chasse européenne. (...) Le stress du blaireau aux abois - 23/05 http://www.liberation.fr/rebonds/327686.FR.php
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3 lions saisis dans un cirque près d'Avignon
hop a posté un sujet dans ANIMAUX - Europe et autres continents
La Société Protectrice des Animaux, avec l'aide d'Arnauld LHOMME de la Fondation Assistance aux Animaux, vient de saisir 3 lions de 5 ans environ dans un cirque près d'Avignon. Le cirque ne possédait ni l'autorisation d'ouverture, ni les certificats de capacité nécessaires à la détention de ces fauves. C'est à la suite d'un contrôle de l'Office National de Chasse et de la Faune Sauvage, que la SPA et Arnauld LHOMME ont pu saisir mardi matin ces lions qui seront accueillis au Refuge de l'Arche, à Château-Gontier, en Mayenne. « C'est une nouvelle victoire pour la SPA et son combat pour la dignité de la faune sauvage. Il n'est pas acceptable que des animaux sauvages soient mis en cage et que leurs besoins élémentaires soient bafoués. La SPA fera tout ce qui est en son pouvoir pour faire évoluer la législation en termes d'animaux de cirque », déclare Caroline LANTY, Présidente Nationale de la SPA. La SPA tient à remercier chaleureusement le Refuge de l'Arche, son directeur Christian HUCHEDÉ, ainsi que Arnauld LHOMME pour leur participation à cette opération. 3 lions sauvés par la SPA dans un cirque - 22/05/08 http://www.newspress.fr/communique_202597_2842.aspx -
A paraître : "Ethique animale" de J-B Jeangène Vil
hop a répondu à un(e) sujet de hop dans Événements
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20/05, Montréal : Conf/Débat autour de l'éthique animale
hop a répondu à un(e) sujet de hop dans Événements
Je n'ai pas encore acheté son bouquin, mais j'ai vu un passage cité : "Seules les expériences absolument indispensables dans le domaine de la recherche biomédicale doivent être menées, et toujours à condition qu'elles n'impliquent aucune souffrance superflue et que les règles élémentaires ( comme celle des 3R) soient respectées, en attendant qu'un jour les méthodes alternatives puissent remplacer totalement l'exploitation des animaux de recherche." (sous réserve...c'est une citation sur une liste) Je viens d'écouter l'émission de Charette et, à la fin quand il parle de la question du végétarisme je l'ai trouvé un peu nébuleux . -
Un poulain a vu le jour dans un abattoir de l’Aude. Ce poulain miraculé a bien failli ne jamais naître. En effet, la jument qui le portait aurait dû être abattue quelques jours avant qu’elle ne mette bas. Elle a échappé à la mort grâce à la venue de son petit. ...Face à cette naissance inattendue, la directrice de l’abattoir ne savait plus comment réagir. Personne n’a voulu prendre la responsabilité de l’abattage de l’animal. Une dérogation spéciale a alors été demandée auprès des services de l’Etat. Ces derniers n’ont accordé aucune concession, argumentant qu’aucun animal entré dans un abattoir ne peut en ressortir vivant. (...) Un poulain a vu le jour dans un abattoir - 22/05/08 www.waliboo.com/chevaux/insolite-un-poulain-a-vu-le-jour-dans-un-abattoir/6399/
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Texte 9 Massacrer les phoques pour une "bonne cause" ? Andreas Agathos, chirurgien cardiaque, est spécialisé dans les transplantations de valves de cœurs de porcs et de vaches sur des humains. Il a récemment conclu un partenariat avec l’entreprise Tamasu, aux Iles de la Madeleine, pour un projet de recherche sur l’utilisation de valves cardiaques de phoques. Ce chirurgien a déjà effectué des expériences sur des phoques communs qui auraient révélé un nombre de rejets moindre qu’avec des valves mécaniques. Andreas Agathos est donc allé sur la banquise accompagné d’un chasseur madelinot : 200 phoques ont été tués. Leurs cœurs ont été prélevés et envoyés à des laboratoires de plusieurs pays européens qui transplanteront les valves sur des porcs. Le succès de ces expériences risquerait d'ouvrir de nouvelles perspectives pour les chasseurs de phoques. Selon le président de Tamasu, "l’image de la chasse s’en trouverait à jamais transformée." Sce : Le phoque ausculté - mars 2008 http://www.radio-canada.ca/regions/est-quebec/2008/03/25/008-valves-phoques_n.asp
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Texte 8 Cosmétiques : Symposium international sur les alternatives En mai, 1ère édition d’un symposium international sur le thème de "L’enjeu des méthodes alternatives aux tests sur animaux en cosmétique", à Grasse, dans le sud de la France. La mise en place des techniques de substitution est un "défi majeur" pour l’industrie des cosmétiques. En effet, en janvier 2009, c’est l’entrée en vigueur de la nouvelle réglementation européenne sur les cosmétiques qui prévoit l’interdiction de tester des ingrédients sur les animaux, et de vendre des produits et ingrédients qui ont été testés sur des animaux - exception faite pour les tests de toxicité à doses répétées (a), de toxicité pour la reproduction (b) et les tests toxicocinétiques (c) tant que des méthodes pour les remplacer n’auront pas été validées. Pour l'industrie du cosmétique commence une "course contre la montre". Il faut dire qu’elle a tardé à investir dans la recherche d’alternatives. Particulièrement en France ou la profession a fais son possible pour bloquer l’interdiction des tests sur animaux. sce : Pôle PASS : un symposium sur les méthodes alternatives aux tests sur animaux http://www.rivierabiz.com/nice/wtm_article47587.fr.htm (a) Pour évaluer les effets d’une substance administrée régulièrement sur une période allant de 1 à 3 mois (b) Pour l’identification des effets sur les facultés reproductrices. (c)Pour étudier les délais d’absorption, d’accumulation et d'excrétion d’une substance et ses effets toxiques. (Rapports Les tests sur animaux dans l’industrie cosmétique en France, One voice) d'autres à suivre
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A paraître : "Ethique animale" de J-B Jeangène Vil
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20/05, Montréal : Conf/Débat autour de l'éthique animale
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CRISE ALIMENTAIRE MONDIALE : LA FAUTE À LA VIANDE ! Communiqué Association Végétarienne de France 15 mai 2008 Les économistes, écologistes et experts mondiaux qui débattent de la pénurie alimentaire actuelle semblent étrangement frappés de cécité. Chacun y va de ses facteurs climatiques, financiers ou politiques, et personne ne voit le principal : ► Si les humains meurent de faim, c’est parce que les animaux d’élevages industriels mangent comme quatre ! Plus de 750 millions de tonnes de céréales sont destinés aux animaux d’élevage, qui sont un gouffre à calories et protéines, avec des pertes de plus de 80 % entre ce qu’on leur donne et ce qu’on en retire. La presque totalité du soja cultivé dans le monde est destiné aux animaux. Mais 850 millions de personnes souffrent toujours de la faim ; et douze ans après le Sommet mondial de l’alimentation [1996] qui promettait de réduire de moitié le nombre de personnes sous-alimentées dans le monde d’ici à 2015, ce nombre est aujourd’hui plus élevé dans les pays en développement qu’il ne l’était en 1996. ► Avec ce que l’on gaspille pour obtenir à tout prix des produits animaux, on pourrait nourrir 2 milliards de personnes. Toutes les calories d’origine végétale produites pour les humains dans le monde le sont sur moins d’1/4 des terres agricoles mondiales, le reste étant dédié au bétail. Or il est produit 5 fois plus de calories végétales que de calories animales. La réalité, c’est qu’il faut près de 20 fois plus de superficie pour fournir une calorie animale que pour fournir une calorie végétale. ► Entretenir des animaux d’élevage est une entreprise d’un rendement exécrable et scandaleux. En 2002, dans son document « Cahier 9 - Nourrir son monde », l’Association Végétarienne de France montrait qu’à chaque fois qu’on accepte une journée sans produits animaux, on dégage assez de terre agricole pour nourrir une autre personne… Aujourd’hui, le monde s’inquiète de savoir comment nourrir les 9 milliards d’humains prévus en 2050. Le monde ferait mieux de s’inquiéter du fait que si le nombre d’animaux d’élevage croit sur les 40 ans à venir comme il a cru sur les 40 ans passés, il faudra en 2050 nourrir aussi 36 milliards d’animaux. Pourquoi ? Parce que les pays émergents se laissent tenter par les protéines animales : se préparent ainsi un désastre écologique, un désastre économique et un désastre pour la santé. En France, les 2/3 des protéines alimentaires produites sont d’origine animale. Montrons l’exemple ! Subventionnons les productions végétales ; réservons les terres agricoles aux humains ; réduisons notre empreinte écologique ; améliorons notre santé. Adoptons une consommation responsable ! ► Dans l’étude des effets néfastes de la consommation de viande sur la planète, les végétariens ont été des pionniers. Écoutons-les avant que le désastre soit irrémédiable. Contact : avf.medias@vegetarisme.fr André Méry (Président) : 06 77 43 64 26 Alice Rallier (porte-parole) : 06 61 85 94 02
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L'Islande reprend la chasse à la baleine
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Le gouvernement islandais a autorisé la prise de 40 petits rorquals, mettant fin à un gel temporaire de la pêche à la baleine. ...Trois navires s'apprêtent à appareiller à partir de mardi pour remplir ce quota, a confirmer le responsable d'un groupement de pêcheurs. L'Islande a mis fin en 2006 à un moratoire de 20 ans sur la chasse à la baleine. Les quotas ont été atteints en août 2007 et le gouvernement a alors décidé de ne pas les renouveler avant de connaître l'état de la demande. (...) L'Islande annonce la reprise de la chasse à la baleine - 20/05/08 http://fr.news.yahoo.com/rtrs/20080520/twl-islande-baleines-bd5ae06.html -
Un employé du zoo de Calgary a été brièvement hospitalisé, le week-end dernier, après avoir été blessé au visage quand une éléphante l'a plaqué contre un mur. Les responsables du zoo ont expliqué que l'animal, Swarna, une femelle de 2000 kilos, a possiblement voulu protéger Malti, un éléphanteau de neuf mois qu'elle a pris sous son aile, pendant que l'employé nettoyait leur enclos. (...) Un employé du zoo de Calgary est blessé par un éléphant - 20/05/08 http://canadianpress.google.com/article/ALeqM5jN3Z-8bM_vmQPEv4HrCf0Js_S-jQ
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L'association suisse pour l'abolition de la vivisection (ATRA) a remis à l'ambassade du Canada à Berne une pétition munie de 45.000 signatures demandant qu'Ottawa interdise la chasse aux phoques, a-t-elle annoncé samedi. L'association a été reçue vendredi par l'ambassadeur du Canada en Suisse, qui a défendu la position de son gouvernement, a indiqué l'ATRA dans un communiqué. (...) Suisse: 45.000 signatures remises au Canada contre la chasse aux phoques - 17/05/08 http://tempsreel.nouvelobs.com/depeches/sciences/20080517.SCI3813/suisse_45.000_signatures_remises_au_canada_contre_la_ch.html
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L'armée envisage de tuer plus de 400 kangourous
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Un groupe australien de défense des droits des animaux a approuvé mardi l'abattage de 400 kangourous dans les environs de la capitale australienne, estimant que c'est là un procédé humain pour faire face à la surpopulation de ces marsupiaux. Les autorités ont commencé cet abattage controversé aux portes de Camberra lundi après qu'une proposition visant à déplacer les animaux envahissants dans une zone forestière reculée, s'est avérée trop coûteuse. ...Michael Linke, de la Société royale pour la prévention de la cruauté envers les animaux, a indiqué que son organisation contrôlait l'opération et que les inspecteurs qui se sont rendus sur place lundi ont constaté que les normes étaient respectées. Les animaux sont regroupés dans des parcs, puis calmés, avant de se voir administrer une injection létale. L'abattage devrait prendre trois semaines environ. (...) L'Australie abat 400 kangourous aux alentours de Camberra - 20/05/08 http://canadianpress.google.com/article/ALeqM5huPOB8o41QwajjKx0dKIuL29esUg -
texte 7 Objection de conscience "Tout citoyen qui, pour obéir à sa conscience, dans l’exercice du droit à la liberté de pensée et de conscience reconnu dans la Déclaration universelle des droits de l’homme, s’oppose à la violence sur tous les êtres sensibles, peut déclarer son “objection de conscience” pour chaque acte d’expérimentation animale. Ce droit ne devra entraîner aucune discrimination et devra être proposé aux étudiants et travailleurs des structures pratiquant l’expérimentation animale." C’est un article que le député français Lionnel Luca aimerait voir insérer dans le code rural. Il a, dans ce but, déposé récemment une proposition de loi pour un droit à l’objection de conscience à l’expérimentation animale, En Europe, l’objection de conscience à l’expérimentation animale est un droit reconnu au Pays bas, où les étudiant doivent avoir accès, s’ils le demandent, à des méthodes pédagogiques alternatives ainsi qu’en Italie, où ce droit à l’objection de conscience s’applique non seulement aux étudiants mais aussi aux médecins, aux chercheurs, etc. En Italie, "toutes les structures publiques ou privées qui pratiquent l’expérimentation animale doivent informer les étudiants et les travailleurs de ce droit." http://www.assemblee-nationale.fr/13/propositions/pion0650.asp d'autres à suivre