hop

...Le chercheur indonésien Chairul Anwar Nidom, de l’Université Airlangga à Surabaya, a analysé les échantillons sanguins prélevés sur 500 chats errants de quatre marchés de l’île de Java et d’un marché de Sumatra. 20% des chats étaient porteurs d’anticorps dirigés contre le H5N1, ce qui signifie qu’ils avaient été infectés, même s’ils n’étaient plus malades. Sachant que les chats peuvent succomber à la grippe aviaire, la proportion réelle de chats infectés par le H5N1 est sans doute plus importante encore, estime Nidom. Le risque que le chat transmette la maladie à l’homme est pour l’instant très faible. Le danger vient du fait que le virus pourrait profiter de ses séjours répétés chez les chats pour mieux s’adapter aux mammifères, craignent les chercheurs. Au printemps dernier déjà, plusieurs expert, dont le virologue néerlandais Albert Osterhaus qui a mené des recherches sur l’infection des chats par le H5N1, demandaient des mesures de précautions pour limiter la transmission du virus aux félins. H5N1: les infections sont fréquentes chez les chats - 25/01/07 http://tempsreel.nouvelobs.com/actualites/sciences/sante/20070125.OBS8811/h5n1_les_infections_sont_frequentes_chez_les_chats.html

C'est ce que je lis dans le larousse : les poissons seraient vivants !!! Sur un site web sur la cuisine du poisson, il y a ça : http://www.vis.vlam.be/about/lexicon/index_fr.html Je ne sais pas vraiment quoi croire même si je penche pour la cuisson du poisson, mort. Je sais bien qu'en France on n'est par particulièrement sensible à la façon dont sont traités et tués les animaux "qui se mangent" mais il arrive qu'on parle (juste histoire de causer) des homards, ou encore des huitres qu'on mange vivantes. Je n'ai jamais entendu parler des poissons.

Oui, les images étaient très parlantes et le commentaire l'a bien souligné " difficile en regardant ces images, d'imaginer que le gavage n'entraîne pas de mal-être" ! Et j'ai trouvé bien fait le montage, et là façon dont se termine l'intervention du scientifique : "Moi, je n'ai aucun intérêt personnel à être pour ou contre le gavage, je suis scientifique, je publis mes résultats, et c'est ces résultats qui font que maintenant j'ai une reconnaissance internationale" Depuis quand la reconnaissance internationale n'est pas un intérêt personnel ?

Ainsi-soit-il !

Très bon reportage sur le gavage et la mise en cause de l'INRA, au JT du soir de FR3 Centre, du 22/01 . (durée : 3 minutes) On peut le voir ici : http://video.google.fr/videoplay?docid=3240682662968293176 ou là :

Tu as raison de dire que ce n'est pas dans les plans de la nature, mais ce n'est pas non plus dans ses plans que nous mangions des aliments cuits, ni que nous buvions autre chose que de l'eau et le jus contenus dans les fruits, etc. Pour ce qui est du raffinement, je ne te suis pas car l'huile d'olive "vierge" (vierge tout court, vierge fine, vierge extra) n'est pas raffinée. On l'obtient par une suite de processus mécaniques : broyage dans des meules, pressurage, décantation du liquide extrait (pour l'huile vierge extra) ou centrifugation (pour l'huile vierge). Sinon, il ya l'huile d'olive, qu'on ne trouve plus trop en bouteille, en France en tout cas. Peut-être est-elle utilisée pour des plats cuisinés industriels... Cette huile-là est un mélange d'huile raffinée et d'huile vierge.

L’âne complice de l’homme, Paulette Deladoey en est depuis toujours convaincue. Mais le «don de l’âne» ne se limite pas à l’entretien d’une amitié réciproque. A Grône (VS), le lait d’ânesse entre dans la grande famille des thérapies douces ...Paulette Deladoey a découvert qu’au XIXe siècle, en France, de nombreuses asineries sont implantées à proximité des maternités, qui placent les nouveau-nés de mères stériles directement sous le pis des ânesses, la composition de leur lait étant la plus proche (à 98%) du lait maternel. Le procédé est également appliqué dans les «hospices des enfants assistés». Mais dès le début du XXe siècle, faute de rentabilité, le lait d’ânesse tombe dans l’oubli. Soucieuse de diversifier ses activités, Paulette Deladoey engage une «recherche en réhabilitation» et soumet le lait de ses quinze ânesses aux analyses du chimiste cantonal valaisan. L’an dernier, avec le soutien de la SUVA et des réseaux des naturopathes, des thérapeutes et des pharmaciens indépendants valaisans, la production démarre. Travail titanesque Dès que son ânon atteint 2 mois, l’ânesse peut être traite pendant huit mois, une fois toutes les trois heures. Chaque matin, les ânons sont séparés de leur mère, mais restent dans son champ visuel; à défaut, elle «retient» son lait, plus exactement ne «livre» plus que 20% d’une production normale! ...A raison de quatre à six traites manuelles quotidiennes pour obtenir un litre de lait, le résultat est disproportionné à la somme de travail. Mais il en faut plus pour décourager la jeune femme, persuadée que l’avenir de l’agriculture biologique passe par la diversification de ses productions. Pistes d’avenir A l’origine de la production de lait d’ânesse: la recherche en dermatologie et cosmétologie. Avec le concours de la Haute Ecole valaisanne (HEVs), une entreprise chablaisienne travaille à la création d’une gamme de produits de soins de la peau (...) Sur le marché, on trouve déjà des savonnettes artisanales au lait d’ânesse de diverses provenances. Son lait a tout pour plaire - 18/01/07 http://www.terrenature.ch/article/article.php?id_art=863

C’est une première: les cinq organisations régionales du globe chargées de la régulation de la pêche au thon rouge* sont réunies à Kobe, grand port de pêche japonais, à partir d’aujourd’hui jusqu’à vendredi, pour trouver les moyens de freiner la surpêche et de sauvegarder le thon rouge. ...A Kobe, les 60 pays représentés, ainsi que les organisations de protection de la nature, vont tenter de mettre sur pied un système efficace de régulation pour lutter contre la pêche illégale. Ce système exigerait des pêcheurs, et plus seulement des vendeurs, qu’ils certifient l’origine des poissons pêchés. Deux grands groupes de pêches proposent par ailleurs un moratoire sur l’utilisation de grands bateaux pour pêcher le thon rouge. Les résultats des discussions seront connus vendredi. Sommet mondial au Japon pour sauver le thon - 22/01/07 http://tempsreel.nouvelobs.com/actualites/sciences/environnement/20070122.OBS8084/sommet_mondial_au_japon_pour_sauver_le_thon.html La compagnie Sea Ranch – un partenariat mauricien, australien et danois – attend le feu vert du gouvernement pour aller de l’avant avec un projet d’élevage de thon jaune sur la côte mauricienne au coût de Rs 300 millions. Elle compte produire environ 600 tonnes de thon à haute valeur ajoutée pour la préparation des sushis et des sashimis. Ce type de thon engraissé pendant seulement trois mois en cage d’élevage est exporté au prix de $ 25 le kilo. Le thon surgelé et pêché par les thoniers industriels rapporte $ 2 le kilo à l’exportation. La Sea Ranch engraissera dans ses cages des thons jaunes capturés au large de Maurice. Mais dans un deuxième temps, cette compagnie bénéficiera d’un transfert de technologie danoise pour la mise sur pied d’une écloserie à Maurice pour la production des juvéniles pour sa ferme, mais également pour la vente à d’autres fermes et l’exportation. L’aquaculture en pleine effervescence - 24/01/07 www.lexpress.mu/display_article_sup.php?news_id=79659

C'était aussi au Cachemire qu'un ours avait été battu puis brulé, le mois dernier. /AEQUO-ANIMO-c1/ANIMAUX-Europe-et-autres-continents-f7/Un-ours-brule-vif-par-des-villageois-Cachemire-t5960.htm?highlight=ours+brul%E9

En Floride, un canard, tiré par un chasseur, a survécu à 2 jours passés dans un frigo. ...La femme du chasseur a eu le choc de voir le canard relever la tête alors qu'elle ouvrait la porte du réfrigérateur pour vérifier qu'il fonctionnait bien. Paniquée, elle a demandé à sa fille d'emmener le Lazare à plumes aux urgences vétérinaires (...) Le personnel a conseillé de transférer le canard de 450 grammes dans un centre de protection des oiseaux sauvages où il a été soigné pour des blessures à l'aile et à la patte. ...il a 75% de chances de survivre, mais ne pourra vraisemblablement pas retourner à la vie sauvage. Un canard touché par un chasseur survit pendant deux jours au réfrigérateur - 21/01/07 http://fr.news.yahoo.com/21012007/5/un-canard-touche-par-un-chasseur-survit-pendant-deux-jours.html

Depuis lundi soir, 13 vaches étaient prisonnières, enfoncées jusqu'au cou dans une fosse à lisier, après l'effondrement du plancher de l'étable, dans un village de la Loire. Une première tentative de sauvetage des bovins, à l'aide d'une grue, avait échoué lundi soir. Mardi, c'est une unité de "sauvetage et déblaiement" spécialisée dans les tremblements de terre et effondrements d'immeuble (...) qui a été mobilisée. ... les pompiers ont finalement réussi à extraire une quantité suffisante de lisier avec une pompe, puis à créer un plan incliné en terre permettant de hisser les bovins à l'extérieur. Tous les animaux ont survécu à cette longue immersion. (...) Sauvetage réussi de 13 vaches prisonnières d'une fosse à lisier - 23/01/07 http://fr.news.yahoo.com/23012007/5/sauvetage-reussi-de-13-vaches-prisonnieres-d-une-fosse-lisier.html Pour le moment, elles ont plus de valeur vivantes...Ce qui a été sauvée ici, ce n'est pas tant la vie de 13 animaux qu'une future rentrée d'argent.

Les gardes-frontière kazakhs ont arrêté un homme qui tentait d'introduire clandestinement d'Ouzbékistan voisin 500 perroquets [vivants] cachés dans sa voiture. ...Les conditions de transport des 500 oiseaux restent floues. (...) Cinq cents perroquets cachés dans une voiture - 23/01/07 http://fr.news.yahoo.com/23012007/290/cinq-cents-perroquets-caches-dans-une-voiture.html

Les armes secrètes du terrible virus de la grippe espagnole 22/01/07 Le responsable de la plus terrible épidémie de l’histoire, qui a tué des dizaines de millions de personnes entre 1918 et 1919, déclenche chez ses victimes une folie autodestructrice du système immunitaire. Grâce à la reconstruction du virus, les mécanismes génétiques sous-jacents commencent à être élucidés, donnant des idées pour lutter contre la grippe aviaire. Mais fallait-il ressusciter ce serial killer ? Une équipe internationale, menée par Yoshihiro Kawaoka, de l’université de Wisconsin-Madison (Etats-Unis), dévoile dans le journal Nature quelques-uns des mécanismes génétiques expliquant l’action de l’agent de la grippe espagnole. Entre 1918 et 1919, cette épouvantable épidémie a fait, partout dans le monde mais essentiellement en Europe et aux Etats-Unis, entre 20 millions et 50 millions de victimes selon les estimations, certains avançant le chiffre de 100 millions. Les malades présentaient les symptômes d’une bronchite extrêmement sévère et succombaient en quelques jours par suffocation. L’origine de la maladie n’a pas été comprise tout de suite et le virus a disparu avant d’avoir pu être étudié. En 2005, deux équipes de biologistes moléculaires et de virologistes américains, dirigés par l’américain Jeffery Taubenberger (Institut de pathologie des forces armées) parvenaient, après dix ans de travail, à reconstituer le virus. En travaillant sur le corps de victimes décédées de la grippe espagnole, et par génétique inverse, ils ont pu reconstituer le génome du virus, qui s’est avéré du type H1N1. Sa proximité avec la souche H5N1 responsable de la grippe aviaire a relancé l’intérêt pour cette voie de recherche. Des études sur la souris avaient alors montré comment le virus pouvait déclencher une pathologie mortelle : il déclenche dans le corps une réaction immunitaire disproportionnée, parfois appelée « tempête de cytokines », qui finit par attaquer le corps lui-même. Le virus de la grippe aviaire produit ce même effet. L’œil sur le génome Au laboratoire sécurisé de la Public Health Agency of Canada, à Winnipeg, ce virus reconstruit a été injecté à sept macaques. Les symptômes sont apparus après 24 heures et les animaux ont été sacrifiés huit jours plus tard. Le système immunitaire de l’animal s’en prend aux poumons, dont les alvéoles s’emplissent de liquide. Les scientifiques ont utilisé les techniques dite de génomique fonctionnelle, consistant à étudier non seulement la composition des gènes mais aussi leur traduction en protéines et leurs interactions. «Nos analyses révèlent des mécanismes possibles, explique Michael Katze, responsable au sein de l’équipe des études génomiques et qui a travaillé précédemment sur la souris. Nous espérons que cela nous aidera à développer de nouvelles stratégies antivirales, à la fois pour attaquer le virus et pour réduire la réaction immunitaire de l’organisme. » Certains scientifiques semblent douter de l’intérêt de ces recherches. Richard Ebright, un bactériologiste américain, explique même à Nature que ce virus n’aurait jamais dû être reconstruit, le risque de diffusion accidentelle étant trop grand par rapport aux bénéfices attendus. L’agent infectieux qui a provoqué autant voire davantage de victimes que la peste noire au XIVè siècle (environ 25 millions de morts en Europe) se trouve désormais en deux endroits : à Winnipeg, au Canada, et aux Centers for Disease Control, à Atlanta (Etats-Unis). Selon lui, des travaux de ce genre mais concernant d’autres agents pathogènes sont régulièrement publiés dans des revues scientifiques peu connues. Mais la parution d’un travail sur un virus aussi célèbre dans une revue prestigieuse comme Nature, assurant de belles retombées médiatiques, peut donner des idées à d’autres équipes et initier une dangereuse prolifération. Face à ces arguments, les chercheurs de l’équipe explique que ce genre d’études pourra contribuer à trouver la parade à une attaque virale de ce genre, par exemple celle de la grippe aviaire. http://www.futura-sciences.com/news-armes-secretes-terrible-virus-grippe-espagnole_10255.php

Le chasseur qui avait abattu l'animal dans les Pyrénées en novembre 2004 a bénéficié d'un non-lieu, dans cette affaire qui avait marqué l’opinion publique. ... Cette ordonnance de non-lieu a été prononcée au terme de deux ans d'instruction. René Marqueze avait été mis en examen le 7 décembre 2004 pour "destruction d'espèce protégée". Il a affirmé avoir tiré en état de légitime défense alors qu'il s'était retrouvé face à l'animal menaçant et son ourson lors d'une battue aux sangliers avec un groupe de chasseurs. (...) Mort de l’ourse Cannelle : le chasseur innocenté - 19/01/07 www.lefigaro.fr/france/20070119.WWW000000347_mort_de_lourse_cannelle_le_chasseur_innocente.html

Mais sur mon message, il n'est pas marqué 16h21 non plus, mais 19h21. J'ai réglé sur l'horaire d'ici (France). Ton réveil serait pas en panne des fois ? Où alors, j'verrais bien un genre de rupture du continuum espace temps, dû au passage d'une soucoupe au-dessus de ton patelin. Si, si ! C'est fréquent. Dans X-Files.

en fait, l'adresse de la fondation est celle-ci : www.faunafoundation.org/ff/

une bonne bière ! Oui...mais le chien de chasse ? Il a bien mérité sa bière lui aussi ! C'est la sympathique réflexion que s'est faite la sympathique néerlandaise Terrie Berenden, propriétaire d'une boutique d'accessoires pour animaux domestiques, lors d'un séjour de chasse en Autriche. Donc, la dame lance la Kwispelbier (sans alcool) ; "Une bière pour votre meilleur ami". Pet shop owner creates beer for dogs - 22/01/07 http://news.yahoo.com/s/ap/20070122/ap_on_fe_st/doggie_beer

Les orques migrent de plus en plus vers les eaux de l'Arctique canadien réchauffées par la fonte des glaces, au grand dam des pêcheurs inuits qui voient leurs proies habituelles traquées par ces nouveaux visiteurs, estiment des chercheurs canadiens. ...La migration importante de ces visiteurs irrite les pêcheurs inuits du grand nord... "C'est un véritable enjeu pour les pêcheurs. Ils se considèremt en compétition avec ces cétacés parce que les espèces qu'ils chassent et mangent peuvent aussi être la proie des orques" (...) Les orques migrent vers l'Arctique attirées par la fonte des glaces - 21/01/07 www.tv5.org/TV5Site/info/afp_article.php?rub=sci&idArticle=070121215746.v35v797k.xml

Bien bien ! Je le note :-)

Les députés eurropéens Robert Evans (Angleterre), Mojca Drcar Murko (Slovénie), Gitte Seeberg (Danemark), Carl Schlyter (Suéde) ont presenté le 15 janvier la déclaration écrite 0002/2007 relative aux corridas dans l'ensemble de l'Union européenne. Elle demande à la Commission européenne : * de faire en sorte que les mesures communautaires en matière de protection des animaux concernent tous les animaux, et pas seulement les animaux d'élevage et les animaux utilisés à des fins expérimentales ; * deprendre de nouvelles mesures en vue d'assurer que les subventions agricoles de l'Union ne puissent être allouées aux agriculteurs qui élèvent des taureaux destinés aux corridas ; * de s'employer à soumettre les corridas à l'approche générale de l'Union en matière de bien-être des animaux, et à oeuvrer en faveur de l'interdiction des corridas dans l'ensemble de l'Union. La déclaration doit obtenir 393 signatures pour ne pas être rejeté. Merci de demander à vos députés (courriels en fin de message NB : j'ai complété cette liste, il en manquait plein ) de la signer . Une déclaration écrite n'est pas un projet de loi. Elle permet, dans le cas où elle adoptée, d'ouvrir un débat sur le sujet. Echéance 15 avril 2007 ________________________________ Lettre type (à personnaliser si possible) à adresser à Monsieur le Député ou Madame la Députée ------------------ Je voudrais attirer votre attention pour la déclaration écrite 0002/2007 presentée pour les députés Robert Evans, Mojca Drcar Murko, Gitte Seeberg and Carl Schlyter demandant l'interdition des corridas dans l'ensemble de l'Union européenne. Les corridas sont des spectacles barbares et moyenâgeux, qui ne peuvent continuer á avoir leur place dans une Europe moderne. Ainsi je vous prie Monsieur/Madame le/la Député (e) de signer cette déclaration (texte ci-dessous). Avec mes remerciements et mes salutations distingués, (Précisez vos NOM, Prénom, adresse) 0002/2007 Déclaration écrite sur l'interdiction des corridas dans l'ensemble de l'Union européenne Le Parlement européen, – vu l'article 116 de son règlement, A. considérant le protocole n° 33 annexé au traité CE, qui fait référence aux animaux "en tant qu'êtres sensibles" et qui exprime le souhait de l'Union "d'assurer une plus grande protection et un meilleur respect du bien-être des animaux", B. considérant qu'aucune institution de l'Union européenne n'a jamais proclamé que les corridas s'inscrivaient dans le patrimoine culturel européen et qu'aucun État membre n'a jamais sollicité de fonds ni de soutien communautaires en faveur des corridas en invoquant des motifs culturels, et qu'il convient de considérer les corridas uniquement comme une pratique habituelle qui s'est transformée en activité relevant du spectacle, C. considérant que les corridas consistent à exciter, à épuiser, à blesser et/ou à tuer des taureaux, et qu'elles causent la mort de plus de 40 000 de ces animaux par an au sein de l'Union, D. considérant que cette pratique va à l'encontre des mesures courageuses et ambitieuses présentées dans le plan d'action concernant le bien-être des animaux pour la période 2006-2010, lequel confère à l'Union un rôle de chef de file dans le domaine de l'amélioration du bien-être des animaux à l'échelon international, 1. invite la Commission à donner suite à la réaction du Parlement au plan d'action concernant le bien-être des animaux et à faire en sorte que les mesures communautaires en matière de protection des animaux concernent tous les animaux, et pas seulement les animaux d'élevage et les animaux utilisés à des fins expérimentales; 2. invite la Commission à prendre de nouvelles mesures en vue d'assurer que les subventions agricoles de l'Union ne puissent être allouées aux agriculteurs qui élèvent des taureaux destinés aux corridas; 3. invite la Commission et les États membres à s'employer à soumettre les corridas à l'approche générale de l'Union en matière de bien-être des animaux, et à œuvrer en faveur de l'interdiction des corridas dans l'ensemble de l'Union; 4. charge son Président de transmettre la présente déclaration, accompagnée du nom des signataires, à la Commission et aux gouvernements des États membres. www.europarl.europa.eu/sides/getDoc.do?pubRef=-//EP//NONSGML+WDECL+P6-DCL-2007-0002+0+DOC+PDF+V0//FR&language=FR ______________________________________ France : messieurs : karif@europarl.eu.int ; jpaudy@europarl.eu.int ; jlbennahmias@europarl.eu.int ; gbono@europarl.eu.int ; jbourlanges@europarl.eu.int ; jmcavada@europarl.eu.int ; tcornillet@europarl.eu.int ; jlcottigny@europarl.eu.int ; paulmarie.couteaux@europarl.europa.eu ; jdaul@europarl.eu.int ; harlem.desir@free.fr ; jcfruteau@europarl.eu.int ; pgaubert@europarl.eu.int ; jpgauzes@europarl.eu.int ; aguellec@europarl.eu.int ; bhamon@europarl.eu.int ; jhenin@europarl.eu.int ; alamassoure@europarl.eu.int ; slefoll@europarl.eu.int ; blehideux@europarl.eu.int ; alipietz@europarl.eu.int ; patrick-louis@wanadoo.fr ; pmorillon@europarl.eu.int ; pmoscovici@europarl.eu.int ; rnavarro@europarl.eu.int ; gonesta@europarl.eu.int ; vpeillon@europarl.eu.int ; gsavary@europarl.eu.int ; pschapira@europarl.eu.int ; jtoubon@europarl.eu.int avatanen@europarl.eu.int ; yvaugrenard@europarl.eu.int ; paul.verges@europarl.europa.eu ; hweber@europarl.eu.int ; francis.wurtz@europarl.europa.eu mesdames : mhaubert@europarl.eu.int ; pervenche.beres@europarl.europa.eu ; b.bourzai@wanadoo.fr ; fcastex@europarl.eu.int ; mdesarnez@europarl.eu.int ; marie-helene.descamps@europarl.europa.eu ; cdeveyrac@europarl.eu.int ; bdouay@europarl.eu.int ; anferreira@europarl.eu.int ; hflautre@europarl.eu.int ; jfourtou@europarl.eu.int ; cgibault@europarl.eu.int ; ngriesbeck@europarl.eu.int ; francoise.grossetete@europarl.europa.eu ; c.guyquint@wanadoo.fr ; ahazan@europarl.eu.int ; marieanne.islerbeguin@europarl.europa.eu ; alaperrouze@europarl.eu.int ; mnlienemann@europarl.eu.int ; mathieuve@wanadoo.fr ; bpatrie@europarl.eu.int ; mlreynaud@europarl.eu.int ; mroure@europarl.eu.int ; tokia.saifi@europarl.europa.eu ; margie.sudre@europarl.europa.eu ; ctrautmann@europarl.eu.int ; bvergnaud@europarl.eu.int ; Belgique : philippe.busquin@europarl.europa.eu ; gerard.deprez@europarl.europa.eu ; antoine.duquesne@europarl.europa.eu ; alain.hutchinson@europarl.europa.eu ; raymond.langendries@tubize.be ; marc.tarabella@europarl.europa.eu ; mathieu.grosch@europarl.europa.eu ; ivo.belet@europarl.europa.eu ; philip.claeys@europarl.europa.eu ; jean-luc.dehaene@europarl.europa.eu ; mia.devits@europarl.europa.eu ; koen.dillen@skynet.be ; said.elkhadraoui@europarl.europa.eu ; dirk.sterckx@europarl.europa.eu ; johan.vanhecke@europarl.europa.eu ; frieda.brepoels@europarl.europa.eu ; frederique.ries@europarl.europa.eu ; marianne.thyssen@europarl.europa.eu ; anne.vanlancker@europarl.europa.eu ; veronique.dekeyser@europarl.europa.eu ; veronique.dekeyser@europarl.europa.eu, Luxembourg : astrid.lulling@europarl.europa.eu ; erna.hennicot-schoepges@europarl.europa.eu ; robert.goebbels@europarl.europa.eu ; jean.spautz@europarl.europa.eu ; claude.turmes@europarl.europa.eu ________________ source : http://www.iwab.org/campaignsfre.html http://www.europarl.europa.eu/sidesSearch/search.do?type=WDECL&language=FR&term=6&author=2099# merci

Grâce à la salamandre mexicaine, peut-être saurons-nous un jour faire repousser un doigt coupé ou faire se régénérer un coeur endommagé par un infarctus. C'est ce à quoi travaille Juan Carlos Izpisua Belmonte, directeur du Centre de médecine régénératrice de Barcelone et professeur au laboratoire d'expression génétique de l'Institut Salk, en Californie. Avec son équipe, le chercheur s'efforce de comprendre comment la salamandre mexicaine, dite ajolote, est capable de régénérer quelque type de tissu que ce soit. Certains poissons peuvent régénérer leur coeur, d'autres leur oeil. Une capacité absente chez les vertébrés supérieurs, qui, suppose-t-on, l'ont perdue au cours de l'évolution. Cette équipe s'est penchée sur les gènes impliqués dans ce processus afin de déterminer s'ils sont aussi présents, à l'état inactif, chez l'être humain et, si oui, s'il est possible de les activer. Un premier résultat obtenu chez le poulet est jugé très prometteur. Des embryons de poulet ont été privés de leurs ailes ou de leurs pattes. Puis, au moyen d'une thérapie génique, des gènes, appartenant à la famille Wnt, ont été activés. Après d'innombrables tentatives, les poulets ont été capables de restaurer leurs extrémités amputées et de naître avec deux pattes et deux ailes. ... (...) Se régénérer comme la salamandre ? - 20/01/07 www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3244,36-857663,0.html?xtor=RSS-3244

Absolut in Ordnung - Tauben sind eklig! 44% Das ist Tierquälerei! 49%

Un camion sur quinze seulement respecte les exigences légales lors du transport d'animaux, dénonce la Protection suisse des animaux (PSA) sur la base de relevés effectués l'an dernier. En conséquence, l'organisation demande un renforcement des contrôles de la part des cantons. Sur 76 camions que l'organisation a examinés l'année dernière, seuls 5 respectaient les exigences légales, a dit devant la presse Cesare Sciarra, responsable des contrôles. La PSA a déposé 248 réclamations auprès des autorités, dont plus de deux tiers parce que les bêtes étaient stressées, voire souffraient physiquement ...Les transporteurs manquent des connaissances nécessaires sur le comportement des bêtes, qu'ils stressent lors du chargement ou du déchargement. Ils n'hésitent pas utiliser des fourches ou à leur pincer la queue pour les faire à avancer plus vite. ...Chaque année, quelque 40 millions d'animaux d'élevage sont transportés par la route en Suisse, dont 23 millions pour être conduits à l'abattoir. Cela représente 200'000 bêtes chaque jour ouvrable. Le transport d'animaux en mauvais termes avec la loi - 19/01/07 www.swissinfo.org/fre/a_la_une/detail/Le_transport_d_animaux_en_mauvais_termes_avec_la_loi.html?siteSect=105&sid=7444318&cKey=1169188447000

J'ai trouvé des grives qui vivent par chez vous ! la grive des bois , la grive fauve , la grive solitaire , la grive de bicknell, plus petite, qui peut avoir, pendant la saison des amours, jusqu'à 4 compagnons qui se partagent les tâches liés au nid et au nourrissage des oisillons ! la grive à dos olive la grive à collier, la grive à joues grises