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domaine de coudot

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Tout ce qui a été posté par domaine de coudot

  1. oui vous aurez des nouvelles si cela se fait avec cette personne
  2. il a l'air superbe ce poupou effectivement on reste un peu sur notre faim par manque de photo récente! allez !!! on veut une autre photo !
  3. oui c'est dommage de ne pas la garder elle est super sympa et un modèle bien bâtie !!! je suis certaien que tu vas changer d'avis !
  4. une option sur Roan pendant une petite quinzaine de jours ...
  5. c'est fait audrey! par contre pour une surcharge de poids l'idéal est tout de même la mise au foin de prairie et ne pas mettre à l'herbe surtout quand celle-ci est grasse ... je parle de l'herbe!
  6. la pulpe d'aloes est super si tu veux je peux t'expliquer par MP
  7. c'est drole j'aurai penché pour du gris mais c'est vraiment bizarre ...
  8. oui c'est sur que ce n'est jamais évident quand il y a un soucis avec un cheval ou un poulain et en tous cas merci pour tous les bons conseils de chacun car cette expérience aura de toute façon profité à chacun !
  9. vous pouvez présenter votre pouliche à 3 ou 4 ou 10 ans mais le problème c'est que si vous attendez trop longtemps le studbook aura surement fermé ses portes et alors plus possible d'inscrire des chevaux à titre initial .... Par précaution quand c'est possible mieux vaut inscrire dès qu'on le peut même si c'est à titre provisoire ...
  10. lissy n'a pas racheté la jument et la pouliche mais elle a eu l'occasion de la voir et Joe qui a de l'or en main a eu un super contact avec elle et du coup a résolu le problème! Je suppose également (car je n'ai plus eu de nouvelles depuis) qu'il y avait eu une progression due au travail effectué par la propriétaire et que cela a du faciliter les choses ! bref tout va pour le mieux en ce qui concerne la petite et d'après ce qu'on en sait c'est juste qu'il fallait plus de temps à cette pouliche par rapport aux poulains habituels ...
  11. ahhhhhh et bien super en tout cas c'est génial d'avoir des nouvelles et surtout d'aussi bonnes nouvelles !!!! j'en suis tres heureuse et finalement tout se termine super bien !
  12. je crois lizzy que tu dois faire erreur .... à moins que la personne t'ai revendu la jument et sa fille .... tu peux me répondre par MP si tu veux ?
  13. et bien dis donc la plupart du temps les vieux chevaux sont difficiles à garder en état mais là elle semble bien ronde !!! C'est assez incroyable! Ca fait plaisir à voir même si on voit bien qu'elel a effectivement du mal à se tenir ....
  14. Pour info c'est encore un document du syndicat CSCCF Comité SIRE - Groupe de travail amélioration procédures Réunion du 07 juillet 2009 Etaient présents Bd Vincent AURIOL : Philippe LEMAISTRE (Union des races de chevaux de sport ; Président de séance) / Benoît CHRISTIAENS (FFE) / Guillaume DE THORE (SHF) / Simon HUET (FNC) / Valérie POULAIN (SECF) / Béatrice LABARDIE (HN) / Caroline TEYSSIER (HN) / Sylvie TOURTOULOU (FNSF) / Paul-Marie GADOT (France Galop / Paco RIGAUDIERE-REAL (CSCCF) / Jérémy CHAIX (CSCCF) / Romain DHOLLANDE (HN) Caroline TEYSSIER Avant tout, il convient de rappeler que la réglementation (dont les procédures découlent) relative à l’identification des équidés est détaillée dans le code rural mais qu’en l’état actuel des choses le texte réglementaire n’est pas d’une grande précision surtout dans le cas de l’importation d’équidés. Aussi on observe différentes procédures selon les cas : - si le cheval est destiné à l’abattage (très court terme), son inscription dans le fichier SIRE n’est pas nécessaire. L’identification par transpondeur pose alors question : o si en Europe la puce est obligatoire, tous les chevaux n’en sont pas pour autant équipés, soit parce que la mesure est récente et qu’il faut encore un peu de temps pour couvrir l’ensemble de la population, soit par refus de certains stud-books (les races allemandes par exemple sont très attachées au marquage des chevaux, qui vaut identification). Les abattoirs français peuvent-ils alors accepter des chevaux non équipés de transpondeur ? o pour autant est-ce économiquement envisageable d’identifier un cheval (pose de transpondeur + signalement) qui sera abattu dans les 24h ? o qu’en est-il des carcasses en provenance de l’étranger ? - en dehors de l’abattage, tout cheval doit être enregistré au SIRE dans les 8 jours suivants son entrée sur le territoire français : o cheval de passage : avec photocopie du document au lieu de l’original et attestation que le cheval est de passage + les autres éléments de dossier comme pour tous.  coût = 25 euros o cheval de loisir : enregistrement simple avec descriptif généalogique réduit. Le coût varie en fonction de la race (-race gérée par SIRE ayant un stud-book français, ou race non gérée) et du niveau d’information enregistré dans la base (1,5 ou 3,5 générations pour la généalogie).  coût = 25 euros (race non gérée / 1,5 génération) 60 euros (race gérée / 3,5 génération) o cheval destiné à la reproduction : enregistrement avec généalogie complète. A noter que l’inscription au stud-book français (pour les races gérées) est obligatoire pour pouvoir reproduire dans la race.  coût = 120 euros o cheval destiné à la compétition : enregistrement avec généalogie complète + inscription sur la liste des chevaux de sport.  coût = 120 euros A noter la possibilité d’une inscription rapide par la FFE, valable 2 mois en attente de régularisation du dossier par le SIRE.  coût = 50 euros pour la fédération (+ ensuite les 120€ pour SIRE) o traits et ânes : mêmes pièces mais à des tarifs différents. De nombreuses spécificités viennent s’ajouter aux conditions évoquées ci-dessus. Par exemple, l’absence d’un passeport aux normes européennes entraine l’édition d’un nouveau document dans lequel est inséré le document d’origine (coût 240 euros). Pour certaines races, des renseignements supplémentaires sont nécessaires pour l’enregistrement (certificat d’export, fiche de pointage, typage ADN...). Les chevaux d’origines inconnues, ou d’un stud-book « non officiel » sont enregistrés en ONC. Dans tous les cas de figure, une nouvelle carte d’immatriculation est éditée. L’enregistrement dans le fichier SIRE nécessite au préalable la pose d’un transpondeur électronique (si le cheval n’est pas encore pucé) et la réalisation d’un signalement descriptif et graphique. Bien que le signalement graphique soit obligatoire dans certains cas (validation obligatoire pour les courses ou les compétitions autre que club), est-il vraiment nécessaire depuis l’utilisation généralisée de la puce ? Paul-Marie GADOT Avant de supprimer un élément d’identification sous prétexte de simplifier les démarches, il faut garder en tête qu’il faut règlementairement 2 moyens d’identification. La puce en est un. Dans 1 cas sur 1000, cette puce est illisible. On constate également environ 1% d’anomalies (présence de 2 puces / puce intermittente). Si on recherche une identification approximative, la puce est une solution simple et fiable. Par contre si on recherche une identification véritablement fiable, le transpondeur doit être complété par un autre moyen d’identification comme le signalement descriptif ou graphique. D’ailleurs, en matière de signalement, le graphique a son importance car le texte seul ne fait pas gagner de temps lors du contrôle. Seule l’analyse de l’ADN permet une identification absolue. Mais un tel procédé nécessite des délais de plusieurs semaines quand, sur le terrain, les conclusions d’un contrôle d’identification doivent être données en quelques minutes. Il nous faut adapter le niveau d’identification exigé et les enjeux existants. La distinction, en sport, entre « compétition de cavaliers » et « compétition de chevaux » est alors indispensable. Le contrôle d’identité doit être obligatoire pour des chevaux ayant une optique d’élevage. Cette identification doit être complète et ne présenter aucune faille. A l’opposé, sur les concours de moindre niveau, où la performance du cheval joue un moindre rôle, ne pourrait-on pas se contenter d’un contrôle plus sommaire ? La puce pourrait alors être associée à un document simple comme la « smart card » qui est déjà utilisée dans certains pays (Australie notamment). Cette carte est un document plastifié, de la taille d’une carte de crédit, et sur lequel apparaissent des informations générales comme le nom, la robe... Ironiquement, l’identification des humains est plus aléatoire que celle des chevaux. Philippe LEMAISTRE Effectivement, pour des chevaux de moindre niveau on peut envisager de supprimer des étapes d’identification. Mais avant de supprimer un élément, il faut voir les conséquences économiques d’une telle décision, en terme de litige possible (gains en course ou en concours, primes élevage), en terme d’économie pour l’éleveur (diminution des frais administratifs) mais également en terme d’emploi (le SIRE emploie actuellement 5 personnes à plein temps uniquement pour les validations de signalements graphiques). M. GADOT soulignait que la puce seule ne pouvait pas suffire dans le domaine des courses. Pour ma part, en tant qu’éleveur, je n’envisage pas la suppression du livret d’accompagnement. Certains stud-books souhaiteraient même valoriser d’avantage ce document, par le biais d’une personnalisation visuelle ou l’intégration d’informations propres au stud-book, pour renforcer l’image de marque des races. Raison supplémentaire contre la suppression du livret, les origines sont un autre élément important qui apparaît dans le livret. D’un point de vu commercial, les clients sont d’une certaine façon attachés à ce livret. Dans le domaine de la compétition par contre, on peut effectivement s’interroger sur la pléthore d’éléments à vérifier. Pour le haut niveau, on ne peut pas envisager de simplifier ni l’identification ni le contrôle d’identité. En revanche, à moindre niveau on pourrait peut-être se diriger sur un système plus simple. Mais comment s’assurer que le cheval de compétition amateur (qui bénéficie donc d’une identification allégée) n’ait pas été dans le circuit de valorisation SHF, ne soit pas un jour mis à la reproduction... Benoît CHRISTIAENS Concernant les chevaux tournant dans le circuit FFE, plusieurs choses sont à noter : - l’enjeu le plus important est constitué par les risques sanitaires, - le contrôle des chevaux sur les terrains de concours, (les HN ne sont pas habilités à l’imposer aux organisateurs de concours) est très peu pratiqué. Aussi, seuls 4% des chevaux sont tirés au sort pour être contrôlés. Sur cet échantillon, on peut estimer que la moitié l’est réellement. Sur ceux qui sont contrôlés, la grande majorité des chevaux n’est pas vue par le jury puisque, sur le terrain, seuls les papiers sont regardés. - pour ce contrôle : o il faut être équipé d’un lecteur de puce, o il faut prendre le temps de vérifier le signalement (soulignons au passage que le signalement graphique n’est pas toujours très fiable mais plus facile d’utilisation que le descriptif. - les exigences internationales (principalement sanitaires) sont souvent moindres que les exigences françaises. A partir de quel niveau faut-il être plus exigeant dans le contrôle ? Aujourd’hui il est quasiment impossible de distinguer les chevaux de « club » des chevaux d’ « amateur ». Pour les petits niveaux, il faut simplifier l’identification et généraliser le contrôle de la puce sur les terrains de concours. L’utilisation de la puce change radicalement la donne. L’automatisation du contrôle permettra de vérifier 95 % de la population même si quelques anomalies sont inévitables. Un document simple du type « smart card » évoqué par M. GADOT peut venir compléter l’identification des chevaux (une partie de la discussion a ensuite démontré que la smart card n’était pas pertinente). Guillaume DE THORE En ce qui concerne les concours d’élevage organisés par la SHF, l’ensemble des chevaux est contrôlé lors des CIR et lors des finales (sauf le hunter). Toutefois, s’il est facile de vérifier le signalement graphique lors d’une présentation au modèle, il est beaucoup plus dur de le faire lorsque les concurrents s’enchainent toutes les deux minutes sur le parcours. Je rejoints M. LEMAISTRE sur les origines : les indiquer c’est valoriser le cheval. Quant à la « smart card » elle ne doit pas constituer à elle seule l’identification du cheval mais bien être une clé d’accès à la base de données SIRE. Simon HUET Pour les animaux de rente, la solution des boutons auriculaires est en cours de testage. Pour respecter l’obligation d’avoir deux moyens de contrôle les animaux sont équipés de deux boutons : - 1 inerte indiquant simplement le numéro d’identification, - l’autre muni d’une puce. Pour les animaux concernés par cette solution, il n’y aurait ni signalement descriptif ni signalement graphique. Caroline TEYSSIER Il faut donc retenir l’intérêt pratique de la puce même si dans certains cas elle doit être complétée. S’offrent alors plusieurs solutions : - le système des boucles : uniquement pour les chevaux de rente. - Le signalement descriptif : maintenu pour tous les autres chevaux pour avoir au minimum 2 éléments (1 puce et 1 signalement) - le signalement graphique pour la validation du livret - le typage ADN : beaucoup de chevaux sont génétiquement typés au vu des progrès des méthodes reproduction mais cette solution présente des délais de contrôle beaucoup trop long. Un premier signalement est effectué à la naissance. Actuellement, l’étape de validation consiste à réaliser un second signalement plus tard dans la vie de l’animal afin de le comparer avec le précédent. Dans la majorité des cas, cette seconde étape n’entraine pas de modifications des papiers. Sa suppression pourrait donc être envisagée. Par exemple, en concours d’élevage, la validation du signalement n’est plus obligatoire, ni pour la mise à la reproduction des juments sauf si le règlement de stud-book l’impose. Si on peut se passer du graphique, le principe de la « smart card » peut être intéressant. Toutefois, même sans aller jusqu’au principe de la carte à puce (type carte vitale) qui rassemble toutes les données du cheval, nous ne sommes pas prêts pour changer de support, car la carte ne serait qu’un support différent du support papier actuel, et il serait nécessaire d’avoir un carnet papier quand même pour le suivi sanitaire.. Ne plus valider = ne plus faire de graphique, ce qu’on ne supprime pas complètement c’est le signalement puisqu’on garde un descriptif. Romain DHOLLANDE On pourrait proposer l’édition d’un livret de base avec des options supérieures à valider si utiles pour le cheval. Philippe LEMAISTRE Ce document de base doit comprendre le nom du cheval, l’immatriculation, les aspects sanitaires et la génétique. La validation du signalement peut effectivement être supprimée. Elle n’est pas tout le temps nécessaire. Ainsi il y pourrait y avoir un signalement graphique fait sous la mère puis la validation interviendrait au cours de la vie du cheval si nécessaire (concours, mise à la reproduction...). Cette forme d’option est dans l’intérêt de l’éleveur puisqu’elle supprime le renvoi du livret au SIRE (étape qui est longue, peu comprise par le public et sur laquelle les Haras nationaux ont du mal à communiquer). Les stud-books ne devraient pas imposer la validation du signalement pour l’inscription. Caroline TEYSSIER Cette étape de validation n’est effectivement pas toujours nécessaire pour le sport, par contre elle permet de rattraper les erreurs faites lors du signalement descriptif à la naissance. Cela permet également d’effectuer un contrôle d’identité par le biais d’une personne neutre et aussi de noter les évolutions de signalement sur le document et dans la base de données (évolutions de robe, marques peu visibles à la naissance…). Soulignons que la validation est obligatoire dans le cas d’une « activité officielle » (selon le terme de la réglementation, sans précision exacte du périmètre) et que son coût est compris dans le prix du livret à la naissance. C’est une procédure qui engendre de nombreuses relances aux identificateurs, à faire par les services de Haras nationaux, source de délai supplémentaire pour les propriétaires. Mais nous travaillons à améliorer le service et à diminuer ce taux de relances. Si on revient à l’importation de chevaux, la procédure d’enregistrement simple semble convenir. Par contre, l’indentification des chevaux destinés à la reproduction ou à la compétition est trop complexe. La possibilité d’une inscription « rapide » via la FFE pour les concours n’a pas simplifié la procédure même si les délais sont considérablement raccourcis. Les services des HN donnent beaucoup d’informations par téléphone. C’est la démarche la plus sûre pour ne pas se tromper dans la procédure d’identification d’un cheval étranger. Chaque pays ayant ces exigences et son (ou ses) système(s) d’identification, il est assez difficile de faire concorder les données lors d’une importation. L’existence d’un graphique et d’une puce pourrait permettre d’éviter la traduction du signalement. Pour l’instant une traduction est demandée dans tous les cas. L’inter-accessibilité des bases de données devrait faciliter à terme l’enregistrement des chevaux, au moins avec certains stud-books. D’ici là, nous ne pouvons pas faire de discrimination en fonction de la qualité des données disponibles sur les chevaux de telle ou telle race. En combinant ce qu’il a été dit sur l’identification des chevaux français et l’enregistrement des chevaux étrangers, on peut proposer deux tarifs lors de l’importation : - un enregistrement de base, simple, avec attribution d’un numéro SIRE et une généalogie à 1,5 génération. La pose d’un transpondeur et un signalement graphique sont systématiquement effectués. Cette démarche correspond aux besoins des chevaux de loisir et est suffisante au vu de la réglementation. La généalogie succincte n’est pas un point de contrôle mais une simple information.  coût = 40 euros - un enregistrement complet, avec pédigrée complet. Cette option est obligatoire pour les chevaux à vocation sportive ou les reproducteurs. Elle peut également être choisie par les propriétaires désirant communiquer sur une généalogie détaillée.  coût = 120 euros
  15. il a été kidnappé ils ont demandé une rançon et la police est sur le coup mais faut rien dire ...
  16. ah ah ah on va voir à peut-être étendre notre production aux deux pattes lol
  17. idem Laurence !!! nous allons voir ce qui va se passer je vous tiendrais au courant !
  18. voici un document qui va intéresser les pros ... ce document a été émis par le syndicat CSCCF (je fais un copier/coller du texte ). Paris, le 29 juillet 2009 A l’attention de Monsieur François LUCAS Président de la FIVAL 124, rue du Vieux Pont de Sèvres 92100 BOULOGNE BILLANCOURT Réf : 2009/40 Lettre recommandée avec accusé de réception. Monsieur le Président, Sauf erreur de notre part, l’accord interprofessionnel de la FIVAL, a été signé le 25 novembre 2005 pour une durée de 3 ans. Il a donc pris fin le 25 novembre 2008. Nous apprenons cependant que vous venez d’engager un huissier de justice (SCP SIBRAN à Montrouge) pour recouvrer les CVO impayées par les professionnels. L’ASEP et la FNC désapprouvent formellement votre démarche sachant que : • si l’accord interprofessionnel n’a pas été renouvelé, c’est bien faute de retours économiques dans les entreprises ; • cette décision a été prise sans accord du Conseil d’Administration de la FIVAL qui n’a toujours pas été réuni malgré les courriers de l’ASEP et de la FNC ; • des éleveurs reçoivent aujourd’hui des demandes de recouvrements alors qu’ils avaient déjà précisé à la FIVAL qu’ils ne tiraient pas de revenus professionnels de leur activité. En pleine crise économique, nous vous demandons donc, Monsieur le Président, de stopper immédiatement ces recouvrements. Merci enfin de respecter la demande de l’ASEP et de la FNC, notifiée le 16 février 2009 et s’appuyant sur l’article 15 des statuts de la FIVAL, ayant pour objet la réunion d’un Conseil d’Administration et d’une Assemblée Générale Extraordinaire avec pour ordre du jour, la dissolution de la FIVAL. Dans cette attente, nous vous prions d’agréer, Monsieur le Président, l’expression de notre considération distinguée. Bernard LECOURTOIS Président de l’ASEP Marianne DUTOIT Présidente de la FNC
  19. malheureusement la vieillesse a des effets secondaires désagréables et souvent impossible à améliorer ... c'est un peu comme chez l'être humain "problèmes de mémoires, personnes âgées qui ont un équilibre précaire, tremblements... " bref tout ceci du à l'âge et alors qu'autrefois ces problèmes n'étaient constatés que peu souvent puisque les gens vivaient moins longtemps mais avec la médecine qui a fait des progrès l'espérance de vie s'est améliorée et du coup des maladies non connues sont apparues car nos cellules ne sont pas forcément faites pour aller si loin et je pense que c'est pareil dans la nature ... les chevaux ne vivaient pas forcément si longtemps (sauf cas exceptionnel) et du coup on constate des effets secondaires du vieillissement .... 30 ans ... j'imagine ce que cela peut faire pour un humain .... 120 ans ? En tous cas 30 ans c'est beau ! je lui souhaite encore quelques années de vie à ton doudou d'amour ! donnes nous de ses nouvelles et une photo serait sympa!
  20. grrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr c'est pas sympa tout ce mystère sniffffffffffff
  21. en tout cas la miss duby elle a intérêt à être pleine sinon elle fini en saucisson moi je vous le dis
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