Aller au contenu
Rechercher dans
  • Plus d’options…
Rechercher les résultats qui contiennent…
Rechercher les résultats dans…

MarieV

Membres
  • Compteur de contenus

    6 222
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par MarieV

  1. Ben je sais pas, en principe on met un étalon et une jument ensemble parce qu'on espère que chacun compense les défauts de l'autre... Après on peut aussi partir du principe que tous les chevaux du Vallon sont parfaits (surtout un certain petit jaunedont le prénom commence pas C...)!
  2. En forêt avec Quila, j'ai règlé mes problèmes grâce à la méthode Sain-Vaulry, et j'ai continué de la monter comme ça en ballade, mais en cours ça n'était pas possible (pas le style de la maison ni de sa propriétaire). Mais je trouve justement que tu sens encore mieux si ton cheval bosse ou pas: pour savoir si elle engage, tu t'assieds et tu fermes les yeux (les mains posées sur les cuisses, ça aide à ne pas s'occuper de ce qui se passe devant), normalement tu ressens bien ce qui se passe derrière. Un autre truc que tu peux faire, si tu n'as pas de mirroir ou autre à disposition, c'est de toucher ton cheval (promènes ta pain de la nuque au garrot, pose-la sur l'épaule, sur les reins, sur la croupe etc.), pour ça il faut que tu la connaisses bien au repos, tu vas sentir si ce sont les bons muscles qui travaillent et si elle se muscle dans le bon sens. Si tu montes à cru et que tu es à l'aise (autrement on a du mal à se concentrer sur le cheval, on est plutôt en mode survie) et qu'elle n'a pas la colone qui ressort, tu dois sentir ce que fais son dos (c'est un peu difficile au trot parce que quand le dos se tend c'est inconfortable pour nous, donc on rebondit un peu et on casse le mouvement, à moins que ce soit un fauteuil). Mais encore une fois, rien ne remplace un prof, ou à défaut un oeil extérieur, même d'un niveau égal au tien qui te dira comment est ta jument, et à toi de voir ce qu'il faut faire pour qu'elle soit dans le bon sens, parce que c'est difficile de conseiller un cavalier sur sa position quand on n'a pas appris à le faire: on dit ce qu'on voit mais sans forcément remonter à l'orignie du problème (on m'a souvent dit qu'il fallait que je ramène mes mains vers moi, parce que ce qui se voyait c'était que mes rênes étaient flottantes (c'est pire que des rênes tendues parce que le cheval se cogne sur le mors), alors qu'en fait il fallait que je me redresse et que je recule mes épaules, ce que seul un moniteur saura te dire ). Rênes longues, il n'y a aucune raison pour qu'elle ait la tête en l'air, à moins que tu ne rebondisses ou qu'elle n'ait peur d'un truc, d'où l'intérêt de la monte western: au pire elle ne se muscle pas si elle reste la tête dans sa position naturelle et qu'elle n'engage pas, mais il n'y a aucun rique qu'elle se muscle contre son mors puisqu'il n'y a pas de contact permanent
  3. Ben de rien ^^ Oui j'aime bien le principe de l'équitation western, même si je n'aime pas tout ce que je vois (mais que dire des carrés de dress' et des terrains de CSO alors...). Quand à tendre tes rênes pour qu'elle se tende sur son mors, c'est bien si tu veux monter classique, mais si tu veux monter ensuite les rênes en guirlande tu vas avoir du mal à obtenir d'elle qu'elle se tende sur rien comme le font les chevaux de western si elle a appris à se tendre avec la "béquille" du mors; l'équit' classique et la monte western sont deux façons de travailler qui sont aussi différentes pour le cheval qu'elles le sont pour le cavalier, et le passage de l'une à l'autre demande souvent de repartir des bases, de refaire les bases même! Donc si tu projettes de monter western, autant faire des stages comme tu dis, et la débourrer western directement, pour elle et pour toi ça sera bien plus agréable!
  4. Pour le débourrage d'un poulain j'aurais tendance à dire canons droits à aiguilles, surtout pour toute la partie longe. En plus des raisons que j'ai données avant, il y a aussi que le mors est un objet encombrant pour un poulain, et le canon droit n'ayant que peu d'action sur les barres, on peut se permettre de le prendre un peu plus fin qu'un canon brisé. Spoiler: J'aime bien celui-là, le mien est bleu Un double brisure convient mieux avec un cheval qui a déjà un peu de bouche, qui comprend les codes etc., un poulain qui ne connaît rien se sentirait agressé par l'action assez dure sur les barres... LN, je suppose que tu sais ça puisque tu choisis le western, mais je l'écris quand même au cas où ça intéresse quelqu'un d'autre: les mors à levier type western s'utilisent avec une seule paire de rênes (contrairement au pelham qui garde un peu d'action du mors de filet avec la paire de rênes principale) branchées sur le levier bas (abisseur) qui fait en même temps agir le releveur; on ne peut pas monter au contact sur ce type de mors, il faut monter "au poids du cuir" (des rênes lâches), sinon le cheval aura vite fait de se mettre debout. Quand au snaffle j'aime assez, et si les canons sont fins, c'est parce que les adeptes de l'équitation western (la belle équitation western) montent beaucoup à l'assiette et au poids du cuir, rarement, jamais au contact (les jambes non plus d'ailleurs). Si tu veux faire un peu de bac à sable, équit' classique, tu peux toujours avoir un deuxième mors type Verdun ou aiguilles D'ailleurs, je n'ai pas pensé à l'écrire, mais il est bon de ne pas rester indéfiniment en mors à aiguilles et de passer au Verdun dès que le cheval a bien assimilé les codes, afin qu'il ne se "repose" pas sur les aiguilles du mors Marie je suis comme toi, quand je monte seule je découvre des trucs mais je ne corrige pas mes défauts (mon soucis à moi c'est que j ne tiens pas mon dos, entre autres), à moins d'un mirroir (ça c'est top, mais ça ne remplace pas un moniteur). Quant à savoir si ton cheval engage, ferme les yeux, tu le sentiras tout de suite
  5. Perso je dis ça sans avoir réfléchi au mélange que ça ferait (à part question couleur): j'ai mis mon poulain préféré avec ma pouliche préférée! Mais si ça marchait comme ça l'élevage ça serait trop simple
  6. Ca donne envie! J'ai vu l'album de Cream, je suis mourrue (avec deux "r" pour l'occasion, faut dire qu'on meurt souvent sur ce forum )!
  7. Oh oui avec Aslan! Sinon moi je la vois bien avec Cream (là non plus on ne perd pas l'alezan)... Mais je les vois toutes avec Cream
  8. Quoi? Des nouvelles photos de mon chouchou et je n'avais rien vu? Il est splendiiiiide! De plus en plus beau! Vivement l'album complet!!!
  9. C'est aussi ce que je me suis dit!
  10. Un truc auquel je viens de penser, puisque je parlais de la salivation dans le tableau sur les différents matériaux: "Un cheval qui bave est un cheval détendu" - dit-on... FAUX! Saliver n'est pas baver! En effet, on recherche la salivation quand on monte à cheval avec un mors, parce qu'elle est preuve de décontraction, de disponibilité de la machoire etc.. Mais on ne doit pas voir que le cheval salive, seulement le sentir (mouvement de la langue contre le mors, cheval ui avale etc.). Si le cheval bave c'est qu'il est dans l'incapacité d'avaler sa salive = quelque chose cloche! Plusieurs exemples: - muserolle trop serrée: le cheval ne peut ps desserer les dents suffisament pour avaler = il bave - mors trop serré: le cheval a la commissure comprimée et ne peut pas fermer la bouche correctement, et donc pas avaler = il bave - mors à jouet (perso j'aime pas du tout): le cheval s'acharne sur son mors (et se déconcentre par la même occasion) et salive trop pour tout avaler = il bave - bride: le cheval en a trop dans la bouche (deux mors, vous immaginez!) et ne peut pas avaler (ni mobiliser sa langue d'ailleurs) = il bave (c'est souvent assez impressionnant, y'en a jusque sur le poitrail et les jambes) - position trop enfermée: il a la trachée (ou je ne sais quoi, enfin le tube par lequel on avale - l'oeusophage peut-être?) comprimée et ne peut pas avaler = il bave - pour les randonneurs; le cheval a brouté et a de l'herbe plein son mors: il continue à manger + l'herbe coincée le gène = il bave! - un petit truc pour éviter ça: les montnts de filet à crochets; vous n'avez qu'à défaire le mors d'un côté après le "broutage" et à le débrrasser de l'herbe qui reste avant de le remettre dans la bouche Essayez donc d'avaler votre salive (ou de l'eau, car ne salive pas comme un cheval qui veut - de la soupe même, pour être proche de la texture ) en serrant les dents, en plaquant votre menton contre votre gorge, avec un autre truc dans la bouche que vous ne devez pas avaler... Difficile? Les trois en même temps maintenant!
  11. T'as raison Skyou j'ai tapé trop vite! Non j'avais pas participé, mais je trouve que c'est dommage (pour peser mes mots) que ce cheval formidable ait été "fait" dans ce sens. Saint-Vaulry le dit, mais ce n'est pas la seule (à mon sens, tous les "bons" le disent ), et d'Orgeix aussi, que j'aime assez côté bac à sable JRM, je te suis pour le travail à pieds, et si les clubs (enfin le mien déjà) s'y mettaient ça m'éviterait d'avoir à employer des mors dont je connais trop bien les effets immédiats et à long terme "juste" pour assurer ma sécurité... Fofie, c'est JRM qui 'a envoyé la thèse véto (c'est bien de ça que tu parles?) - tu la veux?
  12. Merci à tous pour vos encouragements! Tu parles de ça? Si oui, le Goyo a une action semblable à celle du pelham, l'abaisseur étant cependant beaucoup moins fort mais la gourmette placée plus en arrière donc plus sévère (sauf si pas serrée). C'est tellement nul que ça ne se vend pas Y'a rien de mieux pour faire tomber un cheval, puisqu'il s'enroule littéralement autour de son mors: quand la nuque est parallèle au sol, la galipette n'est pas loin! Quand aux mors combinés releveur/abaisseur, ils permettent d'utiliser les effets de l'abaisseur mais de compenser la perte d'équilibre grace au releveur; mais ça ne rend pas le cheval plus souple, ça le plie de force en fait... Tout à fait d'accord, seulement, tout ça n'est valable que quand on monte son propre cheval, ou un cheval de propriétaire qui accepte de faire un travail de fond pour que ce soit possible. Avec les chevaux que l'on/je monte en club, je ne me lancerai pas dans une ballade en forêt en cordelette, ni même en filet simple pour certains, c'est juste suicidaire. Je poursuis sur ce que je disais: tu peux te servir d'une embouchure particulière pour règler un problème en extérieur, à condition de règler en même temps le problème d'équitation qui va avec, exemple d'expérience récente: L'année dernière j'avais en quart de pension une adorable ponette, Quila, PFS, (qui me manque terriblement d'ailleurs), gentille, un peu chaude car en défense contre la main et un peu sur les épaules. En forêt je me faisais tracter systématiquement avec mon gentil petit mors à aiguilles, et j'avais beau attraper un anneau du mors pour faire arrêt d'urgence devant la nationale rien n'y faisait. Plutôt que de renoncer aux balades, j'ai investi dans le pelham (bouh la vilaine) et une deuxième paire de rênes afin de pouvoir agir séparément sur le releveur ou l'abaisseur (réponse à ta question Skyou: avec une alliance, l'action de main est peu nuancée et la gourmette est toujours au contact), et j'ai commencé à installer les contrats dont parle Véronique de Saint-Vaulry. Je montais rênes longues aux trois allures, quand elle prennait trop de vitesse en mode boule de neige (sur les épaules, entraînée par sa masse) je remontais sur mes rênes de releveur en action discontinue jusqu'à ce qu'elle se rééquilibre, et quand elle me tringballait avec la gueule en l'air (sur les allées de galop par exemple) je remontais sur mes rênes d'abaisseur (rêne de pelham) en discontinu, sachant que quand on agit sur l'abaisseur on agit sur la gourmette donc ça fait coup de frein, jusqu'à ce qu'elle ralentisse. Au bout de deux mois de ballade hebdomadair avec ce système, je suis repassée au mors de filet et je n'ai plus eu de souci; je n'ai pas tenté le licol (d'abord parce que sa propriétaire n'aurait sans doute pas voulu) parce qu'elle ne donnait pas sa tête (donc pas d'arrêt d'urgence), et à ce moment je ne savais pas trop comment travailler ça, je cafouillais un peu. Voilà à quoi peut servir un levier en extérieur: uniquement dans le but de pouvoir ensuite s'en passer! Quand au fait que le cheval muscle son dos, il ne muscle rien du tout avec un pelham s'il n'engage pas derrière; c'est pourquoi les chevaux entraînés en Roll Kur ont une encolure si épaisse et une croupe si fluette, et que le mouvement de leurs postérieurs est étriqué tandis que celui des postérieurs est spectaculaire
  13. Oui c'est celui-là! Mais j'avoue que son frère me plaît bien aussi! Je prends les deux! Si seulement...
  14. Je ne l'oublie pas... Je ne comprends pas qu'il ne soit pas encore vendu, mais j'espère secrètement qu'il m'atende
  15. Les deux me plaisent beaucoup! J'adore le marquage en tête de Rolland
  16. MarieV

    Lady luck aux arriouets vendue

    Belle! Et y'a de la masse! J'adore, franchement!
  17. Je m'occupe maintenant des mors à levier. Je ne les détaille pas un par un (pas maintenant), j'explique juste l'effet releveur, l'effet abaisseur, et le paradoxe du pelham L'effet releveur (ici, le mors du dessin est un Baucher): En haut, les flèches expliquent l'action du mors; en bas, on a le placement attendu (mécanique) d'un cheval sur des rênes tendues avec un tel mors. L'effet abaisseur (ici, j'ai dessiné un mors qui se vend peu (parce qu'il est un peu absurde) mais qui est le seul abaisseur à ne pas être combiné avec un releveur, c'est une sorte de Baucher retourné). Le paradoxe du pelham. Comme la plupart des abaisseurs, il est combiné avec l'effet releveur pour ne pas mettre le cheval sur les épaules, cette action contraire du releveur et de l'abaisseur va souvent inciter le cheval à se caber si la main est trop dure. En haut j'ai dessiné le mors et son action (par commodité je n'ai fait que la bouche, et l'action du mors est représentée par les flèches rouges, pour plus de précision, se reproter aux schémas 1 et 2). Pour la gourmette, j'ai écrit "quand le levier recule", j'aurais dû écrire "bascule" - désolée aussi pour les flèches qui se croisent. En bas j'ai dessiné la position que donne le pelham au cheval sur des rênes tendues, je n'ai pas redessiné le mors car j'aurais été bien incapable de le faire si petit, et aussi pour plus de clarté. En demandant au cheval de baisser l'encolure et de monter sa nuque, le pelham fait aussi monter le garrot* (mais de façon artificielle). Je peux, si vous voulez, faire un dernier schéma qui fasse gros plan sur l'action de la gourmette, j'ai l'impression que ce n'est pas très clair ici... *Essayer sur vous-mêmes pour mieux comprendre l'effet du pelham! (ne vous mettez pas de pelham dans la bouche, on ne peut pas - mettez votre main sur votre nuque et trouvez la vertèbre qui ressort (je ne connais pas le nom des vertèbres, mais celle qui correspond au garrot du g'va) - baissez la tête: "votre garrot" ressort mais le muscle n'est pas tendu, c'est l'effait abaisseur - relevez la tête: "votre garrot" disparaît, c'est l'effet releveur - maintenant, gardez la tête levée mais plaquez votre menton contre votre cou: vous sentez le muscle du garrot Spoiler: Je m'excuse pour le peu de soin apporté au coloriage, mais c'était long, puis c'est un schéma après tout).
  18. Tout à fait! Encore une fois tout dépend de la main Le mors droit agit uniquement sur la commissure et sur la langue (la langue n'est pas une zone très sensible), qui amortit les fautes de main - on lit à tort que le mors droit est réservé aux chevaux à bouche peu sensible, c'est l'inverse, on le met aux poulains! Par contre, la douceur de ce mors a vite fait de rendre le cheval un peu boeuf si le cavalier monte "ski nautique" (traction constante sur les rênes, je dis bien traction, pas tension = réflexe d'opposition), car le cheval a toute sa force pour tirer dans l'autre sens en ouvrant éventuellement la bouche pour se libérer de l'action sur la commissure, et cela sans douleur. Ca donne un cheval qui utilise la fontion protracile de son encolure (il se met en mode "Concorde", le nez qui plonge en avant) mais en se mettant sur les épaules). Le mors double brisure au contraire a une action très forte sur les barres puisqu'il libère la langue qui n'amortit plus rien; quand il y a traction trop importante sur les rênes, le cheval va lever la tête ou arracher les rênes (réflexe de fuite) car il a mal. Ca donne un cheval "hippocampe". On dit qu'il est plus doux, mais il est en fait plus sévère; par contre, avec une main douce et précise, il est bien plus confortable pour le cheval puisque la langue est libre, le mors n'est pas encombrant, et étant plus précis le cheval cède plus vite et la pression cesse alors plus vite aussi. En fait ces mors sont plus une question de cavalier que de cheval: un cavalier qui se raccroche aux rênes, a la main remuante et peu fixe devrait préférer un mors droit; un cavalier qui monte en ski nautique devrait changer d'équitation; et les autres peuvent éventuellement se munir d'un double brisure qui sera bien plus confortable pour le cheval ET le cavalier Je reviens tout de suite avec les embouchures à levier!
  19. Waow elle est trop belle! Je me suis posé la question aussi pour le silver à cause de la queue mais à voir la crinière je pense que c'est le sabino...
×
×
  • Créer...