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wilfrid111

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Messages posté(e)s par wilfrid111



  1. tres
    prisés par certains gastronomes des chiens en danger de disparition a
    Kinshasa



    Une gastronomie spéciale appropriée à certains
    habitants actifs des communes de Masina et de Ndjili a pris de
    l’ampleur ces derniers temps. Cette gastronomie présente un danger
    menaçant aujourd’hui pour des chiens de la ville de Kinshasa et, par
    extension, pour cette espèce animale domestique en danger de
    disparition. L’activité portée à l’abattage quotidien des chiens a aussi
    pris de l’extension dans d’autres communes, entre autres, les
    communes de Kasa-Vubu, de Kinshasa, de Lignwala, voire de Barumbu où les
    demandes en viande de chiens sont de plus en plus en hausse dans
    la capitale.
    Il y a peu, un repas fait de la viande de chien a
    fait l’objet d’une affaire de justice dans la commune de Kinshasa.
    Réagissant au fait de la disparition de son chien de garde, un bailleur
    de la commune de Kinshasa, sur l’avenue de la Croix-Rouge, a
    enfermé son voisin, un quadragénaire nommé «Tatu », dans un cachot de
    cette municipalité qui les sépare de trois avenues. Les accusations
    à charge de « Tatu » ont porté sur la disparition et la consommation
    d’un jeune chien visiblement alléchant.
    Devant cette
    juridiction, le propriétaire du chien a hérité de l’appuie de cinq
    voisins qui ont aussi constaté la disparition de leurs chiens dans les
    mois qui ont précédés l’événement.

    Tous ces propriétaires
    ont déclaré, à leur tour, avoir perdu des bêtes du fait de vol et de
    l’accroissement du nombre élevé des gastronomes spécialistes en
    rôtisserie. Ils ont également été témoins, qu’à une certaine époque,
    des grillades emballées après cuisson sur des tonneaux, communément
    appelées « ya jean » et « tige» étaient devenues florissantes. La
    plupart des tenanciers desdites gargotes à biftecks de fortune ont
    longtemps servi leurs clients avec de la viande de chien dont ils n’ont
    cessé de déplorer la disparition.

    Face à une situation que
    ces plaignants ont jugée urgente dans le quartier, les autres voisins
    immédiats de l’habitation de Tatu ont exigé de la marie des mesures
    préventives généralisées en faveur de tous les chiens encore en vie
    dans la capitale, soulignant que l’abattage régulière des chiens des
    voisins a accru ces deux dernières décennies. Ils ont, par ailleurs,
    souligné que l’abattage massif des chiens doit faire l’objet des
    mesures conservatoires portant à sauvegarder cette espèce animale en
    passe de devenir rare dans la capitale.

    Tatu, pour sa part,
    n’a pas tari d’argumentaire. Il a donné des justifications pour
    indiquer que c’était une bonne façon de limiter les futurs conflits
    provoqués par la présence de chiens et que cette nouvelle procédure a
    pour but d’éviter les disputes de voisinage provoquées par les chiens.
    Dans sa façon de présenter les faits, il a ajouté que les
    excréments du chien de son voisin, devant sa maisonnette, ont surtout
    été la principale cause de cette disparition dans la marmite, et
    que, prochainement, plus aucun chien ne viendrait l’embêter.


    L’autre fait marquant est celui, des mêmes tenanciers des « nganda ya
    mbua », à Ndjili comme à Masina et surtout à Kimbanseke, qui consiste à
    offrir aux clients la grillade de chiens errants et sans devoir
    chercher à découvrir des éventuels cas de rage. Le travail qu’ils
    auraient fait serait d’approcher des experts médicaux de vétérinaire
    pour déterminer l’état de la viande du chien en divagation celui-ci
    n’était pas atteint d’une rage.
    Et d’établir dans I’ immédiat
    qu’une épidémie a toujours été très grave et peut constituer une menace

    pour beaucoup ut personnes. L’abattage de chiens sera alors une
    mesure importante pour la sauvegarde de la santé humaine et de contrôle
    de l’épidémie.
    Dans la commune de Kimbanseke, par contre, il
    s’agit « des conflits »entre l’homme et les animaux domestiques qui
    sont l’un des principaux problèmes dû à la disparition des chiens.
    Certains chiens sont menaçants la nuit, au passage d’un quidam. Les
    riverains d’un petit ruisseau appelé Mabanga, disposent de peu de
    terres cultivables et ramassent régulièrement des légumes dans leurs
    jardins. ils déplorent régulièrement des disparitions des chiens qui
    prennent une destination inconnue.
    Ils ont indiqué que le
    gouvernement de la province doit faire sienne la mission de guider ces
    malfaiteurs sur la voie du développement durable,en vue de transformer
    l’homme en gardien de la nature, et non en destructeurs.


    je trouve cela lamentable.

  2. halte aux massacre!

    http://www.petatv.com/tvpopup/Prefs.asp?video=iams

    sur
    ce lien vous pouvez telechargé une video qui montre comment un grand
    fabriquand d'alimentation canine traite ces animaux.

    malheureusement
    apparament d'autres grandes marques les plus connus en france semble
    plus ou moin dans le meme cas.
    vous trouverez ces marques sur le lien
    suivant.
    http://www.massacreanimal.org/fr/iams.php

    cela
    me revolte ,et je suis bien content de ne pas nourir diego avec leurs
    produits,car je n'accepterai jamais que des chiens meure pour qu'une
    petite partie de privilegier vives.


  3. bien que originaire d'oyonnax dans l'ain:
    J'habite un petit village nommé saint sauvant en charente
    maritime.
    A mi-chemin entre saintes et cognac,




    le pineau des charentes


    il existe deux types de pineau des Charentes :

    - Blanc, qui est
    produit à partir de raisins blancs comme le St. Emilion, la Folle
    Blanche, et le Colombar.
    - Rouge, qui est produit avec des raisins
    de Malbec, de Merlot Rouge, de Cabernet Franc et de Cabernet Sauvignon.



    Mouclade du Pays d'Aunis
    en crème safranée pour 6 personnes :


    Ingredients

    2,5 g
    de moules de Bouchot nettoyées
    40 cl de vin blanc sec
    30 cl de
    crème liquide+10cls (pour l'infusion des pistils)
    10 pistils
    (stigmates) de safran
    3 échalotes ciselées(hachées finement)
    un
    peu de persil plat juste coupé grossièrement
    sel (peu) et poivre du
    moulin



    Progression :
    1) Dans
    une casserole assez haute, mettez vos échalotes ciselées, votre vin
    blanc le persil, le sel le poivre et la crème laissez cuire 5mns puis
    ajoutez les moules.
    2) Lorsque toutes les moules seront ouvertes
    retirez votre marmite du feu.
    3) A l'aide d'une écumoire retirez les
    moules et mettez les sur un plat à part puis remettre la cuisson passée
    au chinois a réduire au 2/3 et ajoutez la crème safranée.
    4) Dans un
    joli plat rond, installez vos moules en éventail en ne gardant que la
    coquille tenant la moule, puis versez la crème safranée brûlante sur vos
    moules ouvertes.

    Un joli plat convivial, original, facile à
    faire et vraiment délicieux.

    le pays d'Aunis est situé prés de La
    Rochelle cet endroit produit des moules de bouchot exceptionnelles tant
    par leur goût que par leur densité de chair dans de si petite coquilles



    L'Huître Marenne d'Oléron, également appelée "Reine
    des Côtes de France" dans les grands restaurants parisiens, est un
    véritable délice pour tout amateur de fruits de mer. Aujourd'hui connue
    dans le monde entier, elle est produite selon des critères stricts et
    respectant les principes d'élevages transmis de génération en génération
    par des ostréiculteurs amoureux de leur métier, véritables artisans de
    nos côtes.

    A l'origine, l'Huître plate ou ronde était la seule
    variété du bassin. La portugaise, puis la japonaise, deux Huîtres
    creuses, sont progressivement venues s'ajouter à la variété originelle.
    La ponte a lieu en été et trois à quatre années sont nécessaires au
    naissain (jeune huître) pour devenir un produit commercialisable. On
    distingue aujourd'hui 4 appellations différentes : la Fine de Claires
    qui effectue un séjour de plusieurs semaines en bassin est une huître
    peu charnue à la saveur marine bien affirmée, la Fine de Claires Label
    Rouge qui séjourne 1 mois en bassin avec au maximum 20 huîtres au m2 a
    une quantité de chair normée et une forme ronde et coffrée, la Spéciale
    de Claires qui est présélectionnée pour sa forme ronde et régulière et
    son épaisseur a une chair plus ferme et une saveur fine et équilibrée,
    enfin la Pousse de Claires qui est élevée en très faible densité (2 à 5
    par m2) séjourne en bassin 4 à 8 mois et présente un taux de chair
    élevée, une fermeté croquante et une saveur iodée très prononcée. Le
    plaisir de déguster une douzaine d'Huîtres Marenne d'Oléron n'a d'égal
    que la qualité de leur production.

    célebritées.

    Joseph-Ignace
    Guillotin
    est né à Saintes le 28 mai 1738.
    Etre
    considéré comme l’inventeur d’un mécanisme aussi meurtrier auquel on
    donne votre nom : une réputation lourde à porter pour un médecin qui
    avait - semble-t-il - un but humanitaire et égalitaire.
    Inventeur,
    non, mais promoteur
    Guillotin est décédé (de mort naturelle), le 26
    mars 1814 à Paris.


    Nous avons egalement un potier d'art,son blog est a
    voir ici:
    http://aadelheim.com/default.aspx

    André
    Adelheim
    est un artiste dans l'âme,son travail
    contemporain est vraiment a voir,vous serez tous chez lui et charmé par son art.


    prefecture
    La Rochelle voila pour ma region j'espere que la
    ballade vous a plu a bientôt.


  4. CSBJ CHANTAL a écrit:
    Merci Wilfrid pour cette leçon de cuisine et l'historique de la bugne !

    Chez nous, ma grand-mère et ma maman les faisaient très fines, ma belle-mère les faisaient épaisses,donc il y en avait pour tous les goûts dans la famille.



    cela ne m'etonne pas du tous chantal je connais bien les differentes variantes de cette recette,moi c'est ma grd mere qui en fesais,a l'epoque j'habitais a Oyonnax avec mes parentsje suis d'ailleur née a Nantua.
    cela fait seulement 10ans que je vis en charente maritime,alor jais importé ma cuisine de l'ain et du jura avec moi

  5. les bugnes lyonnaise



    la petite recette de mardi gras,diego adore





    L’une des plus ancienne référence au mot « Bugne » à Lyon remonte à 1538. « Bugne » est dérivé du mot « buigne » qui signifiait « bosse » en vieux français. Ce terme est également à l’origine du mot beignet, qui désigne toute pâtisserie passée à la friture.

    • En 1538, on trouve ainsi l’appellation parmi les achats faits par la municipalité à l’occasion de repas d’honneur offerts par la ville. Rabelais, fine fourchette et médecin à Hôtel-Dieu de Notre Dame de la Pitié du Pont-du-Rhône, en fait l’apologie aux côtés des andouilles, hures de sangliers, gigots à l’aillade, cabirotades, hastereaux, saucissons, cervelas, craquelins et macaron, etc.
    • Dans “Présents d’honneur et gourmandise”, Vial signale même le nom d’un bugnetier, Jean Bérard, qui fournissait la ville. En 1866, “La Cuisinière de Campagne” évoque “les bugnes de Lyon”, dont la mention est reprise en 1890 dans “La pâtisserie des petits ménages” : “c’est une espèce de beignet, que les Lyonnais confectionnent avec de la pâte à crêpes un peu épaisse, qu’ils roulent en petites couronnes et font frire dans un chaudron d’huile bouillante”. Dans son remarquable “Dictionnaire universel de cuisine pratique” (1894-1906), le cuisinier suisse Joseph Favre en parle ainsi : “il s’agit d’une variété de beignet ainsi appelé à Lyon où l’usage en est très répandu.Ce qui en fait l’originalité, ce sont les moules spéciaux nécessaires pour les confectionner. D’environ 8 à 10 centimètres de diamètre, les uns ont la forme d’une roue, d’autres d’un coeur, d’une volute, d’un champignon, etc. On les saisit à l’aide d’un manche mobile pour les tremper dans la pâte” .
    • La bugne est une invention lyonnaise qui permettait d’apporter un peu de plaisir pendant la période du carême. Au siècle dernier, du mercredi des Cendres jusqu’au dimanche des Rameaux, il fallait se serrer la ceinture et manger maigre. Dure épreuve pour le Lyonnais qui devais se contenter d’un seul repas à midi et d’une collation le soir où vous ne pouviez dévorer ni œufs, ni poissons, ni fromages, ni lait, ni beurre. Que nenni ont du se dire quelques mères lyonnaises supportant mal ce régime minceur. Et pour améliorer ce maigre quotidien elles prirent de la farine, de la levure de bière ou de grain qu’elles ont délayées dans de l’eau et frit dans l’huile : les bugnes étaient nées ! Depuis le premier dimanche de Carême est devenu le dimanche des bugnes qui pendant quarante jours vont devenir les reines des étalages dans les boulangeries, les patisseries, ou les traiteurs.
    • Confectionnées longtemps sans parfum - car justement destinées à être consommées durant le Carême - elles constituaient seulement en un mélange d’eau, de farine et de levure de bière, que l’on jetait dans la friture avant de saupoudrer de sucre. A la fin du 19ème siècle, les bugnes s’épaississent de beurre et d’œuf.
    • Puis, traditionnellement, les charcuteries lyonnaises les proposaient juste avant mardi gras afin de se rappeler au bon souvenir des lyonnais qui allaient débuter le Carême (40 jours avant Pâques) et donc délaisser leurs commerces.
    • 2008 à été l’occasion de la 2ème édition de la semaine de la Bugne, et de la fête de la bugne (Samedi 9 février 2008, Place Vanderpol, Lyon 9e)

    Dernière interrogation pour en finir avec la bugne : craquante ou briochée ? Pour Bruno Cabut, président de la chambre patronale de la boulangerie du Rhône, ça ne fait pas un pli : “je ne voudrais pas m’attirer les foudres des spécialistes, mais à l’origine la bugne est un beignet. La bugne craquante n’est donc venue qu’après, au fil du temps”.










    Préparation : 30 mn

    Ingrédients (pour 8 personnes) :
    - 250 g de farine
    - 50 g de sucre semoule
    - 50 g de beurre
    - 2 oeufs
    - 3 cl de fleur d'oranger
    - 1 pincée de sel
    - Huile pour la friture

    Préparation :

    Faire ramollir le beurre, battre les oeufs à la fourchette.

    Dans un saladier, disposer la farine en fontaine, ajoutez le sel, le beurre, les oeufs battus, la fleur d'oranger.

    Mélanger jusqu'à l'obtention d'une pate consistante. former une boule et laisser reposer 2 heures au moins au frais.

    Faites chauffer l'huile.

    Abaissez la pâte sur une épaisseur de 5 mm.
    détailler en bandes de 10 cm sur 4 cm et faire une incision au centre de 5 cm.

    Passez un coin de la bande dans l'incision de sorte à faire un noeud ou laisser tel quel.

    Plongez les bugnes dans la friture (elles doivent remonter rapidement si l'huile est suffisammnent chaude), les retourner 1 fois et les égoutter, une fois cuites sur du papier absorbant.

    Saupoudrez de sucre semoule ou de sucre glace et servez chaud (mais sont aussi bonnes froides).


  6. Un chat a été contaminé par le virus de la grippe H1N1 dans les Bouches-du-Rhône, selon une dépêche de l'AFP du 8/12/09, premier cas avéré de contamination d'un animal domestique par le virus de la grippe A dans notre pays. Quelques gestes simples pour éviter de contaminer vos animaux, en accord avec Barbara Dufour, professeur au département Maladies Contagieuses de l'Ecole Vetérinaire d'Alfort. Comme pour les chats contaminés aux Etats-Unis (Iowa, Oregon, Utah et plus récemment Colorado) et un cas de chien en Chine confirmé par l'OIE (Office International des Epizooties, autrement appelé Organisation Mondiale de la Santé Animale), il semblerait que le chat français ait été contaminé par sa famille. Cela signifie que le virus de la grippe A H1N1 a une fois de plus franchi la barrière d'espèces, passant de l'homme à l'animal.


    Le petit chat des Bouches-du-Rhône, comme ses prédécesseurs, avait été amené chez le vétérinaire pour des problèmes de voies respiratoires. Après soupçons et diagnostics, il s'est avéré qu'il a contracté le virus de la grippe A. Les chats américains n'ont pas survécu à l'infection. Aucune nouvelle n'a été donnée pour le moment concernant le petit chat du sud de la France.

    Pour la DSV (direction des services vétérinaires) du 13, "il ne faut pas s'affoler. C'est un cas isolé et le public devrait être averti des mesures à prendre dans les heures à venir."

    Du côté de l'OIE , "on s'y attendait. Les chiens et les chats pouvant, comme d'autres animaux au contact de l'homme, être vecteurs du virus de la grippe." L'organisation appelle toutefois à la mesure "car il n'est pas question d'épizootie (NDLR : de pandémie animale) pour la grippe H1N1, donc il n'est pas nécessaire de paniquer". L'OIE a publié une série de mesures à mettre en application sur son site.

    Barbara Dufour, vétérinaire spécialiste des épizooties et professeur de maladies contagieuses à l'Ecole Vétérinaire d'Alfort (94), détaille ces mesures d'hygiène : "En situation de grippe, il est particulièrement important d'éviter les contacts. Le chat ou le chien ne doit pas faire de léchouilles au maître malade, dormir dans son lit, passer son temps pelotonné contre lui."

    "De la même manière que l'on évitera de faire des câlins à son enfant quand on est malade, il faut éviter les contacts étroits avec son compagnon à quatre pattes tout le temps où l'on est soi-même porteur du virus. Ensuite, il suffit d'appliquer les règles d'hygiène de base : se laver les mains, garder son environnement propre, ne pas éternuer sous le nez de ses animaux. La précaution restant le maître mot, on peut se faire vacciner pour éviter de devenir le vecteur de ce virus…"

    Et si jamais minou tombait malade ? "Les chats sont plus facilement victimes de ce genre de virus. Le chien est sensible à un virus d'influenza particulier qui est le H3N8. Pour le virus actuel de la grippe A, la contamination n'est pas impossible bien sûr, mais pour l'instant elle n'a été décrite qu'en Chine. Il n'existe pas de vaccin ni de traitement spécifique pour nos animaux de compagnie.

    Donc en cas de symptômes évocateurs dans tous les cas il faut le conduire chez son vétérinaire !, reprend Barbara Dufour. Si l'on doit absolument attendre le lendemain, on peut toujours mettre le chat dans un endroit tranquille en attendant de voir son vétérinaire le plus rapidement possible afin qu'il décide du traitement le mieux adapté à son état."

    Attention de ne pas donner de l'aspirine à votre chat ou a votre chien pour lui faire baisser la fièvre, cela peut lui être fatal.


  7. Recherhons notre chienne bouledogue francais

    Ville: 59000 Lille

    Pucé: Oui
    bonjour
    nous recherchons notre bouledogue francais femelle blanche,disparue le dimanche 8 novembre dans l'aprés midi sur Bruay sur Escaut,route de saint saulve,elle nous a été dérobée a notre domicile vers 15h,15h30,qui que ce soit possederait des informations qui nous permettraient de retrouver notre chienne,une récompense de 300 euros sera donnée,la tache qu'elle a au dessus du nez ne doit plus y être maintenant
    me contacter au 0659855703


  8. JUSTICE - Le tribunal est allé au-delà des réquisitions du parquet...
    Article de 20Minutes 16 nov. 2009 à 22h12

    Le gardien et le propriétaire d'un chien qui avait mortellement blessé une fillette de 17 mois, en juin 2006 à Sevran (Seine-Saint-Denis), ont été condamnés lundi à six et trois mois de prison ferme par le tribunal correctionnel de Bobigny.

    Le gardien du chien, Severdzan Abaz, 50 ans, jugé pour homicide involontaire, a été condamné par la 14e chambre à douze mois de prison, dont six avec sursis. Le propriétaire, le fils du gardien, Abas Abaz, 26 ans, a été condamné à six mois de prison, dont trois avec sursis.

    Ils devront en outre verser 35.000 euros de dommages et intérêts à la mère de la victime ainsi qu'à son père, et 15.000 euros au grand-père de la fillette, ainsi qu'à ses deux frères et soeurs.

    Crâne broyé

    Le tribunal est allé au-delà des réquisitions du parquet, qui avait demandé 18 mois de prison avec sursis pour Severdzan Abaz et quatre mois de prison avec sursis pour Abas Abaz.

    La fillette, Fatima, avait été mordue par le chien, un american staffordshire, classé parmi les chiens dangereux de catégorie 1, dès l'arrivée de sa famille dans l'appartement de Severdzan Abaz. Le chien de 70 kilos, appelé Scarface, s'était jeté sur la poussette de l'enfant, la mordant au visage. Il avait fallu plusieurs minutes avant de séparer le chien du corps de la fillette.

    Conduite d'urgence à l'hôpital, la petite fille n'avait pas survécu à ses blessures. «Les crocs du chien ont broyé le crâne» de Fatima, a indiqué le parquet lors du procès.

    «Nous sommes soulagés», a réagi le père de la victime, Ersan Sakip, après l'énoncé du jugement. «Je suis contente que ce soit terminé, ce procès m'a aidée à faire le deuil», a ajouté la mère, Laura Saban.

    «On obtiendra un aménagement de peine»

    «C'est une décision mûrement réfléchie et cohérente: la partie civile se voit reconnaître victime mais on reconnaît aussi que les détenteurs du chien n'ont pas voulu donner la mort», a réagi de son côté l'avocate de la défense, Me Virginie Blancan. «On obtiendra un aménagement de peine s'ils respectent leurs obligations», a-t-elle poursuivi, ajoutant qu'«au départ, l'affaire devait être jugée devant les assises».

    «S'ils avaient pris des précautions, le drame ne se serait pas produit», a souligné l'avocate de la partie civile Me Véronique Rey.

    «C'est un comportement involontaire car, d'habitude, Severdzan Abaz prenait toutes les précautions nécessaires: ils enfermaient le chien quand ils recevaient des invités, lui mettaient une muselière et le tenaient en laisse», a affirmé Me Blancan.

    Le chien, qu'Abas Abaz avait laissé chez ses parents quand il avait quitté le domicile familial, n'était ni stérilisé, ni vacciné contre la rage. Il n'était pas déclaré au lieu de résidence.
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