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Fiche sur la race du bouvier des flandres
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Fiche sur la race du setter irlandais
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Jeu - quelle est cette race ?
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le chien le plus grand du monde gibson dogue allemand
mary-toutou a répondu à un(e) sujet de sissi10 dans Vos Coups de coeur
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Suisse - Les patous, ces chiens antiloups dont on ne sait que faire en hiver FLORIAN CELLA | Les patous viennent de descendre de l’alpage pour passer l’hiver sur l’exploitation de Jean-Pierre Vittoni. Indispensables sur l’alpe où ils tiennent les prédateurs éloignés des troupeaux, ces chiens de montagne sont des poids à la saison froide. Conseils d’un éleveur de La Forclaz. Laure Pingoud | 24.10.2009 | 00:07 La posture digne, tête blanche dépassant du troupeau, les patous ont l’œil sur les chèvres et les moutons qui paissent à La Forclaz, dans un enclos fermé. L’éleveur Jean-Pierre Vittoni, plus connu sous le surnom de Pepone, vient de descendre son petit monde de l’alpe pour l’hiver. Ses ovins, mais aussi ses chiens de protection, qu’il élève et utilise pour lui ou place chez des collègues. Depuis cette année, il est mandaté pour aider ses confrères à travailler avec ces chiens souvent critiqués mais indispensables pour recevoir une indemnisation en cas d’attaque. Rocco! Dumbo! Aussitôt, deux bêtes magnifiques gambadent autour de lui. En retour, une brève caresse. «Il faut être dur avec eux.» Ni effusions ni repos sous la table de la cuisine: ils doivent rester avec leur troupeau. Ce qui ne les empêche pas de se frotter contre leur maître. «Ce ne sont pas des chiens méchants», assure l’éleveur. Pourtant, ils n’ont pas bonne réputation. En été, à l’alpage, on leur reproche d’effrayer les promeneurs et les animaux. De mordre, parfois. Et en hiver, c’est pire. Sur l’exploitation, entre craintes et aboiements, la cohabitation avec les voisins n’est pas toujours aisée. Sans compter le surplus de travail et les coûts qu’ils représentent. «Les gens ne comprennent pas que les chiens restent dehors avec les moutons. J’ai eu deux fois la SPA, qui avait reçu des plaintes», ajoute Vincent Bindith, un éleveur nord-vaudois de passage chez Jean-Pierre Vittoni. Chiens à louer L’organisme Agridea, qui coordonne les mesures de protection du bétail, est conscient de ces difficultés. «Pour y répondre, nous souhaitons développer la location de chiens, indique Daniel Mettler. Au début, les éleveurs étaient obligés de les acheter, désormais ils ont le choix.» Jean-Pierre Vittoni, qui attend une portée de chiots, est prêt à répondre à ces demandes. Même si, pour lui, la location n’est pas la panacée. «C’est à double tranchant. Le problème, c’est que ces chiens ne connaissent pas le troupeau qu’ils devront surveiller.» Alors pourquoi accepte-t-il d’en louer? «On veut montrer aux éleveurs que c’est jouable de les avoir.» L’enclos et la balade Bien qu’il soit critique, comme ses collègues, sur la gestion du loup, lui ne se séparerait pas de ses bergers à quatre pattes. «Avant de les avoir, j’ai eu 27 moutons tués par des chiens errants. Là, je n’ai quasi pas eu de pertes.» Alors que le nombre de patous augmente d’environ 30 têtes par an en Suisse, l’éleveur vaudois a d’ailleurs des collègues intéressés à en acquérir. Certains ont été convaincus en voyant que mes chiens font bien leur boulot. Mais il y a aussi des gens qui n’en prendront jamais!» Mais comment s’en sort-il en hiver, avec ses six patous? Jean-Pierre Vittoni garde ses bêtes dans un enclos et les promène quotidiennement. A La Forclaz, il a aussi la chance d’être à l’écart. «Il y a des gens qui rouspètent, admet-il. Mais je ne peux pas me plaindre. Il faut prendre le temps d’expliquer, d’ouvrir la bergerie aux gens, de leur montrer comment ils doivent se comporter», estime-t-il. Un vieux patou arrive en traînant la patte, son premier chien. «Je vais le regretter. Quand je déplace le troupeau, c’est lui qui le mène. S’il y a un problème, il me montre où l’attaque a eu lieu. Pilou est exceptionnel!» Le loup pas trop gourmand dans le canton La saison d’estivage se termine. Quels ravages a fait le loup cette année? Dans l’attente de résultats d’analyse, les chiffres ne sont pas définitifs. Mais avec une vingtaine de chèvres et de moutons tués dans le canton de Vaud, les dégâts dus au loup semblent avoir été un peu moins importants qu’en 2008. Toutefois, dans le secteur Vaud, Berne et Fribourg, qui compte au moins un mâle et une femelle, le bilan global est plus lourd. Selon les données provisoires, les dégâts des loups sur le bétail risquent d’être plus importants que l’an dernier. Quant au lynx, il semble avoir causé une poignée de morts. Source : http://www.24heures.ch/vaud-re et http://journalduchien.com
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Une fille de 7 ans mordue au visage par un chien de race Leonberg
mary-toutou a posté un sujet dans Vos coups de gueule
Suisse - Une fille de 7 ans mordue au visage par un chien de race Leonberg Une fillette de 7 ans a été mordue au visage par un chien de race Leonberg à Bachs (ZH). Elle a été hospitalisée. En accord avec le propriétaire, l'animal a été endormi, a indiqué la police cantonale zurichoise. Les circonstances dans lesquelles la fillette a été attaquée ne sont pas encore établies. Elle était avec son frère et sa soeur en visite dans une ferme. Les trois enfants jouaient avec le chien, âgé de 11 ans, qui n'était pas tenu en laisse. Soudainement, sans raison apparente, le chien a mordu la fillette au visage. Elle a été conduite à l'hôpital pour y recevoir des soins. La fillette et sa famille, des Allemands, passent des vacances en Suisse. (ats / 23 octobre 2009 11:25) Source : http://www.romandie.com/infos/ et http://journalduchien.com -
chiens, chats : Quid de nos animaux en cas de divorce ?
mary-toutou a posté un sujet dans Vos coups de gueule
chiens, chats : Quid de nos animaux en cas de divorce ? Une question revient souvent : que deviennent les animaux de compagnie d'un foyer lors d'un divorce ? C'est à cette question que la Fondation 30 Millions d'Amis, entourée d'experts et d'avocats spécialisés dans le droit de la famille, tente de répondre. Les époux se séparent. Le juge va régler toutes sortes de problèmes comme la répartition des biens du couple. Mais qui va se voir attribuer la garde du chien ? Le chien est-il un "objet" de droit ou un "sujet" de droit ? Autrement dit, l'animal a-t-il voie au chapitre et peut-il décider lui-même de son choix ou pas ? La question est légitime à l'heure où l'on recense qu'une famille sur trois en France possède un chien, soit 52% des Français*. 68 millions d'animaux domestiques pour quelques 62 millions d'habitants : c'est dire l'importance ! Un record en Europe. Les poissons, rouges et autres, tiennent le haut du pavé (36,7 millions), juste avant les chats (10 millions) et les chiens (8,6 millions). Viennent ensuite les oiseaux (8 millions de volatiles) et les petits mammifères (4,1 millions) rats, souris, mulots, hamsters. Quant aux NAC, ce sigle désigne les nouveaux animaux de compagnie sous lequel se cache 1 million de serpents, araignées et autres grouillants. Avec la place grandissante occupée par les animaux domestiques dans la société, c'est au tour des chiens, chats et autres bêtes à poils et plumes d'être présentés à la barre. Dans son livre, Le Droit des animaux de compagnie (2005, éditions Chiron ), la juriste Valérie Svec note que "lors des procédures de divorce, les tribunaux sont de plus en plus nombreux à connaître de demandes relatives à la garde de l'animal". Impossible de mesurer la tendance. Maître Méjean, avocat spécialiste du divorce, est le premier à avoir plaidé la garde alternée pour enfants, concept importé de Suède en 1979. Un concept qu'il a du appliquer aussi à un chat, il y a plus de 20 ans, en le faisant garder une semaine chez monsieur, une semaine chez madame. "C'est la seule et unique fois où le cas s'est présenté, alors que j'ai plaidé plus de 6200 dossiers" rappelle l'avocat. Mais le phénomène fait flores Outre-Atlantique et Outre-Manche. Une étude menée au Royaume-Uni en janvier et février 2005 auprès d'un millier de propriétaire montre que 39% d'entre eux sont prêts à se lancer dans une bataille judiciaire pour la garde de leur animal. Aux Etats-Unis, des avocats se sont même spécialisés sur le thème avec comme slogan : "You get the car, I get the cat". Traduction, "Tu as la voiture, je garde le chat". En droit français, l'animal est considéré comme un bien "meuble" selon l'article 528 du Code Civil : "Sont meubles par leur nature les animaux et les corps qui peuvent se transporter d'un lieu à un autre, soit qu'ils se meuvent par eux-mêmes, soit qu'ils ne puissent changer de place que par l'effet d'une force étrangère". L'animal appartient donc, théoriquement, à celui ou celle qui l'a acheté ou s'est déclaré comme son propriétaire auprès des fichiers contrôlés par le ministère de l'Agriculture. Pourtant, les juges sont amenés à affiner leur décision en fonction de paramètres tels que : qui a le plus de temps, d'argent, d'espace pour répondre au mieux aux besoins de l'animal ? Que faire et dans quelle situation ? Si les époux sont mariés sous le régime de la séparation de biens ou si l'animal a été acheté avant le mariage, sa garde (ou plus exactement son attribution en pleine propriété) reviendra à l'époux qui apportera la preuve de sa propriété exclusive en présentant le certificat de vente ou la carte de tatouage. La Cour d'Appel de Paris a ainsi décidé dans un arrêt du 5 juin 1991 que "les animaux étant des meubles par nature, il appartient à l'époux qui, après divorce, demande l'attribution d'un chien, de faire la preuve de ses droits privatifs comme sur un meuble ordinaire". Si les époux sont mariés sous le régime de la communauté de biens et qu'aucun d'eux ne peut prétendre à la propriété exclusive de l'animal, c'est-à-dire que l'animal a été acheté en commun : soit les époux arrivent à se mettre d'accord sur qui garde quoi, soit les époux n'arrivent pas à se mettre d'accord et à négocier à l'amiable le sort de l'animal, alors c'est le pouvoir discrétionnaire des juges qui tranchera comme dans le cas de la garde d'enfant. En l'absence de contrat écrit concernant l'acquisition de l'animal, plusieurs possibilités sont offertes aux maîtres qui souhaiteraient solutionner ce problème à l'amiable. En commençant par choisir en commun avec l'autre conjoint, une personne faisant autorité en matière de connaissance canine, ou féline – juge de la société centrale canine, président ou membre du bureau de club canin régional ou du club de race… – à laquelle les parties accepteront de soumettre le différent et à l'avis de laquelle elles accepteront de se ranger. Ces conciliateurs peuvent aussi être nommés directement par la Cour d'Appel sur la demande de l'un ou l'autre maître de l'animal. Le rôle du conciliateur et ses conclusions pourront, le cas échéant, avoir la force d'une décision de justice. Maître Bozarelli précise à ce propos que "même si ce n'est pas directement aux juges de régler le problème du devenir du chien ou du chat de la famille (comme le stipule l'article 288 du Code Civil, NDLR), ils sont tout de même obligés de se pencher sur l'intérêt du ou des enfants de la famille qui ne supporteraient pas la séparation de leur animal de compagnie, et sur l'intérêt de l'animal, lui-même susceptible de souffrir de maltraitances". Quelques cas qui ont fait avancer les choses C'est ainsi que le Tribunal de Grande Instance de Créteil (94) a franchi un pas, en juin 1979, en fixant des droits de visite et d'hébergement en faveur de l'époux non-gardien et en reconnaissant au gardien le droit d'obtenir une pension alimentaire pour satisfaire les besoins de l'animal. Mieux, les juges peuvent tenir compte des circonstances de la séparation, comme ce fut le cas pour le chien Platoon, en septembre 2001. La Cour d'Appel de Paris avait laissé la garde de l'animal à l'époux arguant du fait qu'il était resté avec ce dernier dans la maison conjugale alors que Madame avait, depuis longtemps, quitté les lieux avec le nouvel objet de ses amours. Le cœur à ses raisons dit-on… Outre-Atlantique, certains juges ont pris délibérément le parti de laisser l'animal choisir de lui-même. Ils procèdent alors à des "mises en situation". L'animal installé à équidistance de ses deux maîtres est appelé par l'un et l'autre. Le juge accordera sa garde à celui des deux époux qui a su faire venir l'animal à lui. Dans certains cas inconciliables, des maîtres sont allés jusqu'à demander l'euthanasie de leur animal tant ils étaient incapables de se mettre d'accord. Mais fort heureusement, on en n'est pas encore là en France. Côté chien, un divorce peut être perçu comme une dislocation de la meute, un démembrement plus ou moins bien vécu. Le maître qui en aura la garde aura donc aussi à sa charge de donner à son toutou de nouveaux repères en étant plus présent, en le sortant peut-être davantage et en lui faisant faire de l'exercice. Source : http://www.30millionsdamis.fr/ et http://journalduchien.com -
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Jeu - quelle est cette race ?
mary-toutou a répondu à un(e) sujet de Manoon1 dans Discussion générale
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