Aller au contenu
Rechercher dans
  • Plus d’options…
Rechercher les résultats qui contiennent…
Rechercher les résultats dans…

mary-toutou

Membres
  • Compteur de contenus

    18 658
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par mary-toutou

  1. Chine - Chiens et chats : La Chine rédige enfin sa première loi sur la protection animale Plusieurs associations de protection des animaux se félicitent de l'initiative de la Chine qui travaille enfin à l'élaboration d'une loi sur la protection animale alors que le pays cumule les actes de barbarie envers les animaux. L'association One Voice rapporte que "des associations de défense animale, des législateurs et des personnalités officielles se sont réunis, le 4 septembre 2009, à Pékin, pour travailler à l'élaboration d'une loi de protection animale, qui fait cruellement défaut en Chine". Le projet de cette loi de protection animale qui définit les bases de traitement des animaux est actuellement mis en ligne pour une consultation publique. Puis, le projet de loi sera soumis à l'Assemblée nationale populaire, l'organe du pouvoir législatif en Chine, cet automne. Rappelons qu'en Chine, seuls les animaux sauvages menacés d'extinction sont protégés. A ce titre, cette loi devrait concerner les animaux sauvages, les animaux de ferme, les animaux de compagnie, les animaux de laboratoire et les animaux utilisés comme outils de travail. Selon le Fonds international pour la protection des animaux (IFAW), cette loi présente les lignes directrices permettant de prévenir les maladies et de prodiguer les soins médicaux adéquats aux animaux. Par ailleurs, des recommandations relatives au bien-être des animaux de rente lors de leur transport et de leur abattage ont été incluses. De plus, en accompagnement de ce projet de loi, des modifications concernant la Loi Criminelle chinoise ont été suggérées afin de traduire les actes de cruauté envers les animaux en infractions pénales, souligne IFAW. L'adoption d'une loi de protection animale bénéficiera aux animaux, participera au développement économique du pays et répondra aux vœux de nombreux Chinois : en 2004, alors qu'un premier projet de loi avait avorté, 77 % approuvaient l'idée d'une loi limitant la souffrance des animaux, note One Voice. Le travail d'approfondissement entourant ce projet de loi est mené par une équipe spécialisée regroupant des chercheurs dirigés par le Professeur Chang Jiwen de l'Académie chinoise des Sciences sociales et appuyé par des associations de protection animale comme One Voice. IFAW rappelle qu'encore récemment, plusieurs villes chinoises ont privilégié les abattages massifs de chiens sous prétexte de présence du virus de la rage, tuant ainsi brutalement des dizaines de milliers d'animaux. De tels massacres ne devraient plus avoir lieu lorsque la loi sera adoptée. Pourtant, le peuple chinois ressent profondément la nécessité d'avoir une législation condamnant les actes de cruauté envers les animaux. Ainsi,suite au massacre récent de près de 40 000 chiens à Hanzhong, un sondage en ligne a révélé que sur les 63 000 participants, 89% souhaitaient la rédaction d'une loi interdisant les actes de cruauté envers les animaux. Des millions d'animaux souffrent horriblement en Chine Que ce soit dans les zoos ou les parcs, dans les fermes, sur les marchés ou dans les rues, dans les laboratoires ou lors des transports à destination des abattoirs, la condition animale n'est guère considérée en Chine. Souvent ignorants de la souffrance ressentie par les animaux, les hommes les considèrent uniquement comme une “ressource” et leur infligent les pires cruautés selon IFAW. Les pratiques barbares des zoos Selon l'association One Voice, Les zoos chinois sont visités par un public qui humilie les animaux, voire les martyrise. Dans certains zoos, des animaux vivants sont jetés en pâture aux fauves. D'autres dressent des animaux à exécuter des numéros de cirque, comme des combats de boxe d'ours. Aiguillonnés par les piques des dresseurs, les animaux ne peuvent que s'exécuter. Les conditions de vie sont désastreuses : cages inadaptées à la taille et aux besoins des animaux, hygiène déplorable, impossibilité de se cacher ou de se reposer. De nombreux animaux ont des comportements psychotiques : cent pas ininterrompus, léchage des murs, tête balancée jusqu'à la démence… Les chats de Pékin ont été exterminés One Voice a attiré l'attention sur l'extermination des chats de Pékin entreprise en 2007 pour « nettoyer la ville » avant les Jeux Olympiques. Les chats errants ont été mis en fourrières avant d'être tués. La majorité a été abandonnée par leurs propriétaires à la suite de campagnes du gouvernement sur les soi-disant dangers pour la santé qu'ils constituaient. IFAW précise également que les chats sont ébouillantés vivants avant d'être consommés. Des chiens massacrés pour leur viande Les enquêteurs de One Voice ont infiltré le réseau des producteurs de viande de chien en Chine. Ils ont filmé des scènes particulièrement violentes. Les chiens ne sont pas seulement mangés, ils sont maltraités et mis à mort avec une cruauté invraisemblable. Entassés dans des cages, sans eau ni nourriture, ils sont parfois nourris avec la chair de leurs semblables pour renforcer le goût de leur viande. Parmi eux se trouvent des chiens abandonnés et d'autres venant d'élevages spécialisés. Et ce n'est pas tout comme le souligne IFAW : "les tigres, dont on arrache les dents et les griffes, sont enchainés à même le sol afin de faciliter les photographies aux côtés des touristes. Les renards sont dépecés vivants pour leur fourrure. Les ours ont le corps mutilé afin d'en extraire la bile..." Photo : Extrait d'une vidéo sur le commerce de viande de chien en Chine Crédit : One Voice Source : http://www.notre-planete.info/ et http://journaldchien.com
  2. Chien ou chat perdu : Recueillir oui, voler non Selon la loi, c’est au maire de la ville que revient la responsabilité d’assurer la prise en charge des animaux errants sur le sol de sa commune, et de les reconduire jusqu’à leur domicile. Mais il arrive régulièrement que ceux-ci soient recueillis par des particuliers, qui s’attribuent, souvent en toute bonne foi, la propriété de l’animal. Conserver un chien ou un chat dont on n’est pas le propriétaire, même s’il est perdu, est pourtant considéré comme un vol, et peut engendrer des poursuites pénales. Prudence donc, pour ceux qui souhaiteraient offrir un nouveau toit à une boule de poils croisée par hasard au bord d’une route. La découverte d’un animal vagabond doit normalement faire l’objet d’une déclaration aux autorités légales ou associatives dans un délai de quarante-huit heures. S’il est tatoué, la Société centrale canine devra être prévenue. Dans le cas contraire, c’est à la fourrière départementale qu’il faudra s’adresser. Il existe néanmoins une tolérance envers ceux qui conservent un animal trouvé sur la voie publique, expliquée notamment par la saturation actuelle des refuges et des associations. Dans les fourrières, passé le délai légal de huit jours, l’animal risque également l’euthanasie. Beaucoup de personnes préfèrent donc s’abstenir de toute démarche envers ces institutions. On retrouve donc parfois sur les marchés français, entre les légumes et la charcuterie, des animaux à adopter ou à acheter. Une telle pratique est toutefois complètement illégale. Et même s’il est rare de se voir sanctionner pour ce motif, le simple fait de faire ses courses au marché accompagné de son chien, même en plein air, est également interdit pour des raisons d’hygiène. Edition France Soir du vendredi 2 octobre 2009 Source : http://www.francesoir.fr/socie et http://journalduchien
  3. Chien, Chat - Fourrure : derrière le culte de l’élégance, le sacrifice animal Aujourd’hui, mercredi 30 septembre, s’ouvre à Paris la semaine de la mode ou « Fashion Week ». Or, si celle-ci reste le rendez-vous inconditionnel des adeptes de la haute couture, elle pourrait toutefois prendre une tournure différente cette année. En effet, la fondation Brigitte Bardot marquera également l’événement afin de manifester contre le recours à la fourrure, encore largement ancré de nos jours. Ainsi, du 30 septembre au 7 octobre 2009, trois véhicules aux couleurs de la campagne et arborant des slogans tels que « Fourrure, signe extérieur de cruauté » défileront, elles aussi, symboliquement sur le parvis de la gare de Lyon. Loin d’être de l’histoire ancienne, la fourrure a connu une recrudescence au cours des dernières années au sein de l’univers de la mode. D’après l’association de protection animale One Voice, 50 millions d’animaux seraient sacrifiés chaque année (hors lapins) pour l’industrie de la mode. En 2007, le chiffre d’affaires de l’industrie de la fourrure a atteint 15 milliards de dollars. L’Europe est loin de faire figure d’exemple, 70 % de la fourrure d’élevage mondiale y étant produits. Si certains animaux sont piégés et tués directement dans la nature, généralement illégalement, la filière d’élevage dédiée au commerce de la fourrure fait appel à des procédés guère plus reluisants. Outre des conditions de détention et d’abattage faisant peu de cas du bien-être animal, celle-ci fait fi d’un réel manque de transparence quant à la provenance, voire la race même, des animaux. En illustre la saisie effectuée en France chez quatre fourreurs en septembre 2006, lors de laquelle fut découverte une vingtaine de sacs contenant des peaux d’animaux interdits de commercialisation tels que le loup, le lynx, le puma mais également le chat et le chien. Ce cas, non isolé, reflète la pratique de certains fourreurs qui consiste, par exemple, à vendre de la fourrure de chien sous l’appellation « Loup de Corée » ou « Dogue de Chine ». Cécile Cassier Source : http://www.univers-nature.com/ et http://journalduchien.com
  4. Et nous, on va se faire brosser oui et nous
  5. moi c'est tout compris la consultation comprise, les vétos pratiques leurs prix et parfois ils abusent
  6. IL DÉTRUIT TOUT EN MON ABSENCE ! Son air penaud ne signifie pas qu'il " sait qu'il a mal fait " et il ne peut s'agir de vengeance : ses destructions sont très certainement le fruit d'une profonde détresse. Rentrés à la maison, un tsunami prénommé Brutus a saccagé notre salon. Il a mastiqué nos pantoufles, rogné les pieds de notre meuble design, fait ses dents sur notre table basse et des confettis avec notre canapé. Un maître mot : se gérer. Ne pouvant faire le rapprochement entre notre colère soudaine et ce qu'il a fait, il est inutile de le sanctionner. Restons zen ! Pourquoi fait-il cela ? - S'il a pour habitude de gérer et d'initier les échanges, il peut être frustré de ne plus pouvoir exercer du contrôle sur nous et cherche à tout prix à nous rejoindre pour nous réimposer sa présence (en s'en prenant le plus souvent aux issus). - Nous remplissons tellement son quotidien que de se retrouver seul peut le faire passer d'un extrême à l'autre. Habitué à obtenir une réponse de son environnement (parce que nous réagissons à chacun de ses mouvements !), cette détresse de manque le pousse à tout renverser dans la pièce pour tenter d'obtenir cette réponse dont il a tant l'habitude. - Il s'ennuie car peu ou pas stimulé et, pour combler ce manque d'activité, il ne peut compter que sur son corps et son environnement. - Materné, il ne sait pas gérer la solitude car personne ne lui a jamais appris. Gémissements, aboiements, hurlements, grattages et destructions sont les manifestations de sa détresse. Il peut également rechercher notre présence en s'en prenant à tout ce qui porte notre signature olfactive pour s'apaiser (télécommande, vêtements, téléphone…). Pour lui permettre de mieux vivre la solitude, on peut mettre en application quelques règles simples : - Pratiquons de faux départs en nous préparant comme si nous allions sortir mais n'en faisons rien. Tout en l'ignorant, installons-nous sur le canapé et allumons la télévision ou feuilletons un journal. - Revoyons nos rituels de départ et d'arrivée sans nous occuper de lui durant les dix minutes qui précèdent et suivent nos sorties. Si les préparatifs (maquillage, habillage…) l'excitent, procédons hors de sa vue. - Apprenons-lui à rester seul quand nous sommes présents en commençant par vaquer à nos occupations (ménage, douche, cuisine…) et en le laissant dans sa pièce attitrée pendant quelques minutes, le tout comme s'il n'était pas là, même s'il s'agite (nous lui ouvrirons quand il sera calme et en étant le plus neutre possible). Toujours suivie de notre retour et de sa libération, notre absence cessera d'être assimilée à de la détresse. - Soyons à l'initiative des échanges. Ne répondons plus automatiquement à ses demandes (on peut quand même le faire patienter quelques minutes !), prenons les commandes des jeux et des câlins et évitons de le laisser nous suivre partout. Alimenter sa dépendance affective, c'est renforcer ses destructions. - Laissons-lui de quoi s'occuper pendant nos absences (son jouet préféré, os…). - Anticipons les dégâts au maximum en rangeant nos affaires ! Source : http://www.chien.com/general/education/divers/destructions.html
  7. Voyager avec Médor peut être un véritable plaisir mais cela peut également relever du défi s'il ne supporte pas la voiture, voire tourner au cauchemar. Des méthodes adaptées, basées sur l'habituation et la désensibilisation, aideront notre compagnon à quatre pattes à surmonter son angoisse. C'est à nous de faire preuve de compréhension et de patience vis-à-vis de lui. Qu'il s'agisse d'un traumatisme ou d'un défaut d'apprentissage, on peut observer des répercussions physiques et biologiques (regard fuyant, queue repliée sous l'abdomen, oreilles en arrière ou bien encore salivation excessive, tremblements, apparition de pellicules, gémissements, tentatives de fuite, menaces, vomissements, diarrhées émotives…) qui sont le signe d'un stress intense. Le forcer à monter en voiture ne peut l'aider à vaincre sa peur, au contraire ! Cela peut même accentuer son aversion. Que faire s'il refuse de monter en voiture ? Pour commencer, ne le forçons pas à subir une situation qui l'effraye. Le risque de briser la confiance qu'il a en nous et de créer un traumatisme supplémentaire est bien réel. Le mieux est de rester neutre, calme et d'éviter tous gestes ou mots rassurants qui viendraient justifier sa peur. S'il n'y a aucune réaction de notre part, il n'y a forcément aucune raison de s'inquiéter. Sa place doit être à l'arrière, sur la banquette (avec une ceinture de sécurité adaptée) ou dans le coffre (avec une barrière de protection ou un filet de sécurité), mais en aucun cas entre nos jambes ou sur le siège avant passager. C'est dans un lieu sécurisé (jardin, cour) que vont débuter les exercices. La voiture doit être toutes portes ouvertes et moteur éteint. Servons-nous de friandises ou de son jouet préféré selon ses préférences, lançons-le dans la voiture ou déposons les morceaux de nourriture pour l'amener jusque dans la voiture et répétons l'exercice sur plusieurs jours. Plus tard, nous pourrons passer à la fermeture des portes qui devra se faire graduellement, une par une, et sur plusieurs jours. Lorsque notre compagnon à quatre pattes sera capable de rester calme dans la voiture fermée, nous pourrons alors mettre le contact. Cette étape devra se faire portes ouvertes de manière à lui laisser la possibilité de sortir s'il en ressent le besoin et toujours avec l'aide de friandises ou de jouets. Comme précédemment, nous procéderons graduellement à la fermeture des portes du véhicule. Une fois que notre toutou ne manifestera plus de signe d'inquiétude, nous pourrons effectuer quelques mètres avec lui à l'arrière, en augmentant peu à peu les distances parcourues. N'oublions pas de rester neutre et de l'ignorer : notre simple présence suffit à le rassurer. Laissons-lui quelque chose pour l'occuper afin de faciliter les trajets comme un os ou un jouet creux tartiné de nourriture appétante. N'allons pas trop vite sous peine de rendre impossible cet apprentissage. C'est à force de patience et de persévérance que nous aiderons notre fidèle ami à vaincre sa peur. Source : http://www.chien.com/general/education/divers/peur-voiture.html
  8. C'EST UN VOLEUR ! Epuisés de toujours devoir le surveiller, nos réprimandes ne semblent pourtant pas l'affecter, dès qu'il peut recommencer, il le fait ! N'allons pas imaginer qu'il ne " comprend rien " car c'est tout le contraire. Nourriture, vêtements ou objets, notre chien s'empare de tout. Si le surprendre en flagrant délit de chapardage peut s'avérer drôle au début, notre bonne humeur n'a qu'un temps. La situation devient souvent vite insupportable. Il peut manifester des signaux d'apaisement (oreilles baissées, queue repliée sous l'abdomen) ou bien nous inviter à le suivre en adoptant des postures de jeu (c'est ainsi que se fait l'apprentissage de la chasse). Le poursuivre et lui porter attention constituent alors des renforcements, le plus souvent accentués de " arrête ! ", " j'ai dit non ! " ou " reviens immédiatement ! ". Une de ses principales motivations étant que nous rentrions dans son " jeu ", il jette donc plus facilement son dévolu sur des objets que nous affectionnons tout particulièrement. Doué d'une capacité d'observation exceptionnelle, il sait que nous ne resterons pas insensibles en s'en prenant à notre téléphone portable ou à la télécommande, et pour cause : il nous voit à longueur de journée collés à eux ! Que faire alors ? - Quand Voyou s'empare de quelque chose, faire comme si nous n'avions rien vu et s'en aller. Récupérons l'objet plus tard ou, si on ne peut se résoudre à lui laisser, proposons-lui une activité de substitution : servons-nous de quelque chose qui l'attire (son jouet préféré ou une friandise par exemple) pour l'inciter à lâcher son trophée de chasse et manifestons notre plus vif intérêt envers cet objet pour attiser sa curiosité. Soyons persuasifs ! - Mettre des leurres à sa disposition (cartons, bouteilles…) afin d'ignorer le chapardeur en toute quiétude et dans une totale neutralité. L'extinction d'un comportement ne peut se faire s'il est encouragé. - Ne pas laisser de nourriture à sa portée pour le qualifier ensuite de " voleur " ! Poubelle dans la cuisine, réserves de nourriture odorante dans le garage, sac de croquettes dans le placard entrouvert, plat ou assiette sur le bord de la table sans surveillance, biscuits oubliés sur le canapé… anticipons ! Ne le tentons pas inutilement pour finalement le rudoyer d'avoir eu un comportement naturel. Tout ce qui touche à la nourriture est extrêmement sérieux chez les canidés. Attention aux enfants qui donnent de la nourriture au chien durant le repas ! - Placer aux endroits stratégiques des objets qui vont le déranger ou faire du bruit : boîtes de conserve vides, odeur qu'il déteste (flacon de shampoing, savon), bouteilles remplies de grains de maïs, de cailloux ou de glands (dans un but uniquement sonore). - Pour ne pas faire le deuil de notre nouvelle paire de chaussures ou de tout autre objet susceptible de l'intéresser, il nous suffira de les mettre hors de sa portée. En effet, quoi de mieux qu'un chien pour avoir un chez-soi ordonné ? Source : Victoria Chasle Castillo - Experte en relations homme & animal Membre de CAD et du Collectif Contre les Chiens Catégorisés. Correspondante pour Le Chien Magazine, Spécial Chiens, Amis Chiens, linternaute.com... Consultante pour Pets-Dating.com, Cyberanimaux.com, La Revue Technique du Chien, Date-Dog.com, Minizoo... http://www.chien.com/general/education/divers/est-voleur.html
  9. ouhaaaaaa jier j'ai payé 54 e rage compris
  10. mary-toutou

    Croquettes Husse

    super pour lui mais sa coute quand même cher ils abusent quand même
  11. mary-toutou

    Tarbes

    bravo aux loulous en tout cas
  12. super alors merci de nous avoir raconté ta journée aussi vite
  13. punaise j'y serez bien alllez pense aux photos
  14. mary-toutou

    St Florent le 20/09

    et ben que dire bravo il promet le bébé
  15. mary-toutou

    Capbreton (40)

    vraiment désolé ! bon rétablissement
  16. j'en est pas dans mon département donc .... je serez pas en règle au 1er janvier
×
×
  • Créer...