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joel01

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Tout ce qui a été posté par joel01

  1. ma Djangounette a 7 ans mais l'espérence de vie de cette race dépasse rarement les 10/12 ans et les souvenirs de Moussia sont toujours trés présents !! merci Claudie, bisous
  2. l'analyse de sang est super , le coeur pas de souffle , les poumons nikel , la tyroïde toujours pas trop mal avec le traitement ça va , la où ça merde c'est l'artrose qui arrive donc un traitement de fond s'ajoute au reste ! et la noireaude c'est encore une gamine !!!!!! merci de t'inquiéter pour ma fifille . Bisous
  3. aujourdh'ui Djanga a eue droit a sa visite annuelle de contrôle , en effet ma fifille souffre de déficit Tiroïdien et prend "800mlg" de lévotyrox 200 par jour depuis de nombreuses années , en plus elle commence a souffrir d'Artrose d'ou un nouveau traitement en plus du reste (nous fairons tout ce que l'on peut pour quelle ne souffre pas trop) enfin aujourd'hui quand même 128 euros mais on s'en fout on vendra de nos meubles s'il le faut elle aura ce qui ce fait de mieux !!! quelques photos ( elle a été trés sage et Banshee été là pour la soutenir moralement ) dis Corrine (c'est le prénom de la véto ) j'aurais une friandise si je suis sage ? moi aussi je suis sage ! oui mais moi je suis malade , j'en aurais deux STP ! ben moi aussi je suis malade, mais c'est dans ma tête alors bien sur ça ce voit moins !! AH ! ces gosses !!! euh ces chiens ! lol !
  4. D'accord avec vous c'est n'importe quoi de la part de la police en plus tirer sur l'un et pas sur l'autre c'est surement pour se donner bonne concience , "scuser" je vais être grossier "pauvres cons", mon épouse a failli être agréssée par deux Malinois , je me suis interposé non sans crainte j'en conviens mais par la douceur et en reculant tout doucement et en ne regardant pas directement les chiens droit dans les yeux nous avons pu regagner notre voiture toute proche , fin de l'aventure , le proprio étant a leur recherche il les a recuperé ! donc on peu faire sans avoir a tuer mais encore faut-il avoir une certaine expérience des animaux et ne pas paniquer.
  5. bonjour les Amis (es) , je vous remercie pour votre participation a mon petit sondage sur le cirque . Tout d'abord : certains et certaines d'entre vous sont inscrits dans des clubs d'agility et autres disciplines, donc j'espère que ces personnes ne sont pas "totalement" contre les animaux dans les cirques a la condition bien sur qu'ils soit bien traité, malgrés l'exiguité de leur cage. ( au risque de ne pas me faire que des amis ! ) mais cette citation est necessaire pour la suite ! ( il y a aussi a débattre sur ce sujet ) Je ne suis pas pour obliger les animaux a faire ce qui ne va pas dans le sens de leur nature , que ce soit des animaux sauvages ou domestiques , par exemple mes Barzoïs qui sont réputés ( la race ) pour être assez difficile a "dresser" même si je n'aime pas ce mot , donc mes filles ne sont pas dressées ce qui ne va pas sans me poser quelques problêmes , mais nous jouons surtout la "carte" de la socialisation ( sortie en public , au marché , enfin des endroits où il y a beaucoup de monde ) jamais une parole dont le ton serait trop fort , tout par la douceur , c'est plus long pour obptenir des résultats mais une trés grande confiance s'installe au fil du temps . je vous ais trouver un truc sur le cirque "Jean Richard" qui est un Monsieur que j'ais admiré pour ces qualités de bienveillance envers les animaux et principalement ceux du cirque , en effet avez vous déjà vu votre animal avoir le poil terne ? surement ou peut-être ! c'est en observant son pelage que l'on peut savoir si notre cher toutou est en forme ou pas . Et dans les cirques avez vous déjà vu un Lion ou un Tigre avec le pelage terne ? surement pas , parce qu'un Fauve avec le pelage terne n'est pas en bonne santé physique et spychique et peut de par la même represanter un danger pour ses "dresseurs" ( punaise que je n'aime pas ce mot ! ). D'ou la necessité de les soigner , de les choyer , afin de présenter au public de beaux animaux et en bonne santé , bien dans leur tête . N'oubliez pas qu'un animal maltraité , a qui on aprend un tour avec force et maltraitance est un danger potentiel , même nos gentils toutous peuvent "dégoupiller" le cas échéant , celà ce produit malheureusement trop souvent et ce termine trés mal pour eux ! Alors bien sur il y a toujours l'execption de certains cirques qui maltraitent leur animaux , mais ils sont une minorité heureusement ! Sinon que dire des foires aux bétails !!!!!! j'ais fais quelques recherche pour illustrer ce débat , et bien je vous avoue franchement , je n'ais pas osé retenir de sujets a vous montrer tellement j'ais été HORRIFIE de voir ce que certains font subir a nos animaux dit de boucherie ! voilà il y a temps a dire sur ce sujet qu'il faudrait des journées entière pour celà ! Donc avant de vous faire profiter de ce que j'ais retenu pour illuster mes commentaires concernant le cirque , je voudrais vous dire que je ne suis pas totalement contre le fait qu'il y ait des animaux sur la piste des cirques a la condition que le "dressage" se fasse en douceur et que les animaux soit bien soignés et choyés comme il convient de le faire ! restons vigilant car la dérive est vite arrivée ! Merci encore pour votre participation a ce grand débat qu'est la condition animale ! bien amicalement Joël J'allé oublier le droit de réponse est ouvert bien sur ! http://www.obiwi.fr/culture/spectacles-vivants/80174-vive-les-animaux-au-cirque
  6. Publié le 01/03/2010 07:55 | Jean-Pierre Roland Vedi peut-il rester auprès de sa maîtresse handicapée ? Société. Le maire de Beaumont-sur-Lèze refuse le permis de détention au propriétaire d'un rottweiler. Une dame âgée de 89 ans, amputée d'une jambe, utilisant un lit médicalisé est-elle en mesure de détenir un chien de race rottweiler, âgé de 6 ans, dont, par principe, elle doit avoir la maîtrise ? Pour l'heure, René Delpech, maire de Beaumont sur-Léze s'oppose formellement à signer par arrêté municipal un permis de détention de « chiens dangereux » à la propriétaire de l'animal, une habitante du village, Madame Dolina Colombies pour son « Rott », nommé Védi dit Cassus. C'est la cause d'un conflit qui oppose le premier magistrat à Éric Colombies, le fils de l'octogénaire. Ce dernier qui héberge dans sa villa, chemin du cimetière, sa maman et par conséquent le chien, entend alerter l'opinion publique, tente un recours auprès du tribunal administratif, dépose un dossier à la Préfecture, saisit la Haute Autorité contre les Discriminations et l'Égalité (HALDE). Il exige être dans son droit pour obtenir cet arrêté municipal. Preuve à l'appui, il produit pouvoir de sa mère pour s'occuper du chien, attestations d'assurance, carnets de vaccinations, carte d'identification de la société centrale canine, tous les certificats de vétérinaires attestant que Védi, classé en seconde catégorie « ne présente pas de dangerosité en dehors de ceux inhérents à l'espèce canine ». Discrimination « L'état de santé est très bon, pas d'antécédents d'agressivité ; l'examen n'a pas nécessité le port de muselière », révèlent les conclusions d'un vétérinaire, auxquelles s'ajoute une attestation d'aptitude signée par un formateur officiel, habilité par la Préfecture. Pour Éric Colombies, l'animal est en règle. Il n'y a donc aucune raison à opposer un refus du permis de détention. De plus il estime que par son refus, le maire commet de la discrimination. Il sort le « Dalloz » et en extrait un texte de loi du 27 mai 2008 et son article premier : «… constitue une discrimination directe la situation dans laquelle sur le fondement de son appartenance, vraie ou supposée, à…. son âge, l'apparence physique, son handicap… une personne est traitée moins favorablement qu'une autre ne l'est dans une situation comparable… ». Le ton est donc monté d'un cran. A qui veut l'entendre Éric explique que le chien est inoffensif « une bonne pâte, affectueux, parfaitement obéissant… Nous recevons pour ma mère de nombreux auxiliaires médicaux et sociaux. Jamais ils ne se sont plaints ni sentis menacés », montre-t-il. Et il ajoute, « Védi est attaché par une chaîne et ne franchit jamais le portail de la propriété ». -------------------------------------------------------------------------------- Le maire campe sur ses positions René Delpech, maire de Beaumont-sur-Lèze, reste ferme sur sa position : « Ce dossier pose la question de ma responsabilité de maire. Je prends mes précautions. J'estime que la propriétaire officielle du chien est Madame Dolina, âgée de 89 ans. Elle est incapable d'assurer la maîtrise de l'animal. Je saisirai le préfet. Je ne vois pas comment un formateur officiel peut délivrer une attestation à une personne alitée et handicapée ».
  7. Voilà je voudrais savoir votre avis sur cet article en toute sincérité , car mon enfance a été prés des animaux sauvages ( voir mon avatar ) et si il est vrai que certains cirques maltraitent leurs animaux d'autres au contraire les adules !! merci de votre réponse ! je vous donnerais mon avis dans quelques jours quand un maximun d'entre vous auras donné le sien ! Publié le 26/02/2010 03:51 - Modifié le 26/02/2010 à 07:53 | Cyril Doumergue Saba et Delhi, les éléphants du cirque Pinder en sursis Polémique. Des militants réclament l'application d'un jugement. On peut retirer les animaux du cirque à tout instant. OAS_AD("Position1"); Saba et Delhi, les deux éléphantes, et Bagheera le jaguar, ne seront peut-être pas présents sur la piste du cirque Pinder pour le dernier week-end du cirque à Toulouse. Les stars du spectacle sont sous le coup d'une saisie judiciaire, suite à une condamnation du tribunal de Valence, qui date du 29 janvier dernier. Et des associations de défense des animaux enfonceront le clou en manifestant, demain à 14 heures, devant le cirque Pinder, affiches et tracts à l'appui, pour dénoncer les méthodes de dressage et la « vie carcérale » infligée aux animaux sauvages. Ce qui a pour effet d'énerver prodigieusement Gilbert Edelstein, le propriétaire du cirque Pinder. « Ces associations ne représentent personne. Les cirques attirent 15 millions de spectateurs chaque année, dont 14 millions pour les 80 cirques à animaux. » « Nous les accueillerons dignement » Animal Amnistie, l'une des associations qui manifestera demain, accuse le cirque Pinder de « poursuivre sa tournée illégalement » suite à sa condamnation. Pour elle, la saisie des animaux est imminente. Elle souhaite montrer des images du dressage des animaux, qui selon elle est « inhumain ». « S'asseoir sur un tabouret ou rester en équilibre sur une jambe est une atroce souffrance pour l'éléphant », explique Daniel Lacourt, le porte-parole de l'association. Est-il certain que les animaux souffrent ? « Un éléphant c'est 25 kilomètres par jour dans son habitat naturel. Des vétérinaires ont prouvé que l'enfermement causait des troubles du comportement chez les animaux », répond Daniel Lacourt. L'association montrera des images explicites, et compte bien inciter les spectateurs, petits et grands, à renoncer aux trois représentations de la journée. « Nous voulons promouvoir le vrai cirque, celui des clowns et des numéros artistiques. Celui qui ne méprise pas les animaux. » « Ce sont des accusations intégristes. Ces associations ne connaissent rien à l'attachement qui se crée entre les animaux et leurs dresseurs », contre-attaque Gilbert Edelstein, qui sort les griffes. « Nous serons là pour accueillir dignement ces manifestants. Et d'ailleurs, ont-ils le droit de manifester devant notre cirque ? J'attends la réponse de la préfecture ». Et lui, a-t-il peur de perdre ses animaux ? « Si on vient nous les enlever, nous n'opposerons pas de résistance. Mais j'ai 72 ans, et je n'ai jamais connu quelque chose de semblable. »
  8. Publié le 23/02/2010 07:57 - Modifié le 23/02/2010 à 10:38 | Bruno Huet Carcassonne. Le boucher veut sauver Elsa la jument Boucher à Carcassonne, Didier Guiraud tente aujourd'hui de sauver de l'équarrissage un animal qu'il destinait à son étal. OAS_AD("Position1"); Depuis dimanche, Elsa, une jument de 18 ans, se trouve dans le couloir de la mort de l'abattoir de Narbonne. Si rien n'est fait, l'animal devrait passer de vie à trépas dès demain et sans que sa chair ne puisse régaler les amateurs de viande chevaline. Didier Guiraud, boucher chevalin à Carcassonne, a donc décidé hier de remuer ciel et terre pour éviter à Elsa, un anonyme équarrissage. Il y a trois semaines, Didier Guiraud fait l'achat de deux juments, Elsa et Duchesse auprès d'un même propriétaire. Les documents des animaux semblent en règle... à une exception près. Il est mentionné que les deux chevaux ne peuvent finir leur vie dans la vitrine réfrigérée d'une boucherie. Dimanche, alors qu'il s'apprête à conduire les deux équins à Narbonne où ils doivent être abattus, le boucher carcassonnais consulte les papiers administratifs et tombe des nues en constatant que Duchesse ne peut être transformée en viande de boucherie. Pour Elsa, les documents sont légèrement différents et la mention pouvant indiquer qu'elle est peut être destinée à un étal, n'est pas claire. A son arrivée à Narbonne, Elsa est immédiatement prise en charge par la direction des services vétérinaires (DSV) aujourd'hui appelée Direction de la cohésion sociale et de la protection des populations. Les fonctionnaires font alors savoir à Didier Guiraud que la jument ne peut être destinée à son commerce. «Dans cette affaire, tout le monde s'est trompé. Moi, le premier, explique-t-il, mais la jument n'y est pour rien». A l'abattoir de Narbonne, Guy Mamet l'un des responsables, souligne que l'avenir de la jument ne lui appartient pas et de rappeler «qu'un animal vivant entrant ici en ressort systématiquement mort». Pour Didier Guiraud, l'idée de voir un animal finir à l'équarrissage est insupportable. «Mon métier, c'est d'acheter des chevaux et de vendre leur viande, mais je ne peux me résoudre à l'idée que cette viande soit perdue, pour le simple fait de documents administratifs peu clairs. je n'ai vraiment pas envie que l'on tue cette jument pour rien». Anne-Elisabeth Agrech, directrice de la feue DSV, n'est pas restée inactive hier, considérant que le cas d'Elsa «pourrait être revu». En attendant, la SPA, alertée, s'est démenée pour trouver une «famille» d'accueil à la jument dans la région de Trèbes. Elsa aura-t-elle la vie sauve ? Les bénévoles de la SPA attendent une réponse positive aujourd'hui.
  9. Depuis quelques jours vers chez moi les chats disparaissent !! Et c'est encore un abruti qui a tiré sur un pauvre toutou ! le 24/02/2010 07:58 | LaDepeche.fr Villeneuve. " Néo " victime d'un coup de fusil lors d'une escapade amoureuse L'histoire de « Néo », le chien labrador de la famille Merlin, est un fait divers qui malheureusement alimente trop souvent la chronique de la stupidité et des actes gratuits contre les animaux. La neige recouvrait la Piège à Payra-sur-l'Hers, Aude, Benoît et Roman Merlin profitent de l'instant pour se promener et s'amuser dans la neige, « Néo » est de la partie mais voilà, au bout du chemin « Néo » sent une femelle en chaleur, l'animal fait une escapade amoureuse. Jusque-là rien de bien grave si ce n'est que son propriétaire le récupère avec un coup de fusil dans le flanc droit. La décharge de plomb 80 grains de n° 4 est tirée entre 5 et 10 m, la brave bête se traîne ruisselante de sang dans la neige vers son domicile. Une chance inouïe pour « Néo », sa forte stature et son omoplate ont amorti l'impact. Son propriétaire n'a eu aucun mal à suivre les taches de sang et remonter la piste d'où le coup de feu a été tiré. Une plainte a été déposée en gendarmerie, gageons que les Amis des bêtes n'en resteront pas là. « Néo », soigné et chouchouté, boite bas et gardera les plombs dans son corps. B. Merlin, 3e ligne à l'USV XV, est aussi le président de la chasse à Payra-sur-l'Hers et quand on connaît son attachement à ses chiens on comprend son émotion et celui de sa famille. Quant à « Néo », il ne demande que caresses et amour. OAS_AD("Middle1") OAS_AD("Middle2") OAS_AD("Middle3")
  10. pffff ! quelle histoire , quand je pense qu'on ferme des lits en spychiatrie , je le sais j'y travaille ! c'est abberrant !
  11. c'est un peu long mais ça vaut le coup de le lire jusqu'au bout ! ( de plus l'animalerie dont il est question est a côté de chez moi !!! ) Publié le 13/02/2010 07:56 | O.D. et A.D. Animaux : le trafic de la honte Ils viennent d'Europe de l'est, malades, et avec de faux documents. C'est devenu le troisième commerce illégal au monde, après la drogue et les armes. OAS_AD("Position1"); INFOGRAPHIE -- Dans une jardinerie de Saint-Gaudens, un vendeur tente d'écouler ses chiens. Ils ont le poil terne et l'œil vitreux. Mais s'il paye en liquide le client a droit à une réduction. Cet argument imparable, on le retrouve sur les trottoirs toulousains. Là, ce sont des chiots que l'on vend sous le manteau. Une scène courante à Paris, qui commence à s'installer dans les grandes villes de province. Le plus souvent, les bêtes viennent d'Europe de l'est, munis de faux papiers d'identités. Ils arrivent de Roumanie, de République Tchèque, de Slovaquie, via la Belgique, l'Espagne ou les Pays-Bas. Pour les trouver, il n'est même pas besoin de descendre dans la rue. Un clic sur internet suffit, comme de répondre à une petite annonce, ou même de pousser la porte d'une animalerie : beaucoup n'hésitent pas à vendre ces animaux entrés illégalement en France. Problème : leur santé est plus que douteuse, et il arrive fréquemment qu'ils tombent malades quelques jours seulement après l'achat. Brigitte Piquetpellorce, responsable de la cellule anti-trafic de la SPA, est allée dans les pays de l'est. Elle y a vu des animaux élevés en batterie, des femelles reproductrices enchaînant portée sur portée. « On voit ça aussi en France », précise la responsable de la SPA, citant Francis Duprat, cet éleveur du Comminges (31), dont l'affaire n'a pas encore été jugée. Il aurait notamment fait venir des chiens de Slovaquie. Les élevages d'Europe de l'est sont doublement rentables. Une première fois pour les éleveurs, qui vendent un Chihuahua, très en vogue, jusqu'à 350 euros. Une aubaine dans ces pays, qui rapporte nettement plus qu'un salaire à l'usine. L'opération est rentable une deuxième fois, pour le revendeur français, qui peut espérer toucher jusqu'à 3000€ pour le même animal. Ces derniers, qui multiplient leur mise par dix, touchent carrément le jackpot. Les animaux arrivent en France munis de faux papiers. « Je me suis présentée comme une acheteuse potentielle en Slovaquie, on m'a même proposé un stock de fausses puces d'identité françaises » raconte encore Brigitte Piquetpellorce. On s'aperçoit souvent par la suite que ces bêtes souffrent de toutes sortes de troubles du comportement. Séparés trop tôt de leur mère, bringuebalés des jours entiers dans des camionnettes à travers l'Europe, ils sont devenus des chiens mordeurs, hyperactifs… Le plus grave est sans doute que ces chiens sont le plus souvent malades. Et dans leurs pays d'origine, la rage n'a pas été éradiquée. « Ma plus grande crainte est qu'un jour un enfant se fasse mordre et attrape la rage » s'alarme une responsable de la fondation Brigitte Bardot. Une interpellation qui a valeur d'avertissement pour les pouvoirs publics. « Les services vétérinaires ne font pas leur travail » Quelles images vous ont marqué, dans les élevages que vous avez visités ? Des hangars, de véritables usines de reproduction, ouverts à tous vents. N'importe quel renard pouvait entrer et mordre les chiots, qui ont souvent les yeux collés par le pus. Je revois aussi leur nourriture collée dans le fond des gamelles… Et je me souviens être entrée dans un élevage en Slovaquie qui sentait tellement fort l'ammoniaque que j'ai dû sortir. Pourtant je ne suis pas une petite nature. Les pays de l'est sont donc à l'origine de la filière ? Pas uniquement ! On trouve de ces élevages en France aussi. Je dirais que c'est 80 % de la filière qui est pourrie. Seulement, c'est encore moins cher d'aller chercher les animaux dans les pays de l'est. Comment luttez-vous contre le trafic ? Nous sommes saisis de plaintes, on va sur le terrain. Puis on dépose plainte. Si ça concerne des élevages à l'étranger, les animaux sont le plus souvent saisis. Dans le cas d'élevages français, les plaintes sont souvent classées sans suite. Pourquoi ? Les services vétérinaires ne font pas leur travail en amont. Ils ne contrôlent pas, ou préviennent 15 jours à l'avance, ce qui laisse le temps aux éleveurs de prendre leurs dispositions. Donc ils ont toujours tendance à minimiser les faits. Avec la Brigade nationale des enquêtes vétérinaires et phytosanitaires qui intervient pour les élevages à l'étranger, c'est différent. Les choses avancent. Comme avec les gendarmes ou les douanes. Dans des les rayons de revendeurs toulousains Animaleries : l'origine n'est pas toujours contrôlée Derrière une vitre, trois souris blanches se courent après sur une roue d'exercice. Un peu plus loin, des hamsters se reposent. Tout autour, les piaillements des oiseaux donnent à la boutique une atmosphère agréable. Nous sommes dans une animalerie du centre ville de Toulouse. Il n'est pas encore 11 heures, et l'unique client plaisante avec le patron. Alors que nous interrogeons ce dernier sur l'origine de ses animaux, son visage s'assombrit. « Je ne peux rien dire, affirme-t-il. C'est à cause de la concurrence. » Il finira par nous révéler qu'il se fournit chez des grossistes, « tout ce qu'il y a de plus légaux ». En Belgique, principalement. Mais en refusant tout net de nous montrer le nom de ses fournisseurs. Filières louches ? Pas forcément, pour un autre professionnel, qui concède tout de même que la Belgique est considérée comme une plaque tournante du trafic d'animaux. Animaux de la région Autre animalerie, autre histoire. A Portet-sur-Garonne, au sud de la Ville rose. Amazonie est une grande boutique. On y trouve des rongeurs, des oiseaux, mais aussi des chiots. Cette enseigne avait fait l'objet d'un scandale il y a quelques années, alors qu'elle achetait des animaux à l'éleveur du Comminges Francis Duprat. Ce dernier est de nouveau mis en examen depuis 2008, pour avoir importé des chiens en mauvais état de l'Europe de l'est, et plus particulièrement de Slovaquie. Chez Amazonie, il semble qu'on a retenu la leçon. Alors que nous nous présentons comme des clients, le responsable s'empresse de nous montrer la provenance de ses chiots, sur leurs papiers d'identité. Toulouse, Castelnaudary : des animaux de la région. Un peu plus loin, une éleveuse qui arrive tout droit de Saint-Gaudens lui apporte de jeunes labradors. Tout est en règle. Mais bien sûr tout a un prix. « En vivre ? C'est impossible, s'amuse l'éleveuse. C'est une passion. » Pour elle, les animaux venus de l'est ne peuvent lui faire de tort : les clients sont libres de choisir, en connaissance de cause. S'ils veulent des animaux de qualité, ils doivent se les procurer chez des éleveurs français. Malgré ces garanties, Jocelyne, une cliente de 63 ans, n'est pas convaincue. « Si je veux acheter un chien, je ne viendrai pas dans une animalerie. Il y a toujours le risque de trafic. Je préfère aller chez un éleveur directement. BB : « Ne soyez pas complices » Brigitte Bardot réagit en exclusivité dans La Dépêche du Midi. « Les animaux ne sont pas une marchandise que l'on produit, transporte et vend comme une vulgaire « denrée périssable »… Ce triste commerce des animaux, souvent totalement illégal, provoque la souffrance et trop souvent la mort de milliers de chiens, de chats, d'oiseaux, de reptiles, et autres N.A.C. (nouveaux animaux de compagnie, ndlr) pour alimenter les animaleries, hélas de plus en plus nombreuses, et qui vendent n'importe quoi à n'importe qui. C'est un commerce juteux et souvent ignoble, dont les animaux sont une fois de plus les victimes silencieuses. De grâce, ne soyez pas les complices de ce trafic, n'achetez pas de chien ou de chat, il y en a tellement dans les refuges… Et surtout, ne vous laissez pas tenter par la nouvelle mode des N.A.C. La place d'un animal sauvage, si petit soit il, n'est pas dans une maison, un appartement et encore moins dans une minuscule cage ! Le considérer comme un animal domestique est une grave erreur. Par snobisme, caprice ou ignorance, vous le privez de sa liberté et le condamnez à une existence misérable !
  12. ATTENTION AMES SENSIBLES NE CLIQUEZ PAS SUR ZOOM POUR VOIR LA PHOTO voici un article paru aujourd'hui dans le journal local : la depêche du Midi ! d'où mon indignation !!! y a t-il une injure assez forte pour qualifier ce fils de P..E ? le 10/02/2010 à 07:40 | Max Lagarrigue Il abat froidement son chien de chasse Dimanche matin, dans un bois entre Castelsarrasin et Saint-Nicolas, un promeneur a assisté à une scène d'un autre âge. OAS_AD("Position1"); Le cliché que nous publions parle de lui-même, c'est un acte sadique, une scène d'un autre âge à laquelle a assisté un promeneur qui baladait, dimanche matin, ses chiens dans un bois isolé entre Castelsarrasin et Saint-Nicolas-de-la-Grave. L'homme, qui préfère, pour l'heure, conserver, pour des raisons évidentes, l'anonymat, témoigne sur «l'exécution sommaire» à laquelle il a assisté. «C'est en promenant mes chiens non loin du Tarn que j'ai été intrigué par le va-et-vient d'un véhicule auquel je ne portais pas d'attention particulière, si ce n'est qu'il ne circule pas beaucoup d'automobiles en plein bois.» Et de poursuivre: «Je l'ai vu alors sortir quelque chose de sa malle qu'il a traînée avec une certaine résistance jusqu'à un arbre (c'est vraisemblablement le chien de chasse, avec la corde qu'il a déjà autour du cou, NDLR). Peu après, j'ai entendu un coup de feu, ce qui m'a d'autant surpris que l'on est en pleine réserve de chasse, un endroit où les chasseurs n'ont justement pas le droit de tirer.» En quelques minutes, le promeneur se précipite sur les lieux pour voir de quoi il s'agit. Sur place, il a juste le temps de voir un véhicule qui s'éloigne promptement et le cadavre d'un chien de chasse froidement abattu d'un coup de fusil à l'arrière du crâne. Indigné par cet acte de cruauté sans nom, il informe immédiatement l'association du refuge de Saint-Béart à deux pas de là qui lui conseille de déposer aussitôt plainte. Cette dernière est enregistrée au commissariat, accompagnée d'une série de clichés. Le chien a, depuis, été transporté à la clinique vétérinaire de Moissac où, à la demande du parquet, il a été autopsié hier. Dans le même temps, une douille de calibre 12 - celle d'un fusil de chasse - et de plomb 6 - servant habituellement aux chasseurs de faisans ou de perdreaux- a pu être identifiée sur le lieu du tir. Elle a été transmise aux services de la gendarmerie qui devraient la faire analyser dans leur laboratoire. Également sur place, Michèle Fléta, l'un des coresponsables du refuge canin, se déclarait indignée par ce qu'elle n'hésitait pas à qualifier comme un «acte de barbarie. Il n'a laissé aucune chance à cet animal attaché à 60 centimètres de corde». Et de pointer du doigt une catégorie qu'elle connaît bien: «C'est la fin de la saison de la chasse, on n'a plus besoin du chien, et bien, on n'hésite pas à s'en débarrasser d'un coup de fusil.» Une situation dont ce défenseur des animaux entend faire un exemple. «L'association de Saint-Béart, à laquelle se sont joints, d'ores et déjà, 30 Millions d'amis et la fondation Brigitte Bardot, a déposé plainte et se portera partie civile s'il devait y avoir un procès.»
  13. Animaux. Martyrisé, il est sauvé par la SPA et retrouve une maîtresse. À le voir vous renifler chaussures et pantalon, mettre ses pattes sur vos cuisses et aboyer quand on frappe à la porte, on prendrait plutôt Modeste, 3 ans, chien de race « Fauve de Bretagne » pour un pépère tranquille que pour un rescapé des pires sévices. D'autant que Modeste, qui chahute avec l'autre pensionnaire de la maison Câline, la chatte de 8 ans, ne vit chez sa nouvelle maîtresse, Nelly Cruchon, que depuis vendredi dernier… Retour un mois en arrière. Le refuge de Brax voit arriver, le 12 janvier, un chien « Fauve de Bretagne », trouvé par une employée du refuge, au bord d'une route à Saint-Pierre-de-Gaubert : « D'habitude, on n'a pas le droit de ramasser les animaux qui divaguent », précise la présidente de l'association qui gère le refuge SPA de Brax, Christine Salane. « Mais là, ce n'est pas un cas de divagation, ce chien était en danger. » Grièvement blessé au cou, comme le révélera la consultation du vétérinaire, le chien était en fait resté toute une journée, au moins, au même endroit sans bouger. « L'employée l'avait vu le soir, en rentrant chez elle, puis à nouveau le lendemain. C'est là qu'elle m'a alertée. » « un geste humain » Flanqué d'un compagnon d'infortune, un croisé Griffon, les deux chiens sont emmenés au refuge et rebaptisés « Paris » et « Brest » par les amatrices de pâtisserie de la SPA. Brest est aussitôt montré à un vétérinaire : « Tout le tour du cou est entaillé, une blessure d'un centimètre de profondeur et qui commençait à s'infecter », décrit Christine Salane. « Et d'après la vétérinaire, il ne s'agit pas d'une corde, ou d'un collier sur lequel il aurait tiré pour se détacher : la blessure est uniforme et profonde. Il ne peut s'agir que d'un geste humain, comme si on avait tenté de l'étrangler avec du fil de fer, ou de le découper avec un couteau… » Pour les bénévoles de la SPA de Brax, le geste, barbare est d'autant plus incompréhensible que le petit chien est totalement socialisé : « On le voit, il a l'habitude de vivre chez quelqu'un, du contact humain. Il n'a pas peur de tout comme certains animaux maltraités qu'on nous amène parfois, il n'était pas affamé non plus… » Propriétaire introuvable Si elle s'est posée la question, Christine Salane n'a finalement pas porté plainte : « Il n'y a aucun moyen d'identifier le chien, ni collier, ni tatouage, ni puce électronique. Et autour de l'endroit où on l'a trouvé personne ne l'a reconnu… Impossible de retrouver le propriétaire… » Nelly, elle, venait de perdre son golden retriever adoré. Handicapée, vivant seule, elle ne sortait plus de chez elle et déprimait sec. « Je me suis dit qu'il fallait que je reprenne un chien. Je suis allée à la SPA. Je cherchais un chien pas trop jeune, docile. Quand on m'a proposé un chien victime de maltraitance, je ne voulais pas trop, j'avais peur qu'il soit agressif. » Finalement, vendredi, un « essai » d'une demi-heure est tenté. Brest, rebaptisé Modeste, adopte immédiatement sa nouvelle maîtresse et refuse tout net de rentrer au refuge. Nelly, elle, a retrouvé le sourire. Quant à Modeste, il a déjà trouvé une fiancée dans le quartier… Témoins de maltraitance sur animaux, appeler le refuge SPA de Brax au 0553967797.
  14. joel01

    bébé arrive...

    avec plaisir tite Mary , faudra y penser dès les premiers beaux jours !!!!
  15. joel01

    bébé arrive...

    que Adorable je pensais que nous étions au moins des AMOURS !
  16. joel01

    bébé arrive...

    tu es pardonné Mary , c'est mon épouse qui va en profiter . Big's Bisous
  17. joel01

    bébé arrive...

    non mais ça va pas !!! j'ais décroché le téléphone pour commander des fleurs c'est malin !!!!!
  18. une histoire atroce mais qui fini pas trop mal ! Attachée à un tronc sur les bords du Lot Animaux . Mimi, jeune chienne, cherche famille d'adoption. OAS_AD("Position1"); Très amaigrie, sursautant au moindre bruit, Mimi, une jeune chienne se remet doucement de son sort. Un méchant sort en l'occurrence. Elle doit la vie à une jeune femme, Laure. « Je sortais de chez le vétérinaire au moulin de Coty. Plus loin, au moulin Saint-James, avec mon ami, nous avons découvert par hasard une forme sur les bords du Lot, pas loin du barrage ». Ils s'approchent, découvrent une chienne. « Elle était attachée très court à un tronc d'arbre, le corps à moitié dans l'eau » détaille Laure. Après l'avoir libéré de ses liens, ils alertent la police. La chienne est transportée au refuge. « Nous avons accueilli un animal affaibli, très maigre, avec une blessure antérieure à une patte » explique Noëlle Brun, présidente du refuge. Le vétérinaire indiquait qu'elle avait dû séjourner cinq à six jours à moitié dans l'eau. « Elle doit avoir quatre ans ». Mimi a été prise en charge par une famille d'accueil, pour se remettre d'aplomb. « Elle est propre, obéissante, douce, elle s'entend bien avec les chiens et les chats » confie Laure. Aujourd'hui, Mimi attend une famille d'adoption, sinon elle retournera au refuge (la SPA). Toutes les personnes intéressées pour la choyer peuvent contacter le 05 65 22 66 32.
  19. je pense comme Toya que c'est un RETRIEVER Frisé ! ( j'ais vus la photo chez la véto jeudi ! lol ! )
  20. excuse Mamantoya , j'avais pas saisi !! oui Mary la persécution a franchie des limites , hélas !
  21. aurais-je écris quelque chose de different ? (a une époque c'était les BA aujourd'hui ce sont les Molosses )
  22. Mamamtoya , sans vouloir me faire l'avocat du diable , il fut une époque ou c'est le BA qui était montré du doigt car quelques uns avaient tué mais ça restait comme pour le Rott et autres molosses dans une proportion ridicule par rapport a la totalité des "accidents" et aujourd'hui la tête de Turc ce sont les molosses je pense que la comparaison ce fait a ce niveau sans discriminations aucunes envers le BA !! a chacun son époque c'est tout , demain ce sera une autre race et l'histoire se répétera !!
  23. une trés belle plaidoirie pour ces magnifiques chiens que sont les molosses . Peut-être devrions nous instaurer une loi interdisant aux "cons" de sortir dans la rue ou de ce promener le Dimanche dans nos campagnes adorées ça faciliterait bien des choses pour nos toutous en tous cas !!
  24. je rejoint tout a fait ce texte ! l'agressivité dans presque tous les cas est un moyen de communiquer : sa peur , son désir de dominer , la protection des petits ou de son domaine ou de sa nourriture ! celà peut effectivement s'appliquer a de nombreuses situations , on peut dire plus simplement que c'est de la communication !!! merci aussi pour ce texte Flo !
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