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Max|mum-leterrarium

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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. Un serpent de plus de 4 mètres Examens de reptiles mercredi à La Chaux-de-Fonds à l'occasion des travaux de révision technique du vivarium du Bois du Petit-Château. Le plus grand et le plus petit des serpents non venimeux ont été pesés et mesurés. Le python réticulé mesure 4 mètres 40 et pèse envrion 75 kg, alors que le serpent-roi noir mesure 1 mètre 05 et pèse 335g après avoir mangé. Le vivarium procède au moins une fois par année à des mesures et pesées pour déceler d'éventuelles anomalies dans la courbe de croissance des animaux. La population est invitée dimanche de 14h à 17h pour découvrir par petits groupes les travaux de révision en cours au vivarium. Vin chaud et sucettes au sirop d’érable seront de la partie. /mvr Source
  2. Une golfeuse mordue par une araignée CANBERRA, Australie – La golfeuse suédoise Daniela Holmqvist dit qu’elle a été piquée par une araignée et qu’elle a utilisé un tee afin d’extraire de sa cheville ce qu’elle croyait être du venin potentiellement mortel, avant de compléter son parcours de qualification au tournoi inaugural de la LPGA, en Australie. La Fédération suédoise de golf a rapporté sur son site Internet que Holmqvist se trouvait au quatrième trou du terrain Royal Canberra, au moment où elle a ressenti une vive douleur à une cheville. Holmqvist a repoussé l’araignée qu’elle a dit croire être une veuve noire. Les dirigeants du tournoi estiment plutôt qu’il s’agissait d’une araignée à dos rouge. L’Université de Melbourne soutient que 250 personnes sont traitées annuellement pour des morsures d’araignées à dos rouge depuis qu’on a découvert l’antidote en 1955. Source
  3. Japon : ils inventent des nageoires pour une tortue amputée Yu, une caouanne d’environ 25 ans, s’était fait déchiqueter les deux membres antérieurs par un requin avant sa capture. Mardi, elle a pu à nouveau se déplacer grâce à deux nageoires artificielles dans son aquarium de Kobe (ouest du Japon). Ces deux membres en caoutchouc ont été attachés à une sorte de maillot solidement fixé sur son corps, a expliqué le directeur de l’aquarium, Naoki Kamezaki. «Nous avons travaillé dur pour fabriquer un maillot que la tortue ne peut enlever involontairement», a-t-il souligné. «Elle peut bouger ses membres car le maillot est souple». L’animal, qui pèse 96 kilogrammes avec une carapace de 82 centimètres de long, avait été retrouvé dans le filet d’un pêcheur et envoyé à ce parc aquatique de Suma à la mi-2008. Source
  4. Médéa : alerte au scorpion ! Depuis quelques années déjà, toutes les statistiques relevées dans la wilaya de Médéa indiquaient l'inexorable progression de l'envenimation scorpionique, avec pour unique riposte la sérothérapie sur un territoire de 1 514 ha peuplé par 53 000 habitants disséminés entre les communes de Boughzoul, Chahbounia et Bouaiche. C'est le royaume de la plus redoutable espèce de scorpion: l'Androctanus australis hector dont le venin (neurotoxine) est plus dévastateur que celui du cobra royal. Le quotidien Mon journal a mené une enquête à travers les zones de prédilection du "tueur d'hommes" comme on le surnomme ici. Entre Boughzoul et Bouaiche, un même paysage aride défile, inlassablement, sous nos yeux, ainsi qu’une procession de mulets croulant sous le poids de jerrycans d'eau et bonbonnes de gaz. Nous échangeâmes quelques mots avec les habitants de Bouaiche, extrême sud de la wilaya de Médéa. On s'est contenté d'une galette et d'un bol de l'ben. Nous eûmes droit à un véritable exposé épidémiologique sur l'envenimation scorpionique: "A partir du mois de mai, le scorpion fait son apparition, et les piqures atteignent leur pic entre juillet et août. Elles surviennent surtout à l'intérieur des haouchs. Certaines sont modérées, d'autres sévères. Et tout dépend de la taille de cet arachnide, de la dose inoculée et surtout du temps d'évacuation qui ne doit pas dépasser 3 heures. Généralement, les gens éloignés ont recours à l'eau de javel, l'huile de nigelle, la succion, la pose de garrot, les insecticides. Mais cela est dangereux comme nous l'a expliqué un médecin. En 2008, une lycéenne, âgée de 17 ans est morte, ainsi qu'un enfant de 7 ans à Mssiline. "C'est un scorpion de 10 à 12 centimètres, jaune paille qui a proliféré avec la disparition du hérisson", commente Hadj Dhiab de Bouaiche. Un village exposé à ce fléau, parfois mortel faute de spécialistes en réanimation. La prise en charge se résume pour l'essentiel à la sérothérapie. En cas d'envenimation sévère (stades 3 et 4), "la victime nécessite impérativement le concours d'un spécialiste en réanimation. Ce qui n'est pas le cas au niveau des centres de santé et salles de soins de la daïra de Chahbounia", comme nous l'explique un médecin généraliste qui a précisé que dans ce cas de figure, les symptômes vont de l'insuffisance respiratoire aiguë à l'œdème pulmonaire en passant par une augmentation de la pression artérielle, l’altération de la mémoire, l'hémorragie interne ,l'ischémie, la scarification". Missoumi Abderrahmane Source
  5. Soubhanallah ! Des centaines d'araignées se ballade sur des toiles tissées 10 février 2013 — (18h30) Un phénomène étrange s’est produit à Santo Antônio da Platina au Brésil, alors que des milliers d’araignées se sont regroupées pour produire une immense toile. En vidéo: Gisèle Quiniou nous présente des images qui ont été publiées sur YouTube. Suspendues dans les airs à des fils électriques, celles-ci donnaient l’impression d’être tombées du ciel. Les scientifiques tentent de comprendre ce qui a poussé ce groupe d’arachnides à se regrouper soudainement. Ce n’est pas la première fois que l’on constate que certaines espèces d’araignées cohabitent dans des colonies. En Argentine, un événement similaire avait été observé en 2007. Source
  6. Découverte d'une nouvelle espèce de grenouille volante En 2009, lors d'une expédition dans une plaine forestière vietnamienne dans la zone d'Ho Chi Minh City, "nous sommes tombés par hasard sur une énorme grenouille verte, postée sur un tronc d'arbre," raconte Jodi Rowley, biologiste, spécialiste des amphibiens du Musée de Sydney (Australie) qui vient de signer une nouvelle étude sur les grenouilles. Elle a pu vérifier que cette grenouille volante de 9 cm appartient à un type relativement gros et jusqu'alors inconnu d'une famille de grenouilles « parachutistes » qui a développé des attributs aérodynamiques (comme des pattes palmées) pour voler d'arbre en arbre, explique-t-elle. Le Professeur Rowley explique dans le communiqué officiel qu'elle a appelé la nouvelle espèce de grenouille volante la « Grenouille d'Hélène » en hommage à sa mère, Hélène Rowley, "qui a inlassablement soutenu sa fille unique dans ses expéditions en quête de grenouilles dans les forêts du sud-est asiatique". Le Pr Rowley a reçu une dotation du National Geographic Committee on Research and Exploration pour poursuivre l'étude de la grenouille. Elle a ainsi pu établir qu'elle appartient à une famille de grenouilles volantes riche de 80 types. "Elle est la plus douée des grenouilles volantes", explique-t-elle, "grâce à ses grandes mains et ses grands pieds, palmés jusqu'au coussinet des orteils. Les avant-bras des femelles (plus grosses et plus lourdes que les mâles), sont en plus équipés d'une membrane qui leur permet de planer. Mais ces petites membranes ne font probablement guère la différence en vol," note-t-elle. Elle note dans son blog qu'il "peut paraître incroyable qu'il ait fallu attendre aussi longtemps pour découvrir une grenouille d'une telle taille à moins de 100 kilomètres d'une mégapole de plus de 9 millions d'habitants. Pourtant, elles ne sortent que rarement de la canopée et peuvent donc facilement passer inaperçues". La grenouille volante menacée Désormais, la grenouille volante d'Hélène ne pourra pas encore longtemps ignorer l'expansion urbaine autour d'Ho Chi Minh Ville, qui risque bientôt de menacer son habitat. "A ce jour, seuls cinq individus ont été trouvés au sud du Vietnam, dans deux zones de plaine arborées bordées de rizières", précise le Pr Rowley. "Ces animaux sont probablement capables de supporter une certaine dose de perturbations tant que leurs grands arbres et leurs étangs temporaires sont préservés", ajoute-t-elle. Mais les plaines arborées comptent parmi les habitats les plus vulnérables, étant accessibles aux fins d'exploitation forestière et de développement. "Si les biologistes viennent à peine de découvrir la grenouille volante d'Hélène", écrit le Pr Rowley, "malheureusement, comme beaucoup d'autres espèces, elle est terriblement menacée par la perte ou la dégradation constante de son habitat." Source
  7. Cet enfant de 13 ans a fait d'un python son meilleur ami En Chine, Azhe Liu, un enfant de 13 ans vit avec un python de plus de 4 mètres de long. Dès sa naissance, l'enfant a été mis en contact avec le jeune reptile. Au fils des années, ils ont développé une belle complicité. Azhe Liu est un Chinois de 13 ans qui a passé toute son enfance avec un python comme meilleur ami. Quelques années avant sa naissance, Chen Liu, le père d'Azhe Liu, était tombé sur un œuf de serpent. Ce dernier a éclos et le reptile a commencé à faire partie de la famille. A l'arrivée de ce nouveau bébé, Azhe Liu et le serpent ont rapidement été mis en contact. Les parents d'Azhe Liu l'ont laissé apprivoiser l'animal dès les premiers mois de sa vie. L'enfant n'avait donc aucune appréhension et a développé une belle complicité avec le reptile. Le site Oddity Central précise même que dès l’âge de 9 mois, l'enfant était autorisé à dormir avec le python. Aujourd'hui, l'animal pèse près de 100 kilos et mesure plus de 4.5 mètres de long. Il entretient toujours une jolie relation amicale avec l'enfant. Le jeune âge de ce garçon lui a donc permis d'aller vers cet animal effrayant sans aucune appréhension et lors des premiers mois de sa vie, les parents d'Azhe Liu surveillaient étroitement l'évolution de la relation entre le bébé et le python. Pourtant, ce jeune garçon restait souvent seul avec son compagnon lorsque ses parents partaient au travail. Il n'y a pas de risque selon les parents Ce geste que beaucoup de personnes pourraient juger totalement inconscient de la part de jeunes parents, ce couple l'explique en mettant en avant le fait que le serpent n'a jamais fait de mal à son enfant, ni montré une quelconque hostilité à son égard. La présence d'un python dans la chambre de son fils apportait également quelques avantages. En effet, lors des nuits trop chaudes, la température relativement basse de l'animal jouait un rôle de climatiseur dans la chambre d'Azhe Liu. Passionné par les animaux, l'avenir de cet enfant est déjà tout tracé. Il sait qu'il veut devenir zoologiste pour exploiter ce lien exceptionnel qu'il a avec les animaux. Durant son enfance, l'enfant n'a jamais été attiré par les jouets. Seuls les instants partagés avec le dangereux reptile comptaient à ses yeux. Source
  8. La jihad du Python Depuis mi-janvier, 1500 chasseurs se sont inscrits au premier Python Challenge de Floride. Le concours consiste à tuer le plus grand nombre possible de pythons de Birmanie, une espèce qui a envahi le parc national des Everglades. Le python de Birmanie a proliféré dans l’Etat d’une manière éhontée. C’est l’opposé du bison, que les tribus indiennes réintroduisent dans les grandes plaines ou du pika (ochotona princeps), une sorte de lièvre miniature de la taille d’un cobaye. Le python est une espèce non indigène ; une pièce rapportée, qui a bénéficié de la mondialisation des fantaisies individuelles. Les premiers pythons ont été adoptés dans les années 90 comme animaux de compagnie (des joyeux drilles, ces pythons comme chacun sait. Il y a quelques années, on a retrouvé un demi-alligator dans l’œsophage du reptile). Finalement, les propriétaires, débordés, ont préféré s’en débarrasser dans les marais. Les pythons birmans ont envahi les Everglades, cette région de 6100 km carrés à la pointe de la Floride, classée au patrimoine de l’humanité. Ils détruisent l’écosystème, et engloutissent tout sur leur passage : lapins, renards, opossums. Ils remontent vers le Nord et, selon les scientifiques, pourraient envahir tout le sud des Etats-Unis. Cette année, le désespoir a conduit la commission des pêches et de la faune de Floride à lancer un grand concours national : le challenge du python. L’objectif est d’ « attirer l’attention du public sur les pythons de Birmanie ». Autrement dit d’en tuer le plus possible. Les volontaires ont le choix des armes, machette ou fusil, mais il faut avoir détruit la tête. « Comme si la Floride n’apparaissait pas déjà assez dingue au reste du monde, voilà que l’Etat a invité tous les fondus des armes à feu», écrit Dave Barry, le chroniqueur–humoriste du Miami Herald qui vient de publier un roman (Insane City) dont l’un des protagonistes est un python albinos, du genre de ceux que les bateleurs montrent aux touristes sur les plages de Miami… En quatre semaines, plus de mille chasseurs ont débarqué dans les Everglades pour profiter de l’aubaine (pas besoin de permis pour tirer dans les fourrés. Et l’inscription au concours ne coute que 25 dollars). Ils ont fait des milliers de km pour le plaisir de participer à ce que certains appellent Snake Jihad, la guerre sainte pour empêcher les serpents de « prendre le contrôle du reste de l’Etat ». Dans leur tenue de camouflage, les jihadistes arpentent les marais avec leur arme à feu ou leur machette. Il n'est pas illégal de manger la chair de l'animal mais sont informés que les tests ont montré des niveaux de mercure dangereux. Selon le règlement du concours, les participants ont « l’obligation morale de tuer le python de manière humaine ». Sur le site web, un graphique indique l’endroit précis du plat de la tête où frapper pour que le serpent ne souffre pas (le cerveau du python peut rester actif plus d’une heure après la décapitation), ce que la Commission des pêches appelle: "récolte humaine du python". Mais, même "humainement" administré, le massacre des pythons a ses ennemis, comme PETA, le groupe qui lutte contre la cruauté envers les animaux ("c'est l'année du serpent", proteste-t-il). Et ses détracteurs dans la presse, comme le National geographic qui relève que le python birman ne pourra jamais être éradiqué de toute façon (certains -peut-être pas très objectifs- trouvent que les grenouilles de Cuba font plus de dégâts, mais que l'opinion de tolérerait pas la chasse à un animal aussi mignon qui a peut-être fui le régime, après tout). La récompense, qui doit être décernée le 16 février, est de 1500 dollars pour l’équipe qui tue le plus grand nombre de pythons ; 1000 dollars pour celle qui attrape le plus long (les serpents peuvent mesurer plus de 4 mètres). Le 7 février, deux chasseurs épuisés et déshydratés, originaires du Tennessee, ont du être secourus dans les Everglades. A ce jour, 50 pythons seulement ont été tués. Il en reste des milliers. « Il va peut-être falloir en venir aux drones », prévoit Dave Barry. Source
  9. Morandini zap : capture d'un varan en Thaïlande Morandini zap : capture d'un varan en Thaïlande Vidéo jeanmarcmorandini sélectionnée dans Replay TV Source
  10. La mission impossible de Richard Clayderman Le pianiste était sollicité pour faire s'accoupler des tortues Convié par le zoo de Londres à jouer sa musique pour inciter les tortues à se reproduire, Richard Clayderman a finalement échoué dans cette mission. La musique de chambre ne traverse pas les carapaces. Dick n’est pas sensible à la musique. Il faut dire qu’à 70 ans, c’est bien la première fois qu’il en entendait. Dick est une tortue protégée, originaire des Galápagos, et sur lui reposent bien des espoirs de reproduction. Le zoo de Londres a estimé qu’un peu de musique aiderait son locataire mâle à faire le premier pas vers ses promises. Pour ce faire, rien de moins que le «prince de l’amour» au clavier. Jeudi, Richard Clayderman, le pianiste français, a donc joué ses plus beaux morceaux dans le cadre très particulier de la cage aux tortues. Pour ce génie du piano «la musique est une chose puissante (…) elle a un effet positif sur les animaux comme sur nous». Malheureusement, ni Dick, ni Priscilla, pas même Polly et Dolores n’ont été excités par les notes de Richard Clayderman. Aucun acte sexuel ni même tentative n’ont été constatés entre les tortues. Leurs carapaces se sont simplement levées pour se ruer sur des carottes mises à leur disposition. La musique du Français, y compris sa célèbre Ballade pour Adelina, les a tout simplement laissés indifférents. Les tortues réputées pour leur lenteur auraient-elles eu besoin d’un peu plus de stimulation rythmique pour passer à l’acte? Source
  11. Brignogan-Plages. Une tortue marine vient s’échouer au phare Océanopolis a été contacté pour venir identifier et étudier cette tortue marine que les courants ont portée à la côte, à Brignogan. Ouest-France. La tempête a poussé bien des épaves à la côte, près de Brignogan-Plages (Finistère) dont la liste complète ferait un inventaire à la Prévert : une bouée cardinale (Aman Ar Ross), un dauphin, un mergule nain (un pingouin originaire de l’Arctique) et tout dernièrement, une tortue marine. L’animal qui pèse 2,8 kg, est venu agoniser non loin du phare. Un des permanents du club nautique, Jean-Luc Brébion, a ramassé la tortue alors qu’elle expirait : « C’est la deuxième tortue tropicale qui vient s’échouer ici en 15 ans. » Source
  12. La tortue cistude, star du lac À Aix-les-Bains, hier et avant-hier, se sont déroulées les Journées techniques cistude. Le Conservatoire du patrimoine naturel de la Savoie (CPNS) avait convié une soixantaine de scientifiques internationaux passionnés pour évoquer sous différents angles la réintroduction de la tortue cistude dans le milieu naturel et notamment dans les eaux du lac du Bourget. Le retour de cette espèce protégée en voie de disparition date du début des années 2000. En effet, entre 2000 et 2002, au sud du lac du Bourget dans l’étang des Aigrettes, un site géré par le CPNS, et vers Chanaz, 35 jeunes tortues cistudes ont été lâchées. Le radiopistage a permis d’effectuer un suivi attentif des nouvelles venues. « Nous avons déterminé un taux de survie totale et une exploration du lac par les cistudes. » Toutefois, les animaux réintroduits sont restés fidèles à leur zone de lâcher. En ce qui concerne la reproduction, les techniciens ont pu constater quelques éclosions. « En 2007, on a capturé un jeune né après la première année de réintroduction », a expliqué André Miquet, responsable scientifique du CPNS. Une réintroduction a également été faite dans le bassin des Mottets, afin de garantir la réussite de la réintroduction. En 2009, 28 jeunes ont aussi été lâchés au nord du lac, près de Chanaz. En 2013, un nouveau lâcher sera effectué sur ce site. En 200 ans, au XIX e et XX e siècles, l’homme a éradiqué les tortues cistudes du lac du Bourget. « Viande appréciée, surpêche et destruction des lieux de ponte et de l’habitat ont favorisé sa disparition. La reproduction a été insuffisante pour compenser la mortalité », a commenté le scientifique. Aujourd’hui encore, la société humaine met en danger ses animaux. « Certaines femelles sont écrasées par les voitures au moment de la ponte. » Les tortues mises à l’eau pesaient environ 150 grammes. Aujourd’hui, parvenus à l’âge adulte, les animaux d’une vingtaine de centimètres de diamètre peuvent être observés à la jumelle vers 11 heures du matin, sur les zones du lac très ensoleillées. « Les tortues profitent de ce moment de la journée plus chaud pour réguler leur température corporelle. » Un enclos d’observation avec panneau pédagogique pour le public a été installé depuis 2005 aux Mottets. Et alors que les cistudes avaient disparu, une autre espèce, qualifiée d’”exotique” pour contourner une loi interdisant leur importation et leur vente en France, a proliféré dans le lac. Selon André Miquet, chaque année, le CNPS capture une trentaine de tortues de Floride (tempes rouges). « Elles sont remises au Parc de la Tête d’or d’Aix-les-Bains », a souligné le scientifique. Source
  13. Une mygale dans un restaurant (Lyon) par telelyonmetropole
  14. Lyon 5e : les pompiers à la recherche d'une mygale Des restaurateurs de la rue Saint-Jean ont fait une rencontre peu banale jeudi. Ils auraient aperçu une mygale dans leur cave, selon le Progrès. Les pompiers sont rapidement arrivés sur place, mais l'araignée avait déjà disparue. Des pièges pourraient être installés afin de capturer l'animal. S'il s'avère qu'il s'agit bien d'une mygale, elle pourrait s'être échappée d'un vivarium d'un particulier. Source
  15. Hong Kong entre dans l'Année du serpent, le serpent entre dans les foyers Avec l'effervescence de l'arrivée du nouvel an ce dimanche, les ventes de serpents dans les animaleries de la mégapole ont bondi. Alors que les générations précédentes n'en auraient même pas laissé dans leur jardin, les serpents sont maintenant très "tendance" à Hong Kong, ville surpeuplée où les amoureux des bêtes cherchent des animaux de compagnie qui n'aient pas besoin de grands espaces. YASUYOSHI CHIBA / AFP Hong Kong entre dans l'Année du serpent : moins bruyant qu'un chien ou un chat, plus propre aussi, cet animal central dans l'horoscope chinois gagne en popularité dans la mégapole où il fait volontiers office d'animal domestique. Avec l'effervescence de l'arrivée du nouvel an ce dimanche, les ventes de serpents dans les animaleries de la ville ont bondi. Au Paradis des reptiles, un magasin du quartier de Mong Kok, une douzaine de jeunes serpents essayent de sortir avec frénésie de leur petite boîte en plastique. En plus des traditionnels tortues et lézards, la boutique vend des couleuvres, des serpents des blés, des serpents-rois et des pythons royaux... ainsi que des souris vivantes pour les nourrir. Selon le gérant, Vincent Cheung, les ventes de serpents n'ont cessé d'augmenter durant plusieurs mois avant l'arrivée du nouvel an. "L'augmentation durant les mois précédents et ce à quoi je m'attends pour les mois à venir est de 20 à 25 % de ventes supplémentaires comparé à l'année dernière", assure-t-il. Il a vendu de 100 à 150 reptiles les trois derniers mois et se souvient d'une flambée similaire la précédente Année du serpent, en 2001. "Quand l'Année du serpent arrive, les gens tiennent à vraiment faire des économies pour s'en offrir un. S'occuper de serpent est très simple comparé à d'autres types de reptiles", explique Cheung à l'AFP, ajoutant que les clients se renseignent simplement sur Iternet. Alors que les générations précédentes n'en auraient même pas laissé dans leur jardin, les serpents sont maintenant très "tendance" à Hong Kong, ville surpeuplée où les amoureux des bêtes cherchent des animaux de compagnie qui n'aient pas besoin de grands espaces. Les espèces les plus populaires à Hong Kong sont les couleuvres ou les serpents des blés qui mesurent jusqu'à 1 m 20 à l'âge adulte. Un mets de choix Mais tandis que d'autres reptiles de compagnie, comme la tortue, représentent de façon univoque la chance, la longévité et la fortune, le serpent jouit de réputations diverses, et parfois contradictoires, dans la culture chinoise. Représentant pour certains l'intelligence et le bonheur, cet animal peut aussi être associé à la tragédie. Certains croient que trouver un serpent dans une maison amène une catastrophe imminente à la famille concernée ; tandis que d'autres estiment que cette découverte apporte la chance et la paix. Le serpent est présenté comme un mets de choix dans la cuisine chinoise méridionale. Souvent servi en soupe, il est censé améliorer la circulation sanguine et renforcer les défenses immunitaires. Mais la multiplication des herpétophiles amateurs inquiète les passionnés et les associations de défense des animaux qui craignent des mauvais traitements et, in fine, l'abandon dans des conditions indignes. "Certaines personnes pensent que c'est une bonne idée d'impressionner les filles avec des serpents. D'autres veulent les garder pour gagner de l'argent en les élevant", déplore Gourry Chan, de l'animalerie Turtle Parc, dans le quartier de Mong Kok. Mais un serpent peut vivre jusqu'à vingt ans, bien plus longtemps qu'un effet de mode. "Certains sont vendus en ligne lorsque leur propriétaire en a assez ou bien d'autres meurent de négligences", souligne Gourry Chan. Les associations de protection d'animaux ont alerté le public que l'achat de reptile ne se faisait pas sur un coup de tête. "Il y a de nombreuses espèces de serpents qui nécessitent des milieux de vie différents, comprenant une température et un taux d'humidité adéquats pour permettre le bon développement physiologique de l'animal", plaide Fiona Woodhouse de la SPA hongkongaise. "Posséder un serpent demande des soins importants. La SPA ne pense pas qu'il soit fait pour être un animal de compagnie." Source
  16. Philippines : le plus grand crocodile marin du monde en captivité est mort Lolong, un charmant crocodile de 6,17 m, avait été capturé après avoir tué et dévoré plusieurs personnes. Les causes de sa mort sont inconnues. Le plus grand crocodile marin du monde en captivité est mort aux Philippines, 17 mois après avoir été attrapé dans le sud du pays, car soupçonné d'avoir tué et dévoré plusieurs personnes, ont indiqué lundi ses gardiens. Lolong, qui mesurait 6,17 m, est mort dimanche soir de cause inconnue, dans son enclos à Bunawan, une petite ville sur l'île méridionale de Mindanao, a déclaré à l'AFP la porte-parole de la ville. "C'est un jour très, très triste pour nous. Il nous avait apporté la célébrité. Nous réfléchissons à présent à la conservation de sa dépouille." Une équipe mandatée par les autorités locales avait capturé Lolong en septembre 2011 dans un marécage à proximité de Bunawan, après plusieurs alertes sur un crocodile mangeur d'hommes, qui avait tué un pêcheur et une fillette de 12 ans. Le reptile alors capturé a été déclaré en 2012 plus gros crocodile marin (en captivité) du monde par le Livre Guiness des records. Lolong avait ainsi détrôné Cassius, un crocodile de 5,48 m, qui vit dans un parc animalier en Australie. L'histoire de Lolong illustre le sort des crocodiles marins aux Philippines, soulignent les défenseurs de l'environnement. Ces reptiles, qui vivent dans les marécages, pâtissent de la destruction de leur habitat traditionnel, en raison de l'extension des zones habitées par les hommes. Lolong est un crocodile marin (crocodylus porosus), le reptile le plus grand de la planète, dont l'espérance de vie peut atteindre un siècle. Source
  17. ÉTATS-UNIS • La chasse au python, une affaire qui rapporte Python Challenge 2013 – Le site web du concours 600 individus se sont inscrits au concours de chasse au python birman organisé par l’Etat de Floride à partir de la mi-janvier. Il s’agit d’éliminer le plus possible de ces animaux – importés d’Asie et relâchés par leurs propriétaires – qui pullulent dans le parc des Everglades et font des ravages dans la faune locale. Celui qui en aura tué le plus empochera 1 500 dollars (1 100 euros) ; celui qui aura attrapé le plus long (certains font plus de 5 mètres), 1 000 dollars. Python Challenge 2013, clôture de l’épreuve le 10 février. Source
  18. INDONÉSIE : UN DRAGON DE KOMODO ATTAQUE DEUX PERSONNES Un dragon de Komodo, le plus gros varan du monde, a attaqué mardi deux employés de la réserve animalière où ils vivent, en Indonésie, a-t-on appris mercredi auprès du parc. Ce rare accident est survenu sur l'île de Rinca, au milieu du parc national de Komodo, à environ 400 km à l'est de Bali, le seul endroit où vivent encore en liberté des dragons. L'animal de deux mètres de long s'est introduit dans le guichet d'un guide de 50 ans, chargé de distribuer des billets aux touristes. L'homme, déjà victime d'une agression semblable en 2009, "a paniqué et a tenté de s'échapper en sautant sur une chaise", a expliqué à l'AFP Heru Rudiharto, un responsable du Parc national de Komodo. "Mais le varan a attrappé sa jambe et l'a mordu", a-t-il ajouté. Un autre employé, alerté par les cris de son collègue, a alors accouru mais le dragon s'est retourné vers lui et lui a également mordu une jambe. Les deux hommes ont été hospitalisés et leur vie n'est pas en danger mais ils sont maintenus sous surveillance par peur d'empoisonnement. Le dragon de Komodo est en effet reconnu pour les glandes situés dans sa gueule et qui renferment un puissant poison capable de paralyser les proies. Le varan (varanus komodoensis) est le plus grand reptile saurien carnivore du monde, pouvant atteindre trois mètres. Ce rescapé des temps préhistoriques est capable d'assommer un cerf d'un coup de queue et de dévorer une chèvre entière, crâne et cornes comprises. En mars 2009, un pêcheur avait été tué par un dragon qui s'est attaqué à lui alors qu'il cueillait des fruits. Deux ans auparavant, un enfant de 9 ans avait perdu la vie dans des circonstances similaires. Il resterait quelque 3.000 dragons du Komodo dans le parc et les alentours, où les touristes ne peuvent se promener sans la protection rapprochée d'un garde-forestier. Source
  19. Tuer une araignée peut s'avérer très dangereux Une sexagénaire australienne a provoqué une grosse explosion dans son habitation en tentant de tuer une araignée. La phobie des araignées peut avoir des conséquences désastreuses. A Sydney en Australie, une femme de 66 ans, qui a extrêmement peur des araignées, a bien failli perdre la vie en essayant d'en tuer une ce samedi. Cette Australienne se trouvait dans sa salle de bain lorsqu'elle a vu qu'une grosse araignée était partie se planquer sous sa machine à laver. Elle a alors saisi sa bonbonne d'insecticide et s'est mise à pulvériser sous la machine. Soudain, une grosse explosion, due à la pulvérisation d'insecticide selon les enquêteurs, s'est produite. La salle de bain a été en grande partie détruite mais par chance, la victime ne souffre que de blessures mineures. On ignore cependant si l'araignée a survécu. Source
  20. Ça me laisse croire à une ponte laisser trop longtemps sans les bons paramètres
  21. Sortie2 « Fréquence grenouille », Villeneuve-lès-Maguelones Le mardi 16 avril 2013, de 19h30 à 22h, Maison des Salines, Chemin des Salins, Villeneuve-lès-Maguelone. Conférence et sortie à la recherche des habitants de la mare. Tout public Durée : 2h30 Gratuit RDV à la maison des salines Prévoir une lampe de poche Réservation obligatoire au 04 67 13 88 57 Depuis le centre-ville, emprunter la route de Mireval ; au deuxième rond-point prendre la troisième sortie (bld Carrière Poissonnière) ; puis suivre direction les salins http://www.villeneuvelesmaguelone.fr/index.php?view=details&id=683%3AFr%C3%A9quence+grenouille&option=com_eventlist&Itemid=13 Source
  22. L'ADN d'une tortue en danger révèle sa vie conjugale La tortue imbriquée, Eretmochelys imbricata, victime de la chasse, est une espèce en danger critique. Une étude récente, basée sur des échantillons d’ADN, renseigne les habitudes d'accouplement, qui a lieu discrètement au large. Ces reptiles sont monogames et le nombre de mâles, qui se montrent très peu, est plus important que prévu. Des renseignements précieux pour mieux protéger l’espèce. La tortue imbriquée, Eretmochelys imbricata, vit principalement dans les eaux tropicales. Longtemps chassée pour sa carapace, elle fut classée en 1996 comme espèce en danger critique, sur la liste de l’UICN (Union internationale pour la conservation de la nature). Depuis, la chasse est illégale et l’espèce est sous haute surveillance. Les zones de ponte sont particulièrement étudiées par les écologistes, afin de sauvegarder l’espèce. Les hauts lieux de ponte (c’est-à-dire des sites de plus de mille nids) se trouvent essentiellement aux Seychelles, en Australie, en Guyane française et sur la péninsule du Yucatán, au Mexique. Parce que l’accouplement de ces tortues a lieu au large, il est presque impossible de l’étudier. Leur mode de reproduction demeure donc méconnu. Ainsi, une équipe de scientifiques de l’université d'East Anglia (UEA, Norwich, Angleterre) s’est intéressée aux spécimens qui se rendaient sur l’île Cousin, aux Seychelles, pour pondre. L’étude, publiée dans la revue Molecular Ecolog, révèle que la femelle tortue imbriquée ne s’accouple qu’une fois, au début de la saison et qu’elle est capable de conserver le sperme pendant 75 jours, le temps de trouver le bon lieu de ponte. Ainsi, pendant deux mois, la femelle prospecte et choisit l’endroit qui lui semble le mieux protégé des prédateurs. Elle rejoint le lieu de ponte et construit plusieurs nids. L’étude montre également que ces tortues sont monogames. Des résultats obtenus à partir de leur ADN. Une tortue imbriquée s'enfouit dans le sable de l'île Cousin, aux Seychelles, pour pondre. Elle ne s'accouple qu'une fois par saison et est monogame. Capable de garder le sperme durant 75 jours, elle prend le temps de constituer différents nids et pond dans chacun. Toutes les progénitures ont le même père. Karl Phillips Une espèce monogame qui ne s’accouple qu’une fois par saison ! L’équipe de recherche, dirigée par David Richardson, a prélevé des échantillons d’ADN tant sur les femelles que sur leurs progénitures. Les chercheurs ont ainsi pu identifier et compter le nombre de mâles reproducteurs en fonction de la femelle. Dans la majorité des cas (90,7 %), toutes les progénitures d’une femelle viennent d’un seul et unique mâle. Dans les rares cas de multipaternité, la femelle a été fécondée deux fois, mais jamais plus, et aucun mâle n’a fécondé plus d’une femelle. Ces résultats suggèrent que la femelle a la possibilité de choisir son mâle au sein d’un large éventail. Il semble enfin qu’une femelle n’ait pas de critère de sélection particulier dans son choix. Plus important encore, les analyses ADN ont permis d’identifier comment la population est génétiquement viable malgré le siècle de chasse qu’elle a connu. Sur l’île Cousin, la population est variée d’un point de vue génétique, en raison d'une importante concentration de mâles. C’est bon signe pour la survie de l’espèce. Néanmoins, cette constatation n’est pas généralisée : il apparaît que les rassemblements de tortues imbriquées qui pondent dans la zone de la Malaisie, de la Thaïlande et de l'Indonésie diminuent de façon fulgurante. Il est essentiel de déterminer la période et le lieu de l’accouplement ainsi que la diversité génétique. Cela permettrait aux écologistes de focaliser leurs efforts sur le bon déroulement de la reproduction de la tortue imbriquée. Avec de meilleures connaissances, les chercheurs seront peut-être ainsi capables de sauver les lieux de pontes, et de préserver cette espèce menacée. Source
  23. Malheureusement, je ne crois pas qu'aucun d'entre eux soit bons
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