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Max|mum-leterrarium

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  1. Sortie « Fréquence grenouille », Villeneuve les Maguelone Le mardi 12 mars 2013, de 19h30 à 22h, Maison des Salines, Chemin des salins, Villeneuve les Maguelone. Fréquence grenouille : conférence et sortie à la recherche des habitants de la mare. Prévoir une lampe de poche. • Tout public • Gratuit • RDV à la Maison des Salines • Durée : 2h30 • Réservation obligatoire au 04 67 13 88 57 Depuis le centre-ville, emprunter la route de Mireval ; au deuxième rond-point prendre la troisième sortie (bld Carrière Poissonnière) ; puis suivre direction les salins http://www.villeneuvelesmaguelone.fr/index.php?view=details&id=680%3AFr%C3%A9quence+grenouille&option=com_eventlist&Itemid=95 Source
  2. Le réchauffement climatique est bénéfique... pour les couleuvres Les reptiles ont besoin de sources de chaleur externes pour vivre. Leur température corporelle idéale étant de 30 °C, quelles seront les conséquences du réchauffement climatique actuel ? Une équipe scientifique américano-canadienne s’est penchée sur la question. D’après eux, une expansion vers le nord des serpents ne serait pas à exclure… Le serpent paresse au soleil. Comme tous les reptiles, il est ectotherme, c’est-à-dire que son propre corps ne produit pas de chaleur. Sa température corporelle dépend donc des sources de chaleur extérieures, comme le soleil. Pour la majorité des serpents, la température corporelle idéale avoisine les 30 °C. Sous les tropiques, la température extérieure ambiante convient aux serpents, mais plus on remonte vers les pôles, plus ils sont obligés de changer de position régulièrement pour maintenir leur température. En dessous de 30 °C, le serpent entre en léthargie, au-dessus, il s’épuise très rapidement et meurt. La thermorégulation bien particulière des reptiles les rend très sensibles aux variations climatiques. Dans le contexte actuel d’un réchauffement climatique rapide, la question du devenir des serpents se pose. Comment s’adapteront-ils au réchauffement ? Vont-ils disparaître, ou au contraire proliférer ? Une étude menée par des biologistes de l’University of Illinois et de l’University of Ottawa suggère que les serpents, ou en tout cas les couleuvres obscures, Elaphe obsoleta, s’adapteront particulièrement bien à un climat plus chaud. L’équipe s’est intéressée à cette espèce parce qu’elle est répandue sur une large gamme de latitudes. L’Elaphe obsoleta se retrouve en effet au Texas, dans l’Illinois et au Canada. La distance latitudinale est supérieure à 1.500 km, ce qui fait de cette espèce un cas d’étude très intéressant en raison de la diversité de ses habitats. Au Texas, la couleuvre obscure devient nocturne sous l’écrasante chaleur de l’été. Dans l’Ontario ou l’Illinois, elle hiberne cinq à sept mois, pour ne pas avoir à affronter les hivers rudes. L’activité nocturne : la clé de survie Il est probable qu’avec le réchauffement climatique actuel, les conditions environnementales de l’Illinois et du Canada avoisineront celles que connaît actuellement le Texas. D’après l’étude, publiée dans le Journal of Thermal Biology, dans les trois lieux considérés, les couleuvres s’adapteront au changement climatique. Les chercheurs postulent même que les conditions plus chaudes seraient bénéfiques aux serpents s’ils deviennent plus actifs la nuit. Au Texas, les conditions météo sont déjà particulièrement difficiles pour l’animal. Il répond à la rudesse du climat en devenant périodiquement nocturne. Dans cette région, il n’aura donc pas à s’adapter, simplement à favoriser ses déplacements de nuit. Avec une augmentation de 3 °C dans les autres régions, les simulations de modèles montrent que la température corporelle du serpent sera viable, à condition que les couleuvres s’adaptent, comme leurs congénères texans, à une vie nocturne. Pour étudier le lien entre la température et le comportement des couleuvres, les chercheurs ont inséré de minuscules transmetteurs radio dans leurs corps. Le transmetteur émet en fonction de la température corporelle du serpent. Les biologistes en déduisent alors la température de l’animal. Ils ont ainsi pu créer une importante base de données. Avec cette dernière et des serpents modélisés (à partir d’un tuyau de cuivre peint en noir et rempli d’eau), les chercheurs ont évalué la réponse des serpents à divers modèles de conditions climatiques. Vers une prolifération de serpent ? Augmenter la température serait bénéfique pour les couleuvres obscures, mais d’autres paramètres sont à prendre en compte pour évaluer l’évolution du reptile. Les couleuvres obscures sont d'importants prédateurs des nids d'oiseaux. En devenant nocturnes, les couleuvres disposeraient d’une nourriture abondante. La nuit, les oiseaux femelles couvent leurs œufs et leurs oisillons dans les nids. Si le serpent attaque durant la nuit, les oiseaux femelles peuvent être pris au dépourvu. En journée, les volatiles sont rarement capturés, mais de nuit, ils ne voient pas arriver le serpent. Pour une meilleure compréhension de la relation proie-prédateur-climat, le principal auteur de l’article Patrick Weatherhead, étudie à présent en Caroline du Sud deux espèces de serpents différentes : l’une ne vit que le jour, et l’autre est capable d’adopter un mode de vie nocturne suivant les conditions climatiques. L’équipe suggère qu’une prolifération des couleuvres obscures vers le nord n’est pas à exclure, mais l’étude complémentaire de la Caroline du Sud est nécessaire pour conclure. Source
  3. Un python voyage sur l'aile d'un avion de Qantas Les passagers d'un vol de la compagnie australienne Qantas ont été les témoins stupéfaits jeudi du voyage clandestin d'un python sur l'aile de l'appareil. Mais le reptile est mort par hypothermie. Le reptile de trois mètres de long n'a été repéré qu'à une altitude de croisière par les passagers installés à l'arrière de l'avion assurant la liaison de deux heures entre Cairns et Port Moresby, la capitale de Papouasie-Nouvelle-Guinée. L'animal, probablement un python améthyste, le plus long serpent d'Australie, «était toujours sur l'avion à l'arrivée à Port Moresby mais il était décédé entretemps», a déclaré un porte-parole de Qantas. Le serpent était d'abord parvenu à s'abriter au creux d'un volet de bord de fuite, mais sa queue, dépassant de la cachette, battait au vent, condamnant ce constricteur des régions tropicales à une mort par hypothermie, selon un témoin. Qantas a précisé n'avoir jamais connu de cas similaire par le passé. (ats/Newsnet) Source
  4. Le venin d’araignée contre l’impuissance Une toxine extraite du venin d’une araignée sud-américaine présente d’étonnantes propriétés pour stimuler l’érection. Soulignons tout de suite que ces recherches en sont pour le moment à un stade d’exploration ; et qu’un traitement à usage humain n’est donc pas pour tout de suite. Néanmoins, la piste est (très) intéressante. L’objet de toutes les attentions : Phoneutria, un genre d’araignées que l’on trouve en Amérique du sud et en Amérique centrale. Son venin est particulièrement dangereux pour l’homme, en raison de l’action d’une neurotoxine puissante. Elle déclenche de sérieux troubles musculaires, respiratoires, cardiaques…, mais aussi, a-t-on observé, des crises de… priapisme (impossibilité de mettre un terme à l’érection). Les chercheurs se sont donc interrogés sur le potentiel de cette toxine dans la prise en charge des troubles érectiles. Ils ont procédé à des expériences sur le rat, et les résultats apparaissent particulièrement prometteurs : certains composants de la toxine agissent en stimulant de manière remarquable la production de monoxyde d’azote, crucial dans le mécanisme de l’érection (par dilatation des vaisseaux sanguins). Il reste à présent à affiner tout cela. Ces travaux ont été publiés dans le « Journal of Sexual Medicine ». Source
  5. Tu as de beaux Phelsuma! Juste comme ça, ton spécialiste t'a dit pourquoi qu'il croyait qu'ils étaient plus âgés?
  6. En fait, dans la nature, il va lécher les fruits trop mûrs qui tomberont au sol et qui fendront avec le contact au sol. Tu peux varier avec les fruits mais évite les agrumes. Tu peux les rendre en purée. Personnellement, j'ai beaucoup plus vue souvent des Anolis qui acceptaient un régime entièrement insectivores que le mix avec le régime frugivore. L'alimentation de base est axé plus sur les insectes au départ. Il fait quelle taille ton Anolis pour t'aider sur la taille des grillons?
  7. Le spécialiste a une drôle de manière d'expliquer les choses je trouve.
  8. Elle trouve un python enroulé autour de son bébé Une jeune maman australienne a eu la peur de sa vie lorsqu'elle a découvert qu'un python s'était enroulé autour de sa petite fille de deux ans. L'incident s'est produit à Lismore dans le Nord de l'Australie. Tess Guthrie, une mère de famille de 22 ans, s'est réveillée en pleine nuit après avoir entendu souffler son chat. La jeune femme a regardé Zara, sa petite fille de deux ans qui dormait avec elle dans le lit, et c'est là qu'elle a aperçu un python d'1m85 enroulé autour de la fillette. "Au début, j'ai cru que je rêvais", confie-t-elle au Daily Telegraph. Mais rapidement Tess comprend que le serpent est bien réel. Elle décide alors d'attraper la tête du reptile pour extraire son enfant. Surpris, le python a attaqué la petite fille en lui mordant la main à trois reprises. Zara a été emmenée à l'hôpital. Ses jours ne sont pas en danger. Selon un expert, le python se trouvait probablement dans la maison depuis plusieurs jours. "Il n'avait sûrement pas l'intention de blesser ou de dévorer Zara", confie Tex Tills, spécialisé dans la capture de reptiles. "Il faisait juste un câlin de groupe", poursuit-il. "Les Pythons ont sous leur mâchoire une rangée de capteurs grâce auxquels ils peuvent voir des images infrarouges. Dans l'obscurité, ils voient un bébé comme un point chaud". Selon lui, si le serpent a fini par mordre l'enfant c'est uniquement parce que sa maman a tenté de le capturer. Le python aurait pris peur et n'aurait fait que se défendre. A la demande de Tess Guthrie, le python n'a pas été euthanasié. Tex Tilss l'a relâché à environ cinq kilomètres de sa maison. Source
  9. Niger : Insolite. Enceinte, une femme accouche d’ un serpent ! Fait réel ou un montage? (Vidéo) Fait inédit, dimanche 30 décembre 2012, une femme accouche d’ un serpent au lieu d’un bébé. Les faits se sont produits à la maternité de l’Hôpital Poudrière de Niamey. L’information a été rendue publique sur les ondes du Groupe de télévision et Radio Saraounia de Niamey au journal de 20h 15mn. Aussitôt publiée, cette nouvelle mentionnant qu’une femme accouche d’ un serpent, a fait le tour de Niamey comme une traînée de poudre. Plusieurs commentaires ont fusé les uns plus insolites que les autres. Certains commentateurs estiment que le serpent doit purement et simplement être tué. Par contre d’autres pensent que le serpent ne doit pas être tué ce d’autant plus, ce n’est pas la première fois qu’une femme accouche d’ un serpent au Niger. Une autre femme accouche d’ un serpent dans la région de Zinder, l’une des huit régions du Niger située à plusieurs centaines de kilomètres de Niamey. Pour le cas de cette dernière, après avoir mis au monde le serpent, un enfant a suivi. L’information en elle-même est importante à révéler au public curieux de connaître ce qui se passe dans le pays, mais ce qui est déplorable, c’est l’image de la nudité de la bonne dame qui a été exposée à la télévision. A y regarder de près, l’image a dû être tournée à travers un appareil photo numérique dotée d’une option vidéo. A suivre… Source
  10. C'est un vétérinaire qui pourra t'aider rendu là
  11. Le scorpion empereur est une espèce très imposante de la famille des Scorpionidae et c’est également l’un des plus beaux scorpions. Le Pandinus imperator fait partie des plus grands scorpions connus à ce jour avec un corps large. Sa taille adulte est un maximum 20 cm queue comprise, mais en moyenne fait seulement entre 10 et 15 centimètres. Cela dit, du fait de la raréfaction de l’espèce, on trouve de moins en moins de grands spécimens. La femelle peut peser jusqu’à 50 g. Le poids moyen est de 30 g pour les mâles. Il est de couleur noire avec des reflets verdâtres ou brunâtres, à l'exception du telson, plutôt rougeâtre. Ses pinces sont larges mais surtout puissantes, elles sont de teintes brunâtre et granuleuses. Ce scorpion a aussi une queue longue bien que relativement fine. En introduisant le scorpion dans une boîte transparente, on pourra remarquer par le dessous au niveau de sternite, les peignes Ceux du mâle sont nettement plus longs et leurs dents également. Cependant, il est nécessaire de comparer au moins une fois des spécimens des deux sexes afin de percevoir la différence. Cependant le nombre de dents des peignes ne peut être un critère rigoureux de sexage. Bien que très douloureuse, la piqûre est considérée inoffensive pour l'homme : ses effets seraient semblables à ceux d'une grosse piqûre de guêpe. Elle provoque de violentes douleurs et des sensations de brûlure qui se transforment en engourdissement. Cependant, les manipulations ne sont jamais trop recommandées. Cette espèce se rencontre au Liberia, en Guinée, en Côte d'Ivoire, au Ghana, au Togo, au Bénin et au Nigeria. Cette espèce habite les régions forestières très humides, elle est terricole. Il ne craint ni l'humidité, ni la sécheresse et supporte des températures de 0 à 50°c, mais fuit le soleil direct. Comme tous les scorpions, le Pandinus imperator mène une vie cachée de telle sorte qu'on ne le voie pas souvent dans la nature. Sous la lumière du jour, il quitte rarement sa cachette et la nuit, il la rejoint aussitôt que l’approche d’un ennemi se fait sentir. Pour repérer des proies ou des adversaires (seuls facteurs qui ont de l’intérêt) il se sert de ses antennes situées en forme de « V » sous son ventre à côté du cloaque. Elles sont tellement sensibles qu’il peut percevoir une sauterelle à plusieurs mètres de distance. Les pas d’un homme lui fond effet d’un séisme, pas étonnant qu’il nous sente arriver de loin. Bien que les scorpions géants d’Afrique soient assez agressifs, ils vivent souvent à plusieurs dans un refuge. Ceci sans intérêt social, ils ne se partagent que la meilleur cachette. Dans son habitat naturel, ce scorpion se nourrit surtout d’insectes, particulièrement de termites dont il est friand. Carnivore, il peut avoir un menu varié composé d’autres arthropodes, de petits rongeurs ou de petits serpents. C’est une espèce protégée par la Convention de Washington et la décision n°338/97 du conseil de l’Europe. Tout achat ou don doit être assorti d’une facture ou d’un certificat de cession, l’importation nécessite un numéro CITES. On rencontre cette espèce en terrariophilie. Elle est généralement appréciée pour son maintien facile et son caractère assez calme. Sa grande popularité en tant que NAC (Nouveaux Animaux de Compagnie) met en danger l’espèce dans son habitat naturel. Sa popularité vient également du fait qu’il bénéficie d’une longévité importante : 8 à 10 ans en captivité. Placide et relativement craintif, il pince uniquement s'il y est contraint, et pique très rarement. Attention aux pinces tout de même : il peut aisément entailler jusqu'à l'os... La plupart des P. imperator sont de bons terrassiers et creusent beaucoup, ce qui nécessite une bonne épaisseur de substrat. Ils apprécient également grimper. On leur fournira donc des accessoires que l'on placera verticalement dans le terrarium (décors de fond en polystyrène, morceaux d'écorces, gros branchages, fausses plantes, etc...). Pandinus imperator étant l'un des rares scorpions placides, il est possible, en prenant de grandes précautions, de manipuler à mains nues les spécimens les plus calmes (le principal danger restant les pinces). Cependant, cette pratique reste fortement déconseillée, notamment à cause des risques d'allergies imprévisibles et inhérents aux envenimations scorpioniques. Un accident est si vite arrivé... Contrairement à beaucoup d’autres scorpions, Pandinus imperator peut vivre avec quelques congénères. On devrait mettre ensemble que des animaux de même taille, puisque les adultes sont enclin au cannibalisme et risquent de manger leurs camarades plus petits. Autrement, l'élevage est sans problèmes. Bien évidemment, il faut que le terrarium soit grand : 15 gallons pour un individu et au moins 25 gallons pour deux ou trois individus. Il est indispensable de reproduire son habitat d’origine et de lui fournir un terrarium chaud et humide. Les températures seront de 24-28°C le jour et 20-22°C la nuit, avec un gradient thermique si possible qui lui permettra de bénéficier de plusieurs températures dans son habitat : vous verriez alors qu’elle affectionne la chaleur, pour passer la plupart de son temps prés du point le plus chaud, ainsi qu’un taux d’humidité de 80%. Une bonne couche de tourbe humide et de terreau lui permettra de creuser un terrier. En substrat, je préfère le plantation soil (fibres de noix de coco), vous pourrez ainsi le changer 2 à 4 fois par an seulement, si vous entretenez régulièrement l’habitat du scorpion (retirer les restes de repas par exemple). Vous pouvez utiliser aussi de la terre ou de la mousse de tourbe. Il leur faut essentiellement un grand bassin avec de l'eau constamment fraîche, et une cachette correcte (en cas de présence de plusieurs animaux, plusieurs cachettes). Les Pandinus ont besoin d’un cycle normal jour/nuit, cependant ils sont crépusculaires et souvent plus actifs la nuit, lorsque tout est calme et qu’ils peuvent sortir de leur cachette. Tous types d'invertébrés, y compris les plus grosses blattes et les plus gros criquets peuvent servir de nourriture. Pour les plus jeunes, il faudra penser à adapter la taille des proies, bien que les grillons soient généralement recommandés. Les Pandinus ont souvent tendance à manger plus qu'ils ne devraient, risquant l'occlusion intestinale. Si le vôtre devient trop "rond", n'hésitez pas à le laisser jeûner quelques mois, jusqu'à ce qu'il retrouve une forme à peu près normale... Ils se nourrissent de petits vertébrés, grands insectes etc. Avec leurs antennes ventrales ils peuvent capter les vibrations du sol, provoquées soit par une proie soit par un ennemi qui s'approche. Ils capturent et tiennent leurs proies avec leurs grandes pinces et avec leurs petites pinces ils les déchirent pour les manger. Certaines proies d'une taille importante seront piquées avec leur dard afin de les paralyser et faciliter la digestion. (venin = suc gastrique). Les scorpions sont ovovivipares, l'éclosion des oeufs se produit à l'intérieur de la femelle puis les jeunes scorpions sortiront immédiatement. La durée de gestation est 8 à 15 mois... Bien que certaines pontes soient déjà survenues près de 2 ans après l'accouplement. La gestation sera influencée en fonctions de la température, du taux d’humidité et de la nourriture. Quelques heures avant la naissance, la femelle adopte la position typique : la partie du corps surélevée, elle place ses pédipalpes et ses deux premières paires de pattes en panier. Après l’ouverture de l’opercule génital, les bébés appelés pullus, tombent dans les pattes. Le nombre de pullus varie de 10 à 40. Sitôt mis au monde, les petits pullus montent sur le dos de leur mère. Ils n’en redescendront qu’après avoir effectué leur première mue. Durant cette phase, ils sont très vulnérables et sont incapables de se défendre. La femelle est très maternelle. Elle protège ses petits et les nourrit en découpant les proies en petits morceaux. Pendant tout ce temps, leur mère les aura nourris par simple échange cuticulaire. Les juvéniles de moins de 5-6 cm. vont presque toujours piqué leurs proies, au dessus de 10 cm. Ils sont assez gros et ne piquent généralement plus leurs proies, ce contentent de proies qu’ils pourront immobilisé avec leurs pinces seulement. L’espérance de vie est de 7 à 10 ans, dont environ 3 ans pour atteindre l'âge adulte. 90 % des Pandinus imperator sont produits dans des fermes d’élevage au; Bénin ,Côte d'Ivoire, Ghana, Guinée, Liberia, Nigeria, Togo. Le prélèvement sauvage tante a disparaître. La raréfaction en nature de P. imperator P. dictator et P. gambiensis ne viens plus des prélèvement sauvage, mais de la déforestation et destruction de son habitat.
  12. Nom scientifique : Chelonoidis carbonaria Nom français : Tortue charbonnière à pattes rouges Nom anglais : Red-footed tortoises Origine : Partie nord est et centrale de l'Amérique du Sud, en Guyane Française Biotope : Humide Température : 28 à 32°C Hygrométrie : 70 à 80 % Moeurs : Terrestre et diurne Taille adulte : En moyenne 30 cm Longévité : 60 ans Nourriture : Omnivore J'ai décidé de prendre cette espèce cette espèce étant donné qu'on m'en a proposé une cette semaine. La tortue charbonnière (Chelonoidis carbonaria) est une très belle tortue à la fois très sombre à noire et très colorée, avec des motifs orange vif sous forme de cercles ou de tâches. Les cercles se trouvent surtout au niveau de la tête et des pattes antérieures, et les tâches au milieu de chaque aréole Cette tortue est très active, surtout le matin et le soir. Cependant, en période très chaude, elle peut rester cachée pendant plusieurs jours. Elle nage très bien et ses longues pattes l'aident à parcourir les zones inondées. La carbonaria est omnivore, c'est à dire qu'elle mange aussi bien des fruits, des légumes que des protéines animales qui peuvent être des limaces, des escargots ou des souriceaux. La Chelonoidis carbonaria est en annexe II de la CITES ou Convention de Washington. Le fait de se retrouver en captivité a causé que l'espèce a souvent été relâché dans la nature et est considérée comme introduite dans plusieurs îles des Antilles et quelques autres endroits dans le monde.
  13. Nom scientifique : Iguana iguana Nom français : Iguane verte Nom anglais : Green iguana Origine : Amérique centrale et du Sud Biotope : Humide Température : 30 à 35°C Hygrométrie : 70 à 80 % Moeurs : Arboricole et diurne Taille adulte : En moyenne 1,5 mètre Longévité : 10 à 15 ans Nourriture : Herbovore Lorsque les gens voient un lézard, la première question qui leur vient en tête est souvent "est-ce un iguane?". C'est la preuve que l'iguane vert est probablement le lézard le plus connu. On parle ici du lézard vert foudroyant regardant toujours devant lui fièrement, la tête haute. Il avance sans peur. C'est probablement le lézard le plus majestueux que la terre ait pu voir. Les couleurs vives, l'aspect intéressant, la taille adulte et le caractère plus ou moins docile de cet animal, font de lui une bête fort intriguante pour les passionnés de terrariophilie. Par contre, dans son milieu naturel, il est apprécié pour sa chair et pour l'exportation des spécimens les plus vifs destinés au marché animalier. En Guyane française par exemple, cet animal continue d'être chassé malgré l'interdiction pour alimenter les marchés en viande et en oeuf. On peut rencontrer l'iguane vert dans le sud de la Floride, le long de la côte du Golfe de Floride, où il est considéré comme une espèce invasive. Les petites populations d'origine des Florida Keys ont été formés par des animaux transportés par des bateaux qui amenaient des fruits venus d'Amérique du Sud. Au fur et à mesure, d'autres iguanes ont été introduits dans la nature, souvent, des iguanes destinés à être des animaux de compagnie, relâchés dans la nature par leur propriétaire qui ne pouvaient plus s'en occuper, ou échappés. Ces iguanes survécurent et de développèrent même dans ce nouvel habitat.
  14. Ça vous dirait de voir une araignée faire la roue comme un paon? Terre – Animal: La Maratus est une araignée aranéomorphe de la famille de Salticidae! Et mis à part ces caractéristiques imprononçables… le mâle de l’espèce fait la roue comme un paon pour séduire sa future femelle… Incroyable et très beau. Je vous propose sur le sujet, une très belle vidéo de quelque 7 minutes où vous pourrez être du spectacle Source
  15. « La tortue, c’est mon emblème » Plus de 250 tortues sous toutes leurs formes. Théières, bijoux, habits, bibelots, sous-plats, cendriers, bougies, peluches, lampes, gratte-pieds, brosses de toilettes et, bien sûr, une vraie. Patricia Poudroux, 55 ans, habitante de Montgaillard, est une véritable passionnée. « La tortue, c’est mon emblème. Je suis avant tout envieuse de la maison qu’elle transporte sur son dos » explique Patricia Poudroux. Son rêve : voyager tout en conservant les conforts de sa maison à Montgaillard. « Je pourrais découvrir de nouveaux pays et être protégée par une carapace », sourit-elle . Petite et discrète, l’amatrice de tortues aime l’idée de pouvoir se cacher. Et ce depuis toujours. La sortie de l’école était suivie sans faute d’un tour au Jardin de l’Etat afin d’adminrer les tortues géantes. « Elles étaient sublimes et tellement plus grosses que moi », se rappelle-t-elle. Mais l’anecdote lui fait aussi de la peine. Un acte de vandalisme leur avait un jour couté leur vie. « Ils leur avaient même brulé les yeux ». Autre qualité incontournable chez la tortue : elle peut survivre sans manger ou boire pendant plus d’une semaine. La mère de famille n’a jamais aimé manger : « Depuis toute petite mes parents me forçaient à finir mon assiette. Je pouvais rester seule à table jusqu’à minuit ». Et pourtant elle cuisine tous les soirs pour son mari et ses deux fils. « Percher », sa tortue de 3 ans et bien évidemment sa préférée, la regarde faire. « Je la garde près de moi dans la cuisine et je lui raconte ma journée, avoue-t-elle, je vois que ça lui fait du bien après une longue journée dans son parc ». Patricia n’a réellement acheté des tortues qu’une fois mariée. Son entourage a très vite remarqué cette habitude particulière. « On m’offre des tortues le plus souvent en forme de bibelots, la maison en est remplie », explique-t-elle. Son mari, Philippe Poudroux, n’en achète seulement lorsque celles-ci lui tapent dans l’œil. La dernière acquisition ? Une petite tortue faite de sable qu’il a ramenée de son voyage en Guade-loupe. Les plus chères ont été les 4 tortues en cristal Swarosvki auxquelles elle n’a pu résister. Son fils aîné, Matthieu, apprécie bien la déco de la maison : « Je trouve ça joli et je lui en achète dès que j’en ai l’occasion ». Patricia Poudroux s’est un jour rendue à Keliona, l’observatoire des tortues marines. Elle n’y est jamais retournée. « Elles font beaucoup trop pitié dans leurs cuves. Elles ne peuvent pas évoluer dans de telles conditions ». Cinq espèces de tortues fréquentent les eaux de l’océan Indien. Pour les tortues de terre, on pourrait penser qu’elles résident toutes chez Patricia Pou-droux. Les petites bêtes ornent tous les meubles de la maison. Décoratives mais également utiles : même les toilettes contiennent une tortue-brosse. Soe Hitchon Source
  16. Mobilisation pour une tortue Vendredi dernier, des pêcheurs de la tribu de Gouaro ont repêché une tortue verte mal en point, après qu’elle eut vraisemblablement absorbé un sac plastique. Si l’animal est finalement mort dimanche à l’Aquarium des lagons, la mobilisation a été exemplaire. Certes, elle n’a pas survécu. Mais les efforts déployés pour tenter de la sauver témoignent d’une « prise de conscience qui commence à faire des petits », se félicite Karine Mesnier, membre de l’association Bwärä tortues marines. En ayant le réflexe d’amener immédiatement la petite tortue souffrante à l’association, vendredi dernier, Ronald Georges, coutumier de la tribu de Gouaro, aurait pu la sauver de la mort. D’après les pêcheurs de la tribu, au moment où ils l’ont récupérée la tortue ne pouvait plus plonger. « Ne plus pouvoir plonger signifie pour les tortues marines ne plus pouvoir s'alimenter. D’après les premiers symptômes, il semble fort probable qu'elle ait ingéré un pochon plastique », expliquait Christophe Mesnier, un des écogardes de Bwärä. Soins. La tortue, âgée d’une quinzaine d’années, semblait ne pas avoir mangé depuis très longtemps. Les bénévoles de l’association ont mis tout en œuvre pour la sauver. Après avoir essayé de contacter différents services, c'est finalement Sylvana Bima, vétérinaire à Bourail, qui est venue lui prodiguer gratuitement les premiers soins, avec une première piqûre d’antibiotique. La professionnelle a alors conseillé de la nourrir avec « des sardines allongées d'huile de paraffine » et de nettoyer régulièrement son bac. L’animal a donc passé la nuit de vendredi hors de l’océan, à l’abri dans un jardin. Samedi toute la journée, Bernard Guillaumet et Michèle Deffois, tous deux écogardes de Bwärä, sont restés à son chevet. Il a fallu aussi récupérer des bidons d'eau de mer. « Le transport du précieux liquide a été une vraie corvée », témoignent Karine et Christophe Mesnier, qui s’y sont attelés. Relais. Les uns et les autres ont ainsi cru pouvoir la tirer d’affaire, la tortue semblant reprendre un peu d’énergie. Samedi soir, la vétérinaire est revenue lui administrer des piqûres d’antibiotique et de réhydratation. Le lendemain matin, la tortue paraissait en bien meilleure forme, même si elle n'avait toujours pas réussi à rejeter le corps étranger avalé. D’où la décision des bénévoles de Bwärä de passer le relais aux professionnels de l’Aquarium des lagons, qui disposent de conditions de remise en forme plus appropriées. Autopsie. Laëtitia et Sébastien Fritsch, des anciens de l’association, ont joué les ambulances de service en déposant l’animal dimanche à Nouméa. Mais malgré tous ces efforts et l’espoir d’un « petit miracle de début d’année », la tortue est morte le soir même. Une autopsie sera pratiquée pour connaître les causes. En ce moment, l’Aquarium de Nouméa veille sur deux autres tortues une verte et une olivâtre , mal en point, « qui flottent ». « Nous en recevons régulièrement, mais il est rare que nous en ayons autant en même temps. Hélas, neuf fois sur dix, on ne peut rien faire pour elles. La plupart du temps, c’est parce qu’elles ont avalé des matières étrangères. » Plutôt fière de cette mobilisation, Karine Mesnier « remercie, au nom de l’association, toutes les personnes qui ont apporté leur concours pour tenter de sauver cette tortue » et « salue l’action positive des pêcheurs ». Des pontes prometteuses Depuis le 10 novembre, la saison des pontes bat son plein (jusqu’en avril). L’association Bwärä a déjà recensé 105 nids sur la plage de la Roche et une vingtaine à la baie des Tortues. Pour son président, Dominique Lafage, cette saison est prometteuse : « J’ai l’impression, que les tortues choisissent de plus en plus nos plages pour y déposer leurs œufs. Nos baies semblent très attrayantes, d’autant plus que, sur la plage du bonhomme, le sable est revenu à 90 % à son état initial », s’est-il félicité. Le public semble avoir pris conscience des précautions à respecter, puisque rien n’est encore venu contrarier le déroulement des pontes. « Mais il faut rester vigilant », avertit l’association, qui rappelle qu’il est important de ne jeter, dans l’eau comme sur les plages, ni poches en plastique ni mégots de cigarettes. « Les tortues prennent les poches pour des méduses et les mégots pour des crevettes. Cette ingurgitation leur est fatale. Si vous en trouvez, n’hésitez pas à les ramasser, insiste le président. Ceux qui partent sur les îlots, doivent faire attention aussi à ne pas faire de feu sur les plages où il y a des pontes. Et éviter également d’y emmener les chiens. » De notre correspondante, Nadège Bège Source
  17. SUIVEZ LA GRENOUILLE : COMMENT NE PAS SAUVER LA FORÊT TROPICALE ! Vous n'avez pas besoin d'aller jusqu'au bout du monde pour protéger la planète : il suffit de suivre la grenouille ! Pourquoi c'est important : l'agriculture et l'élevage sont responsables de 70% de la déforestation mondiale. En choisissant des produits labellisés Rainforest Alliance, vous soutenez les exploitations agricoles qui protègent les sols de l'érosion et les cours d'eau de la pollution et vous contribuez au bien-être des agriculteurs et de leurs communautés. Source
  18. Le crapaud accoucheur est l'animal de l'année 2013 de Pro Natura Après le lombric et l'oreillard brun, Pro Natura a choisi la crapaud accoucheur comme animal suisse de l'année 2013. L'organisation entend ainsi porter secours à cet amphibien menacé de disparition. Le crapaud accoucheur est l'animal de l'année 2013 pour Pro Natura. Cette espèce d'amphibien est gravement menacée en Suisse. La moitié de la population a disparu au cours des 25 dernières années. En élisant cette espèce, l'organisation veut donner "un coup de projecteur sur la situation préoccupante des amphibiens en Suisse". Elle exige une meilleure sauvegarde des biotopes existants et la reconstruction de zones humides. "Grenouille clochette" La disparition progressive du crapaud accoucheur a pour origine un manque "d'habitats appropriés dans nos paysages asséchés et propres en ordre", a indiqué jeudi Pro Natura dans un communiqué. En Suisse, 14 des 20 espèces d'amphibiens indigènes sont en danger. Le crapaud accoucheur est "une créature discrète", explique Pro Natura. On ne s'aperçoit de sa présence qu'en entendant son chant "qui rappelle le tintement lointain d'une clarine de mouton". En Suisse alémanique, on lui donne d'ailleurs le nom familier de "Glögglifrosch" (grenouille clochette). Cet amphibien mesure 3,5 à 5 centimètres. Ses yeux ont des reflets d'or. Il est le seul parmi les grenouilles, rainettes et crapauds indigènes à s'accoupler sur la terre ferme et à ne pas pondre ses oeufs dans l'eau. Le mâle enroule les cordons d'oeufs autour de ses talons et les porte sur lui pendant trois à six semaines. Manque de points d'eau L'animal vit en Europe occidentale, du Portugal au centre de l'Allemagne. En Suisse, on ne le trouve qu'au nord des Alpes et jusqu'à 1650 m d'altitude. Il se nourrit d'araignées, scarabées, larves de mouches, cloportes, limaces, vers et mille-pattes. Le crapaud accoucheur hiberne d'octobre à mars. Les amphibiens ont besoin de plans d'eau pour vivre, mais "le fameux château d'eau suisse est devenu trop sec", souligne Pro Natura. Les rivières ont été canalisées, les ruisseaux mis sous tuyau, les mares et les étangs asséchés et les prairies humides drainées. Les plans d'eau et les cours d'eau qui s'assèchent périodiquement sont "particulièrement rares" aujourd'hui. Ils sont pourtant nécessaires à beaucoup d'espèces d'amphibiens peu communes, car on n'y trouve pratiquement pas de poissons ou de larves de libellules, qui mangent oeufs et têtards. ats/boi Source
  19. Pologne : deux pythons disparaissent d’un zoo dans la nuit du Nouvel an Deux pythons royaux ont été volés d’un zoo de la ville polonaise de Chorzow dans la nuit de la Saint-Sylvestre, ont annoncé les représentants de la police locale et les employés du zoo. A minuit, lorsque tout le pays célébrait la nouvelle année 2013, le voleur a cassé la vitre du terrarium, a pénétré dans le bâtiment, a pris les deux pythons et s’est enfuit. Les employés du terrarium ont découvert la disparition le lendemain matin. Le personnel du zoo estime que le voleur va avoir du mal à vendre les pythons, car ils sont équipés de puces spéciales. Les enquêteurs n'excluent pas le fait que le voleur voulait se procurer un symbole vivant de la nouvelle année, placée sous le signe du serpent d’eau noir. /L Source
  20. Pas touche à la tortue d'Hermann On ne plaisante pas avec les espèces menacées, tortues ou autres NEC (nouveaux animaux de compagnie). Cette jeune Saint-Aignanaise vient de l'apprendre à ses dépens, elle qui hébergeait une tortue d'Hermann à son domicile. Tortue terrestre méditerranéenne, Testudo hermanni hermanni est en effet protégée par une triple législation : nationale, européenne et internationale. La prélever dans la nature est strictement interdit. En revanche, les tortues nées en captivité, de parents « licites », peuvent être vendues ou cédées si elles sont accompagnées d'un certificat délivré par la Direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL) justifiant l'origine légale des animaux, apprend-on sur la toile (*). Toutes les tortues vendues dans les animaleries ou par les particuliers doivent être munies de justificatifs de leur origine (certificat intracommunautaire) et facture au moment de l'achat (ou bon de cession). Ces documents sont importants et il faut absolument les conserver pour prouver l'origine légale de l'animal. Pour ne pas avoir été en mesure de produire les documents idoines, la jeune femme est attendue le 13 janvier prochain par le délégué du procureur. Source
  21. C'est un lézard que se vend environ 50$ en animalerie
  22. Opheodrys aestivus est une espèce de serpents de la famille des Colubridae Ce serpent est vert sur le dessus, et jaune ou crème dessous. La couleur du ventre s'étend sur le menton et les lèvres. La coloration juvénile est semblable aux adultes, mais pas aussi brillamment colorés. Le corps est très mince et la tête est plus large que le cou. Les pupilles sont rondes. Il y a 17 rangées d'écailles dorsales au milieu du corps et les écailles sont carénées. Il peut atteindre 100 centimètres, mais fait en moyenne 70 à 75 cm. Le record est de 115,3 cm de long pour cette espèce. Les nouveau-nés font de 15 à 21 cm de long. Il peut vivre environ 10 ans. Spécifiquement, on le trouve dans la région orientale des États-Unis : du Connecticut à la Floride, aux état du Golfe, et dans la vallée du Mississippi vers le Kansas, l’Illinois et l’Ohio. Dans la nature, ce serpent préfère les habitats humides, tels que les prés humides et les bords de lacs, les marais et les régions boisées. On le trouve fréquemment dans une végétation de bois, étalé de tout son long dans les branches, en surplomb au-dessus de l’eau. Les enchevêtrements de vignes sont des domaines préférés. Ils sont exceptionnellement attirés par une végétation luxuriante surplombant les cours d'eau. On les trouve dans les jardins et sont capables de maintenir leurs populations dans les zones développées tant que l’on trouve de la verdure en quantité suffisante dans les cours et les parcs. C’est en effet un bon grimpeur, qui, d’après les observations faites, va rarement au sol s’il a ce qu’il faut en hauteur (perchoirs, végétation). Le serpent vert rugueux est plutôt diurne. Sa couleur vert clair fournit un excellent camouflage dans la végétation. Lorsqu'elles sont dérangées, elles cessent généralement tous les mouvements et parfois se balancent pour imiter le mouvement du vent dans le feuillage. En captivité, Il vaut mieux disposer d’une partie sèche et d’une partie humide avec de la végétation et un grand bassin d’eau, qui sera nettoyé dès que souillée. Le terrarium sera de préférence constitué avec un peu de hauteur, pour qu’il puisse grimper. Un terrarium de type arboricole de 60x40x60cm convient pour un adulte. Le terrarium doit obligatoirement comporter une ou plusieurs branches feuillues, où le serpent pourra grimper et se cacher. Une pierre rugueuse aide lors des mues, mais elle n'est pas indispensable si il y a présence de branches. Penser à vaporiser de l'eau de manière fréquente dans le terrarium en période de mue. Vous pouvez mettre un spot chauffant de jour, en veillant à ce qu’elle soit inaccessible ou protégée, ou un spot infrarouge si votre intérieur est suffisamment éclairé. Les températures devront être de 24 à 28°C le jour et de 20 à 23°C la nuit. Il est recommandé de vaporiser de l'eau dans le terrarium 1 à 2 fois par jour (1 fois le matin et 1 fois le soir) afin de maintenir un taux d’humidité d’environ 70 à 80%. Ce serpent à obligatoirement besoin de tubes UVB à cause de son régime insectivore. Ceux-ci seront allumés 12 heures par jour. Le substrat pourra être composé de copeaux de bois ou, plus simplement, de copeaux de noix de coco. Il est docile et tente très rarement de mordre. Plus souvent il se laisse approcher, même si son caractère vif fait de lui un rapide fuyard! Il cherche plutôt à fuir en utilisant sa rapidité et de se cacher ensuite dans la végétation dense où il est difficile à voir. Ce serpent à la particularité d'être insectivore. On le nourrira de grillons, blattes, et s'il accepte, sauterelles et araignées, et éventuellement des escargots et de petits amphibiens (attention, ne pas aller capturer les insectes dans la nature, car ils pourraient être porteurs de maladies). Pour les spécimens anorexiques, on pourra essayer de le nourrir de vers et asticots. Pour éviter les carences, les proies doivent obligatoirement être bien nourries avant d'êtres présentées. Il est également recommandé de rajouter en plus des proies, des compléments vitaminés 2 fois par semaine. Nous vous conseillons enfin de placer un néon UVB une partie de la journée pour que l’animal puisse synthétiser correctement la vitamine D3 nécessaire à son développement osseux. Rappelons qu’il est insectivore, et que contrairement à d’autres serpents il peut manquer de nutriments essentiels. Ce serpent est très rarement reproduit en captivité. Il est conseillé de laisser ce serpent pendant 4 mois entre 5 et 12°C pour le repos hivernal. En ce qui concerne la reproduction, elle a lieu entre Avril et Mai, et la femelle pondra de 2 à 12 oeufs en Juin ou Juillet, en utilisant parfois des sites de ponte communautaires. Les œufs sont pondus sous les objets dans des endroits humides. Les petits éclosent en général en août et septembre, et mesurent environ 20 centimètres à la naissance. Les noms scientifiques utilisés à travers le temps • Coluber aestivus - LINNAEUS 1766 • Leptophis aestivus - BAIRD & GIRARD 1853 • Leptophis majalis - BAIRD & GIRARD 1853 • Herpetodryas aestivus - Duméril & Bibron 1854 • Cyclophis aestivus - COPE 1872 • Opheodrys aestivus - CONANT 1958 • Opheodrys aestivus aestivus - Grobman 1984 • Opheodrys aestivus majalis - Grobman 1984 • Opheodrys aestivus conanti - Grobman 1984
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