-
Compteur de contenus
12 143 -
Inscription
-
Dernière visite
Type de contenu
Forums
Blogs
Boutique
Calendrier
Téléchargements
Galerie
Articles animaux
Sites
Annuaire animalier
Petites annonces
Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium
-
Marseille : lézard et serpent nouvelles stars des foyers
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Marseille : lézard et serpent nouvelles stars des foyers En dehors des chiens et des chats, les reptiles ont été très entourés ce week-end lors du salon Animal Mania qui se tenait au Parc Chanot Tiens, si on s'était écouté, on aurait ramené le Lézard Pogonas et le Python Royal. Une occasion d'en finir avec cette amitié millénaire qui nous lie aux clébards et matous, ces bestioles qui sèment leurs poils, bouffent éhontément et encombrent les canapés. Le reptile, lui, c'est le champion de la discrétion. Lové autour de son caillou, il roupille. Et pas question de s'enfiler cinq kilos de croquettes par semaine. Pour le python (1,2 m), un petit rat suffit. Et un seul rat par semaine ! Qu'on se procurera pour deux ou trois euros dans une animalerie. Et quand il est en période de mue, il peut rester 15 jours sans manger ! Quel chien dit mieux ? Quant au Pogonas (40cm), c'est vrai qu'il s'enfile sa trentaine de grillons par semaine. Mais pour son élégance, ses facéties, ses accélérations ébouriffantes sous le frigo, il est quand même plus attrayant que ce pataud de doberman. Du coup, on comprend pourquoi, au salon Animal Mania, qui se tenait au parc Chanot jusqu'à ce soir, les éleveurs vantaient les mérites des reptiles dont la vente s'est démocratisée. Et qui s'égayaient dans leur boîte au milieu d'un empire de canidés. Mais ne les appelez pas Nac, Nouveaux animaux de compagnie. Non. Le python est affectueux comme une matraque de CRS. "Il faut appeler ça un animal exotique, assure Éric Lemoine qui, avec son compère Frédéric Millier, tient un stand de reptiles. Sachez-le, le serpent n'est pas affectueux." Le lézard c'est autre chose. Pas question de déposer un baiser dans le cou de son maître. Mais il reconnaît celui qui le nourrit, s'en approche. Et peut se laisser... mourir de chagrin quand il disparaît. "Moi, j'avais un caméléon, raconte Sébastien Geneviève, autre exposant. Eh bien, quand je partais en congés, il ne se nourrissait plus." Mais au fait combien valent ces nouveaux amis de l'homme ? Le Python Royal 300€ et le Lezard Pogonas 50€ mais on peut en trouver pour beaucoup moins cher. En fait, c'est plutôt la "maison" qui coûte ou le terrarium (aquarium mais sans l'eau) "Entre le terrarium, l'éclairage et le système de chauffage, vous en avez pour environ 300€", explique un exposant. Avec le lézard ou le serpent bas de gamme, cela porte l'addition à 350€. Mais après, finies les dépenses. Il faut changer régulièrement la litière et distribuer quelques grillons et rats. Des rats morts de préférence. Parce que vivant, s'il est gros, c'est le rat qui peut bouffer le serpent. Voilà. Vous avez encore la journée pour aller acheter un lézard ou python avec qui vous pourrez vivre une idylle de 7 ou 40 ans. Médor a du souci à se faire. Source -
Kévin est... un amateur d'anaconda Le 5 janvier 2011, kévin Dorangeville a comparu devant le tribunal de Saint Quentin (Aisne) pour avoir, le 11 juillet 2010, présenté "en public" au bar "Le Pulp", ses animaux : un caïman à lunettes, un anaconda jaune et une mygale. Les reptiles et autre arachnide, devaient servir à faire de la publicité au bar et ont été manipulés par le public, ce qui a fait l’objet de photos publiées sur internet. Kévin, possédait ces animaux depuis environ 10 ans et bien que connaissant la nouvelle loi - depuis 2004, le code rural précise qu'il est interdit de posséder et d’exhiber ce type d’animaux sans avoir un certificat de capacité (consulter les législations en vigueur) - avait préféré l'ignorer. Il a été poursuivi pour "défaut de certificat de capacité" et la gérante du bar, Soraya Guerguet, l’a été pour "ouverture non autorisée d'établissement non domestique". Le procureur a requis contre eux des peines d'amende. Déjà, les animaux ont été retirés à Kévin. Le verdict sera connu le 15 février prochain. Espérons qu’après ces mésaventures, peut-être qu'un jour, Kévin : - comprendra que posséder ces animaux pour son plaisir participe au pillage de la nature et que c’est égoïste. - deviendra un vrai ami des animaux en les respectant, les protégeant et les laissant vivre en paix dans leur milieu d’origine. Souhaitons que cette histoire serve de leçon à d’autres "Kévin" et propriétaires de lieux publics en les encourageant à ne plus posséder, ni exhiber d’animaux exotiques. N. B. : Oui, c’est vrai, le jeu de mot du titre était facile, mais pas pire que celui de l'avocat Maître Antonini qui, pour la défense de la gérante du bar, a osé la tirade suivante : «Ma cliente est caïman innocente» ! Source
-
-
Le discret et mal aimé scorpion Nous vous proposons de faire mieux connaissance avec un animal bien discret, mais qui fait souvent frissonner dès qu'on prononce son nom, et pourtant. Les scorpions font partie de la classe des arachnides (8 pattes et non 6 comme les insectes). Il y a 300 millions d'années, ils possédaient déjà les mêmes caractéristiques qu'aujourd'hui. Cet animal primitif avait une vie aquatique. Le système respiratoire des scorpions actuels est d'ailleurs un vestige d'anciennes branchies. Les scorpions de mer étaient des chasseurs très répandus dans les mers peu profondes et ils pouvaient atteindre près de 3 m de long ! On comptabilise aujourd'hui environ 1 500 espèces de scorpions dans le monde et tous de taille bien modeste. Bien que le scorpion ait six paires d'yeux, cela ne l'empêche pas d'avoir une mauvaise vue ; il ne perçoit en effet que la différence entre le jour et la nuit. L'abdomen se termine par le 'telson' qui abrite la glande à venin et porte l'aculeus (aiguillon). Les 'chélicères' sont des appendices buccaux qui ressemblent à des petits crochets ; ils sont utilisés pour déchiqueter les proies, pour les mordre et les traîner si nécessaire. Les pédipalpes sont couramment appelées 'pinces'. Elles servent à attraper les proies, à les broyer. Le scorpion utilise ses pédipalpes pour porter la nourriture aux chélicères. Le scorpion est un animal qui est capable de vivre dans des milieux extrêmes. Il peut supporter des variations de plus de 50°C et vivre jusqu'à 5 000 m d'altitude dans l'Himalaya. Ceux des zones arides survivent à plus de 45°C. Leur menu est composé d'arthropodes, d'invertébrés, de rongeurs, de reptiles et d'amphibiens. Il peut contrôler la quantité de venin en fonction de l'importance de la proie. Il faut l'utiliser avec parcimonie car il lui faut un certain temps pour reconstituer le stock. Selon les espèces, la gestation peut varier de 2 à 22 mois. Un scorpion vit en moyenne entre deux et six ans dans la nature. Les scorpions sont ovovivipares ou vivipares. Dans le premier cas, les œufs possèdent des réserves et se développent dans le ventre maternel. Chez les espèces vivipares, les embryons sont nourris directement par la mère. Environ 25 espèces dans le monde sont dangereuses pour l'homme. Le scorpion est responsable de 5 000 décès par an, mais il faut souligner que la principale cause en est l'éloignement de tout centre de soins. La France métropolitaine compte cinq espèces de scorpions. On en trouve au sud d'une ligne Bordeaux-Lyon. Dans l'Hérault et le Gard, on rencontre le scorpion languedocien (buthus occitanus) et le noir à queue jaune (euscorpius flavicaudis). Les piqûres de ces deux espèces ne sont ni mortelles ni même dangereuses. Les scorpions passent habituellement l'hiver dans les caves et remontent dans les habitations l'été. Dans la nature, on peut les observer sous les pierres ou dans les vieilles souches. En Aveyron, on ne trouve que le scorpion noir à queue jaune, et seulement dans le sud-est du département. Vous voilà rassurés ? Non, pas tout à fait ? Alors, le mieux est de ne pas y penser ou d'envoyer quelqu'un d'autre à la cave ! Source
-
Un musée pour passionnés de reptiles (Albuquerque, Nouveau-Mexique) L'affiche du Rattlesnake Museum a piqué ma curiosité. C'était la première fois que j'entendais parler d'un musée consacré aux reptiles et je n'ai pas pu résister. Alors que je me proposais une visite rapide, juste pour voir, mon intérêt n'a cessé de grandir au fil des présentoirs de sorte que j'y ai passé plus d'une heure. L'endroit est un peu un fouillis, mais il y a là davantage d'espèces vivantes que dans les cinq plus grands zoos américains réunis. Situé dans un vieux bâtiment du Old Town d'Albuquerque, au Nouveau-Mexique, le Rattlesnake Museum est une mine d'information sur les reptiles et sur la région du sud-ouest des États-Unis où les serpents sont nombreux. Le propriétaire de ce musée est un ancien professeur de biologie, grand amateur de reptiles. Depuis 1990, Bob Myers a réussi à en faire un endroit à la fois éducatif et amusant, une expérience pour toute la famille. «Les gens qui n'aiment pas les serpents voient cette visite comme un défi. Certains entrent à reculons, mais rares sont ceux qui ne terminent pas la visite», dit Bob Myers. Plus on connaît les serpents, moins ils semblent menaçants. D'ailleurs, en sortant du musée, les visiteurs reçoivent un certificat de bravoure. Des reptiles d'Amérique du Nord, d'Amérique centrale et d'Amérique du Sud évoluent dans leur habitat naturel, qui a été recréé à petite échelle. Il y a aussi des vidéos sur les différentes espèces, leur mode de vie et un court documentaire fascinant sur les morsures de serpents. De plus, le musée traite de toutes sortes de sujets: le serpent dans la culture amérindienne, dans l'art, la médecine, la musique et même son rôle dans l'histoire américaine. Les différents mythes sont explorés et les mystères révélés. Autour des reptiles, on peut voir toutes sortes d'objets s'y rapportant: des masques, des objets d'art et même une série de plaques d'immatriculation, provenant de plusieurs États américains, dont les lettres forment des mots comme Snakes, Viper, Cobra, etc. Bref, il y a beaucoup en peu d'espace. Et c'est seulement une partie de l'inventaire. Avec tout les objets qu'il a accumulés au fil des ans et ce que les gens lui envoient de partout, Bob Myers croit qu'il pourrait au moins tripler la surface de son musée. Il caresse d'ailleurs un projet d'agrandissement et travaille en étroite collaboration avec d'autres musées pour le réaliser. «Ça viendra», dit-il. En attendant, il se dit heureux de faire ce qu'il aime: communiquer sa passion pour les reptiles aux visiteurs. On y passe un très agréable moment. Et finalement, les serpents ne sont pas si repoussants quand on prend le temps de les regarder évoluer. Ma plus belle découverte: le Texas Rat Snake, un spécimen tout blanc et apparemment très rare. C'est une visite éducative d'où l'on sort avec le sourire. Info: www.rattlesnakes.com Source
-
Sur les traces de la plus grosse vipère du monde Dans la forêt, seule la lumière diffuse de ma lampe torche perce l'obscurité. Des bruits inconnus agitent la canopée alors que nous cherchons la terrible Bitis gabonica. La veille au soir dans un village perdu du nord ouest du Togo, le Chef Arouna, dont je suis l'invité, m'offre un morceau de viande cuite sur la braise. Je saisis le mets alors que de la graisse fondue s'en échappe et tombe au sol. La viande est blanche. Je mords dedans avec suspicion, pourtant à ma grande surprise, le goût est excellent ! Mes hôtes sont hilares et c'est avec appréhension que je les interroge sur la nature de cette viande. On m'apporte alors une tête tranchée de reptile, je reconnais aussitôt une vipère, mais pas n'importe laquelle, la plus grosse, la plus grande et la plus lourde : la vipère du Gabon. Le chef m'explique qu'elles sont nombreuses dans la forêt toute proche et qu'à l'occasion de certaines fêtes ou cérémonies, on en tue une pour la consommer. Il me demande facétieux et moqueur, si je veux aller capturer moi-même une terrible Gabonica. Il ignore que les serpents font partie de ma vie professionnelle. J'accepte avec empressement son offre. Tel est pris qui croyait prendre ! C'est à la tombée de la nuit que nous nous mettons en marche, les vipères du Gabon vivent dans les forêts tropicales et se déplacent nuitamment à la recherche de leurs proies. Ce serpent est celui de tous les superlatifs. C'est la plus grande des vipères (1,70 m ), c'est la plus lourde des vipères (15 kg) et c'est celle qui a les plus longs crochets au monde ( 5 cm ). Nous marchons prudemment, éclairant le sol de nos lampes. Sous nos pas, des milliers de petits insectes s'enfuient, regagnant des cachettes mystérieuses. Parfois c'est un scorpion qui nous fait face, menaçant. Par jeu, j'en capture un en le prenant par l'arrière de sa queue au niveau du dard. Ainsi, il ne peut plus piquer. Je le pose sur ma main, il en fait le tour rapidement cherchant à se cacher. Je le dépose doucement au sol avant de reprendre notre marche. Avec un bâton, mon accompagnateur fouille les feuilles et les buissons. Le temps passe lentement, agréablement dans la moiteur de la jungle africaine. Soudain un soufflement puissant et agressif se fait entendre. Le chasseur vient de débusquer une vipère. Je m'approche avec prudence, pas question de faire le clown comme avec le scorpion. Avec mon bâton, j'écarte des feuilles mortes au sol et là apparaît une vipère du Gabon. Le reptile est gros mais pas exceptionnel, il doit peser dans les huit kilos. Malgré ma lampe qui l'éclaire, j'ai du mal à voir les contours de son corps qui se confondent avec l'environnement. Les plus grosses vipères Gabonica peuvent peser 15 kg et mesurer 1m70. Leur diamètre est de 45 cm , soit l'équivalent d'une jambe humaine. Bien que peu agressive, notre vipère était certainement en embuscade pour chasser et apprécie peu notre intrusion. Elle souffle de plus en plus fort et se ramasse sur elle même en position d'attaque. On pense souvent que la vipère du Gabon est indolente, que c'est un animal que l'on peut manipuler comme un serpent ordinaire, mais c'est oublier trop vite qu'elle est rapide comme l'éclair et frappe sans prévenir, inoculant un venin terriblement toxique et mortel. Un mélange d'hematoxines qui empoisonnent le sang et de neurotoxines qui agissent sur le sytème nerveux et paralysent la victime. La vipère du Gabon est ovovivipare, c'est à dire qu'elle "fabrique" des oeufs qui incubent et éclosent dans son corps et elle donne naissance à une soixantaine de jeunes serpenteaux autonomes et possédant déjà un venin actif. Les naissances interviennent généralement vers le mois d'avril. Au petit jour, nous regagnons le village après avoir débusqué au total quatre vipères, ce qui est tout à fait exceptionnel. Ce reptile est très commun, mais la réduction de son habitat et les changements climatiques ont un impact sur leur population dans certains pays d'Afrique. Cependant, au Togo, elles ont encore de beaux jours devant elles et compte tenu de l'importance des naissances, il y a fort à parier qu'il y aura encore de la vipère au menu des cérémonies du vieux chef Arouna. Source
-
L’ambassade des Etats-Unis au chevet des tortues malgaches
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
L’ambassade des Etats-Unis au chevet des tortues malgaches Le conseiller aux affaires culturelles de l’ambassade des Etats-Unis Brett Bruen s’est rendu récemment dans le sud de Madagascar pour effectuer une visite dans un centre spécialisé dans la protection des tortues. A l’heure où leur trafic prend de plus en plus d’ampleur, les tortues malgaches sont actuellement des espèces menacées. Dernièrement, 4 000 tortues ont été saisies en Thaïlande et en Malaisie, le marché noir étant particulièrement important en Asie. Cinq des neuf espèces présentes à Madagascar ont été rétrogradées dans la catégorie "très menacée". Pour le cas de la tortue ploughshare, sa chasse à est telle qu’il ne resterait plus qu’une centaine d’individus. Seulement, plus une espèce est en danger et rare, plus sa valeur augmente sur le marché noir. Ainsi, une bête peut facilement s’échanger contre 1 700 dollars, assez pour attiser la convoitise des trafiquants. Par ailleurs, la consommation locale s’emploie aussi à réduire sensiblement la population de tortues. C’est dans ce contexte que Brett Bruen, conseiller aux affaires culturelles de l’ambassade des Etats-Unis a rendu visite au centre SOS Tortoise Sanctuary (STS) à Mangily, un centre qui recueille notamment les tortues issues des trafics. Il a alors indiqué que l’ambassade des Etats-Unis a décidé de venir en aide au STS dans le but de préserver les tortues malgaches. Ainsi, les USA s’engagent à fournir des documentations et des informations pour améliorer la sensibilisation des habitants de la région. Voilà donc un nouvel exemple flagrant de la situation de la biodiversité malgache qui subit des pressions incessantes provenant des activités humaines. Feux de brousses, braconnages, trafics, tout y passe pour enlever encore un peu plus de la magie de l’ancienne "Ile Verte". Source -
Les grenouilles prennent du mieux (Agence Science-Presse) 2011 sera-t-elle l’année de la grenouille? En Australie et aux États-Unis, quelques espèces de grenouilles semblent récupérer du mystérieux mal qui les décime, ce qui serait la meilleure nouvelle à leur sujet depuis des années. Partout à travers le monde en effet, les populations de grenouilles déclinent depuis les années 1980 ou 1990, et certaines espèces sont carrément disparues. Les causes n’ont jamais été clairement identifiées bien que, dans certains pays, on ait pu associer le déclin à un champignon (Batrachochytrium dendrobatidis) : en bouchant les pores de la peau, il finit par asphyxier ces petites bêtes. Or, certaines espèces australiennes semblent être en train de réintégrer leurs habitats, a écrit Michael Mahony, sur la base d’une analyse de l’évolution de ces populations pendant 20 ans. Aux États-Unis, constat similaire de l’écologiste californien Roland Knapp, mais pour une seule région, la Sierra Nevada. Est-ce la grenouille qui se porte mieux ou le champignon qui se porte mal, il est trop tôt pour le dire. Source
-
Caïman et anaconda en démonstration dans un bar SAINT-QUENTIN (Aisne). Kévin a trouvé dans la compagnie des reptiles un appui pour se construire. Mais posséder un caïman ou un anaconda est illégal, sauf à posséder un certificat de capacité. KÉVIN a la passion des reptiles depuis tout petit, il a commencé dès l’âge de 8 ans. Il aurait voulu en faire son métier, mais la vie en a décidé autrement. Le jeune homme âgé de 26 ans, bien inséré socialement, ne comprend pas pourquoi il n’a pas pu garder ses animaux. Hier à la barre, il était poursuivi pour avoir présenté dans un lieu public, le bar « Le Pulp », un caïman à lunettes, un anaconda jaune et une mygale. Les deux premiers animaux non domestiques, il les a acquis légalement voici quelques années, le troisième lui a été donné. Mais depuis cet achat, la législation a évolué, un arrêté du 10 août 2004 interdit la possession de ce type d’animaux non domestiques dangereux à toute personne ne possédant pas un certificat de capacité. Pour Kévin, la séparation d’avec « ses bébés » aurait été trop douloureuse. Il les a donc conservés dans cet aménagement qu’il a lui-même réalisé chez lui et qui fait sa fierté. Ce soir-là, le 11 juillet 2010, il prend toutes les précautions nécessaires pour une sortie « en public » des animaux, attendus au bar « Le Pulp ». Son avocate Me Anne-Sophie Baert le raconte pour lui : « Il est arrivé à l’avance dans le bar, pour les calmer et les refroidir. » Kévin se justifie : « Cela huit ou dix ans que je les ai. J’ai bien les pieds sur terre. Je connais leurs comportements. » L’agent de l’Office national de la chasse et de la faune sauvage, présent à l’audience, tente de discuter. Aujourd’hui, tout ce qui intéresse Kévin, c’est de savoir comment obtenir ce certificat de capacité qui lui permettrait de récupérer ces animaux, placés dans des zoos ou centres spécialisés. Son conseil renchérit : « La sanction pour lui est déjà tombée quand on les lui a pris ». Débat juridique Poursuivie, elle aussi, dans cette affaire, la gérante du bar précise que les photographies qui ont été diffusées sur un site Internet l’ont été à sa demande. On y voit des clients photographiés avec les animaux, « c’est eux qui l’ont demandé », ajoute-t-elle encore. Kévin avait accepté cette démonstration pour « faire un coup de pub au bar ». Me Baert pour Kévin et Me Antonini pour la gérante du bar replaceront le débat sur le plan du droit, écartant ainsi toute réaction épidermique ressentie par beaucoup à la seule vue des animaux en photos. Ils plaideront la relaxe. L’arrêté invoqué pour retenir l’infraction n’a pas, selon eux, force de loi et aux termes des textes invoqués, Kévin ne peut être poursuivi pour « ouverture non autorisée d’établissement pour animaux non domestiques ». Il n’a détenu qu’un seul spécimen de chaque espèce. Si au vu de l’arrêté, cette seule détention suffit à retenir la notion « d’élevage », au regard de la loi, les avocats récusent cette notion. Le tribunal s’est donné le temps de la réflexion et a mis l’affaire en délibéré au 15 février.
-
Australie: la chasse aux serpents Après la pluie… les serpents. Certaines villes du Nord-Est de l’Australie, en proie à de graves inondations, sont infestées de serpents venimeux, qui cherchent à s’abriter de la pluie dans les habitations et inquiètent les autorités. Marie Desnos - Parismatch.com Les invités surprises de la pluie. Le Queensland, Etat du Nord-Est de l’Australie, frappé depuis Noël par les pires inondations de son histoire, fait face à un problème subséquent original: l’invasion de bestioles. Le schéma est le suivant: les eaux de crues, qui dévastent tout sur leur passage, ravagent les maisons et ce qu’elles contiennent, ont laissé place aux eaux souillées des fosses septiques auxquelles s'ajoutent le gasoil et des débris en tout genre, ainsi que des crapauds, des moustiques porteurs de maladies faisant craindre une crise sanitaire, mais aussi… des serpents des crocodiles. Ces derniers, difficiles à repérer dans les eaux troubles, ont été aperçus par plusieurs personnes et secouristes, notamment dans la rivière Fitzroy, qui traverse Rockhampton. Seuls ces témoignages font part de leur présence ; il est donc difficile d’évaluer l’ampleur de leur propagation. Pour ce qui est des serpents, les informations sont un peu plus précises et pas des plus rassurantes. A Theodore, la ville désertée est décrite comme un «havre de paix» pour les serpents par John Hoope, le maire du comté de Banana, dont dépend la commune située sur la rivière Dawson. Une propriété habitée par un couple, mais comprenant un terrain «de la taille d’un terrain de foot», a notamment été envahie d’un millier de serpents, selon Ian Stewart, qui y coordonne les secours. «La scène a dû être folle !», s’est-il exclamé dans le «Sydney Herald Tribune». Des spécialistes ont été appelés pour se débarrasser de ces bestioles, et les hôpitaux de la région ont fait le plein d’anti-venin. Alors que les habitants espéraient pouvoir rentrer chez eux d’ici samedi, les autorités ont fait savoir que ce ne serait pas avant dimanche, rapporte ABC. «Tant que nous n'aurons de l'eau propre pour laver les maisons et les bâtiments, il va être difficile pour les gens de revenir», a expliqué John Hoope. Or, les pompes de l'usine de traitement d'eau municipale ont été endommagées, et sont en cours de réparation dans la ville industrielle de Gladstone, tandis que d’autres sont importées de Brisbane, précise le «Sydney Herald Tribune». Theodore a été la première ville du Queensland à être complètement évacuée. Jeudi matin, le niveau de la rivière Dawson était à 12,21 mètres et diminuait lentement 40 espèces dont parmi les plus venimeuses A Rockhampton, un peu plus au Nord, pas moins d’une quarantaine d’espèces de serpents a été recensée, parmi lesquelles le taïpan du désert, qui est considéré comme le plus venimeux au monde, mais aussi le serpent brun, également très dangereux mais aussi le plus répandu de la région. Les autorités ont recommandé à la population de ne pas s’aventurer dans les eaux sombres, où des serpents pouvant atteindre 6,5 mètres ont été aperçus à proximité du centre-ville, l'un des principaux centres d’activité de cette région agricole et minière, qui compte quelque 77 000 habitants et est située à environ 500 kilomètres de la capitale étatique Brisbane. Les reptiles se réfugient dans les arbres et les maisons –particulièrement dans les toits- à la recherche d'un endroit sec. Perturbés dans la saison des amours, «ils ont été brusquement sortis de leur environnement naturel», et sont de fait «très très nerveux en ce moment», a alerté Scott Mahaffey, directeur des opérations des services d'urgence, interrogé par Reuters. Mais certains n’hésitent pas, munis de fusils de chasse, à partir en bateau «à la chasse aux serpent», en dépit des consignes de sécurité, rapporte le «Courrier Mail». A tel point que le maire de la ville, Brad Carter, qui a appelé les habitants à quitter la ville le temps que la situation se stabilise, a décidé de ne plus envoyer de vivres ni de secouristes, mis en danger par le comportement irresponsable de ces réfractaires qui refusent de quitter leur maison et excitent les serpents en partant à leurs trousses. «Ceux qui décident de rester, c’est leur choix, doivent accepter leurs responsabilités. On ne les réapprovisionnera plus en denrées alimentaires ou autres services d'urgence», a averti l’édile cité par «The Australian». Brad Carter a précisé que les équipes de secours avaient démarché quelque 2000 habitations toujours occupées pour les mettre en garde des risques encourus. Source
-
L'incroyable odyssée des tortues luths à travers l'océan Atlantique
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
L'incroyable odyssée des tortues luths à travers l'océan Atlantique | BIOLOGIE | Grâce à des observations par satellite, on sait désormais que les tortues luths, l'une des plus anciennes espèces a u monde, accomplissent des odyssées phénoménales pour se nourrir, certaines parcourant plus de 7 000 km depuis l'Afrique pour rejoindre l'Amérique. Des biologistes de l'université d'Exeter, dans le sud-ouest de l'Angleterre, ont placé de petits émetteurs sur vingt-cinq tortues femelles dans leur zone de reproduction au Gabon, et ont ensuite suivi leurs mouvements durant cinq ans. Il s'avère que toutes se dirigent vers l'Atlantique pour s'alimenter et constituer des réserves pour les deux à cinq prochaines années, avant de revenir au Gabon pour s'y reproduire, indique l'étude publiée par la Royal Society, la prestigieuse institution britannique, dans sa revue Proceedings B. Trois routes migratoires Trois grandes routes migratoires sont empruntées. La première entraîne ces tortues luths, les plus grandes de toutes, jusqu'à une zone située au centre de l'Atlantique, entre l'Afrique centrale et le Brésil. Une autre plonge vers le sud, au-delà du cap de Bonne Espérance. La troisième va de l'Afrique à l'Amérique du Sud, soit plus de 7 500 kilomètres. « En dépit de recherches intensives sur ces tortues, jusqu'à présent personne n'avait vraiment de certitude sur leurs trajets dans l'Atlantique Sud », explique Matthew Witt du Centre pour l'écologie et la conservation à l'université d'Exeter. Chaque année, un nombre différent de tortues choisissent une route plutôt qu'une autre. « Nous ne savons pas encore ce qui influence leur choix, mais nous savons que ces voyages sont vraiment extraordinaires. » L'étude montre aussi que ces tortues sillonnent des eaux parcourues par des chalutiers, dont les filets sont autant de pièges pour de tels animaux , qui peuvent mesurer jusqu'à 2 mètres et peser plus de 900 kilos. « Toutes les routes migratoires de tortues luths que nous avons identifiées sont des zones de pêche, donc à hauts risques », précise un autre chercheur, Brendan Godley. « Mais connaître ces routes nous a aussi permis d'identifier onze pays qui devraient être impliqués dans des mesures de conservation » de ces espèces. En déclin dans le Pacifique La population des tortues luths est restée relativement stable dans l'Atlantique, mais a décliné de façon inquiétante dans le Pacifique. Une diminution attribuée aux prises accidentelles des chalutiers et à la disparition de leurs zones de reproduction, en raison de l'urbanisation des côtes. La tortue luth, qui peut plonger jusqu'à 1 300 mètres de profondeur, peut vivre plus de cinquante ans. Elle figure sur la liste des espèces en voie de disparition et fait l'objet de conventions et de programmes internationaux de protection et de conservation. Source -
Une tortue blessée montée sur roulettes Blessée à la colonne vertebrale il y a deux mois par une moissonneuse, la tortue Tzvika (en photo ci-dessus) a subi une opération chirurgicale peu commune à l'hôpital vétérinaire du Ramat Gan Safari, près de Tel Aviv: les médecins lui ont attaché deux roulettes pour lui permettre de se déplacer. Une expérience quasi similaire avait été réalisée en 2007 sur la tortue Winky au Longleat Safari Park, en Angleterre. Elle n'avait plus que trois jambes, la quatrième ayant probablement été mangée par un prédateur. Les vétérinaires lui avaient donc installé une roulette de remplacement pour lui permettre de se déplacer. A son rythme. Source
-
Elle se fait piquer par un scorpion dans sa chambre d'hôtel
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Elle se fait piquer par un scorpion dans sa chambre d'hôtel Dans la nature, les dangers sont multiples, mais ceux qui inquiètent le plus concernent les morsures de serpents et surtout les piqûres de scorpions. Une dame chic, très 16ème arrondissement, vient de débarquer du mini-van climatisé en provenance de l'aéroport de Ouagadougou. Avec son époux, elle vient visiter la magnifique réserve du W qui s'étend sur trois pays : Burkina-Faso, Niger et Bénin. Accablée de chaleur, elle passe devant notre table avec un léger hochement de tête pour nous saluer. Les touristes européens au fin fond de la brousse ouest-africaine ne sont pas très nombreux ! Si le Sénégal, l'Afrique du Sud, le Kenya ou la Tanzanie ont une réputation touristique qui n'est plus à faire, ce n'est guère le cas pour le Togo, le Bénin ou le Burkina Faso. Nous suivons du regard les nouveaux arrivants qui prennent possession d'une case individuelle, de plain-pied, transformée en chambre. L'hôtel est loin d'être un trois étoiles, c'est un établissement de brousse assez sommaire mais confortable. Quelques instants plus tard un hurlement nous fait sursauter, si bien qu'à son grand désespoir, mon voisin renverse son verre de pastis bien frais qu'il n'a pas eu le temps de déguster. Nous nous précipitons, dans le sillage du Directeur de l'hôtel, vers la chambre qui vient d'être investie. La dame chic est allongée sur le lit se tenant le pied et hurlant de douleur et de peur. Son mari essaye de la réconforter alors que l'agresseur longe discrètement le mur de la chambre en direction de la salle de bain. Il s'agit d'un scorpion hottentota , un petit scorpion particulièrement répandu dans la région. Dés la tombée de la nuit, ils sortent de leurs cachettes à la recherche de nourriture. Parfois, ils se glissent sous les portes pour entrer dans les chambres. Les habitués le savent et mettent en hauteur leurs habits, bagages ou chaussures et évitent de marcher pieds nus. C'est l'erreur qu'a fait notre touriste, qui s'était déchaussée sous prétexte qu'elle avait mal aux pieds à cause de la chaleur. Mal lui en a pris. Bien que non dangereuse, la piqûre de ce scorpion est très douloureuse et peut entraîner une forte fièvre. Il existe dans le monde 1.500 espèces de scorpions, seule une vingtaine est dangereuse pour l'Homme. Les premiers scorpions sont apparus au silurien, il y a plus de 400 millions d'années. Ils étaient exclusivement marins, mais leur morphologie était très proche de celle actuelle. Leur taille était par contre bien différente, et les charmants arthropodes de l'époque approchaient allègrement un mètre de long (Bontoscorpio anglicus). Les scorpions sont des animaux étonnants. Non seulement ils peuvent rester sans manger pendant des années ( 3 ans pour une expérience en laboratoire ), mais ils résistent sans problème à des doses massives de radiations, à des températures de plus de 45°C ou à une congélation à moins 10 °C. En cas de catastrophe naturelle, il est à peu près certain que les scorpions seraient les derniers habitants de notre planète ( avec les cafards, apparus également au silurien...). Le scorpion à la particularité de pouvoir absorber l'eau à partir de l'humidité du sol. La mère peut ensuite transférer l'eau de son corps à ses pullus ( jeunes ) accrochés sur son dos. Le plus grand des scorpions actuels est le Pandinus imperator, un scorpion noir avec des reflets verts. Il peut mesurer jusqu'à 20 cm de long. Malgré sa taille impressionnante, il n'est pas très agressif et on peut l'attraper assez facilement à la main en le prenant derrière la queue au niveau de l'ardillon pour éviter d'être piqué. Il est terricole et vit dans des terriers ou dans des souches pourrissantes. Pour la dame chic, la visite de la réserve s'arrête avant même d'avoir commencé. Par sécurité, elle repartira quelques heures plus tard vers la capitale du Burkina Faso afin d'être soignée et suivie par un médecin spécialiste des envenimations. Source -
USA : deux afro-américains violent une femme avec un serpent vivant
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
USA : deux afro-américains violent une femme avec un serpent vivant En novembre 2010, dans le Wisconsin aux Etats-Unis, deux hommes de 24 ans, John Bullock et Damonte Jones, ont violé une femme avec un serpent vivant. La victime, une femme de 32 ans, était à une fête. Elle a déclaré que Damonta Jones l’avait invité dans sa chambre pour lui montrer des photos de ses enfants. Mais elle est frappée à la tête et perd connaissance. Pendant que Jones la tient, Bullock la viole. Ensuite, les deux hommes se servent d’un serpent vivant pour continuer de la violer. L’espèce du serpent n’est pas connue. La victime a ressenti une vive douleur, probablement due à une morsure. Le procès des deux agresseurs débutera le 31 mars prochain. Source -
-
4 Janvier 2011 (Macrochelodina rugosa)
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans L'espèce de la semaine
Nom scientifique : Macrochelodina rugosa Nom français : Tortue à cou de serpent Nom anglais : Northen snake-necked turtle Origine : Nord de l'Australie, côte méridionale de la Nouvelle-Guinéee Biotope : Aquatique Température : 25 à 27°C pour l'eau 28 à 30°C pour l'air Moeurs : Pratiquement entièrement aquatique et diurne Taille adulte : Maximum de 30 cm Nourriture : Poissons, crevettes, escargots, vers, insectes, nourriture pour tortue aquatiques Photo emprunté au site http://www.chelodina.com/ Cette tortue cou de serpent est probablement la répandu de son genre en captivité. Sa carapace est rugueuse, de là viens le nom rugosa dans son nom scientifique. Le cou de cette tortue atteint une longueur impressionnante. Il peut faire jusqu'à 75% de la longueur de son plastron. -
-
Cambodge: des villageois marient deux pythons SVAY ROLUM, Cambodge - Au Cambodge, des centaines de villageois se sont rassemblés, lundi, pour célébrer le mariage d'un python femelle mesurant 4,8 mètres et pesant 90 kilogrammes avec un partenaire à peine plus petit, des serpents considérés comme attirant la prospérité et la paix. La cérémonie de deux heures organisée dans le village de Svay Rolum, à 20 kilomètres au sud de la capitale, Phnom Penh, s'est terminée par une bénédiction administrée par deux moines bouddhistes aux animaux et par une pluie de fleurs lancées par la foule, au son de musiques nuptiales. La plupart des Cambodgiens, bien que bouddhistes, adhèrent aussi à des croyances animistes. À chaque fois qu'un animal particulier fait une apparition, il s'agit pour eux d'un signe surnaturel. Neth Vy, le propriétaire du python femelle, a expliqué que l'union avait été organisée pour amener la prospérité et la santé sur le village. Des sorciers leur ont affirmé que les deux serpents formaient un couple et qu'ils devaient vivre conjointement pour ne pas attirer la malchance, a-t-il indiqué. Il avait capturé Chambrouen, son serpent, alors qu'il pêchait, il y a 16 ans. Depuis l'arrivée du python dans la maisonnée, les conditions de vie de la famille ont toujours augmenté et aucune malchance ne les a affligé. Le python mâle, pour sa part, a été attrapé il y a 12 jours par Hin Mao, une quadragénaire sans enfant qui a affirmé le considérer comme un fils. Il se nomme Kroung Pich. Source
-
-
-
-
-
-
Vous connaissez le cinézoo?
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Général
Je jasais avec quelqu'un à l'instant même de la grosse tortue du nom de sophie du cinézoo alors pourquoi pas la montrer à vous aussi quant à la montrer. Regardez la peau d'une telle bête. Cette bête m'a toujours fasciné. Quand je regarde ses pattes, elle me rappelle tellement que les dinosaures ont déjà existé.