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Les crapauds australiens transformés en it-shoes
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Sept peaux de python remises au Muséum de La Rochelle
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Nouvelle
Peaux de chagrin Lundi, sept peaux de python saisies par les douaniers sont données au Muséum Des colibris accrochés aux chaussettes, un perroquet repeint en jaune, des passereaux dans la culotte, quatre cobras et trois boas autour du mollet, des grenouilles dans des boîtes de pellicule, des œufs autour de l'abdomen en ceinture, un serpent enroulé dans une cassette vidéo : les trafiquants d'animaux sauvages déploient des trésors d'imagination pour échapper au contrôle des douanes. « Les points de passage les plus courants sont le fret de Roissy, la Guyane, les Antilles, la Réunion. À La Rochelle, c'est plutôt calme. Même si ce pied d'éléphant a été saisi dans un conteneur du port de la Pallice », raconte Guy Oberndorfer, directeur adjoint de l'école des douanes de La Rochelle, devant une galerie de trophées saisis en douane : une défense en ivoire, une tortue de mer, un crocodile naturalisé, un iguane, une peau de boa, un cobra dressé, un vautour, des palombes, un hibou, un renard, des chaussures en croco, des bottines, des peaux de renard, un babouin, un ours à collier, etc. Le plus long serpent d'Afrique Un inventaire à la Prévert d'animaux tous protégés et dont la propriété et le transport d'invidus morts ou vivants sont interdits par la convention internationale (1) depuis 1975 et qui, pourtant, furent un jour confisqués à des propriétaires conscients ou non d'être en infraction. Il est estimé que 1,5 à 2 millions d'espèces menacées sont ainsi importées illégalement en France chaque année. Le trafic est risqué mais juteux. Là, dans la salle de conférences de l'école des douanes, ces trophées exposés ont avant tout valeur pédagogique. Notamment les sept peaux de python de Seba, d'environ 4 mètres de long chacune, qui seront remises lundi matin au Muséum d'histoire naturelle. Elles ont été saisies par des agents de douanes dans un vide-greniers de la petite ville de Sarzeau, dans le Morbihan. Le vendeur, après avoir bredouillé qu'il en avait hérité de sa mère, dut s'acquitter de l'amende puisque ces peaux venues du Nigeria n'avaient pas été déclarées, puis les redonner aux douaniers. Double peine. Le python de Seba, plus long serpent d'Afrique, a toujours été recherché par les trafiquants. Une fois tannée, la peau peut devenir une paire de chaussures de luxe. La brigade des douanes de Vannes fermant ses portes, les sept peaux furent envoyées à l'école de Laleu, où des centaines de stagiaires passent chaque année pour apprendre le métier. Un véritable musée est à la disposition de ces futurs douaniers pour leur enseigner les actuces des trafiquants et les produits ou espèces animales les plus recherchés. Dans le cas des peaux de python, Joël Quiniou, le directeur de l'école nationale installée à Laleu, a souhaité en faire cadeau au Muséum pour qu'un maximum de personnes puissent les voir. À l'occasion de cette remise officielle qui aura lieu lundi matin, l'école des douanes a organisé une véritable exposition des saisies douanières. Entre caverne d'Ali Baba et musée des horreurs, l'exposition montre seulement, dans toute sa brutalité, la fascination macabre des hommes pour l'exotisme en cendrier, en bracelet ou en sac à main. (1) Cites : Convention on International Trade in Endangered Species. Source -
Nouvelle espèce de ptérosaure : une mâchoire fossile livre ses secrets Publiée dans le Canadian Journal of Earth Sciences, l’étude d’une mâchoire fossile par une doctorante canadienne décrit la toute première espèce de ptérosaure – d’anciens reptiles volants – découverte en Colombie Britannique, au Canada. C’est après des mois d’études et de questionnements que Victoria Arbour, étudiante en paléontologie à l’Université d’Alberta (Canada), a pu identifier ce petit morceau de mâchoire fossilisée, découvert en Colombie Britannique (côte Pacifique de ce pays) : celle d’une nouvelle espèce de ptérosaure, qu’elle a baptisée Gwawinapterus beardi. Ce reptile volant, d’une envergure estimée à 3 mètres, vivant il y 70 millions d’années, était probablement charognard et habitait des îles situées à l’époque (le Crétacé) vers l’actuelle Californie. Des îles que la dérive des continents a placé de nos jours 2.500 kilomètres plus au nord, au large de Vancouver. Ces conclusions succèdent à de longues conjectures, jusqu’à trouver l’indice décisif… "Les dents de notre fossile étaient petites et rapprochées. Elles me rappelaient celles des piranhas, faites pour arracher la viande. Cela aurait pu provenir d’un dinosaure, d’un poisson ou d’un reptile marin… J’ai ensuite trouvé un article décrivant les dents d’une espèce de ptérosaure précédemment découverte : elles ressemblaient beaucoup à celles de mon spécimen…", a expliqué Victoria Arbour. Source
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Australie: la chasse aux serpents
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Nouvelle
BRISBANE (Australie) - Des serpents réfugiés sur des débris flottants, des kangourous pataugeant dans l'eau boueuse et même un requin poussé par le torrent d'eau dans les rues de Brisbane: la riche faune australienne a aussi souffert des inondations qui ont frappé le nord-est du pays. Selon les associations de protection des animaux, les intempéries qui ont affecté une région grande comme la France et l'Allemagne réunies et fait au moins 16 morts dans le Queensland, ont en partie détruit l'habitat des animaux sauvages dont un grand nombre sont morts ou très affaiblis. Les inondations, qui touchent désormais le sud du pays, ont emporté les arbres sur lesquels vivent les koalas, mais aussi les lézards et les grenouilles et vont avoir un impact durable sur la faune, selon l'Association australienne des vétérinaires. "Le premier constat, c'est que beaucoup d'animaux sont morts", déclare Robert Johnson, expert de la faune sauvage. "Mais le problème à long terme, c'est que ceux qui ont survécu sont affaiblis et privés de nourriture car leur habitat a en partie disparu". De nombreux jeunes marsupiaux, comme les kangourous ou les wallabies risquent fort de mourir dans les prochains mois, en raison des parasites et de la rareté de la nourriture. Les bébés kangourous risquent aussi d'avoir été emportés de la poche de leur mère, d'autres s'y sont noyés, indique Leanne Taylor, directrice générale du service d'information et de protection de la vie sauvage (WIRES). "Les sources d'alimentation des kangourous, comme les racines, ont été arrachées, augmentant le risque de voir les animaux mourir de faim dans les mois qui viennent", ajoute-t-elle. Depuis le début des inondations, la société de protection des animaux (RSPCA) évacue et recueille les animaux dans des refuges temporaires. A Brisbane, où des milliers de personnes sont encore accueillies dans des centres d'évacuation d'urgence, l'interdiction qui leur était faite d'emmener avec eux leurs animaux de compagnie a été levée. A une centaine de kilomètres, dans la Lockyer Valley où des villages entiers ont été balayés, la clinique vétérinaire de Gatton recueille des animaux "couverts de boue mais qui de façon surprenante présentent peu de blessures", "Mais j'ai bien peur que les bêtes blessées n'aient tout simplement pas survécu", explique Bob Doneley, qui dirige la clinique. Les animaux qu'on lui apporte "mangent pendant au moins 15 minutes et s'endorment aussitôt, pour la journée. Ils sont morts de faim, et de peur". Face aux bouleversements naturels, les espèces sauvages ont parfois trouvé refuge dans les maisons. Les serpents, dont l'Australie possède sept des dix spécimens les plus venimeux au monde, dont le taïpan et le serpent-tigre, posent un réel danger dans le centre du Queensland. Les dangereux crocodiles d'eau salée ont quant à eux profité des inondations pour se rapprocher des villes comme Rockhampton, sur la côte. Au nord-ouest de Brisbane, un chasseur de serpents a été appelé pour protéger une équipe de secouristes néo-zélandais. "Il n'y a pas de serpents similaires en Nouvelle-Zélande, ils sont donc plutôt inquiets et les gens d'ici se moquent d'eux en leur racontant des histoires toutes plus effrayantes les unes que les autres", confie Ray Brown, le maire. "Comme celle de ces serpents réfugiés dans les arbres et qui se laissent tomber dans les bateaux des sauveteurs", ajoute-t-il. "On ne peut pas dire que les serpents tombent du ciel, mais ce n'est quand même pas très plaisant". (AFP / 16 janvier 2011 03h48) Source -
La tortue Cistude a été réintroduite en Suisse en 2010 à Genève
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
La tortue Cistude a été réintroduite en Suisse en 2010 à Genève La République de Genève a mis à profit l'année de la biodiversité pour réaliser une première en Suisse, la réintroduction de la tortue Cistude d'Europe. La cistude, une tortue aquatique à la carapace marquée de jaune, est l'unique représentante de sa famille à être présente naturellement sous nos latitudes. Ce reptile inscrit sur la liste rouge suisse a fait l'objet en 2010 d'une réintroduction locale par l'Etat de Genève, en partenariat avec le Karch et le centre de Protection-Récupération des Tortues (PRT) de Chavornay. Cinq jeunes cistudes ont ainsi été relâchées le 11 mai dernier dans les étangs renaturés de Pré-Bordon, dans les Bois de Jussy. Ces premières tortues réintroduites officiellement en Suisse ont été suivies par 10 autres au cours des semaines suivantes. Tous les animaux ont été munis de radio-émetteurs afin de mieux connaître leurs déplacements et mesurer le succès de cette action. Les résultats obtenus sont riches en données et très encourageants. Les jours qui ont suivi les lâchers ont été caractérisés par une période de réacclimatation à l'activité réduite. Très vite, cependant, les tortues ont trouvé leurs marques dans cet habitat adapté à leurs besoins, utilisant aussi bien les nénuphars pour se chauffer au soleil que les roselières pour s'abriter. Toutes les cistudes ont survécu jusqu'à leur hibernation, débutée à la fin du mois de septembre. Depuis, elles sont immobiles au fond de l'eau et les émetteurs ne livrent plus d'informations utiles. Il est prévu de renforcer cette petite population : les premières occupantes seront rejointes par une trentaine de nouvelles venues au cours des deux ans à venir. Compte tenu de l'âge des tortues, il faudra encore quelques années pour qu'elles puissent se reproduire. Des aménagements à cet effet ont été prévus sur le site. Ce sera alors la confirmation de la réussite de cette opération : un enrichissement durable pour la nature genevoise et helvétique, débuté à l'occasion de l'Année internationale de la biodiversité. Source -
123 cas de piqûres de scorpions en une année Quelques 11.188 interventions ont été effectuées par les éléments de la protection civile durant l'année 2010 à travers la wilaya de Ghardaïa, contre 12.018 en 2009, relève le bilan annuel de cette institution. La protection civiale fait état, pour 2010, de 317 accidents de la route faisant 49 morts et 497 blessés, 123 cas de piqûres de scorpion, 14 cas d'asphyxie, 253 interventions de lutte contre les feux de forêts, 8.597 évacuations sanitaires et 1.642 interventions diverses. Source
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L'endroit où on mesure la température est relatif à l'animal. Dans le cas d'un Pantherophis, on mesure au sol. On prend la température au sol pour les animaux terrestres, et on la prend au centre pour les animaux arboricole. Pour ce qui est du câble chauffant, je n'ai jamais utilisé que ça. J'ai toujours complèté avec une lampe alors je ne peux pas t'aider.
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Photos de mes California Kings snakes
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Jean-Mich271 dans Colubridés
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Une tortue pas comme les autres fait le bonheur d'une famille jijelienne JIJEL - Une tortue terrestre mâle fait partie depuis une trentaine d'années du décor ambiant du foyer d'une famille de Jijel qui ne s'en séparerait pour rien au monde. Kadirou (c'est le "nom" affectueusement donné au reptile) est si présent qu'il est devenu "un membre à part entière de la famille", assure Mounir Zellouf, en caressant le cou de l'animal qui, habitué et consentant, en redemande. Plus insolite, l'animal quadragénaire semble défier les lois de la nature, ne prenant ni salade ni viande mais du lait et du pain, le tout mariné, comme le ferait un être humain. Futé et un tantinet curieux, Kadirou reconnaît aussi bien les membres de sa famille adoptive que les étrangers en allant "renifler" avec circonspection les chaussures et cogner de la tête ou changer de cap quand il s'agit d'une personne inconnue au bataillon. Source
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LA ROUTE de la tortue luth En suivant des tortues luth durant leur migration, des scientifiques installés au Gabon espèrent aider à la préservation de l'espèce. Avec ses un mètre quatre-vingt de long et son poids moyen de cinq cents kilogrammes, la tortue luth est, sans conteste, la tortue marine la plus impressionnante de la planète. On la trouve dans tous les océans, du Pacifique à l'Atlantique. Mais c'est au Gabon qu'une partie d'entre elles se retrouvent pour pondre leurs œufs. Depuis quatre ans, des scientifiques suivent de près cette colonie gabonaise avec l'idée d'en savoir plus sur leur migration. Car ces femelles, après avoir pondu, entreprennent un long voyage pour gagner des rivages parfois très éloignés. Les chercheurs anglais du Centre pour l'écologie et la conservation de l'université d'Exeter ont ainsi équipé vingt-cinq femelles de balises reliées à des satellites et ont réussi à les suivre pendant plusieurs mois, sur trois routes de migration. L'une conduit vers l'Afrique du Sud, l'autre remonte au-dessus de l'Equateur et la dernière traverse l'Atlantique jusqu'au Brésil et l'Argentine. En identifiant l’itinéraire de ces migrations, les scientifiques espèrent aussi participer à la préservation de l’espèce qui est aujourd’hui menacée en certaines régions de la planète. Car si la pollution est présentée parfois comme leur ennemi numéro un, la pêche côtière et en haute mer leur cause de grands dommages. Les chercheurs ont ainsi dressé la liste de onze pays dont les côtes ou les eaux territoriales se trouvent sur la route de ces tortues. Des pays qu’ils appellent à plus de vigilance. Source
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Une tortue de 200 kg s'échoue à Ouessant Une tortue luth d'environ de 200 kilos et d'un mètre soixante de long a été retrouvée morte mardi à Ouessant, révèle Ouest France . Le centre d'études du milieu de Ouessant n'a pas été en mesure pour le moment de trouver la cause de sa mort. Les tortues luths sont la plus grande des espèces de tortues marines. Elle évoluent et se reproduisent dans les mers chaudes près des côtes de la Guyane, du Costa Rica ou encore de l'Indonésie. Mais il n'est pas rare qu'elles longent les côtes françaises "en quête de méduses, dont elles raffolent", explique le quotidien régional. Malheureusement, certaines d'entre elles sont victimes des sacs plastiques qu'elles ingurgitent malgré elles. Source
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Les crapauds australiens transformés en it-shoes
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Nouvelle
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Les crapauds australiens transformés en it-shoes Nuisible en Australie, l'animal est désormais recherché pour sa peau, qui sert à la fabrication de baskets. Introduit en Australie dans les années 30, le crapaud buffle -une variété de crapaud imposante et très venimeuse- avait pour mission de débarrasser le pays de ses coléoptères. Mais le gros amphibien a eu tôt fait d'envahir tout le territoire et de nuire à l'équilibre de la faune australienne. Jusqu'à ce que deux drôles de fées du stylisme aient l'idée de le transformer... en chaussures. Pour se débarrasser du mufle, deux frères, Rupert et Matt Noffs, créent des chaussures de sport avec leur cuir: "Les peaux sont teintes, elles existent en bleu, doré, rouge, rose, noir et sont vraiment magnifiques. Très solides également" déclare Rupert. Les bénéfices sont reversés à leur association d'aide à la réinsertion des personnes démunies ou toxicomanes. Les créateurs réussissent le pari fou de faire entrer le crapaud au panthéon du luxe: une paire de chaussures en peau de crapaud buffle coûte 330€ ... Grand prince, le crapaud. Gluante et pustuleuse, la créature serait-elle victime de sa vilaine trombine? Les très nombreux sites et forums australiens qui lui sont consacrés ne laissent pas de doute: au pays des kangourous, le crapaud buffle est l'ennemi public numéro 1. Le crapaud n'étant pas une espèce protégée en Australie, les associations de défense des animaux se contentent de recommander aux citoyens de les tuer "avec humanité". Alors tremblez, crapauds buffles: le baiser de la fahionista pourrait bien être mortel! Et vous, vous laisseriez-vous tenter par une paire de chaussures en crapaud buffle? Source
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Sept peaux de python remises au Muséum de La Rochelle
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Sept peaux de python remises au Muséum de La Rochelle Ces trophées avaient été saisis par les douanes dans une brocante du Morbihan. Le python de Seba étant un animal protégé par la convention internationale sur le commerce des espèces sauvages (Cites). Sept peaux de python de Seba d'environ 4 mètres chacune seront données lundi au Muséum d'histoire naturelle de La Rochelle par Joël Quiniou, directeur de l'école nationale des douanes. Ces trophées avaient été saisis par les douanes dans une brocante du Morbihan. Source -
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Un alligator orange photographié en Floride
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Nouvelle
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Un alligator orange photographié en Floride VENICE, États-Unis - Un alligator orange, découvert la semaine dernière dans le sud de la Floride, suscite de vives interrogations. Mais d'après les spécialistes, ce ne serait pas sa couleur naturelle... Une Américaine, Sylvia Mythen, a photographié mercredi dernier le reptile à la teinte saumon qui prenait un bain de soleil au bord d'un canal à Venice. Le cliché est passé ensuite à la télévision, soulevant aussitôt un débat sur cette étrange pigmentation. Mais d'après les experts de la Commission de préservation des poissons et de la vie sauvage de Floride, qui ont examiné à la loupe la photographie, la couleur de l'alligator ne serait pas d'origine génétique. Ils pensent que le reptile était sans doute recouvert d'une peinture ou d'une autre substance orange. Source
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Centre-du-Québec: virée des musées Où trouve-ton un musée consacré aux Abénakis, un deuxième aux grandes religions du monde et un troisième à la protection de la biodiversité? Dans le Centre-du-Québec, cette région qui se trouve entre Montréal et Québec et qui permet donc d'y faire une petite escapade d'une journée, à partir de la métropole. Récit d'une surprenante tournée muséale, entre Sorel et Bécancour. Premier arrêt: le Centre de la biodiversité du Québec, situé à quelques kilomètres du pont Laviolette, qui enjambe le fleuve à la hauteur de Trois-Rivières. Ouvert depuis 1997, mais entièrement rénové et agrandi depuis, ce centre d'interprétation s'est donné la mission de faire comprendre l'importance de la biodiversité sur notre planète. Comment? En permettant aux visiteurs de toucher, de palper et de caresser les animaux de sa collection. Imaginez si on pouvait faire la même chose au Biodôme! Cette approche, absolument unique, rend la visite des plus palpitantes pour les jeunes et les parents ayant conservé leur coeur d'enfant. Beau programme en perspective. Le hic, c'est que les bêtes à caresser n'arborent pas nécessairement un beau pelage. La guide, Caroline Labarre, propose d'abord de flatter une mygale rose du Chili, une grosse araignée poilue. Non merci! Puis, elle récidive en sortant une blatte, une grosse coquerelle noire, de son aquarium pour une séance de tendresse. Non, mais... Sauf que peu à peu, on se fait prendre au jeu. Tortue, couleuvre, iguane, python et un immense boa pesant 20 livres subissent nos caresses maladroites. Pendant tout ce temps, la guide présente les multiples caractéristiques de ces bêtes. Très intéressant et instructif. La visite guidée, d'une durée de 1 h 30, nous mène également dans une salle consacrée à la richesse faunistique du lac Saint-Pierre, où l'on découvre d'étonnants poissons vivants en nos contrées. Le tout se termine par la collation d'un couple de loutres et d'un mignon raton-laveur, dans leur habitat extérieur. Si on dispose de plus de temps, on peut s'aventurer, à pied ou en raquettes (apportez les vôtres), dans les sentiers qui sillonnent le vaste domaine du centre, reconnu pour sa richesse. «On a installé des mangeoires pour favoriser l'observation des oiseaux et il est très facile de voir des cerfs de Virginie», affirme Carole Bellerose, directrice de l'institution. Demandez à l'accueil et on vous indiquera gentiment où ils se cachent. Il est grand, le mystère de la foi Deuxième étape, autre atmosphère: le Musée des religions du monde, situé à Nicolet. Sa mission est de démystifier les cinq plus grandes religions. Un défi colossal! L'exposition permanente s'apprécie mieux dans le cadre d'une visite guidée. C'est Mathieu Fortin, responsable des animations, ferré en croyances, qui s'en occupe. Pour chaque confession (islamisme, hindouisme, bouddhisme, judaïsme et christianisme), des pièces significatives provenant de la collection de 130 000 objets du musée nous plongent au coeur du sujet. Des statues de Vishnou et de Ganesh, divinités hindouistes, un tapis de prière et un chapelet musulman (99 billes pour évoquer les 99 noms d'Allah), des drapeaux de prière bouddhistes et des crucifix à la tonne sont ainsi exposés. Quelques pièces retiennent notre attention, comme une représentation autochtone de Jésus sur la croix et une authentique toile de Jean-Paul Lemieux. Le musée compte également des espaces consacrés aux expositions temporaires. À l'affiche jusqu'au 13 mars, Deuils explore les différents rites et coutumes entourant la mort dans les différents courants religieux. La scénographie rappelle un salon funéraire, mais le contenu, lui, est loin d'être d'un ennui mortel. L'expo se termine avec un immense tableau où il est possible de souligner la mort d'un proche. L'été dernier, l'institution a présenté À la vie, à la mort, mettant en vedette des photographies de gens prises juste avant leur mort et après, laquelle a connu un succès monstre. La direction espère répéter l'exploit avec la présentation, l'été prochain, de (attention esprits sensibles...) Tabarnak, l'expo qui jure, laquelle explorera l'univers des sacres au Québec. Ça promet! Incursion dans une réserve Troisième arrêt: le musée des Abénakis, situé sur la réserve indienne d'Odanak, entre Nicolet et Sorel. Il s'agit du plus vieux musée québécois se consacrant à l'histoire des Amérindiens, dont la première exposition date de 1962. Le musée actuel, situé sur les rives de la rivière Saint-François, occupe un ancien presbytère superbement rénové en 2003. La visite guidée se fait avec un descendant de cette nation, qui ne compte plus que 2000 représentants au Québec. Avant l'arrivée des Européens, les Abénakis, nom qui signifie «peuple du soleil levant», occupaient un très vaste territoire couvrant l'actuelle Nouvelle-Angleterre. Ils étaient semi-nomades et réalisaient de superbes pièces de vannerie, une tradition qui se perpétue encore de nos jours. L'exposition permanente, conçue en visant surtout un public européen, se penche sur le mode de vie des Abénakis avant la colonisation européenne, en présentant leur méthode de chasse et leurs outils. On leur doit, entre autres, la découverte du sirop d'érable. «On faisait même de la tire depuis des lustres», affirme la guide Jennifer Mahé-Trudeau. Sur réservation, il est possible de manger un repas typiquement abénaquis, avec pain traditionnel, ragoût de wapiti et sagamité, une soupe de haricots rouges et de maïs. Plusieurs activités se tiennent régulièrement sur le site du musée, dont le traditionnel pow-wow en été. Centre de la biodiversité du Québec: www.biodiversite.net Musée des religions du monde: museedesreligions.qc.ca Musée des Abénakis: www.museedesabenakis.ca Quoi faire à proximité? Centre de la biodiversité du Québec, à Bécancour > Resto-bar La Marina: directement sur le fleuve, avec vue sur Trois-Rivières. Cuisine familiale. Info: 819-222-8388 > Auberge Godefroy: hôtel quatre étoiles à deux minutes du pont Laviolette. Info: www.aubergegodefroy.com > L'Angélaine: chèvrerie spécialisée dans l'élevage de la chèvre agora, productrice de la fibre mohair. Info: www.langelaine.com Musée des religions du monde, à Nicolet > Café-boulangerie Galoto: les meilleures viennoiseries du coin. Info: 819-293-5274 > Resto-bières le Thymbré: occupant un ancien bureau de poste, d'où le nom, on y offre de nombreux plats à base de bière. Info: www.lethymbre.com > Galerie-boutique Manu Factum: une cinquantaine d'artistes y propose leurs créations. Info: 819-293-3360 Musée des Abénakis, à Odanak > Pourvoirie Jean-François Lemire: location de cabanes pour pratiquer la pêche blanche sur le lac Saint-Pierre, à Baie-du-Febvre. Info: 450-783-6416 > Auberge Blondin: gîte quatre soleils situé dans une demeure ancestrale, à Saint-François-du-Lac. Info: www.aubergeblondin.com Source
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Le fossile d'un reptile volant découvert en C.-B.
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Le fossile d'un reptile volant découvert en C.-B. VANCOUVER - Un fossile extrêmement rare découvert sur l'île de Hornby, en Colombie-Britannique, est celui d'un reptile volant, selon une nouvelle étude publiée dans la Revue canadienne des sciences de la Terre. Il s'agit du premier ptérosaure découvert dans cette province et le premier istiodactylidé du Canada. Le ptérosaure signifie littéralement en grec «lézard ailé». Il aurait vécu il y a près de 70 millions d'années. Le fossile — une mâchoire — a été trouvé au coeur d'une roche de la grosseur d'un poing. La paléontologiste Victoria Arbour, de l'Université de l'Alberta, estime qu'il provient d'un reptile volant avec des ailes de trois mètres de portée. Mme Arbour, originaire de la Nouvelle-Écosse, a indiqué que le reptile devait avoir une longue tête et un très long bec. La spécialiste a dit croire qu'il s'agit d'un habile prédateur qui aurait pu avoir comme proie des petits mammifères, des lézards, des poissons ou même des petits dinosaures. La roche avait été trouvée il y a plusieurs années par un collectionneur avide de fossiles, Graham Beard, qui préside le Vancouver Island Paleontological Museum. Il était jusqu'ici persuadé qu'il s'agissait du fossile d'un dinosaure. Source -
Haïti: découverte de six espèces de grenouilles qu'on croyait disparues WASHINGTON - Des défenseurs américains de la nature ont découvert dans la forêt tropicale en Haïti des grenouilles autochtones appartenant à six espèces qu'on croyait disparues depuis près de vingt ans, ont-ils annoncé mardi. Ces scientifiques de Conservation International (CI), organisation américaine privée de préservation des espèces et de l'Amphibian Specialist Group (ASG), spécialisé dans la protection des amphibiens, ont fait ces découvertes lors d'une expédition en octobre dernier. Ils ont exploré une zone montagneuse reculée du sud-ouest d'Haïti sous la direction de Robin Moore, expert des amphibiens à ASG. L'un des grands objectifs de cette expédition était de retrouver la grenouille Eleutherodactylus glanduliferoides, pas vue depuis plus de 25 ans et de faire une évaluation des populations d'un grand nombre des 48 autres espèces d'amphibiens spécifiques à Haïti. Leur survie dépend pour la plupart de la conservation des régions montagneuses dans le sud-ouest et le sud-est du pays. Si ces experts de la protection de la biodiversité n'ont pas pu trouver la grenouille qu'ils cherchaient, ils ont en revanche mis la main sur des spécimens de ces six espèces qu'on craignait éteintes, telle la "grenouille de Mozart" (E. Amadeus). "C'était fantastique, nous étions venus pour chercher une espèce introuvable et on tombe sur un trésor d'autres grenouilles", a expliqué Robin Moore dans un communiqué. La "grenouille de Mozart" est toute petite (2,5 cm de long) et doit son nom au fait qu'elle émet des sifflement ressemblant à des notes de musique. Les autres batraciens retrouvés sont la "grenouille ventriloque d'Hispaniola" (E. dolomedes, 2,16 cm), la "grenouille à glandes de La Hotte" (E. glandulifer, 5,3 cm) --qui se distingue par d'exceptionnels yeux bleu saphir-- et la "Macaya tachetée" (E. thorectes). Avec 1,51 cm, elle est l'une des plus petites grenouilles au le monde. Les deux dernières sont l'"Hispaniolane couronnée" (E. corona, 2 cm) et la "Macaya fouisseuse" (E. parapelates), très spectaculaire, avec ses grands yeux noirs et des taches orange vif sur les cuisses. (AFP / 12 janvier 2011 02h00) Source
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modification aquarium en vivarium
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de papamisterj1 dans Le terrarium
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Oeufs de triton a ventre rouge
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Bella11 dans Batraciens
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modification aquarium en vivarium
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de papamisterj1 dans Le terrarium