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Max|mum-leterrarium

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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. Bienvenue Charlotte! Plusieurs ici envienront probablement ton travail!
  2. Une très jolie collection cher ami. J'espère vois ça en photo sous peu.
  3. Des centaines d'animaux rares saisis en Thaïlande Serpents, araignées et tortues, comptant parmi les espèces les plus rares du monde, ont été saisis à l'aéroport de Bangkok. C'est dans les valises d'un Indonésien que les animaux sauvages ont été découverts par la douane. Comme le rapporte le Figaro, citant la Division de protection de la flore et de la faune sauvages thaïlandaise, l'homme âgé de 34 ans s'apprêtait à prendre l'avion, quand le contrôle aux rayons X de ses trois valises a permis la découverte de centaines d'animaux entassés les uns sur les autres. Parmi ces bêtes sauvages, 88 tortues étoilées d'Inde, 33 tortues à tête jaune, et une tortue à soc, des espèces très rares protégées. Deux boas constrictor, 34 pythons royaux, 18 mygales enfermées dans des boîtes en plastique, ainsi que des écureuils, plusieurs espèces de lézards, et un perroquet Gris du Gabon, ont également été retrouvés dans ces trois valises aménagées en différents compartiments. L'homme a indiqué aux autorités avoir trouvé et acheté ces animaux sur le marché de Chatuchak, à Bangkok. Ce célèbre marché est selon Traffic, une association luttant contre la contrebande d'espèces menacées, "une plaque tournante pour le trafic de certaines des espèces les plus rares au monde". Directeur régional de l'organisation, William Schaedla considère cette situation "totalement inacceptable dans un pays qui prétend s'attaquer efficacement aux trafics illégaux d'espèces". La valeur des centaines d'animaux découverts à l'aéroport a été estimée à 18.000 euros. Poursuivi pour possession illégale et trafic d'animaux sauvages, l'homme risque une peine maximum de quatre ans de prison. Source
  4. Il faut sauver nos grenouilles On fait parfois n'importe quoi quand on est amoureux. Même quand on est une petite grenouille. Comme de traverser la route sans regarder. Et paf ! on se retrouve écrabouillé. Alors, si on pouvait leur donner un petit coup de patte, elles nous serreraient chaleureusement les palmes. « L'une des principales causes de la disparition des amphibiens, en Ariège est leur écrasement sur la route, lors de leur migration printanière », explique Carole Herscovici, d'Ariège Nature. Samedi, à Tourtouse, dans le Couserans, des bénévoles vont construire une barrière le long de la route. « C'est un endroit où précisément, il y a de grandes mares. A la saison des amours, les grenouilles traversent et sont écrasées par dizaines. L'idée est donc de construire une barrière pour que les grenouilles aillent jusqu'à un passage aménagé sous la route, où elles peuvent passer en toute tranquillité » poursuit Carole. Ces migrations ont lieu à la tombée du jour, par temps doux, et humide, donc de début février jusqu'au début du mois d'avril. Rendez-vous est donc donné matin à la salle des fêtes de Tourtouse à 9 h 30 jusqu'à 17 h 30. Inscription obligatoire au 05 61 65 80 54 Source
  5. Dentiste pour caïman au vivarium Le caïman yacaré du vivarium de La Chaux-de-Fonds a une dent en moins. Les soigneurs ont profité de la fermeture annuelle du site pour sortir l’animal de son terrarium. Ils ont ainsi pu lui prodiguer des soins dentaires, le mesurer et le peser. Cette manœuvre n’est pas sans risque. L’animal a beaucoup de force, particulièrement dans la queue. Le caïman yacaré est arrivé au vivarium en 1974. Il était alors âgé d’une dizaine d’années et avait été victime de mauvais traitements dont il a gardé des séquelles. Grâce aux soins reçus au fil des ans, le reptile se porte de mieux en mieux. Par ailleurs, l’équipe du vivarium profite également de la fermeture annuelle pour proposer des visites guidées par petits groupes, ce dimanche de 14h à 17 heures. Une occasion unique de découvrir l’envers du décor. Pour les gourmands, le Bois du Petit-Château proposera également la tire sur neige, ou sucette au sirop d’érable confectionnée sur des blocs de glace, ainsi que du vin chaud. /mve Source
  6. Trois nouveaux parcs naturels marins crées en 2011 en France PARIS — Trois parcs naturels marins seront crées en 2011 à l'ouest du Golfe du Lion, dans les Estuaires Picards et dans l'estuaire de la Gironde dans un programme qui vise à doter la France de dix parcs d'ici 2013, a annoncé jeudi la ministre de l'Ecologie Nathalie Kosciusko-Morizet. Ces parcs s'inscrivent dans l'objectif du Grenelle de la mer de 2009 de protéger la biodiversité marine par la création d'aires marines protégées sur 10% de la surface totale des espaces maritimes français d'ici 2012. Parmi les trois parcs naturels marins prévus en 2011, celui de la Côte Vermeille s'étendra entre Leucate dans l'Aude et Cerbère dans les Pyrénées-orientales sur la côte méditerranéenne. Ce Parc de la Côte Vermeille compte plus de 1.200 espèces animales (corail rouge, mérou brun, grand dauphin etc.) et environ 500 espèces végétales dans les écosystèmes sous-marins. Le Parc des Estuaires Picards concernera la zone entre le Tréport et le Cap Blanc Nez et au large jusqu'aux côtes anglaises. Il abrite 20 espèces de mammifères marins, plus de 30 espèces d'oiseaux marins, plus de 80 espèces halieutiques et plus de 1.200 espèces d'invertébrés. Le troisième projet créé en 2011, le Parc des Glorieuses, vise à protéger les fonds et habitats variés de l'estuaire de la Gironde ainsi que sa faune riche en oiseaux et qui abrite un couloir de circulation et de migration de la tortue Caouanne ou la tortue luth. Il existe actuellement deux parcs marins en France, celui de l'Iroise à la pointe Finistère créé en 2007 et celui de Mayotte dans l'océan indien. La ministre a également annoncé la création de trois autres parcs marins en 2012 sans préciser leur localisation. Les principaux objectifs de la création de ces parcs naturels marins sont la connaissance et la protection du milieu marin et le développement durable des activités maritimes dans ces régions. NKM a révélé la mise en place en début de semaine prochaine du parc marin international des Bouches de Bonifacio, une initiative franco-italienne. "La protection de l'environnement n'est pas incompatible avec le développement économique des activités en mer et il faut cesser de les opposer", a-t-elle noté. Copyright 2011 AFP. Tous droits réservés. Source
  7. La défonce à la morsure de serpent, la princesse et le crapaud Dans la catégorie pas-de-limite-à-la-connerie quand on veut se défoncer et après les déjà cultes MP3 et noix de muscade, une drogue tendance gothique-retour à la nature: le venin de serpent. Mais délivré directement du producteur au consommateur: en se faisant mordre. Sinon c’est trop facile. Pour une fois ça ne se passe pas aux Etats-Unis, mais en Inde. Quatre chercheurs du département de psychiatrie de la ville de Ranchi ont ainsi publié dans la très sérieuse revue « Substance abuse » un article sur deux cas récents. Le premier candidat, âgé de 52 ans, dont 34 ans de consommation d’alcool, marijunua, benzodiazépines, opiacés… a entendu parler de cette pratique par des amis et a voulu « expérimenter les effets que les autres drogues n’avaient plus ». Avec l’aide d’un charmeur de serpents (commun en Inde nous précisent les chercheurs, ça risque d’être plus compliqué à Paris), l’homme s’est fait mordre à deux reprises le bras gauche, sans être capable de dire de quel type de serpent il s’agissait. Résultat: d’abord un sentiment de maladie, une vision troublée, puis un sentiment d’excitation et de bien-être pour quelques heures. Sentiment plus fort qu’avec une injection de Pentozacine (un opiacé de synthèse) pour les spécialistes. Dans le deuxième cas, l’homme s’est fait volontairement mordre au pied par un cobra indien (encore appelé naja naja ou cobra à lunette). Résultat: un « blackout associé à un sentiment de bien-être, à de la léthargie et à un endormissement ». Wikipedia nous apprend que les spécimens adultes atteignent la taille de 1,4 à 2,2 m, que pour certains, ils protègent le bouddha, mais surtout que leur venin « neurotoxique est extrêmement dangereux, bien que parfois utilisé dans le cadre de l’homéopathie. » Le Deccan Herald, quotidien indien, rapporte également le cas d’un certain Dileep Chaurasia, quadragénaire qui se fait régulièrement piquer par des serpents et des scorpions pour dormir… bien que ce témoignage semble pour le moins douteux. Selon le Journal of Postgraduate Medicine, par contre, deux cas d’héroïnomanes friands de piqures de serpents auraient également été relevés en 1990, en Inde déjà. Le premier était un héroïnomane de 35 ans consommateur de longue date de venin à raison de 2 ou 3 piqures par semaine, pour 50 roupies l’injection! Les auteurs de cette première étude, qui affirment que la pratique est rituelle dans le sud de Bombay, en déduisaient que « le venin de serpent pourrait contenir des substances combattant l’anxiété sans risque d’addiction« . D’autres études ont depuis été menées sur les vertus du venin, qui a même fini l’année dernière dans une crème de jour… Ceci étant dit, rappelons aux apprentis-sorciers que chaque année, environ 20 000 personnes meurent dans le monde après avoir été mordues par un serpent. Et que que ceux qui ne meurent pas endurent parfois d’atroces souffrances. Dans l’antiquité, la morsure de serpents était utilisée pour administrer la peine capitale ou encore pour se suicider, l’un des cas les plus célèbres étant celui de Cléopatre (bien que ce point soit discuté) à la mort de Marc Antoine. L’histoire du crapaud et de la princesse: stupéfiant! Une digression mythologique me permettant de rebondir brillamment sur un sujet que j’ai déjà développé dans les colonnes de Libération et qui me tient à coeur à propos de drogues d’origine animale: l’histoire de la princesse et du crapaud. On connait le pitch: la belle perd sa balle, l’affreux crapaud la retrouve et réclame son baiser de récompense. Elle minaude, puis finit par accepter. Et là, oh surprise: le crapaud se fait prince charmant. Mais revoyons la scène au ralenti: en embrassant le crapaud, la princesse a très bien pu ingérer un aphrodisiaque aux vertus hallucinogènes du nom fort peu romantique de 5-MeO-DMT, que l’on trouve dans la bave du Bufo alvarius… Rien de magique donc, la princesse aurait simplement été victime d’une hallucination. CQFD. Source
  8. Les seules invertébrés du Québec que j'ai testé ont été les vers de terre. Je ne peux rien te dire de plus mais chacuns ont leur valeurs nutritives alors.
  9. Max|mum-leterrarium

    Jake

    Pourtant, tu as bien éduquer tes enfants.
  10. Je vais essaye de pogner l'émission samedi, ça m'intrigue.
  11. Je ne les ai pas vu depuis mais je risque de leur redonner quand les choses se placeront pour ma soeur et qu'ils retourneront vivre avec elle.
  12. Oui, j'ai réussis à m'assoir tranquille devant une télé
  13. C'est lorsqu'il s'est férocement battu avec son poisson... déjà mort.
  14. Bienvenue darwin! J'espère que tu te plairas parmi nous! Je transfère le message sous la rubrique présentez-vous!
  15. Je n'ai jamais porté attention puisque j'en avais déjà un, je n'ai pas regardé trop trop les autres.
  16. Tu as réussis à en vendre beaucoup au fait?
  17. Oui, je m'en suis rendu compte mais j'ai quand même espéré en l'achetant.
  18. Souvent, ils nous en disent le minimum mais bon, avec un peu de recherche, on apprend beaucoup plus.
  19. Oui bien j'ai une amie qui est sensé venir essayé avec son appareil voir si on obtiendrait pas un meilleur résultat. On verra rendu là.
  20. Ça doit faire au moins deux ans que je l'ai, peut-être même trois.
  21. Bienvenue ici Simon, bien content que tu te joignes à nous!
  22. Il y a un gars à Québec qui les vend à 20$ actuellement.
  23. A la recherche des pattes perdues du serpent Un fossile de serpent à pattes passé aux rayons-X permet d’en savoir un peu plus sur l’histoire de ces reptiles qui ont perdu leurs membres au cours de l’évolution. L’évolution des serpents est une histoire de régression, celle des pattes… Ces reptiles ondulants descendent de lézards qui avaient des pattes. Étaient-ils aquatiques, terrestres? Quelle est la population de serpents la plus primitive ? Avait-elle encore des pattes ? Toutes ces questions sont très débattues par les spécialistes. Ils ne disposent que de trois fossiles de serpents à pattes, datés de plus de 90 millions d’années. L’un de ces trois spécimens rares, Eupodophis descouensi, vient de livrer un important secret : grâce aux nouvelles techniques d’imagerie mises en place au synchrotron de Grenoble (ESRF), une patte dissimulée dans la roche apparait en détail. «Sur la patte qui est visible on ne voit que quatre os au niveau de la cheville, alors que pour les lézards il y en a environ une dizaine normalement», explique Alexandra Houssaye, du Muséum national d’histoire naturelle et du CNRS, qui a dirigé cette étude. «Une partie de la patte visible aurait pu ne pas être conservée au moment de la fossilisation tandis que pour l’autre patte, entièrement prise dans la roche, nous savons que tout est là». La structure interne de ce fossile plat a été dévoilée grâce à la laminographie par synchrotron, une technique proche de la tomographie assistée par ordinateur, qui permet de découper virtuellement un objet d’étude et de reconstituer son image en 3D. Cependant avec le rayonnement synchrotron le niveau de détail des images est 1000 fois plus petit, précisent les chercheurs, allant jusqu’à une précision de quelques micromètres (10-6 m). La représentation en 3D de cette patte cachée (voir ci-contre) confirme qu’il n’y a pas d’os du pied et qu’il n’y a que quatre os pour la cheville. Par ailleurs la structure interne du serpent montre que le mode de croissance du fémur est le même que chez les lézards terrestres. La patte est un membre en cours de régression, qui ne servait sans doute plus beaucoup, précise Alexandra Houssaye. Chez les boas ou les pythons il reste une griffe à la place du fémur qui est utile au moment de l’accouplement pour le positionnement des corps, comme les vestiges de membres postérieurs chez les cétacés, précise la spécialiste de l’évolution des vertébrés. Ces travaux sont publiés aujourd’hui dans le Journal of Vertebrate Paleontology. Cécile Dumas Sciences et Avenir.fr 08/02/11 Source
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