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Max|mum-leterrarium

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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. On meurt par l’envenimation scorpionique Ainsi, on voit arriver les pénuries d’eau, les intoxications alimentaires, l’oisiveté des enfants qui ne sont plus dans les écoles, et ce qui est spécifique aux wilayas des Hauts- Plateaux et du Sud, les piqûres de scorpion dont certaines sont mortelles. En effet, les envenimations par piqûres de scorpions sont fréquentes dans la région. Chaque été, des centaines de cas de piqûres sont dénombrées dont des dizaines de cas mortels. Un problème de santé publique La dernière victime en date est une petite fille, D. F., âgée de 2 ans, décédée dans la matinée du vendredi dernier à l’hôpital de Boussaâda suite à la piqûre d’un scorpion. Pieds nus, elle était dans la cour de la maison au douar Maârif, 45 kilomètres du chef-lieu de la wilaya de M’Sila, par une torride nuit d’été. A la première marche, le dard venimeux lui injectait la mort dans une veine plantaire, à l’âge où l’insouciance élude les craintes. Malgré les nombreuses victimes causées par le plus vieil animal au monde (500 millions d’années), l’homme reste insouciant. Il contribue à contribuer à la prolifération des gîtes de scorpions par la rurbanisation, le manque d’hygiène, les bidonvilles et la pollution sous toutes ses formes. Cet animal nocturne, actif en été, se nourrissant de proies fraîchement tuées ou vivantes, résistant aux agressions thermiques, au jeûne (il peut rester 1 an sans manger), à la déshydratation (40 %), à l’asphyxie, aux infections microbiennes et même aux irradiations (il a été retrouvé vivant après les essais nucléaires d’In Ekker). L’envenimation scorpionique est un problème de santé publique en Algérie selon l’OMS. En effet, pour les responsables de la directeur de la prévention au ministère de la Santé, le nombre de piqûres qui est de 50 000 cas par an, avec une moyenne de décès comprise entre 70 et 100 cas, dont 65 % chez les enfants, doit attirer l’attention sur l’importance de la lutte contre l’envenimement. Les wilayas les plus touchées par les piqûres de scorpion sont Biskra, Djelfa, M’sila, Ouargla, El-Oued et Adrar où 4 000 cas ont été enregistrés pour 100 000 habitants. Les wilayas de Batna, Laghouat, Tamanrasset, Tiaret, Médéa, El-Bayadh, Naâma et Ghardaïa ont également enregistré 1 000 à 4 000 cas pour 10 000 habitants.Selon les mêmes responsables, les wilayas ayant enregistré 100 à 1 000 cas de piqûres sont Béjaïa, Béchar, Bouira, Tébessa, Tlemcen, Sétif, Mascara, Bordj Bou-Arréridj, Tissemsilt, Khenchela, Tipasa et Aïn Defla. Pour la commission nationale de lutte contre les piqûres de scorpion, la prise en charge diffère d’une région à l’autre selon la gravité et le degré d’envenimation, estimant que 95 % des piqûres étaient légères, 2,5 % moyennes et 2,5 % représentaient un danger pour la personne piquée. Concernant la prise en charge médicale, il s’agit d’une hospitalisation de six heures avec surveillance clinique pour les piqûres légères et moyennes et la réanimation et soins intensifs de 3 jours pour les cas sévères Le coût de la prise en charge de ces 50 000 cas de piqûres s’élève à 90 000 000 DA. Le montant global pour la prise en charge des piqûres légères assurée par le centre médical est estimé à 30 875 000 DA soit 650 DA pour chaque injection, alors que le coût global des cas moyens est de 2 250 000 DA soit 1 800 DA pour chaque injection. Quant aux cas sévères où le coût de l’injection atteint 15 000 DA, la prise en charge globale est de 18 750 000 DA auxquels s’ajoutent les frais d’hospitalisation estimés à 56 250 000 DA L’endémie est périurbaine à 65 % et l’incidence de l’envenimation calculée. L’extension urbaine l’a spolié de ses repaires naturels. De mœurs nocturnes, l’absence d’éclairage public encourage cet insecte craintif à vaquer librement. Le réseau d’assainissement lui offre des facilitations pour ses déplacements, il peut ainsi le faire de jour, dans ces conduits humides et frais à l’abri des regards. Les conduites d’évacuation des baignoires et lavabos, le font pénétrer dans des endroits insoupçonnés. Parmi ses paradoxes, il craint la chaleur. Il gîte sous la pierre, relativement fraîche le jour, pour la quitter le soir, lui préférant la fraîcheur extérieure. La glande pleine de venin, il part la nuit tombée à la recherche de sa pitance. Sa piqûre serait moins nocive au petit matin, son ampoule évidée par ses multiples piqûres sur ces proies, ne contiendrait pas assez de venin pour tuer. Selon nos sources, le bilan au niveau de la wilaya de M’Sila, en 2008, il a été enregistré 4 555 cas de morsures de scorpion, causant la mort de 15 personnes. Pratiques ancestrales pour lutter contre le scorpion En recourant tout simplement à ses prédateurs naturels, que sont les gallinacés : coq, poule, dinde, canard et autres, qui généralement cohabitaient avec la famille. Le hérisson, autre insectivore, de mœurs nocturnes, était domestiqué pour les besoins de la cause. D’autres pratiques ancestrales étaient de mise tel que le sac de jute mouillé mis au pas de la porte, la fraîcheur du tissu retenait le scorpion jusqu’au matin. Les chaussures n’étaient jamais abandonnées à l’extérieur des logis. Les ustensiles et autres contenants étaient toujours renversés et haut placés pour ne permettre aucune intrusion désagréable. Le couchage à même le sol était évité ; la literie était préalablement vérifiée, avant son utilisation. L’oignon est utilisé en cuisine et en appât. On trouvait souvent, le scorpion enfoui dans l’oignon sec ensaché. Mais, selon un vieil homme de la région de Ben S’Rour, l’arrivée des techniques médicales modernes, telles la sérothérapie et autres médications, ont quelque peu dépossédé le citoyen de sa vigilance. Il pense qu’il serait sauvé en cas d’envenimation, ce qui n’est malheureusement pas toujours le cas. Une chose reste sûre : le fléau est toujours très important et fait des victimes à la pelle. Ce n’est pas pour diminuer le travail et les efforts du comité national qui, comme organisation, a fait beaucoup de progrès pour sensibiliser la population et aussi le personnel médicale, paramédical et administratif. Mais les chiffres annoncés ne semblent pas refléter la vraie réalité d’un drame que seuls des ruraux démunis de tout peuvent apprécier à sa juste valeur dans la perte de leur progéniture. Le plus aberrant aussi pour ces familles en détresse est d’être confrontées à des situations comme celle des médecins en vacances ou des vaccins qui sont inefficaces. Face aux dégâts matériels et moraux engendrés par cet insecte venimeux, les habitants des régions les plus touchées devraient éliminer des gîtes occasionnels constitués par les anfractuosités des murs démunis de crépissage, l’éloignement des gravats et déchets ménagers et l’éclairage extérieur individuel et public. Il faut aussi apprendre aux habitants de ces régions, les gestes qui sauvent tels que : enlever le scorpion des habits, chaussures, literie … et le tuer ; retirer le piqué du lieu de la piqûre ; noter la taille et la couleur du scorpion ; calmer le piqué et son entourage ; noter l’horaire de la piqûre ; évacuer immédiatement le piqué vers la formation sanitaire la plus proche ; collaborer avec le corps soignants. Certains comportements à éviter tels que : éviter la piqûre à l’aiguille et la scarification qui peuvent favoriser la diffusion du venin et la surinfection ; éviter la succion qui peut être à l’origine de l’envenimation de la personne qui la pratique ; éviter la pose du garrot qui exacerbe la douleur et engendre de complications graves pouvant conduire à l’amputation du membre ; ne pas utiliser certains produits sans effets comme l’henné, le gaz et le miel… S.-K. B. Source
  2. En voici un de tortue maintenant! http://www.jeuxdroles.fr/jeux-tortue-volante.html
  3. Montech. Un python sème la panique dans un immeuble Le serpent, échappé de son terrarium, depuis deux mois, erre dans les murs d'une maison. Une mini-psychose s'est emparée il y a peu du 2, rue des Fosses, à Montech. Fin juin, les locataires de cette bâtisse en pierre, entièrement rénovée, ont appris par hasard qu'un python regius errait dans les faux murs et les faux plafonds, trois d'entre eux ont préféré déménager. Ce serpent exotique, une jeune femelle avoisinant l'honorable taille d'un mètre, s'est échappé il y a deux mois d'un appartement du rez-de-chaussée. Son propriétaire, un jeune homme de 22 ans était en train de nettoyer son terrarium quand elle a abandonné le mâle avec lequel elle loge. Depuis, dame python n'avait plus pointé le bout d'une écaille. Ni le propriétaire de l'immeuble, et encore moins ses occupants, n'ont été mis au courant de cette fugue. Le 30 juin dernier au matin, alors qu'il avait emménagé dans le loft situé au premier étage de la bâtisse il y a tout juste un mois, un jeune Montalbanais sort de sa cabine de douche flambant neuve. Il vient de mettre ses lentilles de contact quand il aperçoit une « sorte de tuyau noir » qui pendait du toit de la cabine. « J'ai mis quelques secondes à distinguer une tête, des yeux puis cette langue qui sortait », explique le jeune homme. Il se maîtrise, sort de la salle d'eau et fonce réveiller sa compagne atteinte d'une véritable phobie des serpents. « Foudroyés par la peur » « Nous nous sommes retrouvés foudroyés par la peur… Il nous semblait que tout ce qui nous touchait était un serpent », se souviennent-ils. Alertés, les pompiers fouillent l'appartement. Rien. Pas une écaille en vue. Avec l'autorisation du propriétaire de l'édifice, ils fouillent les faux plafonds, les murs en plaque de plâtres. « C'est un véritable dédale. Ce reptile peut être n'importe où dans l'immeuble. Il a accès aux colonnes d'eau, d'électricité », estime le locataire. C'est en allant demander une lampe de poche à son voisin de pallier qu'il découvre la provenance de l'intrus rampant. « Cette femelle d'à peine un an est partie par un trou percé dans le faux mur, il y a quelques semaines de cela. ça s'est passé très vite », assure ce jeune homme de 22 ans amateur de reptiles. Immédiatement, il prévient : « La direction des services vétérinaires est passée et a dit qu'il n'était pas dangereux ». Ni même capable de pondre des œufs. « Je veux bien qu'on ait peur, on peut être choqué mais quand même, ils en font un peu trop », estime-t-il. Informé à la suite d'une plainte déposée par un des locataires, le parquet a pris l'affaire très au sérieux. Gendarmes, pompiers, garde-chasse, garde champêtre, responsables de la mairie de Montech, vétérinaire de la DSV ont été priés de se déplacer sur le terrain de jeu du python. Acheté légalement, ayant tout ses papiers, ils ne peuvent rien reprocher à ce serpent qui ne figure pas sur la liste des animaux dangereux. En attendant qu'il pointe le bout de sa langue, deux locataires ont préféré quitter l'immeuble. L'un d'eux, sérieusement traumatisé, a donné son préavis et organisé son déménagement en moins d'une semaine. « On ne pouvait pas continuer à vivre ici, c'est impossible », estime-t-il. Des précautions bien inutiles pour le propriétaire du serpent : « Avec tout le bruit qu'ils ont fait, elle ne reviendra pas. Elle doit même être morte ». (1).-En déplacement en Afrique, le propriétaire des appartements était hier injoignable. Source
  4. Tu prends la même adresse qu'avec lequel tu t'es inscrit ici?
  5. Histoire un peu mélangeante mais je suis content pour toi! Tout est bien qui finit bien!
  6. Le mot de passe est censé être le même que pour le forum!
  7. Je suis curieux de savoir qui honnêtement! Je n'avais jamais porté attention avant aujourd'hui! C'est à mon tour de le faire resortir puisque j'ai vu que deux autres personnes ont coché autre et je suis curieux de savoir comment.
  8. http://www.onemotion.com/flash/snake-game/[/quote[/url]] Pour ma part, je n'arrive pas à faire plus de 1800 points!!
  9. Si vous préférez un jeu avec un but jouez dont au serpent!!! http://www.onemotion.com/flash/snake-game/
  10. Nom scientifique : Agama agama Nom français : Agame à tête rouge Nom anglais : Red head agama Origine : Toute l'Afrique sud-désertique, introduite sur l'île de la Réunion Biotope : Semi-aride Température: 30 à 35°C Humidité : 40 à 50 Moeurs : Terrestre et diurne Taille adulte : 25 à 40 cm Longévité : 5 ans Nourriture : Insectes, souriceaux et un peu de végétaux. Je trouve qu'il s'agit de l'un des plus beaux agames sub-désertiques. La coloration est superbe mais ils sont souvent un sale caractère. Les spécimens nés en captivité aussi se font plutôt rare ce qui est malheureux. Ils sont quand même facile à maintenir et ne sont pas cher à l'achat. Plutôt que d'aller vers encore un dragon barbu, pourquoi n'essayez vous pas cette espèce?
  11. Lis les instructions ci-dessous d'abord.... (1) Attrapez l'araignée avec votre souris et amènez la où vous voulez, vous pouvez aussi la tenir par une de ses pattes et la tirer n'importe où sur l'écran. (2) Placez la souris n'importe où sur la carte et appuiyez sur la barre d'espace, un petit insecte sera posé. Regardez l'araignée aller manger ces insectes qui disparaissent (en présence de plusieurs insectes elle commence par le plus rapproché)!!! Cliquez sur le lien suivant: http://www.onemotion.com/flash/spider/ Ah oui, j'oubliais, ce jeu sert absolument à rien!
  12. La famille des Discoglossidae comprend quatre genres et environ dix-huit à vingt espèces. On les retrouve surtout dans l'hémisphère nord puisque seulement deux espèces sont présente dans l'hémisphère sud de notre planète. Ce sont des grenouilles primitives possédant les mêmes caractéristiques que les espèces présentes sur terre il y a soixante-cinq millions d'années, dont la langue discoïdale ne sert pas qu'à chasser les insectes. Les quatres genres de cette famille sont les Discoglossus, Bombina, Alytes et Barbourula. Le premier genre, les Discoglossus regroupe des espèces vivant entre l'Europe et l'Asie du sud-est, y compris l'Afrique du Nord. À l'origine, ce genre possédait 7 espèces mais le Discoglossus nigriventer dût à des modifications écologiques faîtes par l'homme. Le deuxième genre regroupe quatre à six espèces, selon les différentes littératures, reparties en Orient et en Europe. Les chinois vont utiliser les secrétions venimeuses des espèces de ce genre pour traiter de nombreux symtômes. La médecine occidentale a pu démontrer que le venin de cet amphibien contenait contenait une kinine plus efficace pour dilater les artères des mammifères que la molécule générée par ceux-ci à cet effet. On a pu y détecter également une autre molécule qui prend le relais de la première, une autre qui modère l'appétit et plus de 56 peptides aux propriétés antibiotiquescapables de tuer des bactéries résistantes aux médicaments telle que la MRSA. Le troisième genre, Alytes, réunit les espèces vivant en Europe et en Afrique du Nord et qui, contrairement aux autres genres de la famille, ont des moeurs essentiellement terrestres. Ces grenouilles ont aussi une autre particularité à eux seules. Le mâle transporte les oeufs sur son dos et ses flancs jusqu'à l'éclosion. Par contre, les têtards vivent leur phase larvaire et la métamorphose en milieu aquatique. Si l'eau est froide, que la ponte a été tardive, ou que l'alimentation manquait le têtard peut passer l'hiver suivant dans la vase et prendre une taille anormalement grande avant de cesser de s'alimenter au printemps suivant pour se transformer en un jeune crapaud, de taille normale. Le genre possède 5 espèces connues. Enfin, les grenouilles du genre Barbourula mènent une vie complètement aquatique à Bornéo et aux Philippines. Le genre possède seulement deux espèces. Le genre possède une animal ayant des caractéristiques bien particulières, le Barbourula kalimantanensis. C'est le seul anoure connu ne disposant pas de poumons[1]. L'animal ne respire que par la peau. La respiration cutanée est assez commune chez les batraciens, mais elle n'est jamais exclusive chez les anoures, sauf pour cette espèce.
  13. Eh oui, je trouve qu'il n'y a pas assez d'amateurs d'amphibiens donc pourquoi pas venir vous parler d'espèces d'anoures pour tenter de vous y intéresser le moindrement. Je vais vous faire un tour d'envol sur les différentes familles d'anoures. Je commence donc par ce que l'on appelle les anoures inférieurs, le sous-ordre des Archaeobatrachia. On regroupe dans ce sous-ordre les anoures dotés de caractéristiques morphologiques primitives, c'est-à-dire ceux qui ressemblent le plus aux premiers anoures apparus sur terre. Il existent deux familles qui reviennent le plus souvent dans les descriptions faîtes par les spécialistes, qui appartiennent à ce sous-ordre. Ce sont les Discoglossidae et les Leiopelmatidae. La caractéristique primitive qui distingue les deux est la présence des côtes libres plutôt que des côtes liées sur la colonne vertébrale.
  14. Je n'en sais rien en fait. Je me suis posé la même question mais je n'ai rien trouvé sur le sujet!
  15. N'hésitez pas à faire appel à eux, je l'ai fais moi-même aujourd'hui pour une annonce paru sur kijiji!
  16. Pourtant, c'est de la même manière sur tous les forums pour mettre des photos!
  17. Ce que j'aime moins dans cette histoire là, c'est plus les deux disparus!
  18. Bienvenue sur ce forum! On a bien hâte de voir tes petits amis en photos! Je parle de tes reptiles là...
  19. Oui, elle nous donne la piqûre!
  20. Je ne crois pas honnêtement. Ça reste un animal cavernicole. Je connais l'espèce mais je n'en ai jamais vu sur le marché. Dans des zoos, j'en ai déjà vu par contre!
  21. Le sujet est légèrement dévié, tu as raison. Lundi, j'essayerai de penser à appeler!
  22. Une heure et demie de retard au décollage: la faute à des tortues Des dizaines de tortues à la recherche d'un lieu de ponte ont traversé sans se presser une piste de décollage de l'aéroport John F. Kennedy de New York mercredi, bloquant momentanément le trafic aérien du troisième centre aéroportuaire au monde. 2009-07-10 00:00:00 Des dizaines de tortues à la recherche d'un lieu de ponte ont traversé sans se presser une piste de décollage de l'aéroport John F. Kennedy de New York mercredi, bloquant momentanément le trafic aérien du troisième centre aéroportuaire au monde. Ces 78 reptiles à la démarche lente et placide ne trouvaient pas les marais qui ceinturent la piste à leur goût. Elles ont donc décidé de rechercher un "coin plus sablonneux pour pondre", a expliqué John Kelly, porte-parole de l'Autorité Portuaire qui assure la sécurité de l'aéroport JFK. Les tortues, poussées par leur instinct grégaire, se sont donc regroupées pour effectuer leur périple qui passait par la piste de décollage, provoquant un retard des décollages d'une heure et demie. "Ce sont les pilotes qui attendaient pour décoller qui ont averti de la présence des tortues", a ajouté M. Kelly, précisant que chacune d'entre elles mesurait 25 centimètres de long. "La tour de contrôle a alors dévié le trafic vers une autre piste pour que le personnel au sol ait le temps de déloger les tortues", a conclu John Kelly. Il a également expliqué que les tortues ne représentaient pas un grand danger pour les avions, contrairement, par exemple, aux oies sauvages. Ces dernières avaient été à l'origine de l'amerrissage d'urgence d'un Airbus d'US Airways sur le fleuve Hudson à New York en janvier. Source
  23. Ajoute une lettre majuscule à Hyla et ça va être ça! Tu sais ou tu peux te la mettre ta Majuscule Maxime !!! Non où?
  24. Parce que tout le monde le sait que je suis baveux donc aussi bien rester moi même
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