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Max|mum-leterrarium

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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. Ouin... ça vient d'un éleveur que tu m'avais dit ça hein?
  2. Max|mum-leterrarium

    Papier déchiqueté

    Est-ce que toute l'encre qui se trouve sur le papier journal ne risque pas de nuire au serpent à la longue??? Plusieurs disent que non mais l'ayant utilisé, je peux affirmé que ça déteint dans le terrarium et même sur le serpent!
  3. Ok ok j'avoue qu'elle n'était pas facile étant donné que c'est un spécimen pâle! Voici d'autres indices : Cette tortue américain fait partie de la famille des kinosternidae. Elles sont principalement aquatiques et préfèrent les zones calmes avec une forte végétation. Elles consomment divers invertébrés aquatiques et parfois des petits poissons. Le nom commun de l'espèce nous laisse présager qu'elles sont coupantes!
  4. Anna, reptile aux grands yeux âgé de 150 millions d'années, exposé à Monaco MONACO, 7 juil 2009 (AFP) - Le musée océanographique de Monaco a commencé à exposer mardi un spécimen extrêmement rare de reptile marin, un Ophthalmosaurus, baptisé "Anna", de près de cinq mètres de long, avec des yeux énormes de 23 centimètres de diamètre, et datant de 150 millions d'années. "Il existe d'autres fossiles d'Ophthalmosaurus dans le monde mais celui que nous avons est dans un état de conservation exceptionnel. Nous avons très vraisemblablement le fossile le mieux conservé et le plus présentable du monde", a indiqué à l'AFP le directeur général du musée Robert Calcagno. Le squelette-fossile a été acquis par un chef d'entreprise monégasque qui a souhaité conserver l'anonymat, lors d'une vente aux enchères chez Christie's à Paris en avril dernier. Anna provient de la mer du Kansas qui se trouvait, il y a 150 millions d'années, dans la région du même nom aux Etats-Unis. L'animal vivant, précise M. Calcagno, devait peser environ une tonne (le fossile présenté au musée pèse 100 kilos). Il pouvait nager jusqu'à 40 km/h, descendre dans des profondeurs abyssales, à 2.000 mètres, et sauter hors de l'eau comme un dauphin. Proportionnellement à la taille du corps, ses yeux sont considérés comme les plus grands du règne animal. Par comparaison, ceux de la baleine ne mesurent que 15 centimètres. Le musée océanographique de Monaco, fondé par le prince Albert 1er, trisaïeul du prince actuel, Albert II, présente plusieurs centaines d'espèces, dont la collection de flore et de faune méditerranéennes la plus importante du monde. 580.000 personnes ont visité ce musée, qui célèbrera le centenaire de sa fondation en 2010. Source
  5. Liban: un python en hommage à Mme Rice, baptisé Condi Un couple libanais ont dans leur appartement de 45 mètres carrés, un python et 12 de ses congénères qui rampent librement. Un libanais et sa femme sri-lankaise sont très heureux depuis l’adoption d’un python « Condi» et de 12 de ses congénères. Dans un deux pièces à l’est de Beyrouth, Pierre Rizk et son épouse Sapna n’ont pas d’enfants, mais des serpents venus d’Inde, de Thaïlande, du Sri-Lanka et de l’Etat américain d’Arizona. Le python a été baptisé Condi en hommage à l’ancienne secrétaire d’Etat américaine Condoleezza Rice. « J’admire vraiment Mme Rice pour ses qualités de chef» , affirme à l’AFP Pierre Rizk. « Elle est tellement intelligente, responsable et pleine d’énergie…tout comme l’énergie des serpents,» ajoute-t-il. Dans l’appartement de 45 mètres carrés, les reptiles se déplacent à leur guise. Ils ont adopté leur premier animal lors d’un voyage au Sri-Lanka, Pierre dit avoir ressenti une « affinité instantanée» avec un python local. « Je suis un ardent défenseur de la nature et des animaux» , affirme ce musicien amateur de 35 ans. « Mon plus grand python actuellement pèse 44 kilogrammes et fait quatre mètres de long» , s’enorgueillit-il. Source
  6. Max|mum-leterrarium

    Papier déchiqueté

    Personnellement je trouvais ça chiant à nettoyer avec ça puisque ça cherchait toujours juste à coller dans le fond.
  7. Je sais, je sais! J'avais dis il y a un moment que je mettrais ces photos là mais bon... Avec le déménagement, le changement d'emploi et tout, je n'ai pas eu beaucoup de temps non plus. Tout est fait maintenant donc je peux prendre quelques minutes pour vous les montrer. Comme j'ai dis dans un autre post, j'aime bien le terrarium. Comme à chaque fois que je montre des photos pour quelqu'un d'autre, je ne commenterai pas les photos, je vais laisser la personne le faire lui-même. Allez y de vos commentaires!
  8. Nom scientifique : Geochelone radiata Nom français : Tortue étoilé de Madagascar Nom anglais : Radiata tortoise Origine : Extrême sud et sud-ouest de Madagascar, introduite sur l'île de la Réunion Biotope : Steppique mais humide pour les jeunes Température : 30 à 35°C Humidité : 70 à 80% Moeurs : Terrestre et diurne Taille adulte : Mâle 35 à 40 cm, femelle 28 à 32 cm Longévité : 60 à 100 ans Nourriture : Fruits et légumes L'espèce de la semaine cette semaine a été une suggestion de notre modératrice de la section des tortues. Je me disais donc que maintenant qu'elle est présentée, peut-être que notre modératrice pourrait nous en dire plus sur elle.
  9. MORSURES DE SERPENT - 10 000 cas recensés par an au Sénégal 03-07-2009 Seuls Dakar et Kaolack ont le sérum antivenimeux Par Aly FALL Les morsures de serpent font des ravages au Sénégal. En effet, rien que l’an dernier, pas moins de 500 morts ont été enregistrés sur un total de 10 000 victimes de morsures. Et les zones les plus touchées par ce fléau sont Kédougou, Tambacounda, Kolda, Kaolack, Thiès et Dakar, particulièrement dans la zone de… Yoff. Selon le directeur du centre antipoison du Sénégal, Pr Amadou Diouf, les riverains de la Foire de Dakar, de Yoff et vers l’Aéroport sont plus exposés, même si la forte urbanisation dans ces zones a beaucoup pesé sur la raréfaction des cas de morsure. Mais, il reste que les serpents sont toujours dans ce périmètre, jadis constitué de champs. Toutefois, l’absence d’une prise en charge adéquate dans les structures sanitaires inquiète les acteurs de la lutte. Car, comme le Sénégal, c’est toute l’Afrique subsaharienne qui est touchée par ce fléau. Cette zone comptabilise 30 000 décès annuels sur un total d’un million de mordus. A l’occasion d’un atelier de réflexion et de préparation du Séminaire régional pour une meilleure connaissance et prise en charge des morsures de serpent dans les pays de la Cedeao, organisé hier par le centre antipoison, Dr Jean-Philippe Chippaux a déploré que ce problème soit «largement négligé» par les autorités politiques et sanitaires en Afrique. Avant de faire remarquer que ce désintérêt est essentiellement lié à l’insuffisance des études épidémiologiques et toxicologiques. Et que l’incidence et la gravité des envenimations sont fortement sous-estimées en l’absence de recueil de cas. L’atelier d’hier est donc venu à son heure, selon le directeur de recherche à l’Institut de recherche pour le développement (Ird), qui espère une sensibilisation de tous les acteurs sénégalais, mais aussi de la sous-région à ce problème de santé publique négligé. L’expert français a aussi déploré la non application des ressources thérapeutiques existantes. Car, pour lui, une application de ces ressources peut rabaisser les cas de morsures graves jusqu’à hauteur de 90 %. Pr Omar Kane du Chu de Fann a donné, à cet effet, un aperçu sur la situation de la prise en charge des morsures de serpent au Sénégal. Dans sa présentation, il fait remarquer que des études qu’ils ont faites entre janvier 2005 et janvier 2008 ont montré que le recours aux tradipraticiens est encore très élevé sous nos tropiques. De tous les patients symptomatiques qui étaient au stade 2 dans le score clinique de gravité des envenimations ophidiennes qu’ils ont eu à recevoir, seuls 5 avaient pu bénéficier du sérum antivenimeux Fav-Afrique. Un produit qui, dit-il, n’est disponible que dans deux régions du Sénégal : Kaolack et Dakar. Dès lors, se pose un réel problème de prise en charge. Pourtant les sérums antivenimeux sont bien disponibles dans les laboratoires de recherche, assure Dr Chippaux, qui a plutôt évoqué des difficultés commerciales. Aujourd’hui, il est question pour le centre antivenimeux, appuyé par différents acteurs, de mettre sur pied une stratégie nationale cohérente contre l’envenimation, pour résorber tous ces déficits. Cet atelier précède une conférence publique aujourd’hui, du médecin épidémiologiste, Dr Jean-Philippe Chip-paux, sur le thème : Serpents venimeux et envenimations en Afrique subsaharienne. A cette occasion, Dr Chippaux va présenter «les caractères d’identification, la biologie et l’écologie des principales espèces de serpents d’Afrique subsaharienne». Source
  10. Société Kélonia fête ses tortues marines CLICANOO.COM | Publié le 6 juillet 2009 Saint-Leu. Pour la 11e année consécutive, l’observatoire des tortues marines Kélonia de Saint-Leu organisait ce week-end ses journées réunionnaises des tortues. Ils étaient nombreux ce week-end à passer les portes de Kélonia, l’observatoire des tortues marines installés à Saint-Leu. Avec un tarif réduit sur présentation de petites tortues en pâte à sel, en peluche, en dessin, sur des tee-shirts…, le grand public pouvait pendant ses deux journées réunionnaises des tortues découvrir ces espèces marines sous tous leurs angles. “À l’initiative d’un partenariat avec l’association pour le développement socio-économique d’Itsamia (ADSEI), un petit village de l’archipel des Comores, Kélonia organise ces journées chaque premier week-end de juillet, explique Marie Lauret-Stepler, assistante pédagogique et scientifique à Kélonia. C’est une façon de présenter nos travaux ainsi que ceux des autres îles de l’océan Indien et surtout de sensibiliser le grand public sur les tortues de mer en leur présentant toutes les menaces d’origine humaine qu’elles subissent”. Parents et enfants ont pu admirer cinq tortues de mer de quatre espèces différentes dans le grand bassin et certains ont eu le plaisir d’en toucher une, vraie, avant de repartir du centre de sensibilisation et de recherches sur les tortues marines de l’océan Indien, avec des peluches en forme de… tortue Source
  11. morsures de serpents : Le Sud du pays plus touché, selon un expert Le Pr. Jean-Philippe Chippaud, chercheur-épidémiologiste à l’Institut de recherche pour le développement (Ird) a déclaré que les morsures de serpents sont responsables de 200 cas de décès au Sénégal. Mais, la partie Sud du pays « est malheureusement plus touchée comme dans plusieurs zones rurales de l’Afrique au sud du Sahara, d’autant que l’inexistence de structures de santé complique la prise en charge des victimes ». Selon le Pr. Chippaud qui animait, hier, une conférence à l’Ucad II, la prise en charge des morsures de serpents est un problème négligé en Afrique. « Les victimes de morsures de serpents arrivent en général très en retard dans les structures de santé dans les zones rurales. Or le décalage de jour ne facilite pas le traitement. L’injection des venins comme celui du cobra peut entraîner des œdèmes, une hémorragie cérébrale, des difficultés de respiration, et la destruction des tissus », éclaire le chercheur. Devant un parterre de spécialistes, il s’est prononcé « sur l’opportunité d’administrer un sérum à un malade qui arrive 24 heures après la morsure de serpent ». « Même s’il y a des retards, le sérum toujours peut être efficace. Par contre, le retard aura comme conséquence l’apparition de complications dans certains cas », explique le chercheur qui a passé plus de 20 ans à étudier les serpents en Afrique et en Bolivie. Il a fait savoir que certains jouent un grand rôle dans l’équilibre de l’écosystème. Les morsures de serpents sont responsables de plus de 30.000 cas de décès par an en Afrique au Sud du Sahara. Source
  12. Je suis d'accord avec toi si on peut avoir un droit de regard et surtout de decision sur QUI les portes.....
  13. Je suggèrais bien sa mère à Majesty pour le top mais elle va me crier après de lâcher sa mère! Il y aurait toujours son amie Rosalie mais elle va me dire pas touche à elle!
  14. Peux-tu me dire les dimensions du terrarium? Qu'est-ce que tu appelles une humidité bonne? C'est combien exactement? Quelles sont les températures du terrarium? Aurais-tu une photo de l'ensemble? Est-il agressif seulement avec toi ou avec la femelle aussi?
  15. Régénération: l’axolotl fait du neuf avec du vieux Reproduire la fascinante capacité des salamandres à faire repousser un membre amputé serait peut-être moins difficile pour un mammifère qu'on ne pensait, suggère une nouvelle étude. Des cellules de Schwann (qui entourent les nerfs) rendues fluorescentes sont les seules à fabriquer les nerfs du membre de l'axolotl qui repousse. (D.Knapp/E.Tanaka) La capacité des salamandres, des axolotls ou des tritons à réparer des tissus endommagés ou des membres perdus est un Graal pour les chercheurs qui espèrent mettre au point une médecine régénératrice pour les humains. Or, selon une étude publiée aujourd’hui par la revue Nature, les cellules qui œuvrent à la régénération seraient plus faciles à trouver chez les mammifères qu’on ne pensait. Coupez la patte d’un axolotl et vous verrez se former une petite bosse, appelée blastème, qui formera un nouveau membre identique au précédent en trois semaines. Jusqu’à présent les chercheurs pensaient que les cellules du blastème, qui paraissent toutes identiques, étaient pluripotentes : autrement dit qu’il s’agissait de cellules de type embryonnaire, capables de se différencier en tout type de tissus. Celles-là même que les adultes n’ont plus. Pour en savoir plus, l’équipe d’Elly Tanaka (Centre pour les thérapies régénératrices, Dresde, Allemagne) a introduit le gène de la protéine fluorescente (GFP) chez des embryons d’axolotls (Ambystoma mexicanum). Les chercheurs ont ainsi marqué plusieurs types de tissu et suivi le chemin des cellules qui reconstruisent un membre amputé. Tanaka et ses collègues ont découvert que les cellules avaient la mémoire de leur fonction : seules les cellules de ‘vieux’ muscles font de nouveaux muscles, expliquent les chercheurs, idem pour les nerfs ou l’épiderme. Seules exceptions : les cellules de cartilage ou de derme sont capables d’échanger leur rôle. Si la régénération est l’œuvre de cellules progénitrices et non de cellules pluripotentes, elle est davantage à la portée des mammifères, soulignent les chercheurs. Encore faut-il que ces résultats soient confirmés sur d’autres urodèles. L’axolotl a en effet la particularité d’être la forme larvaire d’une sorte de salamandre aquatique. La forme adulte est rare car l’axolotl peut se reproduire à l’état larvaire. Son squelette est de cartilage alors que celui du triton est ossifié. Il serait donc intéressant de voir si les mêmes mécanismes sont à l’œuvre chez le triton. Quoi qu'il en soit, les applications thérapeutiques sont encore hypothétiques. Cécile Dumas Sciences-et-Avenir.com 02/07/09 Source
  16. Un serpent non venimeux capturé hier dans une cave d'Arras Une petite couleuvre d'un mètre de long, non venimeuse, a été découverte, hier, dans une cave arrageoise. Ce sont les sapeurs-pompiers d'Arras qui sont intervenus pour capturer la bête. Ce n'est pas que la prise soit phénoménale, mais quand même... Les sapeurs-pompiers d'Arras ont été appelés, hier après-midi, pour venir capturer un serpent (un élaphe), dans une cave de la Grand-Place d'Arras. Ce sont des ouvriers qui sont tombés sur cette couleuvre non venimeuse d'un mètre de long, dans un chantier. Le serpent n'a opposé aucune résistance face aux deux pompiers ! Après avoir patienté quelques heures dans une boîte en carton, il a finalement atterri chez... un sapeur-pompier. • C. S. Source
  17. Bonsoir tout le monde, j'ai reçu une réponse concernant les sanctions suite à un acte de braconnage. Je vous cite ici même l'email.
  18. Morsures de serpents en Afrique subsaharienne : La cause d’environ 30 mille décès par an Les pays d’Afrique subsaharienne partent en croisade contre les envenimations. Les chiffres révèlent environ un million de morsures de serpents par an. Mais, même si le dispositif sanitaire est là, les moyens ne suivent pas. Les morsures de serpents constituent un véritable problème de santé publique en Afrique subsaharienne. Elles sont la cause d’environ 30 mille décès par an dans la région. Une situation qui s’explique ‘par une mauvaise réponse des systèmes de santé’ des pays de l’espace Cedeao, selon le Docteur Boubacar Dankoko, conseiller technique numéro 1 du ministère de la Santé, de la Prévention et de l’Hygiène publique. Il présidait hier, à la place du ministre empêché, l’atelier de réflexion et de préparation d’un séminaire régional pour une meilleure connaissance de l’épidémiologie et une meilleure prise en charge des morsures de serpents dans les pays de la Cedeao. Cette rencontre est à l’initiative du Centre anti-poison de Dakar. Les pays d’Afrique subsaharienne partent en croisade contre les envenimations. Les chiffres révèlent environ un million de morsures par an. Même si le dispositif sanitaire est là, les moyens ne suivent pas. Du moins, des insuffisances ont été notées dans la prise en charge, relève le directeur du Centre anti-poison de Dakar, le Professeur Amadou Diouf. Mais, selon lui, cette situation n’est pas spécifique au Sénégal, mais concerne toute la sous-région. ‘Les morsures de serpents sont considérées comme des parents pauvres. La situation de la prise en charge des morsures ne se situe pas à un niveau satisfaisant’, fait remarquer le spécialiste en toxicologie. Pour remédier à ce handicap, le Centre anti-poison, à travers cet atelier, veut renforcer la capacité des agents, surtout ceux se trouvant dans les zones reculées du Sénégal, à prendre en charge les morsures de serpent, car il y a toujours risque d’une perte de vie lors d’une morsure. L’objectif de cet atelier de Dakar est de sensibiliser les autorités sur la problématique des envenimations par morsure de serpent au Sénégal. Il s’agit de définir la place du Centre anti-poison dans la prise en charge des envenimations ophidiennes et de faire l’état des lieux sur les accidents liés aux morsures de serpents au niveau des services de réanimation et des urgences dans les hôpitaux. A l’issue de cette rencontre, tous les prestataires se situant au niveau de la charpente devront pouvoir affronter une morsure en ayant une technicité requise. Pour le Professeur Jean Phillipe Chippaux, personne n’est épargné par ces morsures de serpent. Et c’est la population active, en majorité les jeunes dans le monde rural, bras considérables de l’économie agricole, qui est la plus atteinte. D’où l’intérêt, dit-il, de répertorier le nombre de cas et de savoir quels sont les besoins en termes de ressources thérapeutiques des pays. Invité à donner une conférence sur le thème : ‘Serpents venimeux et envenimations en Afrique de l’Ouest’ ce vendredi à l’Ucad II, le Professeur de l’Université Paris VI livre un avant-goût de sa présentation. De son avis, il s’agit de développer les ressources thérapeutiques actuellement à notre disposition et qui ne sont malheureusement pas disponibles dans les structures de soins, surtout en milieu rural. Cependant, le Professeur Chippaux se réjouit que les Etats africains commencent à prendre conscience de la problématique des envenimations. Il appelle ainsi à une mobilisation de toutes les ressources financières, des laboratoires fabriquant des sérums antivenimeux, des Ong, des médecins, des infirmiers responsables des unités de soins des structures sanitaires. En outre, il a été question de situer la place de la médecine traditionnelle, car elle reçoit en premier lieu les cas de morsure. ‘Il faut travailler avec les tradipraticiens et voir ce qu’ils ont à nous proposer et de s’entendre sur les méthodes thérapeutiques’. SUR UN BESOIN D’UN MILLION DE SERUMS ANTIVENIMEUX : Seuls 20 mille sont vendus en Afrique subsaharienne En Afrique subsaharienne, les besoins en sérums antivenimeux sont estimés à près d’un million d’ampoules par an. Mais, seules 20 mille ampoules sont vendues. Un manque à gagner considérable pour le marché. ‘Le problème est un problème commercial. Si on arrive à fournir aux structures de santé 200 à 300 mille ampoules pour les patients qui arrivent chez eux, cela multiplierait par 10 le marché du sérum antivenimeux’, relève Jean Phillipe Chippaux. Et de souligner l’intérêt de mettre les molécules à la disposition des gens qui en ont besoin dans les structures sanitaires rurales. ‘La prise en charge d’un cas de morsure de serpent est coûteuse, car on ne s’est pas adapté aux ressources thérapeutiques’, estime le spécialiste qui invite à une diminution considérable du coût de la prise en charge. Cela, dit-il, passe par une accessibilité des médicaments. ‘Les médicaments sont efficaces, tolérés, mais ils ne sont pas accessibles à cause de leur cherté’, note Chippaux qui ajoute que si les médicaments ne sont pas mis à la disposition des structures sanitaires, les laboratoires n’arriveront pas à les écouler et les prix resteront élevés. Par contre, les fabricants vont vendre beaucoup plus et baisser les prix si les ampoules arrivent jusqu’aux structures de soins. Issa NIANG Source
  19. Un colis postal avec 39 scorpions de Hong Kong découvert en Pologne Les douaniers polonais ont annoncé mercredi avoir découvert 39 scorpions, dont 32 vivants, dans un colis postal expédié de Hong Kong à l'adresse d'un étudiant polonais de Wroclaw (sud-ouest). 2009-07-01 00:00:00 Les douaniers polonais ont annoncé mercredi avoir découvert 39 scorpions, dont 32 vivants, dans un colis postal expédié de Hong Kong à l'adresse d'un étudiant polonais de Wroclaw (sud-ouest). Les animaux, longs de deux à trois centimètres, étaient emballés dans un petit paquet censé contenir des jouets d'une valeur totale de 12 euros, selon la déclaration de l'expéditeur, a précisé une porte-parole des douanes polonaises, Aldona Wegrzynowicz. "En apparence, tout était en règle. Le colis portait toutes les annotations requises, son poids ne suscitait pas de soupçons. Nous contrôlons d'habitudes des colis douteux, par exemple ceux dont la valeur déclarée ne correspond pas au contenu. Cette fois-ci, nous avons eu du flair", a déclaré Mme Wegrzynowicz. Un vétérinaire appelé par les douaniers a constaté qu'il s'agissait de scorpions de type Mesobuthus martensii, une espèce moyennement dangereuse. Les animaux, dont sept n'ont pas survécu au transport, devaient être placé dans un jardin zoologique. Le destinataire du colis, un étudiant de 24 ans, a déjà été interrogé par la police. Il a affirmé être un amateur d'animaux exotiques, qui voulait avoir des scorpions dans sa collection. Il risque une amende de 50.000 zlotys (11.300 euros) pour violation de la législation douanière et celle sur la protection des animaux. Source
  20. Dans le nom scientifique de l'espèce, il y a le prénom d'une dame!
  21. Je suis d'accord avec toi si on peut avoir un droit de regard et surtout de decision sur QUI les portes..... Non non, Alex ne portera pas ceux là...
  22. Je n'avais pas pensé au string. Je vais partir en campagne de recrutement pour des membrEs je crois!!!
  23. Bonjour, pour commencer, bienvenue sur le forum! J'ai quelques questions pour toi pour tenter de mieux t'aider. Pour commencer, quelle âge a le dragon en question? Dans quel type de terrarium est-il maintenu? Quels sont les paramètres de maintient du terrarium? Sur quelle sorte de substrat vit-il? Y a-t-il beaucoup de plantes ou de décoration dans le terrarium? Quel est la grandeur du terrarium? As-tu une photo du lézard en question et de son terrarium pour donner une idée de l'aménagement? On va commencer par ça pour le moment! Il y a aussi le fait de le manipuler régulièrement qui peut faire une différence à long terme sur ce point. Par contre, je voudrais quand même vérifier d'autres points question de voir s'il n'y aurait pas une raison de son agressivité.
  24. ca reste une opinion personelle ca !!! Parceque y'a beaucoup de colubridé qui sont tellement beaux !!! COMME LUIS Tout reste relatif dans la vie! Moi j'ai un gros faible pour les colubridae et je crois que tout le monde le sait mais plusieurs n'aiment pas.
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