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Max|mum-leterrarium

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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. L'invasion des tortues Les tortues à oreilles rouges, espèce importée qui concurrence les variétés locales, sont interdites depuis peu en Suisse. Abandonnées en masse, elles sont omniprésentes dans les étangs zurichois Victor Fingal - le 26 juillet 2009, 20h45 Le Matin 1 commentaire La tortue à oreilles rouges pullule en ville de Zurich. Cette variété, originaire d'Amérique du Nord, n'est pourtant guère prisée en Suisse. Une ordonnance de l'Office fédéral de l'environnement en vigueur depuis l'automne passé interdit à tout un chacun de posséder l'omnivore à la carapace chatoyante car elle est en concurrence avec les espèces locales. «Quand le soleil brille, les tortues se prélassent volontiers près de l'eau sur les pierres de l'Irchelpark, a confié au Tages-Anzeiger Michael Pennacchhio, le responsable du jardin zurichois. Les promeneurs sont persuadés qu'elles font partie de la faune locale au même titre que les canards.» La situation est identique dans les autres parcs avec plan d'eau de la ville. «Nous en avons une quarantaine, reconnaissait hier Ruedi Battinger, employé au Jardin municipal de Zurich-Adliswil. Nous affichons complet!» Lâchées dans la nature La situation est devenue si préoccupante que la Communauté d'intérêts pour les tortues en Suisse a établi plusieurs stations d'accueil en Suisse alémanique et mis en service une hotline pour répondre aux questions des propriétaires de tortues qui aimeraient s'en débarrasser. Le but: éviter que le reptile à carapace soit lâché dans la nature. Jusqu'à l'automne passé, la tortue à oreilles rouges était encore vendue dans les magasins spécialisés en Suisse. A l'étranger, des vendeurs peu scrupuleux affirmaient à leur clientèle que les bébés tortues ne grandiraient jamais. Bien vite, le propriétaire se retrouvait avec un animal de la taille d'une assiette à soupe. «Le hic, souligne Jean Garzoni, l'herpétologue lausannois, c'est que les Etats-Unis n'ont jamais accepté de restreindre l'exportation de tortues à oreilles rouges. Ils en ont mis plus de sept millions sur le marché.» Tortues confiées contre bons soins Aujourd'hui, face à la déferlante de tortues, les centres d'accueil sont démunis. «La loi nous empêche en théorie de donner des tortues à oreilles rouges recueillies à ceux qui aimeraient en adopter, précise Jean-Marc Ducotterd, le gérant du Centre de protection et récupération des tortues à Chavornay (VD). Alors nous plaçons des tortues chez des personnes de confiance, mais nous restons officiellement responsables de l'animal.» Un foyer pour recueillir les tortues Le centre d'accueil de Chavornay (VD), qui dépend de l'Association de protection et récupération des tortues, a été fondé par Jean Garzoni, herpétologue et responsable du Vivarium de Lausanne, Olivier Lasserre, biologiste, et l'actuel gérant du centre, Jean-Marc Ducotterd. «Aujourd'hui, nous avons quelque 700 tortues à Chavornay», précise Jean-Marc Ducotterd. Le centre se compose d'un local de 60 m2 aménagé avec 12 aquaterrariums au système de filtration automatisé, d'un bassin central de 16 m2, de trois terrariums, d'un bureau laboratoire et de 300 m2 de bassins et enclos extérieurs, pour une capacité totale d'environ 1500 tortues. Le centre est ouvert au public tous les samedis matin, de 9 h 30 à 12 h pour l'accueil des tortues. «A Chavornay, ajoute Jean-Marc Ducotterd, près de 90% des tortues récupérées sont d'origine nord-américaine.» Si le foyer accepte en principe gratuitement les tortues abandonnées, il accepte aussi les dons éventuels pour couvrir les frais du centre qui fonctionne essentiellement avec des bénévoles. «Il existe aussi la possibilité de parrainer une tortue qui va rester au centre», ajoute Jean-Marc Ducotterd. Pour des renseignements complémentaires, le 024 441 86 46 est disponible le samedi matin. Source
  2. Ils collectionnent les grenouilles, les lézards... Elles ne sortent pas des étangs, mais de lointaines forêts tropicales. Aline et Christophe entretiennent dans leur appartement un cheptel chamarré de batraciens… et de lézards Aline soulève délicatement une feuille révélant une céramique bleu ciel immobile. Ne pas déranger la grenouille - une litoria - qui dort, lovée dans son terrarium. Comme les minuscules dendrobates, petits batraciens noirs et verts à l'aspect inoffensif, mais dont la peau recèle un poison violent. Et les agalychnis vertes, dont les paupières dissimulent des yeux rouge rubis, qui s'allumeront à la nuit tombée… En ce début d'après-midi, dans la chaleur de forêt tropicale qu'Aline Petit et son compagnon, Christiophe Hertzog, entretiennent dans une pièce de leur appartement burgien entièrement consacrée à leurs bestioles, l'heure est à la sieste. Pour les geckos et leurs bébés, séparés de leurs prédateurs de parents, et qui poussent dans le vivarium. Pour le pogona à tête de dragon, qui consent toutefois à ouvrir un œil et à lever une patte griffue, offrant son ventre blanc à la caresse. Le plus amical du bestiaire du couple. À l'inverse du petit varan, bien réveillé, lui, et toujours prêt à l'attaque. Et qu'Aline laisse aux bons soins de Christophe : « c'est lui qui s'en occupe et il ressort toujours du terrarium avec les doigts en sang… » Drôle d'idée que cette collection de grenouilles et autres menus lézards. Aline admet. D'ailleurs la passion de ces bêtes lui est venue sur le (tê)tard et parce qu'elle a rencontré Christophe. « On a commencé à empiler les terrariums qu'on construit nous-mêmes, pour en avoir le plus possible. On est en train d'achever celui qui va bientôt accueillir notre physignatus, un grand lézard vert qui arrive bientôt. » L'entretien des terrariums ? « Une heure par jour, un peu plus quand il faut faire prendre un bain aux reptiles au moment des mues. » Gestion du « garde-manger » comprise. Car pour nourrir son petit monde, le couple élève aussi mouches et grillons. Quel intérêt peut-on bien trouver à la compagnie de ces bestioles fort peu affectueuses ? « C'est précisément ce qui fait leur charme. L'intérêt, on le trouve à les voir vivre, bouger, grandir. À restituer leur biotope. On a installé un pouf au milieu des terrariums, et souvent on s'installe et on les regarde… Mais on ne perd jamais de vue que ce sont pour beaucoup des espèces dangereuses. C'est d'ailleurs pour ça qu'on fait partie de l'association des aquariophiles et terrariophiles bressans. Avoir ce type d'animaux ne s'improvise pas : cela demande de la place, du temps, de l'attention et des soins. Et ne pas perdre de vue qu'un gecko vit une dizaine d'années, un varan entre dix et quinze ans et une tortue peut vivre centenaire. C'est un engagement à long terme. » Aline, éleveuse de grenouilles et lézards militante. Muriel Moustier Source
  3. Bien non, je vais mettre des affiches pour mener à la bonne salle, malgré que je pourrais écrire tout le monde sauf Majesty va par là.
  4. Max|mum-leterrarium

    Qui se caches sous..

    Les signatures sont limités en nombre de caractères
  5. Je me dis tant que le serpent mange à sa faim.
  6. Il y a l'association d'herpétologie de Montréal qui a lieu à Dorval sur la rue Herron une fois par mois le premier mercredi de chaque mois. Faut bien que quelqu'un débarre la porte Est-ce que ça a été annoncé sur d'autres forums pour rejoindre le maximum de monde possible ? Wyz Pas encore mais c'est question de temps, j'attends la confirmation de quelqu'un pour sa présence comme exposant pour la première réunion et je vais faire passer le mot partout. Je me disais quant à l'annoncer, aussi bien donner toute l'information d'un coup.
  7. Quand un cobra royal paralyse l'activité parlementaire Inde | Le serpent, découvert par une femme de ménage, a entraîné un ajournement de session dans l'Etat indien d'Orissa. ATS | 23.07.2009 | 11:02 Un serpent, sans doute un cobra royal, a paralysé l'activité parlementaire pendant plusieurs heures jeudi dans la capitale de l'Etat indien d'Orissa, Bhubaneswar, ont rapporté les autorités. Une femme de ménage a localisé l'intrus alors qu'elle balayait et a aussitôt donné l'alerte. Le président de l'assemblée de l'Etat d'Orissa a ajourné la session et des agents de sécurité, épaulés par des spécialistes animaliers et un chien ont recherché en vain le cobra. Les serpents s'aventurent plus fréquemment dans les zones habitées parce que les constructions ont chassé les reptiles de leur habitat, selon le scientifique Biswajit Mohanty. Source
  8. Prenez le temps de lire celui ci comme il faut, vous allez rire. La police allemande lance un avis de recherche pour un serpent de 3 mètres BERLIN — La police allemande a annoncé jeudi avoir lancé un avis de recherche pour un serpent de quelque trois mètres qui s'est échappé de chez son propriétaire à Minden, dans l'ouest du pays. Le serpent, de type ratier américain, "épais comme le bras d'un homme", n'est pas venimeux et il se nourrit de rongeurs , a précisé la police qui a toutefois mis en garde contre des réactions de panique de ceux qui croiseraient son chemin. Le serpent s'est échappé de sa cage et a quitté le domicile de son propriétaire mercredi soir, en plein centre de cette ville de Rhénanie-du-Nord/Westphalie. Source
  9. Une tortue fait du camping à Montmagny Sylvain Fournier, collaboration spéciale Le Soleil (Montmagny) Normand Tondreau a fait une découverte pour le moins inusitée, mardi soir, au camping de la Pointe-aux-Oies de Montmagny. Une Chélydre serpentine, la plus grosse tortue canadienne d'eau douce, a été retrouvée dans ce secteur de villégiature situé en bordure du fleuve. Par mesure de sécurité, M. Tondreau, responsable de l'entretien au camping, a transporté ce spécimen de 40 cm pesant environ 10 kilos dans la cour arrière de sa résidence. Mercredi, des techniciens du ministère des Ressources naturelles et de la Faune sont venus récupérer le reptile. Histoire d'éloigner la tortue des zones habitées, elle a été déplacée en fin d'après-midi vers la rivière Boyer, à Saint-Vallier, dans Bellechasse. Le ministère recommande de ne pas déplacer les tortues et d'éviter de les manipuler, car elles sont porteuses de maladies transmissibles à l'humain, dont la salmonellose. Certaines espèces sont aussi menacées. Au bureau des agents de la faune de Montmagny, c'est la première fois qu'on recevait un appel pour signaler la présence d'une tortue. Cette espèce pouvant atteindre jusqu'à 50 cm a une durée de vie de 30 à 40 ans et peut pondre jusqu'à une quarantaine d'oeufs. On la retrouve surtout en Estrie, donc très rarement en bordure du fleuve. Source
  10. C'est certain que pour ma part, je serai présent
  11. La tortue marine repart faire son cinéma Le Cestmed du Grau-du-Roi a déjà équipé de balises des tortues marines pour les suivre à la trace. Ce matin, l’une d’elles part avec… une caméra sur le dos. Zoom. Elle trépigne d’impatience. Recouvrer la liberté n’a rien d’anecdotique dans l’existence d’une tortue ! Au Centre d’étude et de sauvegarde des tortues marines de Méditerranée (Cestmed), installé au sein du Seaquarium du Grau-du-Roi, une splendide "Caouanne" s’apprête donc à regagner la mer. Cette femelle, âgée d’environ 25 ans, qui pèse plus de 40 kg, a été récupérée il y a deux mois. « Elle s’est retrouvée prisonnière d’un filet de pêche à Port-Saint-Louis-du-Rhône. Le pêcheur nous a contactés. L’animal a frôlé la noyade. On lui a fait régurgiter l’eau avant de lui donner des antibiotiques pour prévenir une infection pulmonaire » raconte Jean-Marc Groul, directeur du Seaquarium. L’établissement, visité chaque été par 120 000 personnes, abrite en coulisses un dispensaire pour tortues marines auquel le public n’a pas accès. Depuis octobre 2005, Isis, Barracuda, Ovalie et Paul R sont repartis de là après avoir été soignés. Et balisés pour tenter de dénouer le fil de leur vie. Leurs ennemis, ce sont les filets, les hélices et la pollution rencontrés au gré d’impressionnants parcours pouvant atteindre 6 000 kilomètres par an. Ce matin, une belle tortue Caouanne refait l’actualité. Et assure la promotion du Grau-du-Roi, attachée à la préservation de l’environnement. La fondation Antinea et une équipe de National Geographic s’associent à l’événement. A ce retour heureux dans la Grande bleue. "Fleur de passion", le vieux gréement d’Antinea est arrivé hier à Port-Camargue. Ce matin, il embarque la tortue pour la relâcher à trois milles des côtes. « Parrainée par l’Unesco, la fondation a décidé de faire un état des lieux du patrimoine marin. En 10 ans, on va parcourir tous les océans. Et visiter une centaine d’aires marines protégées » explique Alexandra Barbot, responsable scientifique sur le bateau d’Antinea. La tortue est remise dans son élément avec une caméra sur le dos. Greg Marshall, de National Geographic, a développé le programme "Crittercam" il y a 20 ans. Des caméras ont été placées sur des manchots, des cachalots, voire des requins. Au bout de cinq heures, la caméra se décrochera de la carapace de l’animal. Elle sera récupérée pour collecter de précieuses informations. « On va voir ce qu’elle fait après sa remise à l’eau. Des éléments sur les temps d’immersion, la profondeur et la quête d’alimentation seront recueillis » note Jean-Baptiste Senegas, responsable du Cestmed. Va-t-elle s’alimenter ou repartir vers le large ? Les spécialistes savent que des aires de nourrissages existent entre le Golfe de Lion et les Baléares, ainsi que dans le Golfe de Naples. Pour se reproduire, elles se dirigent vers la Grèce, la Turquie ou la Tunisie. Antinea et le Cestmed agissent de concert pour informer sur les menaces encourues par ces tortues marines. Luc Besson et Yann Arthus Bertrand parrainent cette opération. Pour tendre un peu plus l’oreille dans ce monde du silence. Anthony JONES Source
  12. Un serpent trouvé dans un réfrigérateur à Winterthour (ZH) INSOLITE | L'animal, un serpent des blés de 50 cm de long, n'est pas venimeux et il a survécu au froid. ATS | 21.07.2009 | 13:21 Le locataire d'un appartement à Winterthour (ZH) a découvert un serpent dans son réfrigérateur. L'animal, un serpent des blés de 50 cm de long, n'est pas venimeux et il a survécu au froid, a indiqué mardi la police cantonale zurichoise. Le locataire âgé de 51 ans a alerté la police lundi vers 15h00 qu'un serpent se trouvait dans son frigo. Les agents arrivés sur place ont constaté la présence de l'animal avant de le confier à un spécialiste des serpents de la police cantonale. Les enquêteurs supposent que l'animal appartenait à l'ancien locataire qui a quitté l'appartement il y a cinq semaines. Le serpent se serait glissé dans le frigo. Il a ensuite ralenti son rythme cardiaque, comme en hiver, pour survivre au froid. Source
  13. Voici un article que j'ai reçu par email qui explique un peu plus l'étendu du problème. Environ 100.000 pythons en liberté en Floride...la chasse aux serpents est ouverte! On pourrait penser que je n'aime ni les animaux ni les États-Unis, mais en fait, comme je fonctionne au feeling, je poste sur ce qui m'interpelle... Tout a démarré avec la mort affreuse d'une petite fille de 2 ans, étouffée pendant son sommeil par le python familial qui avait réussi à quitter sa cage de verre... Les autorités de Floride ont décidé d'agir car ce n'était pas le premier accident causé par ce genre de serpent... Les spécialistes ont avancé le chiffre de 100.000 pythons vivant principalement dans les Everglades, la plupart ayant été relâchés par leur propriétaire, amateur d'animaux exotiques, mais n'avaient pas prévu la taille adulte de l'animal... Une autre piste sûrement complémentaire, la destruction de plusieurs animaleries et zoos pendant le cyclone Andrew en 1992... Le problème, précise The Guardian, est que cet animal originaire d'Afrique et d'Asie du sud-est, n'a aucun prédateur en Floride, qu'il se reproduit très vite (100 oeufs à la fois) et qu'il peut faire 8 mètres de long et 89 kg...Il peut avaler un animal de la taille d'un daim. Cet État du sud des États-Unis a l'air de lui convenir parfaitement.. Le Gouverneur, les Sénateurs se mobilisent pour que soient abattus un maximum de reptiles, mais la chasse est difficile car l'animal bouge peu, ou très lentement, il est presque toujours silencieux, se fond parfaitement dans le milieu naturel et la surface de terrain à couvrir est immense... Une taxe de 100$ a été mise en place pour les propriétaires de pythons et une puce doit être installée sur l'animal afin de le retrouver s'il s'échappe... Les défenseurs des animaux demandent que soit interdite l'importation des pythons purement et simplement! Pour l'instant, d'après l'article, il y a 10 chasseurs de pythons assermentés, pour 100.000 serpents, cela me paraît un peu juste mais peut-être que c'est juste de la politique politicienne pour faire croire que la mort de cette petite fille a été prise au sérieux!!!! Il se pourrait que la cause de ce soudain intérêt pour le problème soit l'impact sur le tourisme si un visiteur était attaqué! Source
  14. Un Castelsarrasinois veut capturer le python de Montech Gens d'ici. Dans sa résidence, cité Ducau, Yanik Coyak possède une vingtaine de reptiles et sa femme Sophie des insectes tropicaux. Dans la paisible cité Ducau, où beaucoup de retraités castelsarrasinois coulent des jours heureux, certains se souviennent encore de la présence de fauves installés dans la cage d'un jardin. Si les félins ont aujourd'hui disparu, peu savent qu'à quelques pas de là, dans une résidence discrète, la famille Coyak élève, depuis des années, des reptiles et des insectes tropicaux. C'est vrai que, derrière le portail de leur villa, au fond de l'une des nombreuses impasses du quartier, rien ne laisse présager qu'ici, on élève des dizaines de serpents et de tortues. Il faut arriver dans le salon pour en prendre la mesure. La peau d'un boa géant accroché au-dessus de la porte, deux couveuses à reptile près du buffet qui attendent leurs couvées et une vingtaine de terrariums installés sur toute une partie du mur du salon familial... Le décor est planté. Yanik Coyak, 50 ans, respectivement agent de sécurité au CNPE de Golfech, n'est ni un hurluberlu ni crocodile dundee. Président de l'Association aqua-terrariophile montalbanaise, Yanik voue, depuis son enfance, une passion sans bornes aux serpents qui peut surprendre les profanes du milieu. «J'ai attrapé mon premier reptile à 4 ans; depuis, je n'ai cessé de m'intéresser à eux, de les étudier, avant de décider d'en élever chez moi.» Une appétence que ce Breton installé depuis maintenant vingt ans à Castelsarrasin a transmis à toute sa famille. «Ma femme élève des insectes tropicaux et mon fils aîné en fait désormais son métier puisqu'il est responsable du rayon reptiles dans une animalerie de Limoges.» Ici donc, c'est au rythme des faux corails, rois gris ou autres boas des sables que la vie s'organise et les congés se prennent. «On part rarement plus de quinze jours, confirme-t-il, surtout qu'il faut veiller aux périodes de reproduction.» Des reptiles qui sont ensuite échangés ou vendus entre terrariophiles. Le référent reptile du département On comprend dès lors pourquoi Yanik, intarissable sur le sujet, est aujourd'hui devenu le «M. Reptile» pour la direction départementale des services vétérinaires (DSV). «C'est vrai que la DSV fait souvent appel à moi lorsqu'elle est confrontée à des reptiles, que ce soit un serpent qui s'est échappé de son terrarium ou un nid de couleuvre dans un jardin.» Une mission qui, loin de le rebuter, complète son engagement pédagogique dans les établissements scolaires qui font appel à lui. «Beaucoup de gens ont, pour diverses raisons, la phobie des serpents. C'est la raison pour laquelle je visite des écoles, des centres de loisirs, pour expliquer que ces animaux ont leur place dans la chaîne alimentaire.» Et Sophie, son épouse, enseignante de biologie au lycée Capou, d'insister: «On est sûr que lorsque l'on a une couleuvre dans son jardin, elle vous débarrasse de tous les rongeurs nuisibles.» Un savoir-faire que Yanik va être à même de mettre en pratique d'ici peu pour tenter de piéger un python royal d'environ 1 mètre qui s'est échappé de son terrarium dans un immeuble de Montech. À Montech, il va «enfariner» le python pour essayer de le piéger Comme nous le relations dans notre édition du 15 juillet, le locataire d'un appartement, rue des Fosses, à Montech, a été terrorisé en se retrouvant nez à nez, alors qu'il prenait sa douche, avec un python royal. L'animal, qui avait disparu il y a deux mois de son terrarium, n'avait pas, depuis, redonné signe de vie. Même si, pour Yanik Coyak, il n'y a strictement aucun danger «vu la taille de l'animal qui, dit-il, ne peut se nourrir que d'une proie qu'il est capable d'ingurgiter», la DSV fait appel à lui pour tenter de retrouver la trace de l'animal. «Ce n'est pas une mince affaire, atteste-t-il, surtout dans l'espace dans lequel il évolue, il peut avoir quitté l'immeuble.» Et de préciser: «Ce n'est d'ailleurs pas un hasard s'il a été aperçu dans une salle d'eau puisque ce serpent a besoin de 80% d'hydrométrie pour survivre, en plus de la chaleur.» À défaut de caméra nocturne pour détecter le reptile, Yanik a déjà établi sa stratégie. «Il faut saupoudrer de farine différents endroits de l'immeuble et espérer que l'animal passe par là pour que je le suive ensuite et que je trouve son emplacement.» Pour l'heure, le chasseur de python attend le feu vert du locataire pour lancer ses investigations, et confirme: «Si je le trouve, pas de souci, je l'attraperai à la main, comme une grosse balle de tennis.» Avis aux amateurs... Source
  15. Pompier pour iguanes Image Michel Perret L'herpétologue en herbe avec son boa arc-en-ciel, impressionnant, mais totalement inoffensif Partager Pascal Ferrari, pompier à Neuchâtel, recueille les «nouveaux animaux de compagnie» abandonnés dans son canton. Il nous reçoit au milieu des iguanes, boas et autres mygales Muriel Jarp - le 20 juillet 2009, 20h50 Le Matin 0 commentaires Les grenouilles, poissons et autres chiens, c'est son épouse qui s'en occupe. Pascal Ferrari, lui, est plutôt serpents, mygales et iguanes. Depuis des années, ce pompier du Service d'incendie et de secours de Neuchâtel possède une véritable ménagerie. Des animaux qu'il a pour la plupart recueillis lors de ses interventions. «Tout a commencé par une mygale, que j'avais au bureau. On m'avait dit que je pouvais le décorer comme je voulais!» Et d'évoquer la fois où son collègue l'appelle, paniqué: «Ta mygale est en train de mourir!» Avant de lui lancer, cinq minutes plus tard: «Ecoute, il y a un problème: tu as deux mygales.» La bestiole avait en réalité mué. Un boa en pleine ville C'est ainsi qu'on lui propose d'être responsable de formation des NAC, ces nouveaux animaux de compagnie qui font fureur, mais se retrouvent aussi souvent abandonnés. «Ceux que j'ai récupérés, je les ai tous adoptés», explique l'homme de 45 ans. Son premier rescapé, c'est cet immense boa constrictor, sauvé en 2007. «Il a la colonne cassée. Lorsqu'on l'a trouvé en pleine rue à Neuchâtel, les gens, apeurés, le frappaient avec un bâton.» Même si le sauvetage d'animaux ne représente qu'une minuscule partie de son travail, depuis début 2009, il est intervenu pour trois vipères à collier et un serpent des blés. Ce dernier pourrait d'ailleurs bien finir dans l'un des 14 terrariums de la cave du pompier. Totale indifférence vis-à-vis des humains «Coto», l'iguane, a lui été trouvé en novembre 2008. Son prénom, c'est l'indicatif de la radio des pompiers au Landeron, où il a été recueilli. «C'est le seul qui a un nom, les autres n'entendent pas, ça ne sert à rien de les appeler!» lance-t-il, en exhibant deux mues de mygales. «Toutes les araignées sont venimeuses. A la télé, lorsqu'on voit des gens les tenir, c'est qu'on leur a coupé les crochets. Très vite, l'animal mourra, car il ne pourra plus s'alimenter.» Lui-même, en quinze ans, n'a jamais pris ses mygales dans ses mains. «Ça peut toujours attaquer. C'est un animal sauvage, on ne peut pas l'éduquer.» Une interactivité limitée donc. «Coto» est le seul à faire mine de s'intéresser aux gestes de son maître. Les autres affichent une totale indifférence au monde des humains. «A mon avis, les serpents ne font pas la distinction entre vous et moi», avoue Pascal Ferrari. A se demander ce qui le fascine tant chez ces êtres à sang froid. «Je ne sais pas, c'est comme ça», explique laconiquement cet amoureux de la faune. Peut-être justement le caractère indomptable? A l'image du maître? On n'en saura pas plus sur son énigmatique univers. Source
  16. Demain, lâcher de tortue marine La fondation Antinea, qui vise à une meilleure connaissance et à la préservation de l'environnement marin, et le Centre d'étude et de sauvegarde des tortues marines en Méditerranée vont au devant des vacanciers, aujourd'hui et demain à Port- Camargue, où le voilier de la fondation fait escale : stands d'exposition, animations sur les tortues marines, projection du film Home, aujourd'hui à 19 h. Demain, à 9 h 30, une tortue marine équipée d'une caméra sera relâchée au large de la station. Des animations auront lieu tout l'après-midi au Requinarium où un débat suivra la projection d'un film, à 19 h, du National Geographic sur les tortues marines. Photo archive Franck VALENTIN Source
  17. Max|mum-leterrarium

    Qui se caches sous..

    Et puis, ça avance comment la chanson???
  18. J'ai reçu les photos, j'attends que son accord pour vous les montrer!
  19. Personnellement, je ne comprends pas pourquoi les avoir tué plutôt que de les relocaliser...
  20. Passager d'un avion de Southwest piqué par un scorpion Indianapolis (Indiana/USA) - Un avion de la compagnie aérienne américaine Southwest Airlines a été contraint de se poser en urgence sur l'aéroport international de Indianapolis (Indiana) après qu'un des passagers ait été piqué par un scorpion qui se trouvait dans son bagage cabine. L'avion, un Boeing 737-500, vol WN521, qui effectuait la liaison entre l'aéroport international Sky Harbor de Phoenix (Arizona) et l'aéroport international de Indianapolis avec un nombre de passagers qui n'a pas été indiqué, était en vol au milieu de la nuit, lorsqu'un des passagers, un homme de 44 ans, Douglas Herbstsommer, de Gilbert (Arizona) a été piqué par un scorpion venimeux alors qu'il était en train de chercher des effets personnels à l'intérieur de son bagage cabine. Il a tout de suite prévenu l'équipage et les pilotes ont demandé un atterrissage d'urgence et la présence d'une équipe médicale à l'arrivée. L'avion s'est posé vers minuit et demi, heure locale, et le passager a été immédiatement pris en charge par les ambulanciers et soigné sur place. La piqure des scorpions qui vivent en Arizona, bien que très douloureuse et pouvant entrainer des paralysies temporaires, n'est pas mortelle. Elle peut l'être pour les enfants en dessous-de six ans. Le scorpion et cinq bébés-scorpions ont été trouvés dans le bagage du passager et tués. L'avion a ensuite été entièrement fumigué pour la nuit. L'homme piqué ignorait qu'il avait ces insectes dans son bagages, ceux-ci pouvant, tout comme les araignées, se cacher dans des vêtements ou des chaussures si l'on n'y prend pas garde. Source
  21. Un pompier adopte les reptiles qu'il récupère lors d'interventions Pascal Ferrari, pompier professionnel à Neuchâtel, recueille des serpents et autres reptiles qu'il récupère lors d'interventions du Service d'incendie et de secours. A son domicile, boas, mygales ou couleuvres lui tiennent compagnie. Rencontre. «Je veux bien porter le boa constrictor pour la photo, mais il est un peu fâché ces temps-ci.» Pascal Ferrari, pompier professionnel au SIS de Neuchâtel, nous ouvre les portes de son univers. Dans le sous-sol de sa maison, à Hauterive, se cache depuis 2002 un véritable petit vivarium habité par une vingtaine de reptiles et autres bébêtes exotiques, dont plusieurs sont venimeuses. L'homme du feu ouvre précautionneusement la cage du boa constrictor, soulève l'animal délicatement et pose avec lui pour la photo. «J'ai récupéré ce boa lors d'une intervention en août 2007 rue de Monruz, à Neuchâtel. Les gens qui l'avaient déplacé de la route sur le trottoir l'avaient frappé avec un bâton. Depuis, le boa est assez agressif. Il sera handicapé à vie, la colonne a ramassé.» Autour de lui, deux vipères de Vénus, cinq boas, deux serpents rois, quatre couleuvres, un scorpion, deux mygales et un iguane. Des animaux issus tantôt de magasins, du Vivarium de La Chaux-de-Fonds ou récupérés lors d'interventions professionnelles. «L'iguane, je l'ai intercepté durant l'été 2008 au Landeron, au milieu de la route. Ce serpent des blés était aussi dans la rue lorsque des passants ont appelé le SIS. C'était à Saint-Blaise début 2008.» Lorsque Pascal Ferrari, muni de son uniforme, de son lasso ou de son crochet, procède à la récupération d'un reptile, il le confie au Vivarium des Montagnes. Et c'est seulement si le propriétaire de l'animal ne se manifeste pas qu'il a le droit de l'adopter, comme le prévoit la loi cantonale. «Certains propriétaires de reptiles exotiques prennent leur tâche à la légère, achètent un serpent pour le fun. Ils ne se rendent pas compte de la responsabilité et du travail que cela représente. Lorsque l'animal s'échappe, ils n'ont pas toujours le courage de venir le récupérer. Cela est d'autant plus vrai lorsque les propriétaires n'ont pas l'autorisation requise.» Mais pourquoi le sapeur-pompier a-t-il eu envie de jouer les bons samaritains et de créer un vivarium chez lui? «J'ai toujours aimé les animaux. Au début des années nonante, j'ai acheté une mygale que j'ai installée dans mon bureau de l'ancienne caserne des pompiers. Puis j'ai organisé le premier cours destiné au personnel sur la récupération des reptiles, en collaboration avec le Vivarium. Ça a été le début d'une passion.» Mais pour vivre sa passion, le Neuchâtelois doit faire des sacrifices: «Je m'accorde quatre jours d'absence consécutifs au maximum. Difficile donc de partir en vacances.» La raison? «Personne n'est d'accord de venir nourrir les serpents au moyen des rats et souris que j'élève dans la pièce d'à côté. Mes proches acceptent tout au plus de mettre de l'eau dans les récipients et de nourrir l'iguane.» Son épouse reconnaît en effet qu'il est «hors de question» qu'elle s'occupe des serpents. «Au tout début, ils me pétrifiaient sur place. Aujourd'hui, je suis habituée. Mais pas au point de leur donner à manger.» Dans la nouvelle caserne du SIS, Pascal Ferrari est le seul à héberger des bêtes récupérées lors d'interventions. «Certains collègues trouvent cette pratique spéciale», admet-il. Spéciale ou pas, Pascal Ferrari n'en démord pas: s'il a de la place dans son vivarium, le pompier professionnel n'hésitera pas à offrir l'asile au prochain reptile qu'il ira récupérer. /VGI VIRGINIE GIROUD Source
  22. Oui, on autorise les publicités pour d'autres sites ici! Surtout si tu es membres.
  23. Un venin de scorpion livre ses secrets Une équipe de chercheurs chinois de l'université de Wuhan, menée par Yibao Ma, vient de terminer la toute première analyse du venin du Scorpiops jendeki. Ce scorpion, de la famille des Euscorpiidae, vit au Sud-Ouest de la Chine ; cependant, les Euscorpiidae se retrouvent en Europe, en Asie, en Amérique et en Afrique. Aucune recherche n'avait encore été effectuée sur le venin des scorpions de cette famille d'arachnides. Lors des tests de transcription, la composition protéique a révélé dix composants d'ores et déjà identifiés mais aussi neuf peptides de venin encore inconnues à ce jour. Le venin des scorpions Euscorpiidae est relativement peu douloureux pour l'homme. En effet, l'animal n'injecte pas assez de poison pour tuer les humains et de plus, son venin ne comporte aucune neurotoxine. Cependant, les neuf nouveaux peptides découverts pourraient, à terme, avoir une application pharmaceutique, ne serait-ce que pour pour servir d'antitoxines et créer des antidotes. Source
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