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Max|mum-leterrarium

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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. Nom scientifique : Chinemys reevesii Nom français : Tortue de Reeves Nom anglais : Reeves turtle Origine : Chine, Japon, Corée et Taiwan Biotope : Aquatique Température de l'air : 28°C Température de l'eau : 20 à 25°C Moeurs : Aquatique mais va sur la terre et diurne Taille adulte : 12 à 18 cm Longévité : 15 ans Nourriture : Lombrics, poissons, aliments pour tortues Photo prise via google image temporairement. Il s'agit d'une espèce de tortues beaucoup plus adapté à la vie en appartement que la tortue à oreilles rouges. Son alimentation est beaucoup plus insectivores et carnivores que cette dernière par contre. Sa particularité qui lui donne beaucoup de charme selon moi est les trois carènes bien visibles sur son dos.
  2. Celui-ci est un mâle hypo motley que j'ai acquis de chez Lotus.
  3. Bon ok je vous montre d'autres corns snakes tel que demandé par kryzee. Voici un petit bébé né tard à l'automne dernier. Il était très foncé à la sortie de l'oeuf et très grisonnant. Il se métamorphose au fil des mues.
  4. Une autre bestiole que j'ai depuis un bout et que je ne vous avais pas montré. Celui ci c'est depuis quelques mois en fait. Il est difficile de pouvoir vous le montrer puisque lorsqu'il sort, j'ai rarement mon appareil sous la main ou encore, les piles sont épuisées. Il n'était pas encore sorti mais on peut le voir légèrement par contre. Le hic, ce n'est pas un animal que l'on va faire sortir avec ses doigts. Vous le verrez peut-être au complet bientôt.
  5. Voici un scorpion que j'ai depuis plusieurs semaines mais que je ne vous avais pas encore montré. C'est quand même une espèce répandue mais quand même. Le mien n'est pas trop pire côté agressivité même si l'espèce a une mauvaise réputation sur ce point. Je préfère les scorpions noirs mais ils ont un petit quelque chose tout de même avec cette coloration.
  6. Finalement, où sont les autres pour les identifier?
  7. Bâle-Campagne: la police appelée pour un python de 2,5 mètres Un python de deux mètres et demi a été trouvé samedi soir dans un compost d'un jardin à Füllinsdorf (BL). Un spécialiste de la police est parvenu à capturer ce reptile de neuf kilogrammes qui peut atteindre jusqu'à six mètres à l'âge adulte. La possession de ce genre de serpent nécessite une autorisation en Suisse. La police n'a pas encore retrouvé le propriétaire de l'animal. Celui-ci doit s'attendre à payer une amende, a-t-elle indiqué. Cette espèce de python (reticulatus) est le plus grand serpent du monde. Non venimeux, il peut toutefois tuer un homme en l'étouffant. Source
  8. Les amphibiens et les reptiles sont plus menacés que les mammifères Plus de la moitié des amphibiens (59 %) et 42 % des reptiles d'Europe sont en déclin. Pour 23 % des amphibiens et 21 % des reptiles, la situation est si grave qu'ils sont classés comme espèces menacées sur la liste rouge européenne. Ils seraient même plus menacés que les mammifères et les oiseaux d'Europe. C'est ce que révèlent de nouvelles études réalisées à la demande de la Commission européenne par l'UICN (Union internationale pour la conservation de la nature), et présentées, le 22 mai dernier, à l'occasion de la Journée mondiale de la biodiversité. L'Europe méridionale est particulièrement riche en amphibiens, mais les changements climatiques et d'autres menaces exercent une lourde pression sur ses habitats d'eau douce, commente le docteur Helen Temple, coauteur d'une des études. Dans toute l'Europe, la croissance de la population humaine, l'intensification de l'agriculture, l'extension urbaine et la pollution font reculer la place des habitats naturels. Ce n'est une bonne nouvelle ni pour les amphibiens ni pour les reptiles. Selon l'UICN, l'Europe abrite 151 espèces de reptiles et 85 espèces d'amphibiens. Six espèces de reptiles (lézard tacheté de Ténériffe (Gallotia intermedia) et le lézard des murailles des îles éoliennes (Podarcis raffonei) notamment), ont été classées comme espèces en danger critique d'extinction. Source
  9. Surprise : le dragon de Komodo est venimeux ! Le plus grand lézard du monde, alias Dragon de Komodo, n'est pas seulement terrifiant. Contrairement à ce que l'on croyait, sa morsure est venimeuse et le poison injecté à la victime, proche des venins de serpents, est très efficace. Habitant l'archipel indonésien, le grand varan Varanus komodoensis, dit Dragon de Komodo, du nom d'une des îles indonésiennes qu'il occupe, s'est installé au sommet de la chaîne alimentaire de son écosystème insulaire. Avec ses 2 à 3 mètres de longueur et son régime carnivore, il se nourrit de charognes mais aussi de multiples animaux, mammifères compris, puisque, sur son île, tous sont plus petits que lui. Pour chasser, le Dragon de Komodo poursuit sa victime et lui inflige plusieurs morsures avant de la laisser filer. Le lézard géant attend alors qu'elle agonise. Pour expliquer cette efficacité, une double hypothèse avait été formulée. La puissance des morsures inflige des blessures quasiment mortelles et, de plus, la salive est rendue toxique par la présence de bactéries. Les zoologistes appuyaient cette explication sur le fait que la gencive remonte très haut sur les dents, les enrobant d'un tissu qui se déchire facilement. Le milieu salivaire serait ainsi propice à la multiplication bactérienne. Malgré sa popularité, cet animal, découvert seulement en 1910, n'avait semble-t-il pas été étudié d'assez près... Une équipe australienne l'a fait. Menée par Bryan Fry, passionné d'animaux venimeux, du Venomics Research Laboratory de l'université de Melbourne, elle réunit des spécialistes des venins animaux, une discipline prise au sérieux en Australie, où les travaux sont coordonnés par l'AVRU (Australian Venom Research Unit). Varanus komodoensis, alias Dragon de Komodo, atteint trois mètres de longueur. Personne ne s'était encore aperçu que sa morsure était dangereuse. (Cliquer sur l'image pour l'agrandir.) Chris Kegelman Le premier travail de ces zoologistes a été de simuler la morsure du Dragon de Komodo. L'informatique peut en effet aujourd'hui déterminer la force d'une mâchoire à partir de la forme des os et la taille des muscles. Dans le cas de V. komodoensis, le verdict est sans appel d'après les auteurs de l'étude, publiée dans les Pnas. Ce varan est incapable de produire les puissantes morsures qu'on lui prête actuellement. Leur force est par exemple bien inférieure à celle d'un crocodile. En revanche, la mâchoire semble plus efficace pour résister à une traction vers l'arrière (pour arracher un morceau de chair à un animal vivant ou déjà mort). Un poison qui a fait ses preuves depuis longtemps... Les zoologistes ont ensuite inspecté par RMN (résonance magnétique nucléaire, une technique utilisée en imagerie médicale) le crâne d'un animal vivant en captivité et ont découvert ce que l'on n'attendait pas : des glandes à six compartiments semblant capables de produire des protéines et bonnes candidates pour une production de venin. L'animal qui, expliquent les chercheurs, était malade et en fin de vie, a été sacrifié et la sécrétion de ces glandes a pu être analysée au spectromètre de masse. Il s'agit bien d'un venin, similaire à celui de nombreux serpents mais aussi à celui du Monstre de Gila (Heloderma suspectum), une des deux seules espèces de lézards venimeux. Ses glandes venimeuses sont installées dans la mâchoire inférieure (et non dans la supérieure comme chez les serpents). Cette décoction, capable de tuer un animal de la taille d'un chien, comprend un cocktail de toxines dont l'une provoque chez la proie une brutale chute de pression artérielle. Cette propriété a été retrouvée par l'équipe australienne qui a étudié le venin du Dragon de Komodo. Enfin, dernier travail, les zoologistes ont comparé ce grand varan avec Varanus prisca (anciennement appelé Megalania prisca), un lézard fossile géant qui pouvait atteindre huit mètres. Cet animal impressionnant vivait en Australie au Pleistocène il y a 40.000 ans, c'est-à-dire il y a peu de temps. Sa proximité avec le Dragon de Komodo, récemment montrée (d'où le changement de nom du genre pour en faire un Varanus) et des études précédentes des auteurs montrant la parenté des venins de lézards et de serpents amènent ces chercheurs à conclure que ce géant disparu était lui aussi venimeux. Il ne reste plus qu'à imaginer ce varan géant à la blessure sans doute mortelle hantant l'Australie à l'époque où des êtres humains venaient d'y débarquer il y a environ 50.000 ans... Source
  10. Non du tout. C'est un serpent venant du continent asiatique. Ce fût une des premières espèces que j'ai maintenu.
  11. Ce sont des geckos aussi ceux que j'ai mentionné
  12. Voici un petit DVD que je viens de trouver grâce à un forum sur la nature. Il s'agit d'un DVD nous démontrant les 52 espèces d'amphibiens et de reptiles de la Nouvelle-Angleterre. Nous avons beaucoup de ces espèces là au Québec ce qui peut rendre le DVD encore plus intéressant à regarder. Vous avez un petit montage vidéo sur le site pour avoir un aperçu du vidéo. Voici le site web du DVD. http://www.rpsdvd.com/
  13. Vendredi à l'animalerie, un gars m'a apporté un lézard dans une boîte me demandant de l'identifier puisqu'il venait de le trouver à son travail. Je m'attendais à trouver une salamandre du Québec me disant, ils ont prit ça pour un lézard. En fait, non! Il s'agissait plutôt d'une espèce d'anolis mais je n'étais pas en mesure de l'identifier exactement. Il ressemble étrangement à l'Anolis vert, Anolis carolinensis mais ce lézard possède une large striped noir à la mi-dorsale. Quelqu'un aurait une idée de l'espèce exact? Je ne reverrai probablement jamais le gars mais je suis quand même curieux de savoir de quelle espèce exactement ça pourrait être.
  14. Chez la grenouille charpentier (Rana virgatipes), une espèce d'Amérique du Nord, l'imitation par les femelles du chant agressif du mâle fait partie du rituel de sélection du partenaire. Une femelle s'approche d'un mâle dominant et émet son chant ; celui-ci, s'il est suffisamment irrité, lutte alors avec elle comme s'il s'agissait d'un mâle. Le combat mène finalement à l'accouplement ou amplexus. Cette stratégie peut commune aide peut-être la femelle de la grenouille charpentier à s'assurer que son partenaire est véritablement le mâles aux idées malveillantes qui gravident autour.
  15. La larve de l'ambystome tigré respire sous l'eau grâce à ses trois paires de branchies en peigne munies de quelque 6 000 branchioles. Leur couleur rougeâtre provient des globules rouges qui assurent le transport de l'oxygène dans le sang. Les larves d'ambystome tigrés mesurent environ 12 mm à l'éclosion et, trois mois plus tard, les juvéniles atteignent 10 cm de long. Elles peuvent dépasser les salamandres géantes de 4 cm en longueur. Un jeune ambystome de cette espèce mange quasiment tout ce qu'il peut avaler, habitude qu'il conservera toute sa vie.
  16. Bah j'avoue qu'il était facile mais je manquais d'inspiration.
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