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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium
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BCC du Suriname aberrant / partiellement lignée
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Ghost1111 dans Boidés
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J'ai dis ça mais tu vois, je n'en ai presque plus de Python regius. J'en avais une bonne quinzaine avant, pratiquement tous des réguliers mais il me reste que seulement une femelle granite à présent. Suite à des problèmes personnels, je les avais vendu, c'est le même gars qui les a tous prit sauf deux. Les deux étaient des bébés né chez moi dont celle que j'ai toujours. J'ai échangé l'autre contre un Uromastyx. Celle que j'ai gardé était parce qu'elle refusait de s'alimenter. Maintenant, elle fait que ça manger. Tant que je lui en donne, elle mange et ne saute jamais un repas. Ils sont rares les regius aussi vorace et je suis bien content qu'elle soit ainsi.
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Grenouille léopard
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Herpétofaune
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ON EST PAS DES CONS !!!
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Majesty1 dans Coup de coeur/Coup de masse
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Le dragon vert d'Oléron L'île de Komodo possède son dragon : le varan, un lézard de 2 mètres de long qui raffole des oeufs et des petits mammifères. L'île d'Oléron a le sien, beaucoup moins imposant bien qu'étant le plus grand lézard d'Europe. Il peut atteindre 65 centimètres de long. Le lézard ocellé, à l'accent plutôt méditerranéen, vit également dans les dunes grises de l'île lumineuse. C'est d'ailleurs la population la plus septentrionale du vieux continent. C'est là que les naturalistes de la jeune association Obios (1), basée à Pont-l'Abbé-d'Arnoult, l'observent pour mieux le protéger. « Il y aurait de 500 à 1 000 individus dans l'île. On travaille à leur sauvegarde avec le propriétaire du terrain, en l'occurrence l'Office national des forêts. Il s'agit essentiellement de préserver leur biotope en entretenant les clôtures de bord de route qui empêchent les vacanciers de piétiner les dunes », explique Florian Doré qui a réalisé son mémoire de master sur l'ocellé avant d'entrer à l'association. Il marche sur les traces de Pierre Grillet, naturaliste des Deux-Sèvres et auteur des premières études sur la colonie oléronnaise de lézards ocellés. Dépendant du lapin Certes, il est sans doute un peu excessif d'appeler dragon ce doux reptile qui ne se nourrit guère que de gros insectes et de mollusques. Mais il est, comme le varan, de la famille des sauriens, donc des dinosaures, si souvent apparentés aux créatures légendaires crachant du feu. Le lézard d'Oléron ne crache rien. Inoffensif bien que très farouche et capable de mordre s'il se sent agressé, il est inscrit sur la liste rouge des espèces très menacées. C'est naturellement la destruction de son habitat naturel qui est responsable de son déclin. « Mais la disparition progressive des lapins de garenne a également son importance. Car le lézard ocellé utilise opportunément ses gîtes pour se cacher. Moins de lapins, moins de gîtes, moins de lézards », poursuit Florian Doré qui, durant ses études, passait quatre mois par an sur le terrain pour étudier le comportement du grand lézard vert. En paëlla L'avantage de la population de l'île d'Oléron, c'est qu'elle se maintient. « C'est pour ça qu'elle est devenue le laboratoire pour toute la France. Il y a encore de l'espoir de sauver le lézard ocellé. Mais cela passe par Oléron », poursuit Florian Doré. En première ligne pour le plan national de conservation du reptile, Obios a reçu mission, du ministère de l'Environnement, de rédiger le rapport national à partir des observations réalisées en Oléron mais également du côte de Bussac-Forêt, où se maintient également un îlot de population de lézards ocellés. Moins spectaculaire que le dragon de Komodo, le petit dragon d'Oléron n'en suscite pas moins toute la sollicitude de la communauté scientifique. Du moins en France. Car, en Espagne, on continue à en enrichir la recette de... la paëlla. Source
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Rénové, agrandi, diversifié, le nouveau Centre de la biodiversité du Québec à Ste-Angèle ouvrira ses portes le 20 mai prochain pour lancer sa seconde carrière. Les travaux ont duré des mois et auront coûté 1,4 million$ pour mettre sur les rails le grand projet du centre: devenir ce que le milieu touristique identifie comme un produit d’appel. «On a toujours su qu’on avait un bon produit, parce que malgré nos défauts la clientèle nous suivait en grand nombre et avec enthousiasme. Mais on savait aussi que pour faire le pas suivant, il fallait offrir un produit disponible à l’année, et pas seulement saisonnier, ce que le bâtiment ne nous permettait pas. Cet agrandissement était sur la planche à dessin depuis plusieurs années, donc nous savons exactement où nous nous dirigeons maintenant qu’il est réalisé», explique Carole Bellerose, directrice générale du Centre de la biodiversité. Les ouvriers ont d’ailleurs presque quitté les lieux, ne reste en fait que le terrassement à faire, puisque l’agrandissement et l’installation des nouvelles expositions sont pratiquement terminés. Parmi les nouvelles attractions, beaucoup sont gardées secrètes par les responsables, qui souhaitent les annoncer publiquement d’ici peu. Il a cependant été possible de savoir que deux nouveaux pensionnaires intégreraient prochainement leur nouveau bassin extérieur au centre. «Ce sont deux loutres. Deux petits garçons d’un an et demi, qui seront dans un nouveau vivarium extérieur. Ils nous viennent d’un vétérinaire de Laval qui en fait l’élevage», détaille Mme Bellerose. Peu connues par les citoyens des villes, les loutres sont en fait courantes au Québec aux abords des cours d’eau. «Elles vivent à l’état sauvage dans les milieux humides. Il y en a dans les environs de la rivière St-François et près des îles de Sorel par exemple», note la directrice. Source
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Eh oui, aujourd'hui était une journée d'herping avec une si belle température, on veut tous être dehors. Par contre, quand il fait aussi chaud, ils se cachent. J'ai eu droit à une journée plutôt forte en grenouille léopard. C'est un coin que je n'ai pas vraiment exploré encore donc je ne savais pas trop sur quoi j'allais tomber. J'ai vu un couple de crapaud d'Amérique en train de faire des galipettes dans un fossé. Je n'ai pas voulu les déranger alors je suis allé plus loin. C'est là que j'ai trouvé les magnifiques grenouilles léopards et que j'en ai même entendu chanter par une telle journée en plein milieu de l'après-midi. Voici quelques photos.
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Chant de grenouille
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Herpétofaune
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Salamandre géante Deux espèces de salamandres vivant en asie nous permettent un peu mieux d'appréhender les raisons pour lesquelles les japonais et les chinois ont parfois une imagination débordante quant aux créatures avec lesquelles ils parsèment leur mangas et leurs mythes. Ces deux espèces font partie du genre Andrias et alors que les salamandres du Japon appartenant à l'espèce Andrias japonicus, peuvent mesurer jusqu'à 1,5 m, le record absolu est détenu par l'espèce vivant en chine, Andrias davidianus avec 1,8 m (queue incluse). [Il existe aussi des poids plumes d'un genre proche d'Andrias, le Ménopome qui vit en amérique du nord mais qui ne mesure au maximum que 50cm... Les yeux de ces salamandres sont très réduits, mais leur vision n'est pas totalement abolie. Leurs pattes sont très petites et leur donne une démarche assez pataude. Les peaux des deux espèces sont le plus souvent brunes, noires ou verdâtres comme dans les photos suivantes: Et en film: Andrias Davidianus au Zoo de Saint Louis Mais quand l'espèce chinoise arbore une couleur orange, alors là on atteint des sommets d'étrangetés: Source
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Allemagne : conflit social autour d’une grenouille
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Nouvelle
Bon, selon le net, la décision a été rendu sur ce dossier... Sauver une grenouille lui fait perdre son job Christina Pommerel, une Française de 46 ans, conduit des autocars en Bavière. Le 28 mars, une grenouille traverse la chaussée tandis que surgit le véhicule piloté par Mme Pommerel. Roule-t-elle sur le batracien ? Non ! Elle s'arrête, descend du car, ramasse l'animal et le dépose délicatement sur le bas-côté. Et une bonne action, une... Pas du tout, estime le patron de Mme Pommerel. Pour lui, l'amie des bêtes aurait dû sacrifier la grenouille, le bus étant déjà en retard. Il a donc licencié la conductrice. Tollé en Allemagne où l'on s'interroge : la vie d'une petite bête pèse-t-elle plus ou moins que l'impérieuse nécessité d'être à l'heure ? Source -
Village des tortues : fidéliser les visiteurs Le Village des tortues est, actuellementy, le troisième site le plus visité du Var. Autant par les habitants de la région Paca que par le reste de la France, outre de nombreux touristes belges, allemands, anglais, suisses, espagnols, italiens... Pour améliorer le contact et participer à la sauvegarde de la tortue d'Hermann, deux nouveautés marquent l'année 2009. D'abord la création d'une carte familiale, permettant de bénéficier de tarifs réduits ou gratuits toute l'année. Lors d'une entrée adulte, la carte familiale sera offerte et elle donnera lieu, pendant un an, à deux entrées gratuites pour les enfants, et un demi-tarif pour un adulte. Ensuite, la structure se dote d'un responsable commercial, en la personne d'Arnaud Paquet. Il sera chargé des relations publiques et des contacts régionaux avec les comités d'entreprises, les écoles, universités... Des fonds européens débloqués Une nouvelle pensionnaire vient d'arriver au Village des tortues : une tortue géante d'Éthiopie, pesant près de de 50 kg et donnée par un propriétaire ne pouvant plus s'en occuper. Cette "tortue léopard" doit son nom aux tâches noires qui parsème sa robe. Elle constitue désormais l'attraction du village, étant la plus grosse des 1 200 spécimens hébergés. La finalité du Village est de rapatrier les tortues dans leur pays d'origine et de sauvegarder la tortue d'Hermann, fortement menacée. Des fonds européens ont été débloqués dans le cadre du «plan sauvegarde national de la tortue d'Hermann». De nombreux étudiants et chercheurs se sont installés à Gonfaron afin de poursuivre, pendant tout l'été, des projets d'étude de réhabilitation, de génétique et de cartographie. Toutes ces actions sont soutenues par Bruxelles et permettront de sauvegarder la dernière tortue terrestre provençale. M. L. Source
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Tégu noir et blanc d'Argentine
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Autres sauriens
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Tégu noir et blanc d'Argentine
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Autres sauriens