Max|mum-leterrarium

Si elle est beaucoup plus petite, tu es certain qu'elle est en âge d'être accouplé. Accoupler une femelle trop jeune cause plusieurs ennuies dont un retard de croissance et réduction de la durée de vie de la femelle. Sinon je suis bien content pour toi. Je crois qu'on est tous comme ça, dans tout nos états, à chacun de nos nouveaux achats.

C'est certain que ce n'est pas un varan du nil. Peut-être un varan d'eau mais je n'en suis pas encore convaincu...

Sauf que les PR sont très capricieux côté nourriture et facilement stressé. Il faut prendre ça en ligne de compte.

Tu en parleras de ce que tu as vu alors. Moi je travaille donc je vais le manquer et le samedi matin à 6h je dors.

Bon, on va donc recommencer à se voir alors?

Héhé content de le savoir

Si je peux avoir ma réponse de l'université pour commencer...

Rencontrez les amphibiens Découvrir les amphibiens et les écosystèmes des zones humides, c’est l’objectif de l’opération Fréquence grenouille, organisée pour la quinzième fois en partenariat avec le conservatoire des sites naturels de Picardie. Nouvelle escale cet après-midi à 14 heures, à Buicourt, au nord-ouest de l’Oise. « On va faire découvrir le rôle des mares naturelles dans le pays de Bray, explique Michel Méline, animateur de l’association Corrélation : à quoi elles servaient, pourquoi on les comble maintenant… Mais surtout, nous allons aller à la pêche et faire des prélèvements sur la faune avec un troubleau, une sorte d’épuisette à petites mailles. » Dans le troubleau, les visiteurs devraient découvrir quatre espèces de triton. Cette espèce protégée — qui ressemble plutôt à une salamandre qu’à une grenouille — est capable comme tous les amphibiens de vivre sur terre et dans l’eau. « La grenouille, on la connaît : elle plonge dans l’eau et ressort, détaille Michel Méline. Le triton, lui, c’est par phases : il passe le printemps-été dans l’eau (il ne sort que très rarement) et l’hiver il va se cacher sous une souche. Au printemps, il ressort et va retrouver sa mare d’origine. C’est pour ça que cela pose tant de problèmes quand elle a été déplacée ou qu’elle a été comblée. Comme le triton est très têtu, il préfère mourir que d’aller ailleurs. » Vous aurez sûrement la chance de voir aussi des grenouilles, des crapauds, des insectes et des larves d’insectes propres aux zones humides. Une bonne bouffée de nature par un temps qui s’annonce aujourd’hui comme étant le préféré des grenouilles ! Source

Ouin ouin ouin, il y a du monde pas fiables qui disent qu'ils vont mettre des photos mais qui ne le font pas.

La voiture, serial killer de salamandres Ce sont surtout les femelles qui, entre les mois de mars et mai, sur le chemin qui les mène au ruisseau où elles déposent leurs larves, sont victimes par milliers des voitures. Nous nous sommes rendus à Paudex, dans le canton de Vaud, pour constater l'étendue des dégâts, en compagnie du spécialiste et photographe Jean-Marc Fivat Frédéric Rein - le 28 mars 2009, 19h47 Le Matin Dimanche 0 commentaires Le drame s'est passé un soir de mars, il y a quelques jours. La nuit était tombée sur ce chemin goudronné d'un quartier résidentiel de Paudex, dans le canton de Vaud. Une femelle salamandre - amphibien noir d'une vingtaine de centimètres, dont le dos est orné de deux bandes longitudinales jaunes discontinues - traversait ce mince ruban d'asphalte pour se rendre à la rivière située de l'autre côté quand elle fut happée par une voiture. Bilan: une trentaine de morts! Car, comme chaque printemps depuis ses 3 ans, cette salamandre prenait le chemin du ruisseau pour y déposer la trentaine de larves qui avaient grandi dans son ventre. Car les oeufs de la Salamandra salamandra terrestris - espèce tachetée à bandes, présenteen Suisse romande - éclosent dans son abdomen et croissent jusqu'à atteindre de 2,5 à 3 centimètres de long. Sans ce tragique accident, les larves aquatiques brunâtres - que l'on différencie de celles des tritons alpestres grâce aux taches jaunes ornant leurs pattes - seraient restées dans l'eau pendant trois à cinq mois, suivant la température. Ensuite, elles auraient vu leurs branchies externes remplacées par des organes internes adaptés à la vie terrestre. Trois ans plus tard, généralement entre juillet et septembre, les femelles se seraient accouplées sur la terre ferme. Au terme d'un enlacement langoureux, madame aurait saisi un petit paquet de semence - le spermatophore - déposé par le mâle. Après l'hibernation (d'octobre à février ou mars), elle serait sortie de sa cavité humide à l'abri du gel pour revenir à la rivière, un soir de pluie, y déposer à son tour ses larves. Imprimées sur le bitume Mais ce cycle de vie a été brisé en cette soirée de mars 2009. Un cas parmi des milliers, bien qu'il n'existe pas de statistiques routières en la matière. «Entre mars et mai, quand les salamandres migrent habituellement vers leur lieu de reproduction [cette migration est relativement mal connue des spécialistes, qui s'accordent toutefois à dire que les femelles peuvent parcourir 500 mètres, voire plus, ndlr], on assiste à un vrai carnage! Leur espérance de vie de 20 ans chute alors drastiquement», déplore Jean-Marc Fivat, photographe naturaliste et membre du Karch, le Centre de coordination pour la protection des amphibiens et des reptiles de Suisse. Et le spécialiste ne peut se résoudre à les voir imprimées sur le bitume comme autant de traces de leurs pérégrinations nocturnes: «Il suffirait que les automobilistes fassent attention à ces batraciens de vingt centimètres pour parvenir à les éviter, d'autant qu'ils ne bougent pas face aux feux des voitures, contrairement aux grenouilles. Dans les nouvelles zones d'habitations à l'étude sur la Riviera lémanique, nous essayons d'ailleurs d'influer pour faire en sorte que la route ne soit pas adjacente à la rivière.» Vous en avez également assez de voir ces «mini-passages pour piétons jaune et noir» joncher la route qui passe devant chez vous? Jean-Marc Fivat préconise de contacter le Karch ou d'en parler directement avec votre conseiller communal en charge de la voirie. Une espèce protégée De plus, les cadavres des salamandres ne nourriront pas d'autres animaux, trop conscients de leur toxicité proclamée par les deux bandes jaune vif calquées sur ce noir luisant. «Hormis l'homme, avec ses voitures et les produits chimiques qu'il déverse dans l'eau, les prédateurs de la salamandre sont extrêmement rares et méconnus des spécialistes. Mais si un chien, un chat ou un renard en touche une avec son museau, il se mettra à saliver fortement, et on ne l'y reprendra plus. Quant à l'homme, il peut la prendre dans ses mains sans qu'il y ait de conséquence. Mais s'il y a un contact avec une blessure ou avec les muqueuses, il ressentira comme une brûlure, qui se calmera une fois sous l'eau. De toute façon, comme c'est un animal protégé, personne n'est supposé la toucher», précise Jean-Marc Fivat. Même pas pour tenter de vérifier la croyance qui veut qu'en la lançant dans le feu, celui-ci s'éteigne... Car ça, c'est vraiment une légende! Comment les observer Quand? Les nuits des mois de mars à mai (quand la température excède les 2°C) sont particulièrement propices à l'observation des salamandres, puisque les femelles viennent déposer leurs larves dans le ruisseau. Comme ce batracien apprécie l'humidité, il est conseillé d'y aller de nuit, alors que le ciel est couvert ou qu'il pleut. Où aller? Le long des ruisseaux, à moins de 700 mètres d'altitude, dont le courant est faible et qui sont dénués de poissons, amateurs des larves. Ces ruisseaux doivent aussi disposer d'abris (pierres, amas d'algues) où les larves peuvent se cacher. La salamandre étant avant tout une hôte des forêts, les ruisseaux forestiers lui sont très favorables. Cependant, s'il y a des caches (terriers de très petits mammifères, fissures, bouches d'égouts) et un cours d'eau, elle arrive également à se maintenir en permanence dans les zones habitées, même à plus d'un kilomètre d'une forêt. Que prendre avec soi? Une lampe de poche, et des bottes si l'endroit est boueux. Source

Eh bien, j'avais un peu de temps devant moi donc j'ai refais un peu l'affiche puisqu'une fois imprimée, l'écriture paraissait trop petite. Pour te répondre ghost, oui, j'ai fais du print screen puisque je n'ai aucun talent en montage. C'est pour être imprimé sur une page format standard pour ensuite être envoyé dans les animaleries du Québec. Tu crois que ce n'est pas correct? J'ai fais aussi un petit flyers. Dîtes moi vos opinions svp. Voici de quoi ça l'air : http://triton.imageshack.us/Himg6/scaled.php?server=6&filename=affiche2.png&xsize=640&ysize=480 http://triton.imageshack.us/Himg27/scaled.php?server=27&filename=flyersa.png&xsize=640&ysize=480

En Inde En Inde, on retrouve six zones distinctes de climat où vivent près d'un milliard de personnes et une grande diversité animale. Des arachnides aux mammifères, quel est le prédateur le plus dangereux de l'Inde? Diffusions de cet épisode : Jeudi 2 avril 2009 à 13h00 Samedi 4 avril 2009 à 6h00

Personne ne connait ce varan?

Plus ça va, plus que je suis intéressé à l'acquérir. On m'en propose deux et les deux ont pratiquement le même âge qui est assez jeune et tourne autour de 140$. C'est des argentins. La croissance est rapide chez cette espèce? Étant donné la taille que ça l'a une fois adulte et ayant acheté un varan des savanes aussi, je ne pourrais pas me permettre d'avoir un terrarium pour un adulte ici.

Bon, je lance le bal. Je me nomme Maxime comme plusieurs le savent déjà. J'ai 26 ans et je travaille dans une animalerie qui est le Petland de Beloeil. J'ai une grande passion pour les reptiles depuis plusieurs années. J'ai attrapé mes premières couleuvres et grenouilles à l'extérieur quand je marchais à peine. En fait, j'ai été comme ça avec plusieurs animaux et même les moufettes au grand désaroie de ma maman. J'ai fais le décompte dernièrement avec mademoiselle Accea et j'ai déjà possédé plus de 100 espèces à cette date. Je possède des serpents, lézards, arachnides, insectes et grenouilles, il me manque qu'une tortue pour faire le complet. Mes connaissances premières sont surtout concentré chez les serpents en particulier chez les colubridaes. J'ai eu mon premier reptile en captivité, il y a 13 ans presque 14 déjà. Je n'avais pas d'expérience, ni connaissance donc j'ai fais plusieurs erreurs malheureusement qui ont fait que le malheureux est mort. J'ai ensuite eu une obsession pour les Thamnophis sauritus et proximus. J'ai rapidement acheté un couple qui se sont immédiatement reproduis. J'en ai acquis plusieurs autres ensuite qui se reproduisaient d'années en années. Par la suite, j'ai développé un intérêt pour les scorpions qui ont fait que j'ai eu une femelle Pandinus imperator qui s'avérait être gestante. Je ne savais pas quoi en faire mais j'ai quand même réussis à rendre à terme deux des bébés. C'est comme ça que ma passion a débuter pour accroître à avoir environ 70 reptiles aujourd'hui. J'ai fais ça court mais si je raconte tout, il va y en avoir pour des heures.

Bonjour, comme on me parle sans cesse d'avoir une section présentez-vous, voici un seul poste sur le sujet. Je crois que tout le monde peut se présenter les uns à la suite des autres dans ce message comme suggérer par l'équipe de modérateurs. Allez, nous voulons vous connaître.

Oui, on le vend 89,99$ si je me rappelle bien. Je le sexerai lundi et je te le ferai savoir.

C'est la même espèce, c'est juste la phase qui change.

C'est sur que c'est beaucoup moins commun.

Ce n'est pas nécessairement qu'elles s'éteignent mais comme les études sont faites depuis peu de temps, on commence à peine à s'en rendre compte.

Lâche toi lousse comme ça on te verra peut-être plus souvent parmi nous.

Règlement sur les espèces fauniques menacées ou vulnérables - LE MINISTRE SIMARD SOUHAITE DOUBLER LE NOMBRE D'ESPECES PROTEGEES QUÉBEC, le 27 mars /CNW Telbec/ - Le ministre délégué aux Ressources naturelles et à la Faune et ministre responsable de la région du Saguenay-Lac-Saint-Jean et de la Côte-Nord, M. Serge Simard, a présenté aujourd'hui la liste de 21 espèces fauniques ainsi que la description des caractéristiques de l'habitat de six espèces qu'il souhaite voir ajouter au Règlement sur les espèces fauniques menacées ou vulnérables et leurs habitats, en vertu de la Loi sur les espèces menacées ou vulnérables. «Le gouvernement du Québec pose des gestes concrets en matière de protection de la diversité biologique sur son territoire. Il porte une attention particulière aux espèces qui se trouvent en situation précaire en raison des menaces à leur survie», a indiqué le ministre Simard. Cet ajout ferait passer de 18 à 38 le nombre d'espèces fauniques désignées menacées ou vulnérables au Québec, car une espèce déjà désignée, le caribou de la Gaspésie, changerait de statut, passant de vulnérable à menacée. «Cette démarche s'inscrit dans la continuité de l'engagement du gouvernement du Québec à l'égard de la diversité biologique et de la protection des espèces en situation précaire sur son territoire. Le gouvernement assume ainsi ses responsabilités en matière de protection de la biodiversité sur son territoire», a réitéré M. Simard. Une espèce menacée se définit comme toute espèce dont la disparition est appréhendée alors qu'une espèce est considérée comme vulnérable quand sa survie est précaire même si sa disparition n'est pas appréhendée. Ces nouvelles désignations donneront lieu à l'établissement de mesures visant à réduire les menaces contribuant à leur déclin ou affectant leur survie au cours des prochaines années. Source: Jolyane Pronovost Attachée de presse Cabinet du ministre délégué aux Ressources naturelle et à la Faune Téléphone: 418 643-7295 > Source

C'est seulement le prix qui est pratiquement le double du prix pour le BCC.

Merci, c'est moi l'auteur de ce terrarium. C'est sur que ce n'est pas un berber, ils sont plus petits et beaucoup plus actifs. Ils restent quand même je considère que cette espèce mérite d'être mieux connue.

Il est à vendre mais pas encore sexé mais ça peut s'arranger vite ça.