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Le scorpion de mer se servait déjà d'outils il y a 500 millions d'années États-Unis - Les premiers utilisateurs d’ « ustensiles » seraient les scorpions de mer, des animaux marins aujourd’hui disparus. Ils utilisaient en effet les coquilles d’autres animaux pour pouvoir respirer hors de l’eau, il y a 500 millions d’années. Les paléontologues ont trouvé des douzaines de traces de ces étranges fossiles sur des roches datant de 500 millions d’années découvertes dans le Wisconsin. Les traces ressemblent à celles des bernard-l’hermite d’aujourd’hui, mais ont pourtant été laissées 300 millions d’années avant l’apparition de ces crustacés. Étant donné la forme des empreintes, les chercheurs pensent qu’il s’agit de traces d’un scorpion de mer (Eurypterida), animal qui ressemblait à quelque chose « entre le scorpion et la limule » déclare le chef de l’étude, James Whitey Hagadom du Amherst College. Les scorpions de mer furent parmi les premiers animaux marins à évoluer sur terre, ils respiraient sous l’eau grâce à des branchies situées sur leur queue. Les étranges marques pourraient provenir de coquilles d’escargots que les scorpions de mer mettaient sur leur queue afin de pouvoir s’aventurer hors de l’eau. En effet, l’air humide piégé à l’intérieur du coquillage protégeait leurs branchies du dessèchement durant leurs brèves excursions à l’air libre. Les chercheurs pensent que ces pionniers auraient exploré le sable à marée basse pour se nourrir de micro-organismes photosynthétiques qui recouvraient la Terre à cette époque. Source

Allemagne : conflit social autour d’une grenouille Une conductrice d’autocars pourrait bien perdre son emploi car elle a retardé le départ de son véhicule pour ne pas écraser une grenouille. Une affaire qui a suscité beaucoup d’articles et de réactions dans les médias allemands. L’incident remonte au 28 mars : Christina Pommerel, 46 ans, une Française qui travaille comme chauffeur depuis 13 ans pour la compagnie d’autocars RBO à Ratisbonne dans le sud de la Bavière, avait repéré un batracien sur la route. Elle raconte que son autocar était déjà à l’arrêt, qu’elle a simplement ramassé l’animal avant de le déposer un peu plus loin. Mais dans les jours qui suivent, elle a appris qu’elle était suspendue. Cette "affaire de la grenouille" a été traité par de nombreux médias allemands à commencer par le quotidien local, le Mittel Bayerische Zeitung qui lui a consacré plusieurs articles. Devant le remue-ménage, la Française a aussi reçu le soutien d’associations de défense des animaux, la direction de la compagnie d’autocars a finalement indiqué cette semaine qu’elle était prête à revenir sur sa décision, si l’amie des bêtes acceptait de "changer de comportement". Source

Voici une alternative : /le-terrarium-f5/reptisafe-t2851.htm Et en voici une deuxième qui peut te servir de supplément de calcium en même temps : /le-terrarium-f5/supplement-de-clacium-liquide-t2792.htm

Les balances pour la cuisine sont parfaite pour peser les reptiles.

Mais comment ça c'est si long. Ils débranchent pour brancher à la nouvelle adresse avec un délai de deux semaines? C'est bien spécial.

Oui ça devrait être bon, mais j'aimerais savoir le nombre de terrarium avec les grandeurs pour que je fasse le plan des tables. On va avoir une autre personne qui se joint à nous. Il n'est pas du forum, c'est un passionné de mygales que j'ai rencontré à l'animalerie cette semaine. Il est vraiment sympathique, son nom est Jessy. Il m'a dit qu'il passerait faire un tour sur le forum sinon vous ferez sa connaissance à l'exposition.

Ils naissent déjà avec une bonne grosseur donc ça explique la grosseur de l'oeuf.

Oui mais dans le cas de R.E.M. ce n'est pas la première fois que j'entends parlé qu'ils se joignent à une cause.

Ils se reproduisent pas mal tous en grande quantité. Je n'ai pas vu le reportage, mais je sais de quelle espèce il s'agit. La raison qu'ils se sont retrouvé aussi abondant là-bas, c'est qu'il n'y a pas de prédateurs potentiels pour eux. Ce qui vient résulté d'une population qui vient s'accroître sans cesse.

Eh oui, j'ai eu une dure décision à prendre. Diadophis est un bon ami même si ça fait un petit bout que je ne l'ai pas vu. Pour avoir un bon roulement ici, ça nous prend des modérateurs présents et actifs. C'est le pourquoi que j'ai le plaisir de vous annoncer que Conte Grishnak prendra la place du poste de modérateur de la section herping. Je suis certain qu'il fera du bon boulot. Je lui souhaite la bienvenue de la part de toute l'équipe.

Les plus dangereux reptiles de la planète sont en tournée à Sofia Plus de 6 mille Sofiotes ont visité le Musée La Terre et les Hommes pour admirer de près certains des reptiles les plus dangereux. Une exposition unique en son genre qui présente 32 serpents et insectes exotiques. La salle d’exposition était trop étroite pour recevoir le flux ininterrompu de jeunes gens et d’enfants, accompagnés de leurs grands-parents qui se bousculaient devant les terrariums sans réussir à étouffer leurs exclamations, provoquées par la peur ou par l’admiration. « Mammie, regarde, il change de peau ! » - crie une fillette de 5 ans et montre un boa qui s'étire sous les projecteurs. « Quand les serpents changent de peau, leurs yeux s’assombrissent » - explique patiemment Guéorgui Elenski, un des propriétaires de cette ménagerie pas comme les autres. Voilà déjà dix ans qu’il fait le tour de la Bulgarie pour populariser ces reptiles exotiques. L’exposition a été montrée dans presque toutes les villes bulgares. Les reptiles sont élevés à Haskovo par les membres de la Société d’herpétologie. 220 espèces de serpents et d’insectes sont réunis dans un grand terrarium spécialement aménagé pour l’occasion. Les animaux font l’objet de soins particuliers, leurs propriétaires ont réussi à simuler parfaitement leur milieu naturel. Il y a quelques mois, 10 petits anacondas sont nés à Haskovo pour le plus grand bonheur des herpétologistes. L’heureux papa des dix bébés est un digne représentant des anacondas du Paraguay, une des stars de l’exposition. « Le danger et le risque attirent irrésistiblement les hommes. C’est pourquoi les visiteurs manifestent un intérêt particulier pour les serpents venimeux avant de rendre visite aux espèces moins dangereuses – anacondas, serpents à sonnettes, boas, pythons – dit Guéorgui Elenkov, qui s’empresse d’avouer qu’il préfère élever des reptiles venimeux car les autres espèces sont moins prévisibles. Son chouchou est le taï-pan, le serpent le plus venimeux de la planète. Le venin qu’il secrète est capable de tuer plus de 100 personnes. Le mamba noir est un autre serpent très venimeux qui est connue aussi pour sa vitesse et son agressivité. Le cobra rouge est non moins dangereux – il est capable de projeter son venin à une distance de trois à cinq mètres. Bien que les reptiles venimeux soient sa grande passion, Guéorgui Elenkov ne nous recommande pas de suivre son exemple et d’élever à la maison un serpent venimeux. L'iguane Robert pose en véritable acteur dans les bras de son maître Guéorgui Elenski. « Si quelqu’un veut acheter un python, un boa, un anaconda, un caméléon, un iguane, une couleuvre, nous sommes toujours prêts à l’aider. Plus de 500 serpents non venimeux sont vendus chaque année en Bulgarie. La plupart d’entre eux sont des formes albinos du python tigré. Les caméléons trouvent aussi un bon accueil. Des représentants de toutes les professions sont attirés par les reptiles. Ils les élèvent dans des terrariums improvisés illuminés par une ampoule électrique. Ils s’adressent souvent à nous pour conseil. Les serpents ont une espérance de vie entre 25 et 40 ans, leur longévité dépend de leur capacité d’adaptation à ce cadre de vie artificiel. Nous achetons des reptiles de 5ème ou de 6ème génération nés dans un terrarium. Leur chance de s’adapter est plus grande. Notre idée est de populariser ces animaux parmi les enfants et les jeunes qui sont leurs plus grands admirateurs. Source

Tortue des bois Une espèce menacée Le Conseil régional de l'environnement du Centre-du-Québec entreprend des démarches afin de protéger la tortue des bois, une espèce menacée. La population de tortue des bois est en déclin au Québec. Il en resterait moins de 10 000 dans la province. La rivière Noire et la rivière Bourdon, situées dans la MRC de l'Érable, figurent parmi les endroits où l'on retrouve ce spécimen de tortue. Les représentants du Conseil régional de l'environnement du Centre-du-Québec ont l'intention de rencontrer les propriétaires des terres situées aux abords de ces cours d'eau afin de solliciter leur collaboration. Source

Gabon : Les tortues marines à l’honneur A l’occasion de la 2e édition de la Journée nationale des tortues marines, la commune du Cap Estérias, à une trentaine de kilomètres au Nord de Libreville, a accueilli le 11 avril dernier une série de manifestation organisées par les ONG environnementales pour la sensibilisation des jeunes générations à la protection de ces espèces. Principal site de capture des tortues marines, le Cap Estérias a permis aux jeunes participants, à travers des activités ludiques, de mieux comprendre le rôle de la protection des tortues marines dans l’équilibre écologique et la préservation de la biodiversité. D.R Placée sous le thème «Protégeons les tortues marines», la 2e édition de la Journée nationale des tortues marines s’est déroulée le 11 avril dernier dans la commune du Cap Estérias, à une trentaine de kilomètres de Libreville, principal site de capture des spécimens de cette espèce protégée. Organisée par les ONG environnementales engagées dans la protection de ces espèces, notamment WCS, WWF, ASF et Ibonga, en collaboration avec la municipalité du Cap Estérias, cette journée a permis aux jeunes de Libreville de découvrir la portée de la protection de ces espèces pour l’équilibre des écosystèmes locaux et la préservation de la biodiversité. Plusieurs manifestations et activités ludiques ont ponctué cette journée, notamment le concours de dessin sur le thème de la protection des tortues marines, la projection de films, l'organisation de matches de football et la présentation de sketches de théâtre sur ce thème. «Je suis très contente car on a eu beaucoup d’élèves qui sont venus participer à l’événement, ça a été une réussite et j’espère que dans les mois qui suivent, nous pourrons poursuivre ce programme de sensibilisation», a déclaré Aimée Sanders, membre du comité d'organisation de l'événement. «Le choix du Cap Estérias n’a pas été fait au hasard. Le Cap Estérias c’est l’usine de la capture des tortues marines et il faut canaliser les captures parce que les populations en général aiment beaucoup cette espèce. Mais il faut savoir que c’est une espèce légalement protégée», a expliqué le maire de la commune du Cap Estérias, Séraphin Medico. La lutte pour la conservation des tortues marines au Gabon est menée depuis plusieurs années par les ONG et les partenaires au développement, notamment l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN). Des programmes de visite des tortues luths sont souvent organisés le long du littoral partant de Libreville, notamment au Parc de Pongara, à Mayumba à l’extrême sud à la frontière avec le Congo Brazzaville. La tortue luth présente au Gabon est la plus grosse tortue marine du monde, pouvant atteindre 2,4 mètres de long et plus de 700 kg, avec une corpulence moyenne de 2 m pour 400 kg. La ponte des tortues est fragilisée par le comportement humain mais peut encore être perpétuée grâce à de simples actions éducatives pour les enfants et les populations vivant des produits de la pêche. Source

Réalité ou fiction? Je reste perplexe.

Le python était entreprenant, le fermier avait du mordant NAIROBI - Un fermier kényan capturé par un python qui l'a hissé en haut d'un arbre n'a pas hésité à mordre le reptile pour tenter de lui faire desserrer son étreinte, rapporte mercredi le quotidien Daily Nation. Ben Nyaumbe travaillait le week-end dernier dans la région de Malindi, sur la côte de l'océan Indien, lorsqu'il a marché sur le serpent, probablement attiré par le bétail. "J'ai marché sur quelque chose de mou et aussitôt ma jambe a été prise comme dans un étau. C'était un énorme python", a-t-il raconté au Daily Nation. Lorsque le python a commencé à lui enserrer le haut du corps, Nyaumbe n'a pas eu le choix: "J'ai dû le mordre". Le serpent l'a hissé en haut d'un arbre mais a brièvement desserré son étreinte, ce qui a permis au fermier de saisir son téléphone portable pour appeler à l'aide. Un autre fermier est accouru avec un policier. Nyaumbe a pu recouvrir la tête du reptile avec sa chemise tandis que ses deux sauveurs tiraient le serpent et sa proie vers le bas avec une corde. Nyaumbe ne souffre que de quelques contusions et d'une blessure à la lèvre. Le serpent, ficelé dans trois sacs, a quand même réussi à se sauver. Source

Pearl Jam et R.E.M. se mouillent pour les tortues luth (Québec) Onze tortues luth, dont certaines parrainées par Pearl Jam et R.E.M., amorcent une formidable course aujourd'hui, des eaux froides du Canada jusqu'à leur aire de nidification dans les Caraïbes. Les internautes pourront suivre virtuellement cette course bien réelle pour la survie de l'espèce. Initiative de l'organisme Conservation International, la course cherche à attirer l'attention sur la situation précaire du plus gros reptile au monde; la tortue luth peut atteindre deux mètres et peser plus de 900 kg. Au Canada, elle est classée espèce en voie de disparition depuis 2001. Le taux de mortalité des jeunes tortues imputable à la prédation est élevé. Mais une fois adultes, leur seul prédateur est l'homme - en raison de la pollution et des activités de pêche. Chacune des tortues sera munie d'un système de positionnement par satellite pour les suivre pendant ce périple de 6000 km qui durera environ 14 jours. Celui-ci permettra aussi de mesurer laquelle plongera le plus profond - la tortue luth peut descendre jusqu'à 1270 mètres. «Le sort des tortues de mer, de l'environnement marin et de l'humanité est inextricablement lié aux choix que nous faisons aujourd'hui», a commenté Stone Gossard, le guitariste de Pearl Jam, pour expliquer l'implication du groupe rock. La taille de la population mondiale de la tortue luth a chuté de plus de 60 % depuis 1982. Il en resterait 35 000 à l'échelle mondiale. On peut suivre la course au www.greatturtlerace.org. Source

Bêtes de science POUYDESSEAUX. Grâce à ses grenouilles et sangsues, le centre Rostand accompagne la recherche C'est un conservatoire de la faune et de la flore. Le Centre Jean-Rostand, niché au coeur d'une forêt récemment clairsemée par Klaus, aux alentours de Pouydesseaux, porte le nom de son fondateur. L'éminent biologiste et historien des sciences français a choisi cet endroit en 1962 avec son unique collaborateur, Pierre Darré. Sa vocation : vulgariser la biologie, éveiller les consciences à l'écologie et mener des recherches en milieu naturel. Quarante-sept ans plus tard, ces dernières ont trouvé plusieurs applications médicales par le biais de deux petites bêtes : la grenouille et la sangsue. La première assiste les chercheurs de la Pitié-Salpêtrière à Paris, depuis sept ans pour des travaux visant à mieux appréhender les causes de la mort subite du nourrisson ou de l'apnée du sommeil. « La résolution des grands problèmes biologiques est toujours passée par l'étude de la grenouille », explique Pierre Darré, biologiste et directeur du centre Jean-Rostand. « Il y a quelques années, un médecin de la Pitié-Salpêtrière, Christian Strauss, s'est intéressé, lors d'un voyage au Canada, à des travaux menés sur le chaos respiratoire à partir de grenouilles taureaux. Le batracien est idéal pour ce genre de recherches car il connaît deux vies : l'état de têtard, où il respire grâce à ses branchies. Puis celui de grenouille, où sa respiration devient pulmonaire. » Comme le bébé à naître passe de la respiration in utero à l'air libre. « Le têtard passe ce cap sans problème, poursuit Pierre Darré. Ce qui n'est pas le cas des bébés victimes de mort subite. » Les travaux entendent comprendre comment ce passage s'effectue chez le batracien pour l'améliorer ensuite chez l'humain. « C'est une aventure extraordinaire », s'enthousiasme Pierre Darré. Contacté par l'hôpital parisien, le centre Jean-Rostand a réalisé des croisements et obtenu une grenouille capable d'engendrer de gros têtards. « Ses pontes sont récoltées, développées en laboratoire avant d'être remises en milieu naturel, puis envoyées par colis à Paris où les têtards sont étudiés. » De la ponte à la livraison, trois mois sont nécessaires. Trois mâchoires et 120 dents Du côté de la sangsue, la seconde petite bête, dire qu'elle a fait son cocon au centre est un euphémisme. Le site de Pouydesseaux est la quatrième unité de production de sangsues médicinales dans le monde. « À l'origine, il y a le biologiste montois Jacques Latrille. Un de ses amis, chirurgien de la main, lui avait fait part de ses problèmes de rejet de greffe. Latrille a pensé que la sangsue pourrait peut-être les régler lorsqu'il a lu qu'un médecin russe les utilisait à des fins médicales », se souvient Pierre Darré. Et il avait raison. Avec ses trois mâchoires et 120 dents, l'animal est vorace. Il peut avaler 20 grammes de sang. « Il évite ainsi la formation de caillots. Et en plus, c'est une usine à enzymes. À travers sa bave, il injecte de l'hirudine, une substance qui fluidifie le sang. » Du pain béni pour les opérations de greffes. Après l'acquisition d'un bien à Audenge, Jacques Latrille et son épouse ont créé une seconde structure de production de sangsues. Celle de Pouydesseaux. Aujourd'hui, le centre approvisionne le monde entier, du Japon au Canada en passant par les États-Unis. Et du fond de sa forêt landaise, apporte sa petite pierre à l'édifice de la recherche scientifique. À cause de la tempête, le centre Jean-Rostand a dû rester fermé à Pâques. Il rouvrira le 1er mai. Source

Bah comme c'est parti là, il ne lui restera même pas de place. C'était mal partie mais j'ai eu quelques réponses dans les 24 dernières heures qui fait que ça va se combler assez rapidement. Je suis bien content du monde qui va être là avec nous d'ailleurs.

Bonjour à tous, Ce message n'était pas censé être créé avant un moment encore, mais comme il y a eu vent qui s'était jasé donc nous avons pensé venir vous en parler pour éviter que le tout soit interprété de façon différente des faits réels. Le nous, c'est Isabel Beauchemin et moi. Étant donné que nous travaillons tous les deux dans une animalerie, nous souhaitons joindre le plus de personnes possible; ce qui inclut aussi le monde animalier. Il s'agit d'un projet que nous mettons en branle depuis peu de temps, donc il est possible que nous n'ayons pas réponses à toutes vos questions. Nous prévoyons faire naître ce projet pour le mois de septembre 2009. En ce qui concerne l'association que nous voulons créer, le but premier va être d'aider les membres dans leur passion, de différentes manières. L'association soutiendra ses membres, et ce, même à l'extérieur des réunions. Nous avons plusieurs projets en tête pour aider chacun des membres d'une manière ou d'une autre, mais comme le projet final n'est pas concrétisé entièrement, nous préfèrons garder le silence sur plusieurs de nos idées. Nous vous tiendrons au courrant en temps et lieu. Le message initial devait être très différent de celui-ci. Il était censé d'être sous forme d'un sondage pour vous demander ce que vous attendez d'une association d'herpétologie. Nous voulons savoir vos attentes envers les associations herpétologique dans le but d'offrir le meilleur service possible à nos membres. Vous pouvez tout de même lancer des idées ici mais sous peu, je vous donnerai les coordonnées de l'association où il serait mieux de venir nous donner vos idées. À bientôt et au plaisir de vous compter parmi nos membres! P.S. nous sommes deux dans le comité organisateur donc je ne répondrai pas le jour même à vos questions, s'il y a lieu. Je devrai vérifier avec mon associé de projet pour éviter des malentendus. SVP, ceux à qui j'en ai parlé vaguement, ne rien dévoilé des projets exacts qui sont en branlent ici.

Qu'arrive-t-il de ce concours finalement?

C'est long demander à ta mère.

Un serpent exotique capturé dans un parking souterrain Un serpent originaire d'Amérique du Nord doit probablement manquer à l'appel dans un terrarium du quartier Wilson à Reims. Que son propriétaire se rassure ! Le reptile est sain et sauf. Les pompiers ont mis un terme à sa fugue en la capturant hier à midi dans un parking souterrain de la rue de la Bonne-Femme, à hauteur du n°135. Comment est-il arrivé là ? On l'ignore. Il a serpenté dans le parking pour se faufiler sous la porte d'un box. Hier matin, le locataire a distingué une forme allongée à l'intérieur du box mais elle ne bougeait pas. L'obscurité empêchait de bien voir. Il a cru à un objet et s'en est désintéressé. Vers midi, le monsieur est revenu chercher sa voiture avec sa femme et son enfant. Surprise ! Sorti de sa torpeur, le serpent long d'une cinquantaine de centimètres était en train de passer sous la porte. Son corps de couleur café au lait était marbré d'orange. Les trois personnes sont restées à distance en attendant l'arrivée des pompiers. Ces derniers l'ont mis dans un sac et confié à un spécialiste des reptiles, Lucien Laurent, président du Cercle aquariophile et terrariophile de Reims, qui envisage de garder le serpent si aucun propriétaire ne se manifeste. Il a identifié l'espèce au premier coup d'œil. « C'est un élaphe guttata, une couleuvre non venimeuse d'Amérique du Nord. On la surnomme la couleuvre des blés. Le spécimen trouvé dans le garage mesure une cinquantaine de centimètres. C'est un jeune. Il a deux ans, peut-être trois. Un élaphe guttata peut vivre de 15 à 20 ans et atteindre une taille maximale de 1,50m. IL se nourrit de petits rongeurs qu'il tue par étouffement. En ville, à part tomber sur une souris, il aurait eu bien du mal à se nourrir. En plus, il lui faut une température extérieure de 25 à 28° et un air ambiant humide, moins qu'un python cependant. » Des serpents baladeurs sont régulièrement capturés à Reims. Le 28 juin 2008, un élaphe guttata avait déjà été retrouvé dans un hall d'immeuble de la rue Bacquenois au centre-ville. Il mesurait 70 cm de long. On n'a jamais su d'où il venait. Dans cette même rue, deux mois auparavant, les cadavres de quatre pythons royaux avaient été retrouvés dans des terrariums déposés à même le trottoir. En revanche, le 3 septembre 2008, c'est un python royal en bonne santé qui se promenait sur un fil électrique à six mètres de hauteur rue de Metz (quartier Cernay). Agé de 8 à 9 mois, il mesurait dans les 60 cm. Sa provenance n'a pu être déterminée. F.C. Source

Elle soigne même les crocos Célèbre depuis l'opération d'un crocodile de 4,50 mètres, la vétérinaire Béatrice Langevin ausculte toutes sortes de bêtes sauvages dans son cabinet de la Drôme (F). Certains pensionnaires ont les dents longues... Vincent Donzé - le 12 avril 2009, 20h01 Un chien ou un chat, c'est un animal de compagnie trop banal pour ceux qui aiment se faire peur. Avant l'introduction de la nouvelle ordonnance fédérale sur la protection des animaux, les détenteurs de reptiles étaient en constante augmentation, passant de 9000 en 2005 à 17'000 en 2008. Et le furet est même devenu un classique dans les foyers helvétiques. Une loi très stricte Cet engouement ne va pas sans poser des problèmes. «Les vétérinaires ne sont pas nombreux à soigner les reptiles et les amphibiens», constate le président de l'Association suisse des établissements zoologiques, Felix Weck. Entre les oiseaux appréciés des Romands et les poissons aimés des Alémaniques, la détention d'espèces protégées est désormais soumise à des conditions très strictes. «Le permis n'est pas délivré si le détenteur d'une tortue ou d'un crocodile n'a pas suivi une formation spécifique», indique Marcel Falk, de l'Office vétérinaire fédéral. Tout est contrôlé: la grandeur de l'espace disponible, mais aussi le passage régulier de l'animal chez un vétérinaire, même si les spécialistes sont rares. Et gare aux infractions: les amendes peuvent grimper jusqu'à 20'000francs! En France, où la législation sur l'importation et la détention d'animaux exotiques n'est pas aussi restrictive que chez nous, la vétérinaire Béatrice Langevin (34 ans) s'est fait un nom l'an dernier en opérant la mâchoire d'un crocodile de 4,50 mètres. Engagée dans la ferme aux crocodiles gérée par son mari à Pierrelatte (F), cette spécialiste formée à l'Ecole vétérinaire de Lyon ausculte ses petits protégés mais aussi les reptiles que lui confient des particuliers. Source

Merci! À toi aussi et à tous les autres en même temps. Un peu en retard mais bon, j'ai été occupé que veux tu.

J'avoue que ce n'est pas dans les plus communs mais si tu veux vraiment, je peux vérifier avec mes fournisseurs s'ils en ont de disponible. Je travaille dans le milieu animalier.