zig-zag111

Je dirais qu'en premier il faut savoir très précisement pourquoi on veut se lancer en "fauconnerie" : *est-ce pour épater la galerie en ayant un N.A.C ? *est-ce parce que l'on veut réaliser un rêve d'enfance ? *est-ce uniquement pour faire voler un oiseau sans chasser ? *est-ce vraiment pour aller chasser ? Après réflexions, il faut trouver un "maître" (là c'est un gros gros problème pour le débutant qui ne fait pas parti du "milieu") qui dans un premier temps se contentera de vous MONTRER une infime partie de la fauconnerie. Comme répeté très très souvent il faut être très motivé et très patient. Votre mentor va donc vous tester sur ces 2 points tout au long de votre coopération, et, si vous n'êtes pas réelement motivé vous abandonnerai vite. Débutant ATTENTION il est assez facile d'épater la galerie, mais beaucoup plus difficile de garder très longtemps un rapace, en effet un oiseau se perd tant en vol que par maladie. D'où un point qui me tient à coeur, celui d'apprendre en être en osmose avec son ami à plume. En effet de nos jours de plus en plus de personnes apprennent à "maîtriser" les gestes techniques de la fauconnerie, mais oublient "d'aimer", de comprendre, et d'analyser sans cesse le comportement de leur compagnon de jeu. Débutant ne désespérai pas, si votre passion est réelle et profonde, votre patience serra un jour récompensé.

Ah Vivelespoulpes, qu'est-ce qu'on est bien dans nos Pyrénées ? C'est pas que je sois chauvin mais lorsque je lis que le milan royal est rare par ici, que j'entend que cette espèce ne se vois plus par là ... j'avoue que je me pose des questions car ici (Pyrénées centrale) on a la chance de pouvoir observer encore beaucoup d'espèces: * tous les jours: milan noir (en saison), milan royal, buse variable, faucon crécerelle * très fréquement: épervier, vautour fauve, parapente * assez régulièrement: vautour percnoptère d'Egypte, aigle botté, faucon pèlerin (très fréquent à Lourdes) * de temps en temps: aigle royal, gypaète barbu, autour des palombes, faucon hobereau Sans oublier les nocturnes: hibou grand duc, moyen duc, petit duc, chouettes hulotte effraie, quelques trop rares chevêches et dans certains coins sauvages chouette de tengmalme Pour qui veux bien regarder ailleurs que sur son portable il reste encore de très très belles observations à faire.

Pourquoi ne pas créer une rubrique où tous les mois on mettrait en discussion un mot. Pourquoi un mot en discussion ? Pour essayer d'en comprendre l'origine. En effet les précisions de phenix sont très intéressantes et je me rattache volontier à celles-ci. Mais par exemple oui mais pourquoi pas faîte, car cela signifie effectivement le point le degré le plus haut de quelque chose, et donc pourquoi affaîter ne voudrai pas simplement dire amener l'oiseau (ou la relation homme-oiseau) à ses aptitudes les plus élevées afin de pourvoir faire prise ... ? Je me pose la question ?????

j'avais bien vu que les termes choisis étaient nuancés. Mais mon but était de souligner les subtiles nuances de cet art noble qu'est la Fauconnerie. Je trouve magnifique le langage que les anciens ont crées pour exprimer cette relation avec les oiseaux de proie. A nous de l'entretenir sans pour autant le réservé à une caste, mais sans non plus y amalgamer un tas de choses sous prétexte que dans le monde actuel on a tendance à mettre tout dans le même panier ... J'arrête de parler sinon je vais me faire eng..... et surtout on vas finir par oublier les questions du "niais" (là encore ce terme simple prend de nos jours une signification plus que péjorative. Dommage !) Bons vents à tous.

"soyons pointilleux". Je ne suis absolument pas "expert", ni de la langue Française ni de l'art et la manière de chasser avec un oiseau de proie. Je me permet donc de lancer le débat non pour créer des polémiques ou des conflits mais bel et bien pour essayer de définir certaines choses, qui je pense ont évoluées et n'ont pas été redéfinies. Déjà le terme affaiter (et ses dérivés) ne prennent-il pas un accent circonflexe sur le i ? Pour ma part le terme affaîter veut dire: dresser un oiseau de proie pour la chasse. Donc si l'on affaîte un oiseau pour ne pas le faire chasser on ne l'affaîte pas. Vous êtes d'accord ou pas ? Pour ce qui est du terme Fauconnerie, au sens strict je crois qu'il est lié à la chasse mais la chasse à l'aide de Faucons, sinon l'on parle d'Autourserie ... mais comment appelle t'on la chasse à l'aide de Buse, à l'aide de Hibou Grand-duc ... De plus si l'on chasse pas, comment peut-on appeler le fait de prendre en main un oiseau pour uniquement le faire voler ? C'est vrai que l'on utilise forcément les techniques de l'affaîtage mais comment nommer cette "dicipline" ? C'est une question que je me pose depuis longtemps: - dresser ? ce terme ne me convient pas du tout car sans être péjoratif ça fait exercice de cirque. - éduquer ? pas génial - familiariser ? pas top non plus ........................... ??????????????????? De plus affaîter sous entend chasse donc oiseau chasseur, et dans le cas de personne qui vole (là aussi ce terme est-il approprié ?) un milan, un vautour, en clair un oiseau qui n'est pas vraiment chasseur, comment peut-on appeler ça ? jocklagg67 à soulever un autre point tout aussi intéressant dans sa 3ème question: si l'on vole un oiseau qui n'est pas chasseur (il souhaite un Milan) on ne peut lui retorquer de priver son "animal de compagnie" de se pourquoi il est fait (un milan est quand même plus charognard que chasseur) ? Pour répondre quand même à jocklagg67: 1ère question: va voir la discussion /viewtopic.forum?t=1141&highlight= tu devrai trouver les renseignements de base 2ème question: cf réponse d'etienne 3ème question: on pourrai s'exprimer des heures entières sur ce sujet. Quand au dernier point: Tu as posté dans la rubrique appropriée donc à priori ça ne devrai déranger personne. Bienvenue dans le monde des Rapaces.

Juste une précision pour ceux qui parcourent le forum sans "manier" d'oiseaux: Milan à dit . Cette technique permet uniquement de localiser l'oiseau (ou l'émetteur) et ne fait EN AUCUN CAS revenir l'oiseau au poing. Pour "récupérer" un oiseau l'émetteur est un bon allié, mais il ne remplacera JAMAIS une parfaite compréhension, relation, complicitée avec son ami à plume.

Je voulais apporter une précision à mon intervention précédente, car j'ai peur qu'elle soit mal interprétée, et qu'elle laisse une lueur d'espoir aux débutants. . Lorsque je dit qu'elle serra la plus à même d'éclaircir ta demande, je laissais bien évidement entendre qu'une personne "maitrisant parfaitement" l'aigle était la plus à même de dire précisement pourquoi on ne commence pas avec ce type d'oiseau. Le terme "éclaircir" était donc à prendre au sens "ouvrir les yeux" exactement comme l'a dit Etienne :

Mcfly, sans remuer le couteau dans la plaie, ma remarque personnelle est que: commencer à voler avec un oiseau de ce style est à exclure. Sans rentrer dans les détails le maniement et le comportement d'un aigle n'est franchement pas des plus aisé (même si tu connais très bien les corvidés et les perroquets). Sur ce forum il y a au moins une personne qui connait, manipule, et chasse parfaitement à l'aigle, je pense qu'elle serra la plus à même d'éclaircir ta demande. Bonne chance.

La mienne n'est pas du tout timide. Vis à vis du public elle est un poil distante, mais je la vole en haute condition, vis à vis des autres oiseaux elle se fait parfaitement respecter. Pour ce qui est des plumes je touche du bois elle est impeccable et pourtant présenté en public. Pour avoir voler des buses variables je la préfère largement car beaucoup beaucoup plus volante et très agréable de comportement. Certe c'est vrai que lorsque je l'ai eu (c'est une seconde main) j'ai pris peur, je trouvais qu'elle volait mal, de travers, effectivement pas sur d'elle ... bon c'est vrai aussi que je suis sur un site particulièrement venté et que pour des débutants faut pas faire d'erreur. Maintenant je ne l'échangerai pour rien.

Mais oui c'est vrai ça ! pourtant il me semblai bien qu'il y avait une erreure dans mon titre, ça alors ... A défaut de maîtriser la 3ème dimension chère à nos amis volant, je me permet d'évoluer dans la quatrième dimension, enfin je crois, quoi que ... C'est beau de rêver. Merci Etienne pour cette modif, promis la prochaine fois je tournerai 7 fois mes doigts dans ma main avant de taper sur ce clavier.

Au secours les administrateurs, ils me poursuivent, j'ai pourtant reconnu mon péché. Après m'avoir empiété ils sont en train de me mettre à mort, je sens la dent du faucon qui commence à briser mes cervicales, Aïe ça fait mal. Ne peut-on pas changer le titre afin de rectifier cette impardonnable faute ou alors l'éffacer ? Donc encore pardon : la BUSE FEROCE = BUTEO RUFINUS et la BUSE FERUGINEUSE = BUTEO REGALIS Pour répondre à Martin je n'ai jamais vu ou même entendu parlé de buse féroce ou de buse férugineuse en chasse, mais peut-être que certain vont nous l'apprendre. Quand au poids de vol je ne répondrai qu'en présence de mon avocat car je ne pèse pas. Popov, pour ce qui est du vol comment la trouves-tu ta buse féroce ?

Houps ... Aïe pas sur la tête ... Mea culpa c'est effectivement rufinus, heureusement qu'il y en a qui suive. Ca n'en demeure pas moins un excellent oiseau. Quand à regalis c'est un oiseau que je ne vais pas tardé à introduire, ça doit être pour ça qu'il y a eu erreur. Désolé pour la mauvaise info qui aparait donc sur le titre et qui va malheureusement rester. Merci donc à toi d'avoir rectifié la faute. Roland.

Je vole une buse féroce et je trouve cet oiseau particulièrement volant (plus qu'une variable). Je suis sur un site bien venté (18 à 20 km/h en moyenne avec des pointes à 30 km/h fréquement) C'est un plaisir que de la voir évoluer, elle vole tranquilement sans ce presser en épousant le relief puis en cerclant pour reprendre de l'altitude telle une buse, elle se pose rarement (faut dire qu'elle doit voler en hautes condition). De temps en temps elle me fait des piqués sublimes les ailes au carré. De comportement elle n'est pas plus féroce que ça, avec les autres rapaces elle se fait normalement respecter, avec moi pas de problème. C'est un très bon oiseau, est-ce du à l'espèce ou à cet indivdu en particulier je n'en sais rien ? De plus sa teinte cannelle est très belle.

Je préfère aussi le gravier au sable, d'ailleurs je crois me souvenir que cela à déjà fait l'objet d'une discussion il n'y a pas très longtemps (sans doute maintenant dans les archives). Juste une question concernant le gazon: n'arrive t-il pas à ce gazon de pousser un peu trop, surtout avec l'engrais naturel que ces chers petits oiseaux lui projette ? Si c'est le cas comment l'entretenir ? Pour ce qui est de la psychologie humaine applicable à l'oiseau et inversement, qui n'a jamais observé que le jour où il vole en étant énervé, perturbé, ... en clair: mentalement pas avec son oiseau, alors l'oiseau ne "répond" plus comme d'habitude.

Amis possesseurs d'oiseaux, avez vous noter le cycle de mue de vos chers volatiles. Je trouverai intéressant de partager ces données avec le plus de précisions possibles: espèces, sexe, age, dates des pertes, condition dans lesquelles l'oiseau se trouve (en condition de vol, au repos, en chambre de mue, complément vitaminé, lumière artificielle ....), suivi sur plusieurs années, plume cassée muée avant date "prévue" ... J'avais commencé avec un milan noir sur 3 ans et j'ai arrêter mais je compte bien reprendre. Merci d'avance à tous pour vos futures participations.

Je laisse une partie du toit ouverte, et je pense que psychologiquement cela plait aux oiseaux; (la psychologie humaine est-elle applicable à l'animal et inversement ?). De plus le fait d'ouvrir une partie du toit permet un apport à mon avis plus homogène de la lumière et plus naturel, sans négliger l'ouverture verticale bien entendu. La lumière ayant sont importance dans la mue et la reproduction, à mon avis un peu de lumière venant aussi du ciel et un petit plus à leur offrir. J'ai constaté que certains oiseaux (milans entre autre) préfèrent dormir sous la partie grillagée du toit même par temps froid ou pluvieux. Les corbeaux eux, préfèrent se mettre bien calé dans un coin sous le toit. Si vous avez observer des différences sur le comportement de vos oiseaux en fonction de l'orientation des volières et de la partie couverte faite nous le savoir c'est toujours bon à prendre.

Je vais me renseigner, on me l'a montrée il y a quelques années et je ne connais absolument pas les réferences. Je crois même qu'il y en a de nouvelles. Dès l'info je la transmet.

Merci Sokol. Tu dois être un fin cuisinier car tu nous sert ton Mahatma à toutes les sauces, continue, moi j'aprécie.

Je me rattache à l'idée de Sokol car les oiseaux aiment bien profiter du soleil du matin, en revanche l'été après une journée très chaude s'ils ont encore le soleil couchant dans la poire ça fait peut-être beaucoup de chaleur. Quand tu parle de face ouverte est-ce uniquement verticale ou bien verticalement plus partie du toit?. A mon avis le compromis est à trouver avec ce que tu compte faire du toit 1 tier, 2 tiers ouvert ... quelle taille de volière et bien évidement pour quels individus. Bonne chance.

Sokol, j'ai perdu la recette de la soupe au corbeau (il parait d'ailleurs qu'elle peut s'appliquer au vautour), l'aurai-tu par hasard ?

C'est exactement ce que je me suis dit lorsque j'ai reçus ma convocation. Mais il était trop tard pour faire marche arrière, et j'ai donc franchi le pas ... de la porte de ce satané transal (au passage bonjour les éffluves de coco, c'est franchement pas écolo); et là je me suis aperçu que finalement sortir d'un avion en vol c'était assez simple, par contre à l'attérissage on prend quand même une claque (pauvre oiseau tombé du nid). Je n'ai pas la fibre militaire et j'avoue que la finalité de sauter d'un avion en marche à 300-400m de haut avec un bout de toile verte que l'on appelle para-chute pour ensuite se dépêcher pour arriver le plus vite possible au camion, je cherche encore à quoi ça peut servir. Mais bon je l'ai fait. Maintenant (10ans après) je regrette juste de ne pas avoir pu goutter à la chute libre, d'ailleurs à se propos pour revenir au vol, un amis m'a montrer une vidéo d'un "fauconnier" qui saute avec un faucon (lequel ?) et c'est fabuleux de voir l'homme essayer de descendre le plus vite possible avec un faucon qui lui "s'amuse" à ralentir pour rester à niveau du leurre que la personne tient dans sa main. A voir.

Au comportement décris elle à l'air bien dans sa tête cette petite forme, reste à savoir pourquoi elle est trop cool, à ton avis c'est du à quoi ? au poids pas encore trouvé ou à autre chose ? Je profite de reprendre la parole dans ce post pour élargir ma demande, en effet je souhaiterai savoir si certain d'entre vous pratique le vol mais cette fois le vol en parapente, delta, planeur, ulm, avion, hélicoptère, parachutisme, autre ... Je pense en effet que cette idée est surement passée dans toutes les têtes, alors faites nous partager vos sensations si vous avez franchi le pas. Pour ma part j'ai effectué mon service militaire chez les paras à Tarbes (j'avais tout demandé sauf ça et j'y ai été parachuté comme quoi !). J'ai donc sauté en parachute mais dans les conditions armées donc pas forcément le top pour apprécier cet sorte de vol. En revanche j'ai eu la chance de me faire offrir un stage d'une semaine de parapente par cette même armée. Quel plaisir de voler surtout lorsque vous n'avez qu'à apprécier le vol puisque c'est le moniteur qui par radio nous indiqué les mouvements à faire. Malheureusement je n'ai ni les moyens ni le temps de reprendre une telle activité de vol, mais c'est certain cela finira un jour par arriver pour mon plus grand bonheur. A vos touches de clavier à défault de plumes. Roland.

Ah les corvidés ! J'ai le bonheur de voler tout les jours un GRAND corbeau, et c'est toujours un pur plaisir car c'est un véritable avion de chasse. Des qualités voilières exceptionnelles car endurant et pouvant maîtriser parfaitement toutes les conditions aérologiques. Qui n'a jamais eu la chance d'observer les grands corbeaux sauvages faire des piqués à répétition en se permettant de faire des demi-looping (passage sur le dos puis retour par le même côté) lors de ces mêmes piqués. De plus c'est un oiseau doué d'une certaine intelligence. A l'intonation de sa voie rauque, il peut nous faire comprendre s'il est content ou pas. C'est l'un des rares oiseaux l'hiver qui se permette de casser la glace pour se faire une petite beauté (vécu). sans jeu de mots. Par contre c'est vraiment le petit chien chien à sa mémère, car comme les nocturnes il doit être imprégné jusqu'au trognon (chose que je ne supporte pas de la part des diurnes ). C'est à dire que s'il n'a pas envie de voler c'est un véritable pot de colle. Certes pas un oiseau de chasse mais très très agréable à voler quand on le peut, car bien évidement la détention d'un grand corbeau (espèce protégé) demande un certificat de capacité. Je crois que quelques personnes présentes sur ce forum possède et vol des corbeaux-pies, à vous donc de nous faire partager l'expérience des corvidés. Bons vols Roland.

Ca y est je sens que ça vient !!! au départ le sujet c'était le VOL en partage, on s'est un peu égaré (très léger je l'avoue) mais je sens qu'il y en a qui vont pas tarder à se lacher et à nous faire part de leur passion de voler, que se soit en bas ou haut vol, où autre, car vous remarquerez que j'ai posté dans la section volerie (mais je n'exclu personne bien au contraire je pense que les récits les plus intéressants se trouve dans la partie chasse). Allez un petit effort! ... au hasard: Goshawk vas-y fait nous part du plaisir comme tu l'as toi même dit de chasser, parle nous des performances de tes sujets. Ce que j'aime dans la relation avec les oiseaux que sont les rapaces, c'est qu'ils nous apprennent à être à l'écoute de leurs besoins, à l'écoute de leurs comportements, à l'écoute des autres ... et surtout à être patient car avec de la patience on arrive à obtenir des choses merveilleuses ... Alors en cette période préparatoire à la rentrée des CHASSES, après une bonne période de mue, choisissez une belle primaire ou rectrice selon affinitée et faites nous vibrer (tels les vibrisses lors de piqué final) avec vos récits. Excellents vols à vous tous. Roland.

Comme la déjà dit Sokol, du temps et encore du temps, donc de la patience de la part de la personne qui se trouve au bout du gant. Prendre le temps de laisser l'oiseau s'installer correctement sur le gant, faire en sorte qu'il soit obligé de tirer sur le morceau de viande que l'on tient fermement; une fois l'oiseau occupé à sa tache il faut essayer d'approcher l'autre main pour essayer de lui toucher les pattes, lui lisser les plumes ... en clair "l'embêter avec cette main étrangère". Nos amis les rapaces sont commes les humains, ils leur faut du temps pour être en confiance avec l'autre, et une fois cette confiance bien établie, il ne faut pas oublier qu'elle n'est jamais acquise, elle peut être remise en cause à chaque instant. Même si ces oiseaux demande beaucoup de temps et de patience au début, ils sont à mon goût beaucoup plus agréable à vivre que des imprégnés jusqu'au trognon. Bon courage à tous. Roland.[/u]