nebli

c'est spécifique pour chaque oiseau . et du fait de trouver du gibier disons entre 10j pour un émérillon à 2 mois pour un aigle royal. avec cela on n'est pas plus avancé mais cela donne une idée.

bien sur , la base de l'affaitage est de les faire revenir et de les créancer sur un gibier particulier , comme dans ce cas l'outarde hou barra car chasser de toute évidence ils connaissent, tout comme voler d'ailleurs.

exact ces oiseaux sont dans le cas du premier pèlerins capturés sur leur route migratoire vers l’Afrique en automne , puis sont affétés et chassent avec leur fauconnier jusqu'au début du printemps ils sont relâchés près à reprendre leur voyage vers le nord pour aller se reproduire dans la toundra sibérienne.

c'est le privilège des personnes qui peuvent encore voler des oiseaux sauvages, les bons , ceux qui donnent pleine satisfaction sont relâchés afin qu'ils puissent se reproduire dans la nature c'est un bel hommage d'une personne qui sait faire preuve de respect et de générosité envers ce que lui donne la nature . c'est la fauconnerie telle qu'elle était pratiquée traditionnellement . un geste élégant lorsque l'on connait le prix de ces oiseaux. pour l'oiseau il a l'avantage d'hiverner en toute sécurité en chassant pour son fauconnier , et , lorsque la saison de chasse prend fin et que celle de se reproduire arrive , il est remis en liberté pour regagner sa Sibérie natale où en pleine forme il pourra se reproduire . une pationante parenthèse pour l'oiseau et son fauconnier.

certains parmi vous ont sans doute été confronté à ces situations , où l'oiseau part avec le leurre , la proie ( pigeon, caille merle etc...), quelles ont été vos solutions?

je trouve cela plutôt dommage , en effet cela prouve que l'association principale n'est plus à la hauteur pour répondre aux besoins de ces membres ou de ceux qui voudraient le devenir . ensuite la création de nouvelles associations crée de nouveaux intérêts particuliers et locaux sans une vision des besoins nationaux bien nécessaire par les temps qui courent . cela enlève aussi de l'influence et donc du pouvoir d'action au près de l'administration. nous en Belgique sommes je pense le meilleur et le plus accompli des exemples à ne pas suivre .( 5 associations) pour une population grande comme paris. aucune ne représente plus un interlocuteur valable auprès des pouvoirs publics ni de qui que ce soit d'autre d’ailleurs.

I would like to give you my experiment, since the beginning of this season I had 4 falcons, a wild Gyr, 2 Sakers one trapped in mongolia, and one in Russia, and one haggard peregrine trapped in the Kingdom of Saudi Arabia, all are wild female falcons. I wold like to explain my experiment of each falcon: 1) Sakers: loyal, powerful hunters, fighters, long-suffering "patient". But not fast enough, comparing to the peregrines, and gyrs. 2) Gyr: Powerful hunter, and fighter, fast, fearless. But Gauche, crazy, Tires quickly, Impatient. The gyrfalcon needs a very patient falconer. 3) Peregrine: extremely fast, brave, Insistence with far targets, my peregrine didn't miss any hunt until now! Substantially they have got all what a game bird hunter wish. But they love freedom. After my experiment I gave my gyr and my sakers to a friend as a gift, and I decided to buy 4 Peregrines instead. So my hunting team now is 5 peregrines, 2 eyesses, and three haggards Attached a photo of the gyr that I had, and a photo of my first Peregrine By the way I decided to release all the 5 peregrines as a reward of the happiness they gave me and my friends. fauconnier saoudien . photo suivra ( j'espère ) je résume :vol avec 4 faucons: 1 gerfaut passager ,2 sacres dont un pris en Mongolie, et une forme de pèlerin hagard. les sacres:loyaux,puissants, combatifs , encaissant bien , patients mais pas assez rapides. comparés aux gerfauts et pèlerins. le gerfaut: chasseur puissant ,combatif, rapide et sans peur mais "gauche" et fou, se fatigue rapidement, il nécessite un fauconnier très patient . pèlerin:extrêmement rapide, courageux,très persistant sur les proies lointaines, a fait prise à chaque vol. en bref ils ont tout ce qu'un fauconnier peut désirer, mais aime leur liberté(dérobent leur sonnettes?) après cette expérience j'ai offert les deux sacres et le gerfaut à un ami ( hélas pas moi) et j'ai décidé de prendre 4 pèlerins à la place , 2 niais et 3 hagards j'ai décidé de relâcher les 5 à la fin de la saison comme récompense de la joie qu'il m'ont apportés ainsi qu'à mes amis . la première forme hagard est splendide , un parfait exemple de calidus dans toute sa perfection.

un bon apprenti se reconnaît au premier regard au cals sur le front , les genoux et la paume des mains.....

il n'y a pas de distance minimale, certains oiseaux arrivent même à prendre dès la sortie .

euh,suprime la hutte et les croquettes, je me relâche. à l'air libre, et les reste de poussins , avec le dimanche un reste de caille ou pigeon en nettoyant les volières on n'est pas des chiens tt de même.

petit , petit , petit , vient mon p'it apprenti , viens chez ton bon maître t'a préparé les leurres à nettoyé à la brosse à dent ? sa petite hutte au fond du jardin pour surveiller nuit et jour les oiseaux? as tu acheter les croquettes "mélange apprenti "pour le nourrir? le vélo génératrice pour alimenter le chauffage des volières en hiver ? non? dépêches toi !!!

un aigle pourquoi , une buse ou un crécerelle suffiraient quelque trucages et le tour est joué c'est ça le cinéma .

je dirai même plus c'est son devoir . au plus le maître est dur et intrétable au plus son apprenti est verni , je dirais privilégié.

une harris peut pratiquement tout prendre , mais ce qui est difficile c'est de la mettre dans les conditions. canards ça marche à moins de 10m, les mexicains le font couramment , mais peux tu approcher les canards à cette distance chez toi ? pour le vanneau pareil mais là 5 ou 6 m me paraissent un grand maximum , à nouveau si tu arrives à les aprocher et faire prise tu auras parmi nous que des admirateurs sincères, pour tes talents d'approche et comme chasseur !

une des qualités premières d'un bon fauconnier c'est un bon sens de l'humour

demande à Etienne de t'expliquer les qualités d'un bon apprenti

http://www.nafex.net/showthread.php?t=528 voilà une superbe série de photos d'un fabuleux oiseau , le faucon des chauve souris pour vous donner une idée de la taille sa proie est un roselin du mexique sorte de canari loacal en bref un oiseau qui n'a pas ses ailes dans ses poches . c'est un superbe oiseau qui a beaucoup de mal à s'installer aux états unis , se faisant régulièrement prendre par les autres rapaces, le pourquoi est un mistère , ayant vu voler ces oiseaux dans la nature au mexique je les ai vu vidé un ciel de vautours hérons , perroquets, bref de tout ce qui vole avec une maestria et une agressivité extraordinaire pour un oiseau aussi petit poids de vol de ce tiercelet 113gr

ce n'est pas l'effet de masse s'il s'agissait de perdrix cela ne lui pauserait aucun problème, c'est le fait qu'il ne maitrise pas son sujet , il en a peur .

ça c'est pas tombé dans l'oreille d'un sourd ni dans l'oeil d'un aveugle à tous les fauconniers bretons voici un candidat"aprenti" occasion rare à ne pas manquer!!!

c'est en fonction de l'abondance de l'une ou l'autre espèce, chez nous c'est la corneille , en angleterre c'est le freux. intéressant de noter par exemple qu e l'oiseau de fl , ne va pas au freux , autrement dit que la méfiance l'apréhension envers son gibier est encore grande , c'est un détail qui a son importance,d'autant que le freux est moins agressif et dangereux que la corneille.

cette question de poids est au coeur de la fauconnerie. elle nous indique énormément de chose . comparons un oiseau sauvage et un oiseau affaité . l'oiseau sauvage prend tout ce qu'il estime nécessaire à poids plein. une corneille, un héron ,un pigeon ou un moineau ,son incitation est son seul critère. je connais deux aires en espagne l'une c'est spécialisée en corneilles, l'autre en busards cendrés! en belgique la part de la corneille dans l'alimentation des rapaces , pèlerins compris , ne cesse d'augmenter . sorti de volières nos oiseaux ont un poids x , disons 1000 gr. ce poids se compose : de muscle, d' os , de graisse et pour le pèlerin ,de cerveau première confrontation avec du stress: manipulation de l'éleveur , ensuite , du fauconnier si cela se fait bien l'oiseau ne conservera pas ce stress et acceptera rapidement le fauconnier là le poids devra être diminuer en fonction du stress , peu stressé, l'oiseau réagira vite , très stressé il mettra plusieurs jours et son poids devra être réduit en conséquence. et une méfiance s'installera qui sera difficile à enlever , l'oiseau aura un poids bas proportionnel à sa peur . pour le voler il faudra le serrer mauvaise situation. l'oiseau est affaité à un poids raisonable qui permet d'avoir une réponse positive à chaque étape de l'affaitage. passons à créancer l'oiseau :bas vol et vol à vue réponde aux même exigences ( en gros) haut vol à d'autres. du poing les oiseaux sont confrontés à un effort important dès qu'ils quittent le poing , comme pour nous courir comme un fou demande motivation et volonté, donc motivation c'est à dire récompance à bon escient . à absolument associer à l'effort accompli que ce soit le cerf volant , le leurre ou autres méthodes peut importe . une fois cet aspect maitrisé le poids n'a pas du varié beaucoup depuis l'introduction. la créance elle est un moment délicat : en effet que ce soit pour le bas vol ou presque tout le gibier est soit plus lourd( à poil) soit se défende bien ( un coq faisan) on demande à l'oiseau de faire un effort extrêmement important où tout choc, blessure etc... peuvent entraîner un refus de l'oiseau avec comme conséquence un poids plus bas pour surmonter cette situation , là clairement c'est de la responsabilité du fauconnier . haut vol , le gibier c'est le noir, corneilles, freux, etc.. de taille inférieure au faucon mais à l'agressivité décuplée par la présence du groupe qui n'hésite pas à attaquer le faucon en cas de prise, plus individuellement la corneille oppose une résistance farouche à coup de bec "poignard" et de griffes. deux possibilités, l'oiseau aime naturellement le noir et il se fiche des blessures, cela le rend plus agressif ou alors il faut l'instruire à les prendre bien , la technique épargne la soufrance. dans ce cas l' oiseau ne devra pas être forcé et augmentera son poids sous forme de muscle au fur et à mesure des chasses( haut plaffonds , longues distances) vol d'amont : le gibier dangereux est limité au coq, faisan ou lyre s'il est mal pris . ici le but est de faire monter là l'encouragement se fera à partir d'un poids plus élevé au départ de façon à pouvoir cerrer en cas de dérapage de l'oiseau . le succès des vols permettra de muscler l'oiseau et de le monter jusqu'au poids qui le motivera à prendre tous les gibiers servis même les plus exigeants. c'est l'abondance des occasions comme l'agressivité de l'oiseau qui permettront de monter au delà du poids de sortie de volière , sachant qu'un "corps musclé" demande plus d'énergie qu'un "corps gras " les rations devront être prévue en consequence . les oiseaux qui de plus aiment voler et chasser pourront voler très haut ,d'autres demanderont une incitation, un coq faisan ou un canard demande plus de motivation qu'un pigeon ou une perdrix en général.

cela arrive bien sur en saison , comme pour toute activité de ce genre cela ce passe entre gens de bonnes compagnies et donc un première qualité c'est de se rendre sympa et de donner envie de te rencontrer , nettoyer les volières, apporter des poussins, un p'tit vin du pays etc...etc... et etc... ( c'est une blague mais c'est vrai qu'il s'agit de groupes assez restreints où la plupart se connaissent et bien sur le coté sympa et sérieux' (lire motivé et sérieux ) permettent d'assiter à des chasses.

salut JO comme tu peux le voir ce forum accueille des personnes passionnées et sérieuse envers leur passion je pense que si la faudconnerie te passionne vraiment je te suggère deux démarches la première avale un maximum de postes sur ce forum pour voir non seulement de quoi il en retourne mais aussi des exigences et difficultés. les "stages" ne sont pas très recomendables c'est un peu comme l'équitation dans un manège où les chevaux connaissent tellement les exercices que cela donne une fausse impression de facilité. reste les fauconniers privés, il y en a des excellents en bretagne. là il faut savoir leur inspirer confiance en montrant sa motivation . pratiquement connaître un minimum , ce qu'est une forme , un poids de chasse , ce qu'est une harris ou un gerfaut pèlerin etc... au plus tu apprendras au plus tu réaliseras qu'il faut des passages obligés comme le permis de chasse le parcourt semble compliqué et laborieux mais la récompense au bout n'en est que plus délectable et puis si nous avons tous réussi à le faire il n'y a pas de raison pour que ce ne soit pas pour toi une promenade de santé

excellent ouvrage dont le chapitre belgique nous est très cher( demande à Sokol. quelque discordances avec la position de nick fox. d'abord il vole des sacre pèlerins et non des pèlerins qu'il n'aime pas. ces oiseaux doivent être plus serrés que les pèlerins( coté sacre). ensuite faire prendre un leurre pour une corneille...c'est prendre des vessies pour des lanternes, un pèlerin est capable de distinguer une corneille légèrement diminuée là où l'oeil humain ne voit aucune différence mais il prendrait un bout de plastique noir pour une corneille? si c'était le cas j'a rrête la fauconnerie tout de suite , où alors mon oiseau ira ramasser ts les bouts de plastique qui trainent dans la campagne ( cela arrive de fait aux jeunes au début , mais pas longtemps. le cerf volant sert à doner une certaine condition à l'oiseau avant de s'attaquer aux corneilles la raison est facile à comprendre depuis son envol une corneille vole plus d'une heure par jour par tous les temps ,donc sait mesurer son effort le ménager ou l'utiliser à bon escient , c'est à dire pour décourager le faucon au meilleur moment . si le faucon sait analyser sa proie , fait confiance en la capacité des noirs pour juger leur prédateurs. donc pour voler la corneille une très bonne condition physique s'impose pour avoir une chance avant que les oiseaux les considèrent imprenables. donc que ce soit le leurre, la voiture , le serf volant un faucon n'aura jamais trop de conditions physique. cela permet de parler du poids et je n'ai rien à ajouter à ce qu'à dit Etienne mais à souligner que poids en période de chasse veut dire muscle et pas graisse! la capacité à piqué? j'appuie ce que dit Etienne avec cet exemple d'un tiercelet angalis appelé Wiz was oiseau hagard volé par le regrété martin hartgreave pour te résumé le talent de cet oiseau ces prises en perdrix sauvages suffisaient à nourrir ses trois faucons pendant toute l'année. cet oiseau captura un jour un étourneau , et se posa sur un pilone de 7 ou 8m au bord d'une route le cadavre lui échapa en le plumant et il piqua directement attrapant le corps avant que celui ci ne toucha le sol et se reposa sur le pilone comme si de rien n'était . alors une corneille avec plusieur dizaines de mètres sous elle n'a techniquement aucune chance d'échapper à un pèlerin bien mis et cel revient à nouveau à ce que disait etiennec'est dans la tête de l'oiseau qu e se trouve le problème et là à nouveau c'est l'adresse du fauconnier qui fera la différence , son habileté a mettre son oiseau en confiance à dominer mentalement son adversaire . meilleur exemple ancien "the princess" passager du old hawking club qui en pris 72 en 72 vols, le faucon avait mentalement chaque fois le dessus . par contre je suis plus optimiste qu'Etienne , ta fin de saison semble montrer que l'oiseau ai capable de cartonner dès quelle prend confiance en elle, pour le moment cela semble se limiter aux vols à basse altitude et peu gourmands en energie, à toi de la faire passer à la vitesse supérieure. ( et on revient au poids) à toi de choisir les meilleures occasions pour atteindre ce but .

ier pas: permis de chasse