bonelli
Membres-
Compteur de contenus
80 -
Inscription
-
Dernière visite
Type de contenu
Forums
Blogs
Boutique
Calendrier
Téléchargements
Galerie
Articles animaux
Sites
Annuaire animalier
Petites annonces
Tout ce qui a été posté par bonelli
-
Retour à la liberté pous les oiseaux de haut vol
bonelli a répondu à un(e) sujet de Helijeff dans Biologie et santé des oiseaux de chasse
-
-
si je dis ça, c'est pour dire qu'il faut sortir des stéréotypes. La fauconnerie, c'est pas que pour les riches, c'est pas que pour les médiévistes, iul faut sortir de cette image non moderne d'un art qui a vécu pendant quelques millénaires, mais qui vit toujours aujourd'hui. C'est pour ça que je parles de suivre des personnes qui sont finalement normales, à ce petit détails qu'elles ont un rapace au moins chez elles. Je penses que c'est ce qu'il y aurait de mieux pour accrocher le public... voir des gens comme eux (donc, ils pourraient s'identifier aux fauconnier), qui vivent leur passion qui est la chasse au vol, plutôt que de mettre une certaine barrière qui est celle du pétrodollards, d'habitants de pays "pauvre", et des faconniers professionnels. Voilà mon avis : les fauconniers, avant d'être tout celà, sont des personnes comme les autres, qui font voler des oiseaux, tandis que d'autres vont regarder la coupe du monde à la télé...
-
si tu veux de la fauconnerie luxueuse, à mon avis, le plus simple, c'est que tu prennes la prochaine navette qui part pour Mars... Le plus simple, serait de faire un film sur les fauconniers de base, qui ne roulent pas dans des voitures à 100 000 €, qui font leur matériel, l'un fait ci, l'autre fait ça, et on se tire la bourre avec nos oiseaux et on se tire la bourre pour faire le plus beau chaperon ou le plus beau bloc... mais pour ce qui est du luxe, j'aurai rien à te montrer. Et pour ce qui est des vols luxueux aux émirats... tu risque d'être déçu, parce que la richesse dans le désert n'a rien de luxueux. Pour ce qui est des spectacles, ça représente une infime partie de la fauconnerie, et est limitée dans ses actions. Non, je te le dis, si tu dois tourner un film, suis donc des gens normaux qui essayent de faire briller la fauconnerie... ce sera moins clinquant, mais plus valeureux.
-
Un gps pour oiseau....
bonelli a répondu à un(e) sujet de sokol dans Les liens utiles du chasseur au vol
http://www.tinyloc.com/esp/WEBSITE/avalongps.php je suis étnné de l'utilisation GPS à 20 km... sachant que ça passe par satellite, normalement, on devrait avoir les coordonnée de l'oiseau où qu'il soit sur la planète. Falconsat, a eput-être ou doit ou a toujours qu'au niveau du projet un GPS fonctionnant ainsi : - on envoit un sms au GPS, qui nous répond, en envoyant sur le téléphone les coordonnées GPS. Pour peu qu'on ait une carte IGN dans son téléphone, et tout devient plus simple en effet. Après, dire qu'on peut mettre un émetteur de 25 g sur le dos d'un oiseau de 500 g, c'est peut-être possible pour la volerie, mais pour la chasse, je penses quand même que c'est très gourmand. De plus les batteries sont limitées sur des GPS aussi petit. Je crois que le falconsat était estimé à pouvoir donner 50 points GPS comme durée de vie (en fait l'émetteur se met en marche que pour envoyer les données...). Mais là, cet émetteur hybride, marcherait presque mieux qu'un émetteur classique, avec en plus la fonction GPS... gros doute en perspective, avec des données de 12 jours en veille, et 300 données GPS. J'ai utilisé deux récepteurs Ayama, une dizaine d'émetteurs qui me semblent loin d'être meilleur (en performance et finition) que le scout turbo de marshall. J'en attends un tandem (récepteur r1 + émetteur f22), pour tester/réparer. Mais, j'en attends pas des merveilles... c'est pour ça que je serai bien étonné qu'ils aient un temps d'avance sur Ayama, falconsat ou Marshall. Ce qui pourrait permettre à Tinyloc d'avoir un point de plus que les autres... c'est que leur matériel est très pointu (je dirai même trop). Mais un matériel très pointu, un rien et il est dans la panade. Par exemple : un émetteur très puissant de 433 Mhz, qui sera à moins de 100 m d'un batiment, son onde se réfléchira dessus, et l'émetteur en lui-même sera dur à trouver, parce que l'écho avec le batiment faussera les pistes... un émetteur moins puissant, dans la même fréquence, au même endroit, se réfléchira moins sur le batiment, et le bip en approche donnera plus clairement la position de l'émetteur. Entre parenthèse, dans ce cas, un bip qui se réfléchit sur un batiment sera irrégulier pour la réception, le bip sera un coup fort, un coup quasiment inaudible, un coup normal, puis inaudible, puis fort, puis normal, etc, etc, etc. Biensur, dans le cas où l'emetteur est fixe... ce genre de bip peut indiquer que l'oiseau tourne sur place au sol, comme un faucon qui lierait un pigeon qu'il n'aurait pas tué... -
Inquiétude..Salmonelles
bonelli a répondu à un(e) sujet de pascal08 dans Biologie et santé des oiseaux de chasse
-
Inquiétude..Salmonelles
bonelli a répondu à un(e) sujet de pascal08 dans Biologie et santé des oiseaux de chasse
-
Inquiétude..Salmonelles
bonelli a répondu à un(e) sujet de pascal08 dans Biologie et santé des oiseaux de chasse
1/ il y a des compléments qui existent riche en calcium et minéraux... ils se jètent dessus lorsqu'on en donne. 2/ volière trop petite : pas assez de place pour un couple + un jeune... donc il est éliminé avant de représenter une menace territoriale. 3/ ... en fait, c'est assez connu. Et surtout logique... le jaune est riche n cholesterol... après si c'est un rapace ou un être humain qui le mange... ça change pas le taux de cholesterol... 4/ elle peut l'avoir tué en voulant l'aider à casser la coquille. Normalement les oiseaux gèrent très bien ce procédé, mais il n'y a pas 100 % de réussite. Si l'oiseau était diforme, il est éliminé... à moins que par chez toi, tu vois souvent une buse qui a les pattes écartées, ou autres subtilités que personnellement je n'ai vu qu'en captivité... parce que la nature s'en charge. après, pour le post en lui-même... en effet, tu n'as pas tors... soit il y a quelque chose, soit il n'y a rien -
Inquiétude..Salmonelles
bonelli a répondu à un(e) sujet de pascal08 dans Biologie et santé des oiseaux de chasse
ou alors, elle a essayé de l'aider à sortir... l'a tué sans faire exprès. Ou alors elle l'a aidé, et elle a vu qu'il était diforme (le manque de calcium peut en être la cause). Je penses que c'est un oiseau que tu faisais volé. Pour moi, les oiseaux de volerie sont à 50 % de leur possibilité, voir moins et pendant 5 minutes par spectacles (ce qui fait environ 25 min par jour). Il n'y a pas vraiment de chocs, le squelette est "économisé". Un rapace de chasse fait des vols à 100 %, des fois ça peut être une dizaine de poursuite à bloc, sur une journée, pour un rapace de bas vol. Avec des coups portés et reçut. Les muscles, le squelette et les ligaments sont soumis à des traumatismes. Donc, les poussins pour un rapace de volerie sont "suffisant", avec un pigeon ou caille par semaine. Mais un rapace qui chasse doit se contenter d'une nourriture plus riche, et plus diversifiée. Et donc, ne pas sous estimer les manques en calcium... -
Inquiétude..Salmonelles
bonelli a répondu à un(e) sujet de pascal08 dans Biologie et santé des oiseaux de chasse
-
Inquiétude..Salmonelles
bonelli a répondu à un(e) sujet de pascal08 dans Biologie et santé des oiseaux de chasse
-
-
Inquiétude..Salmonelles
bonelli a répondu à un(e) sujet de pascal08 dans Biologie et santé des oiseaux de chasse
-
Inquiétude..Salmonelles
bonelli a répondu à un(e) sujet de pascal08 dans Biologie et santé des oiseaux de chasse
c'est quand même léger... il faut beaucoup plus de vairété... et plus d'os !!!! Perso (encore), je penses que la nourriture "riche" est à doube tranchant. Dans le sens, qu'il faut de la viande riche, mais trop, je penses que ça a un effet négatif et rend l'oiseau plus agressif, "avec un trop plein de jus". Moi, je donnes à quelque rapace que ce soit, pour une semaine par exempe : lundi : demi caille mardi : demi caille mercredi : un poussin et un cou de poulet jeudi : un poussin et un demi cou de canard vendredi : un demi pigeon samedi : un cou frais (cherché sur le marché) de canard et un poussin dimanche : palpé de l'oiseau, et ajustement selon météo (si beau-chaud : rien, si pluie et froid un poussin) L'os est important, son manque provoque des dégats sur le métabolisme de tous les oiseaux (aussi bien rapace que pigeons ou perroquets). Une estimation était faite que le manque de calcium chez certains perroquets faisait chuter l'espérance de vie de 20 %. Les poussins, c'est bien, mais ça fait pas tout. Le poussin est complet, mais n'a pas d'os, le bec et les serres ne sont pas usées, et l'apport en calcium est quasi absent. Autre chose sur les viandes... de manière générale, plus la viande est rouge, plus elle est riche (et donc difficile à digérer). Voilà, pouquoi j'essayerai de donner du poulet (équilibrée et facile à digérer) à ton oiseau, plutôt que tu pigeon (trop riche, pas facile à digérer). ... je ne vois pas comment il aurait pu attraper des salmonèles en mangeant du poussin et peu de pigeon. A part un problème dans la chaine de froid... -
j'avais raté ça... non, je ne vois pas l'intérêt de l'hybridation. Je suis même contre l'insémination artificielle... sauf si l'espèce est rare (dans la nature, ou en captivité, ou dans une région du monde : comme par exemple pour le faucon de nouvelle-zélande en Europe). Si je suis contre l'IA, il devient logique que je sois contre l'hybridation. Car : - qui dit hybridation dit IA... - pourquoi chercher à faire un hybride épervier/autour ??? On a en France, la possibilité de désairer des oiseaux qui font 150 g (mouchet), 380 g (forme d'épervier), tiercelet d'autour entre 550 et 600 g, forme d'autour entre 800 et 1000 g... quel est l'intérêt de faire un épervier/autour ?? Faire un oiseau de 450 g ? pour faire quoi avec ? - la nature est bien faite comme elle est. On ferait mieux de la protéger plutôt que de la manipuler. - le seul hybride intéressant est le gerdaut/sacre ou gerfaut/pèlerin. Histoire d'avoir un gros oiseau qui va sur des grands oiseaux qui se défendent, comme corneille, corbeau ou goéland... sur lesquels une forme de pèlerin aurait plus de difficultés. - de manière générale, lorsqu'on cherche l'hybridation, ça veut dire qu'on ne se contente pas des plusieurs dizaines d'espèces qu'on a à découvrir déjà. - un hybride est rarement performant la première année. Il lui faut 2 ou 3 saisons pour devenir efficace. Ce qui n'est pas vraiment le cas d'un majorité de rapaces bien mis et utilisés en fauconnerie. De plus, de par son fondement, l'hybride est totalement instable. L'oiseau en lui-même en général récupère le mauvais côté des oiseaux, généralement. Et puis lorsqu'on a un hybride qui sort de l'oeuf, on ne peut pas savoir ce qu'il va donner... sera t'il plutôt gerfaut ? sera t'il plutôt sacre ? Quel caractère aura t'il ? Alors qu'un couple renommé, aura toujours un pourcentage de "faiblesse"... il y aura toujours un rapace plus faible dans la couvée... mais il y aura plus d'oiseaux forts que dans d'autres couples. Ce qui me gène le plus, c'est cette inconstence des hybrides.
-
franchement 340 g de différence... soit quasiment 30 %... ça fait une fourchette très large. Je penses qu'à 1kg200, elle est grasse, et à 860, elle est sèche, ou l'un des deux. Mais à mon avis, elle volerait mieux à 900 et ne ferait pas une plus mauvaise mue à 1100 g. Quasiment toutes les formes d'autours que j'ai connus, volaient entre 950 g et le kilo. Pour un poids de mue inférieur au tiens... en fait, elles volaient plein poids. Mais pour en revenir à ce que tu dis. Perso, je ne regardes pas le poids de mue. Si je ne penses pas le palpé fiable pour déterminer le poids de vol d'un oiseau de moins d'un kilo... pour la mue, ça permet d'avoir un indice. Je fais en sorte qu'on sente juste le brechet. Au-delà, je considèe que l'oiseau s'approche de l'obésité, en dessous, il est gorgé. Pour cela, il faiut faire muer à l'attache. Mais à l'attache, on a également un suivit des fientes/pelotes plus efficace, pour peu que l'oiseau ne tire pas... je ne vois pas l'intérêt de le laisser en liberté dans la volière.Je mets également de la litière pour chat, autour des perchoirs, de manière à retirer les "galettes" de fientes plus facilement/rapidement. J'ai un bloc classique, et des pierres pour bordures, comme autres perchoirs, car ils font 50 cm de long, et disposé en bout de longe, l'oiseau ne peut pas passer de l'autre côté et rester coincé... et aussi, facile à remplacer quand on a 2 jeux, de manière à pouvoir nettoyer tout cela. Ainsi, en donnant une demi caille, lorsque l'oiseau commence à manger, on peut effectuer les changements sans trop le déranger (pèlerin). Et comme je dis à tous ceux qui débutent, lorsqu'ils veulent essayer autre chose : "si ça marche bien comme ça... pourquoi tu veux essayer autrement..."
-
-
tu verras, que si tu peut bien estimer la difficulté pour le tiercelet... pour ce qui est de la forme, tu te facilites la manipulation. Pour l'avoir essayé sur faucons non imprégné... je penses que c'est même pas la peine de vouloir y penser sur accipiter. En tout cas, ça aurait été essayé. C'est pas parce qu'elle sera en poids que ce sera plus facile, et qu'elle sera plus "ouverte" (dans tous les sens). Par contre, être en poids, peut certainement stopper la grappe ovarienne, avant même de chercher à manipuler l'oiseau. Ca stoppera aussi la mue, ou la ralentira en provoquant une pousse de plumes "faiblardes", risque aussi de s'exposer aux maladies. Pour ce qui est du caractère de la forme vis à vis du tiercelet dans la nature, lors de la période de repro, elle n'aime vraiment pas avoir faim... ce qui fait que si elle est ouverte à se reproduire, tout en étant en poids, elle sera beaucoup moins ouverte à celui qui doit la nourrir et aura un comportement agressif, ce qui ne facilitera pas sa manipulation. Bref, ne te simplifie pas ta théorie. C'est pas que mécanique comme manipulation. Pour prélever le sperme, il ne faut pas que tripoter les côtes du tiercelet, et tripoter le cloaque de la forme pour inséminer. Il faut que les oiseaux soient ouvert à la manipulation... et ça, si tu as tiercelet et forme... il ne faut pas rêver. Car il y a aussi un détail que visiblement, tu ne connais pas pour la repro... c'est à dire que l'insémination articielle, ne se fait pas une fois comme ça quand on en a envie, mais l'insémination elle-même, doit être fait plusieurs fois à quelques heures d'intervales. De plus, il faut pas croire parce qu'une buse, ou un faucon peut se faire inséminer, que c'est possible avec toutes les espèces. A mon avis, l'autour a un comportement qui bloque toutes les portes. La forme reste agressive par rapport au tiercelet... si imprégné, ce sera par rapport à l'être humain, si pas imprégné, alors elle va se crisper et être totalement fermée (voilà pour les deux grandes lignes). Et enfin, comme je l'ai dis, la fauconnerie à quelques dizaines de siècles derrière elle. Les grands maîtres de l'élevage dans l'antiquité étaient les Egyptiens qui ont apparement reproduit des espèces qui à notre époque sont toujours très délicates. Je veux dire par là qu'il y a une expérience de l'élevage à travers les siècles qui a dut essayer plusieurs fois les différentes méthodes de repro. Les allemands ont tout essayé pour la repro, et j'ai jamais entendu parler d'IA sur l'autour... (imprégné, donc, puisque j'imagines pas une personne qui aurait de l'expérince essayer sur des non imprégnés). En tout cas, si tu as un jeune dans ce cas. Ce serait une exploit (selon moi). Par contre, je crois pas que tu en auras tous les ans. Mais le plus simple, reste d'avoir un couple dans une volière, et faire tout ce qu'il y a à faire pour que ça se passe bien...
-
Inquiétude..Salmonelles
bonelli a répondu à un(e) sujet de pascal08 dans Biologie et santé des oiseaux de chasse
-
le désairage, c'est l'autour. Pour la situation de l'aire dans une forêt, c'est à peu près pareil pour les deux. L'épervier étant deux fois plus petit, tout est également rapetissé. Les nids d'autour sont souvent à 12 ou 15 m de haut, alors que les éperviers sont entre 6 et 10 m (j'en ai même trouvé un cette année à 4 m). Les "entrées" pour les aires d'autour font un couloir de 4 ou 5 m de large, alors que pour l'épervier, c'est 2 m environ (un simple chemin pour quad). Après, l'épervier est plus tout terrain pour faire son nid (j'entends par là qu'il n'y a pas vraiment d'espèce d'arbre). Alors que l'autour niche comme dit précédement dans des pins... et je paufinerai en disant que ce sont les maritimes (à écorce "rouge") ou donc des chênes. L'autour peut également nicher n'importe où : il peut y avoir un nids de variable ou de corneilles à 100 m. Normalement fidèle à son aire. Alors que l'épervier cherche la solitude (à mon avis), et construit une aire quasiment tous les ans (des fois, niche deux années de suite dans la même, mais en construit quand même une autre). Après chaque couple d'accipiter est différent. Certains sont agressif, d'autres discret. Certain alarme et emmènent au nid, d'autres partent à l'opposé du nid pour nous en éloigné (un épervier m'a promené pendant une heure en mars dernier). Pour ce qui est de la chasse, j'ai trouvé plusieurs plumées de ramier, de merle, et différentes proies... jamais à moins de 300 m d'une aire. Cette année, je penses même que c'était le contraire de ce qu'on pourrait penser. Dans un bois "rectangulaire" de 800 m sur 300, j'ai trouvé une grosse plumée en plein milieu... j'allais vérifier l'aire (si rechargée ??) puis en rattissant le bois, j'ai trouvé à l'opposé de l'aire rechargée les boyaux et encore une plumée du ramier. Visiblement, il l'avait tué à proximité de l'aire, l'avait emmené à 200 m à l'opposée de l'aire. Je crois que les seules lois régulièrement analysées pour 90 % des cas : - l'aire est "aérée", dans le sens qu'on y rentre et sort facilement, elle n'est pas "si" inaccessible qu'on le laisse entendre. Elle est entre 100 et 300 m de la lisière, avec beaucoup "d'autoroutes" (chemin à proximité). - il n'y a jamais de restes au sol, à proximité de l'aire. Et à mon avis, il n'y a pas d'actes de chasse à moins de 300 m de l'aire, sauf chance exceptionnelle. - l'autour, c'est dans 80 % des cas dans un pin maritime, comme expliqué précédement (contre le tronc, sur la première grosse branche sous la tête de l'arbre)... ou alors, c'est dans un chêne. - l'aire est soit dans un chemin JAMAIS fréquenté, ou légèrement en retrait. L'épervier est plus sociable, mais l'autour ne supporte pas des promeneur à moins de 300 m de l'aire. - vous l'avez comprit, à moins de 300 m de l'aire, il n'y a rien... sauf plusieurs chemins "naturel" ou pas. Voilà pour mon expérience partagée avec une personne qui trouve des aires d'autours pour quasiment un désairage par an, de moyenne depuis 5 ans.
-
En conclusion, que plus la reproduction est difficile, plus il faut intervenir artificiellement et que l'insémination est un des outils pour y parvenir, ce qui semble particulèrement s'appliquer à l'autour. Pour répondre à la question à l'origine... je rappèle qu'on parle d'une forme d'autour non imprégné... c'est quand même la base du problème. Et dans le cas d'une non imprégnation, la chance de réussite est quasiment nulle. Après, pour répondre à la conclusion d'Etienne, je dirai que si la repro est difficile de certaines espèces... c'est que les éleveurs n'ont pas trouvés les solutions au problème, et l'IA n'est pas une alternative qui permet d'être plus "rentable". Je rappèles le résultat d'un ancien éleveur pour l'ANFA qui avait reproduit plus de 100 éperviers et je crois une cinquantaine d'autours. Et son "apprenti", sort également de son couple d'autour et d'épervier des jeunes régulièrement. Mais pour l'IA sur Autour des palombes, l'imprégnation de la forme est la principale chance de réussite. Sans cela, l'espoir de réussite, se limite au strict minimum... (qui pour moi est de 0%)
-
cependant, il y a des "allées" pour arriver à l'aire. Quand c'est trop dense, normalement, il n'y a rien... mais il y a toujours un passage direct qui mène d'un chemin forestier à l'aire. Hiers, nous avons désairé une forme, et le nids était placé comme celà : nous nous sommes garé au carrefour de 2 chemins qui se croisent et donnent rapidement sur l'extérieur de la forêt, des 4 côtés. Le nids était à 150 mètres de là... en y allant directement, c'était très dense. On a donc prit un chemin sur 100 m puis on avait 50 m à faire "sans obstacle". Un vrai passage qui mène au nids. Le nids (comme la demi douzaine du département, trouvé) est comme toujours entre 100 et 300 m de la lisière de la forêt, avec un carrefour de chemins forestiers à proximité. Ainsi, ça lui permet d'arriver sur 4 possibles territoires de chasse (l'autour chasse surtout en lisière de forêt, mais pas réellement en plaine forêt). Finalement, il avait tout pour être là ce nids... avec un étang à 500 m. Une forêt à la forme très irrégulière (pas ronde, mais en longueur, avec plusieurs "bras"). Des petits champs à la parcelle inférieure à 20 ha, et entouré de forêts "gruyère, avec clarière ou petites parcelles cultivées. Bref, à mon avis, l'endroit idéal. D'ailleurs, il y aurait surement un second couple à l'opposé de la forêt originelle. Pour moi, un autour ne chasse pas en forêt, mais attaque les ramiers qui mangent aux lisières des forêts, ou les faisans se nourrissant... de la même manière. Finalement, leurs proies de sous bois doit être les pics par exemple.
-
-
ou sous le nids... normalement une auréole de fientes, au sol. Les jeunes appèlent les parents en ce moment pour les hulottes et crécerelles. Surement les éperviers aussi... comme dit avant. Mais c'est pas le moment de regarder en l'air. Pour les nids, si l'autour peut fréquenter pendant 10 ans une même aire, l'épervier change quasiment chaque année d'arbre (même pour 5 mètres). Cette année, j'ai trouvé une triple aire d'épervier, non habité, sans indice de présence. Surement qu'ils nichent à 2 km, ou 500 m, ou 300 m, etc. Je dirai que contrairement aux buses, les accipiters attaquent loin de l'aire, et ne font rien à moins de 300 m de l'aire habité (dans certains cas). Dans cette zone, le tiercelet laisse la proie à la forme, et ne traine pas trop... ils aiment pas trop être regardé par la forme non plus. Ainsi, cette année, j'ai vu un tiercelet d'autour à l'entrée d'une ville lier un jeune lapin... alors que la première forêt était à 2 km, seulement, il y avait des autoroutes à autour (des haies qui sortaient de la forêt dans tous les sens). En gros, cette forêt est au Nord, une haie part au Sud Est, une seconde au Sud-Ouest, et se rejoignent en traversant la ville d'Ouest en Est. (le long d'une rivière). Il y a des forêts au Nord et des champs un peu partout (moitié champs, moitié bosquet/forêt)... j'ai trouvé des cadavres de corneilles (2), de poule faisane (1), de ramiers (3) et ce lapin qu'il avait prit un matin à l'aube (d'ailleurs sous les nids de 4 couples de corbeaux). Il me semble qu'en Allemagne, ils considèrent qu'il y a 2 tiercelets pour une forme (d'Autour), et donc un tiercelet de célibataire par couples (sachant que la forme n'hésite pas à faire un choix passant par la sélection naturelle).
-
moi, je crois que ça sert à rien de stresser inutilement des oiseaux. Et l'IA sur un oiseau non imprégné n'a quasiment aucune chance de réussite. Ensuite, pour la repro des accipiters, certainement la famille d'espèce de rapace où il y a eut le plus de tentatives de faite, et pourtant, finalement quasiment personne n'a tenté l'IA. A mon avis, c'est pas par hasard.