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  1. Il y a bien une méthode, certe un peu acrobatique. Elle consiste à avoir l'appareil en bandoulière, rejeté dans le dos lorsqu'on met le lévrier au départ. Sitôt celui-ci lâché, on a quelques secondes pour reprendre l'appareil avant de photographier... l'arrivée.
  2. Affublez le chien du même déguisement (qui s'apparente à un pyjama, ça existe pour whippet) dans son foyer en faisant prendre la photo par son/sa propriétaire et son comportement sera sans aucun doute bien moins stressé (je reprends les trois hypothèses de jumalaouet). Je pense intuitivement que toute expérience inhabituelle a un impact déstabilisateur sur le chien (a fortiori un lévrier). Plus le nombre facteurs inhabituel (lieu, individus, comportements, sensasions physiques) de cette expérience sont nombreux, plus le chien est déstabilisé et plus son référent doit s'appliquer à le mettre en condition (en douceur et progressivement il va de soi) pour l'affronter (l'expérience). L'autre solution étant évidement de renoncer à confronter le chien à l'expérience en question. L'invitation du jumalaouet à investiguer le point de vue du chien pourrait amener à conclure que cette dernière solution est la bonne. Cependant, ce serait verser dans l'autre extrême : soustraire le chien à toute expérience inhabituelle se résume au final à de la privation sensorielle, qui n'est ni plus ni moins qu'une forme de torture (utisée par les régimes totalitaires du monde entier). Je crois qu'il faut aborder le problème sous un jour dual et surtout mutuel : je veux confronter mon chien à une expérience inhabituelle et donc lui demander des efforts : je dois faire moi aussi des efforts. Le premier de ces efforts étant de rendre admissible l'expérience pour le chien et à l'y faire adhérer (a fortiori avec un lévrier, de qui on obtient pour ainsi dire rien s'il n'est pas d'accord). Quelque part, le problème est finalement le même que sur le plan humain : on prefère souvent considerer les gens comme on voudrait qu'ils soient, et non comme ils sont réellement. Je sens bien que mon discours est abscons, mais le sujet me tient à coeur, dans la mesure où j'ai eu l'occasion de vivre des expériences inhabituelles avec mes chiens, tout en ayant la satisfaction d'avoir pu les surmonter avec un plaisir partagé.
  3. Le coup de l'os caché, je l'ai eu avec l'oreille de cochon. L'oreille de cochon était un excellent moyen de faire se tenir tranquille le saluki lorsqu'il était chiot et qu'on passait à table chez des amis. Il la rongeait dans son coin au lieu d'essayer de rançonner les convives. Jusqu'à ce... qu'il décide que c'était beaucoup mieux de la mettre en lieu sûr pour plus tard. Et à partir de là, toute oreille de cochon était légèrement entamée puis enterrée sommairement dans le jardin ou cachée dans la maison (emplacement original, derrière le meuble de l'ordinateur, au milieu des fils). Et régulièrement, on voyait le chiot revenir avec son oreille sêchée pleine de terre dans la gueule pour la cacher ailleurs (ça a la queue en panache d'un écureuil, mais pas les lacunes de mémoire...).
  4. L'attrait naturel pour l'eau a l'air très variable chez les saluki. L'apprentissage semble malgré tout possible L'attrait naturel se remarque sur les individus qui marchent volontairement dans les flaques d'eau lorsqu'on les promène (évidement ce sont toujours ceux au poil le plus fournis @_@) Ici, une grande flaque d'eau... ^__^ J'avais vu sur facebook les photos d'un saluki norvégien (ou hollandais je ne sais plus) qui nageait en piscine avec un gilet de flotaison (sans doute pour le confort du chien et pour éviter tout risque de noyade). Cette photo vient d'un club natation canine américain. http://www.rummysbeachclub.com/gallery.html Notez la remarque sur la musculature visiblement renforcée par l'activité sportive du saluki Des photos plus parlantes (avec les gilets) sur leur page facebook : http://www.facebook.com/media/set/?set=a.362444270458111.71173.107851415917399&type=3
  5. En présence de nombreux autres chiens, j'ai souvent remarqué une certaine déstabilisation des saluki, qui inhibe toute réaction pendant quelques heures. Par contre contre ça revient une fois qu'ils ont repris leur assurance...
  6. Quelques faits significatifs d'une certaine intelligence des saluki :) Battue et affût : J'ai fait de gros tas de branches d'arbustes épineux dans le jardin. Les lapins se sont empressés de s'installer dessous. Du coup, les saluki sont très intéressé. Un rabatteur rampe sous le tas (au mépris total des épines...) pour faire sortir le lapin et un traqueur à l'affût le poursuit lorsqu'il s'enfuit. Et ça marche (même si le lapin a toujours le temps de se réfugier dans un des nombreux terriers tous proches). Briser la glace Cet hiver lorsque la glace était gelée dehors dans un bac, le saluki envoyait des coups de pattes dedans pour la briser (si elle était suffisament fine).
  7. Est-ce que Ilan est moins "réactif" lorsqu'il est promené seul ? J'ai souvent constaté un certain effet de meute chez les miens, qui se retrouvait pas ou peu si je les sortais séparément.
  8. La galerie contient désormais toutes les photos. Je cherche à la diviser en deux, donc à savoir à partir de quelle photo on passe aux femelles. Il y a aussi les entrainement en fin de matinée ensuite et les courses de l'après-midi que je n'ai photographiées que partiellement. Galerie Voici l'ensemble des photo regrouppées en zip dans deux tailles différentes (même format que dans la galerie, et un peu plus gros pour utiliser comme fonds d'écran). 800x600 1024x728 J'ai toujours eu un faible pour le rouge (la robe, pas la casaque), finalement c'est ce qui passe le mieux en photo :D
  9. Les photos sont librement copiables, mais j'en ferai des pack sous plusieurs formats lorsqu'elles auront toutes été traitées. Ce sera plus pratique. Pour le catalogue, je voudrais séparer les courses mâles des courses femelles (faire deux galeries), dans la mesure il y a plus de 200 clichés en tout. (Dommage que ton avatar ai changé, Ilan (?) était très sympathique avec son air placide).
  10. Finalement il y en a un peu trop pour tout faire ce soir... Lien Si quelqu'un doté du catalogue sait me dire où s'arrêtent les courses des mâles et où commencent celles des femelles, je suis tout ouïe.
  11. L'hypothèse ne serait-elle pas une colonisation de toute l'Eurasie (et l'Afrique) par un ancêtre commun graïoïde (c'est à dire ayant les caractéristiques générales d'un lévrier) qui se serait différencié (plus ou moins de poils, etc) selon les territoires où il s'installait ? (je fais le parallèle avec les hominidés qui sont censés avoir colonisé le monde en partant de l'Afrique). Si ces races étaient popularisées et élevées en Europe, la "civilisation" du caractère serait pratiquée par sélection, comme c'est le cas sur les races de lévriers reconnues chez nous. ------------------------------------------------------------------------------------- Dans le document en lien au début, à l'avant-dernière page, il y a un lévrier blanc avec un tête assez particulière qui rappelle celle du... barzoi ? (après tout le Nord de la Chine (d'où sont crédité ces photos), c'est aussi le Sud de la Russie).
  12. Quelle était la longueur du circuit ? Il m'a paru assez long (et c'est tant mieux :) ).
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