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Janick11

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Tout ce qui a été posté par Janick11

  1. toujours se laver les mains après avoir joué avec leurs animaux et évitez, dans la mesure du possible, les grands coups de lichette dans la figure! Comme vétérinaire, je me suis toujours donné comme discipline de me laver les mains entre chaque examen, l’objectif étant d’éviter de transmettre des maladies d’un animal à l’autre. Ce nettoyage a aussi comme but de faire disparaître l’odeur du patient précédent, ce qui bien souvent, peut perturber le suivant, surtout dans le cas des chats. Mais une récente étude publiée en début d’année dans le American Journal of Veterinary Research, me laisse croire que ce simple geste pourrait bien m’avoir épargné quelques problèmes de santé. En effet, ne pas se laver les mains après avoir touché un chien, pourrait entraîner le développement de la bactérie Escherichia coli (E. coli), susceptible d’engendrer des gastro-entérites, infections urinaires, méningites ou septicémies chez l'être humain. C’est du moins la conclusion à laquelle en arrive Dre Kate Stenske, maître assistante clinique au Collège de médecine vétérinaire à l'Université de l'État de Kansas. Il est important de spécifier que la bactérie E. coli, localisée dans le système gastro-intestinal des humains et des chiens, ne provoque pas de problèmes, sauf si elle acquière des gènes qui la rendent résistante aux antibiotiques. L'étude qui a examiné l’ADN de la bactérie retrouvée dans des échantillons d'excréments de chiens et de leurs propriétaires, a constaté que 10 % des humains et leur chien partagent la même souche de E. coli. De plus, la bactérie est plus résistante aux antibiotiques communs que prévu, mais les humains présentent plus de souches résistantes à plusieurs médicaments que leur chien. Les chiens sont alors moins susceptibles de propager la bactérie E. coli résistante aux hommes, mais ils peuvent la transmettre aux chiens. Le plus étonnant dans cette étude, c’est que le fait de partager son lit avec son chien ou de se laisser lécher le visage, n’augmente pas le risque de contracter les souches de la bactérie E. coli. Heureusement, car il semblerait qu’aux États-Unis, plus de la moitié des personnes couche avec leur chien et se laisse embrasser par celui-ci! Il n’en reste pas moins qu’il serait très imprudent de conclure qu’il n’y a aucun danger de se faire lécher le visage par les animaux. Il existe de nombreuses autres bactéries (pasteurella, staphyloccocus, streptococcus, pseudomonas, actinomyces, neisseria, fusobacterium, corynebacterium…) présentes dans la gueule des animaux qui peuvent provoquer des infections sévères chez les humains. Ce qui est aussi vrai pour les autres espèces, par exemple, la salmonellose présente chez 77 % des lézards, 85 % des tortues et 92 % des serpents! En conclusion, enseignez à vos enfants de toujours se laver les mains après avoir joué avec leurs animaux et évitez, dans la mesure du possible, les grands coups de lichette dans la figure! ---------- lu sur http://www.veterinet.net/
  2. Mon chaton à la grippe Muslix est le cadeau de Noël des enfants. Il a été acheté à la hâte parmi les emplettes de Noël. Les parents n’avaient pas porté attention aux éternuements de Muslix lors de son achat, trop affairés qu’ils étaient à poursuivre leur liste de cadeaux. Muslix est un chaton timide, un peu réservé et pas trop intéressé aux enfants. Par contre, ses éternuements font bien rire le plus jeune… La famille commence à se poser des questions quelques jours après son achat, lorsque Muslix cesse de manger et que ses yeux et ses narines se remplissent de pus. J’examine Muslix et je découvre un petit chaton tout maigre et tout faible. Il a une conjonctivite purulente aux deux yeux et une sinusite très sévère. Le pus qui obstrue ses narines rend sa respiration laborieuse et l’empêche de sentir sa nourriture, qu’il délaisse bien naturellement. Il fait un peu de fièvre, ce qui contribue aussi à sa baisse d’appétit. Le diagnostic est facilement établi : SYNDROME RESPIRATOIRE FÉLIN. Le SYNDROME RESPIRATOIRE FÉLIN est une infection respiratoire à la fois très répandue et très contagieuse, surtout chez les chatons. Deux virus en sont responsables, soit le CALICIVIRUS ou l’HERPESVIRUS. Les deux virus sont très difficiles à différencier l’un de l’autre. Les symptômes sont en effet très similaires quoique le calicivirus peut causer des ulcères dans la bouche et l’herpesvirus des ulcères sur les yeux. L’infection respiratoire causée par le virus de l’herpes se nomme rhino-trachéite infectieuse. La chlamydiose peut aussi causer une conjonctivite mais les signes respiratoires sont en général beaucoup moins sévères. Ma technicienne administre un soluté sous-cutané à Muslix afin de palier à sa déshydratation. Je lui prescrit un onguent ophtalmique et des antibiotiques pour la maison. Les antibiotiques n’agissent pas directement sur les virus mais ils traiteront l’infection bactérienne qui les accompagne et qui est responsable des sécrétions nasales. Les propriétaires sont instruits de toujours bien dégager les narines de Muslix à l’aide d’une gauze et de réchauffer sa nourriture en conserve au micro-ondes afin d’en augmenter les arômes. Il sera bien important de le stimuler à manger durant les prochains jours. Il faudra porter une attention toute particulière à l’autre chat de la maison qui n’est malheureusement pas vacciné et qui risque donc lui aussi de développer les mêmes symptômes. C’est seulement lorsque Muslix sera parfaitement rétabli qu’il pourra recevoir ses premiers vaccins. Les propriétaires sont aussi informés qu’il existe un certain risque que Muslix devienne porteur à vie de ces virus. Dans cette éventualité, Muslix pourrait souffrir de sinusite chronique et même d’ulcères de la cornée. Il n’existe pas de traitements pour éliminer complètement ces virus mais certains produits comme la lysine peuvent diminuer la fréquence et la sévérité des récidives reliées au virus de l’herpes. Heureusement, c’est un Muslix en pleine forme, espiègle et enjoué qui reçu ses premiers vaccins 10 jours plus tard. Les enfants l’adorent même s’ils le trouvent un peu trop tannant! N.B. Malheureusement, nous avons dû traiter entre temps l’autre chat de la famille pour une sinusite… Dre Brigitte Lasnier ----- lu sur http://www.veterinet.net/s
  3. Le cancer du sein Pourquoi parler du cancer du sein dans une chronique vétérinaire? Tout simplement pour tracer un parallèle avec une situation similaire que nous vivons aussi en médecine vétérinaire. En effet, si on sait qu’au Canada cette forme de cancer est la plus répandue chez les femmes, chez les animaux, les tumeurs mammaires représentent la troisième forme la plus fréquente diagnostiquée chez les chattes. Ces tumeurs surviennent principalement chez les femelles dont l’âge moyen se situe entre 10 et 12 ans. Entre 80 % et 96 % des tumeurs mammaires félines sont très malignes. Elles envahissent les tissus avoisinants et forment des métastases aux ganglions et aux poumons. Le temps de survie moyen est généralement de moins d’un an. Des études chez plusieurs espèces ont démontré que les estrogènes, la progestérone, la prolactine et l’hormone de croissance affectent la croissance des tissus mammaires bénins et néoplasiques. Une exposition prolongée aux hormones sexuelles induit la prolifération de cellules épithéliales, ce qui facilite l’accumulation d’erreurs génétiques puis l’apparition de néoplasmes. La meilleure méthode pour prévenir ce cancer foudroyant chez les chattes reste sans aucun doute la stérilisation. Les études révèlent que les chattes ayant été stérilisées avant l’âge de six mois, démontrent une réduction de 91 % du risque de développer un carcinome alors que la réduction du risque passe à 86 % si opérées entre l’âge de six mois et un an. La stérilisation réalisée après un an d’âge a peu d’effets protecteurs, la réduction du risque de développer un carcinome passant à 11 % seulement. Voilà une autre excellente raison de faire stériliser vos chattes! Toutefois, si par malheur votre chatte a été stérilisée après l’âge d’un an ou après avoir eu une portée et que vous avez peur qu’elle développe un cancer, voici ce que vous devez faire. Passez votre main sur sa bedaine au moins à tous les trois mois afin d’y palper toute présence de nouvelles masses suspectes. Consultez votre vétérinaire annuellement pour un examen de santé complet et une palpation des mamelles de votre chatte. Si une petite bosse anormale apparaît, une aspiration pour analyse cytologique des tissus sera effectuée afin de déterminer le type exact de tumeur. Par la suite, advenant le résultat, votre vétérinaire vous suggérera des tests complémentaires et des radiographies. Finalement, une chirurgie pour retirer la masse et si nécessaire un protocole de chimiothérapie seront offerts afin de réduire la progression de la maladie. Prévention, dépistage rapide et intervention immédiate sont les clefs du succès dans ce combat impitoyable contre une maladie que l’on voudrait bien voir disparaître de la surface de la terre! Dr Michel Pepin m.v ----- lu sur http://www.veterinet.net/
  4. Méfiez-vous de la résorption dentaire! Avant de lire cette chronique, et si vous avez un chat, je vous suggère de lui ouvrir la gueule et de bien observer ses dents à la jonction de la gencive… Maintenant que c’est fait et que vous avez toujours vos doigts pour feuilleter votre magazine préféré ( !), avez-vous remarqué la présence de petites lésions qui ressemblent à des caries à la base de certaines dents? Si tel est le cas, votre chat souffre peut-être de résorption dentaire. Cette pathologie peu fréquente dans les années 60 pourrait être reliée, selon un chercheur, le Dr Alexander. Reiter, vétérinaire spécialisé en dentisterie à l’Université de Pennsylvanie, à un excès de vitamine D3 dans une multitude de diètes commerciales. Bref, l’hypervitaminose D pourrait agir en causant une dégénération du cément qui permet l’accrochage du ligament parodontal et de l’os alvéolaire à la racine de la dent. Au début, les lésions apparaissent comme une petite boule de chair au bord de la gencive. Puis, selon le stage d’évolution, il y aura perte du tissu dur (cément et émail) et par la suite, atteinte de la dentine et des structures internes de la dent. Tout cela associé à une intense douleur et une sévère inflammation de la gencive. Pour poser le bon diagnostic, votre vétérinaire devra procéder à des radiographies dentaires afin de connaître l’état de la dent. Dans bien des cas, le seul traitement restera l’extraction complète. Toutefois, depuis peu, les spécialistes suggèrent de couper la dent à la base de la gencive et de laisser la racine en place. Cette dernière se résorbera avec le temps pour être remplacée par du tissu osseux, ce qui stabilisera la mâchoire. Par le passé, cette atteinte dentaire a porté plusieurs noms : caries félines, lésions cervicales, lésions du cou, lésion féline et plus récemment, lésions de résorption odontoclastique féline. Peut-être dans quelques années, le terme maintenant accepté de résorption dentaire féline, changera à nouveau de dénomination. Mais une chose demeure, cette maladie continuera à faire des ravages puisqu’on estime que 50 % des chats pourraient en être atteints. Entre temps, il est toujours conseillé d’utiliser une diète de très bonne qualité et bien balancée au niveau des minéraux et suppléments, de bien brosser les dents de votre chat et à l’occasion, lors de l’examen de santé annuel, de procéder à la prise de radiographies dentaires. ----- sur lu http://www.veterinet.net/ J'ai mis la photo .. mais je ne vois rien ... quelqu'un ayant un chat peut il me dire s'il voit qq chose d'anormal et spécialement la fameuse boule dont il parle dans l'article ?
  5. Dans l’œil du chat! Nous plongeons cette semaine notre regard dans l’œil du chat... Fascinant et mystérieux pour certains, horrifiant et hypocrite pour d’autres, ces yeux ne laissent personne indifférent. Mais au-delà de l’apparence, savons-nous vraiment comment les félins perçoivent le monde qui les entoure? Voici donc pour vous, les mystères dévoilés! Comment voit-il la nuit? Tout d’abord, le chat ne voit pas dans l’obscurité totale, il a besoin d’un filet de lumière pour s’y retrouver. Par contre, il possède la faculté d’agrandir sa pupille au maximum afin de capter le moindre rayon lumineux. De plus, une membrane réflectrice située derrière la rétine (le tapetum) agit à la manière d’un miroir permettant à cette petite lueur d’être réfléchie à nouveau à travers la rétine. Si on ajoute le fait que celle des chats compte plus de cônes (cellules sensibles à la lumière) que les humains, on comprend que les félins sont mieux outillés pour partir à la chasse lorsque l’astre du jour disparaît. Selon différentes sources, ce petit nyctalope (doué pour voir la nuit) aurait besoin de six fois moins de clarté que l’homme pour distinguer un objet. Comment voit-il le jour? Même si le chat adore se coucher au soleil, ses yeux redoutent son éclat. C’est ce qui explique que sa pupille prend la forme d’une simple fente verticale afin d’amenuiser lumière qui s’imprime sur sa rétine. Évidemment, cela réduit aussi la qualité des images qui lui sont transmises, lui qui a déjà de la difficulté à voir de loin avec une acuité visuelle environ trois fois moins bonne que nous. C’est dire d’un objet que nous pouvons apercevoir à 30 mètres ne sera visible pour lui qu’à 10 mètres. De plus, les chats sont bichromate, c'est-à-dire que leur rétine ne contient que deux formes de cellules en forme de cônes, les uns pour la couleur bleue et les autres pour la couleur verte. Aucun pour le rouge. Inutile donc de lui acheter des jouets de cette couleur, car il est incapable de la distinguer. Sa vision de la vie tourne davantage entre le bleu indigo et le vert jaune… Par contre, tout n’est pas perdu puisque sa grande force se situe plutôt dans une excellente capacité de percevoir des mouvements, ce qui est très utile pour chasser. De plus, sa vision binoculaire (100 à 130 degrés) et semblable à la nôtre (110 à 130 degrés), est supérieure au chien (80 à 110 degrés). Elle lui permet de bien évaluer les distances, afin de pister ses proies ou pour effectuer des sauts. Finalement, le champ de vision panoramique du chat (250 à 280 degrés) surpasse celui des humains (170 à 190 degrés), ce qui lui lui offre l’opportunité de voir ce qui se passe non seulement en avant, mais aussi sur les côtés. Voilà, vous savez maintenant comment les chats vous perçoivent! ------------------ lu sur Dans l’œil du chat! Nous plongeons cette semaine notre regard dans l’œil du chat... Fascinant et mystérieux pour certains, horrifiant et hypocrite pour d’autres, ces yeux ne laissent personne indifférent. Mais au-delà de l’apparence, savons-nous vraiment comment les félins perçoivent le monde qui les entoure? Voici donc pour vous, les mystères dévoilés! Comment voit-il la nuit? Tout d’abord, le chat ne voit pas dans l’obscurité totale, il a besoin d’un filet de lumière pour s’y retrouver. Par contre, il possède la faculté d’agrandir sa pupille au maximum afin de capter le moindre rayon lumineux. De plus, une membrane réflectrice située derrière la rétine (le tapetum) agit à la manière d’un miroir permettant à cette petite lueur d’être réfléchie à nouveau à travers la rétine. Si on ajoute le fait que celle des chats compte plus de cônes (cellules sensibles à la lumière) que les humains, on comprend que les félins sont mieux outillés pour partir à la chasse lorsque l’astre du jour disparaît. Selon différentes sources, ce petit nyctalope (doué pour voir la nuit) aurait besoin de six fois moins de clarté que l’homme pour distinguer un objet. Comment voit-il le jour? Même si le chat adore se coucher au soleil, ses yeux redoutent son éclat. C’est ce qui explique que sa pupille prend la forme d’une simple fente verticale afin d’amenuiser lumière qui s’imprime sur sa rétine. Évidemment, cela réduit aussi la qualité des images qui lui sont transmises, lui qui a déjà de la difficulté à voir de loin avec une acuité visuelle environ trois fois moins bonne que nous. C’est dire d’un objet que nous pouvons apercevoir à 30 mètres ne sera visible pour lui qu’à 10 mètres. De plus, les chats sont bichromate, c'est-à-dire que leur rétine ne contient que deux formes de cellules en forme de cônes, les uns pour la couleur bleue et les autres pour la couleur verte. Aucun pour le rouge. Inutile donc de lui acheter des jouets de cette couleur, car il est incapable de la distinguer. Sa vision de la vie tourne davantage entre le bleu indigo et le vert jaune… Par contre, tout n’est pas perdu puisque sa grande force se situe plutôt dans une excellente capacité de percevoir des mouvements, ce qui est très utile pour chasser. De plus, sa vision binoculaire (100 à 130 degrés) et semblable à la nôtre (110 à 130 degrés), est supérieure au chien (80 à 110 degrés). Elle lui permet de bien évaluer les distances, afin de pister ses proies ou pour effectuer des sauts. Finalement, le champ de vision panoramique du chat (250 à 280 degrés) surpasse celui des humains (170 à 190 degrés), ce qui lui lui offre l’opportunité de voir ce qui se passe non seulement en avant, mais aussi sur les côtés. Voilà, vous savez maintenant comment les chats vous perçoivent!
  6. Ne vous laissez pas berner par les ronronnements! Le ronronnement, voilà un outil de séduction pour réclamer de la nourriture que les chiens n’auront jamais! Oui, j’ai bien dit séduction! En effet, au cours de l’été 2009, une étude sur le ronronnement publiée dans la revue scientifique britannique Current Biology confirme cette hypothèse. La chercheuse et biologiste, Karen McComb a réalisé cette découverte en observant attentivement son chat Pepo alors qu’il exigeait sa nourriture. En plus de miauler, celui-ci émettait un ronronnement particulièrement désagréable à l’oreille humaine, et ce, à chaque fois qu’il voulait signifier à sa maîtresse, son désir de manger. C’est ainsi que l’idée d’une recherche sur le sujet lui est venue. Elle a donc enregistré le ronronnement de plusieurs chats, et ce, dans différentes situations allant du matou totalement affamé à la chatte béate de bonheur suite à des caresses. Puis elle a fait écouter ses bandes sonores aux propriétaires qui dans 80 % des cas ont réussi à reconnaître le « son » de leur chat. Mme McComb, spécialiste de la communication vocale des mammifères à l'université du Sussex à Brighton (Royaume-Uni), a ainsi découvert que dans le ronronnement signifiant « j’ai faim », se cachait un pic de fréquence (1 090 hertz) plus élevé que dans le ronron habituel. Cette haute fréquence constituerait une sorte de message subliminal émis par le chat pour signifier une situation d’urgence incluant la volonté immédiate de manger. En retravaillant la bande sonore et en enlevant ce pic de fréquence strident et pleurnichard, pour ne laisser que le ronronnement de base, les propriétaires n’étaient plus en mesure de reconnaître aussi facilement l’appel « de détresse » de leur chat. La chercheuse en est venue à la conclusion que ce ronronnement de sollicitation similaire aux pleurs d’un bébé pour les parents, permettait aux chats d’obtenir ce qu’il voulait de leurs maîtres sans avoir à miauler, ce qui pour certains propriétaires est plutôt rebutant. Toutefois, pour que cela fonctionne, il faut une maison calme avec une interaction directe entre le chat et le maître. Dans un foyer bruyant où il y a des enfants ou d’autres animaux, le bon vieux miaulement à fendre l’âme est encore l’arme de destruction massive de prédilection pour convaincre le maître qu’il est temps de manger! Rappelez-vous que le ronronnement destiné aux humains, exprime non seulement le besoin d’affection et de soins, mais traduit aussi des émotions comme le stress, la confiance, l’abandon ou la satisfaction. Entre chats, il indique le statut social ou le degré de soumission. Ainsi, la prochaine fois que votre chat viendra sur vos genoux ou se frottera sur vos jambes en ronronnant, soyez conscient qu’il essai peut-être de vous « hypnotiser » pour parvenir à ses fins en calmer sa faim! Comment fonctionne le ronronnement! Au fil des décennies, plusieurs hypothèses ont été envisagées afin d’expliquer l’origine physique du ronronnement. Ce serait la conséquence de contraction très rapide du larynx (20 à 30 fois par seconde) qui provoquerait des modifications de configuration de la glotte. Au début, il y a rétrécissement de la glotte, ce qui crée une augmentation de la résistance et de la pression. Puis, il y a une ouverture rapide des cordes vocales qui entraîne cette fois-ci une diminution de la pression. C’est cette variation de pression qui crée la résonance engendrant le ronronnement. Pendant l’inspiration, on observerait aussi des décharges électromyographiques diaphragmatiques en alternances avec celles du larynx. Le chat ronronne donc grâce à son larynx et la stimulation du diaphragme l’aide à mieux respirer pendant cette période. Il faut aussi ajouter que l’os hyoïde des chats qui est situé, tout comme nous, au niveau du larynx, possède quelques caractéristiques morphologiques légèrement différentes, ce qui explique sa capacité à ronronner. Bref, le chat ronronne à l’aide d’une particularité physique de son larynx, la conservation d’un comportement juvénile et surtout d’une volonté de vouloir communiquer. ----------------------------- lu sur http://www.veterinet.net/
  7. Je ne le connais pas. A regarder l'intérieur avant .. peut être un cadeau .... ----------------------------- Pourquoi mon chien déchiquette mes chaussettes En 71 questions-réponses, ce livre aborde une variété de thématiques sur les animaux qui nous entourent: - les comportements quotidiens, - les parades amoureuses, - les modes de communication, - les comportements alimentaires, - les sentiments. Un angle d’attaque dynamique : des questions farfelues et drôles, qui mettent le doigt sur les bizarreries du monde animal. Avec des explications précises et simples, et une ambition pédagogique sérieuse. Un livre plein de surprises et d'interactivités, instrument de savoir et de découverte à partir de 7 ans. L'auteur : Martine Laffon est docteur en philosophie. Elle est auteur de nombreux livres pour enfants, parmi lesquels les « Livres des comment et des pourquoi ». Elle vit à Viroflay. Caroline Laffon est l’auteur de plusieurs romans pour la jeunesse et co-auteur « d’Enfants d’ailleurs racontés aux enfants d'ici » (DLMJ, 2001). Elle vit à Paris. Anne Simon, diplômée des Beaux-Arts d’Angoulême puis des Arts déco de Paris, travaille pour la presse jeunesse (Okapi, Astrapi, Je Bouquine) et l'édition (Larousse, Gallimard Jeunesse, Folio Junior...). Elle a illustré « Nous, les 14-17 ans » ( coll. Hydrogène). Elle vit à Paris. ---------- lu sur http://www.veterinet.net/
  8. Janick11

    Le koala

    un koala sauvé par les pompiers. Le koala oublie sa peur pour boire l'eau offert par le pompier
  9. Découvrez le solenodon, un mammifère venimeux rarissime filmé dans son milieu naturel Paru le 2009-01-14 12:33:00 La capture d'un solenodon, animal en voie d'extinction très rarement observé dans son milieu naturel, constitue un événement scientifique. Cette séquence est l'une des rares à avoir été réalisée permettant d'observer ce curieux animal, l'un des seuls mammifères venimeux au monde, en train d'évoluer dans la nature, sur l'île d'Hispaniola. Île d'Hispaniola, Haïti/République Dominicaine - L'association de protection de la nature Durrell Wildlife Conservation Trust a étudié et filmé un solenodon, mammifère en voie d'extinction très rarement observé et endémique des îles de Cuba et d'Hispaniola. Après un bilan de santé et un prélèvement ADN, le tout immortalisé en vidéo, l'animal a été relâché dans son milieu naturel. Le Durrell Wildlife Conservation Trust a capturé ce spécimen durant une campagne de recensement des populations animales de l'île. Ressemblant à des musaraignes géantes, les solenodons sont des animaux rares et méconnus. D'une grande valeur scientifique car très proches des mammifères primitifs qui évoluaient sur la Terre des dinosaures, ces animaux possèdent des caractéristiques surprenantes comme celle de produire une salive empoisonnée, s'écoulant par des sillons parcourant leurs secondes incisives inférieures. Une caractéristique qui en fait un des rares mammifères venimeux au monde. ----- lu sur http://www.maxisciences.com/solenodon/decouvrez-le-solenodon-un-mammifere-venimeux-rarissime-filme-dans-son-milieu-naturel_art585.html
  10. Des papillons à l'ouïe fine L’appareil auditif des papillons De nombreux papillons de nuit possèdent un système auditif, situé sur le thorax, dans de petites cavités fermées par une fine membrane. Ce système auditif est composé de quelques cellules réceptrices, sensibles aux vibrations et aux stimulations sonores. Les principales fréquences perçues sont situées entre 3 000 et 100 000 Hertz, correspondant à une gamme variée de sons, comprenant notamment les ultrasons. Tendre l’oreille pour échapper aux prédateurs… Les récepteurs auditifs des papillons de nuit leur permettent de repérer les chauves-souris. En effet, celles-ci émettent des ultrasons par leur système d’écholocalisation, auxquels sont sensibles les papillons. Ainsi, lorsqu’une chauve-souris arpente la nuit en quête de nourriture, et émet des ultrasons pour se localiser et repérer ses prédateurs, elle est repérée par les papillons de nuit. Ils leur reste alors encore une chance de s’échapper… Chez la plupart des papillons, cela se traduit par un comportement d’évasion, comme un changement brusque de direction, ou une chute au sol. Les papillons ont donc l’ouïe fine, et sont capables d’ajuster leur système auditif aux variations de sons émis par les chauves-souris. Cela a été démontré lors d’une étude sur la Noctuelle fiancée (Noctua pronuba), dont la sensibilité du système auditif change en fonction des changements de fréquences du prédateur. Cette étude montre aussi que le papillon est capable de parer une nouvelle attaque lorsque la chauve-souris s’en va, car son ouïe reste en alerte plusieurs minutes après le départ de cette dernière. … et tromper l’oreille des prédateurs Les liens étroits entre les papillons et leurs prédateurs sont à l’origine d’évolutions impressionnantes… En effet, des études montrent que certains papillons de nuit émettent eux aussi des ultrasons perçus par les chauves-souris. Les chauves-souris ont ainsi « appris » à reconnaître les fréquences des papillons toxiques, et ne les comptent pas à leur menu. Mais ça ne s’arrête pas là, car certaines espèces pourtant non toxiques sont, elles aussi, évitées par les chauves-souris car elles « imitent » les espèces toxiques en produisant les mêmes fréquences, associées pour les chauves-souris à la toxicité. ------------- lu sur http://www.noeconservation.org/index2.php?rub=12&srub=31&ssrub=98&sssrub=433&goto=contenu# malin le papillon !
  11. géniale Pelisse ! j'aime bien celles sous les draps .. et celle où elle rentre dans l'armoire !!
  12. non ne t'inquiète pas : je vais rajouter 15 jours (j'ai mis ce concours en pensant aux photos de tesa que tu avais mis cet été) Pour l'instant je ne touche à rien : easyforum le précise dans son forum d'aide : ne rien modifier, cela vient d'eux. Ils font des changements depuis 2 semaines et c'est ce qui pose pb (photos smilies ...) Je mettrai un mot et de nouvelles rubriques quand tt sera fini.. pour l'instant j'hésite. Bonne semaine à tous
  13. """ Je rencontrais Capucine pour la première fois : une gentille femelle labrador noire de presque dix ans, douce et calme. Dre Berthiaume l’avait vaccinée le mois dernier et sa propriétaire lui avait mentionné que Capucine avait développé une nouvelle habitude, celle de se lécher un orteil à sa patte arrière droite. Dre Berthiaume avait remarqué l’enflure de cet orteil et avait suggéré qu’on le radiographie. Capucine ne boitait pas et semblait bien en forme. Pour cette raison, la procédure avait été retardée. Depuis deux à trois jours, Capucine boitait de cette patte et le léchage s’était intensifié. Son orteil était très enflé, ferme et douloureux. Des radiographies s’imposèrent : destruction suspecte de l’os de l’orteil… C’est avec beaucoup de regrets que j’ai expliqué à sa propriétaire que je suspectais fortement qu’il puisse s’agir d’un cancer des os. Il fallait anesthésier Capucine et pratiquer une biopsie osseuse afin de préciser le diagnostic. Il existe plusieurs types de cancers des os. Certains cancers des os sont tellement agressifs qu’on ne pouvait envisager une guérison. Au moment où ils étaient diagnostiqués, il était déjà trop tard car les cellules cancéreuses avaient déjà envahies d’autres organes. Certains cancers avaient un pronostic plus ou moins favorable à condition que l’on ampute la patte de l’animal à la hauteur de la cuisse. La propriétaire de Capucine rejetait d’emblée cette solution. Enfin, d’autres types de cancers avaient un pronostic plus favorable en autant que l’on puisse amputer l’orteil atteint. La propriétaire de Capucine désirait s’accorder un temps de réflexion. Capucine avait bientôt dix ans, elle n’était pas prête à la faire amputer, ne pouvait envisager de la faire euthanasier et ne voulait surtout pas qu’elle souffre… Je prescrivis des analgésiques à Capucine, question de tenter de la soulager temporairement. Lorsque je prélevai la biopsie, la condition de Capucine s’était grandement détériorée. Les analgésiques ne la soulageaient plus, l’orteil était très enflé, très douloureux et la peau qui le recouvrait commençait à nécroser. La biopsie nous apporta un soulagement relatif. Il s’agissait bel et bien d’un cancer que l’on nomme carcinome. Par contre, de tous ces mauvais scénarios, le carcinome était le cancer qui possédait le meilleur pronostic s’il était traité par une amputation de tout l’orteil. Capucine devrait s’en tirer avec une très faible possibilité de récidive et peut être avec une légère boiterie permanente puisqu’on lui enlevait un des orteils sur lequel reposait le plus gros de son poids. La chirurgie et l’anesthésie se déroulèrent très bien. Des injections d’analgésique assurèrent à Capucine un réveil calme et sans douleur. Un bon bandage protégeait la plaie. Le lendemain de cette grosse chirurgie, Capucine ne mettait pas de poids sur sa patte mais elle était très coopérative et se laissait examiner sans aucune appréhension. Cinq jours plus tard, quel ne fut pas ma surprise de constater que Capucine était en excellente forme et se permettait même de marcher sur sa patte opérée sans la moindre boiterie! Je refis le bandage et lui donna rendez-vous six jours plus tard pour enlever ses points. Au retrait des points, une légère inflammation temporaire persistait au niveau de la plaie. Capucine était enjouée, ne recevait plus d’analgésique et marchait d’un bon pas. Sa propriétaire était ravie et je me félicitais d’avoir contribué à leur fournir quelques années supplémentaires de bonheur! Le mot CANCER donne souvent des frissons car nous avons tendance à ne retenir que sa plus sombre expression. Par contre, plusieurs personnes sont sorties vainqueurs de ce dur combat et les nouvelles connaissances médicales nous permettent d’être à chaque année, toujours un peu plus optimistes… Heureusement, il en est de même pour de nombreux cancers chez nos animaux et Capucine en est le plus bel exemple! Dre Brigitte Lasnier Clinique Vétérinaire de l’Ile Jésus 3625, boul. Dagenais Fabreville 450-963-6612 www.ilejesus.infovet.ca """
  14. "" Mon chien saigne du nez ! Voir son chien saigner du nez est toujours une grande source d’inquiétude pour un propriétaire. Que faire? Est-ce grave? Dois-je me rendre chez le vétérinaire? Dans tous les cas, il faut demeurer calme et sécuriser l’animal qui très souvent, se mettra à éternuer à répétition afin d’éliminer le sang. Avec pour conséquence, d’augmenter la quantité de saignements. Vous pouvez appliquer une pression sur la truffe et éponger le sang avec un mouchoir, le temps que cela se calme. Ne restera qu’à trouver la cause si cela est possible. Il y a quelques mois, la revue Journal of American Veterinary Medical Association publiait les résultats d’une intéressante étude réalisée pendant six ans sur 176 chiens présentés aux urgences ou en clinique pour de l’épistaxis (saignements de nez). Premier constat, le saignement de nez est une entité relativement commune et les chiens mâles, âgés et de grande taille sont plus souvent représentés. Autre fait troublant, l’origine des saignements n’a pu être identifiée dans 38 % des cas, malgré des recherches poussées. C’est donc dire que si votre vétérinaire vous dit de ne pas vous inquiéter, surtout s’il n’a rien détecté, il y a lieu de le croire ! Toutefois, dans 62 % des cas, une cause a été trouvée et dans la majorité (78 %), elle est locale. C’est donc dire que c’est dans le nez que se situe le problème! Maintenant, voyons quels sont les différents ennuis que l’on peut rencontrer à ce niveau. En premier, nous retrouvons à égalité les tumeurs et les traumas, suivis des rhinites et très rarement des abcès. Les tumeurs étant plus fréquentes chez les chiens âgés et les blessures chez les jeunes. Les causes d’épistaxis qui ne sont pas reliées au nez sont plus rares et il faut chercher du côté des difficultés de coagulation. Comme mentionné au début, un chien qui saigne du nez a tendance à éternuer et vice-versa, un chien qui ne cesse d’éternuer pourrait finalement saigner du nez. C'est pourquoi il est très important de s’assurer que la bête ne souffre pas d’autres problèmes pouvant engendrer des rhinites chroniques et des éternuements à répétition. Évidemment, afin de poser le meilleur diagnostic possible, l’histoire du cas et différents tests (radiographie, rhinoscopie, bilan sanguin, biopsie) seront nécessaires. En fonction de la cause primaire de l’épistaxis, le traitement variera d’un simple repos à une éventuelle chirurgie. Mais quoi qu’il en soit, rappelez-vous qu’un saignement de nez n’est pas la fin du monde et que dans la très grande majorité des cas, cela ne cache rien de très grave. Par contre, si votre animal est âgé et que le sang réapparaît à l’une ou deux des narines à quelques jours ou semaines d’intervalle, il serait plus prudent de consulter. Dr Michel Pepin " lu sur http://www.veterinet.net/
  15. J'ai hésité à mettre cet article mais puisque c'est un site de véto et qu'il a eu le cas ... autant connaître ---------- """ Les dangers du pot! Il y a une vingtaine d’années, alors que je pratiquais à Rimouski, trois jeunes adolescents un peu paniqués, se sont présentés à ma clinique avec un petit caniche totalement inconscient. La mère de l’un d’entre eux, propriétaire du chien, devait revenir à la maison le lendemain et ils ne voulaient surtout pas qu’il arrive quoi que ce soit à l’animal qui venait d’avaler ce que l’on appelle une « bitte de hasch»… Le hasch, ou si vous préférez le haschisch, est une résine brune ou noire, vendue au gramme et fabriquée à partir du cannabis. On évalue que l’ingestion orale d’un gramme par trois kilogrammes de poids est suffisante pour tuer un chien. Et ce sont surtout les chiens qui sont susceptibles de souffrir d’intoxication en raison de leur avidité légendaire! Que ce soit suite à l’ingestion orale de cannabis sous forme de haschisch ou de marijuana en feuille ou même à l’inhalation de fumée secondaire, les symptômes seront plus ou moins variables en fonction de la quantité de tétrahydrocannabinol ingéré. On remarquera qu’une heure après l’absorption, le chien présentera une modification de son comportement psychique et moteur. Il pourrait refuser d’obéir à son maître et même devenir agressif. Puis, il éprouvera des difficultés à se déplacer, perdant l’équilibre ou s’appuyant sur les murs. Le chien semblera déprimé ou au contraire très excité avec des périodes de faiblesses musculaires. Il pourrait réagir au moindre bruit, être victime d’hallucinations, avoir les yeux vitreux ou tomber dans un profond sommeil. A l’occasion, des vomissements pourraient être présents. Tous des symptômes qui pourraient aussi se confondre avec une méningo-encéphalite. Heureusement, la plupart du temps, les symptômes disparaîtront au bout de deux à trois heures. Il n’existe pas de traitement comme tel, sinon celui de sécuriser l’animal, d’éviter les accidents et de contacter son vétérinaire. Dans des cas sévères, on devra hospitaliser et mettre sous perfusion intraveineuse en attendant l’élimination complète de la drogue. La non-consommation est encore la meilleure des préventions! Il est aussi important de ne pas cacher ce fait à votre vétérinaire car le diagnostic, le traitement et le pronostic d’une encéphalite est bien différent d’une intoxication au cannabis! Et pour en revenir au petit caniche complètement « stone » du début, l’histoire s’est finalement bien terminée car le soir même, il avait retrouvé toute sa tête. Juste avant le retour de sa maîtresse…au grand soulagement des jeunes! D’ailleurs, si je me souviens bien, en venant récupérer le chien, ils m’ont avoué qu’ils avaient eu leur leçon. À partir de ce jour, plus question pour eux de toucher à la drogue… en présence du chien! Dr Michel Pepin """""" lu sur http://www.veterinet.net/
  16. ---------- ""Les tumeurs cutanées chez les chats et les chiens Chez le chien, les tumeurs cutanées et sous-cutanées sont les néoplasmes les plus fréquents. Ils représentent le tiers de toutes les tumeurs rencontrées chez cette espèce. L'incidence approximative est de un pour 250 chiens. Chez les chats, les néoplasmes cutanés et sous-cutanés, bien que moins fréquents que chez les chiens, sont sans doute aussi en tête de liste. Il faut de plus savoir que 20 à 30 % des tumeurs chez les chiens sont malignes alors que chez les chats, cette proportion atteint 50 à 65 %. Les néoplasmes cutanés et sous-cutanés vont habituellement se manifester chez les animaux plus âgés, peu importe le sexe. Bien que la cause directe de la majorité de ces tumeurs soit inconnue, certains cancers cutanés sont associés, comme c’est le cas chez les humains, à une exposition prolongée aux rayons ultraviolets du soleil. L’épithélioma spinocellulaire chez le chat, et l’hémangiosarcome chez le chien, sont des exemples de ces tumeurs dites « actiniques ». Chez les chiens, la tumeur la plus fréquente (plus de 20 % des cas) est le mastocytome. Selon le type de mastocytomes rencontrés, des métastases pourront être présentes et le pronostic pourra varier de très bon à très sombre (moins de six mois à vivre). Chez les chats, le néoplasme le plus souvent rencontré (15 à 26 % des cas) est celui des cellules basales. Il se retrouve chez les chats plus âgés (10 à 11 ans) et dans la majorité des cas, il est bénin. Bien que l'apparition d'une masse ou d'une bosse sur votre chat ou votre chien doit toujours être considérée comme suspecte, il ne faut pas croire qu'il s'agit toujours d'un cancer. Cela pourrait aussi bien être un abcès, un granulome, une réaction post-vaccinale, un corps étranger, un hématome, un kyste ou une panniculite. Cependant, si le diagnostic ne correspond à aucune de ces affections, il y a de fortes probabilités que cette bosse soit d'origine tumorale. Et dans ce cas, une bonne vingtaine de néoplasmes bénins ou malins se disputeront le triste honneur de revendiquer la maladie. C'est pourquoi, dès que vous constatez une masse suspecte, n'hésitez pas à consulter un médecin vétérinaire. Très rapidement -en fonction de la vitesse d'évolution, de l'âge de l'espèce et de la race de l'animal, de la localisation, de la forme et de la texture de la masse- il sera en mesure de vous donner la meilleure approche afin de gérer la situation. De plus en plus, les médecins vétérinaires vous suggéreront de procéder à une aspiration à l’aiguille fine et cytologie de la masse afin d’obtenir un diagnostic provisoire. Si c'est le cas, n'hésitez pas un seul instant. Une bonne connaissance de l'ennemi ne peut que nous aider à gagner la guerre. Par exemple, le mélanome qui est relativement commun chez les chiens est bénin à 75 % chez le doberman pinscher mais 85 % du temps malin chez le caniche miniature. C'est vous dire l'importance d'un bon diagnostic. Suite à une biopsie, qui bien souvent est une intervention mineure pour l'animal, le médecin vétérinaire ayant maintenant un diagnostic définitif sera en mesure de vous donner l'heure juste sur les autres démarches de diagnostic (par exemple, radiographies, prise de sang) et les traitements à effectuer, les chances de récidive et les complications possibles. Finalement, dites-vous que de nos jours, grâce à de nouvelles méthodes diagnostiques associées à la chirurgie et parfois la pharmacothérapie, il est possible d'offrir aux animaux porteurs de tumeurs cutanées, un pronostic très favorable, dans la très grande majorité des cas. Michel Pepin M.V. www.veterinet.net """""""""
  17. ---------- "" Les tumeurs cutanées chez les chats et les chiens Chez le chien, les tumeurs cutanées et sous-cutanées sont les néoplasmes les plus fréquents. Ils représentent le tiers de toutes les tumeurs rencontrées chez cette espèce. L'incidence approximative est de un pour 250 chiens. Chez les chats, les néoplasmes cutanés et sous-cutanés, bien que moins fréquents que chez les chiens, sont sans doute aussi en tête de liste. Il faut de plus savoir que 20 à 30 % des tumeurs chez les chiens sont malignes alors que chez les chats, cette proportion atteint 50 à 65 %. Les néoplasmes cutanés et sous-cutanés vont habituellement se manifester chez les animaux plus âgés, peu importe le sexe. Bien que la cause directe de la majorité de ces tumeurs soit inconnue, certains cancers cutanés sont associés, comme c’est le cas chez les humains, à une exposition prolongée aux rayons ultraviolets du soleil. L’épithélioma spinocellulaire chez le chat, et l’hémangiosarcome chez le chien, sont des exemples de ces tumeurs dites « actiniques ». Chez les chiens, la tumeur la plus fréquente (plus de 20 % des cas) est le mastocytome. Selon le type de mastocytomes rencontrés, des métastases pourront être présentes et le pronostic pourra varier de très bon à très sombre (moins de six mois à vivre). Chez les chats, le néoplasme le plus souvent rencontré (15 à 26 % des cas) est celui des cellules basales. Il se retrouve chez les chats plus âgés (10 à 11 ans) et dans la majorité des cas, il est bénin. Bien que l'apparition d'une masse ou d'une bosse sur votre chat ou votre chien doit toujours être considérée comme suspecte, il ne faut pas croire qu'il s'agit toujours d'un cancer. Cela pourrait aussi bien être un abcès, un granulome, une réaction post-vaccinale, un corps étranger, un hématome, un kyste ou une panniculite. Cependant, si le diagnostic ne correspond à aucune de ces affections, il y a de fortes probabilités que cette bosse soit d'origine tumorale. Et dans ce cas, une bonne vingtaine de néoplasmes bénins ou malins se disputeront le triste honneur de revendiquer la maladie. C'est pourquoi, dès que vous constatez une masse suspecte, n'hésitez pas à consulter un médecin vétérinaire. Très rapidement -en fonction de la vitesse d'évolution, de l'âge de l'espèce et de la race de l'animal, de la localisation, de la forme et de la texture de la masse- il sera en mesure de vous donner la meilleure approche afin de gérer la situation. De plus en plus, les médecins vétérinaires vous suggéreront de procéder à une aspiration à l’aiguille fine et cytologie de la masse afin d’obtenir un diagnostic provisoire. Si c'est le cas, n'hésitez pas un seul instant. Une bonne connaissance de l'ennemi ne peut que nous aider à gagner la guerre. Par exemple, le mélanome qui est relativement commun chez les chiens est bénin à 75 % chez le doberman pinscher mais 85 % du temps malin chez le caniche miniature. C'est vous dire l'importance d'un bon diagnostic. Suite à une biopsie, qui bien souvent est une intervention mineure pour l'animal, le médecin vétérinaire ayant maintenant un diagnostic définitif sera en mesure de vous donner l'heure juste sur les autres démarches de diagnostic (par exemple, radiographies, prise de sang) et les traitements à effectuer, les chances de récidive et les complications possibles. Finalement, dites-vous que de nos jours, grâce à de nouvelles méthodes diagnostiques associées à la chirurgie et parfois la pharmacothérapie, il est possible d'offrir aux animaux porteurs de tumeurs cutanées, un pronostic très favorable, dans la très grande majorité des cas. Michel Pepin M.V. www.veterinet.net """""""""
  18. --------------- "" « Quelle haleine! » «Bonjour Doc, je possède un caniche de 7 ans, qui je dois l’avouer me fait un peu honte lorsque nous avons de la visite. Il aime sauter sur les genoux des gens, mais il a tellement mauvaise haleine que cela en est gênant! » Vous avez entièrement raison, hormis l’odeur d’un chien qui pète tout près d’un invité, la mauvaise haleine d’un chien entreprenant est sans doute ce qu’il y a de plus déplacé dans la « bonne société »! Ma question est simple, qu’est-ce qui peut bien causer cette odeur? À première vue, ont pourrait être tenter de penser que cela provient d’une hygiène buccale insuffisante. Toutefois, il est important de savoir que l’halitose (mauvaise haleine) peut résulter d’une multitude de facteurs qui n’ont parfois rien à voir avec les dents. Par exemple, un chien souffrant de coprophagie (qui mange ses selles), qui lèche sans cesse une région infectée de son corps (plaie suintante, vaginite, abcès d’un sac anal) ou qui vient de dévorer des matières en putréfaction, pourrait avoir tout autant un souffle fétide. Il existe aussi des pathologies qui peuvent donner une mauvaise haleine et qui prennent leur origine à l’intérieur même de l’animal. Par ailleurs, si votre chien ou votre chat sont victimes d’une insuffisance rénale, il se peut que son taux d’urée sanguin soit augmenté et que son haleine dégage une forte émanation d’ammoniac. Il en sera de même pour une bête souffrant d’un diabète kétoacide. Certains reflux gastriques causés par des problèmes reliés au système digestif (constipation sévère, maladie inflammatoire des intestins, insuffisance pancréatique, pathologie de l’œsophage ou un cancer) devraient aussi être inclus dans un diagnostic différentiel. Du même souffle, il arrive parfois que des affections respiratoires d’origine bactérienne (sinusite, rhinites, pneumonie) provoquent aussi l’exhalation d’odeur nauséabonde. Pourtant, j’ai toujours pensé que la principale cause de mauvaise haleine provenait principalement de l’accumulation de tartre sur les dents Vous avez raison; dans la très grande majorité des cas, la source d’une haleine désagréable trouve son origine dans la gueule, mais le tartre dentaire n’est pas toujours la cause principale. Il peut arriver qu’un corps étranger, une tumeur, une brûlure, une piqure d’insecte, une pharyngite, une stomatite (affection de la langue), une infection des lèvres, des ulcères ou certaines maladies auto-immunitaires des muqueuses dégagent de mauvaises odeurs. C'est pourquoi l’examen attentif de la gueule est si important. Une cause pouvant en masquer une autre. Je sais que tout ce que je viens de vous raconter peut vous sembler inquiétant, mais dites-vous que malgré tout, dans la très grande majorité des cas, l’halitose est causé par une accumulation de tartre ou une infection des gencives? Par exemple, on estime que la gingivite est la maladie la plus fréquente chez nos animaux de compagnie et qu’elle toucherait près de 60% des chiens au dessus de 7 ans. Est-ce qu’un nettoyage de dents sera alors suffisant pour réduire la mauvaise haleine? Si par un nettoyage de dent vous entendez un simple brossage avec une brosse à dents ou le passage d’une curette comme l’offrent certains toiletteurs, il est entendu que cela ne règlera pas votre problème. Dans ce dernier cas, il se pourrait même que les stries causées dans l’émail favorisent la colonisation bactérienne et la reformation de plaque dentaire, suivis de tartre. Il est primordial de procéder à un bon examen dentaire incluant des radiographies afin de s’assurer que votre animal ne souffre pas d’une gingivite ou de parodontite (inflammation et infection de la gencive), d’un abcès dentaire, d’hyperplasie de la gencive, un déchaussement, une fracture dentaire ou une exposition de la pulpe. Toutes des conditions favorisants vous en conviendrez la mauvaise haleine. Dans plusieurs cas, l’utilisation d’antibiotique sera nécessaire associé à un détartrage à l’ultrason et à un polissage minutieux. Non seulement la dent devra être nettoyée en surface, mais aussi sous la gencive, source de nombreux problèmes. À qu’elle fréquence devrais-je faire examiner la gueule de mon chien et qu’elle garantie puis-je avoir que le problème ne reviendra pas au bout de quelques semaines? Évidemment dans le cas de la mauvaise haleine non directement reliée à une pathologie dentaire, le pronostic variera en fonction de la cause et des solutions applicables. Un bon brossage de dent devrait régler le désagrément d’un chien qui vient de fouiller dans une poubelle. Toutefois, l’halitose causée par l’insuffisance rénale prendra sans doute plus de temps. Pour ce qui est de la fréquence des examens, il n’y a aucun doute que chaque année, votre vétérinaire se doit de procéder à une bonne observation des structures de la gueule et parfois user de son odorat pour dépister tout changement suspect. Il faudra être beaucoup plus attentif avec certaines races de chiens (bichon, caniche, yorkshire) ou de bavardages-clavier (siamois, abyssin, rex) qui pour des raisons d’ordre génétriquel risquent de souffrir de problème dentaire à un âge plus précoce. Il est important de se rappeler que l’amoncellement de plaques est un phénomène naturel qui touche tout autant les animaux que les humains et qu’une consultation annuelle chez son vétérinaire correspond à environ une visite tous les quatre ans chez son dentiste. Normal qu’on ait l’impression que le tartre revient rapidement. C’est pourquoi, il est essentiel de non seulement assurer un bon suivit, mais aussi de faire un minimum de prévention. Pour ce faire, vous pouvez nourrir votre animal avec des nourritures sèches commerciales spécialement fabriquées pour amenuiser l’accumulation de la plaque. Je suggère aussi de rendre disponibles en tout temps des os à base de cuir brut, mais JAMAIS de vrais os. Certaines compagnies incorporent même un composé dentifrice à l’intérieur de ces os. Certains biscuits à chien (mais pas tous) sont maintenant élaborés pour réduire la plaque dentaire, mais méfiez-vous quand même un peu de la publicité parfois trompeuse. Vous pouvez aussi brosser les dents de votre animal avec une pâte dentifrice conçue pour lui dès son jeune âge afin de l’habituer. Récompensez-le après chaque séance. Dans un monde idéal, il faudrait lui brosser quotidiennement les dents. Mais si vous le faites deux à trois fois par semaine, ce sera déjà très bien! Dr Michel Pepin """""""""""""" lu sur http://www.veterinet.net/
  19. ------------------ ""Quand les coudes durcissent Il n’est pas rare chez certains chiens, de voir poindre à la pointe du coude, une callosité qui inquiète à tout coup les propriétaires. Au début, il n’y aura qu’une perte de poils, mais avec le temps, il pourrait y avoir formation d’une masse fibreuse de tissus peu esthétique L’origine du problème provient de la pression exercée sur cette partie non protégée de l’anatomie au moment ou l’animal se couche. Le point de friction qui sollicite continuellement le coude, mais aussi parfois le sternum et le tarse des membres arrière occasionne des lésions qui peuvent même dégénérer jusqu’à la formation d’un hygroma (inflammation des bourses séreuses localisée aux points de jonction des articulations). C’est un peu comme si l’animal développait d’énormes ampoules sous-cutanées causées par le frottement des coudes sur des surfaces trop fermes. Si rien n’est fait, cette pression peut provoquer des dommages importants aux tissus allant de l’ulcération à l’infection bactérienne ainsi qu’une atteinte osseuse. Le traitement consiste à éviter que le chien ne couche sur des surfaces dures (un bon coussin est souvent la réponse). Dans certains cas, il peut être conseillé de nettoyer la région avec une solution de chlorhexidine et même d’appliquer des pommades hydratantes. Dans les cas très sérieux, une ponction du liquide, un bandage compressif pendant plusieurs semaines et même une chirurgie peut devenir nécessaire pour réduire la quantité de liquide accumulée et éviter les complications. En conclusion, si vous possédez un grand chien maigre qui adore se laisser tomber par terre, ou qui aime se coucher sur du béton ou du bois franc, prenez soin de ses petits coudes en lui offrant au moins un coussin confortable pour la nuit! Et si vous voyez poindre une petite masse sur le coude, ne prenez pas cela à la légère. Il est plus facile d’intervenir au départ qu’à l’arrivée! En ce qui concerne les chats, ne vous inquiétez pas; ils ont d’instinct toujours la bonne idée de choisir l’endroit le plus confortable et le plus douillet pour se reposer les coudes! """"""" lu sur http://www.veterinet.net/
  20. coucou ce sont des photos qu'il nous faut pas des phrases
  21. - perso on a choisi une médaille qui pend : du chiot à adulte il te faut plusieurs colliers, outre que tu auras sans doute à lui changer 1 ou 2 fois adulte (abimée par l'eau de mer par exemple). La plaque rivetée devient alors trop chère ! - Par contre, on ne l'a pas faite gravée : mon mari a une machine dymo ce qui permet lors de changement de domicile ou de téléphone de le changer nous même sans frais. A 10 ans ils ont tous encore leur 1ère médaille. Si tu veux graver quelque chose, grave le nom et prénom sous lesquels elle sera connue auprès de la société centrale canine (toi ou ?) (je suppose qu'elle sera "pucée" ? j'avais trouvé un chat avec une puce ... l'inconvénient c'est qu'il faut un appareil et donc l'amener à un véto ... si elle est tatouée, facile de téléphoner à un véto pour qu'il consulte la SCC. Si elle a une puce, déjà avec nom et prénom donnés à la CC, le véto peut déjà trouver un minimum d'information) Nos chiens ont toujours plusieurs N° de téléphone inscrits en ordre d'importance: portable (indispensable si tu es en vacances par exemple) , fixe (le tien et éventuellement une personne de la famille), outre le code postal et la ville. L'avantage de la machine dymo : tu pars très loin : tu mets ton portable .... et la ville où tu es en vacances. On n'a pas mis le nom du chien. J'avais lu qu'il ne valait mieux pas : en cas de vol et récupération, ton chien te répondra à toi qui connait son nom, et pas à celui qui serait censé être le vrai propriétaire et l'aura volé. -D'autres informations .... oui je pense qu'aujourd'hui il est bon de mettre chien "pucé" .. car beaucoup de personnes ne connaissent que les tatouages et n'en voyant pas pensent que c'est un chien dont on ne pourra connaître le maître. (si elle est tatouée c'est inutile bien sûr) (Pour info on avait pour Joy, notre première chienne, acheté l'espèce de petit tube où tu mets dedans le nom .. au bout du 2ème dévissé tout seul et perdu on a acheté la médaille.) - Pour les puces on est passé très vite du spray aux pipettes hyper pratiques (mais attention à bien prendre par rapport au poids du chien !) . A demander à ton véto lors de l 1ère visite (indispensable pour voir dès l'achat si le chien est parfait en tt) s'il y a mieux maintenant. - Le vermifuge est INDISPENSABLE car sinon les vers prennent pour eux dans la nourriture du chien des éléments essentiels à la bonne croissance du chiot. A demander à ton véto : la dose de produit et tous les combien (qd ils sont chiots c'est souvent un vermifuge liquide avec une pipette.. pas se tromper de dose ni en faire plus souvent que ne le dit le véto car ce sont des produits hyper forts dont il ne faut pas abuser. Un chiot est vermifugé plus souvent qu'un adulte .. je ne me souviens plus :) ) On a hâte de t'aider
  22. et devant ta fenêtre ? .... tu les prends à rêver du temps (d'automne) d'aujourd'hui
  23. Le thème du concours octobre sera "Ah l'automne ... nostalgie de l'été" LES PHOTOS C'EST ICI A partir d'aujourd'hui, et jusqu'au SAMEDI 31 octobre 2009 minuit, à vous de choisir votre photo et la mettre sur CE post Vous pourrez donc selon votre goût et vos pensées du moment, mettre - soit des photos de cet été, - soit de vos poilus se prélassant aux premières couleurs de l'automne. - la photo doit être en rapport avec le thème du mois - vous pouvez bien sûr choisir une photo des années antérieures, - Combien de photo? une seule par animal, mais autant que vous avez d'animaux. (Ex : 1 de Paddy + 1 de Pixel + 1 de Piper... mais pas 2 de Paddy pour un même concours) Ce peut être aussi une photo avec vos poilus ensemble. Mais dans le cas de groupe, soyons juste : impossible de mettre une photo paddy-pixel, puis paddy-piper, puis paddy-pixel-piper, puis piper-pixel.. cela désavantagerait ceux qui n'en ont qu'un. Il me serait donc possible de mettre UNE paddy-piper mais, dans ce cas, UNE seule autre photo permise: pixel seule. Mes trois chiens y sont. Impossible de mettre d'autres photos. (si ce n'est pas très clair dites le moi) - Taille de vos photos? jusqu'à présent elles étaient toutes parfaites :) La seule obligation : que la photo soit d'une taille suffisante permettant de bien la voir, sans être d'une taille gigantesque ! (en cas de problème on vous aidera) - Bien sûr, il faut que ce soit un de vos animaux, ou de votre famille proche, et que la photo ne soit pas celle d'un photographe professionnel ! mais faite par la famille, amis... aucun problème bien sûr ! (soyons nature: ne la modifiez pas avec de petits outils internet ) - et enfin, mettez son nom : ce sera plus facile pour voter par la suite - Inutile de rappeler que "nos Poilus" recouvrent toutes les bêbêtes qu'elles soient à poils plumes écailles.... Participez tous. Les nouveaux n'hésitez pas. Plus il y a de photos, plus le plaisir est grand. En cas de problème, demandez on vous aidera à mettre votre photo BONNE CHANCE A TOUS et .
  24. bravo ! et tu ne seras pas déçue. Tu as bien fait de prendre un chien de chasse : les chiens "d'utilité" (chasse, garde ..) ont gardé une intelligence et un attachement à leur maître (ils doivent comprendre au moindre signe) beaucoup plus vive que les chiens "inventés" pour leur beauté. Tu as choisi en fait le 2ème chien qui nous plaisait.. et sans doute celui que nous aurons plus tard : il est plus petit que mes monstres, moins catapulte si tu as de jeunes enfants qui viennent te voir (euh... ou les vieilles personnes :) ) L'épagneul breton a une tête qui appelle aux câlins et des yeux à faire fondre ! Par contre je crois qu'il est un peu plus cabochard que le labrador et tout en étant très gentil avec lui, tu dois être assez ferme étant jeune pour avoir un chien qui revient bien. Bravo pour ce choix.
  25. pour info les concours recommencent. Je prends pour idée des 2 premiers, les photos mises par Sissi sur le post de l'été (Sissi tu pourras les remettre dans les concours le cas échéant :) ): - le 1er concours de septembre (je l'ouvrirai ce soir ou demain) sera l'été et vous c'est assez large pour être une photo de poilus en été, ou une photo de vacances sans poilu que vous aimez. - le prochain concours (octobre) sera "comment font ils pour avoir de telles poses" à tous ceux qui participent à ces concours : plus il y a de photos, plus grand est notre plaisir
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