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Tout ce qui a été posté par Marine-perruche
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L'envol des perruches ondulées... Un reportage de fin 2010 pour vous illustrer la dure vie de perruches en captivité chez Marine, une citoyenne comme les autres... Bon les gras, il s'rait temps d'bouger vos fesses et d'faire un peu d'sport vous croyez pô ??! Z'êtes entassés comme des sardines ^^ La troupe se motive... Tit Fripe ouvre le bal, on s'éclate !!!! Puis Doudou : Allé là !!! Ramenez vos côtes Ha ouai c'est pas mal en fait de voler !!!!!! C'est l'heure de la pose !! A bientôt !!!
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PSYCHOLOGIE DU RAT : être intelligent et social
Marine-perruche a répondu à un(e) sujet de Marine-perruche dans Rats
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Mes couples d'ondulées
Marine-perruche a répondu à un(e) sujet de mireille1111 dans Photos, vidéos et reportages sur vos perruches ondulées
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Les trois familles de psittaciformes ( perroquets)
Marine-perruche a répondu à un(e) sujet de Marine-perruche dans Nos Perruches et perroquets en photos et vidéos
Je ne pense pas que ce soit un cas particulier pour en avoir déjà vu une le faire également (celle d'une amie). Je pense que c'est surtout pour ce qui est de la manière de s'alimenter et d'utiliser l'environnement (s'appuyer d'une patte à un support et de l'autre attraper la nourriture). Comme je l'ai retrouvé sur plusieurs de mes lectures je l'ai laissé mais j'avoue que ça m'a questionné Merci melly J'ai bien potassé sur ma passion ces derniers jours et v'la que j'postes tout en bloc ! -
LA PSYCHOLOGIE DU RAT Le rat, un être intelligent et social Les rats se déplacent en colonies et sont des animaux très sociables. Le rat vie en groupe, groupe d’une cinquantaine d’individus et plus rarement de 200, divisé en classes hiérarchisées. Le nombre développe la faculté d’empathie, l’aptitude à comprendre l’autre et à interpréter ses réactions. Chaque rat possède sa faculté personnelle de communiquer aux autres ses impressions et émotions. Le comportement d’un rat sera imité par ses congénères, pour intérioriser ce comportement. Si un rat dénie un aliment, les autres l’imiteront. Car ils auront compris que les gouteurs auront classé l’aliment comme empoisonné. Les rats iront même jusqu’à déposer une urine signalant l’aliment comme empoisonné pour dissuadé les congénères de le consommer. Les gouteurs ne sont pas les dominés, mais les rats sélectionnés selon leur s aptitudes en termes de résistance aux aliments empoisonnés et à l’odorat surdéveloppé. Le groupe exploite son territoire et le défend. Le rat ne raisonne pas individuellement, mais à l’échelle du groupe. Leur vie est organisée en cités à l’image de la société humaine. Les frontières d’un groupe s’étendent par-dessus les habitations humaines en comptant plusieurs habitations. Tant que les conditions de vie restent favorables, le groupe reste sur ce même territoire. Quand survient une surpopulation, soit on déménage, soit on chasse quelques individus. Le territoire est défendu contre les groupes concurrents, à travers un marquage à l’urine. Le groupe est dirigé par plusieurs mâles dominants qui érigent leurs règles et font en sorte qu’elles soient appliquées par les rats dominés. Les mâles dominants vivent au cœur de leur cité, de nuit, près des femelles dominantes, ainsi les dominants s’accouplent entre eux. Le pouvoir est transmis par l’hérédité et on retrouve par conséquent différentes castes. Un rat né dans une famille de dominés aura peu de chance d’évoluer car les castes sont rigides. Le cœur de la cité est riche en aliments et en bonnes conditions de vie, ce sont les dominants qui s’y logent. Plus on s’éloigne du cœur de la cité, plus les conditions de vie sont mauvaises et les dominés y résident, y vivant de jour. On peut faire une comparaison de leur cité à notre « centre-ville » et à nos « banlieues ». Les rat(e)s stériles joueront le rôle de sentinelle pour prévenir le groupe des dangers. Les groupes sont très structurés, et la hiérarchie s’établit par la communication interindividuelle. Les rats sont partie des animaux les plus doués à la survie grâce à leur capacité de former un groupe intelligent, avec leur facilité à s’adapter à tout type de milieu et leurs instincts grégaires.Les membres du groupes sont souvent tous apparentés, issus de couples initiaux. Ceci ne les empêchent pas de former des super-colonies en s’associant avec d’autres groupes pour assurer leur avenir et s’armer pour la survie. Les rats sont des animaux très propres, et exécute une toilette journalière minutieuse et longue. Le toilettage possède plusieurs fonctions. La répartition de la salive sur les parties dénuées de poils (pattes, museau, oreilles) du corps permet la régulation de la température interne. Durant la toilette le rat dépose un phéromone (provenant des narines) qui permet d’éveiller l’attention des congénères. La toilette a également un effet antistress. Cela permet en situation conflictuelle de se rassurer et de se donner une contenance. Un toilettage mutuel peut également désengager un conflit. Enfin, lors des jeux, quand un rat se met à couiner, il sera automatiquement et vivement toiletté par l’autre. Les rats sont des animaux intelligents. Mais leur intelligence est d’une nature différente de la nôtre. Elle est plus instinctuelle et parfois supérieur au raisonnement humain. C’est toute une étude et bien des polémiques sur le sujet. Pour comprendre un rat, son fonctionnement et son intelligence il faut comprendre leur intelligence, différente de la nôtre, et réapprendre en fonction de ces nouveaux paramètres. Les rats communiquent par des cris aigus et toute une gamme de grognements produits par leur larynx. Ils transmettent leurs messages par ultrason. Ils communiquent également à travers une multitude d’odeurs. L’urine qui est déposé pour délimiter un territoire, ou hiérarchiser le groupe (chacun a de l’urine de ses congénères sur lui) contient des phéromones qui renseignent l’ensemble du groupe sur l’âge, le sexe, et l’état d’esprit de celui qui la dépose. L’odeur créer également le lien entre la mère et ses petits, car la mère sécrète une phéromone qui apaise les petits et les aide à s’endormir. La communication entre les rats permet des échanges affectifs et également de savoir et d'expériences. C'est ainsi que la connaissnace et l'évitement du danger sont transmis à travers les générations, permettant leur survie de plus en plus r'echerchée et puissante. Nous allons maintenant aborder le sujet des sentiments et des émotions. De nombreux tests en laboratoires ont pus démontrer que les rongeurs et tout particulièrement les rats peuvent exprimer leurs sentiments et surtout ressentir des émotions. Ils sont tout d'abord capable d'attachements envers leurs congénères. Quand il s'agit de défendre un congénère faible ou en péril, le rat est capable de mettre sa propre vie en péril. L'individu sait se sacrifier au profit du groupe. Les plus vieux sont volontaire pour être gouteurs, et lors d'uneattaque toxique de la part des homme, un rat sait faire don de son corps pour boucher l'entrée infectée et minimiser l'impact de l'empoisonnement. Enfin, les handicapés ne sont pas tués (chez le plupart des mammifères c'est le cas) et les aveugles seraient guidés. Lerat s'adapte à son environnement et a une intelligence évolutive au contact de l'homme. Son comportement se modifie en fonction de son environnement et sa mémoire lui permet de ne jamais se faire piéger deux fois de la même façon et va également lui permettre d'inculquer à ses congénères comment s'en défendre ou s'en éloigner. En cas de danger ou de difficultés, le rat va faire preuve d'une coopération spontanée, chacun trouvant son rôle collectif pour résoudre la difficulté. Ce sera une forme d'organisation intuitive. Également, le rat a une forte capacité à s'adapter au changement et modifier son comportement pour être plus efficace. Enfin, il a été démontré que les rats ont conscience de la mort et de la vie, s'adonnant à des activités de plaisirs sans aucune utilité en termes de survie et de besoins physiologiques. Ils ressentent également l'espoir et le désespoir. Un rat qui a l'espoir de survivre luttera plus longtemps, alors qu'un rat seul, désarmé et qui ne voit aucunes issus tombera dans une dépression qui le tuera. Comment refuser aux rats le statut d'être sensible ??! Comment justifier les traitements et expériences qu'ils subissent alors qu'ils ressentent la souffrance et ont conscience de celle-ci, ainsi que de leur propre mort? Quel homme voudrait ressentir de nos jours de tels sentiments d'horreurs? Qui voudrait sentir si douloureusement sa propre mort venir?... J'ai pris le partie de ne pas citer mes exemple pour étayer mes dires, car ceux sont que des exemple d'expériences qui ont entrainaient la souffrance et parfois la mort de ces animaux. Les expériences étaient généralement pour un autre but et ont finalement avérés cette forme d'intelligence et leur ressenti. Je n'ai pas envie de donner des exemples incitants et démoralisants. Sources : "L'histoire des rats en Europe" de Audouin-Rouzeau F. "Les rats" de Julie Delfour "L'homme aux rats" de Freud S. "L'intelligence de l'animal" de Points science
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LA PROTECTION ET LA SAUVEGARDE DES PERROQUETS Extrait de : « Le grand livre des perroquets », Mario Dominique, Conzo G. De Vecchi 2006 La convention de Washington « La convention de Washington (CITES : Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction) est un document rédigé en 1973, dans la capitale des Etats-Unis, par les scientifiques, écologistes, biologistes et politiciens de nombreux pays. Elle dicte les grandes lignes destinées à protéger sérieusement tous les êtres vivants, végétaux et animaux, en règlementant ou dans certains cas en interdisant leur ceuillette ou leur capture et leur détention. En ce qui concerne le monde animal, et plus particulièrement l’avifaune, ces accords ont abouti après une vingtaine d’années de discussions et de tentatives avortées à résoudre le problème relatif à la chute sensible de bon nombre d’espèces, dont pratiquement toutes celles des perroquets. En 1960, l’Australie fut le premier pays à fermer ses frontières à l’exportation d’animaux autochtones. […] Cette politique, associée à une volonté plus forte de sauvegarder les habitats naturels des différentes espèces, avait inversé la tendance de la chute démographique des populations. Le thème de l’interdiction et de la règlementation des captures, à trouvé dans la convention de Washington le point de départ d’une série de nouvelles initiative destinées à protéger les diversités biologiques. La convention a été ratifiée par les Etats-Unis le 1er Juillet 1975, puis peu à peu par tous les autres pays. La France l’a signée en 1978 ! Dans sa formule originale, le traité prévoit des listes appelées Appendice I, II, III, qui comprennent toutes les espèces animales et végétales en fonction du type de protection appliquée : l’appendice I est celui dont les critères sont les plus sévères, le II possède des critères intermédiaires et le III les moins rigides. En ce qui concerne les animaux, l’Appendice I inclut tous les animaux gravement menacés d’extinction, dont la capture est absolument prohibée et dont la détention est autorisée uniquement dans des conditions très strictes et surveillées, et uniquement pour les sujets qui étaient prélevés régulièrement avant l’entrée en vigueur de la convention ou pour ceux nés en captivité. Ces sujets doivent toujours être accompagnés de papiers en règles. Ce document, appelé CITES (conevntion of international trade with endangered species), n’est rien d’autre qu’une sorte de carte d’identité de l’animal, qui doit l’accompagner dans tous ses déplacements. L’appendice II comprend toutes les espèces qui, tout en étant protégées, peuvent être capturées (quotas) commercialisées et détenues mais uniquement dans le cadre d’autorisations régulièrement mises à jour pour la capture et la vente, et uniquement en présence d’un document CITES pour la détention. Les sujets nés en captivité sont également recensés et dotés d’un document spécial qui permet de remonter jusqu’à l’éleveur. L’appendice III comprend les animaux dont la capture et la détention sont libres (chaque pays réglemente les captures et détentions) Il est prévu que les listes soient mises à jour : si les situations observées au moments de la rédaction a changé, il est possible de déplacer une espèce d’un appendice à l’autre, en fonction des besoins. Les psittaciformes font également parrtie des trois listes : malheureusement, de nombreuses espèces sont dans l’appendice (menacées d’extinction). Dans la version de la convention ratifiée par la CEE, quelques légers changements et ajouts ont été fait. Dans cette version, les appendices sont remplacés par les Annexes (A, B, C et D). Chaque pays signataire a ensuite des normes internes réglementant l’élevage et la détention des animaux. " Extrait de : « Le grand livre des perroquets », Mario Dominique, Conzo G. De Vecchi 2006 le site CITES (La Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction) : http://www.cites.org/fra/index.shtml Annexes I, II et II : http://www.cites.org/fra/app/appendices.shtml PSITTACIFORMES en annexe I : Cacatuidae Cacatoès Cacatua goffiniana Cacatua haematuropygia Cacatua moluccensis Cacatua sulphurea Probosciger aterrimus Loriidae Loris, loriquets Eos histrio Vini ultramarina Psittacidae Amazones, aras, perruches, perroquets Amazona arausiaca Amazona auropalliata Amazona barbadensis Amazona brasiliensis Amazona finschi Amazona guildingii Amazona imperialis Amazona leucocephala Amazona oratrix Amazona pretrei Amazona rhodocorytha Amazona tucumana Amazona versicolor Amazona vinacea Amazona viridigenalis Amazona vittata Anodorhynchus spp. Ara ambiguus Ara glaucogularis (Souvent commercialisé sous la désignation incorrecte d'Ara caninde) Ara macao Ara militaris Ara rubrogenys Cyanopsitta spixii Cyanoramphus cookii Cyanoramphus forbesi Cyanoramphus novaezelandiae Cyanoramphus saisseti Cyclopsitta diophthalma coxeni Eunymphicus cornutus Guarouba guarouba Neophema chrysogaster Ognorhynchus icterotis Pezoporus occidentalis (peut-être éteint) Pezoporus wallicus Pionopsitta pileata Primolius couloni Primolius maracana Psephotus chrysopterygius Psephotus dissimilis Psephotus pulcherrimus (peut-être éteint) Psittacula echo Pyrrhura cruentata Rhynchopsitta spp. Strigops habroptilus Annexe II : PSITTACIFORMES spp. (Sauf les espèces inscrites à l'Annexe I, ainsi qu'Agapornis roseicollis, Melopsittacus undulatus, Nymphicus hollandicus et Psittacula krameri, qui ne sont pas inscrites aux annexes) Annexes III : Agapornis roseicollis (inséparable roseicollis), Melopsittacus undulatus (perruche ondulée), Nymphicus hollandicus (calopsitte élégante) et Psittacula krameri (perruche collier).
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Les maladies infectieuses Les perruches ondulées, comme les perroquets, peuvent contracter de nombreuses maladies à travers des bactéries, des virus, des champignons et des parasites. Ces maladies seront plus ou moins contagieuses et mortelles. Certaines maladies seront spécifiques à quelques espèces tandis que d’autres seront plus dévastatrices et impacteront n’importe quelles espèces. Voici les maladies infectieuses les plus connues. Psittacose ou chlamydiose : La psittacose (ou chlamydiose) est la maladie des perroquets la plus connue et la plus redoutée car il s’agit d’une maladie contagieuse de l’animal à l’homme, qui dégénère en zoonose. L’agent responsable de cette maladie est le « chlamydophila psittaci ». il peut infecter de façon considérable les perroquets comme les humains, et provoquer chez ses derniers des pneumonies (rare). Les symptômes sont : - Diarrhées, - Conjonctivites, - Difficultés respiratoires, - Symptômes nerveux, - Anorexie, - Vomissements. L’infection est souvent muette et le perroquet est ainsi nommé « porteur sain ». Le diagnostique est établit après avoir cherché dans les fientes, grace aux tests spécifiques en labo. On peut également faire un titrage des anti-corps présents dans le sang. Le traitement consistera à administrer la molécule « tétracycline » à travers la nourriture ou l’eau sur une période d’un mois à 45 jours. Salmonellose et colibacillose Les perroquets peuvent contracter la salmonellose. Cette maladie peut évoluer vers sa forme aigue (diarrhée, anorexie, abattement et mort), ou chronique (arthrite, lésions hépatiques et troubles du système nerveux). La colibacillose est également une maladie bactérienne, aux symptômes plus variés. C’est l’agent « Escherichia Coli » qui est responsable de la variété des symptômes car il peut toucher différents organes. La bactérie peut contaminer l’œuf directement dans l’ovaire ou après la ponte, entrainant la mort de l’oisillon. Les symptômes seront : - Gastro-entérite (vomissement, diarrhée, amaigrissement, anorexie) - Troubles nerveux (tremblements, torticolis, manque de coordinations des mouvements) - Troubles de la reproduction (stérilité, pontes d’œufs petits, à la coquille molle) Le diagnostic de cette maladie comme celle des « staphylococcies, streptococcies et pseudo-tuberculose » sera l’isolement du germe là ou il sera (cloaque, narines, fientes, organes) à travers un examen bactériologique. L’antibiogramme permettra de déterminer l’antibiotique le plus adapté au traitement. Pseudo-tuberculose L'agent de cette maladie est une bactérie «Yersinia pseudotuberculosis». Les malades sont hérissés, l'évolution est rapide. L'épidémie atteint souvent qu'une espèce à la fois. Ils meurent dans un délai de 3 à 5 jours. Si il y a une incubation, elle n'a pas été discernable. Cette maladie peut être confirmée sans aucun doute possible en autopsiant les oiseaux décédés. La rate augmente de volume de façon importante. Le foie et la rate présentent de nombreux petits nodules blancs assez durs. Le foie peut être noir, et l'oiseau subit des congestions pulmonaires. Les prélèvements peuvent être effectués, de façon à faire déterminer la souche bactérienne avec certitude et connaître le traitement efficace. Garder l'oiseau en cage hôpital, sans contact avec les autres car la maladie est contagieuse. Voici des médicaments traitant cette maladie: Pendant 10 jours, Chloramphenicol: Mycolicine. Ceci s'achète en cabinet vétérinaire. Dosage: 12 gouttes pour 60ml d'eau, ou bien 5ml par litre d'eau. Le plus grand conditionnement fait 50ml. Baytril 10% en solution buvable 1ml/ litre d'eau (substance Enrofloxacine de la famille des fluoroquinoles), large spectre : Laboratoire Bayer Pharma division santé animale. Proventriculite Cette maladie frappe souvent les perruches ondulées, les inséparables, les calopsittes et les perruches à collier. Le microorganisme responsable de la maladie est le « « megabacterium » situé dans le proventricule et altérant gravement la fonction gastrique. L’appétit n’est pas impactée mais l’amaigrissement de l’oiseau croit jusqu’à sa mort (fientes avec graines non digérées). Le traitement sera à base « d’amphotéricine B » par voie oral sur 10 jours minimum. Syndrome de la dilatation du proventricule ou PPD, ou PDDS C’est une maladie virale qui provoque une paralysie progressive du proventricule et engendre des lésions nerveuses. Les perroquets infectés régurgitent et ne digèrent pas les graines qui se retrouvent dans les fientes. Il n’existe aucuns traitements pour cette maladie, hormis l’administration d’une alimentation riche et liquide, et par des soins pour les infections secondaires (induites par le PPD). Je ne vous en dis pas plus car vous avez un article complet consacrée à cette maladie. Cliquez sur ce présent lien : http://www.perruches.org/sante-autres-f6/la-dilatation-du-proventricule-des-psittacides-ppds-pdd-t170.htm Maladie de Pacheco Les perruches ondulées et perroquets peuvent être victimes de nombreuses maladies virales, dont la maladie de Pacheco, une des plus redoutée. Elle est causé par un virus de l’herpès, provoquant d’importantes lésions au foie les amenant à mourir en quelques jours. Cette maladie est liée aux importations, et peut engendrer des porteurs sain chez les perroquets (souvent les conures). Les oiseaux contaminés présentent les symptômes suivants : - Mal-être général - Diarrhée jaunâtre caractéristique - OU mort rapide sans symptômes Le diagnostic se base sur des mémoires quantifiés et qualifiés des importations (taux de malades, de mortalité élevé, et de lésions hépatiques observées après autopsie). L’examen histologique du tissu hépatique du foie (et nécroses) seront révélateurs. Il n’existe pas de traitement efficace. L’acyclovir est une molécule pouvant diminuer la contagion entre perroquets mais est inefficace sur les sujets déjà atteints. Maladie du bec et des plumes des psittacidés : PBFD .La Maladie du bec et des plumes des psittacidés (PBFD) est causé par un virus « circovirus », qui provoque chez les psittacidés infectés de graves altérations de plumage. Les plumes de poussent plus ou difficilement (les pennes ne sortent plus du follicule ou sont étriqués), et il peut y avoir des hémorragies à la base du plumage. L’oiseau semble ainsi déplumé. Le bec et les griffes peuvent pousser anormalement et deviennent plus fragiles. La PBFD provoque ainsi une chute globale du système immunitaire des psittacidés, et les rend sensible à n’importe quelle infection. L’évolution de la maladie est chronique et touche principalement les Cacatoes. La forme aigüe est violente et touche les espèces plus petites comme les inséparables. Les symptômes sont de graves hépatites et la mort. Le diagnostic est aisé, il faut observer les lésions typiques du plumage, et on confirme le diagnostic avec un test par sondes moléculaires (PCR) sur un simple échantillon de sang. Les perroquets positifs au test mais ne montrant pas de symptômes peuvent développer une immunité, et devenir négatifs aux prochains tests. On recommande ainsi de les faire tous les 90 à 120 jours. Il n’existe pas de traitement actuellement. Polyomavirus C’est une maladie virale qui touchent particulièrement les jeunes perroquets EAM avant le sevrage. Les symptômes sont : - Gosier jamais complètement dégagé - Abattement général - Diarrhée - Anorexie - Hémorragie sous cutanée La mort surviendra 2 à 3 jours après les premiers symptômes constatés. Le polyomavirus peut se transmettre à travers les fientes, les sécrétions nasales et la poussière de plumes, et ces dernières peuvent contaminer l’eau et la nourriture. Les parents souvent « porteur sain » du virus le transmettrons aux petits. Chez les perruches ondulées, la maladie (polyomavirus) se présente différemment. En plus de présenter les précédents symptômes, elle peut engendrer une altération du plumage similaire à la maladie PBFD. Ces deux maladies sont à la base de la pathologie appelé couramment « mue Française ». Il n’existe aucun traitement efficace, mais il existe un vaccin difficile d’accès. Le diagnostic s’établit à travers le test PCR sur échantillon de sang, ou avec un fragment d’organe. Les sujets positifs mais asymptomatiques devront être isolés et exclus de toute reproduction et cela jusqu’à ce qu’ils soient négatifs après les tests suivant, sous 90 à 120 jours. Variole La variole est causée par un poxvirus, et impacte les perroquets à travers les piqures d’insectes et principalement les moustiques. Les symptômes seront : - Conjonctivite - Formation d’une membrane diphtérique au niveau des premières voies respiratoires - Difficultés respiratoires - Infections bactériennes secondaires Le traitement de la maladie passe par une réactivité à administrer un antibiotique à large spectre pour combattre les infections secondaires. Mais cela n’aura aucune efficacité contre le virus lui-même. Mycose Les mycoses sont des infections fongicides causées par différents champignons. Ce sont des agents infectieux opportunistes, qui profitent d’une malnutrition présente, ou d’un traitement antibiotique prolongé. La mycose la plus grave est l’aspergillose, qui a pour symptômes : - Difficultés respiratoires - Toux ou sifflement - Ouverture et fermeture du bec - Dépérissement progressif Le diagnostic de cette maladie sera basé sur plusieurs examens, prise de sang, endoscopie, radiographie et culture. Le traitement sera une molécule antimycosique comme le « fluconazole, ketoconazole » etc. Il sera administré par voix parentérale ou par aérosol. Il y a aura besoin d’un traitement antibiotique pour soigner les infections bactériennes concomitantes. Verminoses Les verminoses sont dues à cause des vers. Les plus courantes seront les infections de ténias, ascarides et capillaires. La mort peut en résulter suite à une obstruction intestinale. Le diagnostic sera la détermination de la nature du parasite. On traitera l’oiseau avec un antihelminthique adapté. Les symptômes sont : - Amaigrissement tout en conservant l’appétit - Vomissement - Diarrhée Parasitoses Les parasitoses sont des infections parasitaires externes (au corps). Les plus connus seront les poux rouges (visibles en écartant les plumes), l’acariose ou gale du bec et des pattes (symptômes : croutes beiges-blanchâtre épaisses et s’effritant autour des yeux et de la cire et du bec. La perruche se gratte) etc. Le traitement sera externe, à base de selectamine ou d’ivermectine (nom connu : stronghold chaton, ivomec). Le traitement sera une seule goute de stronghold chaton ou encore mieux d’Ivomec, entre les deux ailes, en soulevant les plumes, derrière la nuque. Soins expliqués sur l'article : http://www.perruches.org/t8-les-parasites-acariose-gale-poux-vers Sources : « les perruches », balaguer R. « le grand livre des perroquets », Mario Dominique, Conzo G. « ABC de la perruche ondulée », dellile Alain « les perruches ondulées », Gismondi E. et Mario D. « les perruches ondulées », Oiseaux passion, jacqueline et gabriel Prin [/justify]
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La cage infirmerie (ou hôpital) en attendant le RDV vétérinaire Une perruche ondulée malade doit être rapidement séparées de ses congénères, car elle peut souffrir d’une maladie infectieuse contagieuse. Cette précaution permet d’empêcher la contagion des autres perruches, mais aussi de protéger le malade des attaques de ses congénères. Les autres perruches ont une aisance à détecter une perruche malade, et pour se protéger elles attaquent la compagne. Une perruche en isolement est plus facile à surveiller et à manipuler en cas de besoins. Il faut prendre soin de surveiller ses fientes (couleur, texture), et la quantité d’eau absorbée et de nourriture ingurgitée. La cage infirmerie devra être dans un milieu où la température est stable, autour de 30°C, pour faciliter la perruche de lutter contra la maladie et de mieux réagir aux soins. Il faut lui apporter une source de chaleur telle qu’une bouillotte, un coussin chauffant ou une lampe infrarouge si nécessaire, en veillant à ce qu’elle ne puisse pas se brûler. Le mieux est un chauffage équipé d’un thermostat. La cage doit être pratique pour désinfecter et nettoyer, en gênant le moins possible la perruche. Il faut surveiller à ce que la perruche ne se déshydrate pas et ne se brûle pas. Si vous ne pouvez réguler correctement la température, humidifiez bien l’environnement. Les mangeoires et abreuvoirs doivent être mis à disposition à volonté et en facile accès pour la perruche malade. Il faudra une alimentation énergétique à base de protéines et de vitamines. On peut également émietter un œuf avec de l’os de sèche. Les extrudés seront également un excellent aliment, ramolis avec de l’eau tiède ou coupé si nécessaire. Si jamais le perroquet refuse de s’alimenter, il faudra malheureusement se contraindre à le forcer, pour sa survis, en attendant la décision du vétérinaire. Les bouillis d’élevage (EAM) seront bien adaptés dans ce cas. Il faudra mettre l’alimentation directement dans le gosier à l’aide d’une sonde spéciale. Ceci requiert de l’expérience pour cette manipulation dangereuse pour l’oiseau, et de la confiance et de la motivation. Le risque serait que le liquide aille dans la trachée, ce qui entrainerait la mort. Remettez en vous à votre vétérinaire si vous ne vous en sentez pas capable.
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Les trois familles de psittaciformes On compte dans le monde entier plus de 320 espèces selon les classifications les plus modernes. Le nombre varie selon l’interprétation des spécialistes de la répartition en espèce et sous-espèces. En général, les classifications comprennent entre 315 et 330 espèces, lorsque le nombre des espèces est supérieur, celui des sous-espèces diminue et vice-versa. La classification scientifique traditionnelle suivie par les auteurs les plus mportants est ainsi : Règne : animal Sous-règne : métazoaire Type : Vertébrés Classe : oiseaux Sous-classe : néognathes Ordre : psittaciformes Famille : loratidae (loridés), cacatuadae (cacatuidés), psittacidae (psittacidés). 1ère famille : Cacatuidae La famille des cacatuidae comprend les genres Probosciger, Calyptorhynchus, Callocephalon, Eolophus, Cacatua, Nymphicus avec les espèces rattachées. Ce groupe comprend entre 18 et 21 espèces avec différentes sous-espèces. Il s’agit en général de perroquets de grande taille à moyenne-grande, qui ont en commun une structure morphologique plutôt trapue, compacte, qui donne l’impression d’une certaine robustesse, et ils ont la queue courte et en spatule. Leur plumage est dans les tons blanc, jaune, saumon voir noir. La caractéristique principale qui a menée les naturalistes à les considérer comme un groupe indissociable, c’est la présence d’une huppe érectile que l’oiseau soulève en signe d’agressivité. Le groupe comprend aussi un perroquet de taille moyenne-petite, la perruche calopsitte, qui diffère totalement des autres par sa forme, son mode de reproduction et par son inaptitude à porter la nourriture au bec avec sa patte. Toutefois, la présence de la huppe érectile, la façon d’emménager le nid, la couvaison menée à tour de rôle, et le duvet jaune justifient l’inclusion de cette espèce dans les cacatuidae. C’est l’un des rares perroquets à être très répandu, aussi bien dans la nature qu’en captivité et dont la commercialisation n’est pas soumise aux règles de la convention de Washington. Les cacatuidés vivent le plus souvent en Australie, mais on en retrouve certains dans les îles de pacifique. Certaines espèces très rares, sont protégées par la convention de Washington. D’autres en revanche sont si nombreuses qu’elles sont considérées comme nuisible pour l’agriculture (cacatua roseilcapillis). Ce sont des oiseaux territoriaux et agressifs en période de reproduction et redeviendront calmes au quotidien. Ce sont d’excellents voiliers, et forment des groupes nombreux qui se déplacent à la recherche d’eau et de nourriture. Ils s’accrochent aux branches avec une seule patte et attrapent la nourriture avec l’autre, en l’émiettant avec le bec. Les cacatoes se nourrissent de fruits et de graines fraiches, et dévastent les champs cultivés. Ils nidifient dans les troncs creux de grands arbres, c’est pourquoi la plupart des éleveurs leur construisent un nid vertical d’assez grandes dimensions. Les œufs sont couvés à tour de rôle par les deux parents, bien qu’en réalité le mâle se limite à les maintenir au chaud pendant que sa compagne sort pour se dégourdir les ailes et satisfaire ses besoins physiologiques. Le nid sera utilisé plusieurs année et sera occupé comme abris hors saison de reproduction. Ce sont des espèces vivant longtemps, atteignant la maturité sexuelle vers 4 à 7 ans, n’élevant qu’une seule nichée par saison. En captivité, l’élevage de ces oiseaux demande une certaine expérience, ainsi que de l’espace disponible et un budget conséquent. 2ème famille : Loridae La famille des Loridae comprend les genres Neopsittacus, Oreopsittacus, Phigys, Pseudeos, Trichoglossus et vini. On les appelle généralement Loris ou Loriquets. Les premiers se caractérisent par une queue courte tandis que les seconds ont une queue allongée avec les rétrices encore plus longues. Le groupe comprend 55 espèces de perroquets voiliers. Ils ont une voix puissante, une silhouette élancée, des coloris très vifs (rouge, bleu, vert, jaune, orange, et noir) avec une taille moyenne à petite. Ils possèdent un fort instinct grégaire. La caractéristique principale de cette famille et leur langue qui permet de mieux lécher le nectar et le pollen des fleurs, qui constitue la base de leur régime, comprenant également de grandes quantités de fleurs, pousses, feuilles, fruits et quelques insectes (protéines). L’extrémité de leur langue est dotée de papilles particulières qui se dressent quand ils se nourrissent. Ils sont répartis géographiquement vers le pacifique (Australie, îles majeures et mineures), mais également en Nouvelle-Guinée et dans les îles Moluques et Salomon. A l’état sauvage, ils nidifient dans les cavités des arbres, alors qu’en captivités les nids donnent de bons résultats. Les Loridés ont un tempérament très fort, et sont plutôt agressifs et bagarreurs. Il sont en même dotés d’un instinct sociable et grégaire, ce sont des oiseaux très curieux. Ils aiment explorer leur lieu d’habitat. Avec leur régime alimentaire spécifique, leur élevage en captivité est compliqué. On peut trouver de nos jours des farines à diluer dans l’eau qui ont la même consistance que le nectar, ainsi que d’excellents extrudés qui remplacent les bouillies fait maison. L’élevage en captivité est assez répandu chez certaines espèces, à la condition qu’ils aient de grandes volière et une alimentation adaptée. 3ème famille : Psittacidae Les perroquets qui ne sont pas inclus dans les deux précédents groupes se retrouve dans cette famille. La plupart sont regroupés dans la sous-famille psittacinae, mais également dans les autres sous-familles Strigopinae et Micropsittinae. C’est le groupe qui comporte le plus grand nopmbre de perroquets élevés en captivité et apprivoisés comme animaux de compagnie. On parle ici des aras, amazones,gris, inséparables et perruches ondulées. Le groupe comporte un ensemble riche et hétérogène d’espèces ayant des petites tailles aux grandes. On peut trouver également plusieurs formes morphologiques. Ils sont presque tous d’excellents grimpeurs, mais tous n’ont pas une qualité de vole. Ils aiment les bois plus ou moins denses, et les prairies semées d’arbres. Ils aiment les régions riche en présence d’eau malgré qu’ils boivent peu. Certaines espèces présentent un dimorphisme sexuel marqué, tandis qu’il est absent chez les loridés et cacatuidés blancs. Ils vivent exclusivement entre l’Australie et les îles du pacifique. Leur régime se compose de graines vertes et mûres et de fruits. Certaines espèces ont une alimentation spécialisée. Ainsi ce groupe comporte des espèces très différentes, que l’on regroupe par taille etb par habitudes similaires : psittaciformes de taille moyenne-grande (aras, amazones, gris), psittaciformes de ttaille moyenne (pionus, pionites, piocephalus), psittaciformes de taille moyenne à moyenne-petite (Caïques, conures, perroquets-moines, perruches asiatiques), et psittaciformes de taille réduite (Kéa, kakapo, ondulées). Sources : « perroquets et perruches », Alberton david « les perruches », balaguer R « le grand livre desperroquets », Mario Dominique, Conzo G. « les perruches ondulées », Gismondi E. et Mario D.
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reproduction hivernale pour certaines de mes calos
Marine-perruche a répondu à un(e) sujet de mireille1111 dans Autres sujets
Mireille, promets moi de ne pas le prendre mal... Mais doit y voir un souci dans ta repro, quelque chose qui e convient pas à tes belles. Faut sérieusement y réflechir. Peut être une maladie qui se transmet?? Tu devrais en faire tester usieurs (de chaque espèce touchée par les décès). Testes la chlamydiose, la psittacose, la mue francaise et la PDDS, ça devrait t'éclairer... C'es cher mais fais entester seulement quelques uns pour ta rassurer, ces maladies sont gaves et contagieuses. Ce son des choses qui arriver à tout le monde, faut trouver le ouci et y remédier mais crois moi, certes des décès sont normaux, quelque uns. Mais arrivé à un stade, trop de décès, faut se poser ls bonne questions -
La mue de la perruche ondulée (Driyden) La mue, c'est le renouvellement du plumage de l'oiseau, qui va perdre son duvet comme ses plumes, des plus petites aux grandes (rectrices, rémiges etc). Les plumes tombent au fur et à mesures que de nouvelles poussent, englobées de leur tube de kératine, que les perruches ouvriront avec leur bec pour libérer la plume et soulager la douleur irritante. La mue se produit deux fois par an normalement, tous les 6 mois chez la perruche ondulée. Elle dure 6 semaines à deux mois. Elle peut être plus ou moins douloureuse et intense. Certaines mues déplument tellement rapidement l'oiseau qu'il peut éprouver quelques difficultés durant le vole. Les ondulées ont leur première mue entre 4 et 6 Mois. La mue est très épuisante physiquement et psychologiquement. Elle peut faire puiser la perruche jusqu'à un tiers de ses réserves personnelles en calcium et en vitamines A. D'où l'importance en période de mue d'enrichir l'alimentation en vitamines A, B, D calcium et en protéines. - De la pâtée aux œufs du commerce (orlux, hagen, versele-laga) - De l'œuf cuit dur émietté (avec ou sans la coquille, riche en calcium) - Du germe de blé (riche en calcium, en paillettes rayon diététique) - Du calcium (os de seiche, calcium en poudre ou liquide, etc) - Un supplément vitaminé ( Hagen , Nekton S) - Des germinations : les graines germées ont une valeur nutritive plus élevée - Des légumes verts et orangés riches en bêta-carotène - Des légumineuses et céréales cuites Il n'existe pas de petites ou grandes mues officielles chez les ondulées, on constate juste que certaines sont beaucoup plus longue, épuisantes et "déplumantes", alors que d'autres sont rapides et légère. On repère une perruche en mue grâce aux picots (tubes à la pointe noire) sur la tête, à une fatigue plus présente et surtout un duvet qui vole de partout. la perruche est plus nerveuse en période de mue.
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Marine-perruche a répondu à un(e) sujet de mireille1111 dans Les Oiseaux exotiques (autres que les Psittaciformes)
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La Dilatation du proventricule ou "psittacine proventricular dilatation syndrome" (PPDS) ou « Proventricular dilatation disease » (PDD) La dilatation du proventricule est une maladie qui affecte les oiseaux âgés de 10 semaines à 17 ans. Dans certains cas, la maladie évolue très rapidement et cause le décès de l'oiseau et dans d'autres cas, la maladie évolue très lentement (peut prendre des semaines et même des mois à évoluer). Pour ralentir ou contrer la contamination, il faudra que chaque oiseau nouvellement introduit dans une pièce ou une maison contenant d'autres oiseaux subisse la quarantaine importante. Une visite chez le vétérinaire lors de l'acquisition peut aider à révéler des problèmes cachés. Symptômes : Digestifs : régurgitations, présence de graines non digérées dans les fientes, dilatation du jabot, dilatation du proventricule, abdomen dilaté, amaigrissement progressif, abattement, baisse d’appétit. Les fientes ont une odeur forte et un volume important sur les oiseaux nourris avec des extrudés. Nerveux : léthargie, tremblements, contractions cloniques, crises épileptiformes, mouvements anormaux de la tête (torticolis), ataxie locomotrice (chute de perchoir, difficultés pour se percher). La cause de cette maladie était inconnue jusqu'en 2009, et son diagnostique était difficile. La contagion constitue un problème majeur pour les élevages et les structures qui présentent plusieurs individus (parcs zoologiques). "La biopsie du jabot des oiseaux atteints révèle une infiltration par des cellules du sistème immunitaire des plexus myentériques (système nerveux de l'appareil digestif). Les nerfs du tube digestif puis le système nerveux central (cerveau, moelle épinière) sont atteints : je jabot. Toutefois, 43 à 72% des oiseaux atteints de PDD présentent des lésions au niveau des nerfs du jabot à l'autopsie. Non seulement cette procédure diagnostique présentait un risque anesthésique, mais de plus, le test était assez peu sensible (faux négatifs). Les autres examens complémentaires pertinents sont l'imagerie médicale digestive avec produit de contraste : radiographie, fluoroscopie. En 2009, les analyses génétiques à partir de plusieurs individus présentant des symptômes et des lésions tissulaires ont mis en évidence la présence d'un virus appartenant à la famille des bornavirus. Des techniques de détection de bornavirus aviaire par PCR (mise en évidence de gènes de l'entité pathogène) sur les selles ont été mises au point aux Etats-Unis. En Europe, le test Western blot permettant de détecter des anti-bornavirus est disponible en Hollande et la mise au point de la PCR est actuellement en cours. Ces nouveaux tests permettent de dépister les oiseaux porteurs sains (infectés sans signes cliniques) ou en incubation, et sont moins risqués qu'une biopsie du jabot sous anesthésie générale. Il suffit maintenant de réaliser une prise de sang à l'achat, ou en quarantaine, afin de déterminer si un oiseau est contaminé. Il reste encore à déterminer la spécificité de ces tests. C'est à dire leur capacité à mettre en évidence uniquement le pathogène qui nous intéresse dans cette pathologie et pas de contaminants causant des faux positifs. Actuellement des traitements anti-inflammatoires ont été proposés pour ralentir la progression des lésions nerveuses. Plusieurs molécules sont utilisées (celecoxib, tepoxalin, meloxicam) mais aucune étude expérimentale ne compare rigoureusement leur efficacité. L'amantadine, un anti-viral, est aussi utilisée à des doses empiriques ne sachant pas exactement si l'action recherchée est celle d'un anti-viral ou l'activation des circuits dopaminergiques (neurone qui libère des molécules appelés neurotransmetteurs et qui agissent notamment sur la propagations du message nerveux) diminuant ainsi les tremblements. Le traitement est essentiellement symptomatique. Il s'agit de limiter les conséquences de la malnutrition et des surinfections. Ainsi, on utilise des aliments hyperdigestibles, des compléments alimentaires riche en fibres stimulant la motricité intestinale, des probiotiques (bactéries nécessaires au fonctionnement normal de l'appareil digestif), des enzymes et des vitamines. Plusieurs produits sont disponibles sur le marché. L'échéance à court terme (quelques jours à quelques mois) est toujours fatale. Ainsi il faudra peut être envisager de soulager les souffrances de l'animal (perte de poids, difficultés locomotrices allant jusqu'à l'impossibilité de marcher normalement). Des traitements antibiotiques peuvent être envisagés en cas de surinfections. Ainsi, avant toute acquisition d'un nouvel individu il peut être intéressant de dépister l'ensemble des oiseaux (ceux déjà présents et ceux à faire rentrer dans l'élevage). Dans tous les cas votre vétérinaire est la personne privilégiée pour toute question ou pour une suspicion clinique chez l'un de vos oiseaux car le dépistage s'effectue par prise de sang. L'arrivée de ces tests de dépistage permet de prendre les mesures nécessaires telles que l'isolement ou la modification des projets d'introductions. Cependant l'absence de traitement condamne encore nos oiseaux. Il faut alors se poser la question du bien être à tout prix. Si l'on considère les psittacidés comme des êtres intelligents, doit-on leur faire subir les souffrances et l'inconfort engendrés par cette pathologie ? Pour ne pas être confronté à cette question douloureuse, mieux vaut réaliser le dépistage systématique chez ses oiseaux (sur les espèces sensibles au PDD)." Peron Franck et Grosset Claire Revus Oiseaux exotiques, octobre 2010
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le mieux : - carré de lino (un coup d'éponge et c'est propre) - carré de plexiglas (un coup d'éponge et c'est propre) - sopalin ou essuis-tout (à changer une fois par semaine) - papier blanc A3 ou A4 (à changer une fois par semaine) - Papier journal (mais avec encre non toxique, attention) (à changer une fois par semaine) - litière végétale (pour moi je dis que c'est bof, car ça prend l'humidité et les perruches sont sensible aux champignons et bactéries)